Rêvons un peu… ou pas
▻https://quartierslibres.wordpress.com/2016/10/21/revons-un-peu-ou-pas
Rêvons un peu… ou pas
▻https://quartierslibres.wordpress.com/2016/10/21/revons-un-peu-ou-pas
#police #manifsdeflics et bienveillance à l’égard de l’expression de #manifestant⋅e⋅s par France-Inter ?
Ras-le-bol policier : des centaines de manifestants de nouveau dans les rues partout en France
▻https://www.franceinter.fr/societe/ras-le-bol-policier-des-centaines-de-manifestants-de-nouveau-dans-les-ru
Des centaines de policiers encore dans les rues jeudi soir de Paris, et plusieurs autres villes françaises, après l’attaque de 4 policiers au cocktail Molotov le 8 octobre dernier.
Le malaise des policiers : « Ce qui a le plus changé c’est la violence à laquelle on est confrontés »
▻https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite-de-8h20/l-invite-de-8h20-21-octobre-2016
Le malaise des policiers : « Ce qui a le plus changé c’est la violence à laquelle on est confrontés »
À comparer avec le traitement d’autres #manifs et #syndicalistes :
Je suis « surprise » par le nombre de cagoules que portent les pandores. Je croyais qu’il était interdit de dissimulé son visage dans l’espace publique.
LOI n° 2010-1192 du 11 octobre 2010 interdisant la dissimulation du visage dans l’espace public
L’Assemblée nationale et le Sénat ont adopté,
Vu la décision du Conseil constitutionnel n° 2010-613 DC du 7 octobre 2010 ;
Le Président de la République promulgue la loi dont la teneur suit :
Article 1
Nul ne peut, dans l’espace public, porter une tenue destinée à dissimuler son visage.
Article 2
I. ― Pour l’application de l’article 1er, l’espace public est constitué des voies publiques ainsi que des lieux ouverts au public ou affectés à un service public.
II. ― L’interdiction prévue à l’article 1er ne s’applique pas si la tenue est prescrite ou autorisée par des dispositions législatives ou réglementaires, si elle est justifiée par des raisons de santé ou des motifs professionnels, ou si elle s’inscrit dans le cadre de pratiques sportives, de fêtes ou de manifestations artistiques ou traditionnelles.
▻https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000022911670&categorieLien=id
Vu que les manifs ne sont pas autorisées illes ne sont pas à une infraction près.
Hypothèse #ultras du PSG via ▻https://seenthis.net/messages/535220 dont le retour est « prévu » via ▻https://seenthis.net/messages/529964
Rodolphe Schwartz, ancien adjoint de sécurité et sympathisant du Front national, est l’un des manifestants les plus virulents. Problème : il a quitté la police.
▻http://www.lepoint.fr/societe/policiers-en-colere-un-porte-parole-autoproclame-proche-de-l-extreme-droite-
Rodolphe Schwartz, 30 ans, a fondé en 2013 l’Association de défense des forces de l’ordre. Comme lui, ses rares adhérents gravitent autour du Front national et du Rassemblement Bleu Marine. Schwartz a d’ailleurs figuré sur la liste de Wallerand de Saint-Just lors des dernières élections municipales à Paris. Sur son compte Facebook, il avait lancé un appel à Marine Le Pen afin qu’elle rejoigne le rassemblement à Évry, d’où est partie la révolte des policiers de terrain.
Manifestation de policiers à Tours : les flics, ça ose tout...
▻https://larotative.info/manifestation-de-policiers-a-tours-1902.html
▻https://larotative.info/home/chroot_ml/ml-tours/ml-tours/public_html/local/cache-vignettes/L700xH591/arton1902-15c37-349a2.jpg?1476961288
Comme à Paris, des policiers se sont rassemblés le 19 octobre à Tours pour exprimer leur « ras-le-bol ». Mais leur discours ne colle pas avec la réalité vécue par celles et ceux qui ont affaire à eux.
Les policiers prétendent ainsi « avoir des ordres pour ne plus intervenir dans certains quartiers sensibles comme au Sanitas à Tours ou la Rabière à Joué-les-Tours », qu’ils qualifient de « zones de non-droits ». Ils y interviennent pourtant régulièrement, et d’une manière qui laisse penser que, si le droit ne s’applique pas dans ces zones, c’est au bénéfice des flics, qui y font ce qu’ils veulent.
Par exemple au Beffroi, où des habitants décrivaient ainsi un contrôle subi :
« Le contrôle se passe dans le calme, malgré les injures et les menaces dont les jeunes témoignent : « Vas-y, palpe-lui lui la bite », lance un policier à son collègue ; « Si vous vous retournez, on vous tire dessus » ; « Maintenant c’est qui les fils de putes ? On va vous la mettre ! ». L’un des jeunes, qui était au téléphone au moment du contrôle, reçoit un coup de la part d’un flic avant d’être aligné contre la vitrine. »
Ou alors à La Rabière :
« Le ton est monté pendant le contrôle d’un homme handicapé, qui s’est plaint des conditions du contrôle. Son fils s’est interposé, avant de fuir sous la menace des policiers. Un flic a tiré avec son flashball, apparemment sans toucher sa cible, avant que retentisse un cri : "Chargez, allez, on se met en rang !" »
Les policiers dénonçaient aussi une justice « trop laxiste », une « délinquance (...) impunie ». L’un d’eux déclarait : « quand on est victime, il n’y aucune réponse pénale ! ». Pourtant, dans le cadre du mouvement contre la loi Travail, un jeune manifestant a écopé de neuf mois de prison ferme pour avoir lancé un caillou en direction des flics. Plus globalement, quand les policiers se sentent outragés ou insultés, ils trouvent toujours un juge pour se pencher sur leurs états d’âme et leur accorder de confortables dommages et intérêts.