• #Manif10octobre #Nantes #GameOfTags : « nos vies nos combats »
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    ValK. a posté une photo :

    Manifestation unitaire pour la Fonction Publique, contre la Loi Travail XXL et l’État d’Urgence permanent, Nantes le 10 octobre 2017. Suivi en direct par Radio Cayenne sur nantes.indymedia.org/articles/38758 Rappel, mes photos sont pour la lutte et les #médiaslibres, pas permettre aux mainstream ou réseaux sociaux de se faire du blé... merci !

  • #Manif10octobre #Nantes #GameOfTags: „voià Edouard quand on veut pas discuter“
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    Manifestation unitaire pour la Fonction Publique, contre la Loi Travail XXL et l’État d’Urgence permanent, Nantes le 10 octobre 2017. Suivi en direct par Radio Cayenne sur nantes.indymedia.org/articles/38758 Rappel, mes photos sont pour la lutte et les #médiaslibres, pas permettre aux mainstream ou réseaux sociaux de se faire du blé... merci !

  • Reçu via la mailing-list Migreurop (envoyé par Pascaline Chappart) :

    Deux articles où il est question d’évacuation depuis les centres de détention libyens vers le #Niger, en vue d’une réinstallation en Europe...

    – « Un pont aérien pour les réfugiés », les Echos du 30/8/2017 : "Avramopoulos demande aussi le soutien des Etats-membres pour le plan de l’UNHCR de « procéder temporairement à une #évacuation d’urgence des groupes de migrants les plus vulnérables de la #Libye vers le #Niger et d’autres pays de la région ».

    – Le Monde, 22/9/2017 :Vincent Cochel, responsable de la situation en mer Méditerranée

    "Pour accélérer l’amélioration de la situation, nous oeuvrons à la création de centres ouverts de réception qui pourraient être installés en Libye. Il y a urgence compte tenu des conditions existantes
    dans les centres de détention. Le dossier avance, mais n’est pas bouclé. Ces centres nous permettront également d’évacuer en urgence certains réfugiés vers des pays tiers en vue de leur transfert dans des pays européens ou autres. Cependant, sans clarification rapide des intentions chiffrées des pays de réinstallation, nous ne pourrons pas évacuer ces réfugiés en danger vers des pays de transit susceptibles de les accueillir temporairement."

    –---------------------

    Migrants : « La France doit clarifier au plus tôt la hauteur de son engagement »

    Vincent Cochetel, responsable de la situation en mer Méditerranée pour l’Agence des Nations unies
    chargée des réfugiés, dénonce la faiblesse des réinstallations d’exilés en Europe.
    LE MONDE | 22.09.2017 à 11h19 | Propos recueillis par Maryline Baumard (/journaliste/maryline-baumard/)

    Après les annonces estivales d’Emmanuel Macron, qui propose d’ouvrir une voie légale d’accès en
    France pour éviter la traversée de la Méditerranée, Vincent Cochetel, l’émissaire spécial pour cette
    zone de l’Agence des Nations unies chargée des réfugiés (UNHCR), s’impatiente de l’absence
    d’engagement chiffré.
    Emmanuel Macron a annoncé en juillet que la France irait chercher des Africains sur les
    routes migratoires, avant leur arrivée en Libye, afin d’éviter qu’ils ne risquent la mort en mer.

    Le HCR se réjouit-il de cette initiative ?
    La réinstallation n’est pas la solution au problème migratoire, mais elle fait partie de l’approche
    globale… Ce message, qui consiste à aller chercher des réfugiés dans les pays voisins de zones de
    conflits et à leur offrir un avenir, une protection, a été plus ou moins entendu lorsqu’il s’agit des
    Syriens réfugiés au Liban, en Jordanie ou en Turquie, il ne l’était pas à ce jour pour les réfugiés
    africains.
    Nous nous réjouissons que la France organise des opérations avec notre soutien depuis le Tchad et
    le Niger. La situation est difficile sur ces deux zones, puisque le Tchad accueille un nombre
    important de réfugiés venus du Soudan (Darfour) ou de Centrafrique, et que le Niger reçoit ceux qui
    fuient les zones où sévit Boko Haram, mais aussi sur le Mali, où la situation actuelle nous inquiète.

    Quel rôle jouez-vous au Tchad et au Niger ?
    Nous gérons, avec les autorités, les camps de réfugiés dans les quinze pays qui longent la route
    migratoire des Africains que nous retrouvons ensuite en Libye. Les Etats y accordent une protection
    internationale et nous les assistons, ainsi que nos partenaires ONG, dans les services qu’ils offrent
    à ces populations fragilisées. Dans chaque pays, nous établissons une liste de personnes
    vulnérables qui nécessitent un transfert. Elle est de 83 500 au Tchad et de 10 500 au Niger, les deux
    pays dans lesquels la France projette de venir chercher des Africains pour les réinstaller. En plus,
    nous aimerions que la France et d’autres pays acceptent d’accueillir des réfugiés que nous voulons
    évacuer en urgence de Libye.

    Vous aimeriez que les pays européens en réinstallent 40 000, sélectionnés dans vos listes…
    La France vous a-t-elle fait part de quotas chiffrés d’Africains qu’elle souhaite accueillir ?
    Pas à ce jour. Aussi nous demandons au gouvernement français de clarifier au plus tôt la hauteur de
    son engagement. Le comptage des réinstallations déjà effectuées depuis ces zones est assez
    rapide. En 2015 et en 2016, aucun réfugié africain n’a été transféré depuis le Niger et un seul l’a été,
    vers la France, en 2017. Lorsque l’on s’intéresse au Tchad, 856 ont été réinstallés en 2015, 641
    en 2016 et 115 en 2017. Presque aucun vers l’Europe ; la plupart ont été accueillis au Canada ou
    aux Etats-Unis.

    Comment allez-vous travailler avec la France ?
    Nous commencerons par envoyer à l’Office français de protection des réfugiés et apatrides [Ofpra]
    une liste de dossiers de personnes vulnérables sélectionnées par nos soins comme devant de toute
    urgence rejoindre l’Europe. Leur cas sera d’abord analysé à Paris. L’Ofpra les étudiera du point de
    vue des critères de l’asile, et des spécialistes vérifieront les questions de sécurité et si toutes les
    conditions sont réunies. Ensuite, les équipes françaises de l’Ofpra entendront sur place les
    personnes sélectionnées. Ces entretiens pourront avoir lieu dans nos locaux avec éventuellement
    nos interprètes. Pendant que la France préparera leur accueil, une sensibilisation culturelle sur le
    pays leur sera prodiguée, afin qu’elles disposent d’emblée de quelques éléments de contexte.
    Emmanuel Macron a décidé d’intervenir au Niger et au Tchad, mais rêve dans le fond de
    travailler plus directement avec la Libye. Ce que fait ou tente de faire le HCR…
    Il faut que les Etats européens arrêtent de se bercer d’illusions sur les possibilités actuelles de
    travailler avec ce pays. Notre rôle à nous, agence de l’ONU, y reste malheureusement très limité.
    Même lorsque nous sommes présents dans les prisons officielles, où entre 7 000 et 9 000 migrants
    et demandeurs d’asile sont emprisonnés, sur 390 000 présents dans le pays. D’autres subissent des
    traitements inhumains dans des lieux de détention tenus par des trafiquants. Dans les prisons
    « officielles », nous n’avons pour l’instant l’autorisation de nous adresser qu’aux ressortissants de
    sept nationalités (Irakiens, Palestiniens, Somaliens, Syriens, Ethiopiens s’ils sont Oromos,
    Soudanais du Darfour et Erythréens). Ce qui signifie que nous n’avons jamais parlé à un Soudanais
    du Sud, à un Malien, à un Yéménite, etc.
    L’Organisation internationale pour les migrations a assisté cette année plus de 3 000 personnes
    arrivées en Libye afin de leur permettre de rentrer chez elles. Nous croyons que cette solution est
    très utile pour nombre d’entre elles. Il faut garder à l’esprit que 56 % des migrants en Libye disent
    avoir atteint leur destination finale. Ils espéraient y trouver du travail, ce qui ne s’est pas matérialisé
    pour beaucoup d’entre eux.
    Pour accélérer l’amélioration de la situation, nous oeuvrons à la création de centres ouverts de
    réception qui pourraient être installés en Libye. Il y a urgence compte tenu des conditions existantes
    dans les centres de détention. Le dossier avance, mais n’est pas bouclé. Ces centres nous
    permettront également d’évacuer en urgence certains réfugiés vers des pays tiers en vue de leur
    transfert dans des pays européens ou autres. Cependant, sans clarification rapide des intentions
    chiffrées des pays de réinstallation, nous ne pourrons pas évacuer ces réfugiés en danger vers des
    pays de transit susceptibles de les accueillir temporairement.

    Un pont aérien pour les réfugiés
    Les Echos, 30 août 2017
    https://www.lecho.be/economie-politique/europe-general/Un-pont-aerien-pour-les-refugies/9927215?ckc=1&ts=1507288383

    La Commission demande aux États membres de se montrer solidaires envers les Africains : jusqu’à 37.700 réfugiés pourraient rejoindre l’Europe en avion, en direct de Libye, d’Egypte, du Niger, d’Éthiopie et du Soudan.
    Dans la crise de la migration, l’attention européenne se porte de plus en plus vers le flux de migrants qui tentent la traversée vers l’Italie à partir de l’Afrique du Nord et de la corne de l’Afrique, via la Libye. Dans une lettre envoyée vendredi dernier à tous les ministres des États membres, le commissaire européen à la Migration, Dimitris Avramopoulos, demande un doublement des efforts de réinstallation, ce qui porterait à 40.000 le nombre de réfugiés accueillis en Europe.

    Le commissaire européen à la Migration demande un doublement des efforts de réinstallation.
    Le pont aérien ne devrait pas se limiter aux pays voisins de la Syrie. Avramopoulos demande également que l’on accueille les réfugiés qui ont besoin de la protection internationale le long de la route de l’Europe centrale. Il demande « que l’on concentre la réinstallation au départ de l’Egypte, la Libye, le Niger, l’Éthiopie et le Soudan ».
    C’est au Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés, l’UNHCR, qu’il reviendra de définir le profil des migrants qui pourront être pris en considération pour une réinstallation en Europe. Avramopoulos demande aussi le soutien des Etats-membres pour le plan de l’UNHCR de « procéder temporairement à une évacuation d’urgence des groupes de migrants les plus vulnérables de la Libye vers le Niger et d’autres pays de la région ».
    Les États membres ont jusqu’à la mi-septembre pour annoncer leurs plans. Ils ne sont pas obligés de participer à ce pont aérien. Le cadre européen de réinstallation travaille sur base d’engagements volontaires. La Commission européenne offre cependant une aide financière non négligeable de 10.000 euros par réfugié, pour un budget total de 377 millions d’euros.

    « J’ai toujours défendu le principe de réinstallation. La Belgique est prête à faire sa part. Il y a cependant une condition cruciale. La migration sûre et légale, via la réinstallation ne pourra se faire que si l’on met fin à l’asile après une migration illégale. »
    Theo Francken Secrétaire d’État à la Migration

    Vers une nouvelle controverse sur la solidarité ?
    Au cours de l’été 2015, la Commission avait déjà lancé un cadre commun pour l’UE portant sur l’acheminement direct de 22.000 réfugiés, au départ des pays voisins de la Syrie. Objectif : éviter les traversées dangereuses vers la Grèce.
    Aujourd’hui, 17.000 réfugiés – dont plus de 7.800 Syriens acheminés à partir de la Turquie dans le cadre de la convention entre l’Europe et la Turquie – ont effectivement bénéficié du pont aérien vers l’Europe au départ des pays voisins de la Syrie.
    Les diplomates européens craignent que cette nouvelle proposition ne provoque une nouvelle controverse sur la solidarité dans le cadre de la crise de la migration. La concentration sur l’Afrique et la route centrale via la mer Méditerranée pourrait avoir du mal à passer. Car elle donne l’impression que l’Europe essaie de reproduire l’accord avec la Turquie, mais dans une Libye dangereuse, instable et imprévisible. Une solution que le président du parlement européen, Antonio Tajani, défend ouvertement.
    Par ailleurs, la route entre la Libye et l’Italie est surtout utilisée par des migrants économiques, qui ne sont en principe pas éligibles pour l’asile. C’est pourquoi les efforts européens de ces derniers mois se sont surtout concentrés sur le renvoi de ces migrants dans leur pays, et l’arrêt des flux migratoires.
    Malgré tout, l’Allemagne, la France, l’Italie et l’Espagne ont déjà répondu à l’appel. Lors du mini-sommet qui s’est tenu lundi à Paris, les chefs de gouvernement de ces quatre pays ont promis, non seulement un soutien supplémentaire aux pays du Sahel afin de fermer la route vers la Libye, mais aussi davantage de solidarité lors de la réinstallation en Europe des personnes ayant droit à l’asile.
    Theo Francken, secrétaire d’État à la Migration, soutient Avramopoulos. « J’ai toujours défendu le principe de réinstallation. La Belgique est prête à faire sa part. Il y a cependant une condition cruciale. La migration sûre et légale, via la réinstallation ne pourra se faire que si l’on met fin à l’asile après une migration illégale. »
    Source : L’Echo

    #réinstallation #asile #migrations #réfugiés #centres_de_transit

  • Comment la France voyait internet en 1997 | Slate.fr
    http://www.slate.fr/story/136043/rapport-internet-france-1997

    Certains préfèrent se connecter dans des cyber-cafés qui commencent à apparaître. Un article du Monde daté de mars 1996 explique que, contre 40 francs (8 euros aujourd’hui), on peut profiter d’un petit-déjeuner avec pain, croissant, café et une demi-heure de connexion sur un ordinateur « relié à Internet par une ligne spécialisée à haut débit (64 kbps) ». À Paris, une demi-heure dans un cyber-café revient alors à une trentaine de francs (environ 6 euros).

    Mais on se connecte à quoi ? Pour faire vos recherches, oubliez Google, il ne naîtra que l’année suivante. Alors, on passe par « Yahoo !, Excite, Infoseek, Echo (ex-Voila) et surtout AltaVista », rappelle NextInpact.

    #MiniRézo #ManifesteWebIndépendant #Uzine

  • #Slovénie : les #enfants #roms privés d’#école_maternelle

    En Slovénie, les écoles maternelles ne sont pas obligatoires, elles peuvent donc fermer du jour au lendemain. En tout cas celles où s’inscrivent les enfants de la minorité rrom. A l’expiration de financements européens que l’Etat n’a pas remplacé, plusieurs dizaines d’enfants se sont retrouvés « à la rue ». Ces écoles maternelles, et les « incubateurs » implantés dans les quartiers rroms, sont pourtant cruciaux pour garantir l’égalité des chances entre tous les enfants.

    http://www.courrierdesbalkans.fr/articles/slovenie-ecole-rom-fermee.html
    #éducation #enfance
    cc @albertocampiphoto @daphne @marty

  • Manifeste des 343 salauds : « Nous ne sommes pas vos putes » - L’EXPRESS
    http://www.lexpress.fr/actualite/manifeste-des-343-salauds-l-abjection-n-a-plus-de-limites_1295514.html

    Manifeste des 343 salauds : « Nous ne sommes pas vos putes »

    Par Morgane Merteuil

    fallait s’y attendre, la médiocrité des débats sur le travail sexuel, savamment entretenue par celles et ceux qui n’ont aucun intérêt à ce que les véritables enjeux de celui-ci soient abordés, ne pouvait que nous mener à l’abjection. Après l’article de Causette et ses 55 bonnes raisons de ne pas aller aux putes, c’est Causeur qui prend le relai avec son manifeste des 343 clients.

    Abjecte, la référence au manifeste des 343 salopes : lorsqu’en 1971, 343 femmes ont pris la parole pour dire qu’elles avaient avorté, elle défiaient alors les lois et l’ordre moral ; elles annonçaient que malgré les risques qu’elles prenaient, rien ni personne ne les empêcherait de disposer de leur corps. Et les risques étaient grands, alors, non seulement en termes de stigmatisation, de répression pénale, mais surtout, parce qu’en avortant dans des conditions clandestines, c’est leur vie que ces femmes risquaient. Beaucoup l’ont perdue, d’ailleurs, et continuent de la perdre aujourd’hui, faute d’accès légal à l’IVG. Que risquent ces 343 clients aujourd’hui ? RIEN. Et ne venez pas nous parler des peines inscrites dans la loi, qui ne seront appliquées au mieux que 3 fois pour l’exemple, car elles n’ont en réalité d’autres buts que de forcer les putes à toujours plus se cacher.

    Abjecte, votre refus de reconnaître vos privilèges, et votre discours anti-féministe qui voudrait nous faire croire que vous êtes les pauvres victimes des progrès féministes : alors que vous défendez votre liberté à nous baiser, nous en sommes à défendre notre droit à ne pas crever. La pénalisation des clients, en ce qu’elles condamne de nombreuses femmes à toujours plus de clandestinité, n’est certainement pas un progrès féministe, et c’est à ce titre qu’en tant que putes nous nous y opposons. Car c’est bien nous putes, qui sommes stigmatisées et insultées au quotidien parce que vendre des services sexuels n’est pas considéré comme une manière « digne » de survivre. Nous, putes, qui subissons chaque jour les effets de la répression. Nous, putes, qui prenons des risques pour notre vie, en tant que clandestines dans cette société qui ne pense qu’à nous abolir. Alors n’inversez pas les rôles, et cessez donc de vous poser en victime, quand votre possibilité d’être clients n’est qu’une preuve du pouvoir économique et symbolique dont vous disposez dans cette société patriarcale et capitaliste.

    Abjecte, enfin, mais dans un style qui n’a rien à envier aux abolitionnistes que vous prétendez combattre, votre paternalisme, lorsque vous énoncez « touche pas à ma pute » : nous ne sommes les putes de personne, et encore moins les vôtres.❞

    #strass

  • Le nom de la Macédoine, obstacle récurrent à son adhésion à l’Union européenne - REGARD SUR L’EST

    http://www.regard-est.com/home/breve_contenu.php?id=1405

    Les Grecs - comme s’ils n’avaient pas d’autres chats à fouetter - s’opposent toujours à l’adhésion de la Macédoine à l’UE tant qu’elle refuse de changer son nom...

    Le nom de la Macédoine, obstacle récurrent à son adhésion à l’Union européenne

    Par Joe HERZBRUN*
    Le 01/06/2013

    Le gouvernement grec s’opposera à l’ouverture des négociations d’adhésion entre l’Union européenne et la Macédoine tant que la question du nom de cette ancienne République yougoslave, qu’il considère comme appartenant au patrimoine grec, n’est pas réglée. Mais l’adhésion à l’Union a été définie comme la principale priorité stratégique par le gouvernement macédonien.

    #macédoine #grèce #frontières #toponymie #les_mots_sont_important

    • Très bizarrement, j’ai entendu parlé du sujet en regardant un épisode d’une série télé américaine vers mi-mai.

      J’ai cru que c’était une fable et une sorte de moquerie anti-européenne, mais on dirait que non. Je suis stupéfait.

    • Grecia-Macedonia, ripartono i negoziati sul nome

      Ripartono oggi, con rinnovate speranze, i negoziati tra Atene e Skopje per sciogliere l’infinita odissea della “questione del nome”, che contrappone i due vicini dalla dichiarazione di indipendenza della Macedonia nel 1991.

      Per Atene il nome “Repubblica di Macedonia” è inaccettabile perché considerato parte integrante dell’eredità storica greca. Per le autorità elleniche il suo utilizzo da parte del vicino settentrionale nasconde potenziali mire espansionistiche verso la regione greca che porta lo stesso nome.

      A causa della disputa, in sede ONU Skopje ha dovuto accettare la denominazione provvisoria di FYROM, acronimo di “Ex-repubblica jugoslava di Macedonia”, mentre il veto greco le ha sbarrato le porte all’ingresso nell’Unione europea e nella Nato.

      https://www.balcanicaucaso.org/Media/Multimedia/Grecia-Macedonia-ripartono-i-negoziati-sul-nome

    • Grèce : large mobilisation contre un compromis sur le nom de la Macédoine

      Des dizaines de milliers d’opposants au compromis sur le nom de la Macédoine envisagé par le gouvernement grec se sont rassemblés dimanche après-midi à Athènes, 140.000 selon la police, dix fois plus selon les organisateurs.


      http://www.lepoint.fr/monde/grece-la-foule-se-rassemble-a-athenes-contre-le-compromis-sur-le-nom-de-la-m
      #nationalisme #manifestation #Athènes

    • Grèce : la foule se rassemble à Athènes contre le compromis sur le nom de la Macédoine

      Une foule était attendue dimanche après-midi dans le centre d’Athènes pour exprimer son opposition au compromis sur le nom de la Macédoine envisagé par le gouvernement Tsipras, un rassemblement voulu « majestueux » par les organisateurs.


      https://www.courrierinternational.com/depeche/grece-la-foule-se-rassemble-athenes-contre-le-compromis-sur-l

    • Grèce - Macédoine : comment en finir avec le nom qui fâche ?

      Le contentieux sur le nom de la “Macédoine” envenime depuis près de trente ans les relations entre Athènes et Skopje. Débloquer la situation devient impératif pour l’UE afin d’avancer la candidature de cette ancienne république yougoslave et contrer l’influence de Moscou dans les Balkans Occidentaux, estime le correspondant bruxellous de Jutarnji list, de Zagreb.

      https://www.courrierinternational.com/article/europe-grece-macedoine-comment-en-finir-avec-le-nom-qui-fache

    • Macedonia Removes ‘Alexander the Great’ Highway Signs to Greece

      Workers began removing signs for Macedonia’s “Alexander the Great” highway to Greece on Tuesday, in preparation for the replacement signs featuring the road’s new name, “Friendship”, to be installed. As part of concessions reached with Athens, Skopje agreed to rename its main highway to Greece and its airport, currently named “Alexander the Great Airport”, as part of efforts to ease relations between them and move towards solving the long-standing dispute over Macedonia’s name.


      http://www.balkaninsight.com/en/gallery/macedonia-removes-alexander-the-great-highway-signs-to-greece-02-21-2

      #Alexandre_le_Grand

    • Macédoine : la #diaspora mobilise en force contre les négociations avec la Grèce

      30 000 personnes à Sidney, des milliers à Brisbane, Melbourne ou Perth. C’est sous le slogan « Nous sommes la Macédoine » que des manifestations étaient organisées samedi 3 mars dans quatorze villes du monde, afin de réclamer l’arrêt des pourparlers avec la Grèce sur la question du nom et condamner la politique du gouvernement macédonien. Une démonstration de force qui fragilise les négociations avec Athènes.

      https://www.courrierdesbalkans.fr/Macedoine-la-diaspora-manifeste-et-demande-l-arret-des-pourparler

    • Macédoine, le nom de toutes les mobilisations !

      Le conflit toponymique opposant l’autodénommée République de Macédoine et la Grèce sur l’usage du nom de Macédoine dure depuis plus de 25 ans. Il bloque les perspectives d’adhésion à l’UE et à l’Otan de la « République de Macédoine ». Celle-ci est reconnue sous ce nom par plusieurs grandes puissances (Etats-Unis et Royaume-Uni et régionalement Turquie et Bulgarie), mais l’Onu et l’Union européenne ne la reconnaissent que sous le nom de « Former Yougoslav Republic of Macedonia ». Ce conflit connaît un rebondissement dans un contexte politique nouveau. En effet, l’actuel chef de gouvernement grec a proposé d’introduire une discussion bilatérale sur le nom du pays. Ceci suite au changement de gouvernement début 2017 en « République de Macédoine », à son positionnement moins radical en matière d’affirmation de sa Macédonité primordiale, et à des concessions symboliques qui reviennent sur la politique dite d’Antiquisation précédente, notamment le changement de nom de l’aéroport international, d’une autoroute et d’une monumentale statue équestre, toutes trois nommées initialement d’après Alexandre le Grand. Cette discussion devait permettre de sortir de l’impasse dans les relations internationales en envisageant un compromis sur l’usage du nom Macédoine pour désigner le pays. Il s’agissait de trouver une expression moins péjorative que celle de #FYROM imposée aujourd’hui par les alliés occidentaux des Grecs.


      https://neotopo.hypotheses.org/987
      #nationalisme

    • Grèce : 24 villes se mobilisent contre le nom de la Macédoine

      Mercredi soir, des milliers de manifestants se sont rassemblés dans pas moins de 24 villes du nord de la Grèce, mais aussi à Rhodes ou en Crète, pour dénoncer tout accord avec Skopje sur le nom de la Macédoine. Alors que les négociations paraissent stagner, les opposants nationalistes entendent défendre le caractère « exclusivement hellénique » de la Macédoine.

      https://www.courrierdesbalkans.fr/24-manifestations-pour-s-opposer-a-une-solution-sur-l-appellation
      #paywall

    • Macédoine : échec du référendum sur le changement de nom

      C’est un échec retentissant. Le « oui » l’emporte largement (90% des exprimés), mais la participation au référendum de dimanche n’est que de 36% des inscrits. 1,8 millions d’électeurs étaient appelés aux urnes pour répondre à la question : « Êtes-vous pour l’adhésion à l’Union européenne et à l’OTAN, en acceptant l’accord entre la République de Macédoine et la République de Grèce ? » Le Premier ministre Zaev évoque des élections anticipées si le Parlement ne ratifie pas le changement de nom.

      https://www.courrierdesbalkans.fr/Referendum-sur-le-nom-de-la-Macedoine-c-est-le-Jour-J

    • Grèce : le nom de la Macédoine fait vaciller le gouvernement Tsipras

      Vendredi, le Parlement de Skopje a entériné le changement de nom du pays en Macédoine du nord. C’est maintenant la Grèce qui va devoir se prononcer sur l’accord conclu le 17 juin 2018. Après la démission, dimanche, du ministre souverainiste de la Défense, le gouvernement d’Alexis Tsipras n’a plus de majorité. Survivra-t-il au vote de confiance qui aura lieu mercredi ?

      https://www.courrierdesbalkans.fr/le-gouvernement-d-Alexis-Tsipras-ne-tient-plus-qu-a-un-fil-apres-

    • Macedonia del Nord: addio Fyrom, approvato il nuovo nome

      L’approvazione da parte del Parlamento macedone della modifica costituzionale che cambia ufficialmente il nome del Paese in “Repubblica della Macedonia del Nord” apre finalmente le porte alla futura integrazione euro-atlantica di Skopje. Contestualmente, anche il Parlamento greco ha ratificato l’Accordo di Prespa – firmato lo scorso giugno per porre fine alla quasi trentennale disputa sulla legittimità dell’uso del nome “Macedonia” -. Atene aveva previsto un voto inizialmente giovedì 24 gennaio, rimandato poi al giorno successivo, quando 153 deputati (di Syriza, indipendenti e dissidenti di Anel) contro 146 hanno votato a favore della ratifica voluta dal governo di Alexis Tsipras. Il passaggio parlamentare è andato a buon fine in entrambi i Paesi, nonostante le resistenza portate avanti da una parte delle due società civili.

      Nome e bilinguismo, la Macedonia cambia volto
      Il percorso di integrazione euro-atlantica della Macedonia del Nord è tuttavia ancora agli inizi. La risoluzione della disputa sul nome con la Grecia era infatti una condicio sine qua non per avviare questo processo, e ora i legislatori macedoni devono aprire i negoziati con la controparte europea. L’impianto legislativo macedone deve essere notevolmente revisionato e – a differenza dell’ingresso nella Nato -, questo potrebbe portare a dei rallentamenti per la sua adesione all’Unione europea, in particolare per quanto riguarda la lotta alla corruzione e le tematiche ambientali.

      Negli stessi giorni, Skopje ha pubblicato sulla Gazzetta ufficiale la legge sul bilinguismo, che eleva la lingua albanese a lingua ufficiale del paese, garantendo maggiori diritti per la minoranza albanese. La ratifica e pubblicazione della legge sul bilinguismo è l’ultimo dei passi intrapresi dall’esecutivo macedone dopo il breve conflitto scoppiato nel 2001, quando forze ribelli albanesi compirono attacchi di guerriglia per forzare l’allora governo di Skopje a concedere maggiori diritti alla minoranza etnica.

      Elezioni anticipate per rafforzare la maggioranza?
      Nel frattempo, il premier macedone Zoran Zaev e il suo partito di governo, i socialdemocratici della Sdsm, sembrano intenzionati a tornare alle urne con delle elezioni anticipate. Il loro interesse è quello di capitalizzare il successo politico ottenuto dall’approvazione del cambio del nome e strutturare una più forte maggioranza in parlamento. Questo soprattutto alla luce della fuga dell’ex premier conservatore Nikola Gruevski, che ha richiesto l’asilo politico in Ungheria dopo una condanna di due anni per aver utilizzato fondi pubblici per fini personali, insieme all’ex ministro dell’Interno Gordana Jankulovska e al suo assistente Gjoko Popovski.

      L’assenza dell’uomo forte dei conservatori della Vmro-Dpmne potrebbe avvantaggiare la Sdsm, che si troverebbe a correre contro un partito senza un vero leader al comando. Tuttavia, il referendum consultivo sulla questione del nome potrebbe essere un indicatore dell’andamento di possibili elezioni anticipate. A fronte di un largo consenso dei votanti per la modifica costituzionale, ad aver affossato il referendum (benché di natura consultativa) erano stati una bassa affluenza e il mancato raggiungimento del quorum. La diserzione delle urne può infatti essere letta come la contrarietà all’accordo da parte della popolazione, e quindi lasciar pensare possibile uno spostamento di voti verso la Vmro-Dpmne.

      L’obiettivo è l’Unione europea
      La modifica costituzionale è certamente un fattore positivo per il futuro del Paese. La risoluzione della controversia apre ufficialmente le porte per l’inizio dei negoziati con l’Unione europea, che dovrebbero avviarsi nel giugno prossimo, insieme all’Albania. Il percorso, tuttavia, è ancora molto lungo ed è dato non solo dalle criticità interne della Macedonia del Nord, ma anche dalla volontà espressa dal presidente della Commissione europea Jean-Claude Juncker di non procedere ad alcun allargamento fino al 2025. Alla finestra dell’Europa, dove già attendono Montenegro e Serbia, potrebbero aggiungersi presto anche Macedonia del Nord e Albania.

      https://www.affarinternazionali.it/2019/01/macedonia-del-nord-approvato-nome

    • Entre Athènes et Skopje, la guerre des « #vins_macédoniens »

      Malgré la visite « historique » du Premier ministre grec Aléxis Tsípras à Skopje, mardi 2 avril, de nombreux contentieux perdurent entre les deux pays après la signature de l’accord de Prespa. Des producteurs grecs de vin s’indignent ainsi de constater que les bouteilles produites un peu plus au nord conservent leur appellation « #vin_de_Macédoine »...


      https://www.courrierdesbalkans.fr/Macedoine-du-Nord-Grece-qui-peut-vendre-des-vins-macedoniens

      #vin #vin_macédonien

    • North Macedonia PM says EU accession halt putting name deal at risk

      North Macedonia’s prime minister, Zoran Zaev, has warned that a decision not to launch European Union accession talks with the Balkan nation may put the Prespes name deal at risk, as the two processes are intrinsically linked.

      Speaking to the Greek edition of Euronews in Skopje on Monday, Zaev said that certain fundamental articles of the agreement signed with Greece in the summer of 2018 settling a decades-old name dispute between the two neighbors, are linked to the progress of his country’s accession to the EU.

      “Certain chapters will be frozen because they cannot be implemented. We will try to implement them, but the two are connected to each other,” Zaev said in comments translated into Greek by Euronews, stressing that the contentious chapters mainly concern domestic use of the country’s new name.

      Zaev, who called early elections for April after his country’s bid for EU accession was blocked earlier this month, mainly by France, said that admission into the bloc is the only way forward for his country and other Western Balkan nations.

      “We have no alternative. There are no other offers that could serve as an alternative. What other offers there may be do not give us democracy, rule of law and liberties. If the light of the stars of the European Union flag is extinguished, we will have darkness here. And we may get lost in this darkness,” Zaev was quoted as saying.

      “If radicalization and the resurgence of nationalism are given fertile ground, this will do a lot of harm to the entire Balkans. And when the Balkans have a problem, Europe has a problem,” the prime minister added.

      http://www.ekathimerini.com/245913/article/ekathimerini/news/north-macedonia-pm-says-eu-accession-halt-putting-name-deal-at-risk