• Former Vogue editor: The truth about size zero - The Guardian
    http://www.guardian.co.uk/fashion/2013/jul/05/vogue-truth-size-zero-kirstie-clements

    On another shoot I was chatting to one of the top Australian models during lunch. She had just moved to Paris and was sharing a small apartment with another model. I asked her how that was working out. “I get a lot of time by myself actually,” she said, picking at her salad. “My flatmate is a ’fit model’, so she’s in hospital on a drip a lot of the time.” A fit model is one who is used in the top designer ateliers, or workrooms, and is the body around which the clothes are designed. That the ideal body shape used as a starting point for a collection should be a female on the brink of hospitalisation from starvation is frightening.

    The longer I worked with models, the more the food deprivation became obvious. Cigarettes and Diet Coke were dietary staples. Sometimes you would see the tell-tale signs of anorexia, where a girl develops a light fuzz on her face and arms as her body struggles to stay warm. I have never, in all my career, heard a model say “I’m hot”, not even if you wrapped her in fur and put her in the middle of the desert.

    Society is understandably concerned about the issues surrounding body image and eating disorders, and the dangerous and unrealistic messages being sent to young women via fashion journals. When it comes to who should be blamed for the portrayal of overly thin models, magazine editors are in the direct line of fire, but it is more complex than that. The “fit” model begins the fashion process: designer outfits are created around a live, in-house skeleton. Few designers have a curvy or petite fit model. These collections are then sent to the runway, worn by tall, pin-thin models because that’s the way the designer wants to see the clothes fall. There will also be casting directors and stylists involved who have a vision of the type of woman they envisage wearing these clothes. For some bizarre reason, it seems they prefer her to be young, coltish, 6ft tall and built like a prepubescent boy.

    #mode #mannequinat #poids #must_read

  • Seins trop gros : mannequin évincée par Dior - Arrêt sur images
    http://www.arretsurimages.net/vite.php?id=15820

    Vue par beaucoup comme la nouvelle Naomi Campbell, la mannequin britannique Jourdan Dunn (22 ans) a déjà défilé pour Chanel et autres, mais après avoir été choisie par Dior à Paris, elle a été finalement évincée à cause de sa poitrine, comme elle l’a signalé sur son compte Twitter : « Ahahahahahaha Je viens juste d’être annulée pour le défilé Dior à cause de mes seins. .J’aime la mode #couture. »

    #mannequinat #mode #poids #sexisme #racisme

  • Un témoignage sur le "romantisme" de Polanski
    http://www.editions-zones.fr/spip.php?page=lyberplayer&id_article=149

    Cité dans "Beauté fatale", cet extrait de "Top model. Les secrets d’un sale business", enquête-fleuve du journaliste américain Michael Gross, paru en 1995. À la fin des années 1970, l’Américaine Tara Shannon, alors jeune mannequin, se promène à Paris avec une amie. Elles voient tout à coup Jack Nicholson sortir de l’hôtel George V. Elles l’abordent au culot, et l’acteur leur propose de l’accompagner à une fête.

    Jack sonne et devinez qui ouvre la porte ? Roman Polanski ! C’était complètement dingue ! Nous sommes rentrés dans une pièce remplie de petites blondes d’une quinzaine d’années. Du coup, Lisa et moi, on se trouvait vieilles et on s’est regardées en se disant intérieurement : “Foutons le camp d’ici !” Quelqu’un a fait passer un joint, Lisa n’y a pas touché, mais j’en ai pris quelques taffes. Tout à coup, je commence à me sentir malade, à tel point que je suis obligée de m’allonger. Il m’a fallu quelques minutes pour reprendre mes esprits. Mais plusieurs des filles étaient inconscientes… ça craignait ! On s’est barrées.

    (En 1977, le viol de Samantha Gailey s’était déroulé dans la villa de Nicholson à Los Angeles, en l’absence de l’acteur)

    La pilule a « masculinisé » la femme, juge Polanski
    http://www.leparisien.fr/laparisienne/societe/la-pilule-a-masculinise-la-femme-juge-polanski-25-05-2013-2834567.php

    A Cannes, le célèbre réalisateur franco-polonais a estimé que la pilule a « masculinisé » les femmes et que l’égalité des sexes « chasse le romantisme de nos vies ».

    #Polanski #viol #sexisme #mannequinat #cinéma

    • Ah oui ! Polanski !
      Faut pas l’oublier lui, surtout pas.
      A propos, y a pas quelque chose de nouveau sur DSK ? Un témoignage ? Quelque chose ?
      Faudrait quand même pas s’endormir.

    • Y’a pas ! là vous m’en bouchez un coin, il suffit de demander et on est servi, même le dimanche ! Ce doit être ça la veille sur le net .Chapeau les copains !...
      Votre source commune signale même qu’il a « volé la vedette à Alain Delon ». Je pouvais pas espérer plus. ( à part dans Plein Soleil de R. Clément ; Alain n’existe pas.)

    • C’est plus un festival de cinéma mais de proxénètes. Un défilé de vieux machins tous flanquer d’une paire d’actrices « jeunes et jolies » ou si l’actrice est adultes elle se doit d’etre à demi- nus comme la domina du pédo-violeur.

      http://angrywomenymous.blogspot.fr/2013/05/les-six-trouducs-de-la-croisette.html

      Même Kechiche que j’aime bien d’habitude me file des boutons.
      http://www.lemonde.fr/festival-de-cannes/article/2013/05/24/des-techniciens-racontent-le-tournage-de-la-vie-d-adele_3417150_766360.html
      Son pseudo amour des actrices (inexpérimenté et malléable comme par hasard) me fait penser à Yahima Torres à qui il a fait jouer un rôle très tres difficile et qui fut tant celebree pour ses talents d’actrice mais ne semble plus intéresser aucun réalisateur depuis, Kechiche comme les autres.
      http://fr.wikipedia.org/wiki/Yahima_Torres

      Et sur l’unique réalisatrice-alibi de leur palmarès pas un mot, et pour leur sous-palmarès spécial féminin compatible, une petite brève à l’arraché qui semble prouver encore une fois que les réalisatrices ne font pas de films intéressants.
      http://www.lemonde.fr/festival-de-cannes/article/2013/05/25/un-certain-regard-revele-son-palmares_3417563_766360.html

      Je vais boycotter leurs films de proxos comme le conseil @bp413, mais pas en silence.

    • Ozon et Polanski ont rien eu ? Bouh...

      J’aimais pas trop Cannes jusqu’ici, et cette année grâce à seenthis j’ai compris pourquoi.
      J’aimais pas le décor, mais je me disais, peu importe la forme, l’important c’est le fond.
      Mais le fond, il est pourri, comme le décor.
      Cannes n’est pas qu’un symbole fortuit.
      Le luxe, le pognon et le machisme rongent le cinéma français.
      Et à entendre la radio ce matin, où l’on poussait un cocorico franchouillard à l’énoncé du palmarès, comme notre pathétique décompte de médailles aux jeux olympiques, je me dis que décidément, l’exception française, elle est assez minable...

    • J’ai parler un peu vite pour la seule réalisatrice du palmarès. Le monde lui a consacré une bafouille passionnant dans le genre de celles qu’on réserve aux femmes :

      Elle sait que l’on commencera l’article comme ça, par son retard, ses cheveux blonds en bataille, un jean enfilé à la hâte, des boots fourrés parce qu’il fait encore si froid en ce 1er Mai, par la nuisette à l’imprimé panthère qui dépasse de son pull en laine bleue. Elle le dit : "Ce sera la première phrase de votre article : « Elle est arrivée en retard »." Et cela semble l’embêter un peu, comme une enfant qui veut bien faire. "

      http://www.lemonde.fr/festival-de-cannes/article/2013/05/17/valeria-bruni-tedeschi-je-suis-plus-optimiste-dans-mes-films-que-dans-la-vie

    • Ce qui a de génial de ce combat c’est qu’on a toujours quelqu’un à qui foutre sur la gueule.
      Il y en a un d’ailleurs qui a intérêt à faire gaffe, c’est Kechiche.
      Chiche qu’ on te tient à l’oeil ! C’est ton tour, toi et ton désir de jolies femmes.
      Kechiche, tu files des boutons et t’es percé à jour : car « le fond est pourri, comme le décor » évalue Petite fumée qui doit aussi s’y connaître dans l’histoire de l’art, lequel a toujours fréquenté les banquiers, depuis perpète, mais ça fait rien, l’art on s’en torche ou alors il faut qu’il soit correct.
      Hein ?
      Pas la peine de chercher midi à quatorze heures : ça fait même du bien de trancher : on se sent propre.

    • @paulo : pas besoin de me sentir propre personnellement, mais oui, y a des choses qui m’exaspèrent, et là c’est le cas. Désolé si ça vous contrarie.
      Effectivement, pour moi un art correct, c’est l’art non pas qui use de l’artifice, mais qui creuse pour voir ce qu’il y a dessous.
      A vous lire, vous me direz si je me trompe, je ressens la nostalgie des femmes séduisantes, élégantes, en tailleur qui doivent plaire aux hommes lesquels leur rendent en se montrant galants. Chacun ses clichés donc, et du coup ça me donne envie de revoir ce film.
      http://fr.wikipedia.org/wiki/Comme_une_image
      Film qui a bien entendu ses limites et ses clichés, mais au moins il va creuser là où l’humain a du mal à creuser, nos filtres et nos schémas de jugements, ce qui est trop rare à mon sens dans le cinéma...

    • L’art « correct » ? Petit écran de fumée,
      (lorsque j’employais cet adjectif, c’était par provocation...)
      J’imagine que vous avez pensé sans vous relire, sinon l’art et la correction , ça vous aurait
      sauté au nez.
      L’art correct ? mais ce n’est que de la merde ( de l’art sulpicien, à l’art nazi, de l’art stalinien aux exercices académiques et jusqu’aux derniers petits rejetons , avortons encore incertains tels que l’art auto-fictionnel, etc.)
      Bref, excusez la sortie, c’est dû à l’évidence et je suis renversé à l’idée que vous ayez repris le terme au premier degré.)
      Je ne parle pas de (mon) goût, non l’art est libre ou il n’est pas, l’art transgresse. L’art use librement de tout et aussi d’artifices ( même si ça vous chagrine) et il n’y a pas un artiste qui défendrait une seconde la sincérité, par exemple, car et c’est là un secret l’honnêteté en art c’est seulement vis-à-vis de soi-même artiste, pas des spectateurs .

      L’art n’est pas une « juste opinion » sur ceci ou cela, ni même une opinion profonde.
      Pour ces raisons il y a peu d’artistes alors qu’il y a tant de juges.
      Libre à vous de juger, par exemple votre répulsion envers les « tailleurs » ou de sourire des modes de politesse, convenances anciennes, etc. Car ceci ce n’est pas affaire d’art mais de goûts et d’héritages.
      (Quant aux femmes -et aux hommes- que j’aime, je ne peux que leur en parler personnellement, c’est précieux. Ce n’est pas une opinion. )

    • Je ne trouve ni artistique ni romantique de coucher avec des fillettes et de s’en vanter.

      If I had killed somebody, it wouldn’t have had so much appeal to the press, you see? But… f—ing, you see, and the young girls. Judges want to f— young girls. Juries want to f— young girls. Everyone wants to f— young girls!

      Polanski 1979

      #Polanski_mon_poing_dans_ta_gueule

    • @Paulo, tu as conscience qu’on est là en plein dans ce que tu nomme « l’art correct » de la société de marché ? Par ailleurs , « il n’y a pas un artiste qui défendrait une seconde la sincérité, par exemple, car et c’est là un secret l’honnêteté en art c’est seulement vis-à-vis de soi-même artiste, pas des spectateurs. », c’est inepte : la sincérité a un sens plein et entier dans le cinéma, c’est probablement un des arts ou la notion peut en avoir le plus. Mais je ne vois pas trop en quoi ça s’oppose à la question des artifices…

    • Inept ?
      Sincérité , Le cinéma serait « un des arts où la notion peut en avoir le plus »
      Est-ce que tu n’as jamais accordé une seconde d’attention au montage, coeur d’un film ?
      De nouveau je suis renversé par tant de candeur : sincérité dans l’art !
      Il faut être quelqu’un de très jeune pour fourrer de la sincérité dans la démarche et le résultat qu’’un artiste propose.
      (Le cinéaste comme tout artiste cherche une oeuvre. La sincérité d’ailleurs peut être un outil utile pas un but. )
      Je dis ça sans animosité.
      Petit écran de fumée et Baroug, l’art vous est inconnu.

    • En quoi le montage contredit l’idée de sincérité ? Je ne vois pas bien comment tu oppose la sincérité, qui est une attitude générale vis à vis d’une œuvre et tous les artifices de la technique qui ne contredisent en rien cette attitude…
      Mais vu ta grande sagesse, tu as apparemment bien des choses à nous apprendre, et @petit_ecran_de_fumee et moi en mourrons d’envie.

    • @Paulo : j’aime beaucoup quand un inconnu me parle de moi pour me dire ce qui m’est inconnu alors qu’on ne se connait pas. Vous même, vous vous considérez artiste ou bien juge ?

      Bref on peut continuer à jouer avec les mots à l’infini, libre à vous de penser qu’un Ozon transgresse en filmant les fantasmes d’une jolie jeune fille en fleur et en parlant de prostitution. Personnellement ce genre de transgression me laisse de marbre.
      Je veux bien accepter votre verdict sur mes capacités intellectuelles. Je n’ai sans doute pas le potentiel pour vibrer aux transgressions du cinéma contemporain, contrairement à lui, je me suis arrêté à Lolita et aux Valseuses. On verra si la sensibilité évolue avec l’âge..

    • Petit écran de fumée, je me doutais que ça allait mal tourner, et par ma faute. Comment écouter de sang froid des gens parler de moralité quand il s’agit d’oeuvres d’art ?
      Ils tendent les verges pour recevoir une correction. Ce qui n’était pas mon but avec vous, j’apprécie vos messages.
      Mais quand copain Baroug rapplique avec la sincérité en bandoulière comme s’il jugeait de ses ennemis politiques ou de je ne sais quelle escroquerie financière, j’ai du mal.
      Je place le travail rigoureux des artistes assez haut pour être impatienté quand un gus se pointe et tranche avec moralité et militantisme.
      Il ne veut l’admettre. Sûrement ne changera-t-il pas.
      Bon, finis,
      avec l’expression de mon amitié (anonyme ou presque)

    • Quel rapport entre la sincérité et la morale ? Quel lien avec des ennemis politiques ? Quel rapport, même, entre sincérité et choix politiques ou l’escroquerie financière ? Depuis le début de cette l’histoire de sincérité, je ne vois pas ce que tu veux dire, vraiment.

      Par ailleurs, tu peux postuler un art détaché des questions politiques ; mais ce serait supposer qu’il serait détaché des ors et des récompenses dans le même temps : il me semble que rien dont il n’est question dans ce post ne correspond à cela.
      Par un autre ailleurs, on peut tout à fait, et c’est mon cas, et je crois, de plusieurs ici, considérer qu’Ozon, ou Polanski sont de bon réalisateurs, d’intéressants techniciens et formalistes, mais que leurs films et le sens de ceux-ci posent un certain nombre de problèmes. Les deux ne sont pas incompatibles.

  • En Suède, une agence de mannequins essaie de recruter des anorexiques en cours de traitement - Next
    http://next.liberation.fr/mode/2013/04/18/suede-des-mannequins-recrutes-devant-un-hopital-pour-anorexiques_897

    Une agence de mannequins a recherché de nouvelles recrues aux abords d’un centre de soins de Stockholm pour les personnes souffrant de troubles alimentaires, a dénoncé jeudi l’institution.

    « Ils étaient à l’extérieur du bâtiment et attendaient que les jeunes filles sortent en promenade », a expliqué la directrice de cet établissement public, Anna-Maria af Sandeberg, à l’agence de presse suédoise TT. Elle n’a pas donné le nom de ou des agences concernées.

    Selon le centre, les chasseurs de tête connaissaient parfaitement les habitudes de l’établissement et n’avaient aucune limite. « Une de celles qui ont été contactées était en fauteuil tellement elle était maigre », a déploré la directrice de l’établissement. Les faits se sont produits il y a plusieurs mois, et les horaires suivis de l’établissement ont depuis été modifiés.

    #mannequinat #poids

  • What Charlotte Free Got Wrong In Her Defense Of Terry Richardson
    http://www.refinery29.com/2013/02/43356/charlotte-free-terry-richardson-sexual-harassment

    We like Charlotte Free. We like her hair, her face, her style, the brands she represents, and her fun, unapologetic personality. But we don’t like what she said on Tumblr in a since-deleted comment regarding the various sexual harassment allegations against Terry Richardson (as reported on The Fashion Spot):

    “Terry likes to do sexy stuff, that’s his shit. If you don’t wanna be part of it, make it clear in the beginning. Don’t willingly blow the man and get all mad and ashamed later…I hate when girls say ’but he asked me to.’ You should have said no then, stupid bitch! There’s plenty of other girls waiting in line, so he’s not forcing you to do shit. When you make a choice you have to live with it — unless someone got you fucked up against your will.”

    After deleting the post, Free wrote, “I don’t even believe the accusations against terry…. And if they are true, I still stand by what I said. I shouldn’t have used such offensive language...I’m sick of people making stuff up about him, and even if it was true, I still have Terry’s back no matter what.” It’s a very strong defense of someone who, in all fairness, has been accused repeatedly, but never convicted or even successfully sued.

    But, here’s the thing. What we find troubling about Free’s comments isn’t her ride-or-die support of Richardson. Rather, we’re confused and disappointed about her victim shaming and her note that, “There’s plenty of other girls waiting in line, so he’s not forcing you.” Taken generally, it’s a comment on the entire modeling profession, one that seems to suggest that if you don’t accept an uncomfortably sexualized working condition someone eventually will and, perhaps should, replace you. It’s the way these things work, both with Richardson and others, the logic goes. Deal with it or find another job.

    #mode #mannequinat #Terry_Richardson

  • Pas top, la vie de mannequin - Courrier international
    http://www.courrierinternational.com/article/2012/12/19/pas-top-la-vie-de-mannequin

    Ancien mannequin, Christine Hart publie un livre sévère sur l’univers de la mode et des top-modèles. Un témoignage de plus sur les pressions et les abus, y compris sexuels, que subissent de très jeunes femmes désireuses de réussir.

    #mannequinat #mode

  • Qui sera la plus squelettique ? La préparation des mannequins du défilé Victoria’s Secret - L’Express
    http://www.lexpress.fr/styles/mode/comment-les-anges-de-victoria-s-secret-se-preparent-elles_1182013.html

    Miranda, Adriana, Alessandra, Candice, Doutzen... Tous les Anges de la marque américaine de lingerie Victoria’s Secret s’entraînent comme de grandes athlètes pour maintenir leurs corps au top et afficher leurs silhouettes de femmes les plus belles et sexy du monde. Bien que dotées d’une bonne génétique, ces jeunes femmes sont contraintes à de nombreux efforts, physiques mais aussi mentaux, pour conserver leur plastique de rêve jusqu’au jour J. Cette année, le grand show annuel aura lieu le 7 novembre 2012, l’occasion de revenir sur la préparation physique et mentale des Anges... dont le corps parfait en fait fantasmer plus d’un.

    « Supprimer tout aliment solide pendant neuf jours », sérieusement ?

    Et encore, on n’imagine pas les coulisses, qui doivent être nettement plus sordides que la combinaison thé vert + « petits plaisirs ».

    En tout cas ça permet à la marque de vendre non seulement l’image des mannequins, mais aussi la préparation qu’elle leur fait subir :

    Leurs entraînements réguliers sont immortalisés dans les vidéos VS All Access sur le site Victoria’s Secret, où elles se mettent en scène avec des exercices de fitness et délivrent leurs secrets pour par exemple avoir des jambes parfaites pour les défilés.

    A noter l’emploi du terme « ange », qui dit bien les créatures éthérées, aussi dépourvues de chair que possible, que doivent incarner les femmes dans ce métier.

    #mode #mannequinat #poids

  • Was Kate Moss exploited as a young model? - The Guardian
    http://www.guardian.co.uk/lifeandstyle/shortcuts/2012/oct/31/was-kate-moss-exploited

    She is laughing, but the body language couldn’t be clearer – Kate Moss covers her bare breasts with an arm, and hunches over, trying to conceal the rest of her naked body with a sunhat. The photograph, one of a series taken by Corinne Day that also included a topless photograph, appeared in the Face magazine in 1990 and launched Moss’s career, though two decades on she does not remember the shoot as a happy one.

    “I see a 16-year-old now, and to ask her to take her clothes off would feel really weird,” she says in an interview with Vanity Fair. “But they were like: If you don’t do it, then we’re not going to book you again. So I’d lock myself in the toilet and cry and then come out and do it. I never felt very comfortable about it.”

    Moss also tells the magazine that she sought medical help for anxiety two years later. “Nobody takes care of you mentally. There’s a massive pressure to do what you have to do.”

    This happened 20 years ago – and Moss, of course, went on to have a phenomenally successful career, becoming one of the most powerful models, and remained close to Day.

    Other models, though, say the industry is not much different now. “Nothing has really changed,” says Victoria Keon-Cohen, a model and founding chair of Equity’s Models’ Committee, which now has around 800 members. “Until we started the union there wasn’t any recognition of this kind of treatment in the industry. We wanted to help young models assert themselves and understand what rights they have. Unfortunately what Kate is talking about does still happen and has happened to me.”

    “It is not uncommon for models who are children to be asked to take nude or semi-nude photos,” agrees Sara Ziff. “I started modelling at 14 and there were several occasions where I was put on the spot to take topless photos.” Ziff founded the Model Alliance union in the US to set standards, and doesn’t think “significant change is going to happen until there are laws that protect child models in the way other child performers are protected”. In a previous interview, she described how, when a 16-year-old model complained that a 45-year-old photographer had propositioned her, “her agency said she should have slept with him”.

    But as Moss’s comments show, it isn’t only predatory men who are the problem, but a blurring between sexual imagery and fashion, and the models who have to negotiate it are often young – and fear speaking out.

    For any model worried about their career, the pressure to keep quiet is strong enough, she says, “And then you’ve got girls from eastern Europe who are responsible for supporting their families.”

    #mannequinat

  • Kate Moss dans « Vanity Fair » sur quelques séances photo qui l’ont rendue célèbre #métierderêve
    http://www.vanityfair.com/online/daily/2012/10/kate-moss-years-of-crying-johnny-depp

    Moss tells Fox she regretted doing the 1992 Calvin Klein photo shoot that helped skyrocket her to fame. “I had a nervous breakdown when I was 17 or 18, when I had to go and work with Marky Mark and Herb Ritts,” she says. “It didn’t feel like me at all. I felt really bad about straddling this buff guy. I didn’t like it. I couldn’t get out of bed for two weeks. I thought I was going to die. I went to the doctor, and he said, ‘I’ll give you some Valium,’ and Francesca Sorrenti, thank God, said, ‘You’re not taking that.’ It was just anxiety. Nobody takes care of you mentally. There’s a massive pressure to do what you have to do. I was really little, and I was going to work with Steven Meisel. It was just really weird—a stretch limo coming to pick you up from work. I didn’t like it. But it was work, and I had to do it.”

    Moss also talks about how uncomfortable she was posing nude when she was young. Remembering her now classic photo shoot with Corinne Day for The Face, Moss says, “I see a 16-year-old now, and to ask her to take her clothes off would feel really weird. But they were like, If you don’t do it, then we’re not going to book you again. So I’d lock myself in the toilet and cry and then come out and do it. I never felt very comfortable about it. There’s a lot of boobs. I hated my boobs! Because I was flat-chested. And I had a big mole on one. That picture of me running down the beach—I’ll never forget doing that, because I made the hairdresser, who was the only man on the shoot, turn his back.”

    Sur les soupçons d’anorexie :

    I was thin, but that’s because I was doing shows, working really hard. At that time, I was staying at a B and B in Milan, and you’d get home from work and there was no food. You’d get to work in the morning, there was no food. Nobody took you out for lunch when I started. Carla Bruni took me out for lunch once. She was really nice. Otherwise, you don’t get fed. But I was never anorexic. They knew it wasn’t true—otherwise I wouldn’t be able to work.”

    #mannequinat #poids #anorexie

  • Christian Salmon : L’idéal de l’individu fashionable
    http://tomblands-fr.blogspot.fr/2012/10/lideal-de-lindividu-fashionable.html?spref=tw

    Christian Salmon a publié en 2010 Kate Moss Machine, une enquête sur Kate Moss et l’évolution du monde de la mode depuis les années 1990. Selon l’auteur, le mannequin anglais est une synthèse de la société au tournant du XXIè siècle, passant avec facilité de la figure de l’enfant abonné de la Génération X à l’icône du glamour, en passant par les périodes heroin chic, « Cool Britannia », muse rock & roll et princesse trash. Kate Moss Machine est un bon complément à Glamorama, le meilleur roman de Bret Easton Ellis. Dans l’extrait suivant, Christian Salmon dresse un bref historique de l’individualisme depuis le XVIIIè siècle qui aboutit aujourd’hui à l’importance cruciale et démesurée de la mode dans notre société. C’est « l’idéal de l’individu fashionable » dans la République démocratique du look.

    (Je crois que c’est « l’enfant abandonnée », pas « l’enfant abonné », mais bon)

    #mode #mannequinat #individualisme

  • Pas de mannequins trop jeunes ? « Vogue » s’assied sur son serment
    http://lesnouvellesnews.fr/index.php/civilisation-articles-section/civilisation/2171-pas-de-mannequins-trop-jeunes-vogue-sassied-sur-son-serment

    Les mannequins trop jeunes ou trop maigres, c’est fini : c’est le serment que faisait, en mai 2012, la direction de Vogue. Les rédactions des 19 éditions du magazine de luxe signaient un pacte de bonnes pratiques, sur lequel figurait notamment cet engagement : « Nous ne travaillerons plus en connaissance de cause avec des mannequins de moins de 16 ans ou présentant des troubles de l’alimentation. » Cette promesse était « potentiellement révolutionnaire... si seulement elle avait été tenue », remarque le blog Jezebel.

    Car pour la deuxième fois depuis cet engagement, Vogue va faire figurer dans ses pages une jeune mannequin de moins de 16 ans. En août, une Etats-unienne de 15 ans apparaissait dans l’édition chinoise du magazine. Tandis qu’une Brésilienne âgée aujourd’hui de 14 ans vient de poser pour l’édition de décembre de Vogue Japon. Thairine Garcia avait déjà fait la couverture de Vogue Italie en avril, juste avant le serment du magazine.

    #mannequinat #jeunesse #poids

  • « 360° » : le « marché » des jeunes Sibériennes videos.arte.tv
    http://videos.arte.tv/fr/videos/360-geo--6916494.html

    Sur le marché de la mode, les jeunes Sibériennes ont la cote. Frêles, avec leurs allures d’elfes et leurs pommettes exotiques, elles font la une des magazines de mode et prennent d’assaut les podiums. Avec leur air innocent mêlé de sensualité, ces lolitas sont pour l’industrie de la mode les parfaits supports de projection. Quelques-unes sont devenues riches et indépendantes. Le documentaire 360°-GEO suit des jeunes filles depuis leur village jusqu’à leurs premiers défilés, interroge ce commerce qui les place sous les feux de la rampe, raconte leur quotidien en Sibérie, leur mal du pays dans des contrées lointaines. La réalisation de leur rêve les rend-elles heureuses ?

    Anna Iouchakowa et Valeria Kritsova, l’une dénicheuse et l’autre photographe dans une agence de mannequins à Saint-Pétersbourg, voyagent depuis une bonne semaine en Transsibérien. À la différence de leurs compagnons de route, elles n’ont sur leurs genoux ni pain, ni charcuterie, ni fromage ni vodka mais des ordinateurs portables où sont stockés les résultats de leur prospection : plus de 150 filles évaluées, photographiées, filmées avec une caméra vidéo dans leurs villages. À 16 ans, Ania a passé son premier casting. Elle vient des rives de l’Ienisseï. Tandis qu’elle joue à faire des ricochets sur les eaux du puissant fleuve, ses longs cheveux châtains flottent au vent et dissimulent un vilain pansement sous son oeil gauche. Un gamin du village lui a jeté une pierre au visage. Elle est quand même allée au palais de la culture de Krasnoïarsk subir le regard inquisiteur des chasseurs de mannequins.

    #mannequinat

  • « Brigitte » pourrait revoir sa politique « anti-mannequin »
    http://www.lemonde.fr/style/article/2012/09/03/brigitte-pourrait-revoir-sa-politique-anti-mannequin_1755071_1575563.html

    Le nouveau rédacteur en chef envisage, en effet, une refonte du magazine créé en 1954. « Tout est à l’étude, y compris la politique du ’pas de mannequins’ », a souligné le porte-parole, en refusant de fournir davantage de précisions jusqu’à ce que la nouvelle stratégie soit adoptée. En dix ans, les ventes de Brigitte ont reculé de 802 000 à 602 000, selon la Süddeutsche Zeitung, mais le porte-parole de Gruner + Jahr n’était pas en mesure de commenter ces chiffres.

    Selon le quotidien allemand, le travail des photographes et des stylistes est rendu plus difficile avec des mannequins d’un jour : le magazine doit notamment chercher ces femmes sans l’aide d’agences spécialisées.

    Par ailleurs, l’initiative de Brigitte a fait l’objet de vives critiques. Le styliste allemand Karl Lagerfeld l’avait ainsi qualifiée d’"absurde". La mode n’est faite que de « rêves et d’illusions », avait argué le directeur artistique de la maison Chanel.

    Quant aux lectrices du magazine, elles sont nombreuses à s’être plaintes que les modèles sollicités avaient en réalité quasiment les mêmes mensurations que les professionnelles.

    #presse_féminine #mannequinat #Lagerfeld

  • « Pricing Beauty » : une sociologue sur les podiums - La Vie des idées
    http://www.laviedesidees.fr/Fashion-victim-Une-sociologue-sur.html

    Pas lu, mais ça a l’air intéressant...

    Glamour, superficialité, gloire, argent, célébrité. L’analyse du monde de la mode proposée par Ashley Mears déconstruit ce stéréotype alimenté par un traitement médiatique plus ou moins satirique. La méthode reine en sociologie, celle de l’immersion prolongée dans l’univers enquêté, lui a permis de rassembler un matériau empirique de première main, dont les travaux précédemment réalisés sur le sujet étaient privés [1]. Pour la jeune chercheuse, Pricing beauty conclut une période de double vie, de 2003 à 2007, au cours de laquelle elle a dû faire front aux sollicitations d’un mannequin new-yorkais cumulées aux exigences d’un PhD à Columbia University. Ce motif de la dualité constitue la trame logique d’un récit ponctué d’anecdotes aussi significatives que les données statistiques compilées. Mis en parallèle, les détails de son entrée (repérée par un agent dans un café Starbucks de Manhattan) et de sa sortie du métier (un courriel titré « Hey sweetie !!!! », lui annonçant unilatéralement la fin de son contrat de mannequinat) illustrent les deux versants d’une activité où la violence et les humiliations endurées sont fonctions de la notoriété et des rétributions espérées. Alternant élégamment situations décrites, témoignages rapportés et mises en perspective contre-intuitives, l’auteur propose une exploration des stratégies, logiques et modes d’organisation d’un univers aussi exposé que méconnu.

    #mode #mannequinat

  • Quand la beauté se fane : les top models confrontés au poids des années
    http://www.lemonde.fr/style/article/2012/07/26/quand-la-beaute-fane-les-top-models-confrontes-au-poids-des-annees_1738415_1

    Comment gérer le poids des années après avoir connu la lumière pour sa beauté ? Timothy Greenfield-Sanders a décidé de se pencher sur le phénomène dans un documentaire, About Face : The Supermodels, Then and Now, présenté dans le cadre du festival de Sundance et diffusé cet été sur la chaine HBO.

    #femmes #mannequinat #jeunesse

  • Abercrombie Model Files $1 Million Suit For Masturbation Photo Shoot
    http://jezebel.com/5919273/abercrombie-model-files-1-million-suit-for-masturbation-photo-shoot

    It’s not unheard of for sketchy “model agents” and photographers to prey on would-be models, many of whom are adolescents. Earlier this year, three models sued a New York agent who they say lured their parents in with talk of his Christian faith — only to subject them to repeated sexual harassment and groping. And even established agencies have faced serious allegations — including rape and participating in sex-trafficking.

    #mannequinat

  • Métier de rêve, suite - Des mannequins grandes, maigres et révoltées
    http://www.lemonde.fr/style/article/2012/06/05/des-mannequins-grandes-maigres-et-revoltees_1713059_1575563.html

    (via @xchewiex sur Twitter)

    La révolte gronderait-elle chez les top models ? A Rio, avant la Fashion Week qui s’est tenue fin mai, une vingtaine de mannequins noirs, hommes et femmes, ont fait un « défilé de protestation » pour exiger qu’au moins 10 % des mannequins brésiliens soient « afro-descendants » dans un pays où la moitié de la population est noire ou métisse.

    Voir aussi : A Rio, la semaine de la mode débute sur fond de tensions

    En février, à New York, les top models Sara Ziff et Coco Rocha avaient, de leur côté, lancé une association, Model Alliance, pour améliorer les conditions de travail du mannequinat aux Etats-Unis.

    Celle-ci dénonce le travail des mineurs et demande l’instauration d’un salaire minimum. Plus des deux tiers des mannequins américains souffriraient de dépression ou d’anxiété ; la moitié d’entre eux auraient commencé leur carrière entre 13 et 18 ans et plus d’un quart auraient été victimes de harcèlement sexuel.

    A noter que les Rencontres photographiques d’Arles proposeront cet été une exposition intitulée « Mannequins, le corps de la mode » :
    http://www.rencontres-arles.com/A11/C.aspx?VP3=CMS3&VF=ARL_709_VForm&FRM=Frame%3AARL_827

    Le mannequin est l’un des rouages essentiels de la diffusion des maisons de couture et des marques de prêt-à-porter. Des premières illustrations de mode du 19e siècle aux photographies de modèles, des pages de magazines, des publicités jusqu’aux vidéos, il est reproduit à l’infini. Créé par et pour la mode, il incarne les contradictions d’une industrie tiraillée entre commerce et création, dont l’une des principales activités est de produire des images.

    Empruntant son nom au mannequin en osier qui servait au 19e siècle à montrer les robes dans le salon du couturier, le mannequin vivant a pour fonction de porter les modèles des dernières collections devant les clientes comme devant l’objectif. Il gardera ce statut d’« objet inanimé » qui met en valeur les vêtements pour mieux les vendre. Pourtant le mannequin, défini comme un idéal féminin de beauté et de jeunesse, est représenté avec une perfection toute artificielle qui a pour but de séduire. Pour répondre aux besoins de rentabilité de l’économie de la mode, il est formaté, dupliqué dans des poses mécaniques, façonné par le maquillage ou par la retouche. Produit de son époque, corps modèle, le mannequin répond à des normes physiques et esthétiques qui, pour vendre du rêve, laissent peu de place à la singularité ou au réalisme.

    Ce sont les femmes de la haute société et les actrices qui, depuis le début du 20e siècle, jouent sans discontinuer les icônes de mode, apportant leur notoriété aux grandes marques et aux magazines. Les mannequins professionnels n’imposent leur visage et leur nom que plus tard. Révélées par les couturiers ou les photographes, elles sont leurs créatures, leurs muses. Célèbres, devenues stars, elles font vendre du papier glacé. Reconnaissables mais modelables, elles jouent de leur image et de leur personnalité ; pour des magazines ou des grandes marques, elles endossent des rôles de fiction sous la direction de photographes metteurs en scène. Au-delà du système de la mode, elles incarnent leurs fantasmes.

    Du mannequin anonyme à la cover-girl, du portemanteau au sex-symbol, du top model à la girl next door, les ambivalences du mannequin de mode sont au coeur de corpus photographiques qui interrogent sa valeur marchande, esthétique, humaine, ainsi que ses stéréotypes. En réunissant des images pour la plupart issues des collections de Galliera, cette exposition propose une histoire de la photographie de mode du point de vue du modèle et non plus seulement du photographe.

    #mannequinat

  • « Girl Model » : l’abîme du mannequinat
    http://cinema.lapresse.ca/nouvelles-et-critiques/critiques/critique-cinema/17260-igirl-modeli-labime-du-mannequinat.html

    Tourné sur une période de plus de trois ans, Girl Model, loin d’être un de ces « documentaires-chocs » qui, sous prétexte de dire et de montrer « les vraies affaires », s’engluent dans le reportage sensationnaliste et le débat-spectacle, aborde son sujet avec délicatesse et retenue. Rien n’y est présenté qui soit sordide ou qui puisse susciter l’aversion indignée ; l’ensemble distille des sentiments troubles de tristesse, de profonde mélancolie et de désarroi.

    Et si Girl Model ne fait qu’effleurer certains sujets délicats et déplaisants (la prostitution chez les mannequins mineurs, par exemple), nous devons comprendre que le mannequinat international, qui fait rêver les fillettes et, la plupart du temps, les mamans qui ne leur veulent que du bien, n’a pas grand-chose à voir avec la natation ou le ballet-jazz.

    Nadya passe les premières auditions devant jury, avec une pléthore de ravissantes adolescentes russes en maillot de bain. Toutes sont scrutées à la loupe et jugées selon les critères spécifiques des éventuels employeurs, des Japonais en l’occurrence. La jeune blonde est supervisée par sa recruteuse, Ashley Arbaugh, ancien mannequin désabusée et principale intervenante dans le documentaire. Choisie comme « stagiaire », Nadya sera envoyée à Tokyo dans un grand hôtel froid d’un quartier industriel. Ce qu’on lui avait présenté comme un séjour de star sera plutôt une visite au purgatoire.

    #mannequinat

  • Anorexic cover girl model, 19, dies in her sleep | Mail Online
    http://www.dailymail.co.uk/news/article-2137423/Bethaney-Wallace-Anorexic-cover-girl-model-19-dies-sleep-weight-drops-6

    Yesterday, her father Clive, 47, said: ’She lost her self-esteem.

    ’She would say she was fat but she was so beautiful – she didn’t realise how beautiful she was. She had up days and down days. It was like Jekyll and Hyde.

    ’I tried to warn her that her organs would fail but she just said: “Don’t be silly”. If you mentioned food it would start an argument.’

    (...)

    Her parents, who also have a 22-year-old daughter, Shari, said her death was all the more tragic because Bethaney had finally started confronting her condition late last year.

    She had been given an eating plan by West Suffolk Eating Disorder Service to help her.

    Her father, a roof tiler, added: ’She was getting better. She was having counselling and making good progress but the paramedics said her blood sugar level was very low.’

    #poids #mannequinat

  • Mad about modeling | About-Face
    http://www.about-face.org/mad-about-modeling/#more-10300

    A new documentary called Girl Model, which follows the path of 13-year-old Nadya, a self-proclaimed Siberian “gray mouse” and “ordinary girl” who gets plucked from a sea of other lithe hopefuls by an American mercenary model scout and sent to Japan to try to make it big, is making the rounds and winning accolades at prestigious festivals worldwide—and totally bumming me out.

    Oh, I don’t take issue with the fact that the documentary film exists. Nope. My beef is that it verifies just how much our culture still promulgates the notion that for girls, being a model (or in many cases at least looking like one) is the be-all-and-end-all. The top. The best form of existence a woman could hope for. Of course, it’s an age-old myth, but ever since the heyday of the original supermodels of the ’80s and ’90s (Claudia! Christy! Cindy! Naomi! Linda!), it’s been increasingly intense.

    (...)

    At this point two generations of women (Gen Xers and Millennials) have been brought up in a world where models are among the most celebrated and most financially well-off women in the world. So is it any wonder that many of them (cue Russian cattle call of skinny, fair teens) want it for themselves?

    The first time I came across this passionate desire to model was with, well, myself actually. Growing up in New York City, just blocks from the Ford Models headquarters (which was home to Christie Brinkley, Carol Alt, Kim Alexis, and Cheryl Tiegs, to name a few), I noticed early that if a girl was able to say she was a model—to advertise that she had earned that cultural stamp of approval that meant she was certifiably beautiful—that she seemed more valuable.

    Other girls wanted to be like her (even though they might have hated her) and most guys, of course, wanted to date her. So I set out on that path, too (Luckily, I learned early on in my modeling career that I didn’t like “playing a part,” which is, er, pretty much what models do… so I cut bait).

    But when I landed as an editor at YM magazine in the late 1990s, I was shocked to learn (via e-mail and letters sent in that included photos of teen readers in their bathing suits, or even school portraits shot in bad lighting) how many other girls nationwide were dreaming the same dream.

    One example still sticks with me today: it came from a reader who wrote in that she was quitting volleyball (her passion!) because she was worried that a ball could hit her face and ruin her chances of being discovered at the mall. She knew, she wrote, that Kate Moss had first been scouted at an airport and was hoping for similar good fortune.

    #mannequinat

  • VISION D’HORREUR : le it bag hideux entre au musée – Les friandises de Marc Jacobs | Entrez dans la tendance, le blog de Guillaume Crouzet - Lexpress Styles
    http://blogs.lexpress.fr/tendance/2012/03/16/les-friandises-de-marc-jacobs

    Et sur la confusion entre art et marketing, cette exposition Louis Vuitton / Marc Jacobs au Musée des arts décoratifs est un sommet du genre :
    http://www.lesartsdecoratifs.fr/francais/mode-et-textile/expositions-70/actuellement-447/louis-vuitton-marc-jacobs

    Mode et Textile – Expositions – Actuellement
    Louis Vuitton - Marc Jacobs
    du 9 mars 2012 au 16 septembre 2012

    Cette exposition présente l’histoire de deux personnalités, Louis Vuitton et Marc Jacobs (directeur artistique de la maison Louis Vuitton), et met en évidence leurs contributions à l’univers de la mode. Comment ont-ils su s’inscrire dans leur époque respective pour innover et faire avancer toute une industrie ? De quelle façon ces deux hommes, avec leur langage propre se sont-ils appropriés les phénomènes et codes culturels afin d’écrire l’histoire de la mode ?

    Plutôt analyse que rétrospective, cette mise en parallèle Vuitton-Jacobs permet d’éclairer le système de la mode durant ces deux périodes charnières que sont l’industrialisation de la fin du XIXe siècle et la globalisation du début du XXIe siècle. Y sont évoqués les métiers d’art, les avancées techniques, les créations stylistiques et les collaborations artistiques.

    Déployée sur deux niveaux, l’exposition consacre chaque étage à l’un des créateurs dans une scénographie de Sam Gainsbury et Joseph Bennett. Les malles de Louis Vuitton sont présentées en regard des collections et accessoires de mode du XIXe siècle du musée au premier étage, tandis qu’une sélection des modèles les plus emblématiques créés par Marc Jacobs, depuis ces 15 dernières années, est mise en scène au second.

    Signalons que Marc Jacobs s’est récemment distingué par son refus de payer les mannequins qui défilent pour lui :
    http://jezebel.com/5890985/marc-jacobs-didnt-always-refuse-to-pay-his-models

    Marc Jacobs’ decision to not pay his runway models and “looks” model this season continues to cause controversy.
    Marc Jacobs’ decision to not pay his runway models and “looks” model this season continues to cause controversy.

    Many New York designers do not pay the majority of their runway models. They do this not because they don’t have the money — Jacobs’ total show budget exceeded $1 million last year, and the company is backed by the world’s largest fashion conglomerate, LVMH Moët Hennessy Louis Vuitton — but because they can. Runway work is considered prestigious and as independent contractors, models are generally exempt from many provisions of U.S. labor laws, including minimum-wage laws. It’s not news to anyone in fashion that Jacobs does this (op-eds have been written about this in such underground publications as The Guardian) but it does seem to be news to many of the designer’s customers and fans, who found the brand’s dismissive Twitter response to the brouhaha disappointing.

    Y compris des gamines qui devraient être à l’école :
    In Marc Jacobs’ World, Runway Modeling Is Just Like Being in a Peanut Butter Commercial
    http://jezebel.com/5891887/marc-jacobs-says-runway-modeling-is-just-like-being-in-a-peanut-butter-comm

    Pour les caprices de mise en scène des défilés, en revanche, comme l’arrivée d’un vrai train sur le podium, l’argent ne semble pas être un problème :

    Did the Train on Louis Vuitton’s Fall Runway Really Cost $8 Million ?
    http://nymag.com/daily/fashion/2012/03/did-louis-vuittons-train-really-cost-8-million.html

    #mode #mannequinat #sac

  • Arrêt sur images - Terry Richardson : porno chic ou agressions sexuelles ?
    http://www.arretsurimages.net/contenu.php?id=4747

    C’est un portrait de de Terry Richardson paru dans le New York Times le 2 mars dernier, qui vient de déclencher une nouvelle vague de critiques. « Encore un portrait complaisant de Terry Richardson, l’un des plus célèbres photographes de mode, régulièrement accusé d’abus sexuels », déplore sur son compte Seenthis la journaliste du Monde diplomatique Mona Chollet. Chollet cite Jamie Peck, une ex-mannequin qui déplore aussi ce portrait, sur le blog Jezebel. « Pourquoi les médias continuent-ils de présenter Richardson comme s’il n’était pas complètement taré ? », s’insurge-t-elle. Peck accuse la journaliste, Laura Holson, auteure du portrait, d’avoir « traité de manière cavalière » les « allégations de conduite sexuelle inappropriée » à l’encontre du photographe.

    (...)

    A la suite de ces plaintes, un proche de Richardson est monté au créneau, sur le site de Bernard-Henri Lévy, la « Règle du jeu ». Olivier Zahm - qui fait partie du comité de rédaction du site - a déploré dans une tribune un « procès en sorcellerie » fait à Richardson. Il parle de « campagne de diffamation, injuste et ignoble, qui plonge mon ami dans une crise de paranoïa. » Et d’ajouter : « Ce que je vois dans l’injuste condamnation dont Terry Richardson a été victime sur le net, c’est une attaque plus profonde de toute tentative pour réinventer les rapports hommes/femmes. Car si un photographe de mode en propose une image libre, enjouée et sans complexe, témoignant de l’absurdité de la guerre des sexes, et au-delà de toute violence sexuelle, c’est bien Terry Richardson. »

    #mode #mannequinat #Terry_Richardson

  • « Girl Model », un documentaire américain sur le mannequinat – The Creepy World Of Model Scouts
    http://jezebel.com/5891967/the-creepy-world-of-model-scouts

    (via @poulepondeuse sur Twitter)

    To be fair, many industries have practices that, if they were showcased on a big screen, would draw ire or concern — just think about the food industry — but the frankness with which Arbaugh and the agencies she works with assess and commoditize these children is frankly a little disturbing. Here, where the scouted girls are poorest and the markets (Tokyo, Hong Kong, Beijing, and other Asian centers) are the least internationally prestigious, not to mention the least regulated, is the modeling industry in its nakedest form: the exchange of capital for and around young women’s bodies. And Arbaugh makes no bones about scouting very young girls. “You can’t be young enough,” she says; it’s what the market demands. “Youth is beautiful, there’s a luminosity, and that is what my eye is trained to see.”

    #mannequinat