• Quand l’#Union_europeénne se met au #fact-checking... et que du coup, elle véhicule elle-même des #préjugés...
    Et les mythes sont pensés à la fois pour les personnes qui portent un discours anti-migrants ("L’UE ne protège pas ses frontières"), comme pour ceux qui portent des discours pro-migrants ("L’UE veut créer une #forteresse_Europe")...
    Le résultat ne peut être que mauvais, surtout vu les pratiques de l’UE...

    Je copie-colle ici les mythes et les réponses de l’UE à ce mythe...


    #crise_migratoire


    #frontières #protection_des_frontières


    #Libye #IOM #OIM #évacuation #détention #détention_arbitraire #centres #retours_volontaires #retour_volontaire #droits_humains


    #push-back #refoulement #Libye


    #aide_financière #Espagne #Grèce #Italie #Frontex #gardes-frontière #EASO


    #Forteresse_européenne


    #global_compact


    #frontières_intérieures #Schengen #Espace_Schengen


    #ONG #sauvetage #mer #Méditerranée


    #maladies #contamination


    #criminels #criminalité


    #économie #coût #bénéfice


    #externalisation #externalisation_des_frontières


    #Fonds_fiduciaire #dictature #dictatures #régimes_autoritaires

    https://ec.europa.eu/home-affairs/sites/homeaffairs/files/what-we-do/policies/european-agenda-migration/20190306_managing-migration-factsheet-debunking-myths-about-migration_en.p
    #préjugés #mythes #migrations #asile #réfugiés
    #hypocrisie #on_n'est_pas_sorti_de_l'auberge
    ping @reka @isskein

  • Malbouffe : Gérard Mulliez (Auchan) estime que “tout le monde sera obligé de faire de la #permaculture ” - France 3 Hauts-de-France
    https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-0/lille-metropole/malbouffe-gerard-mulliez-auchan-estime-que-monde-sera-o
    https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/sites/regions_france3/files/styles/top_big/public/assets/images/2019/03/07/efespfive320859-4124720.jpg?itok=5PaTkTPu

    « Les professeurs aujourd’hui ont constaté que les #maladies sont la conséquence d’une #malbouffe beaucoup plus que d’autres choses. Aujourd’hui, beaucoup de médecins commencent à comprendre que le meilleur moyen de guérir un cancer, c’est de bien manger, de la #nourriture saine », a raconté M.Mulliez, 87 ans, devant quelque 380 dirigeants d’entreprises, lors d’un déjeuner à Marcq-en-Baroeul (Nord).

    « Comme aujourd’hui, ça commence à se savoir (...) Tout le monde sera obligé de faire de la permaculture comme les ouvriers il y a 50 ans avaient leurs jardins potagers », a poursuivi celui qui régna jusqu’en 2006 sur un empire familial (Auchan, Boulanger, Décathlon, Leroy Merlin), créé à partir du tout premier magasin français de « hard discount ».

  • Une équipe à l’assaut des mystères du /#microbiote, du #cerveau et du système immunitaire | Institut Pasteur
    https://www.pasteur.fr/fr/journal-recherche/dossiers/equipe-assaut-mysteres-du-microbiote-du-cerveau-du-systeme-immunitaire

    Bon nombre de vies ont été sauvées sur des gestes aujourd’hui aussi anodins que se laver les mains ou encore stériliser les instruments chirurgicaux en milieu hospitalier.

    Beaucoup de #maladies infectieuses (tuberculose, rage, rougeole, variole, poliomyélite) connaissent une baisse vertigineuse. A l’inverse, ce sont progressivement les #maladies_inflammatoires (#allergies, diabète, sclérose en plaque) qui explosent. « C’est comme si il y avait un prix à payer pour s’être (presque) débarrassés des #infections », s’étonne Gérard Eberl. La théorie de l’#hygiène suppose que l’équilibre du microbiote pourrait être perturbé par l’absence de certains #microbes. « En recherche clinique, on le constate déjà : plus un enfant est exposé aux #antibiotiques tôt dans la vie, plus il sera sujet aux allergies et aux maladies inflammatoires, proportionnellement aux taux d’antibiotiques utilisés », rappelle Gérard Eberl.

    Les allergènes seraient donc beaucoup plus virulents sur un sujet qui n’aurait pas été exposé à certains microbes tôt dans la vie. Ce dérèglement du microbiote intestinal pourrait avoir des conséquences diverses - y compris neurodégénératives (consulter le Grand Programme Fédérateur Microbes & Brain) - plus tard dans la vie des sujets présentant une susceptibilité accrue aux maladies inflammatoires. Alors faut-il revenir à une hygiène moins stricte avec le risque de voir ressurgir certaines maladies infectieuses ? Gérard Eberl et son équipe cherchent où placer le curseur avec une résonnance clinique immédiate : développer des méthodes préventives contre l’allergie chez les enfants confrontés à ces problèmes.

    #immunité

  • Psychiatrie : « On ne souhaite plus avoir d’hôpitaux psychiatriques remplis de personnes qui y passent leur vie », explique Agnès Buzyn
    https://www.europe1.fr/sante/psychiatrie-on-ne-souhaite-plus-avoir-dhopitaux-psychiatriques-remplis-de-pe

    Interrogée par Audrey Crespo-Mara, au micro d’Europe 1, la ministre de la #Santé assure que la baisse du nombre de lits dans les hôpitaux psychiatriques correspond à de nouvelles pratiques thérapeutiques et non à une contrainte budgétaire.

    En 20 ans, 55.000 lits ont été supprimés dans les hôpitaux psychiatriques français . Un constat qui interroge sur l’attention portée à ces malades. « On ne souhaite plus avoir d’#hôpitaux_psychiatriques remplis de personnes qui y passent leur vie. Ce sont des changements de pratique survenus il y quelques années », a expliqué jeudi Agnès Buzyn, la ministre de la Santé, interrogée par Audrey Crespo-Mara sur Europe 1.

    Soigner les gens « chez eux ». « Le traitement ambulatoire est recommandé dans beaucoup de pathologies parce qu’il permet une meilleure réinsertion des personnes », défend-elle. « Ça n’est pas parce que l’on ferme des #lits que l’on met les gens dehors, c’est que l’on a des recommandations selon lesquelles il faut traiter les gens chez eux », insiste Agnès Buzyn.

    Triste constat. La ministre assure par ailleurs que son ministère multiplie les efforts pour « redynamiser la #psychiatrie française »."C’est l’un des dossiers que j’ai pris à bras le corps en arrivant au ministère", fait-elle valoir. « Je me suis rendu compte qu’il y avait eu très peu d’investissements dans la psychiatrie en trente ans : des hôpitaux souvent délabrés, pas tous heureusement, des pratiques trop divergentes d’un hôpital à un autre. Ce n’est pas normal, il doit y avoir une harmonisation de la façon dont on prend en charge les gens », énumère #Agnès_Buzyn, qui évoque également un manque de médecins et de pédopsychiatres.

    « J’ai mis énormément d’argent sur la table, dès l’année dernière : 50 millions d’euros ont été débloqués en fin d’année. Cette année ce sera 100 millions », promet-elle.

    #austérité #accueil

    • « On assiste à un déplacement de l’hôpital psychiatrique vers la prison » s’alarmait déjà il y a dix ans le Comité consultation national d’éthique (CCNE). *
      Observatoire Internationale des prisons - Section française _
      https://oip.org/decrypter/thematiques/sante-mentale

      Plus de 20% des personnes incarcérées sont atteintes de troubles psychotiques dont 7,3% de schizophrénie et 7% de paranoïa et autres psychoses hallucinatoires chroniques.

      Au total, huit hommes détenus sur dix présentent au moins un trouble psychiatrique, la grande majorité en cumulant plusieurs parmi lesquels la dépression (40%), l’anxiété généralisée (33%) ou la névrose traumatique (20%).

      Le taux de pathologies psychiatriques est 20 fois plus élevé en prison que dans la population générale.
      Or, la prison est un milieu pathogène. Et « l’incarcération de personnes atteintes de maladies mentales graves ne peut qu’entraîner une perte de repères et de sens : perte du sens même de la peine et de l’emprisonnement » mais aussi « perte du sens même du soin et du rôle de soignant » comme le relève le CCNE.

      Pourtant, loin de remédier à ce phénomène par une réflexion sur les failles de la psychiatrie générale en milieu libre, les pouvoirs publics mettent en place des dispositifs judiciaro-sanitaires qui avalisent la présence de ces publics en prison.

      . . . . . . .

      #prison #prisons #santé_mentale #maladies_mentales #Psychiatrie #Pathologie #vases_communicants #agnès_buzyn

  • Les risques de #troubles_alimentaires révélés dès lʹenfance

    Un #poids anormalement haut ou bas dès lʹâge de deux ans augmente significativement le risque de développer, à lʹadolescence, des troubles des conduites alimentaires comme lʹ#anorexie, la #boulimie ou lʹ#hyperphagie. Cʹest ce quʹavancent des chercheurs genevois et américains.


    https://avisdexperts.ch/videos/view/9421?platform=hootsuite
    #enfance #alimentation #enfants #santé #maladie

  • Sida, un héritage de l’époque coloniale | ARTE
    https://www.arte.tv/fr/videos/051599-000-A/sida-un-heritage-de-l-epoque-coloniale

    Des scientifiques mènent une enquête au coeur de l’Afrique, à la recherche des origines du VIH. Un documentaire captivant, diffusé à l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le sida, le 1er décembre.

    Il est l’un des plus grands tueurs de la planète. Avec plus de 36 millions de morts et près de 37 millions de personnes infectées, le sida constitue à ce jour la pandémie la plus destructrice de l’histoire contemporaine. Afin de mieux la connaître, une équipe de scientifiques part sur les traces de son origine, au cœur de l’Afrique, dans l’ancien Congo belge. En parvenant à mettre la main sur d’anciens prélèvements humains contenant le virus, ils arrivent à la conclusion que la première transmission du sida – du chimpanzé à l’homme – se situe autour de l’an 1908, des décennies avant les premiers cas connus.

    Catastrophe en germe
    Les chercheurs ne s’arrêtent pas là. Ils se plongent dans l’histoire coloniale du Congo pour comprendre comment le VIH a pu se propager. Au début du XXe siècle, soucieuses de ne pas perdre la main-d’oeuvre indigène qu’elles exploitent, les autorités coloniales lancent des campagnes massives de vaccination contre la maladie du sommeil, où l’on a souvent recours à des seringues mal stérilisées. De même, la syphilis, qui se répand alors, augmente considérablement les risques de transmission du sida entre les hommes. Parallèlement, le chemin de fer se développe dans le pays car Kinshasa est une plaque tournante de l’industrie minière. Le virus devient mouvant. Lors de l’indépendance du Congo, en 1960, la pandémie couve. Dans les années 1970, les ravages successifs de la guerre civile, puis les errements du régime prédateur de Mobutu, qui ruine l’économie, créent les conditions chaotiques d’une propagation fulgurante du virus...
    Carl Gierstorfer signe un documentaire passionnant, où l’enquête scientifique se mêle à des images d’archives, parfois dures, témoignant de la cruauté et des ravages de la colonisation. Il rappelle également qu’à l’heure où les maladies infectieuses se développent dans le monde entier, les conditions d’une nouvelle pandémie sont peut-être à nouveau réunies.

    Réalisation : Carl Gierstorfer
    Pays : Allemagne
    Année : 2014

    #colonialisme #maladie

  • Quand l’#habitat #indigne menace la #santé
    https://www.allodocteurs.fr/bien-etre-psycho/environnement-et-sante/quand-lhabitat-indigne-menace-la-sante_26209.html

    Près de Paris, Fabrice, sa femme et leurs enfants vivent à cinq dans une seule pièce de 15m2. Ils paient à leur propriétaire 510 euros de loyer non déclaré. Un loyer élevé pour un appartement en mauvais état... A cause de l’humidité, des #poussières_de_plomb se dégagent des #peintures abîmées. Mais la famille n’a pas d’autre solution : son seul #revenu, c’est le #salaire d’agent d’entretien de la mère.

    La famille vit dans cette atmosphère #toxique depuis cinq ans. Mais le propriétaire refuse de mettre son logement aux normes, et se contente d’un coup de peinture de temps en temps. « Ils ont remis de la fibre par-dessus », explique Fabrice. « Ils ont repeint et, comme il y a des bulles, ça ne tient pas. Le plomb est juste derrière, donc c’est comme s’ils n’avaient rien fait du tout. Là, ça s’écroule de partout. Il n’y a rien qui tient », poursuit-il.

    L’intoxication par le #plomb engendre le #saturnisme, une #maladie qui touche essentiellement les #enfants. Lorsqu’un médecin a proposé de faire un examen poussé pour Sabrina, Sam et Yanis, le petit dernier de 20 mois, Fabrice a tout de suite accepté : « C’est là qu’on a su qu’ils avaient du plomb dans le sang. Le plus atteint, c’est Yanis, qui a 114 microgrammes par litre de sang. » C’est plus de deux fois le taux autorisé en #France.

    La Dre Mady Denantes connaît beaucoup de familles #pauvres concernées par le saturnisme. « Quand un enfant avale du plomb, ce plomb passe dans le sang. Après, il va dans le cerveau et l’intoxique. Ces enfants sont en danger. Leur cerveau est en danger. Leur développement psychomoteur sera moins bon », alerte-t-elle.

    Le saturnisme n’est pas le seul risque. A cause de l’humidité, les personnes mal-logées sont plus sujettes aux #maladies respiratoires et infectieuses. On remarque également qu’il y a beaucoup d’#accidents domestiques dans les #logements surpeuplés.

  • #Food_matters

    Food Matters examines how the food we eat can help or hurt our health. Nutritionists, naturopaths, doctors, and journalists weigh in on such topics as organic food, food safety, raw foodism, and nutritional therapy.

    J’ai regardé ce #film (sans avoir lu aucune critique au préalable, juste parce que le titre m’intriguait) :
    https://www.foodmatters.com/films
    #documentaire

    ... et je dois dire que je suis pas mal perplexe... est-ce que quelqu’un l’a vu ? Une opinion ?

    #nutrition #médecine #santé #you_are_what_you_eat #alimentation #sols #agriculture #industrie_agro-alimentaire #raw_food #crudisme #Paul_Kouchakoff #superfood #vitamines #vitamine_C #Linus_Paulin #Gerson_Therapy #maladies_cardio-vasculaires #végétarisme #industrie_pharmaceutique #big-pharma #édition_scientifique #science #dépression #santé_mentale #eau #boire #cancer #chimiothérapie #médecine_orthomoléculaire

    –---------------

    Médecine orthomoléculaire

    La médecine orthomoléculaire se propose de soigner les personnes par l’apport optimal de substances naturellement connues de l’organisme, par opposition à l’utilisation de molécules à effets thérapeutiques créées par l’humain. Cette thérapeutique n’est pas validée par la communauté médicale et est considérée comme inefficace.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9decine_orthomol%C3%A9culaire

    #Max_Gerson

    Max Gerson (18 octobre 1881 - 8 mars 1959) était un médecin américain d’origine allemande qui a développé la #thérapie_de_Gerson, un régime alimentaire comme traitement du cancer, qui prétend pouvoir guérir le cancer et la plupart des maladies chroniques dégénératives.

    Gerson a décrit son approche dans le livre A Cancer Therapy : Results of 50 Cases. The National Cancer Institute a évalué ces allégations pour conclure que ce traitement n’apportait pas de bénéfices.

    Après la mort de Gerson, sa fille Charlotte Gerson a continué de promouvoir la thérapie via la fondation « Gerson Institute » en 1977

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Max_Gerson

    Une mention est faite aussi de la #Campaign_for_the_truth_medicine, dont on trouve très peu d’info sur la toile...

  • One sixth of world’s people want to flee their home countries - World Socialist Web Site

    https://www.wsws.org/en/articles/2018/12/31/pers-d31.html

    The world is pulsing with hundreds of millions of people desperate to flee their homes under the weight of the crisis of world capitalism. According to a recent Gallup study, a sixth of the world’s adult population—some 750 million people, not including children—want to flee their home countries to escape war, poverty, conflict and disease.

    The statistics expose the devastating impact of decades of imperialist war and corporate exploitation. In the more than quarter-century since the dissolution of the Soviet Union in 1991, the ruling classes of the major powers, led by the United States, have unleashed an unprecedented wave of military plunder and social counterrevolution, killing millions and laying waste to broad swaths of the world.

    A third of the inhabitants of sub-Saharan Africa want to escape. The region, which is rich in minerals and oil coveted by French, Dutch, Belgian and American corporations, has a life expectancy of 46, while 70 percent of the population lives on less than $2 per day.

    #pauvreté #guerre #violence #migrations #réfugiés

  • #Sida, un héritage de l’époque coloniale

    Des scientifiques mènent une enquête au coeur de l’#Afrique, à la recherche des origines du VIH. Un documentaire captivant, diffusé à l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le sida, le 1er décembre.

    Il est l’un des plus grands tueurs de la planète. Avec plus de 36 millions de morts et près de 37 millions de personnes infectées, le sida constitue à ce jour la pandémie la plus destructrice de l’histoire contemporaine. Afin de mieux la connaître, une équipe de scientifiques part sur les traces de son origine, au cœur de l’Afrique, dans l’ancien Congo belge. En parvenant à mettre la main sur d’anciens prélèvements humains contenant le virus, ils arrivent à la conclusion que la première transmission du sida – du chimpanzé à l’homme – se situe autour de l’an 1908, des décennies avant les premiers cas connus.

    Catastrophe en germe
    Les chercheurs ne s’arrêtent pas là. Ils se plongent dans l’histoire coloniale du Congo pour comprendre comment le VIH a pu se propager. Au début du XXe siècle, soucieuses de ne pas perdre la main-d’oeuvre indigène qu’elles exploitent, les autorités coloniales lancent des campagnes massives de vaccination contre la maladie du sommeil, où l’on a souvent recours à des seringues mal stérilisées. De même, la syphilis, qui se répand alors, augmente considérablement les risques de transmission du sida entre les hommes. Parallèlement, le chemin de fer se développe dans le pays car Kinshasa est une plaque tournante de l’industrie minière. Le virus devient mouvant. Lors de l’indépendance du Congo, en 1960, la pandémie couve. Dans les années 1970, les ravages successifs de la guerre civile, puis les errements du régime prédateur de Mobutu, qui ruine l’économie, créent les conditions chaotiques d’une propagation fulgurante du virus...
    Carl Gierstorfer signe un documentaire passionnant, où l’enquête scientifique se mêle à des images d’archives, parfois dures, témoignant de la cruauté et des ravages de la colonisation. Il rappelle également qu’à l’heure où les maladies infectieuses se développent dans le monde entier, les conditions d’une nouvelle pandémie sont peut-être à nouveau réunies.


    https://www.arte.tv/fr/videos/051599-000-A/sida-un-heritage-de-l-epoque-coloniale
    #aids #HIV #colonialisme #colonisation #histoire #santé #maladie #film #documentaire #Congo #Congo_belge #épidémie #pandémie #singes #chimpanzé #VIS #Afrique_équatoriale_française #Cameroun #Congo_français #maladie_du_sommeil #vaccination #syphilis #déforestation #globalisation #prostitution #mondialisation #santé_publique #chasse #contamination_entre_espèces #virus

  • À lire ! Un article dans le journal #En_marche
    http://www.acsr.be/a-lire-un-article-dans-le-journal-en-marche

              Un article écrit par #Matthieu_Cornélis dans le magazine En marche à propos du #Documentaire de Aurélie B. et #Ecaterina_Vidick, Quand la mer se retire, qui a reçu récemment le Prix Ondas de la Radio International. https://www.enmarche.be/culture/musique/quand-la-mer-se-retire.htm Le documentaire est en écoute sur https://soundcloud.com/acsr_bxl/quand-la-mer-se-retire[...]

    #presse #Aurélie_B. #Maladie #Résilience

  • The Ghost of King Leopold II Still Haunts Us – Media Diversified

    https://mediadiversified.org/2015/04/20/the-ghost-of-king-leopold-ii-still-haunts-us-belgium-colonization-

    Merci Meta pour le signalement !

    In an article entitled “The Early Spread and Epidemic Ignition of HIV-1 in Human Populations” in the magazine Science in October 2014, Nuno Faria and his fellow researchers revealed the location of Ground Zero for one of the world’s most deadly infectious diseases—HIV. They discovered that HIV-1 originated in Kinshasa, the capital city of the Democratic Republic of Congo (DRC) and explain that the deadly virus spread throughout the Congo via the railroad network. HIV-1 was subsequently transmitted by Haitian professionals back to Haiti and then to the United States (1).

    Faria and colleagues presented their research findings as follows:

    Our estimated location of pandemic origin explains the observation that Kinshasa exhibits more contemporary HIV-1 genetic diversity than anywhere else. It clarifies why the oldest known HIV-1 sequences were sourced from this city and why several early cases indicative of AIDS are linked to Kinshasa (p. 57).

    #congo #léopold #massacre #génocide #colonialisme

    • ça me rappelle le livre « Les fantômes du roi Léopold » que j’avais lu il y a 20 ans...
      Les Fantômes du Roi Léopold, un #holocauste oublié

      « Le remarquable document d’Hochschild dépasse toutes les autres études sur le Congo. Il montre comment l’Europe entière - et les États-Unis - s’est rendue complice de l’holocauste perpétré par le roi Léopold sur le peuple congolais. », Nadine Gordimer.
      « Un ouvrage exceptionnel, profondément stimulant, qui m’a bouleversé comme l’avait fait en son temps Au cœur des ténèbres, et pour la même raison : parce qu’il révèle les horreurs cachées commises au Congo. Passé obscur, sur lequel Hochschild fait la lumière, c’est notre passé à tous. », Paul Theroux.
      Dans les années 1880, alors que l’Europe se lance dans la colonisation de l’Afrique, le roi #Léopold_II de #Belgique s’empare, à titre personnel, des immenses territoires traversés par le fleuve Congo, afin de faire main basse sur ses prodigieuses richesses. Réduite en esclavage, la population subit travail forcé, tortures et mutilations, au point qu’on estime à 10 millions le nombre d’Africains qui périrent. Tandis que Léopold II continue de cultiver sa réputation d’humaniste, des voix commencent à dénoncer ce crime de masse, donnant naissance au premier mouvement international de défense des droits de l’homme du XXe siècle…
      Avec une force d’évocation exceptionnelle, Adam Hochschild peint le portrait d’un roi mégalomane et décrit les combats de ses opposants, la vie des témoins - explorateurs, missionnaires - et celle des victimes. S’il révèle un épisode tragique de l’histoire contemporaine, il dissèque aussi l’ensemble du système colonial, offrant des clés indispensables à la compréhension d’une actualité dramatique.


      https://www.librairiedialogues.fr/livre/852912-les-fantomes-du-roi-leopold-un-holocauste-oublie-adam-hoch

      Ce livre m’avait profondément marquée...
      #livre

    • Et ce reportage passé sur arte sur la question #sida et #HIV, en lien avec le #colonialisme et la #colonisation :
      Sida, un héritage de l’époque coloniale

      Des scientifiques mènent une enquête au coeur de l’Afrique, à la recherche des origines du VIH. Un documentaire captivant, diffusé à l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le sida, le 1er décembre.

      Il est l’un des plus grands tueurs de la planète. Avec plus de 36 millions de morts et près de 37 millions de personnes infectées, le sida constitue à ce jour la pandémie la plus destructrice de l’histoire contemporaine. Afin de mieux la connaître, une équipe de scientifiques part sur les traces de son origine, au cœur de l’Afrique, dans l’ancien Congo belge. En parvenant à mettre la main sur d’anciens prélèvements humains contenant le virus, ils arrivent à la conclusion que la première transmission du sida – du chimpanzé à l’homme – se situe autour de l’an 1908, des décennies avant les premiers cas connus.

      Catastrophe en germe
      Les chercheurs ne s’arrêtent pas là. Ils se plongent dans l’histoire coloniale du Congo pour comprendre comment le VIH a pu se propager. Au début du XXe siècle, soucieuses de ne pas perdre la main-d’oeuvre indigène qu’elles exploitent, les autorités coloniales lancent des campagnes massives de vaccination contre la maladie du sommeil, où l’on a souvent recours à des seringues mal stérilisées. De même, la syphilis, qui se répand alors, augmente considérablement les risques de transmission du sida entre les hommes. Parallèlement, le chemin de fer se développe dans le pays car Kinshasa est une plaque tournante de l’industrie minière. Le virus devient mouvant. Lors de l’indépendance du Congo, en 1960, la pandémie couve. Dans les années 1970, les ravages successifs de la guerre civile, puis les errements du régime prédateur de Mobutu, qui ruine l’économie, créent les conditions chaotiques d’une propagation fulgurante du virus...
      Carl Gierstorfer signe un documentaire passionnant, où l’enquête scientifique se mêle à des images d’archives, parfois dures, témoignant de la cruauté et des ravages de la colonisation. Il rappelle également qu’à l’heure où les maladies infectieuses se développent dans le monde entier, les conditions d’une nouvelle pandémie sont peut-être à nouveau réunies.

      https://www.arte.tv/fr/videos/051599-000-A/sida-un-heritage-de-l-epoque-coloniale

      #film_documentaire #documentaire #film #épidémies #santé #maladie

    • Je viens de voir qu’il y a une « Avenue Léopold II » dans le 16e arrondissement et je me demande « quelle est la date limite » : on aurait pas idée de nommer une rue Pol Pot, Pétain, Staline ou Hitler, mais Léopold II ne pose pas de problème. Date limite, vers 1900 ?

      

      Il y a des exceptions comme Robespierre qui a ses rus en province ou en banlieue mais pas à Paris parce que c’était un personnage « assoiffé de sang » :

      Une rue Robespierre dans la capitale, par Alexis Corbière

      https://www.lemonde.fr/idees/article/2011/06/27/une-rue-robespierre-dans-la-capitale_1541487_3232.html

      ❝Une rue Robespierre dans la capitale, par Alexis Corbière

      Robespierre n’était pas au sein du Comité de salut public le personnage « assoiffé de sang » qu’un vulgaire révisionnisme historique a dépeint par la suite.

      Publié le 27 juin 2011 à 13h35 - Mis à jour le 27 juin 2011

    • @cdb_77 c’est peut-être un autre pétin ? si c’est la bonne orthographe sinon c’est Pétain

      https://www.france24.com/fr/20130409-france-derniere-rue-marechal-petain-debaptisee-belrain

      Le petit village de Belrain, dans la Meuse (Est), possédait la dernière rue en France dénommée en hommage au Maréchal-Pétain. Sur décision de ses élus, le lieu a été débaptisé et attend son nouveau nom. La dernière « rue du Maréchal-Pétain », en France, a été débaptisée.

      Seulement en 2013 !

    • • il y a une rue de Petin à Baileux, juste à côté des bières de Chimay dans le Hainaut belge,

      • il y a une rue du Petin à Verchin, sur les bords de la Lys dans le Pas-de-Calais

      • il y a un Henri Pétin (et quelques autres cf. les homonymes en haut de page)

      Henri Pétin — Wikipédia
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_P%C3%A9tin

      Henri Pétin est un homme politique français né le 16 avril 1870 à Paris et décédé le 20 janvier 1911 à La Seyne-sur-Mer (Var).

      Biographie
      Auteur de théâtre et de chansons sous le pseudonyme d’Henri de Mamers, il est aussi à la tête d’une maison de commerce en métaux à La Seyne-sur-Mer et se lance dans la construction navale. Maire de La Seyne-sur-Mer de 1904 à 1911, conseiller général, il est député du Var de 1909 à 1910, siégeant au groupe radical-socialiste.

  • Tubercolosi, aids, scabbia: ecco cosa dicono i dati sui migranti “untori”

    L’Inmp pubblica un monitoraggio sulle tre patologie, indicate come legate a un afflusso sempre maggiore di persone straniere nel nostro Paese, confutando l’ipotesi contagio.

    Dopo l’ultima inchiesta della procura di Catania su Medici senza frontiere incentrata sullo smaltimento dei rifiuti provenienti dalle navi che fanno soccorso in mare, si torna a parlare di migranti e malattie. Un legame spesso indagato e smentito da medici e ricercatori. Questa volta a smontare la bufala sui migranti “untori” ci pensa l’Inmp, l’Istituto nazionale per la promozione della salute delle popolazioni Migranti e per il contrasto delle malattie della Povertà. In particolare, l’ente pubblica sul suo sito un monitoraggio sulle tre patologie tubercolosi, Aids/Hiv e scabbia, indicate sempre più come malattie il cui contagio sarebbe causato da un afflusso sempre maggiore di persone straniere nel nostro paese.

    Per quanto riguarda la tubercolosi, spiega l’Inmp i dati del Ministero della Salute indicano come negli ultimi 15 anni il numero di casi è rimasto pressoché costante (circa 4.500 segnalazioni l’anno), a fronte di una lenta e progressiva diminuzione dell’incidenza nella popolazione generale: da 9,5 casi/100.000 abitanti nel 1995 a 7 casi/100.000 nel 2012 e 6,6 casi/100.000 nel 2016. In particolare, il tasso di incidenza (dati 2016) è inferiore a quello della media dei Paesi dell’Unione Europea (11,4) e tra i più bassi tra quelli osservati nell’Europa occidentale (superiore solo a Danimarca, Finlandia e Norvegia), secondo i dati del rapporto “Tuberculosis surveillance and monitoring in Europe 2018 – 2016 data” pubblicato dallo European Centre for Disease Prevention and Control/WHO – Regional Office for Europe.

    L’Istituto analizza separatamente i dati relativi alla popolazione straniera, rilevando un andamento altalenante: un aumento del numero assoluto da 1.652 nel 2003 a 2.310 nel 2012, una diminuzione fino al 2015 e un nuovo incremento nel 2016 (2.419 casi), in prima ipotesi da correlare al picco di arrivi nel nostro Paese osservato in quell’anno (181.436). “Tuttavia, – spiega l’Inmp – quando l’aumento dei casi viene posto in relazione con l’aumento della popolazione straniera in Italia (più che raddoppiata negli ultimi 10 anni), si nota che il tasso diminuisce anche tra gli immigrati, con valori più che dimezzati: da 99,5 per 100.000 nel 2003 a 55,3 per 100.000 nel 2012 e 48,1 per 100.000 nel 2016”. I casi sono aumentati, dunque, solo in numero assoluto e non in proporzione all’aumento del numero degli immigrati (+243% nel 2016). L’Inmp esclude, dunque un allarme per la popolazione italiana. “A tale evidenza si aggiunge la maggiore consapevolezza verso la malattia da parte del servizio sanitario nazionale – spiega l’Istituto, – che si è recentemente dotato di apposite linee guida per il controllo delle malattie alle frontiere e per il controllo della tubercolosi”

    Lo stesso vale per il virus dell’Hiv e per l’Aids. Secondo il rapporto Osservasalute 2017, tra il 2006 e il 2016 sono stati segnalati circa 35.000 nuovi casi di infezione di HIV tra gli adulti, di cui 9.705 a carico di stranieri. Tra questi ultimi, il numero assoluto delle diagnosi è andato aumentando (tra gli uomini da 322 casi nel 2006 a 676 nel 2016 e tra le donne da 251 a 461 casi), fenomeno questo correlabile sia ad una maggiore copertura del Sistema di sorveglianza sia all’incremento della popolazione straniera in Italia. “Tuttavia, va segnalato che i tassi di incidenza per l’Hiv mostrano una diminuzione tra gli stranieri inizialmente più accentuata, da 51,3 per mille nel 2006 a 27,7 per mille nel 2011. Poi più graduale, fino a un lieve incremento nel 2016 (28,5 per 100.000). Tale ultimo dato potrà essere meglio interpretato solo con un’osservazione dei trend nei prossimi anni – spiega l’Istituto, ipotizzando anche che questo possa essere legato all’emersione del fenomeno dovuta a un maggior ricorso allo screening per Hiv da parte degli operatori sanitari, più che di una ripresa dell’infezione tra i migranti. A ciò si aggiunge un decremento, negli stessi anni e tra gli stranieri, dei tassi di incidenza di Aids (malattia conclamata), probabilmente grazie all’aumentata disponibilità della terapia antiretrovirale così come alla maggiore opportunità di accesso ai servizi specialistici.

    Infine, per la scabbia l’Istituto sottolinea che si tratta di una patologia “effettivamente diffusa tra i migranti allo sbarco, come conseguenza delle condizioni di scarsa igiene e promiscuità subite nei centri di raccolta nei Paesi di partenza e transito e durante la traversata”. Dai dati raccolti dal team specialistico dell’INMP negli hotspot di Lampedusa e Trapani-Milo nel 2015-2016, su 6.188 persone visitate, il 58 per cento ha ricevuto una diagnosi di scabbia. “Tuttavia, nonostante l’elevato riscontro della diagnosi, non sono stati registrati casi di contagio tra gli operatori sanitari e, più in generale, a seguito di tutti gli sbarchi in Italia, non sono mai state segnalate epidemie tra gli italiani, a conferma” conclude l’Istituto.

    Sul tema si è espresso anche Roberto Burioni, medico ,accademico, attivo come ricercatore nel campo relativo allo sviluppo di anticorpi monoclonali umani contro agenti infettivi. Sul suo nuovo sito di divulgazione scientifica “Medical facts” parla di una ricerca inglese e danese secondo cui i migranti arrivano sani e si ammalano nei Paesi di arrivo. “I batteri resistenti agli antibiotici non li acquisiscono nei loro Paesi poveri e martoriati, dove soldi per gli antibiotici scarseggiano e le medicine vengono usate con il contagocce – spiega l’articolo a firma Roberto Burioni e Nicasio Mancini. – I batteri resistenti, tenetevi forte, i migranti li contraggono quando sono costretti a vivere, pigiati con altre centinaia di persone, in condizioni inumane in Paesi in cui i batteri resistenti agli antibiotici sono presenti in maniera molto abbondante. Indovinate qual è uno di questi Paesi? Avete indovinato: l’Italia, che non solo è un luogo di primo approdo per i migranti, ma anche un Paese (insieme alla Grecia), che primeggia in Europa per la presenza di questi pericolosissimi batteri resistenti ai farmaci. Dunque, non siamo noi che prendiamo questi pericolosi batteri dagli immigrati (le evidenze di trasmissione alle popolazioni locali sono ancora molto scarse). Ma sono i migranti che li prendono da noi”. Il paradosso – spiega il medico – è che in altri Paesi in Europa, dove il numero di batteri resistenti è molto inferiore al nostro, “sono preoccupati da chi proviene dall’Italia, perché potrebbe diffondere questi batteri – aggiunge il medico. – A proposito, a conferma di quanto emerge dallo studio, questo non vale solo per gli immigrati, vale anche per noi italiani. Ci sono nazioni in cui, se un italiano è ricoverato in ospedale, è tenuto in isolamento (potremmo quasi dire in quarantena), durante il periodo di ricovero, per il timore che possa diffondere i batteri resistenti dove non ci sono”.

    L’articolo di Burioni è stato criticato oggi dal quotidiano La Verità. Nel pezzo di apertura del giornale, dal titolo “Le balle del medico prediletto del Pd: gli italiano infettano gli immigrati”, il direttore Maurizio Belpietro accusa il medico di mistificare i contenuti della ricerca di The Lancet. “A leggere ciò che spiega il sito di Burioni, la ricerca sarebbe definitiva, – scrive Belpietro. – Peccato che già sul sito della rivista si capisca che definitiva non è, ma si tratta di una “scoperta” tutta da valutare, innanzitutto perché, come ammettono gli stessi ricercatori, basata su dati un po’ scarsi e poi perché a influire sulla diffusione dei batteri resistenti agli antibiotici non sono gli italiani, ma le “condizioni di viaggio” dei migranti per arrivare da noi”. Non si è fatta attendere la replica di Burioni che su Twitter ha scritto: “Confermo che il contenuto del nostro articolo su http://www.medicalfacts.it rappresenta una corretta e rigorosissima lettura dell’articolo citato, pubblicato su Lancet Infectious Diseases. La Verità gli fa male lo so; ma i fatti sono fatti e bisogna accettarli anche se sgraditi.

    https://www.cartadiroma.org/news/in-evidenza/tubercolosi-aids-scabbia-ecco-cosa-dicono-i-dati-sui-migranti-untori/amp/?__twitter_impression=true
    #maladies #réfugiés #préjugés #contamination #HIV #sida #scabies #tuberculeuse #asile #migrations #fact-checking

    • #Salvini: «Gli immigrati hanno il record di Tbc e scabbia»

      Il vicepremier e ministro dell’Interno leghista replica alle parole del direttore della Pediatria d’urgenza del policlinico S.Orsola di Bologna che aveva detto: "Le malattie che si pensavano debellate ma che stanno tornando non sono causate dai migranti, come qualcuno vuol far credere, ma dall’aumento della povertà”

      http://www.rainews.it/dl/rainews/articoli/Migranti-Salvini-Hanno-record-di-Tbc-e-scabbia-piu-poveri-della-media-4d674e

    • The myth that migrants spread diseases

      ‘Very low risk’ of infectious diseases being transferred from migrant population to host population in WHO European region.

      Myths that migrants spread diseases or that migration is bad for public health were dismissed recently at a special seminar at the graduate entry medical school in the University of Limerick.

      Migration and the health of refugees and migrants in particular is one of a number of issues in health where the truth is in danger of being eroded by myths and falsehoods.

      In an effort to address this the World Health Organisation (WHO) has published a new report on the health of refugees and migrants in the WHO European Region, which was launched at the special in Limerick.

      With the strapline No Public Health Without Refugee and Migrant Health, this is the first WHO report of its kind which sets out to establish the evidence and counter the many damaging myths around migrant health.

      Writing in the foreword to the report, Zsuzsanna Jakab, WHO regional director for Europe, said, refugees and migrants enjoyed the same human right to health as everyone else.

      “One key priority is enhancing social protection for refugees and migrants, including developing sustainable financial mechanisms, both nationally and internationally, to provide for universal health coverage and social protection.

      “Another key priority is reducing the xenophobia, discrimination and stigma often experienced by refugees and migrants through actions such as advocacy and evidence-informed communication with both refugee and migrant communities and host populations.”

      Misinformation surrounding migrant health can fuel stigma, allow dangerous myths to circulate unchallenged and make migrants fearful of accessing vital healthcare services.

      According to the WHO, “almost one in 10 people in the WHO European region is currently an international migrant”.

      “Finding work is a major reason why people migrate internationally, although violence, conflict, natural disasters and human rights abuses are also contributors. Migration and displacement are social determinants of health affecting the health of refugees and migrants.”
      Universal approach

      The WHO seminar in UL on refugee and migrant health was part of a series of events that took place in cities across Europe, including, Athens, Rome, Moscow, Ankara and London, and it was attended by Dr Santino Severoni of the division of policy and governance for health and wellbeing, WHO regional office for Europe.

      Speaking to the Irish Times, Dr Severoni, who oversaw the report, underlined the importance of a universal approach to public health, which he said meant ensuring access to healthcare for all regardless of ethnicity or nationality.

      Dr Severoni said there was a need to strengthen and accelerate investment in research into the public health aspect of migration, and that migration health must be discussed and considered in all aspects of population health.

      Commenting on myths surrounding migrant health, Dr Severoni said there was a lot of confusion and misinformation even among healthcare workers and policy-makers in the healthcare sector which needed to be addressed.

      “There are a number of misinformation or gaps in terms of evidence which are extremely dangerous because they can produce a stigma,” he said.

      One of the biggest myths that has been busted by the WHO report is around fears that migrants bring infectious diseases to host populations. According to the WHO report, the evidence suggests that there is “very low risk” of infectious diseases being transferred from the refugee and migrant population to the host population in the WHO European region.

      In relation to specific diseases, the WHO report found that for HIV, for example, “there is growing evidence to suggest that a significant proportion of refugees and migrants who are HIV positive, including those who originate from countries of high HIV prevalence, acquire infection after they have arrived in the region”.

      The report also points out that in Europe refugees and migrants are more likely to be diagnosed at a later stage of their HIV infection. The reasons for this include “stigma and discrimination; migrant status and fear of administrative consequences; gaps in HIV testing services among refugees and migrants; and barriers to uptake and lack of understanding of service availability”.

      Furthermore, the report highlights that the process of migration itself can “create additional vulnerable situations where infections can occur, such as exposure to sexual violence (with potential for transmission of sexually transmitted infections), substance abuse and secondary risk-taking behaviours linked to poverty, isolation and marginalisation”.
      Perilous journeys

      Commenting, Dr Severoni said one of the biggest myths around refugee and migrant health was the direct link made by too many between migrants and the spread of infectious disease. “The spreading of infectious diseases is related to certain exposure to risk and behaviour which is exactly the same for any person in our society.”

      Dr Severoni added that while the perilous journeys migrants were forced to make may increase their risk of contracting disease, for example, if they don’t have access to clean water, there was also a myth that once they arrive they are at risk of infecting the host population, and this, he said, was also untrue.

      A further myth busted by the WHO report was that the spread of disease only moves from south to north. Dr Severoni said the reality was that anyone travelling to a tropical country was at risk of contracting a tropical disease.

      In relation to non-communicable or chronic disease, the WHO found that on arrival refugees and migrants appear to be healthier and have lower prevalence rates for many non-communicable diseases compared with the host population.

      However, “prevalence rates, especially for obesity, begin to converge with longer duration of stay”, says the report.

      Dr Severoni explained that once they arrive in the host country migrants are two to three times more likely to contract a non-communicable disease compared to the resident population.

      Therefore, Dr Severoni said it was vital to ensure that the entire population including migrants and refugees had access to preventative medicine, and that a universal healthcare system was in place.

      However, he said it was important not to generalise for all non-communicable diseases as, for example, the evidence shows that while there is a reduced incidence of most cancers among migrants, this was not true for cervical cancer which is higher in migrant women, mainly due to a lack of access to screening and vaccination.
      Difficulties

      Participants at the Limerick conference on refugee and migrant health included Alphonse Basogomba. Originally from Burundi, Mr Basogomba arrived in Ireland in 2004, and spent 11 years in direct provision in Limerick. While he said he did not have personal experience of difficulties accessing healthcare, he was aware of those that did.

      Mr Basogomba said some refugees and migrants were afraid of accessing healthcare when they became unwell in the host country due to the real fear that being sick would affect their application or legal status. Unfortunately, he said that for some, the fear was so great that they did not access healthcare until it is was too late.

      “Some people fear that if they find I have this disease I won’t get my status so they hold on until it is too late.”

      Mr Basogomba also said that language difficulties and culture differences added a further layer of complexity, and acted as additional barriers for refugees accessing healthcare.

      Prof Anne McFarlane, chair of primary care healthcare research at the graduate entry medical school in the University of Limerick (UL) , is one of Ireland’s foremost experts in migrant and refugee health.

      It is testament to Prof McFarlane’s pioneering work involving migrants in health research and policy that the public and patient involvement research unit at the graduate entry medical school in the UL which she established has been designated by the WHO as one of just five collaborating centres for migrants’ involvement in health research.

      Prof McFarlane’s particular area of expertise is around the language barriers that migrants face in their host countries.

      “At the moment people are relying on family members or friends or just broken English. Language differences are cited as a barrier to healthcare across countries, healthcare systems and over time. This is a persistent problem, but it can be addressed.
      Consultations

      “We need to advocate for migrants’ basic right to have access to healthcare – the right to a communication flow in their healthcare consultations. We need to disrupt the status quo and implement trained and accredited interpreters in our healthcare system.

      “This status quo compromises healthcare in all consultations, creates clinical risks and will certainly undermine management of infectious disease and non-communicable diseases which refugees and migrants are at risk of.”

      Prof McFarlane said migration was “a global phenomenon” that was not going to go away.

      “Irish people will be familiar with migration for many of their family histories. What changes are the patterns of migration. So we do need to understand who is migrating, why are they migrating, where are they migrating from, where they are migrating to, and then it is about understanding the public health implications of that and responding to it because migrants and refugees have a right to health just like anybody else.”

      https://www.irishtimes.com/life-and-style/health-family/the-myth-that-migrants-spread-diseases-1.3913342

  • À lire ! Un article de #Matthieu_Cornélis
    http://www.acsr.be/a-lire-un-article-de-matthieu-cornelis-dans-en-marche

              Un article écrit par Matthieu Cornélis dans le magazine #En_marche à propos du #Documentaire de Aurélie B. et #Ecaterina_Vidick, Quand la mer se retire, qui a reçu récemment le Prix Ondas de la Radio International. https://www.enmarche.be/culture/musique/quand-la-mer-se-retire.htm Le documentaire est en écoute sur https://soundcloud.com/acsr_bxl/quand-la-mer-se-retire[...]

    #presse #Aurélie_B. #Maladie #Résilience

  • Une belle histoire pour changer : comment le DNDi a trouvé et développé un nouveau médicament contre la #maladie_du_sommeil.

    Drugs for Neglected Diseases initiative (DNDi) is a collaborative, patients’ needs-driven, non-profit drug research and development (R&D) organization that is developing new treatments for neglected patients.

    A doctor’s dream
    https://stories.dndi.org/sleepingsickness-doctors-dream

    #Fexinidazole, the first all-oral drug for both stages of sleeping sickness was approved in November 2018
    Here are the stories of the doctors, patients, and scientists who contributed to this story

    https://www.youtube.com/watch?v=M9tsKmK5Yms&feature=youtu.be

    #santé MSF, pas de #brevets pas de #pharma

    • Un peu de #pharma quand même, puisque Sanofi est dans le coup, et doit bien y trouver son intérêt. Lors du développement d’un médicament contre la Malaria par DNDi il y a 10 ans, Sanofi en était déjà, et on pouvait lire dans Fortune :

      Sanofi’s aim was not entirely altruistic, says Bernard Pécoul, executive director of DNDi, a doctor and public health specialist who spearheaded the antimalaria project. “It’s good for their image,” he says, “but it will also help with the penetration of these countries’ markets.”

      Mais aussi :

      […] a nonprofit organization in Geneva, Drugs for Neglected Diseases Initiative (DNDi), had figured out a way to combine the two antimalaria drugs and was looking for a corporate partner to conduct clinical trials and market and produce the drug on a large scale. “It was the marriage of both of our needs,” says Robert Sebbag, a vice president for Sanofi.

      Source : http://archive.fortune.com/2008/02/22/news/international/malaria.fortune/index.htm?section=magazines_fortuneintl

      Je me suis intéressé à DNDi à cette époque pour mon mémoire de master sur la question des communs immatériels dans la coopération internationale (inspiré alors du logiciel libre). Une interrogation, posée un peu vite en fin de chapitre : l’open source en matière de recherche médicale est-elle soluble dans les monopoles ?

      Si des fois, le texte complet est là (en espagnol). Sur les médicaments, p22-30 :
      http://gofile.me/2faRd/eKo0ig4JV

    • EMA Panel Backs First Oral-Only Drug for Deadly Disease
      https://www.medscape.com/viewarticle/905009

      Fexinidazole was developed by Sanofi-Aventis in partnership with the Drugs for Neglected Diseases initiative (DNDi), a nonprofit drug research and development organization based in Switzerland. Fexinidazole is intended exclusively for markets outside the European Union.

      [...]

      This is the tenth medicine recommended by the EMA under Article 58, a regulation that allows the CHMP to assess and give opinions on medicines that are intended for use in countries outside the European Union.

      “The scientific opinion from the CHMP helps to support regulators in countries where regulatory capacity may be limited, by providing an expert evaluation of the medicine when used in local practice. National regulators can use the CHMP’s scientific assessment to decide on the use of the medicine in their countries,” the EMA explains.

  • Tickborne diseases such as Lyme hit record highs in the U.S., CDC says
    https://www.nbcnews.com/health/health-news/tickborne-diseases-such-lyme-hit-record-highs-u-s-cdc-n935971

    The CDC said it’s not entirely clear why the number of reported cases is on the rise. “A number of factors can affect tick numbers each year, including temperature, rainfall, humidity, and host populations such as mice and other animals,” the agency said in its report on the number of new cases.

    #tiques #borrélioses #maladie_de_lyme #santé

  • World Diabetes Day: The Food System and Human Health – Food Tank
    https://foodtank.com/news/2018/11/world-diabetes-day-the-food-system-and-human-health

    The World Health Organization estimates the direct costs of diabetes at more than US$827 billion per year, globally. Sugary foods are aggressively marketed throughout the world, especially to children. And multiple studies find that these marketing efforts are especially likely to reach children of color and low-income kids. Food policies impact global sugar consumption, as well, particularly in the younger generation.

    “If we start with global dietary patterns, we know they are shifting towards the U.S. model of high meat and high calorie consumption, coupled with low fruit and vegetable consumption. With this shift, we are seeing increasing obesity and chronic diseases on the human side, and increased land and water degradation on the natural systems side,” says Dr. Michael Hamm, Founding Director of the Michigan State University Center for Regional Food Systems.

    #modèle #etats-unis #sucre #graisses_animale #diabete_sucré #maladies #sols #eau #santé

  • Uranio impoverito, la storia infinita

    Il caso «Sindrome dei Balcani» scoppia dodici anni fa. Cominciano ad ammalarsi o a morire di cancro militari italiani di ritorno dalle missioni nei Balcani. Responsabili sarebbero i bombardamenti della Nato del 1995 e 1999 su Bosnia Erzegovina, Serbia e Kosovo, con proiettili all’uranio impoverito. Cosa sta accadendo oggi in Italia e oltre Adriatico?

    Nel 2001 scoppia il caso “Sindrome nei Balcani”, con l’emergere dei primi casi di militari italiani ammalatisi o deceduti al rientro dalle missioni in Bosnia Erzegovina e Kosovo. Due paesi che erano stati bombardati dalla Nato, nel 1995 e nel 1999, con proiettili all’uranio impoverito (DU). Da allora è una battaglia: tra chi nega l’esistenza di una correlazione tra esposizione al DU e malattia, e chi sostiene il contrario con numeri di morti e malati alla mano e sentenze di condanna a carico del ministero della Difesa.

    L’uranio impoverito (#Depleted_Uranium) deriva da materiale di scarto delle centrali nucleari e viene usato per fini bellici per il suo alto peso specifico e la sua capacità di perforazione. Quando un proiettile al DU colpisce un bunker o un carro armato, vi entra senza incontrare alcuna resistenza e alla sua esplosione ad altissima temperatura rilascia nell’ambiente nano-particelle di metalli pesanti. Ad oggi, viene confermato dalla ricerca scientifica che questi proiettili sono pericolosi sia per la radioattività emanata sia per la polvere tossica che rilasciano nell’ambiente. Una “neverending story” anche per i cittadini di Bosnia, Serbia e Kosovo: nonostante il grande battage mediatico, poco si è fatto per analizzare in maniera approfondita le conseguenze di quei bombardamenti.

    Battaglia giuridica e politica

    Una sentenza dello scorso 18 marzo, emessa dalla Corte dei Conti della Regione Lazio, accoglie il ricorso presentato da un militare ammalatosi di tumore, al quale il ministero della Difesa aveva rigettato la richiesta di pensione privilegiata. Il ministero della Difesa ha rifiutato la richiesta in base al parere negativo del Comitato di verifica per le cause di servizio che ha definito la malattia del militare di tipo ereditario e non dipendente dal servizio svolto nei Balcani. Dalla sentenza della Corte laziale emergono invece due fatti: la diagnosi del Comitato è errata e la malattia è correlata alle condizioni ambientali in cui è stato prestato il servizio in Kosovo.

    Il Caporal Maggiore dell’esercito italiano, recita il testo della sentenza, “(...) aveva soggiornato presso la base militare italiana vicino a Peć/Peja e aveva svolto attività di piantonamento (...), in ambiente esterno sottoposto a intemperie e devastato dai bombardamenti; (...), aveva svolto altri servizi tra cui quello di pulizia della zona antistante la caserma, sistemazione dei magazzini, scorta al personale civile, servizi di pattugliamento consistenti in perlustrazione del territorio con mezzi militari”. Al rientro dal Kosovo il militare viene ricoverato a Milano, poi messo in congedo illimitato e ricoverato in altro centro clinico: gli viene riscontrata una linfadenopatia in diverse parti del corpo e un adenocarcinoma intestinale.

    Diverse perizie medico legali nominate nella sentenza, attestano che nei tessuti neoplasici del militare sono state trovate molte nano-particelle “estranee al tessuto biologico, che quindi testimoniano un’esposizione a contaminazione ambientale”. Tra le numerose sentenze vinte dall’avvocato Tartaglia, legale dell’Osservatorio Militare, questa è la prima che mette in correlazione la malattia ai pasti consumati nelle cucine delle mense sottoufficiali.

    “Dagli atti risulta che tutti gli alimenti distribuiti alla mensa e allo spaccio della base ove prestava servizio il ricorrente, compresa l’acqua utilizzata sia per l’alimentazione sia per l’igiene personale, erano oggetto di approvvigionamento in loco, e che era stato consentito ai militari di acquistare autonomamente carne macellata e verdure coltivate in loco” e dunque “quei luoghi dichiaratamente inquinati da DU e dalle sue micro polveri sono da porsi in rapporto etiologico con l’insorgenza della neoplasia”. Un dato certo è che la zona del Kosovo posta sotto protezione del contingente italiano è quella che nel 1999 fu più bombardata (fonte Nato/Kfor): 50 siti per un totale di 17.237 proiettili.

    “Sono 307 i militari morti e oltre 3.700 i malati, per quanto riguarda i dati di cui siamo in possesso” ha dichiarato Domenico Leggiero - portavoce dell’Osservatorio Militare - a Osservatorio Balcani e Caucaso (Obc), raccontando di tutti i recenti sforzi per ottenere risposte dalle rappresentanze politiche ai diversi problemi irrisolti. Il 9 maggio, Leggiero ha incontrato un gruppo di deputati e senatori del Movimento 5 Stelle e il 3 giugno è stato il turno dell’incontro della delegazione formata da Leggiero, familiari di militari deceduti e militari ammalati con Domenico Rossi, indicato da Scelta Civica quale parlamentare di riferimento per la questione uranio impoverito. Incontri importanti, dice Leggiero: “Perché per la prima volta abbiamo avuto incontri ufficiali con forze politiche che hanno deciso di affrontare a fondo la questione e proposto una strategia per chiarire definitivamente il nesso tra le malattie e il DU, oltre a lavorare su normative apposite per sostenere i malati dal punto di vista dell’assistenza sanitaria ed economica”.

    L’intento degli incontri è anche risollevare l’attenzione dell’opinione pubblica sulla «Sindrome dei Balcani» che, secondo i dati dell’Osservatorio, continua a mietere vittime. Per questo, lo scorso 5 giugno, davanti a Montecitorio, hanno manifestato quasi duecento persone tra militari ed ex-militari ammalati, familiari e rappresentanti di associazioni. Racconta Leggiero a Obc: “Un pomeriggio intenso. Abbiamo proiettato video del Pentagono, fatto conoscere al pubblico le sentenze e distribuito documenti sul tema DU, resi pubblici in tutto il mondo eccetto che in Italia". Aggiunge inoltre che non hanno ancora ottenuto l’incontro richiesto con la presidente della Camera, Laura Boldrini, e non hanno ottenuto risposta da PD, Pdl e Fratelli d’Italia. Ma Scelta Civica e Movimento 5 Stelle hanno assicurato che si terrà presto una seduta ad hoc in Commissione difesa. Presenti Il deputato Domenico Rossi che ha ribadito il forte impegno personale e di Scelta Civica «per sciogliere i nodi fondamentali di questa vicenda», ma anche il deputato Matteo Dell’Osso del M5S, membro della Commissione affari sociali che ha incontrato alcune vittime del DU o loro familiari.

    Concludeva in maniera netta il testo del comunicato stampa dell’iniziativa: “I loro diritti sono affidati alla magistratura e sono 17 le sentenze di condanna per l’amministrazione della Difesa in vari ordini di giudizio. Tar, tribunali civili, corte dei conti di varie zone d’Italia indicano l’uranio come colpevole delle malattie dei militari e condannano l’amministrazione perché sapeva ed aveva taciuto i pericoli”. I militari, ma anche civili che hanno operato nei Balcani, si sono rivolti agli avvocati per non aver ottenuto dallo stato il riconoscimento della causa di servizio e gli indennizzi per i quali era stato istituito un fondo di 30 milioni di euro con la legge finanziaria del 2008. Come emerge dalla relazione finale della terza Commissione d’inchiesta sul DU, approvata lo scorso 9 gennaio, ad oggi sono pochissime le domande prese in esame e accolte.
    DU che appare e scompare

    Hadžići, località a 27 km da Sarajevo, è uno dei siti bosniaci maggiormente bombardati dalla Nato con proiettili al DU nell’estate del 1995. Con la fine della guerra, circa 5.000 abitanti, tutti serbo-bosniaci, sfollano nella cittadina di Bratunac che gli accordi di pace di Dayton attribuiscono alla Republika Srpska, una delle due entità della Bosnia Erzegovina.

    Agli inizi degli anni duemila la primaria dell’ospedale di Bratunac, Slavica Jovanović, aveva rilevato un allarmante numero di morti per tumore tra i cittadini provenienti da Hadžići. “Era stata inascoltata, aveva denunciato che in città i morti per tumore tra gli sfollati di Hadžići erano quattro volte superiore al resto della popolazione” ha dichiarato lo scorso 31 marzo, all’agenzia tedesca Deutsche Welle, Jelina Đurković. La Đurković, che nel 2005 presiedeva la Commissione di indagine governativa della Bosnia Erzegovina sulle conseguenze dei proiettili al DU, sottolinea infine che nel rapporto della Commissione erano stati inseriti i dati sulle conseguenze del DU e il dettaglio delle azioni da perseguire per risolvere alla radice il problema, ma nulla è stato messo in atto.

    Riguardo agli sfollati di Hadžići è intervenuto sulla Deutsche Welle anche il vicesindaco di Bratunac: “Sono circa 800 i morti per tumore, in base ai dati che abbiamo ricevuto dalle autorità ospedaliere ed ecclesiastiche dove viene registrata la causa del decesso”. Di diverso avviso Irena Jokić, a capo del Servizio di medicina sociale dell’Istituto sanitario della Federazione della Bosnia Erzegovina, intervistata da Dnevni List lo scorso 19 aprile: “Nel 2008 abbiamo analizzato i dati sanitari degli abitanti di Hadžići per valutare se vi era un aumento di malattie neoplasiche. Non abbiamo rilevato un aumento significativo rispetto alla media nazionale”. La Jokić dichiara inoltre che l’analisi è stata ripetuta nel 2010 ed è emerso un aumento medio in linea con i due anni passati, che era stato dello 0.5% nel 2008 e 0.1% nel 2009. Conclude che non è possibile asserire con certezza il nesso tra affezioni tumorali ed esposizione all’inquinamento provocato dai proiettili al DU ma - aggiunge - che se con la fine della guerra si fossero avviate ricerche scientifiche ed epidemiologiche accurate, oggi avremmo la risposta alla domanda.

    Sempre rispetto a Hadžići, durante recenti operazioni di sminamento sono stati ritrovati proiettili al DU nei pressi di una delle fabbriche dell’area pesantemente bombardata nel 1995. La notizia è stata data dal quotidiano bosniaco Dnevni Avaz il 18 maggio. E’ stato richiesto l’immediato intervento dell’Agenzia nazionale per la sicurezza radioattiva e nucleare (DARNS - Državna regulatorna agencija za radijacijsku i nuklearnu sigurnost), il cui direttore Emir Dizdarević ha dichiarato: “I nostri ispettori sono intervenuti subito sul luogo e dopo aver verificato con le apparecchiature l’esistenza dei proiettili hanno dato agli sminatori tutte le istruzioni su come raccoglierli, poi li abbiamo stoccati”.

    Anche Bećo Pehlivanović, professore ordinario di Fisica dell’Università di Bihać, ha parlato del problema del territorio contaminato. Sulle pagine del Dnevni Avaz dello scorso 27 maggio ha dichiarato: “Purtroppo non è mai stata fatta un’analisi accurata, perché mancano i fondi e le necessarie attrezzature”. Pehlivanović ha inoltre aggiunto che sono stati ritrovati di recente resti al DU in territori non inclusi nelle liste Nato: “Abbiamo indizi che il territorio sia contaminato anche nella regione della Krajina bosniaca, vicino alla città di Ključ”. Un problema che oltretutto si trascinerà nel tempo: "I resti di queste munizioni al DU sono tossici e con un’emivita, cioè tempo di dimezzamento, di circa 4.5 miliardi di anni” ha concluso.
    Montagne di scorie e tumori in aumento

    Anche in Serbia il tema degli alti quantitativi di scorie raccolte negli interventi di bonifica dei terreni bombardati dalla Nato nel 1999, è stato al centro dell’attenzione dei media di quest’anno. Oltre a questo, sono emerse denunce delle associazioni di ex-militari dell’esercito serbo che si trovavano nei pressi dei siti bombardati, di alti numeri di mortalità tra i reduci. Mentre alcuni media, come il quotidiano Politika, continuano ad offrire notizie sull’andamento dei procedimenti giudiziari avviati dai militari italiani.

    Il 29 marzo sul media online Srbija Media viene pubblicata la lista delle località bombardate nel 1999 e poi bonificate, rese note dal generale in pensione e specialista in difesa da attacchi atomico-biologico-chimici, Slobodan Petković. “Erano zone pericolose per l’eco-sistema e per le persone, così nei primi cinque anni dopo il bombardamento è stata fatta la decontaminazione di cinque zone: a nord di Vranje, a sud e sudovest di Bujanovac, a Bratoselce e Reljan entrambi nella zona della città di Preševo”.

    La mappatura dei luoghi contaminati era stata fatta, subito dopo il conflitto, dall’esercito serbo in collaborazione con altre istituzioni del paese, come l’Istituto di scienze nucleari Vinča di Belgrado. Il direttore dell’ente nazionale di stoccaggio JP Nuklearni objekti, Jagoš Raičević, spiega i motivi: “Considerata la pericolosità, si doveva iniziare subito la bonifica. Ma all’inizio la Nato ci mandò delle mappe, non so se per volontà o meno, sbagliate. Alcuni dei siti da loro segnalati non erano stati toccati dai bombardamenti, mentre abbiamo trovato proiettili al DU in luoghi che non risultavano nella lista della Nato”.

    Il generale Slobodan Petković racconta che quei territori sono stati ripuliti, i resti di proiettili radioattivi sono stati stoccati e le decine di tonnellate di terra contaminata sotterrate in luoghi posti sotto sorveglianza. Un “cimitero” di DU che allarma: “I resti dei proiettili sono stati inseriti in sacchi di plastica e container appositi, poi messi nel deposito di materiale radioattivo dell’Istituto Vinča”. Esattamente nei sotterranei del palazzo numero 4 a soli 12 chilometri da Belgrado. Risale solo alla fine del 2011 lo spostamento delle scorie in luogo più sicuro, quando è stato aperto nelle vicinanze un deposito costruito in base a standard europei, definito dal media serbo Radio B92 il più grande deposito di materiale radioattivo d’Europa. Slobodan Čikarić - presidente dell’Associazione nazionale contro il cancro - conclude allarmato, sulle pagine di SMedia: “E’ materiale che ha bisogno di miliardi di anni per divenire inerte. In caso di terremoto, alluvione o incendio di grandi proporzioni... siamo a poca distanza dalla capitale, abitata da due milioni di abitanti!”.

    Ad aprile l’attenzione dei media viene attratta anche da altri due aspetti: il dato nazionale sui malati di tumore e l’alto numero di reduci dell’esercito che, secondo alcune associazioni, si sarebbero ammalati a causa dell’esposizione al DU. Il quotidiano serbo Blic del 14 aprile ha aperto con i dati dell’Istituto per la Salute pubblica Batut: nell’ultimo decennio i malati di leucemia e linfoma sono aumentati del 110 per cento, mentre il numero dei morti per le stesse affezioni è salito del 180%. Sullo stesso giornale è intervenuto Slobodan Čikarić, presidente dell’Associazione nazionale contro il cancro: “Abbiamo analizzato l’andamento dei tumori maligni nel paese tra il 2010 e il 2011. Oltre al dato denunciato dall’Istituto Batut, posso aggiungere che c’è stato un aumento di tumori solidi del 20%”. E prevede un aumento nel prossimo anno: “Perché il tempo di latenza delle affezioni cancerogene solide da uranio impoverito è di 15 anni, mentre è di 8 anni per le leucemie e i linfomi. Infatti, questi ultimi hanno avuto un picco nel 2006”.

    Il 2 maggio, il quotidiano Večernje Novosti apre con il titolo “L’uranio della Nato uccide i veterani”. La denuncia è di Dušan Nikolić, presidente dell’associazione degli ex-militari della città di Leskovac: ”Solo negli ultimi tre mesi, nella nostra municipalità sono morti più di cento reduci della guerra. Si tratta per lo più di militari che hanno operato in Kosovo, di un’età che va dai 37 ai 50 anni. Il 95% è morto di cancro”. Nikolić spiega che ha scoperto i dati grazie alle denunce dei familiari degli ex-militari deceduti, i quali si sono rivolti all’associazione per cercare di ottenere il riconoscimento della causa di servizio. Saša Grgov, primario di medicina interna del Servizio sanitario della città, aggiunge: “E’ possibile, considerato che il numero di tumori in città è in crescita. Sebbene il Servizio sanitario non stia facendo un monitoraggio specifico sulla categoria dei reduci che hanno operato in zone contaminate da DU”.

    Secondo Predrag Ivanović, presidente dell’Unione delle vittime militari di guerra, la situazione dei reduci di Leskovac è stata pompata per interessi interni all’associazione che li rappresenta. Sebbene dichiari, per il quotidiano Vesti del 4 maggio, che il problema esiste: “Anche le nostre informazioni indicano che è in crescita il numero dei malati di cancro tra coloro che hanno partecipato al conflitto. Ma purtroppo non abbiamo un numero nazionale esatto, perché ancora oggi nessuno sta facendo una specifica raccolta dei dati“.

    In sintesi, dall’Italia ai Balcani, un panorama di cui non si vede ancora l’orizzonte. Né per i militari italiani - e le centinaia di civili volontari delle organizzazioni umanitarie - né per i cittadini di Bosnia Erzegovina, Serbia e Kosovo.

    https://www.balcanicaucaso.org/aree/Bosnia-Erzegovina/Uranio-impoverito-la-storia-infinita-137168
    #Italie #uranium_appauvri #syndrome_des_balkans #résistance #ex-Yougoslavie #guerre #santé #maladie #OTAN #justice #post-conflit #nucléaire

    ping @wizo @albertocampiphoto

  • « #Bébés_sans_bras » : « Ce n’est pas la panique, mais on voudrait être rassurés »

    Onze nouveaux cas « suspects » d’#agénésie_transverse ont été annoncés dans l’#Ain, mardi, par les autorités. Ils s’ajoutent aux sept cas déjà recensés. « Libé » est allé à la rencontre des habitants des communes concernées, qui s’interrogent sur ce phénomène.


    https://www.liberation.fr/france/2018/11/01/bebes-sans-bras-ce-n-est-pas-la-panique-mais-on-voudrait-etre-rassures_16
    #malformations #maladie

  • Le chômage tue entre 10 000 et 20 000 personnes par an en France
    https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/chomage/le-chomage-tue-entre-10-000-et-20-000-personnes-par-an-en-france_858235

    L’étude met en évidence une « surmortalité très importante » chez les chômeurs, presque trois fois supérieure à celle des non-chômeurs. Le chômage a notamment « des effets majeurs sur la survenue d’accidents cardiovasculaires et de pathologies chroniques ».

    « Ces effets sont bien liés à la condition de chômeur, parce que les retraités ou les personnes volontairement inactives ne sont pas touchées », précise le professeur Meneton. Les chômeurs ont des « comportements à risque », explique-t-il. En moyenne, « ils consomment plus d’alcool, moins de fruits et de légumes, et ont un apport calorique (hors alcool) très significativement plus élevé que la moyenne ».

    #chômage #santé

  • The smartphone app that can tell you’re depressed before you know it yourself - MIT Technology Review
    https://www.technologyreview.com/s/612266/the-smartphone-app-that-can-tell-youre-depressed-before-you-know-i

    A startup founded in Palo Alto, California, by a trio of doctors, including the former director of the US National Institute of Mental Health, is trying to prove that our obsession with the technology in our pockets can help treat some of today’s most intractable medical problems: depression, schizophrenia, bipolar disorder, post-traumatic stress disorder, and substance abuse.

    Mindstrong Health is using a smartphone app to collect measures of people’s cognition and emotional health as indicated by how they use their phones. Once a patient installs Mindstrong’s app, it monitors things like the way the person types, taps, and scrolls while using other apps. This data is encrypted and analyzed remotely using machine learning, and the results are shared with the patient and the patient’s medical provider.

    The seemingly mundane minutiae of how you interact with your phone offers surprisingly important clues to your mental health, according to Mindstrong’s research—revealing, for example, a relapse of depression.

    The seemingly mundane minutiae of how you interact with your phone offers surprisingly important clues to your mental health, according to Mindstrong’s research—revealing, for example, a relapse of depression.❞

    For now, Insel says, the company is working mainly with seriously ill people who are at risk of relapse for problems like depression, schizophrenia, and substance abuse. “This is meant for the most severely disabled people, who are really needing some innovation,” he says. “There are people who are high utilizers of health care and they’re not getting the benefits, so we’ve got to figure out some way to get them something that works better.” Actually predicting that a patient is headed toward a downward spiral is a harder task, but Dagum believes that having more people using the app over time will help cement patterns in the data.

    There are thorny issues to consider, of course. Privacy, for one: while Mindstrong says it protects users’ data, collecting such data at all could be a scary prospect for many of the people it aims to help. Companies may be interested in, say, including it as part of an employee wellness plan, but most of us wouldn’t want our employers anywhere near our mental health data, no matter how well protected it may be.

    #Données_médicales #Maladie_mentale #Surveillance #Algorithmes_prédictifs #Hubris_scientifique

  • Inquiétude pour des réfugiés syriens à la frontière jordanienne

    Des milliers de #réfugiés_syriens du camp de #Roukbane, à la frontière entre la Syrie et la #Jordanie, ne reçoivent plus de #ravitaillement depuis plus d’une semaine, s’inquiètent jeudi les organisations humanitaires. Côté syrien, l’armée de Bachar el-Assad qui a chassé les insurgés de la région a coupé les voies d’accès au camp pour mettre fin à la #contrebande. Côté jordanien, les autorités bloquent depuis le début de l’année les livraisons de l’aide internationale à Roukbane, qui abrite environ 50.000 réfugiés, en majorité des femmes et des enfants.

    « Il y a plus d’une semaine, le régime syrien a bloqué les routes vers le camp, où n’arrivent plus que de très petites quantités de vivres de contrebande », a expliqué à Reuters l’un des responsables du camp, Abou Abdallah. « La situation est explosive en raison de la #faim et des #maladies (...) La #famine menace », a-t-il ajouté. Les Jordaniens, pour leur part, estiment qu’ils n’ont plus à se charger de l’aide aux réfugiés puisque les forces gouvernementales syriennes ont repris le contrôle des environs du camp.

    Les agences des Nations unies exhortent Amman à autoriser de nouveau le passage de l’aide internationale. Le directeur régional de l’Unicef, Geert Cappelaere, a dit craindre pour la vie de milliers d’enfants à l’approche de l’hiver. Ces dernières quarante-huit heures, deux enfants sont morts à Roukbane, a-t-il ajouté. Une femme est également morte dans le camp cette semaine.

    https://www.lorientlejour.com/article/1138416/inquietude-pour-des-refugies-syriens-a-la-frontiere-jordanienne.html
    #Camp_de_réfugiés #frontières