Cueillir en ville, cueillir aux champs : territoires et pratiques de la #cueillette contemporaine
Récupérer des invendus alimentaires, cueillir des pissenlits, grappiller des figues ou ramasser de la ferraille. Autant de pratiques de quête et/ou subsistance qui reposent sur la #droit_de_glanage est un droit d’usage profondément ancré dans les espaces ruraux depuis plusieurs siècles, la réflexion contemporaine autour des #communs, notamment en contextes urbains, propose de nouvelles pistes scientifiques et politiques pour comprendre ce qui se joue dans ces formes alternatives et non-extractivistes de #réappropriation_des_ressources.
de ressources biologiques ou matérielles encore non appropriées, et de manières de les nommer. Comment relire ces pratiques ancestrales dans le cadre du tournant écologique des sciences humaines et sociales ? En quoi ces pratiques de glanage interrogent-elle les manières de concevoir nos relations avec les vivants et ce(ux) qu’on ingère comme nos rapports aux territoires et à la propriété ? Si le –—
Programme séance 2
vendredi 6 novembre 2020, de 14h à 17h30
Cueillir en ville, cueillir aux champs : territoires et pratiques de la cueillette contemporaine
« Des champs à la ville : cueillir dans des mondes en transition, l’exemple de la Guyane française »
par #Marc-Alexandre_Tareau (anthropologue, LEEISA) et #Lucie_DEJOUANET (géographe, AIHP-GEODE, Université des Antilles)
« Cueillir dans les marges urbaines : le cas du Grand Paris »
par #Flaminia_Paddeu (Pléiade, USPN) et #Fabien_Roussel (Discontinuités, Université d’Artois)
« Économies de disettes et glanages dans des mondes perdus. Observations d’un géographe, de l’Océanie à la Dordogne »
par #Mathias_Faurie, (géographe et cidrier)