• Clouds of Unknowing : Edward Quin’s Historical Atlas (1830)

    “Now when I was a little chap I had a passion for maps”, says the seafaring raconteur #Charles_Marlow in Joseph Conrad’s Heart of Darkness (1899) (https://www.gutenberg.org/files/219/219-h/219-h.htm). “At that time there were many blank spaces on the earth, and when I saw one that looked particularly inviting on a map (but they all look that) I would put my finger on it and say, ’When I grow up I will go there.’” Of course, these “blank spaces” were anything but. The no-man’s-lands that colonial explorers like #Marlow found most inviting (the Congo River basin, #Tasmania, the #Andaman_Islands) were, in fact, richly populated, and faced devastating consequences in the name of imperial expansion.

    In the same troublesome vein as Marlow, Edward Quin’s Historical Atlas painted cartographic knowledge as a candle coruscating against the void of ignorance, represented in his unique vision by a broiling mass of black cloud. Each map represents the bounds of geographical learning at a particular point in history, from a specific civilizational perspective, beginning with Eden, circa “B.C. 2348”. In the next map titled “B.C. 1491. The Exodus of the Israelites”, Armenia, Assyria, Arabia, Aram, and Egypt form an island of light, pushing back the black clouds of unknowing. As history progresses — through various Roman dynasties, the reign of Charlemagne, and the Crusades — the foul weather retreats further. In the map titled “A.D. 1498. The Discovery of America”, the transatlantic exploits of the so-called Age of Discovery force Quin to employ a shift in scale — the luminescence of his globe now extends to include Africa and most of Asia, but North America hides behind cumulus clouds, with its “unnamed” eastern shores peeking out from beneath a storm of oblivion. In the Atlas’ last map, we find a world without darkness, not a trace of cloud. Instead, unexplored territories stretch out in the pale brown of vellum parchment, demarcating “barbarous and uncivilized countries”, as if the hinterlands of Africa and Canada are awaiting colonial inscription.

    Not much is known about Edward Quin, the Oxford graduate, London barrister, and amateur cartographer whose Atlas was published two years after his death at the age of thirty-four. We learn, thanks to Walter Goffart’s research into historical atlases, that Quin’s images were more popular than his words. The well-regarded cartographer William Hughes rescaled the maps for a new edition in 1846, discarding their artist’s accompanying text. The Atlas’ enduring technical advancement, which influenced subsequent cartographers, can be found in its ingenious use of negative space. Emma Willard’s Atlas to Accompany a System of Universal History, for instance, features cloudy borders that seem very much indebted to Quin.

    Looking back from a contemporary vantage, the Historical Atlas remains memorable for what is not shown. Quin’s cartography inadvertently visualizes the ideology of empire: a geographic chauvinism that had little respect for the knowledge of those beyond imperial borders. And aside from depicting the reach of Kublai Khan, his focus remains narrowly European and Judeo-Christian. While Quin strives for accuracy, he admits to programmatic omission. “The colours we have used being generally meant to point out and distinguish one state or empire from another. . . were obviously inapplicable to deserts peopled by tribes having no settled form of government, or political existence, or known territorial limits”. Instead of representing these groups, Quin, like his clouds, has erased them from view.

    https://publicdomainreview.org/collection/edward-quin-historical-atlas
    #cartographie_historique #cartographie #connu #inconnu #géographie_du_vide #vide #histoire #Tasmanie #fleuve_Congo #colonisation #colonialisme #Edward_Quin #atlas

    ping @reka @visionscarto

    via @isskein

    • Mouarf ils vont se faire des amis :

      Les blogs du Monde Diplomatique

      Il ne s’agit pas d’articles du « Monde Diplomatique », mais de blogs hébergés par le site. Leur pertinence ne peut donc être jugée qu’au cas par cas.
      Ce site est-il fiable ?

      Attention, ce site n’est pas une source à proprement parler ou sa fiabilité est trop variable pour entrer dans nos critères. Pour en savoir plus, cherchez d’autres sources et remontez à l’origine de l’information.

      Probablement parce qu’ils n’ont pas digéré ce billet de blog :

      Politique post-vérité ou journalisme post-politique ? par Frédéric Lordon, 22 novembre 2016
      http://blog.mondediplo.net/2016-11-22-Politique-post-verite-ou-journalisme-post

      La réponse à l’époque était « drôle » : https://twitter.com/Antonyn6/status/803972350664384512

    • Oh il y a des perles dans leurs jugements, Les déconneurs sont-ils fiables ?

      Valeurs actuelles

      Un hebdomadaire d’information généraliste positionné politiquement à droite. Le magazine a été condamné pour provocation à la haine raciale envers les Roms en 2015 après sa couverture « Roms : l’overdose ». Le site Internet et le journal mentionnent leurs clairement leurs sources et publient des informations vérifiées mais certaines enquêtes ou reprises d’autres médias sont à prendre avec précaution.

      Ce site est-il fiable ?

      Ce site est en principe plutôt fiable. N’hésitez pas à confirmer l’information en cherchant d’autres sources fiables ou en remontant à son origine.

      Fakir

      Un journal indépendant de gauche, situé à Amiens, dirigé par François Ruffin, réalisateur du film « Merci patron », avec une ligne éditoriale militante et un parti pris clairement revendiqué.

      Ce site est-il fiable ?

      Ce site peut être régulièrement imprécis , ne précisant pas ses sources et reprenant des informations sans vérification. Soyez prudent et cherchez d’autres sources. Si possible, remontez à l’origine de l’information.

    • Impressionnant :

      BFMTV

      Chaîne de télévision d’information en continu, propriété du groupe NextRadio TV.

      Ce site est-il fiable ?

      Ce site est en principe plutôt fiable. N’hésitez pas à confirmer l’information en cherchant d’autres sources fiables ou en remontant à son origine.

      –----------

      La Horde

      Un site d’extrême gauche et anti extrême droite, dont les contenus proviennent souvent de militants sans être vérifiés.

      Ce site est-il fiable ?

      Ce site peut être régulièrement imprécis , ne précisant pas ses sources et reprenant des informations sans vérification. Soyez prudent et cherchez d’autres sources. Si possible, remontez à l’origine de l’information.

      –-------------

      Paris Lutte Info

      Un site militant qui se présente comme anticapitaliste, anti-autoritaire et révolutionnaire.

      Ce site est-il fiable ?

      Ce site peut être régulièrement imprécis , ne précisant pas ses sources et reprenant des informations sans vérification. Soyez prudent et cherchez d’autres sources. Si possible, remontez à l’origine de l’information.

    • Merci @fil pour la carte.

      Le fichier .csv est vraiment pratique pour visualiser rapidement les différents avis, je le remets ici : https://framadrop.org/r/uet9Fw0uf_#zuTD8ZA0qZ1v4sf5pRgf+7hQAioSYMKrAsJ/vkQsQpo=

      @intempestive : j’ai repéré 4 sites d’extrême gauche / anars (Fakir, Paris-luttes, Rebellyon et La Horde) + les blogs du Diplo.

      Je serai vraiment intéressé d’avoir une analyse sur le fond, à la fois ce que ça sous-entend comme conception de la presse, de la « fiabilité », du fait, sans parler du méli mélo « les extrêmes sont un peu pareilles ». J’attends impatiemment le retour d’Acrimed, qui n’apparaît pas dans la base de données.

      Ca me rappelle l’intention de labelliser les sites d’info que le gouvernement Sarkozy avait évoqué en 2007 :
      http://www.zdnet.fr/actualites/bientot-un-label-de-qualite-pour-les-sites-web-d-information-39367199.htm
      http://www.culture.gouv.fr/culture/actualites/rapports/tessier/rapport-fev2007.pdf

      L’outil très critiquable des Décodeurs a eu le mérite de lancer quelques discussions sur Twitter (je pense qu’il y en a eu beaucoup d’autres, je note déjà celles-ci) :
      https://twitter.com/melo_meli/status/827159693835505665
      https://twitter.com/okhin/status/827166190107783168

      Sinon, l’édito du Monde au sujet du Decodex est sidérant à tous points de vue :

      La défense des faits
      http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2017/02/02/editorial-la-defense-des-faits_5073248_4355770.html

      #journalismplaining

    • Je suis d’accord avec tes arguments mais pas tout à fait avec ta conclusion. En défense de leur truc, ça répond aux angoisses d’un certain public, liées à l’actualité (fake news). Il me semble pertinent qu’un journal s’empare de ce sujet, et le format de « l’outil de vérification » est plutôt original.

      On peut critiquer le résultat tant qu’on veut, démontrer que la « neutralité » est fallacieuse, que ça ne passera jamais à l’échelle du web, que c’est très superficiel (à peine passable au niveau 1ère année de socio), mais je ne crois pas qu’il est illégitime pour un journal d’approcher ce sujet de cette façon.

      (Qu’un journal « se fasse de la publicité » en parlant de tout et n’importe quoi, c’est comment dire, la base du métier…)

      Ce qui est plus inquiétant à mon sens, à l’analyse de la carte, c’est ce que ça montre du paysage mental de nos journalistes décodeurs, ou en tout cas de la perception qu’ils ont d’Internet : une place de marché où des médias sérieux, des médias pas sérieux, des blogs militants extrémistes, et des plateformes neutres se battent pour l’attention et le buzz.

      Ou plutôt, que le web est fait de 1) la presse sérieuse et vertueuse (Le Monde et les journaux régionaux) 2) de sites qui sont soit faux-pour-rire, soit faux-par-idéologie, soit faux-par-appât-du-gain, soit encore faux-par-incurie.

      À l’exception d’un ou deux blogs scientifiques ou site de ministère, pas la moindre trace de sites institutionnels, de bases de données, d’associations, de bibliothèques, de musées, d’artistes, d’universités, etc.

      Au final si on regarde le fichier, il s’agit d’une poignée de bookmarks, commentés de manière superficielle et appartenant à des domaines assez étriqués. Les sujets couverts sont particulièrement restreints (un peu de santé, un peu de news généraliste, beaucoup d’extrême droite et de conspi).

      Si c’est ça le web qu’ils fréquentent au quotidien, je les plains du fond du cœur.

    • #Le_Monde : où comment s’approprier la critique des médias ... Testé le bousin hier. Ils n’ont pas encore d’avis sur « Seenthis » mais je parie qu’on aurait droit à
      « Attention, ce site n’est pas une source à proprement parler ou sa fiabilité est trop variable pour entrer dans nos critères. Pour en savoir plus, cherchez d’autres sources et remontez à l’origine de l’information. »
      Par contre là où je commence à trouver ça flippant, c’est que le réseau « Canopé » ( réseau de création et d’accompagnement pédagogique !!!, ex centres de documentation pédagogique) en fait un outil « fiable » pour les enseignants et leurs élèves qui se confrontent à l’information. Ci-dessous le lien vers le « scoop-it » de Canopé du Loiret :
      http://www.scoop.it/t/infos-docs-crdp-45

      et l’article d’Arrêt sur Image linké par la page sus-nommée :
      https://www.arretsurimages.net/articles/2017-01-25/Comment-le-Decodex-du-Monde-va-labelliser-l-infaux-en-ligne-id9493
      L’article est sous ¨Paywall" mais on n’en a cure ; rien que le début vaut son pesant de beaujolais ...

      Ce qui me fait braire, c’est que les baronnets de l’éducnat préfèrent remplacer l’esprit critique par des algorithmes. Air du temps ...

    • La fin de l’article d’ASI :

      RT et Sputnik en orange, Egalité et réconcilation en rouge, @si en vert

      A partir de combien de "mauvaises" réponses bascule-t-on de la catégorie "fiable" à "pas fiable" ? "Il n’y avait pas de critères pointus", répond Laurent. "Ce n’était pas : « A partir de 7/10, vous n’êtes pas fiable ». C’est simplement une grille qui nous a guidé dans notre choix. On ne l’a pas utilisée de manière scientifique". Le classement du Monde risque d’en froisser quelques uns : Melty, le site qui cartonne chez les 15-30 ans, où les rédacteurs sont payés au nombre de clics, se retrouve par exemple dans la même catégorie que le blog d’extrême-droite FDeSouche ou les sites financés par le gouvernement russe, Russia Today ou Sputnik : la catégorie "Orange, soit des "sites régulièrement imprécis, ne précisant pas leurs sources et reprenant des informations sans vérification".

      Dans quelle catégorie est classée Le Monde ? "Vert". Et Arrêt sur images ? "Vert aussi" répond Laurent, qui assure que "toute la presse française est en vert". Les médias traditionnels, forcément fiables, contre le reste du monde ? Voilà qui ne manquera pas de faire grincer quelques dents, au sein de la fachosphère notamment. "On en est bien conscient", répond Laurent, qui assure que le but n’est pas de se poser en police de la presse ou en apôtre de la vérité, mais juste de rendre service aux lecteurs, pour leur permettre d’identifier les sites de fake-news, mis sur le devant de la scène depuis l’élection de Trump aux Etats-Unis. "C’est une beta, on se lance, on sait que c’est perfectible", reconnaît le fondateur des Décodeurs. "Notre idée, c’est vraiment de se concentrer sur les sites pas fiables". Rendez-vous le 1er février.

    • Le pesant de beaujolais :

      Comment le « Decodex » du Monde va labelliser l’infaux en ligne
      FDeSouche, RT et Sputnik en orange, toute la presse française en vert

      « Parodique, totalement faux, peu fiable ou fiable », choisissez votre camp. A partir du 1er février, Les Décodeurs du Monde proposeront une extension, financée par le fonds Google, censée permettre aux internautes de mieux se repérer en ligne, et séparer les bons et les mauvais sites d’info. Comment ça va marcher et quelle est la définition, au juste, d’un site « pas fiable » ? Mode d’emploi, à quelques jours du lancement du « Décodex ».

      Arretsurimage.net

    • Merci pour les arguments ! L’article de Vincent Glad est plutôt intéressant également :
      http://an-2000.blogs.liberation.fr/2017/02/03/pour-chasser-les-fake-news-le-monde-donne-une-definition-du

      On pourra également signaler que dans la construction de leur liste, les Décodeurs ont manqué à la première définition qu’ils appliquent : la vérification des informations. Aucune personne ou collectif s’occupant d’un site n’ont été contactés pour connaître leurs pratiques en terme de vérification.

    • @fil @intempestive 60 000 euros, c’est ce qu’on avait demandé pour réaliser l’idée d’un atlas géopolitique ou mondialisation ou politique, on était pas encore très sur de l’approche à adopter :)

      Mais on avait envie d’imaginer la possibilité d’images carto avec des visions un peu inédites et originales, basées en même temps sur l’analyse de grosses bases de données et d’observations qualitatives, avec une extension Internet, mais je suis sur que nos décodeurs auraient classés ça en super non fiable, infos jamais vu ailleurs etc...

      A ce rythme là, les équipes et projets de recherche un peu créatives, qui proposent des pistes de réflexions un peu nouvelles, ou en tout cas peu ou pas explorées n’ont aucune chance de passer le test Decodex ou Verificator (on pouvait pas trouver des noms plus débiles d’ailleurs)

      On sait maintenant que pour le même prix, tu peux faire un truc magique qui te dit instantanément si t’es tricard ou pas quand tu aimes bien un site qui t’apprends des trucs.

      @fil

      je ne crois pas qu’il est illégitime pour un journal d’approcher ce sujet de cette façon.

      J’ai beau essayé de retourner le sujet dans tous les sens, je n’arrive pas à ne pas voir un énorme conflit d’intérêt. Je veux bien croire qu’il soit nécessaire de répondre à l’angoisse des lecteurs sur la question des fake news, et c’est pertinent de la part d’un journal comme le Monde d’y répondre (même si ce canard est vérolé jusqu’à la moële du fait de son actionnariat), mais Décodex pour faire office de Temesta ou Tranxène, ça fait plutôt placebo. Ça va pas beaucoup aider.

      Et pour un journal appartenant à des Industriels, point de vue fake news, ils auraient pu commencer à imaginer un logiciel magique qui mouline tout ce qui se dit et s’écrit dans leurs colonnes et dans tous les autres journaux qui appartiennent à des industriels (c’est pas ce qui manque), puis de faire des croisements avec des groupes de pressions, des lobbies, des amitiés politiques, etc... Là, oui, ce serait pertinent et légitime qu’ils s’emparent de ce sujet, mais bon. Ils vont pas non plus se suicider.

      Mais Comme Juliette, je reste terriblement choqué que les mecs du Monde se soient lancé dans cette initiative, que la hiérarchie a laissé faire (remarque en même temps, ils ont du se dire qu c’était un bon coup de pub - ndt : un truc bien putassier).

      Voilà, hélas : Le Monde, toujours plus bas.

      @fil Tu pointes d’ailleurs que leur univers mental Internet est minuscule. Sachant que la biodiversité Internet c’est des centaines de milliers pour ne pas dire des millions de sites en toutes langues qui évoluent, changent, produisent, proposent, invitent, crée, nous émerveillent ou nous affligent ; tous les jours, toutes les heures, on comprend que Décodex est voué à remplir les poubelles fantômes d’Internet assez rapidement tellement leur truc n’est pas soutenable dans le temps.

      C’est vrai que pour s’y retrouver et choisir « ses » sites c’est beaucoup de travail individuel (merveilleusement mis en commun sur seenthis d’ailleurs) et il me semble que pour l’instant, avec cette méthode, ça marche assez bien (seenthis fonctionne parfois comme un lieu de « peer review » : parfois, les retours des seenthisien·nes font mal parce qu’on ne s’y attend pas, mais c’est toujours très riche et au bout du compte, on apprend toujours à être plus prudent, plus critique et à encore mieux vérifier ce qu’on lit et ce qui nous plait. En tout cas, c’est foisonnant, on s’y perd avec délice, on en a la tête qui tourne, mais avec un peu de méthode, on reprend un peu le contrôle de nous même (et de nos journées de travail) :)

      Peut-être d’ailleurs qu’une fois de plus, tout ce bruit, ce n’est qu’un gros plan marketing, ou plan com, je sais pas, ou une justification qu’ils ont bien dépensés 60 000 boules pour un truc spectaculaire auquel cas on poursuit dans le grand guignol et il n’y a rien de vraiment nouveau.

    • Un logiciel magique qui mouline tout ce qui se dit et s’écrit dans leurs colonnes (…), puis de faire des croisements avec des groupes de pressions, des lobbies, des amitiés politiques

      Exactement. Ce genre de logiciel existe, pour l’analyse ou la cartographie de #controverses. Le plus souvent c’est appliqué aux « controverses scientifiques », mais il n’y a pas de raison que ça y reste confiné.

      Il faut jeter un oeil par exemple aux programmes tout à fait surprenants #Prospero et #Marlowe :
      http://prosperologie.org/?sit=22#1
      https://tcp.hypotheses.org/1039
      http://prosperologie.org/mrlw/blog

    • Un petit bilan quantitatif (graphiques à suivre plus tard)

      Comme l’explique Le Vilain Petit Canard cité dans l’article pointé ci-dessus par @arnoferrat
      https://seenthis.net/messages/566065#message567135
      l’appli est une simple interface de consultation d’un tableau de 1289 jugements « personnels ».

      Les données sont fournies dans l’article
      http://www.levilainpetitcanard.be/articles/actu/decodex-sous-le-capot_1461042316
      ainsi que, tout en bas dans les références, un lien vers la gg:sheet contenant les données.

    • @aude_v ah si, moi j’avais trouvé ça très chelou, j’ai même écrit pourquoi (en critique constructive parce que j’aime bien Basta !) depuis Hongkong en décembre 2015. Mais depuis, je n’ai pas consulté ce portail une seul fois et je n’ai aucune idée de ce que ça devient.

    • Le FINP oblige à « chercher » des sujets « innovants »... l’innovation n’en a rien à faire des états d’âme.
      Et là, ils ont réussi à sortir un dossier qui certes n’aurait sans doute pas du être mené par Le Monde, mais bon... ça leur a permis de croûter quelques mois hein... :-) Et si ça ne vit pas, ou si c’est mis hors ligne dans 15 jours, l’argent lui, il aura bien été dépensé.

  • a visual method for mapping controversies | visual/method/culture

    http://visualmethodculture.wordpress.com/2013/10/04/a-visual-method-for-mapping-controversies

    via @cdb_77

    a visual method for mapping controversies
    By profgillian

    Albena Yaneva has developed an interesting tool for mapping – literally, visually – controversies surrounding proposals for specific building designs. It’s available on the Mapping Controversies website, together with some examples of student projects that have used it. The tool shows links between different actors in a controversy, and how those links develop over time.

    #cartographie #infographie #visualisation #information_design