Le littoral est à tous via Ghaleb Faour #Beyrouth #Liban
▻https://www.facebook.com/photo.php?fbid=10153839183527751&set=a.10151518268952751.1073741826.625097
Le littoral est à tous via Ghaleb Faour #Beyrouth #Liban
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ceci faisant partie de la même campagne que cet article de Mona Fawaz: Reframing the debate to save what is left of Beirut’s shrinking seafront
▻http://lcps-lebanon.org/featuredArticle.php?id=90 #littoral #biens_fonds #maritimes
Les ONG se mobilisent pour l’invalidation d’un décret et la municipalité oublie ses droits - Suzanne BAAKLINI - L’Orient-Le Jour
▻http://www.lorientlejour.com/article/1013701/les-ong-se-mobilisent-pour-linvalidation-dun-decret-et-la-municipalit
C’était en 1989, en pleine guerre libanaise : il y avait, dans le pays, deux gouvernements qui se disputaient la légalité, l’un présidé par Michel Aoun, à l’Est, et l’autre par Sélim Hoss, à l’Ouest. Dans un contexte aussi dramatique, certains ont prouvé qu’ils ne perdaient pas le nord : un décret a été adopté par le gouvernement Hoss cette année-là, un cabinet qui se contentait de facto d’expédier les affaires courantes après la fin du mandat du président Amine Gemayel. Le décret en question annulait les contraintes imposées par d’anciens textes de lois sur les propriétaires de terrains dans la zone 10 de Beyrouth (allant grosso modo de Raouché jusqu’à Ramlet el-Baïda, la façade de Beyrouth), notamment celle de devoir céder 25 % de leurs terrains à la municipalité de Beyrouth au cas où ils voudraient y édifier des constructions. Et c’est cet avantage, accordé par la loi aux institutions étatiques, que le cabinet de l’époque a enrayé d’un coup, au profit des investisseurs privés... Ce fut sans nul doute une brèche dans laquelle s’engouffrent, depuis, tous ceux qui projettent de privatiser la façade maritime de la capitale.
#biens_fonds #maritimes #littoral #Beyrouth #urbanisme #corruption