• Fabien Roussel lance une fédération de chasse communiste
    https://www.lejdd.fr/politique/fabien-roussel-lance-une-federation-de-chasse-communiste-151094

    Après avoir annoncé qu’il ne se représentera pas à une élection « dans une alliance avec LFI », Fabien Roussel a encore pris un peu plus ses distances avec l’alliance de gauche en lançant une fédération de chasse communiste.

    #gorafi_encore_plagié

  • Fab, Epic’s New Unified Content Marketplace, Launches Today ! - Epic Games
    https://www.epicgames.com/site/en-US/news/fab-epics-new-unified-content-marketplace-launches-today

    Fab is the successor to the Unreal Engine Marketplace and Sketchfab Store, and the new home for Quixel Megascans. This new open marketplace supports all types of creators with content for use across Unreal Engine, Unity 3D, Unreal Editor for Fortnite (UEFN) and other digital content creation tools. Unreal Engine developers will be able to access Fab directly in the Unreal Engine 5 Editor, and Fornite creators can discover Fortnite ready assets through Fab in UEFN. The Fab integration in UEFN is undergoing maintenance and will be back online shortly, and the Fab integration in the Unreal Engine 5 Editor is coming soon.

    On notera l’ouverture à la concurrence, en plus des assets d’Epic Games.

    #jeux_vidéo #jeu_vidéo #epic_games #marketplace #boutique #unreal_engine #sketchfab #unity_3d

  • 🔐 Depuis 2012, le groupe BNP Paribas place son .bnpparibas au cœur de sa stratégie numérique pour offrir d’avantage de confiance et de sécurité à ses différents publics.

    📰 Découvrez l’interview de Bertrand Realini et Olivier Tournant https://www.afnic.fr/observatoire-ressources/papier-expert/le-bnpparibas-au-service-des-clients-et-des-metiers-du-groupe

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    🔐 Since 2012, the BNP Paribas Group places its .bnpparibas at the heart of its digital strategy to offer more trust and security to its various online users.

    📰 Read Bertrand Realini and Olivier Tournant’s interview https://www.afnic.fr/observatoire-ressources/papier-expert/le-bnpparibas-au-service-des-clients-et-des-metiers-du-groupe

    #Marketing #Brands #BrandTLDs

  • Tupperware : Kultfirma stellt US-Insolvenzantrag
    https://www.berliner-zeitung.de/news/tupperware-us-kultfirma-stellt-insolvenzantrag-li.2254985

    Est-ce la fin du monde plastifié ? Je crains que ces pollueurs aussi trouvent une solution de survie au dépens des hommes et du monde, voire l’image plus bas ...

    Image cc-by-sa : Athenamama sur flickr

    ... 60 ans après, le résultat.

    18.9.2024 - Frischhaltedosen von Tupperware sind seit Jahrzehnten in vielen Haushalten im Einsatz. Der US-Traditionsfirma ging jedoch zuletzt das Geld aus.

    Der Frischhaltedosen-Spezialist Tupperware hat nach jahrelangen Problemen einen Insolvenzantrag in den USA gestellt. Die Firma strebt zugleich einen Verkauf an und will weiterarbeiten. Ein Verfahren nach Kapitel elf des US-Insolvenzrechts schützt das Unternehmen vor Forderungen seiner Gläubiger.

    Tupperware, ein Pionier bei Haushalts-Gefäßen für Lebensmittel, kämpfte bereits seit einiger Zeit mit wirtschaftlichen Schwierigkeiten. In den vergangenen Monaten liefen Verhandlungen mit den Geldgebern, denen Tupperware mehrere hundert Millionen Dollar schuldet. Durch einen Verkauf solle nun die Marke geschützt werden, hieß es in einer Mitteilung. Zugleich solle damit der Wandel in ein vorrangig technologiebasiertes Unternehmen vorangetrieben werden.

    „Das Unternehmen tut alles in seiner Macht Stehende“, versprach Chef Miguel Fernandez. Neben hohen Schulden, roten Zahlen und schwindenden Erlösen kämpft Tupperware auch noch mit anderen hausgemachten Problemen. So verpasste es die Firma, den Jahresbericht pünktlich vorzulegen. Im Schlussquartal 2022 brach der Umsatz im Jahresvergleich um 20 Prozent auf 313,7 Millionen Dollar ein. Unterm Strich machte Tupperware einen Verlust von 35,7 Millionen Dollar.

    Liquiditätsengpässe bringen Ungewissheit

    Nachdem Tupperware am Freitag vor akuten Geldnöten gewarnt hatte, stürzte die Aktie am Montag um 49 Prozent auf nur noch 1,24 Dollar ab. Der Kurs fiel auf den niedrigsten Stand seit dem Rekordtief zu Beginn der Corona-Krise vor rund drei Jahren. Am Dienstag ging es vorbörslich zunächst wieder etwas nach oben, doch die Lage blieb angespannt. Bereits zum zweiten Mal innerhalb von sechs Monaten warnte Tupperware, dass die Fortsetzung des Geschäftsbetriebs angesichts von Liquiditätsengpässen ungewiss sei. Die „Going concern“-Warnung müssen US-Firmen absetzen, wenn in den kommenden zwölf Monaten nach eigener Einschätzung ein größeres Risiko der Zahlungsunfähigkeit besteht.

    Wie konnte es so weit kommen? Das bald 80 Jahre alte Unternehmen, dessen Gründer Earl Tupper 1946 die Küchenwelt mit seinen bunten „Wunderschüsseln“ aufmischte, steht schon länger mit dem Rücken zur Wand. Die bunten Schüsseln und Boxen von Tupperware haben Haushalte fast rund um den Globus geprägt und es sogar als Design-Klassiker in Museen und Kunstausstellungen geschafft. Auch in Deutschland verbreiteten sich die luftdicht verschließbaren Behältnisse, deren Kunststoffdeckel beim Schließen den charakteristischen Laut von sich geben, seit den frühen 1960er Jahren rasant. Als Erfolgskonzept erwiesen sich Gründer Tuppers Haushaltsprodukte vor allem in Kombination mit Marketing-Genie Brownie Wises Idee der Tupperparty.

    Athena, Oregon, USA

    Monorails

    Grandfather

    Hope ?

    End ?

    #pollution #famille #plastique #culture #classes_moyennes

  • #Typst

    Typst est un #logiciel d’#écriture et d’#édition_scientifique créé par Martin Haug et Laurenz Mädje. Il existe sous la forme d’un éditeur collaboratif en ligne avec un accès gratuit et des fonctionnalités payantes (un peu comme #Authorea), ainsi que sous la forme d’un programme en ligne de commande, pour un usage local. On peut trouver en ligne le code et une documentation détaillée.

    Je suis frappé par la vitesse avec laquelle les deux créateurs ont transformé leur projet de fin d’études en entreprise. Le marketing est plutôt malin, on situe tout de suite Typst par rapport à #Word, #Google_Docs et #LaTeX. À noter que Pandoc a très vite développé une compatibilité avec ce nouvel outil. Typst suscite clairement de l’enthousiasme dans une communauté fatiguée par des outils mal adaptés à ses besoins. Un sentiment d’efficacité se dégage de l’ensemble du projet, et on sait combien c’est important quand il s’agit de convaincre les gens de transformer leurs pratiques. Mais il reste à tenir certaines promesses, en premier lieu sur l’accessibilité des PDF : Typst a été présenté comme une amélioration possible à TeX sur ce point, or deux ans après ce n’est toujours pas le cas.

    Je n’ai pas encore essayé l’outil. Mais pour les curieux, le mémoire de Laurenz Mädje décrit la genèse de Typst, et j’y ai relevé plusieurs éléments que je partage ci-dessous.

    Pour justifier d’investir des efforts dans la création d’un nouvel outil d’écriture et d’édition scientifique, Mädje analyse les défauts de #TeX avec des mots qui frappent juste :

    « La conception datée de TeX entrave fondamentalement l’expérience utilisateur » (p. 7) […] « la compilation est lente, l’accessibilité est mauvaise, et les possibilités de mise en page sont limitées » (p. 13).

    Les deux logiciels appelés Typst – l’éditeur en ligne et le compilateur en ligne de commande – reposent sur un langage de programmation du même nom, qui s’écrit en partie comme un langage de balisage léger, proche de #Markdown :

    « Typst, c’est à la fois un langage de balisage léger et un langage de programmation complet, réunis en une seule syntaxe, au format texte » (p. 7) […] « Intégrer stylage et programmation rend la mise en forme plus simple et plus souple » (p. 68).

    C’est donc un vrai système de #programmation_éditoriale, ce qui me rappelle #Pollen, sur lequel j’avais publié une note de veille. L’intégration entre balisage et programmation existait déjà dans l’écosystème TeX avec #LuaTeX mais l’avantage de Typst est d’avoir repris la conception du système à zéro : en théorie, cela devrait permettre de développer rapidement un catalogue de fonctionnalités modulaires, comme les paquets de TeX, sur une base plus saine.

    J’ai aussi relevé quelques concepts utiles, comme le couple balisage procédural – qui indique à l’ordinateur comment procéder – et balisage descriptif – qui décrit à l’ordinateur la structure du document. Mädje souligne que le #balisage_descriptif convient particulièrement à l’édition multiformats car il permet de changer de styles sans modifier le contenu. Il distingue trois catégories de langages de balisage descriptif, suivant qu’ils sont basés sur des tags, des macros ou des caractères. La phrase “The line between data and markup is fuzzy” (p. 16) a particulièrement retenu mon attention : elle suggère que le texte, c’est de la donnée  ; et surtout, que le balisage, c’est déjà un peu de la sérialisation.

    Enfin, j’ai relevé cet argument pro-balisage (ou #anti-WYSIWYG, comme on veut) dans la conclusion :

    « Les langages de balisage ont un avantage concret sur les systèmes de composition #WYSIWYG : ils permettent aux auteurs de définir la structure du document indépendamment de son apparence et de passer automatiquement de l’une à l’autre  ; cela donne une meilleure expérience d’écriture, avec moins de travail répétitif » (p. 71).

    https://www.arthurperret.fr/veille/2024-08-29-typst.html

    #alternative

    • l’exemple de maths me fait demander pourquoi avoir redéfini tout un langage de description de formules, celui de TeX/LaTeX étant assez complet, surtout en conservant les marques ’$’ pour délimiter les formules mathématiques ! Là on se retrouve avec un truc qui ressemble mais n’est pas pareil, je pige pas l’intérêt.

      Pour le reste ça a l’air propre et bien pensé. (ah merdre, pas de paquets debian ça ça fait chier…).

      En même temps après presque 30 ans de LaTeX, quand t’as ton jeu de macros toutes prêtes pour composer à peu près n’importe quoi, des maths aux figures Tikz, se lancer dans un nouveau truc comme ça, pfffff, ça me fatigue d’avance !

    • Rédiger la thèse avec #Zettlr

      Depuis janvier, ça y est, je suis passée en mode rédaction de la #thèse. Grande étape tout court, moment crucial aussi par rapport à l’organisation de mon travail — et notamment par rapport à la question de mon outil de travail. Je travaille avec Ubuntu (plutôt qu’avec Windows ou Mac)  ; au début de la thèse, j’ai fait ce choix sans trop savoir ce qu’il allait impliquer exactement — est-ce que j’aurais les fichiers au bon format  ? est-ce que les relectures et renvois de fichiers, d’un·e collègue à un·e autre, allaient se faire sans encombre  ? est-ce que les formats disponibles sous Ubuntu étaient appropriés pour un travail aussi long et lourd que la thèse  ?

      Comme je le disais à la fin de l’article où j’explique ces hésitations, j’ai eu quelques déconvenues  : d’un côté, je me suis vraiment attachée au fonctionnement sous Ubuntu et je n’ai plus du tout envie de repasser à Windows, de l’autre je suis forcée de constater que LibreOffice Writer, que j’utilisais pour remplacer Word, a des défaillances vraiment rédhibitoires pour la rédaction de gros fichiers de thèse. Les feuilles de style créent des bugs, les révisions de texte sont mal traduites d’un ordinateur à l’autre, bref  : pour un article ça passe, pour une thèse non. J’ai eu peur de devoir laisser tomber Ubuntu  ; et puis, finalement, non  ! Je me suis enfin penchée sur ce logiciel libre dont j’entendais parler sur Twitter depuis à peu près un an, Zettlr, et il est devenu mon outil de rédaction principal  : quelques explications donc.

      [Update février 2023] Ça, c’est ma problématique perso. Mais plus j’avance dans l’usage de Zettlr, plus je pense qu’il est vraiment une option à considérer pour tout le monde, rien à voir en fait avec utilisation ou pas d’Ubuntu. Dans l’absolu, Zettlr a des vrais avantages pour la rédaction : fluidité de l’écriture, structuration argumentative du texte, stylages, gestion des bibliographies, indexations… Il faut partir de l’idée qu’il y aura quelques bidouilles informatiques à prévoir, mais elles restent de l’ordre du raisonnable, ça vaut le coup.

      https://engagees.hypotheses.org/2948

    • Je dois déjà en avoir parlé.
      On rédige tous nos compte-rendus et documents d’analyse en markdown avec Zettlr, sur Linux et Windows. On exporte en PDF avec notre propre modèle pandoc intégré dans Zettlr. On ne connaissait pas Latex, et on s’y est mis. On est tombé sur un certain nombre de limites liées à la chaîne zettlr>pandoc>latex, mais on a un résultat qui nous permet de limiter l’usage de Word à quelques derniers bidules que markdown ne peut pas gérer, parce que c’est pas fait pour.

  • Assez réjoui en découvrant qu’Audi vend des voitures électriques baptisées « e-tron », et que ça va donner des conversations édifiantes sur le parking du golf : « Alors comme ça Jean-Louis s’est offert l’étron d’Audi ? », parce que je vois pas comment ça pourrait se prononcer autrement.

  • Paris 2024 : les athlètes des JO ont tous reçu en cadeau le dernier téléphone Samsung flambant neuf et des goodies - La Voix du Nord
    https://www.lavoixdunord.fr/1485823/article/2024-07-22/paris-2024-tous-les-athletes-des-jo-recoivent-en-cadeau-le-dernier-tele

    Il ne reste que quelques jours avant le lancement officiel des Jeux olympiques de Paris 2024. Alors que de nombreux athlètes ont déjà rejoint le village olympique, où ils prennent leurs quartiers, ils sont plusieurs à avoir déballé leur équipement officiel.

    Survêtements, t-shirts, shorts, serviettes, valises, casquettes, équipements dédiés à leur sport... certains athlètes n’ont pas hésité à déballer leur dotation olympique directement sur TikTok. Les différents membres de l’équipe de France ont, eux, reçu un équipement Le Coq Sportif, la marque française étant l’équipementier officiel des Equipes de France.

    Si chaque pays a son propre équipement olympique, il y a un objet que tous les athlètes, olympiques comme paralympiques, ont reçu de la part de Samsung, qui est sponsor de Paris 2024 : un nouveau téléphone. La marque coréenne offre « à tous les athlètes en compétition » un Samsung Galaxy Z Flip6 « édition olympique » (avec le symbole des anneaux, donc). Il s’agit d’un des smartphones les plus récents de la marque.

    Ce téléphone, tout neuf, n’est même pas encore sorti officiellement. Dévoilé officiellement le 10 juillet, il est encore en précommande sur le site de Samsung et son lancement est prévu pour ce mercredi 24 juillet... et les athlètes y ont donc accès en avant première.

    Il est accompagné d’un « forfait de 100 Go de données internet et appels et SMS illimités » pour que les athlètes (notamment étrangers) puissent « utiliser internet et rester en contact avec [leurs amis] et [leur] famille pendant les jeux », explique le site officiel des Jeux olympiques. Par ailleurs, tous les athlètes se sont également vu offrir une coque de la marque de luxe Berluti, l’habilleur officiel de l’équipe de France pour la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques.
    Un sac de cadeaux

    Ce téléphone, sa sim et sa coque font partie d’un sac remis aux athlètes par Paris 2024 qui contient des cadeaux des différents sponsors des Jeux olympiques. En plus du téléphone, on y trouve également un guide de bienvenue du CIO  ; une gourde Coca-Cola x SIGG et une gourde souple Powerade Paris 2024  ou encore une trousse de toilette P&G avec un désodorisant, du shampoing, du savon, une brosse à dents et du dentifrice.

    Ce n’est pas la première fois que Samsung offre des téléphones aux athlètes. Partenaire olympique mondial depuis 1998, la marque coréenne (qui était également sponsor national pour les jeux de Séoul en 1988) en distribue aux athlètes depuis les jeux de Sotchi 2014. En 2018, pour les jeux de PyeongChang, l’initiative a été étendue aux athlètes paralympiques. Elle s’est poursuivie pour les jeux d’été de Tokyo 2020, et les jeux d’hiver de Pékin 2022.

    Mais attention à ne pas les perdre ! Les téléphones d’une valeur neuve de près de 1200€ ne seront « pas remplacés en cas de perte, de dommage ou de vol », écrit le site officiel des JO, qui précise également qu’en cas d’exclusion des JO, il faudra restituer l’appareil.

  • J’ai un peu honte de ne pas venir jusqu’ici plus souvent alors que j’adore cette communauté, ce que vous partagez et les rebonds nourris et féconds qu’on y trouve.

    En guise de mea-culpa, je vais vous inviter à aller lire un numéro des 8 éditions de https://danslesalgorithmes.net dont je m’occupe désormais, qui j’en suis sûr devrait vous intéresser. Ce numéro, c’est le numéro 7 consacré au marketing numérique : https://danslesalgorithmes.net/archives Un sujet assez peu traité sur les zinternets il me semble. J’y exploite l’EXCELLENT dossier du magazine The American Prospect : https://prospect.org/pricing qui permet de comprendre comment le marketing numérique agit.

    Le dossier montre d’abord que le marketing numérique en exploitant toutes les données personnelles disponibles produit des tarifs qui se modulent selon la capacité à payer des clients au risque qu’il n’y ait plus de prix publics et fixes. Le dossier documente un autre effet, celui d’un marketing de collusion où les tarifs partent partout à la hausse du fait de l’alignement des tarifs proposés via des plateformes de partage de prix de tous les fournisseurs de services dans la plupart des secteurs. Nous voilà confrontés partout à des « cartels de faits » qui permettent désormais de fixer les prix de toute l’industrie en utilisant des algorithmes pour maximiser les profits.

    Le problème que génère ces deux principales transformations, c’est la grande difficulté pour le régulateur à trouver des moyens pour remédier à ces transformations.

    Ce sont là des enjeux que je ne n’avais pas beaucoup vu passer dans mes lectures.

    Il y a plein d’autres sujets à piocher dans la newsletter. Mais si on ne devait n’en retenir qu’un, il me semble que ces questions autour de comment le marketing numérique change le monde, me semblent vraiment essentielles. Bonne lecture ! #marketing #economienumerique

  • Firmenkunden verärgert : Microsoft stellt Office-365-Konnektoren für Teams ein
    https://www.heise.de/news/Workflow-unterbrochen-Microsoft-stellt-Office-365-Konnektoren-fuer-Teams-ein-9

    Voilà pourquoi je suis heureux d’avoir réduit à quasiment zéro ma consommation de drogues produites à Redmond, Washington. J’ai commencé ma désintoxication il y a 25 ans. Depuis les crises répétées comme celle décrite dans l’article ont renforcé mes défenses contre la dépendance et ses effets nocifs.

    11.7.2024 von Tilman Wittenhorst - Microsoft stellt kurzfristig die Office-365-Konnektoren für seine Kollaborationsplattform MS Teams ein und legt Kunden, die für ihre Workflows davon Gebrauch machen, den Umstieg auf das eigene Angebot Power Automate sowie die Workflows-App in MS Teams nahe. Das teilt das Unternehmen in einem Blogbeitrag mit und gibt seinen Kunden etwas mehr als zehn Wochen Zeit, ihre Abläufe umzustellen. Solche konfigurierbaren Konnektoren leiten Informationen externer Quellen als Posting in einen Chat-Kanal in Teams weiter; insbesondere Arbeitsgruppen in Firmen machen hiervon Gebrauch.
    Knappe Frist gesetzt

    In einem Beitrag des Developer-Blogs für Microsoft 365 erläutern zwei Mitarbeiter die Pläne des Unternehmens: Zunächst loben sie die zahlreichen Office-365-Konnektoren für ihre Vielseitigkeit und ihre Beliebtheit bei den Kunden – nur um dann mitzuteilen, dass die Anbindung der Konnektoren an MS Teams bereits zum 15. August 2024 unterbunden werde; ab diesem Datum könnten Kunden keine neuen Konnektoren mehr in Betrieb nehmen. Und zum 1. Oktober 2024 würden sämtliche noch vorhandenen Konnektoren in allen Cloud-Umgebungen ihren Dienst einstellen, heißt es in dem Blogbeitrag. Stattdessen sollen Kunden zur Alternative Power Automate wechseln, damit ein „reibungsloser Betrieb“ gewährleistet bleibe.

    Mit den Konnektoren ergänzen Arbeitsgruppen ihren Austausch um automatisierte Chatnachrichten, sofern sie MS Teams dafür nutzen. Verfügbare Office-365-Konnektoren binden etwa Dienste in Microsofts Azure-Cloud, einen RSS-Feed, ein Trello-Board oder ein GitHub-Repository an, und mit selbst entwickelten Webhooks lässt sich beispielsweise eine Verbindung zu einem Monitoring- oder Ticketing-System oder einer CI/CD-Pipeline herstellen. Erwünschte Informationen tauchen somit als Nachrichten in einem Chatraum auf und bündeln wichtige Informationen für einen Workflow an einem Ort.
    Low-Code-Tool als Alternative

    Als Ersatz empfehlen die Autoren des Blogbeitrags Power Automate aus der hauseigenen Power Platform. Mit dem grafisch orientierten Low-Code-Werkzeug lassen sich Workflows ohne besondere Programmierkenntnisse erstellen und dadurch externe Komponenten mit der Workflows-App in Teams verbinden. Microsoft empfiehlt laut Blogbeitrag Power Automate als „skalierbare, flexible und sichere“ Weise, Konnektoren zu verwenden. Zudem stehe hierfür bereits eine größere Auswahl an Konnektoren bereit. Auch ein Hinweis auf die Secure Future Initiative (die bereits seit 2023 läuft) verweist auf mögliche Sicherheitsbedenken der bisher genutzten Office-365-Konnektoren, auf die der Blogbeitrag jedoch nicht näher eingeht.

    Angesichts der äußerst knappen Fristen und dem harten Schnitt, mit dem Microsoft seine Kunden vor vollendete Tatsachen stellt, sind die zahlreichen Unmutsäußerungen im Diskussionsforum unter dem Blogbeitrag wenig verwunderlich. Einzelne Nutzer merken etwa an, dass eine Übergangsfrist von kaum drei Monaten (noch dazu teils in den Sommerferien) viel zu kurz sei. Außerdem verlange eine Umstellung auf Power Automate auch eine entsprechende Enterprise-Lizenz – und dazu natürlich die nötige Aufwand für die Entwickler. Ferner würden die im Blogbeitrag verlinkten Templates für Power Automate auf die Power Platform verweisen, auf die man ohne gültige Lizenz jedoch keinen Zugriff habe.
    Warnhinweis eingeblendet

    Weitere Vorwürfe in den Kommentaren lauten unter anderem, Microsoft habe aus vergangenen erzwungenen Migrationen nichts gelernt und die Fristen erneut zu kurz angesetzt. Auch nehmen manche Kunde den geplanten Schritt als „schnelles Geldmachen“ wahr, der ihnen nur Aufwand, aber keinen Nutzen bringe. Zudem sei unabsehbar, ob Power Automate überhaupt mit bestimmen Nachrichtenformaten umgehen könne, wenn ein bisher verwendeter Konnektor oder Webhook ersetzt werden müsse. Laut The Register berichten einzelne Kunden, seit Kurzem werde an jede per Webhook erzeugte Teams-Nachricht automatisch ein Warnhinweis angefügt: Darin heißt es, die Office-365-Konnektoren in Teams seien veraltet, empfehlenswert sei der Umstieg auf die Workflows-App.

    Die Anfrage der iX-Redaktion beantwortete Microsoft noch nicht. Eine etwaige Stellungnahme reichen wir an dieser Stelle nach.

    #Microsoft #marketing #wtf

  • Guerra e tecnica: l’umano gesto sotto attacco
    https://radioblackout.org/2024/06/guerra-e-tecnica-lumano-gesto-sotto-attacco

    Era il 1970 quando gli Stati Uniti lanciarono l’operazione Iglù bianco: un aereo della marina lanciò decine di migliaia di microfoni per cogliere i passi dei guerriglieri, rilevatori d’attività sismica per cogliere vibrazioni minime sul terreno, sensori olfattivi per cercare l’ammoniaca presente nell’urina umana. Dispositivi di raccolta dati direttamente legati ai bombardamenti a tappeto in […]

    #L'informazione_di_Blackout #cibernetica #guerra_all'umano #guerra_totale
    https://cdn.radioblackout.org/wp-content/uploads/2024/06/guerratecnica.mp3

  • Louvre, Champs-Élysées, Pont-Neuf : comment l’homme le plus riche du monde s’est offert Paris

    Bernard Arnault a fait main basse sur la capitale. Au-delà des quelque 200 adresses LVMH comptabilisées par Mediapart dans la ville, la multinationale s’octroie à peu de frais des lieux symboliques, avec l’approbation de la mairie. Premier volet de notre enquête sur une razzia.

    [...]

    Les Jeux sont l’occasion pour le magnat du luxe d’achever sa prise de pouvoir symbolique sur la capitale, d’autant plus efficace qu’elle est relativement discrète. Qui a conscience que parmi les marques prestigieuses trustant l’espace public parisien et s’appropriant ses emblèmes, autant sont détenues par Bernard Arnault ?

    L’homme d’affaires règne sur soixante-quinze « maisons » : Louis Vuitton, Christian Dior, Tiffany & Co., les champagnes Krug ou Veuve Clicquot, les montres TAG Heuer et Hublot, Givenchy, Kenzo ou Guerlain, mais aussi Sephora et ses vingt-six parfumeries disséminées intra-muros. Selon notre décompte des boutiques, sièges sociaux, espaces d’exposition, hôtels, cafés ou bureaux du groupe, ce sont au bas mot 200 adresses #LVMH qui peuplent la capitale, du Triangle d’or du VIIIe arrondissement à Saint-Germain-des-Prés, des Champs-Élysées à la place Vendôme.
    https://www.mediapart.fr/journal/france/260524/louvre-champs-elysees-pont-neuf-comment-l-homme-le-plus-riche-du-monde-s-e

    https://justpaste.it/fi6z2


    Le défilé Louis Vuitton sur le Pont Neuf, le 20 juin 2023. © Photo Ludovic Marin / AFP

    #Paris (est à eux) #patrimoine #luxe #privatisation #Ville_de_Paris #JO

    • Des quartiers entiers de Paris se muent en « LVMH-land »

      À coups de milliards, le groupe de Bernard Arnault impose ses boutiques et ses bureaux dans les secteurs les plus prestigieux de la capitale. En faisant si peu de cas du bâti existant qu’une commission municipale est allée jusqu’à fustiger « une conception avant tout publicitaire de l’architecture ».


      Derrière l’image de LVMH sur papier glacé, il y a une autre face de l’empire financiarisé du luxe, prospérant sous nos yeux. Depuis des années, le premier groupe mondial du secteur conduit à bas bruit une stratégie immobilière d’accaparement des lieux de prestige et de patrimoine.

      Même le Wall Street Journal a fini par s’en émouvoir. En avril, le quotidien économique américain a publié une longue enquête sur les adresses investies dans le monde par le groupe de Bernard Arnault, transformant les quartiers et lieux à son idée, avec pour objectif de promouvoir ses soixante-quinze marques, son image et ses richesses. À Miami, à New York, à Montréal, la multinationale achète à tour de bras ou investit à la location les quartiers les plus luxueux, pour mieux asseoir la puissance de ses « maisons », et bien souvent s’assurer un droit de regard sur les autres marques s’installant dans les environs.

      C’est à Paris que l’entreprise se déploie avec le plus de démesure. Le Wall Street Journal rapporte qu’ en 2023 , elle y a dépensé 2 milliards d’euros en achats immobiliers. « Pour LVMH, Paris est devenu un Monopoly où il prend tous les emplacements qui l’intéressent, cingle l’architecte et critique d’#architecture Françoise Fromonot. Quand vous êtes l’homme le plus riche du monde, que vous reste-t-il à conquérir ? L’architecture et l’urbanisme, qui permettent d’imposer votre vision dans le temps, d’influencer la forme d’une #ville, tout en servant vos propres intérêts. »

      Le groupe LVMH est d’abord un groupe de luxe. Dior, Louis Vuitton, Hublot ou encore Berluti s’adressent à une clientèle fortunée et ses magasins quadrillent les quartiers chics de la capitale. Rien que sur les #Champs-Élysées, il y a neuf boutiques du groupe.

      Sephora, au contraire, s’adresse à toutes les couches sociales. Les vingt-six parfumeries de la marque, réparties dans tout Paris, vendent à la fois les produits onéreux des autres maisons LVMH et des produits à plus bas prix.

      Mais LVMH, ce n’est pas que des boutiques. Dans un désir de diversification, le groupe s’est placé sur le marché de la formation, de l’#art, de l’#hôtellerie_de_luxe, allant jusqu’à rattacher des hôtels à des marques pré-existantes comme Bulgari, Dior et bientôt Louis Vuitton.

      S’il y a du prestige à être très visible dans les quartiers chics, l’opulence se vit aussi de manière moins visible. Une grande partie des bureaux et des sièges sociaux du groupe se concentrent dans les quartiers les plus onéreux de la capitale.

      Selon les décomptes de Mediapart, les boutiques du groupe ont essaimé dans une grosse centaine de lieux dans la capitale. Il faut y ajouter une cinquantaine de sièges sociaux, des dizaines de bureaux, une poignée d’hôtels, restaurants et cafés. En tout, LVMH détient ou occupe plus de 200 adresses dans la capitale. La plupart de ces adresses sont (très) visibles dans l’espace public, et environ la moitié d’entre elles sont ouvertes au public.

      Les marques de Bernard Arnault sont désormais prééminentes dans tous les endroits qui comptent. Dans le bois de Boulogne, la fondation Louis-Vuitton accueille depuis 2014 les expositions les plus prestigieuses. Le jardin d’acclimatation, parc d’attraction attenant, est aussi aux mains du groupe, tout comme le bâtiment voisin, l’ex-musée des arts et traditions populaires, que LVMH transforme en centre culturel présentant les « savoir-faire » du groupe. « Le bois de Boulogne, c’est LVMH-land », grince un élu critique.

      Le quartier de la Samaritaine, tout près du Louvre, vit désormais largement sous la bannière LVMH, comme nous le racontons dans le premier volet de notre série. Idem pour l’avenue Montaigne et la place Vendôme, traditionnels centres du luxe parisien, très largement trustés par l’une ou l’autre des marques de prestige de LVMH. Jusqu’à Saint-Germain-des-Prés, où un magasin Vuitton a remplacé La Hune , la librairie qui était le vaisseau amiral de ce mythique repaire de l’intelligentsia parisienne. Interrogé de manière détaillée sur sa stratégie à Paris, le groupe n’a répondu à aucune de nos questions.

      Sur les Champs, les chantiers s’étendent

      Nulle part ailleurs que sur les Champs-Élysées le groupe n’étale autant sa puissance. Ce n’est pas un hasard si son secrétaire général et directeur de l’#immobilier, Marc-Antoine Jamet, missus dominicus de Bernard Arnault auprès de la mairie, est aussi depuis 2018 le président du Comité Champs-Élysées, puissante association des commerçants du quartier.
      Neuf boutiques LVMH sont actuellement ouvertes sur l’artère la plus connue de la capitale, fréquentée par un million de visiteurs et visiteuses mensuel·les (selon une étude du cabinet immobilier Cushman & Wakefield). Et elles seront bientôt suivies par d’autres. La malle Louis Vuitton haute de huit étages et longue de 70 mètres qui trône du 103 au 111 de l’avenue camoufle un chantier XXL, qui accouchera en 2027 du plus grand magasin Vuitton du monde.

      Juste en face, une grande devanture jaune orangé flanquée du logo Bulgari masque les travaux de la boutique, qui devrait rouvrir durant l’été. Au 127 de l’avenue, Christian Dior affiche aussi un permis de construire. Le magasin de 1 000 mètres carrés refait sa façade, masquée sur sept étages par des fausses fenêtres de style classique, tout en miroirs et en lumières, portant en médaillon le logo de la marque.
      De nuit, les lumières des chantiers répondent aux illuminations bleutées du magasin Tiffany & Co, au 62, dont la pompe est elle-même concurrencée par la boutique éphémère de Louis Vuitton au 101, qui étale en relief sur toute sa façade le motif carrelé typique de la marque. La même grandiloquence est de mise pour Sephora, qui s’est installé en 2023 au 72. L’immense porte vitrée haute de deux étages laisse voir la signalétique noir et blanc typique de la marque et un gigantesque tapis rouge.
      La mairie de Paris rappelle que le luxe représente « à peine un tiers des enseignes » de cette avenue, « vitrine du savoir-faire français » qui « participe au rayonnement culturel de la capitale à l’international ». Néanmoins, la montée en gamme y est évidente. À l’intersection des mondes du luxe et de l’immobilier de prestige, l’argent est roi. Et Bernard Arnault, première fortune mondiale selon le magazine américain Forbes, y règne en maître. Pour le seul bâtiment du 144-150 avenue des Champs-Élysées , qui n’a pas encore de destination officielle, il a fait débourser près d’un milliard d’euros fin 2023.

      Place Vendôme, six magasins LVMH

      Bien sûr, le groupe de Bernard Arnault est loin d’être le seul à agir ainsi. Début 2023, Kering, son grand concurrent appartenant à la famille Pinault, a dépensé 640 millions pour le 12-14 rue Castiglione (Ier arrondissement), à deux pas de la place Vendôme, où il veut installer le plus gros magasin parisien de Gucci, sa marque phare. Le groupe des Pinault a aussi déboursé 860 millions d’euros pour installer Yves Saint Laurent au 35 avenue Montaigne, dans l’ex-ambassade du Canada – et juste en face du « vaisseau amiral » Dior, qui jouxte le siège de LVMH.

      Mais par le simple nombre de ses marques de prestige, LVMH domine le paysage dans bien des secteurs clés du luxe triomphant. Un risque qu’a bien identifié David Alphand, élu parisien et vice-président délégué du groupe d’opposition municipale de Rachida Dati. « Ce qui m’inquiète, ce n’est pas l’occupation du territoire par LVMH en soi, mais plutôt qu’il se retrouve à un moment en situation de quasi-monopole de l’espace public, en ayant évincé toute concurrence », confie l’élu.

      Un scénario de fiction ? On n’en est parfois pas si loin. Pour s’en convaincre, rendez-vous place Vendôme, où se regroupent autour de sa fameuse colonne (et du ministère de la justice) certaines des enseignes les plus célèbres de la joaillerie et de l’horlogerie, dans un harmonieux style du XVIIIe siècle. Sur quelques centaines de mètres, LVMH s’y livre à une folle démonstration de force.

      En arrivant par le sud, le passant est accueilli à l’entrée de la place par un immense magasin Vuitton, au numéro 2, flanqué par une boutique Guerlain (située rue Saint-Honoré). Faisant l’angle, le somptueux immeuble invite à poursuivre son chemin. Et à passer, dans l’ordre, entre les numéros 6 et 12 de la place, devant Repossi, Dior, Hublot et Chaumet. Au nord, Bulgari borde l’autre entrée de la place, débouchant sur la rue de la Paix, où Tiffany & Co. est logé au 6, et Fred au 14. Aucun autre groupe ne peut s’aligner : sur la place, le groupe Richemont affiche deux enseignes (Cartier et Van Cleef & Arpels), tout comme Kering (Gucci et Boucheron).
      Pour Bernard Arnault, nul doute, la place Vendôme est un lieu LVMH. Au point qu’en 2022, il a voulu interdire à ses concurrents d’utiliser son nom même, en rachetant à vil prix (10 000 euros) le nom de Vendôme, sous-préfecture du Loir-et-Cher. L’Institut national de la propriété industrielle y a mis le holà.

      Vuitton a néanmoins immortalisé sa domination dans une édition limitée, où son monogramme est juché sur la colonne de bronze de la place. Sur un bijou de sac, une trousse ou un sac à main, petits objets de cuir aux couleurs pop, la boutique Vuitton porte aussi un immense soleil doré, dont les rayons s’étirent tout le long du bâtiment. Un astre triomphant qui rappelle sans trop se cacher la symbolique du Roi-Soleil, et qui a bien existé : le soleil doré a été installé sur la façade pendant plusieurs mois en 2017, à l’occasion de l’inauguration du magasin.

      L’année suivante, c’est la figuration d’un arbre surdimensionné qui occupait toute la largeur de l’immeuble. Et début 2023, une myriade de miroirs arrondis avait pris la place, dans un premier hommage à la peintre japonaise Yayoi Kusama, dont la statue géante allait s’installer quelques mois plus tard devant la Samaritaine.

      Avec ces installations, « ces machins qui brillent » comme il les décrit, « la boutique Vuitton détruit la cohérence et l’homogénéité de la place », s’étrangle Julien Lacaze, président de l’association Sites & monuments, qui défend le patrimoine partout en France. « Dans plusieurs endroits de Paris, LVMH nuit à l’harmonie générale, dans le but de se singulariser, pour mieux vendre des produits », attaque-t-il. Et ce, alors que le groupe base une bonne partie de son #marketing sur les références au bon goût et au luxe ayant traversé les siècles.

      Critiques de la commission du Vieux Paris

      Cette critique de la geste architecturale de LVMH est aussi celle de la très officielle commission du Vieux Paris (CVP). Ce comité municipal, existant depuis 1897, est composé d’une cinquantaine de personnes (élu·es ou ex-élu·es, architectes et autres expert·es), chargées de conseiller le ou la maire sur ce sujet. Ses avis ne sont que consultatifs.
      D’après un de ses membres éminents, « il faut prendre avec beaucoup de prudence l’image revendiquée par LVMH autour de la valorisation du patrimoine ». Il estime que commission estime que le groupe montre en fait assez peu d’égards envers l’architecture parisienne, la continuité et la spécificité de son paysage urbain.

      Des bâches publicitaires sur tous les bâtiments prestigieux

      Prendre la rue, pour LVMH comme pour ses concurrents du luxe, c’est aussi investir les façades en travaux, en les masquant avec les immenses bâches publicitaires qui sont devenues courantes dans les centres-villes. Autorisées depuis 2007 sur les bâtiments historiques en travaux, ces bâches sont payantes, les tarifs atteignant parfois un million d’euros par mois. Elles peuvent couvrir de 20 % à 100 % des coûts des travaux qu’elles masquent.

      « Les gens de la mode ont une jubilation à être sur ces énormes panneaux publicitaires, raconte le chroniqueur Loïc Prigent, commentateur autorisé mais impertinent de cet univers. Dès qu’une maison a un peu de budget, le réflexe est de se faire plaisir sur d’énormes échafaudages. »

      Et les « maisons » de Bernard Arnault ne manquent pas ce type de rendez-vous, leur nombre rendant parfois le groupe plus que visible dans les rues parisiennes. En janvier 2022, une gigantesque pirogue Louis Vuitton ornait la façade de l’église de la Madeleine, au moment même où une toile de la marque Céline recouvrait le Théâtre de la Ville et que Loewe s’affichait sur le tribunal de commerce, sur l’île de la Cité.

      Cet affichage dans l’espace public devrait augmenter de façon exponentielle pendant les Jeux olympiques : une dérogation à la loi autorise les partenaires officiels des Jeux, dont LVMH, à s’affranchir des règles habituelles pour installer logos et pubs géantes sur des sites et des monuments classés.
      En matière d’architecture, le géant du luxe déploie partout dans la ville « une stratégie générale », jugée « très envahissante », résume l’expert de la CVP. Dernier exemple, et non des moindres : la réfection de la façade de son siège, 22 avenue Montaigne. À cette occasion, la commission a obtenu une petite victoire.

      Initialement, le groupe voulait imposer sur toute la façade un motif blanc étincelant, répété sur les neuf étages. Officiellement inspiré d’une méthode de tissage japonaise, ce motif ressemblait aussi à celui qui se répète à l’envi sur les produits Vuitton. De quoi susciter une levée de boucliers à la CVP. « Tout cela est exagéré, outrecuidant », regrettait l’un de ses membres. « Ce bâtiment est tout de même situé dans un continuum urbain prestigieux, en plein Paris », martelait un second.
      Dans sa résolution finale de mars, la commission a dénoncé la démarche consistant « à apposer un sigle sur l’immeuble et à imposer une marque dans l’espace public », critiquant ouvertement « une conception avant tout publicitaire de l’architecture ».
      L’opposition a été telle que le groupe a proposé en avril un dessin « plus discret », indique-t-on à la CVP. Lors d’une séance en début d’année, la commission s’était aussi opposée au projet de restructuration du 150 avenue des Champs-Élysées, qui prévoyait notamment la destruction d’un escalier et de décors en marbre. LVMH vient d’indiquer qu’il allait suivre ses préconisations.

      Le groupe semble avoir changé de stratégie. Par le passé, il a plusieurs fois fait fi des avis de l’institution. Le résultat est notamment visible au 261 rue Saint-Honoré, pour une de ses principales boutiques Dior, recouverte d’un matériau blanc sur la totalité de la façade. La commission avait regretté une « modification radicale », escamotant les marqueurs « caractéristiques du néoclassicisme de la fin du XVIIIe siècle ».
      Même déconvenue autour de l’ex-musée des arts et traditions populaires. « Ce sera du verre très blanc et réfléchissant, et quelque chose sera gravé dedans, des lettres ou des signes, on ne sait pas très bien », s’inquiète un membre de la CVP.

      « Rideau de douche » rue de Rivoli

      Mais la mère des batailles sur la transformation architecturale, finalement remportée par le groupe après des années, a concerné la #Samaritaine. Racheté fin 2000 par LVMH, le grand magasin a rapidement été engagé dans un profond toilettage. Mais à partir de 2005, des associations de sauvegarde du patrimoine ont lancé la bataille, notamment contre la modification de la façade rue de Rivoli, classique bâtiment parisien devant être remplacé par une verrière ondulée transparente, aussitôt surnommée « le rideau de douche » par ses détracteurs.

      L’architecte Françoise Fromonot pointe la responsabilité de la #mairie_de_Paris, dont « la hantise, depuis Bertrand Delanoë, est que Paris soit une “ville musée”, ne soit plus à la #mode ». La ville avait en effet autorisé la transformation rue de Rivoli. En 2012, les divers recours en justice ont bloqué les travaux pour trois ans. Le groupe a perdu le procès en première instance, puis en appel. Avant de l’emporter in extremis devant le Conseil d’État, en juin 2015.

      « LVMH a rasé un pâté de maisons quasiment en entier, au cœur de Paris ! Et le Conseil d’État a finalement laissé faire », s’émeut le journaliste Didier Rykner, patron du magazine en ligne La Tribune de l’art. « On s’est attaqués à trop puissant et on s’est cassé les dents », convient Julien Lacaze, dont l’association Sites & monuments a mené l’assaut juridique.

      Au cœur du conflit, l’interprétation des règles du plan local d’urbanisme (#PLU). « Pour nous, le PLU de Paris était très équilibré, autour d’une idée : ni pastiche ni rupture, explique Julien Lacaze. Quand vous détruisez un bâtiment pour reconstruire, il faut préserver certains éléments de continuité. Cela peut être un matériau ou un gabarit qu’on reprend, une forme générale, une toiture… »

      La justice a finalement octroyé une bien plus grande liberté à LVMH. Et la nouvelle Samaritaine a ouvert ses portes en 2021. « Il n’y a plus aucune obligation d’intégration des nouveaux bâtiments dans leur environnement », regrette encore aujourd’hui Julien Lacaze. De ce point de vue, considère-t-il, « LVMH a fait beaucoup de mal à tout Paris ».

      Dan Israel, Martine Orange, Khedidja Zerouali et Florence Loève
      https://www.mediapart.fr/journal/france/280524/des-quartiers-entiers-de-paris-se-muent-en-lvmh-land

      #publicité #commerce #onestpluscheznous

  • Milan la ville forgée par le #socialwashing - #greenwashing au profit des riches

    Le livre super efficace de Lucia Tozzi raconte la dernière grande #transformation de Milan au bénéfice des profits de la #spéculation financière-immobilière à travers un bombardement de communication du sociawashing mixé avec le greenwashing, donc la #gentification aux dépenses des moins fortunés contraints à migrer ailleurs ou expulsés. Un cas exemplaire de contrerévolution néolibérale pervasive.

    Ceux qui visitent Milan aujourd’hui ne pourront jamais imaginer que jusqu’au début des année 1970 cette ville était la capitale du mouvement ouvrier, avec des grèves et manifs de cent-cinquante mille travailleurs, étudiants et habitants, la plus importante ville industrielle, commerciale et des groupes financiers d’Italie. Depuis la ville n’a pas arrêté de perdre des centaines de milliers d’habitants (aujourd’hui 1.371.850 résidents dont environ 40% qui y sont nés). Et le turnover de ses résidants augmente de plus en plus : de 1971 à 2022 on a eu presque deux millions de nouveaux inscrits à l’état civil et deux millions d’effacés (émigré ailleurs). De 2001 à la fin de 2021 on a eu 40.520 décès plus des naissances. Un turnover que selon Lucia Tozzi arrange bien le « modèle » de ville que les administrateurs et les acteurs dominants poursuivent : une ville de gens qui n’ont pas de racines, qui n’ont pas de mémoire du territoire, qui sont prêtes à être phagocytés par les discours dominant merci au bombardement de la communication pervasive.

    Jusqu’au début des année 2000 Milan était une ville plutôt triste et en déclin. Comme raconte Lucia Tozzi c’est avec l’Expo de 2005 que tout est bouleversé par la stratégie des grands groupes financiers-immobiliers qui misent sur une communication hyper pervasive et efficace mélangeant le discours de la pseudo-conversion verte (le greenwashing à la mode un peu partout dans le monde) et le discours pseudo-social (socialwashing) qui fait croire dans des projets qui en réalité ne font que donner aux privés de plus en plus du patrimoine public ; c’est notamment le cas de ce qu’on appelle le social housing, c.à.d. la privatisation déguisé des logements HLM et ILM ou leur insertion dans le marché des locations et ventes aux prix … de marché qui maintenant à Milan est en voie de s’approcher de celui de Paris.

    La littérature mainstream des intellos et académiciens bien aimés par les acteurs dominants (par exemple Patrick Le Galès) ne rend pas compte de ce processus et au contraire exalte les changements e cours comme une fabuleuse « renaissance » bien gouvernée. Ainsi, Lucia Tozzi n’arrête pas de décrypter cette littérature qui concerne aussi les experts des plusieurs Fondations derrière lesquelles on trouve les groupes financiers-immobilières transnationaux. De fait Milan devient la capitale ou province du capitalisme néo-libéral globalisée. Une ville à la merci de la spéculation du Real Estate, des économies souterraines, la ville la plus polluée d’Europe (comme le montrent les images satellitaires européennes ainsi que l’état des cours d’eaux, des terrains et de l’agriculture des environs, l’énorme quantité d’élevages industriels et aussi les données sur la mortalité). Une réalité effrontément coupée en deux notamment entre la très longue queue de pauvres qui quotidiennement attendent d’avoir un petit sachet d’aliments devant la porte du Pane quotidiano, les familles des périphéries (qui maintenant la langue socialwashing appelle quartier en voie de requalification), la ville des riders et des dizaines de milliers de navetteurs, des étudiants non-résidents qui n’arrivent pas à avoir un lits vue les prix hallucinants, et, de l’autre coté la ville des dizaines de nouveaux tours des grandes firmes et groupes financiers avec autour leurs squares aux bistros et boutiques de luxe. Les acteurs dominants de la ville avec le plein soutien de l’administration (de “gauche”) n’arrêtent pas de construire des logements hyper chers (pas moins de mille euros à chambre et récemment en très forte augmentation).

    Selon le site UE l’Italie est première en UE pour la TVA non collectée (évadée) et la province de Milan (ainsi que toute la Lombardie) est la région avec le plus haut montant d’évasion fiscale et des contributions sociales. 25% des contribuables ont un revenu annuel inférieur à 10 mille euros, 11% ceux avec un revenu entre 10 mille et 15 mille et 26% ceux entre 15 mille et 26 mille ; donc 62% des contribuables n’atteignent pas un revenus annuel de plus de 26 mille euros, alors que 7% dépassent 75 mille euros. Bref, le revenu annuel du quinzième plus riche de la population atteigne 105 mille euros et plus, tandis que le quart le plus pauvre ne dispose que de 4.521 euros.

    Cette situation est en rapide évolution dans le sens quel les moins fortunés sont contraints à émigrer vers les banlieues les plus pauvres. Par ailleurs les contribuables avec les plus hauts revenus sont souvent les fraudeurs du fisc, toujours bien épaulés par des experts dans ce domaine ainsi que dans celui des paradis fiscaux. Remarquons qu’en Italie presque toujours les forces de police et une partie de la magistrature sont complices des illégalismes des acteurs dominants ; cela depuis Berlusconi et l’ex-gauche qui a gouverné en alternance aux droites. Et maintenant, ce n’est pas un hasard que l’actuel gouvernement fasciste ne fait qu’adopter des décrets et lois en faveur de l’évasion fiscale et des contributions sociales, bref des économies souterraines et donc des illégalismes des dominants. Par ailleurs on constate un très fort turnover de la plupart des activités économiques, (surtout bistros, boutiques d’alimentation ou de pacotilles etc., petits restos etc.).

    Mais comme raconte Lucia Tozzi les critiques et contestations de la dérive néolibérale de la ville sont très limitées, marginalisées, obscurées tout d’abord parce que la grande majorité des habitants est prisonnière d’une double piège : celle de la communication très phagocytante/pervasive et celle des réseaux. Il y a un chape de propagande et censure diffusées merci au chantage : “On est toujours sur le bord de l’abime, mais la seule voie du salut est communiquer tous ensemble qu’ici tout va bien ! Que Milan est une exception, un modèle positif, vertueux ! Lors de l’explosion de la pandémie qui a frappé Milan plus que toutes les autres villes italiennes, le maire (de “gauche”) avait lancé le slogan : #milanononsiferma (Milan ne s’arrête pas !) et encore après les fortes critiques reçues il a déclaré : “En ville le retour à la normalité sera dans une paire de mois”. Bref l’idée est que si on collabore tous ensemble on va convaincre le monde que c’est vrai et on va gagner. Quant aux réseaux c’est l’effet de la prolifération énorme des projets et des appels d’offre pour toutes sortes de projets et n’importe quoi. Cela contraigne à se mettre en réseau et à se plier aux règles et cages de ces appels qui inévitablement conduisent à faire et dire ce qui veulent les donneurs des financements.

    La narration dominante dit : « le public n’a pas d’argent et il est nul, le privé fait mieux et rapidement ». La marche dévastatrice de la privatisation a commencé dans le secteur de la santé par œuvre de la région aux mains de la droite la plus ignoble (Comunione e Liberazione, la holding-secte de cathos de droite dont l’alors président de la région était un fidèle adepte -il fut ensuit condamné pour corruption … mais pas pour tous les délits commis pendant presque quinze ans de pouvoir). Depuis la privatisation a grimpé sans arrêt jusqu’au point que progressivement la Mairie a confié aux privés presque tout le patrimoine immobilier (piscines, parcs, squares, places publiques, jardins, écoles, bibliothèques, logements etc. etc.). La justification passée comme indiscutable a été que tout ce patrimoine était délabré, dans un état qui rendait impossible son utilisation et la Mairie n’avait pas l’argent pour les travaux nécessaires à la restauration. Dès lors toute la ville est devenue une suite de zones exclusives maitrisées par les propriétaire de fait des espaces « publics » … interdits à ceux qui par les faciès ou l’allure conformes à des quartiers de riches consommateurs ; chaque espace de ce genre est hyper surveillé par des polices privées, vidéosurveillance à gogo etc.

    Un autre fait emblématique est que la participation aux élections communales a chuté à environ 40%, ce qui permet de gouverner avec à peine 20-22% des ayants droit de vote (c’est aussi le cas de presque toutes les villes italiennes). C’est le triomphe de la post-politique et de la dépolitisation généralisée. Un processus qui convient bien à tous les partis car ainsi ils ont moins de clientèle à cultiver ou acheter. En plus comme le remarque Lucia Tozzi il est éclatant noter que la plus forte abstention concerne les banlieues (comme en France) parce que leurs habitants sont depuis longtemps abandonnés par tous : ils ne correspondent pas à aucun profil convenant pour une ville qui mise sur les consommateurs aisés ou en mesure de dépenser assez pour un after hours, pour la soirées dans les dehors ou les innombrables boites où on mange, on écoute de la musique (souvent horrible) ou quelques jeunes rappeurs… alors il est évident que les moins fortunés des banlieues ne méritent que d’être chassé le plus loin possible de la ville qui doit être réservée surtout sinon uniquement à des résidents aisés et bien réceptifs de la communication des acteurs dominants.

    Bien au-delà de ses spécificités, Milan est une réalité tout à fait similaire à celle que presque toutes les villes aspirent à imiter. L’autrice cite nombre d’exemples, de la New York de Bloomberg à Londres, Paris, Vienne, Berlin, Barcelone etc. et une vaste littérature. Il apparait alors que Milan Mais est sans doute un cas extrême dans une Italie qui maintenant est aux mains d’une coalition de droite qui gouverne avec 27% des ayants droit de vote (le fascisme "démocratique" au pouvoir). Mais comme signale Lucia Tozzi, il est possible contraster cette dérive réactionnaire suivant l’exemple de ville comme Berlin où le mouvement des habitants a réussi à obliger la mairie à investir dans un très grand parc vraiment public totalement en dehors de toutes les visées des entrepreneurs-spéculateurs privés.

    Ce livre mérite d’être publié en français.

    https://blogs.mediapart.fr/salvatore-palidda/blog/030524/milan-la-ville-forgee-par-le-socialwashing-greenwashing-au-profit-de

    #géographie_urbaine #Milan #Italie

  • Something is rotten in the state of Denmark.
    https://fashionweek.berlin/blog/single-news/berlin-fashion-week-partner-uber.html#:~:text=In%20dieser%20Saison%2


    Shakespeare, Hamlet, Act I, Scene 4, line 90

    https://www.cliffsnotes.com/cliffsnotes/subjects/literature/what-is-the-exact-quote-in-hamlet-about-something

    In dieser Saison feiert auch Uber sein Debüt auf der deutschen Modebühne: Das Mobilitätsunternehmen wird erstmals offizieller Partner der Berlin Fashion Week 2024 und während der Modewochen im Februar und Juli auf verschiedene Art und Weise präsent sein. Unter anderem wird Uber den Shuttleservice für internationale Gäste und Journalist:innen vermitteln, hinzu kommen Ticketverlosungen für Runway-Shows und weitere Aktionen bei Fahrten, die über die Uber-App in Berlin gebucht werden.

    Ein weiteres Highlight ist die Zusammenarbeit mit der in Berlin lebenden und international gefeierten Designerin Sia Arnika. Im Februar präsentiert die gebürtige Dänin nicht nur erneut ihre Kollektion auf der Berlin Fashion Week, sondern sie lieferte nun auch die Vorlage der Designs, die ab sofort Premium-Fahrzeuge in der Hauptstadt zieren. Wer modisch von A nach B fahren möchte, wählt in der Uber-App – bis zum 9. Februar – einfach die neue Vermittlungsoption „Berlin Fashion Week“ aus.

    „Mit unserer Partnerschaft wollen wir die Modeszene unterstützen und unsere Verbundenheit mit der Stadt Berlin zeigen“, sagt Christoph Weigler, General Manager Uber DACH. „Wir möchten aufstrebende, junge Designerinnen und Designer unterstützen und ihnen durch unsere Plattform mehr Sichtbarkeit verschaffen. Gemeinsam mit Sia Arnika bringen wir ein ganz besonderes Designprojekt auf die Straße.“

    Zusätzlich feiert Uber 2024 das zehnjährige Bestehen des Unternehmens in Deutschland und würdigt das Jubiläum – neben der Partnerschaft mit der Berlin Fashion Week – mit vielen weiteren Aktionen. Unter anderem wird Uber erneut einer der Hauptpartner der Berlinale und des Bundespresseballs sein. Außerdem hat das Unternehmen vor kurzem bekannt gegeben, dass einer der bekanntesten Veranstaltungsorte Berlins, die Mercedes-Benz-Arena, ab 22. März Uber Arena heißen wird. Auch die Verti Music Hall erhält einen neuen Namen und wird zukünftig Uber Eats Music Hall heißen.

    Über Uber

    Uber ist ein Technologieunternehmen, das Menschen weltweit per Smartphone-App auf Knopfdruck mit verschiedenen Services verbindet. Die Mobilitätsplattform bietet ihren Nutzer:innen Zugang zu alternativen Beförderungsmöglichkeiten, Lieferdiensten und Frachtservices. Uber ist in mehr als 10.000 Städten in 71 Ländern aktiv und revolutioniert die Art und Weise, wie Menschen sich fortbewegen. In Deutschland feiert Uber 2024 seinen zehnten Geburtstag. Seit zehn Jahren hilft das Unternehmen Menschen dabei, sicher, komfortabel und bequem von A nach B zu kommen. Der Fahrtenvermittlungsservice von Uber ist derzeit in 19 Regionen verfügbar: In Berlin, München, Düsseldorf, Frankfurt/M., Wiesbaden, Mainz, Köln, Hamburg, im Großraum Stuttgart und in der Region Duisburg sowie in Essen, Leverkusen, Neuss, Bergisch Gladbach, Bonn, Hannover, Mannheim, Augsburg und Heidelberg.

    Mehr über Sia Arnika
    https://fashionweek.berlin/designer-2024/sia-arnika.html

    https://fashionweek.berlin/designer-2024/sia-arnika.html

    Sales Kontakt: sales@siaarnika.com
    PR Kontakt: press@siaarnika.com
    https://www.siaarnika.com
    https://www.instagram.com/sia.arnika

    ABOUT THE LABEL

    Das in Berlin ansässige Label SIA ARNIKA, gegründet von der gleichnamigen dänischen Designerin, verbindet Minimalismus und Maximalismus zu einer eigenen, alternativen Realität. Sie greift auf kulturelle Referenzen und Erzählungen zurück, um aktuelle kulturelle Entwicklungen und alte Märchen zu erforschen. Die Entwürfe stellen konventionelle Normen durch experimentelle Normalität in Frage, in der gegensätzliche Kräfte im selben Universum koexistieren. Die Kollektionen sind oft von Folklore, Mystik und Erinnerungen inspiriert, was sich in der Verwendung von komplizierten, absichtlichen Verzerrungen und unkonventionellen Formen widerspiegelt. Die Designs der Marke werden oft als Spiegel der zeitgenössischen Kultur Berlins gesehen. Ziel ist es, durch eine harmonische Mischung aus Anonymität und mutigem Selbstausdruck zum Nachdenken anzuregen. Der Fokus auf nachhaltige Produktion und hohe Handwerkskunst fördert Slow Fashion und respektiert die Kunst der Bekleidungsherstellung.

    ABOUT THE SHOW

    “Meine Kollektionen leben vom Gegensätzlichen. In dieser Saison kreisen meine modischen Erzählungen um Kontraste wie Unordnung und Verzierung, das Alltägliche und das Provokative sowie die Kunst des Schichtens und Formens”, sagt Berlin Contemporary-Designerin Sia Arnika über ihre Herbst/Winter 24/25 Kollektion.

    Als erneute Berlin Contemporary-Gewinnerin präsentierte Sia Arnika ihre Looks für Herbst/Winter 2024/25 in einem ehemaligen Club am Potsdamer Platz. Welche Ikone der Stummfilmära die gebürtige Dänin inspirierte, erklärt sie hier.

    “Mit dieser Runway-Show beginnt ein neues Kapitel für Sia Arnika. Die Kollektion ist inspiriert von Stummfilmstar Asta Nielsen. 1881 in Dänemark geboren, spiegelt ihr Erfolgs-Aufstieg in der Stummfilmära in Berlin auch meine eigene Reise wider. Eine Vielzahl meiner Looks sind ganz konkret von einigen ihrer unterschiedlichen Rollen inspiriert: Von der androgynen “Hamlet” bis hin zur verführerischen “Abyss”, erforscht die Kollektion die Kraft der Verwandlung durch Kleidung, Stoffe und Ausdruck.

    Alles beginnt mit dem Stoff, seinen Texturen, Formen, der Dekonstruktion und den zahlreichen Gegensätzen, von denen alle meine Kollektionen leben: Unordnung und Verzierung, das Alltägliche und das Provokative sowie die Kunst des Schichtens und Formens.“

    Alle Bilder sowie ausführliche Kollektionstexte und Informationen sind im offiziellen Berlin Fashion Week MEDIA HUB zu finden.
    https://fashionweek-berlin.presscloud.com/digitalshowroom/#/gallery

    #Berlin #Dänemark #Mode #Uber #Marketing #Propaganda #Militarismus

  • Besucher fuhren hunderte Kilometer -Massen-Ansturm auf Karls Erlebnisdorf
    https://www.bz-berlin.de/deutschland/massen-ansturm-auf-karls-erlebnisdorf


    Bei der Eröffnung von Karls Erlebnis-Dorf durchschneiden der Oberbürgermeister der Stadt Döbeln, Sven Liebhauser (CDU, l-r), Robert Dahl, Inhaber Karls Markt OHG, und Sachsens Ministerpräsident Michael Kretschmer (CDU) das Eröffnungsbanner

    23.3.2024 von Thomas Fischer - Regnet es im Sommer-Urlaub an der Ostsee, flüchten die Strand-Urlauber in die Erlebnisdörfer von Karls. Auch am Samstag regnete es – diesmal in Sachsen. Und Besucher aus ganz Deutschland stürmten Karls neusten Freizeitpark in Döbeln.
    Hunderte standen in der Warteschlange

    Margit Damme (63, Reinigungskraft) mit Enkel Silas (7) waren die Ersten in der Warteschlange: „Mein Enkel ist großer Karls Fan. Schon 4.30 Uhr konnte er nicht mehr schlafen, da haben wir uns 7 Uhr angestellt.“ Hunderte standen hinter ihr in der Schlange, um 9 Uhr eröffnete das Freizeitland mit seinen 46 Attraktionen. Der Parkplatz an der A14 rappelvoll mit Autos aus Sachsen, Bayern, Thüringen, Brandenburg und Sachsen-Anhalt.

    Rätselhafter Kult um die Erdbeere

    Beim Konzept der Freizeitparks dreht sich alles um die Erdbeere. Hier gibt es Marmeladen in allen Variationen zu kaufen, Erdbeer-Plüschtiere, Erdbeer-Fahrgeschäfte und so weiter.

    Alles begann einst mit einem Erdbeer-Selbstpflückhof in Mecklenburg-Vorpommern – und dem kleinen Obstbauern Robert Dahl (52) kam die Freizeitpark-Idee. Mit viel unternehmerischen Risiko schuf er nach der Wende eine erfolgreiche Erlebnisdorf-Kette.

    Die Besucher lieben das und vor allem den Erfinder – ihn himmeln die Karls-Fans regelrecht an, wie ein Popstar. Die Besucher in Döbeln wollten Selfies oder Fotos vom sympathischen Selfmade-Millionär Robert Dahl (52). Sachsens Ministerpräsident Michael Kretschmer (48, CDU) stand bei der Eröffnung des sechsten Karls-Dorfes daneben, schaute dem Kult um Dahl erstaunt zu.


    Als Selfie-Motiv gefragt: Erdbeer-Chef Robert Dahl (52) mit Besucherin Kathrin Blüthmann (43, Bürokauffrau) aus Perleberg (Brandenburg) Foto: Picxell

    Dahl sagt bescheiden zu B.Z.: „Die Leute verspüren bei uns eine positive Energie, nur so kann ich mir das erklären.“ Besucherin Stefanie Manig (35, Postzustellerin): „Wenn man hier bei Karls ist, kommt man in eine andere Welt. Da kann man einfach mal abschalten.“ Und alles erinnert an Ostsee-Urlaub und Landlust. Diese Worte hört man häufig, die Karls-Fans sind dankbar, dass Dahls Dörfer vom Alltags-Stress ablenken.

    Hardcore-Fans schliefen im Auto

    Positiv verrückt: Jessica Mielsch (28, Schweinezüchterin) und Freund Sandro Schmidt (46, Angestellter) aus Schleusingen (Thüringen) kamen 260 Kilometer nach Sachsen gefahren – und zwar schon am Vortrag. Sie schliefen im Kofferraum ihres Skodas, um bei der Eröffnung dabei zu sein. Opa musste derweil zu Hause auf Sohn Dario (2) aufpassen. Mielsch zu B.Z.: „Wir sind die größten Karls-Fans und wollten die Eröffnung auf keinen Fall verpassen, das ist hier wie Urlaub – und das neuste Dorf wollten wir unbedingt sehen.“

    Das kostet der Besuch bei Karls

    Der Eintritt in Karls Erlebnisdörfern ist frei. Tagestickets werden für kostenpflichtige Fahrgeschäfte benötigt und kosten je nach Standort unterschiedlich – von 12,50 bis 22,50 Euro. Die Jahreskarte kostet 39,90 Euro. Karls Erlebnis-Dörfer gibt es auf Rügen, Usedom, bei Rostock, bei Lübeck, bei Berlin und in Döbeln (Mittelsachsen).

    Wie heißt es nun richtig?

    Robert Dahl sagt manchmal auch Erdbeerhof statt Erdbeer-Dorf, wie seine Freizeitparks offiziell heißen. Hof war einmal der ursprüngliche Name. Der Erdbeer-Chef verrät: „Wir haben schon überlegt, ob wir wieder Erdbeerhof heißen.“ Doch zunächst soll alles erstmal so bleiben, wie es ist.
    Neues Dorf in Rekordzeit gebaut

    Döbelns Oberbürgermeister Sven Liebhauser (42, CDU) hatte Robert Dahl einmal einen Brief geschrieben, warum es eigentlich kein Karls Erlebnisdorf in Sachsen gibt. So kam der Kontakt zustande. Gab es Probleme, wurden diese dann am Tisch von Sachsens Regierungschef Kretschmer weggeräumt.

    Nach dreieinhalb Jahren Planungszeit wurde das 30-Millionen-Projekt in Sachsen dann in Rekordzeit aus dem Boden gestampft. Erlebnisdorf-Chef Dahl: „Acht Monate Bauzeit, das hatten wir noch nie. Das nächste Erlebnisdorf soll übrigens in Loxstedt in Niedersachsen entstehen.“

    #tourisme #marketing

  • #Ikea, le seigneur des forêts

    Derrière son image familiale et écolo, le géant du meuble suédois, plus gros consommateur de bois au monde, révèle des pratiques bien peu scrupuleuses. Une investigation édifiante sur cette firme à l’appétit démesuré.

    C’est une des enseignes préférées des consommateurs, qui équipe depuis des générations cuisines, salons et chambres d’enfants du monde entier. Depuis sa création en 1943 par le visionnaire mais controversé Ingvar Kamprad, et au fil des innovations – meubles en kit, vente par correspondance, magasins en self-service… –, la petite entreprise a connu une croissance fulgurante, et a accompagné l’entrée de la Suède dans l’ère de la consommation de masse. Aujourd’hui, ce fleuron commercial, qui participe pleinement au rayonnement du pays à l’international, est devenu un mastodonte en expansion continue. Les chiffres donnent le tournis : 422 magasins dans cinquante pays ; près d’un milliard de clients ; 2 000 nouveaux articles au catalogue par an… et un exemplaire de son produit phare, la bibliothèque Billy, vendu toutes les cinq secondes. Mais le modèle Ikea a un coût. Pour poursuivre son développement exponentiel et vendre toujours plus de meubles à bas prix, le géant suédois dévore chaque année 20 millions de mètres cubes de bois, soit 1 % des réserves mondiales de ce matériau… Et si la firme vante un approvisionnement responsable et une gestion durable des forêts, la réalité derrière le discours se révèle autrement plus trouble.

    Greenwashing
    Pendant plus d’un an, les journalistes d’investigation Xavier Deleu (Épidémies, l’empreinte de l’homme) et Marianne Kerfriden ont remonté la chaîne de production d’Ikea aux quatre coins du globe. Des dernières forêts boréales suédoises aux plantations brésiliennes en passant par la campagne néo-zélandaise et les grands espaces de Pologne ou de Roumanie, le documentaire dévoile les liens entre la multinationale de l’ameublement et l’exploitation intensive et incontrôlée du bois. Il révèle comment la marque au logo jaune et bleu, souvent via des fournisseurs ou sous-traitants peu scrupuleux, contribue à la destruction de la biodiversité à travers la planète et alimente le trafic de bois. Comme en Roumanie, où Ikea possède 50 000 hectares de forêts, et où des activistes se mobilisent au péril de leur vie contre une mafia du bois endémique. Derrière la réussite de l’une des firmes les plus populaires au monde, cette enquête inédite éclaire l’incroyable expansion d’un prédateur discret devenu un champion du greenwashing.

    https://www.arte.tv/fr/videos/112297-000-A/ikea-le-seigneur-des-forets
    #film #film_documentaire #documentaire #enquête
    #greenwashing #green-washing #bois #multinationale #meubles #Pologne #Mazovie #Mardom_House #pins #Ingvar_Kamprad #délocalisation #société_de_consommation #consumérisme #résistance #justice #Fondation_Forêt_et_citoyens #Marta_Jagusztyn #Basses-Carpates #Carpates #coupes_abusives #exploitation #exploitation_forestière #consommation_de_masse #collection #fast-furniture #catalogue #mode #marketing #neuro-marketing #manipulation #sous-traitance #chaîne_d'approvisionnement #Sibérie #Russie #Ukraine #Roumanie #accaparement_de_terres #Agent_Green #trafic_de_bois #privatisation #Gabriel_Paun #pillage #érosion_du_sol #image #prix #impact_environnemental #FSC #certification #norme #identité_suédoise #modèle_suédois #nation_branding #Estonie #Lettonie #Lituanie #lobby #mafia_forestière #coupes_rases #Suède #monoculture #sylviculture #Sami #peuples_autochtones #plantation #extrême_droite #Brésil #Parcel_Reflorestadora #Artemobili #code_de_conduite #justice #responsabilité #abattage #Nouvelle-Zélande #neutralité_carbone #compensation_carbone #maori #crédits-carbone #colonisation

    • #fsc_watch

      This site has been developed by a group of people, FSC supporters and members among them, who are very concerned about the constant and serious erosion of the FSC’s reliability and thus credibility. The group includes Simon Counsell, one of the Founder Members of the FSC; Hermann Edelmann, working for a long term FSC member organisation; and Chris Lang, who has looked critically at several FSC certifications in Thailand, Laos, Brazil, USA, New Zealand, South Africa and Uganda – finding serious problems in each case.

      As with many other activists working on forests worldwide, we share the frustration that whilst the structural problems within the FSC system have been known for many years, the formal mechanisms of governance and control, including the elected Board, the General Assembly, and the Complaints Procedures have been highly ineffective in addressing these problems. The possibility of reforming – and thus ‘saving’ – the FSC through these mechanisms is, we feel, declining, as power within the FSC is increasingly captured by vested commercial interest.

      We feel that unless drastic action is taken, the FSC is doomed to failure. Part of the problem, in our analysis, is that too few FSC members are aware of the many profound problems within the organisation. The FSC Secretariat continues to pour out ‘good news stories’ about its ‘successes’, without acknowledging, for example, the numerous complaints against certificates and certifiers, the cancellation of certificates that should never have been awarded in the first place, the calls for FSC to cease certifying where there is no local agreement to do so, the walk-outs of FSC members from national processes because of their disillusionment with the role of the economic chamber, etc. etc. etc.

      There has been no honest evaluation of what is working and what is not what working in the FSC, and no open forum for discussing these issues. This website is an attempt to redress this imbalance. The site will also help people who are normally excluded from the FSC’s processes to express their views and concerns about the FSC’s activities.

      Please share your thoughts or information. Feel free to comment on our postings or send us any information that you consider valuable for the site.

      UPDATE (25 March 2010): A couple of people have requested that we explain why we are focussing on FSC rather than PEFC. Shortly after starting FSC-Watch we posted an article titled: FSC vs PEFC: Holy cows vs the Emperor’s new clothes. As this is somewhat buried in the archives, it’s reproduced in full here (if you want to discuss this, please click on the link to go to the original post):
      FSC vs PEFC: Holy cows vs the Emperor’s new clothes

      One of the reasons I am involved in this website is that I believe that many people are aware of serious problems with FSC, but don’t discuss them publicly because the alternative to FSC is even worse. The alternative, in this case is PEFC (Programme for the Endorsement of Forest Certification schemes) and all the other certification schemes (Cerflor, Certflor, the Australian Forestry Standard, the Malaysian Timber Certification Council and so on). One person has suggested that we should set up PEFC-Watch, in order “to be even-handed”.

      The trouble with this argument is that PEFC et al have no credibility. No NGOs, people’s organisations or indigenous peoples’ organisations were involved in setting them up. Why bother spending our time monitoring something that amounts to little more than a rubber stamp? I can just see the headlines: “Rubber stamp PEFC scheme rubber stamps another controversial logging operation!” Shock, horror. The Emperor is stark bollock naked, and it’s not just some little boy pointing this out – it’s plain for all to see, isn’t it?

      One way of countering all these other schemes would be to point out that FSC is better. But, if there are serious problems with FSC – which there are, and if we can see them, so can anyone else who cares to look – then the argument starts to look very shaky.

      FSC standards aren’t bad (apart from Principle 10, which really isn’t much use to anyone except the pulp and paper industry). They say lots of things we’d probably want forest management standards to say. The trouble is that the standards are not being applied in practice. Sure, campaign against PEFC, but if FSC becomes a Holy Cow which is immune to criticism (not least because all the criticism takes place behind closed doors), then we can hardly present it as an alternative, can we?…”

      By the way, anyone who thinks that PEFC and FSC are in opposition should read this interview with Heiko Liedeker (FSC’s Executive Director) and Ben Gunneberg (PEFC’s General Secretary). In particular this bit (I thought at first it must be a mix up between FSC and PEFC, or Liedeker and Gunneberg):

      Question: As a follow-up question, Heiko Liedeker, from your perspective, is there room ultimately for programs like the Australian Forestry Standard, Certfor and others to operate under the FSC umbrella?

      Heiko Liedeker: Absolutely. FSC was a scheme that was set-up to provide mutual recognition between national standard-setting initiatives. Every national initiative sets its standard. Some of them are called FSC working groups, some of them are called something else. In the UK they are called UKWAS. We’ve been in dialogue with Edwardo Morales at Certfor Chile. They are some of the FSC requirements listed for endorsement, we certainly entered into discussion. We’ve been in discussion with the Australian Forestry Standard and other standard-setting initiatives. What FSC does not do is, it has one global scheme for recognizing certification. So we do not, and that’s one of the many differences between FSC and PEFC, we do not require the development of a certification program as such. A standard-setting program is sufficient to participate in the network.

      https://fsc-watch.com

    • Complicit in destruction: new investigation reveals IKEA’s role in the decimation of Romania’s forests

      IKEA claims to be people and planet positive, yet it is complicit in the degradation and destruction of Romania’s forests. A new report by Agent Green and Bruno Manser Fonds documents this destruction and presents clear requests to the furniture giant.

      A new investigative report (https://www.bmf.ch/upload/Kampagnen/Ikea/AG_BMF_report_IKEA_web_EN.pdf) by Agent Green and Bruno Manser Fonds shows a consistent pattern of destructive logging in IKEA-linked forests in Romania, with massive consequences for nature and climate. The findings are based on an analysis of official documents and field investigations of nine forest areas in Romania. Seven of them are owned by the IKEA-related company Ingka Investments and two are public forests supplying factories that produce for IKEA. The analysis uncovers over 50 suspected law violations and bad forest management practices. Biodiversity rich forest areas cut to the ground, intensive commercial logging conducted in ecologically sensitive or even old-growth forests without environmental assessments, dozens of meters deep tractor roads cutting through the forest are just a few of the issues documented.

      Most of the visited forests are fully or partially overlapping with EU protected areas. Some of these forests were strictly protected or under low-intensity logging before Ingka took over. Now they are all managed to maximize wood extraction, with no regard to forest habitats and their vital role for species. Only 1.04% of the total Ingka property in Romania are under a strict protection regime and 8.24% under partial protection. This is totally insufficient to meet EU goals. The EU biodiversity strategy requires the protection of a minimum of 30% of EU land area, from which 10% need to be strictly protected. One key goal is to strictly protect all remaining primary and old-growth forests in the EU.

      At the press conference in Bucharest Gabriel Păun, President of Agent Green, stated: “IKEA/Ingka seem to manage their forests like agricultural crops. Letting trees grow old is not in their culture. Removing entire forests in a short period of time is a matter of urgency for IKEA, the tree hunter. The entity disregards both the written laws and the unwritten ways of nature. IKEA does not practice what they preach regardless of whether it is the European Union nature directives, Romanian national legislation, or the FSC forest certification standard. But as a company with revenues of billions of Euros and Romania’s largest private forest owner, IKEA / Ingka should be an example of best practice.”

      Ines Gavrilut, Eastern Europe Campaigner at the Bruno Manser Fonds, added: “It is high time that IKEA started to apply its declared sustainability goals. IKEA could do so much good if it really wanted to set a good example as a forest owner, administrator, and large wood consumer in Romania and beyond. Needs could also be covered without resorting to destructive logging, without converting natural forests into plantations – but this requires tackling difficult issues such as the core of IKEA’s business model of “fast furniture”. Wood products should not be for fast consumption but should be made to last for decades.”

      Agent Green and Bruno Manser Fonds urge IKEA and the Ingka Group to get a grip on their forest operations in Romania to better control logging companies, not to source wood from national or natural parks, to effectively increase protection and apply forestry close to nature in own forests, to ensure full traceability and transparency of the IKEA supply chain, and allow independent forest oversight by civil society and investigative journalists.

      In August 2021, Agent Green published its first report documenting destruction in IKEA-linked forests in Romania. In May 2023, Agent Green and Bruno Manser Fonds sent an open letter of concern to the Ingka Group and IKEA Switzerland. BMF also started a petition demanding IKEA to stop deforestation in Romania’s protected forest areas and other high conservation value forests.

      The ARTE documentary IKEA, the tree hunter brilliantly tells the story of the real cost of IKEA furniture, the uncontrolled exploitation of wood and human labour.

      https://bmf.ch/en/news/neue-untersuchung-belegt-ikeas-beteiligung-an-der-waldzerstorung-in-rumanien-256

      #rapport

  • Calendario Incivile
    https://resistenzeincirenaica.com/2024/02/13/calendario-incivile

    Ve lo avevamo anticipato, le iniziative correlate o tangenti al 19 febbraio – Yekatit 12 sono molte… Partiamo segnalandovi quella di Salò… Reset All, Circolo ARCI Zambarda, Collettivo Gardesano Autonomo, Casa dei Popoli Thomas Sankara, con il supporto della Federazione delle Resistenze e di quanti si vorranno aggiungere lungo il percorso, presentano: “Calendario incivile –... Continua a leggere

    #Antifascismo #Colonialismi #La_Federazione #alto_adriatico #Colonialismo #D'Annunzio #Gardaland_del_sovranismo #Giorno_del_ricordo #Impresa_di_Fiume #Mackda_Ghebremariam_Tesfau #marketing_territoriale #Merope #Mu.Sa #Piazza_della_Loggia #Salò #Sergio_Bresciani #Strage_di_Peteano #Vittoriale


    https://2.gravatar.com/avatar/23d8725e29be63f3a62790eb4565ea03f3a92a9974406a2d1b3243402663959c?s=96&d=

  • Tables in Markdown | Codeberg Documentation
    https://docs.codeberg.org/markdown/tables-in-markdown

    documentation de la syntaxe MarkDown pour les tables/tableaux
    NB :
    – à priori fourni en tant qu’extension par la version "GitHub Flavored" MarkDown (GFM) : cf la définition/spécification sur https://github.github.com/gfm/#tables-extension-
    – ne semble pas supporté par la version "Commonmark" MarkDown (cf son absence dans la définition sur https://spec.commonmark.org )
    – ne propose aucune option de fusion de cellules (contrairement à SPIP) : seul MultiMarkdown semble le proposer : cf https://github.com/fletcher/MultiMarkdown/wiki/MultiMarkdown-Syntax-Guide

    #markdown #MD #GFM #GitHub_Flavored #Commonmark #syntaxe #tableau #table

  • SYDRON
    https://sydron.com/our-story

    The taxi of the future will be a combat-ready dual-use vehicle. Presumably there is al link to the official terminator’s participation.

    2022
    From 2022 we started to assemble the best team from Poland and Ukraine. Specialist in aviation and drone development, battery, IT and other deep-tech industry. We combine specialists with military experience and engineers with science backgrounds to create the best product.

    2023
    In 2023 together with Polish Aviation Authorities (EU) and certifying organizations we developed a 4,5 year certification plan for (SYDRON model 2), and a 2,5 plan for (SYDRON model 1 ultra light). With science partners such as Rzeszow Technical University department Aviation and Aviation Institute Lukasiewicz we are preparing a test and R&D process which can help us to achieve all milestones. Receiving a huge support working together with international organizations like Port of Barcelona (Spain) and ecological organizations like Altasea Port of Los Angeles (USA), 7-th generation advisers (USA).

    2023
    With Terry Tamminen, CEO of AltaSea at the Port of Los Angeles and former Chief of California Environmental Protection Agency & CEO of the Leonardo DiCaprio Foundation, also served as Environmental Advisor to President Obama and Governor Arnold Schwarzenegger USA. Cooperation with city of Rzeszow and PAIH…

    Ukraine background, names of developers hidden.

    + 20 ENGINEERS with a background in science and military expertise

    Maciej K. Senior Avionics Specialist
    Mateusz M. Construction Engineer
    Aleksandr O. Aviation Specialist
    Maciej K. Senior Avionics Specialist

    Design department with experience in R&D for aircraft and aeronautical engineering.
    Our team consists of specialists with a background in designing hybrid-driveclass aircraft, military drone development and lightweight automotive structures.
    They are responsible for the overall structural construction.
    ...

    1 person drone

    https://sydron.com/wp-content/uploads/2023/09/sydron-i-baner-1920_1080.webp
    The first premium private electric VTOL vehicle

    I’d rather call Bruce Willis and his taxi from The Fifth Element.

    2 person drone or pilot vehicle, for pilot / air gunner

    https://sydron.com/wp-content/uploads/2023/10/baner_001-1920_1080.webp
    SYDRON Model 2, For two passengers
    The first premium private electric VTOL vehicle, designed for two passengers (licensing pilot and passenger). SYDRON seamlessly blends the flexibility of an ultralight helicopter with cutting-edge eco-friendly technology, ensuring zero emissions. Its compact size allows for versatile journeys, and its whisper-quiet operation is perfectly suited for urban environments.

    ... so it goes ...

    Heraklit
    https://de.wikipedia.org/wiki/Heraklit

    „Krieg ist Vater von allen, König von allen.[105] Die einen macht er zu Göttern, die anderen zu Menschen, die einen zu Sklaven, die anderen zu Freien.“

    greek

    Πόλεμος πάντων μὲν πατήρ ἐστί, πάντων δὲ βασιλεύς, καὶ τοὺς μὲν θεοὺς ἔδειξε τοὺς δὲ ἀνθρώπους, τοὺς μὲν δούλους ἐποίησε τοὺς δὲ ἐλευθέρους

    #Polen #Ukraine #Drohnen #Taxi #marketing #wtf

  • Mark Zuckerberg se prépare à la fin du monde : le créateur de Facebook se fait construire un bunker de 160 hectares à Hawaï - lindependant.fr
    https://www.lindependant.fr/2023/12/16/mark-zuckerberg-se-prepare-a-la-fin-du-monde-le-createur-de-facebook-se

    C’est une construction qui devait rester confidentielle, mais des informations ont finalement fuité. Selon plusieurs médias américains, dont le magazine Wired, repris par Cnews, le fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, est en train de se faire construire un immense bunker sur l’île de Kaui, à Hawaï, pour se préparer à la #fin_du_monde

    Un projet colossal puisque le bâtiment devrait faire près de 160 hectares. Il serait composé d’un abri souterrain, des manoirs, des cabanes dans les arbres, des piscines, une salle de sport, un court de tennis, une salle de conférence, une cuisine de taille industrielle et surtout, un abri souterrain de 1 500 m².

    Enfin, un important dispositif de sécurité a été mis en place avec près d’une vingtaine de caméras pour une seule pièce. Coût des travaux, environ 300 millions de dollars, rapportent nos confrères. 

    Pour parvenir à faire sortir de terre cet immense bunker, de nombreux ouvriers ont été mobilisés, tous auraient également signé un contrat de confidentialité. S’ils venaient à divulguer des informations sur les travaux, ils pourraient être licenciés. 

    Un projet qui inquiète les habitants

    Mais voilà, le projet inquiète les habitants de l’île. En effet, certains ont commencé à se plaindre de nuisances sonores, mais aussi du trafic qui s’est accru et des risques pour la biodiversité. Ces derniers dénoncent le manque de transparence de #Mark_Zuckerberg. Il est également accusé par le maire local, d’avoir fait des manipulations juridiques pour obtenir le terrain où va se trouver son bunker.

    « tear down that wall ! »
    https://www.youtube.com/watch?v=3krTQksXRvk

    edit la construction devait-elle « rester confidentielle » ? il a acheté en 2014
    Mark Zuckerberg in legal battle to force hundreds of native Hawaiians with ancestral rights to patches of his vast £80m estate to sell up
    https://www.thesun.co.uk/news/2651528/mark-zuckerberg-legal-battle-to-force-native-hawaiians-with-ancestral-righ

    #apocalypse sans révélation #Hawaï #Meta

    • Changement climatique : Un déluge s’abat sur Kauai (Hawaii), 2018 ....
      https://claudegrandpeyvolcansetglaciers.com/2018/04/29/changement-climatique-un-deluge-sabat-sur-kauai-haw

      Le changement climatique provoque de plus en plus d’événements météorologiques extrêmes à travers le monde. Ce qui vient de se passer sur l’île hawaïenne de #Kauai les 14 et 15 avril 2018 est un bon exemple de ce qui nous attend dans les années à venir.

      Kauai n’est pas l’île la plus visitée de l’archipel hawaïen. D’un point de vue géologique, c’est la plus ancienne. Elle est connue sous le nom d’« Ile Jardin » . L’un des sites les plus célèbres de Kauai est le Canyon de Waimea.

      Kauai a beaucoup souffert au fil des ans. L’île a survécu au tsunami de 1946. Un autre raz-de-marée en 1957 l’a frappée avec des vagues atteignant 15 mètres de haut. Lorsque l’ouragan Iwa a balayé l’Ile Jardin en 1982, il a causé environ 250 millions de dollars de dégâts. En 1992, l’ouragan Iniki a tué six personnes à Kauai et endommagé ou détruit plus de 14 000 maisons. Cependant, les habitants de Kauai disent qu’ils n’ont jamais rien connu comme les trombes d’eau qui se sont déversées sur l’île ce mois-ci. Pour eux, c’est la tempête du siècle, mais il est probable que la prochaine surviendra dans seulement quelques années, compte tenu de la réalité du changement climatique. Le National Weather Service a déclaré que près de 125 centimètres de pluie sont tombés à Kauai en 24 heures. C’est l’événement pluvieux le plus important observé sur l’archipel hawaiien depuis le début des relevés en 1905
      Alors que Kauai panse ses blessures, les scientifiques préviennent que ce déluge est la première grande tempête à Hawaï liée au #changement_climatique. Il y a des ressemblances frappantes entre les inondations à Kauai et les récentes inondations en Californie. La cause est identique : L’atmosphère plus chaude retient plus d’humidité qui s’accumule jusqu’à ce qu’elle rencontre de l’air froid et sec, créant ainsi un système instable qui déclenche ce que certains météorologues appellent une « bombe de pluie ». Une étude publiée dans la revue scientifique Nature Climate Change a indiqué que la Californie doit s’attendre à des conditions météorologiques plus instables, faisant osciller des années sèches et humides, à cause du changement climatique provoqué par l’homme.

      #loser