• En Allemagne, l’industrie de la chimie en pleine crise existentielle
    https://www.connaissancedesenergies.org/afp/en-allemagne-lindustrie-de-la-chimie-en-pleine-crise-existe

    AFP parue le 28 juill. 2023 - 10h38

    A 58 ans, Thomas Kadowsky s’imaginait travailler jusqu’à la retraite dans son usine de résine synthétique de Hambourg,

    (...)

    le groupe allemand Allnex, allait fermer ce site vieux de 90 ans,

    (...)

    Allnex justifie par les « récentes évolutions du prix de l’énergie », qui plombent l’industrie chimique en Allemagne.

    (...)

    Certains experts appellent à laisser le secteur péricliter en Allemagne pour se concentrer sur des secteurs d’avenir, moins énergivores.

    Sois certain que l’activité est déjà en cours de relocalisation, là où les coûts de l’énergie ne sont pas impactés par les décisions américaines (de destruction des approvisionnements de gaz russe).

    Ceux qui paient ces décisions sont comme d’habitude ces humains qui ne se relocalisent pas aussi rapidement que les usines, du fait de leur mauvaise conception. L’humain est imparfait, et il n’a que ce qu’il mérite. Que conclure d’autre, à la suite de la conclusion fataliste de la dépêche de l’AFP ?

    #fatalisme #propagande #masquage_des_enjeux #tina

  • Ces sites qui masquent leur contenu poussent à trouver mieux ailleurs - romy.tetue.net
    http://romy.tetue.net/ces-sites-qui-masquent-leur-contenu

    Ce qui est intéressant dans cette pratique du #masquage est moins l’insondable bêtise (ou mauvaise foi) qui la motive, que sa contre-performance, qui pousse à aller chercher la liberté ailleurs, et à réinventer des modes de navigation débarrassés des nuisances et du superflu.

    #AdBlock #AntiAdBlock

    • Comment ce #journal, qui est l’un des plus subventionnés, avec nos sous de contribuables hein, ose-t-il ainsi apitoyer ses lecteurices, pour les inviter à débrayer leur #bloqueur, et donc les soumettre au pillage de leurs données de #navigation ? Vous avez gagné, dit cet internaute : « cher Jérôme Fenoglio, je ne lirai plus votre journal ». Personnellement, cela fait longtemps que je ne compte plus sur la #presse traditionnelle pour m’informer : trop mercantile pour être honnête.

    • J’ai arrêté de compter sur Le Monde pour m’informer (il y a maintenant des sources plus variées, plus crédibles, plus riches et infiniment plus intéressantes et mieux renseignées sur le Net et hors le Net).

      Les quatre lignes minables de Jérôme Fenoglio ne vient que renforcer mon dégoût pour ce type de journalisme et de presse qui propose des services « innovants et performants » dont on a bien évidemment pas besoin du tout.

      Il faudrait se taper leur pub de merde pour lire des journalistes qui parlent et écrivent comme les mecs des startups ? Et Fenoglio, sans honte, de mettre sa photo comme on le fait à HEC, en te regardant droit dans le yeux ?

      Avec ses « journalistes » performants (Leparmentier lui est même « super-performant »), le Monde nous est devenu totalement inutile.

      Et c’est vraiment dommage, parce que je sais que dans ce canard certain·e·s tentent de survivre à ce naufrage, et je sais que c’est très dur.

    • @touti Ca fait 4 ans que je peux enfin écouter de la musique correcte, et peu d’artistes sont subventionnés icitte. En tout cas pas ceux que j’écoute. Je vois aussi de l’art qui est correct. Et les seules merdes au niveau artistique que je vois à Montréal sont subventionnées par la ville et sont notamment les artistes français. Donc j’ai des raisons de préférer un art sans subventions. Juste parce qu’objectivement c’est meilleur pour mes yeux et mes oreilles.

      Je regrette que l’immigration française coïncide malheureusement avec la fermeture des lieux d’expression populaire, mais j’imagine que c’est par hasard que les locaux les appelle les bobos. En tout cas, vu les 4000$ par tête de pipe pour immigrer, c’est sûrement pas les pauvres qui font chier. Ah non, ils s’auto nomment : artistes !

      Voyage, ça te fera du bien.
      Et pour ton info historiquement, ce ne sont pas des régimes démocratique qui ont inventé des ministères de la culture. Je te laisse chercher. Ensuite, donne un point Godwin à l’histoire.

    • Ta vision du monde où les bons artistes/ les bons médias / les bons politiques évolueraient dans une sphère extérieure aux subventions est puérile. Pour sauvegarder la pureté de leur pensée pour le bienfait de tes oreilles et de ton cerveau, les vrais artistes comme les vrais journalistes ne devraient vivre que d’amour et d’eau fraiche car l’argent est si sale que cela pourrait les corrompre.

      Pour le reste : « Voyage, Donne un point Godwin, Inscris toi à un parti » … et encore je ne mets pas toutes les horreurs que tu veux que je fasse en ton nom, si tu ressens la nécessité de dispenser des ordres, merci de m’oublier.

    • A mon tour de me faire engueuler.

      J’aimerais connaitre la date de l’instauration des premières subventions aux artistes et voire comment pendant des siècles l"art" a pu exister sans subventions.
      C’était dans un article de calimaq silex qui disait que les artistes qui tirent un revenu suffisant de leur pratique constituent un accident statistique.
      WP « Comme le note Alain Herscovici, seule une infime partie de la production parvient à se rentabiliser : en 1986, 1 % des ayants droit affiliés à la SACEM touchaient plus de 300 000 francs, tandis que 71 % devaient se contenter de moins de 4 000 francs. »
      Alors les subventions pour qui ?
      WP « La délimitation de l’économie de la culture pose le même problème que la délimitation de la culture elle-même. Le cœur de l’économie de la culture, et historiquement son premier domaine, est donc l’étude des beaux-arts et des spectacles vivants (théâtre, opéra). Ces thèmes constituent encore une part importante des articles de recherche.

      Toutefois, un fait saillant des XIXe et XXe siècles sont l’apparition de la culture de masse par le biais de biens à contenu culturel, mais produits selon des méthodes industrielles : les livres à grand tirage, la musique enregistrée, le cinéma, ainsi que le développement des médias du flux, radio et télévision, ou de contenu »

      Dans le club ou je travaille quand un concert est financé les musiciennes-ciens partent avec 100,00€ Et cette année est une année faste. Je vois des gens qui viennent de toute l’europe et parfois de plus loin pour jouer devant 20 personnes. Et de sacrés musiciens.
      Pas de jugement sur la pureté de leur pensée mais l’artiste n’est pas un métier et les artistes subventionnés le sont parsqu’ils correspondent à une politique culturelle.
      Je m’exprime mal mais je n’ai pas le temps.

      A vue de nez l’article a l’air de tenir la route wp https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89conomie_de_la_culture

    • J’aimerais connaitre la date de l’instauration des premières subventions aux artistes et voire comment pendant des siècles l"art" a pu exister sans subventions.

      Avant les subventions, les artistes trouvaient des subsides auprès des nobles qui leur servaient de protecteurs et de mécènes. Et ils n’étaient pas spécialement « indépendants » vis-à-vis de ces mécènes...