• Pour un Web frugal ?
    https://framablog.org/2019/01/24/pour-un-web-frugal

    Sites lourds, sites lents, pages web obèses qui exigent pour être consultées dans un délai raisonnable une carte graphique performante, un processeur rapide et autant que possible une connexion par fibre optique… tel est le quotidien de l’internaute ordinaire. Nul … Lire la suite­­

    #Contributopia #Dégooglisons_Internet #Libres_Logiciels #Libres_matériels #Hardware #materiel #serveur #solaire

  • Utilisés par la police françaises, les #flash-balls suisses dans le viseur

    La majorité des policiers français sont équipés de #LBD_40, fabriqués par l’entreprise #Brügger_&_Thomet, basée à Thoune. Mais l’utilisation de ces #lanceurs_de_balle, qui ont fait des dizaines de blessés, est très controversée.
    Dans la nuit du 5 au 6 janvier dernier, la police intervient au domicile d’un homme en pleine crise de démence dans son appartement d’Auxerre, en France. Afin de l’immobiliser, un agent lui tire dessus avec un LBD 40 de fabrication suisse. Ce lanceur de balles en caoutchouc est plus communément appelé flash-ball. Quelques heures plus tard, le trentenaire décède. L’autopsie a relevé « des contusions pulmonaires et cardiaques liées à l’onde de choc du projectile ».

    Discrète entreprise suisse alémanique

    La France a commencé à utiliser des flash-balls au milieu des années 90, afin d’aider les forces de l’ordre à réagir en cas d’échauffourées. Elle équipe d’abord ses policiers du modèle français, fabriqué par #Verney-Carron. Mais suite à plusieurs accidents, le ministère de l’Intérieur change son fusil d’épaule et opte pour des lanceurs suisses, réputés plus précis. C’est la très discrète entreprise suisse alémanique Brügger & Thomet, créée en 1991 à Thoune, qui remporte le marché en 2007 avec ses LBD puissants, au canon de 40 millimètres.

    Pour la société de Thoune, l’affaire est intéressante, car elle porte sur des milliers de flash-balls, vendus environ 1800 francs pièce. Son chiffre d’affaires a doublé depuis les deux dernières années, expliquait en février au Schweiz am Sonntag son fondateur, #Karl_Brügger. Cette entreprise familiale, qui indique sur son site internet occuper moins de 50 collaborateurs, a su se faire un nom.

    Matériel militaire

    En décembre dernier, à la Bourse internationale aux armes de Lausanne, elle disposait d’un stand impeccable, où pistolets et carabines rutilants étaient présentés. Les flash-balls #GL_06, surnommés LBD 40 par les policiers français, ne s’y trouvaient pas. Sur place, l’employé nous a précisé qu’il s’agit de #matériel_militaire, impossible à exposer dans une foire publique. Car si le flash-ball envoie des balles en caoutchouc, il n’a rien d’un jouet. Ce petit fusil, d’un noir mat, pèse 2,1 kilos et mesure 60 cm. Selon l’entreprise, il s’agit du flash-ball le plus « léger, le plus ergonomique et le plus rapide à tirer ».

    Le plus rapide, mais pas le moins dangereux. Depuis 2004, les flash-balls ont fait au moins deux morts et 39 blessés graves en France, dont 21 éborgnés, selon un rapport de l’ONG Action des chrétiens pour l’abolition de la torture (ACAT) publié en mai 2016. Parmi les victimes, on compte un tiers de mineurs, dont deux enfants de neuf ans. L’arme, considérée comme « non-létale », est classée dans la catégorie A, à usage militaire. Le LBD 40 comprend un canon rayé ainsi qu’un viseur électronique de la marque #EOTech, utilisé par l’armée américaine, qui a une portée de tir de 50 mètres. Pour ces raisons, l’ACAT considère que sa #dangerosité est « disproportionnée » et préconise son interdiction.

    Victime indemnisée

    #Pierre_Douillard en sait quelque chose : le 27 novembre 2007, il a perdu son œil droit sous les balles d’un LBD 40. L’adolescent français, alors âgé de 16 ans, manifestait devant la préfecture de Nantes avec d’autres lycéens, quand un agent lui tire au visage avec son flash-ball. Le choc provoque plusieurs fractures crâniennes et abîme son œil droit, dont il perd définitivement la vue. Depuis, le jeune homme milite contre les flash-balls. « C’est une arme qui se situe à la frontière entre le maintien de l’ordre et la guerre : on retrouve ce type de munitions tirées à Jérusalem Est, à Baltimore ou en Seine-Saint-Denis », explique-t-il. La justice vient de lui donner raison : l’Etat français a été condamné en novembre dernier par le tribunal et devra indemniser Pierre Douillard.

    Dans l’hexagone, les policiers ont l’interdiction formelle de viser avec leur flash-ball la tête d’un manifestant. Mais face à une foule agitée, il est souvent difficile pour les forces de l’ordre de respecter ces consignes… Qu’en pense Brügger & Thomet ? A Thoune, le directeur de l’entreprise, Karl Brügger, a refusé notre demande d’interview en invoquant l’accord de confidentialité signé avec ses clients. Il regrette toutefois qu’en France, les manifestants soient souvent présentés comme « gentils, alors qu’ils jettent parfois des pierres ou des cocktails Molotov aux policiers », qui peuvent également causer des blessures. « Si les manifestants se comportaient de manière pacifique, l’utilisation du LBD 40 ne serait pas nécessaire… », ajoute-t-il par e-mail.
    La police de Lausanne l’utilise

    La multiplication des accidents causés par le LBD 40 en France n’empêche pas l’entreprise de remporter des marchés, comme en Catalogne, où elle complète désormais l’attirail des forces de l’ordre. Plus près de chez nous, la police de Lausanne en possède depuis 2012. L’arme remplissait le cahier des charges et présentait l’avantage de venir du marché local.

    « Seuls les opérateurs du Groupe d’Intervention les utilisent dans des situations bien particulières avec comme principe de repousser le plus possible, si la situation le permet, le recours aux armes létales », précise son porte-parole Sébastien Jost. Celui-ci a eu connaissance des incidents causés par le flash-ball en France. Mais cela ne l’inquiète pas, car selon lui, l’utilisation faite par les agents lausannois n’est pas la même. Avant de conclure : « Toute arme est dangereuse ».

    https://www.letemps.ch/suisse/utilises-police-francaises-flashballs-suisses-viseur
    #armes #armement #flashball #France #Suisse #police #violences_policières

    ping @reka @fil @davduf

    • Mettan dit stop à la vente de l’arme qui crève l’oeil

      Un élu genevois a déposé, lundi, un projet de résolution pour que la Suisse arrête d’approvisionner la France en armes LBD.

      Le député au Grand Conseil genevois #Guy_Mettan veut interdire l’exportation en France du lanceur de balles de défense (LBD), de fabrication suisse. L’élu a déposé, lundi, un projet de résolution allant dans ce sens auprès du Parlement cantonal.

      Le texte invite le Conseil fédéral « à mettre tout en oeuvre pour interdire l’exportation du LBD en France ». Guy Mettan demande au gouvernement suisse de s’appuyer sur l’Ordonnance sur le matériel de guerre, qui prohibe l’exportation d’armes s’il y a de forts risques que ce matériel soit utilisé contre la population civile.

      Pour le député qui siège comme indépendant, le LBD, conçu par l’entreprise bernoise Brügger & Thomet, est utilisé de façon abusive par les forces de l’ordre françaises lors des manifestations des gilets jaunes. A ce jour, poursuit M.Mettan, des centaines de blessures irréversibles à la tête et aux yeux ont été causées par ce lanceur.

      La situation est aggravée par l’emploi en France de munitions plus dangereuses et non conformes au mode d’emploi du fabricant suisse, relève encore M. #Mettan. Le député est effrayé de l’usage qui est fait du LBD par la police de l’Hexagone, transformant ce moyen défensif lourd « en une arme d’attaque terrifiante ».

      https://www.tdg.ch/monde/mettan-dit-stop-vente-arme-creve-loeil/story/25909412

  • Révision de la carte hospitalière du projet de loi Buzyn
    http://www.leparisien.fr/societe/sante-le-projet-de-loi-buzyn-prevoit-bien-la-fin-du-numerus-clausus-11-01

    Le gouvernement veut se donner 18 mois pour modifier par ordonnances le #statut des #hôpitaux de proximité, dont il entend notamment « redéfinir les missions ». Sans #chirurgie ni #maternité, ces établissements se recentreraient sur la #médecine générale, la gériatrie et la réadaptation. Leur « labellisation » débuterait en 2020, avec un objectif de 500 à 600 hôpitaux de proximité en 2022.

    #santé #France

  • Je suis une femme de 30 ans et je n’ai jamais agi ... Témoignage d’une gilet jaune de Bourgogne
    https://tendanceclaire.org/article.php?id=1506

    Je suis une femme de 30 ans et je n’ai jamais agi pour la France, mises à part quelques manifestions, toujours entraînée par mes proches. Jamais je n’ai fait quelque chose de moi-même. Mais j’ai pris conscience. A 30 ans, il s’en passe des choses, on fait, malgré soit, un bilan. Et après 13 ans de bons et loyaux services à l’usine, à la caisse d’un supermarché, dans des brasseries, chez des personnes âgées à faire le ménage... J’ai pris conscience, que moi, comme beaucoup d’autres, je serai probablement toujours au smic car je n’ai aucune évolution possible. Et le #smic, il sert à survivre, mais il ne permet pas de vivre dignement. Je pense que depuis que je suis maman, il n’y a pas un seul jour où je ne rêve pas à plus d’argent. Bien sur qu’il y a pire, en France et ailleurs, j’ai un travail, j’ai un toit, j’ai mangé du foie gras à Noël. Mais parce qu’il y a pire on ne peut pas rêver à mieux ? Et cet éventuel mieux ne permettrait pas d’aider aussi les autres, les plus démunis ? J’ai toujours demandé de l’aide, partout où j’allais, pour tenter de vivre dignement. Mais j’ai aussi toujours apporté la mienne. J’ai toujours donné une pièce à un SDF dans la rue, j’ai travaillé bénévolement dans des foyers d’enfants en difficulté, je suis allée faire la toilette de dames âgées qui ne pouvaient plus le faire elles même. Et tout ça juste pour aider.

    Les présentations faites, j’en viens à mon message, le vrai.

    Nous (ou plutôt vous) avez commencé ce mouvement en réponse à la hausse du prix du carburant, noble cause quand on sait que de nos jours, nous sommes tous obligés de prendre notre véhicule pour aller travailler. Bien sur, si on peut se déplacer à pieds ou à vélo, parfait, mais nous sommes une minorité à pouvoir le faire. Avec toute la meilleure volonté du monde, je ne peux pas aller travailler à 15 kilomètres à vélo avec un enfant de 7 ans. Une fois, une fille que je connais m’a dit « moi je m’en fous du prix de l’essence, quand je vais à la pompe je mets 50 euros à chaque fois donc je ne m’en rends pas compte ». Ok, très bien.

    Depuis le début de ce mouvement, nous nous sommes tous éparpillés, et à juste titre. Nous avons abordé de nombreux sujets qui fâchent, qui nous fâchent. Nous nous sommes éloignés de notre idée de base, et je trouve ça bien, nous nous sommes tous réveillés, à notre niveau. Nous ne sommes pas tous agacés pour les mêmes choses et c’est ce qui fait notre force. Notre différence. Nous sommes de gauche, de droite, nous sommes des extrêmes, nous sommes parents, nous sommes célibataires, nous avons 17 ans, nous avons 35 ans, nous avons 60 ans, nous sommes actifs, nous sommes retraités, nous sommes SDF, nous vivons en appartement ou en maison, nous habitons au nord, au sud, nous habitons à la capitale, nous habitons dans des petits villages méconnus. Nous sommes là, ensemble, et nous nous fichons les uns et les autres de qui nous sommes. Restons unis.

    On nous prend pour des idiots à la télé, 12 000 personnes samedi 29/12/18 ? Qui peut encore croire à ce mensonge ignoble ? Pour qui veut-on nous faire passer ? Des crétins ignorants qui déambulent dans les rues faute de mieux ? Toutes les pages facebook à elles seules, toutes les vidéos postées prouvent le contraire. Nous n’étions pas 12 000 samedi dernier, nous étions beaucoup plus et vous le savez. Ne nous laissons plus prendre pour des imbéciles, ne nous laissons par traiter de menteurs par des gens qui l’ont décidé. Ces pseudo journalistes qui bavent leurs conneries à la télé me font vomir. Quand tu as décidé d’être journaliste c’est ça que tu voulais faire ? Parler du nouvel album de Jennifer, d’une année sans Johnny, des vacances de Macron à Saint Trop ? Tu voulais nous faire croire, à nous, le peuple, que lorsque les premières neiges arrivent en France alors le reste du monde ne souffre plus, que lorsque les soldes d’été commencent il n’y a plus de famine, que la sortie du dernier film avec Kev Adams était plus importante que le réchauffement climatique ?

    TU VOULAIS NOUS FAIRE CROIRE A NOUS, QU’ON ETAIT VIOLENT ?

    Tu voulais nous faire passer pour des monstres, des casseurs, des voleurs, des menteurs ? Tu voulais nous faire croire qu’on était 12 000 ce samedi ? C’est ça que tu voulais quand tu as fait ton école, tu voulais divulguer de la merde à la France, à la terre entière ? Tu voulais nous faire croire qu’à cause de nous les magasins perdaient de l’argent ? Tu voulais nous faire croire que Auchan était en souffrance par notre faute ? Sais tu combien d’entre nous peuvent encore faire leurs courses à Auchan ? Tu as voulu obéir, tu as voulu t’écraser, tu as voulu être sûr de bien toucher ton salaire à la fin du mois en nous faisant passer pour des terroristes, très bien, reste bien caché derrière ton bureau.

    Car les journalistes, ce sont nous, et nous n’avons pas fait d’école pour ça. Nous sommes allés sur le terrain, le vrai, nous sommes allés au bon endroit et nous avons vu, nous avons entendu et nous avons filmé. Mais ne prends pas nos vidéos qui montrent le vrai visage des gens et des choses. Ne montre pas nos chants, nos danses, nos mots, nos gestes, nos marches pacifiques. Ne montre pas ça tu as raison. Nous avons des yeux et ils n’ont pas besoin de regarder la télé. Pour la première fois depuis des décennies, l’argent que nous avons mis dans nos téléphones nous servent à filmer la réalité de la France.

    Car nous avons vu, nous qui étions dehors, comment on traite les femmes, les enfants dans ce pays. Et bien sur les hommes ne sont pas en reste.

    Alors je suis allée dehors, moi, la timide, la peureuse, la nerveuse, la stressée de la vie, celle qui trouve toujours autre chose à faire que quelque chose d’important, et j’ai vu. Dijon est une petite ville et nous étions près de 5000 le 15 décembre, un groupe soudé, léger, dans la bonne humeur et la légèreté, à marcher tranquillement. Nous nous sommes trouvés face à des rues entières complètement bouchées, bloquées par des voitures de police et des hommes en uniforme, bloquées par des grillages, bloquées par des hommes casqués, armés, armurés. Nous n’avons pas pu avancer, nous avons été traités de terroristes, les « badauds » ont été enfermés dans les magasins et les restaurants pour que nous ne leur fassions pas de mal. Nous avons rebroussé chemin, dans le calme, avec pour ambiance une mini fanfare et des gens costumés. Nous sommes arrivés à la place de la République, les forces de l’ordre suivaient chacun de nos mouvements. Nous étions là, dehors, debout, à discuter, à observer quand les premières grenades ont été lancées, nous enfumant tous. Alors forcément, moi, comme de nombreuses personnes présentes, nous ne connaissions pas cette sensation d’étouffer, nous ne savions pas ce que ça faisait de ne plus pouvoir respirer, d’avoir les yeux qui brûlent. Et pourtant je voulais rester, je voulais voir, je voulais sentir, je voulais observer. Les gaz en partie évacués, nous nous sommes ressoudés mais les jets ont été de plus en plus nombreux. Personne n’avait chargé, personne n’avait crié, personne n’avait d’arme, personne n’avait pris aucun équipement de la ville pour faire de barricades, de feu ou que sais-je encore. LES GENS ETAIENT JUSTE DEBOUT DANS LA RUE. Et nous avons été chassés, nous citoyens. L’homme est libre d’aller et venir là où bon lui semble et nous avons été privés de ce droit. Nous avons dû fuir contre les forces de l’ordre qui avaient été missionnées et envoyées pour nous faire fuir.

    #Gilets_Jaunes

    • @davduf :

      Nous n’avons pas pu avancer, nous avons été traités de terroristes, les « badauds » ont été enfermés dans les magasins et les restaurants pour que nous ne leur fassions pas de mal. Nous avons rebroussé chemin, dans le calme, avec pour ambiance une mini fanfare et des gens costumés. Nous sommes arrivés à la place de la République, les forces de l’ordre suivaient chacun de nos mouvements. Nous étions là, dehors, debout, à discuter, à observer quand les premières grenades ont été lancées, nous enfumant tous. Alors forcément, moi, comme de nombreuses personnes présentes, nous ne connaissions pas cette sensation d’étouffer, nous ne savions pas ce que ça faisait de ne plus pouvoir respirer, d’avoir les yeux qui brûlent. Et pourtant je voulais rester, je voulais voir, je voulais sentir, je voulais observer. Les gaz en partie évacués, nous nous sommes ressoudés mais les jets ont été de plus en plus nombreux. Personne n’avait chargé, personne n’avait crié, personne n’avait d’arme, personne n’avait pris aucun équipement de la ville pour faire de barricades, de feu ou que sais-je encore. LES GENS ETAIENT JUSTE DEBOUT DANS LA RUE. Et nous avons été chassés, nous citoyens. L’homme est libre d’aller et venir là où bon lui semble et nous avons été privés de ce droit. Nous avons dû fuir contre les forces de l’ordre qui avaient été missionnées et envoyées pour nous faire fuir.

  • Stärnechind

    Our association Stärnechind produces clothes for miscarried and silent born children and provides a memory box for the affected parents.

    With our memory box we want to lighten the period of mourning a bit for the parents. At the hospital / clinic, the grieving parents receive a memory box with a two-piece heart necklace made of clay (a heart can be given to the child on his/her last trip), an angel made of feathers with an additional feather for the child, a pair of owls or butterflies and a lantern.

    The box can be used by the parents to store personal things that they can bring in connection to the short but valuable time with their child.

    We provide the hospitals with free of charge dresses, little caps, wrapping cloths and farewell boxes to allow the parents a worthy farewell of her dead child.

    All members are volunteers. All donations will go to 100% into our project Stärnechind.


    http://www.staernechind.ch/en/foundation

    #avortement #deuil #maternité #association #étoile

  • Instruction obligatoire à 3 ans : un cadeau pour l’école maternelle privée - Libération
    https://www.liberation.fr/debats/2018/12/14/instruction-obligatoire-a-3-ans-un-cadeau-pour-l-ecole-maternelle-privee_

    En décidant, sous couvert d’« égalité », la scolarisation obligatoire à 3 ans, le président de la République et son ministre de l’Education introduisent subrepticement l’obligation de financement des maternelles privées par les communes : c’est un bien mauvais coup porté à l’école maternelle publique et aux collectivités locales.

  • La #sama
    http://www.radiopanik.org/emissions/association-de-bienfaiteurs/la-sama

    En 1989, les marolliens, de la rue de la #samaritaine, firent #grève. La grève des #matelas. Parce que les pompiers avaient décidé que leur logement était insalubre, dangereux, parce que la commune de Bruxelles avait envoyé sa police afin de distribuer les avis d’expulsion à qui de droit, parce qu’aucune alternative de relogement ne leur était proposée, pour ces raisons, les personnes concernées, et des sympathisants, manifestèrent en dormant sur desq matelas dans la rue. Lieu où les entités communales, fédérales, les envoyaient vivre, n’ayant plus de logement. De cette manifestation naquit un mouvement pour le droit à un logement digne pour tout citoyen. Malheureusement, ce combat est toujours d’actualité.

    De ce mouvement naquit aussi le Comité de la Samaritaine. Lieu où je vous emmène (...)

    #cuisine #alimentaire #colis #commémoration #grève,cuisine,alimentaire,samaritaine,sama,colis,commémoration,matelas
    http://www.radiopanik.org/media/sounds/association-de-bienfaiteurs/la-sama_05845__1.mp3

  • A Beginner’s Guide to #bootstrap and #materialize Design Framework
    https://hackernoon.com/a-beginners-guide-to-bootstrap-and-materialize-design-framework-9e8a058f

    The latest innovations and advancements in the field of technology have helped mobile technology to grow and greatly evolved over the years. However, the fascinating aspect of mobile technology is that it is still evolving with each passing day. Still, experts in the field of telecommunications have been putting in extra efforts to ensure a great user experience to the ones who are browsing the internet through their smartphones and tablets. A recent study conducted by experts revealed that approximately 17 percent smartphone users in the United States use their phones for internet browsing.As a result, most website designers and developers have been putting in extra efforts to customize their websites in order to make them fit into the screen of smartphones and other mobile devices. (...)

    #web-development #bootstrap-design #design-framework

  • Genitori in Europa : chi sta a casa con i figli ?

    Troppi padri che delegano l’attività di cura alle compagne, madri che restano troppo a lungo fuori dal mercato del lavoro, un panorama disomogeneo di diritti e garanzie: ecco come e perché stanno cambiando i congedi parentali in Europa.

    In Europa, la casa, i figli, le pulizie e la spesa sono ancora un affaire molto femminile. A dirlo è uno studio della Commissione europea secondo cui, in Europa, gli uomini lavorano in media per 39 ore la settimana, mentre le donne 33. Allo stesso tempo però le donne spendono ben 22 ore non retribuite in attività di cura e lavori domestici, mentre il monte orario della controparte maschile si ferma a 10. Una situazione dettata sicuramente da stigmi culturali ma anche da una politica del lavoro che non è più al passo con i tempi.

    Da qui la necessità di un cambio di prospettiva, per uscire dallo schema dualistico uomo-donna e iniziare a pensare partendo dal concetto più fluido di work-life balance, ovvero di equilibrio tra lavoro e vita privata. Un ragionamento ancora più urgente nel momento in cui in famiglia entra in gioco uno o più figli.
    Congedo di paternità, come funziona in Europa?

    Ecco perché la Commissione europea nel 2017 ha avanzato la proposta di direttiva sull’equilibrio tra attività professionale e vita familiare per i genitori e i prestatori di assistenza, in cui si suggerisce agli stati membri, tra le altre cose, di adottare un minimo di 10 giorni di congedo di paternità obbligatorio.

    Attualmente quasi tutti i paesi Ue garantiscono questo diritto, con una durata media di 11 giorni. Spiccano la Slovenia con 30 giorni al 90% dello stipendio, la Romania con 15 al 100% (purché il padre segua un corso sulla cura dei figli) e la Bulgaria con 15 giorni al 90%. Gli stati dei Balcani extra Ue sono lontani dagli standard europei: il congedo di paternità è quasi ovunque inferiore ai 7 giorni, e in alcuni casi non è nemmeno retribuito. D’altra parte nemmeno l’Italia rispetta le linee guida dell’UE, con soli 5 giorni di congedo per i neo-papà.

    Quello che è emerso però da uno studio di Eurofound in 23 su 28 paesi dell’Ue è che solo il 10% dei padri decide di prendere il permesso per assentarsi dal lavoro in occasione della nascita del proprio bambino, con uno spettro che va dallo 0,02% della Grecia al 44% della Svezia. Evidentemente la semplice garanzia del diritto non equivale al raggiungimento dell’obiettivo.

    A influire sulle scelte degli uomini ci sono diversi fattori, oltre a quello culturale. In primo luogo quello economico: il basso livello dei compensi influenza l’assunzione o meno del congedo di paternità. Ma contano anche i criteri per l’ammissibilità e la mancanza di flessibilità nell’orario di lavoro.
    Quando il congedo di maternità diventa un ostacolo

    Affinché il congedo di paternità sia uno strumento di riequilibrio dei carichi «ci vogliono tempi più lunghi e l’assunzione di una responsabilità di cura da soli e non in contemporanea con la madre», ha dichiarato la statistica Linda Laura Sabbadini durante un’audizione sulla Direttiva sull’equilibrio tra attività professionale e vita familiare al Parlamento europeo a febbraio di quest’anno.

    Un elemento da tenere in considerazione nella valutazione delle politiche per la parità di genere, però, è il rapporto tra la durata del congedo e l’indennità di cui dispone la madre. Se infatti la prima è molto lunga la donna rischia di rimanere fuori dal mercato del lavoro per troppo tempo, trovando poi difficoltà nel reinserimento. Allo stesso tempo, in caso di bassa remunerazione la donna finisce per dipendere dallo stipendio del marito, come fanno notare i ricercatori del Fondo Monetario Internazionale Ruben Atoyan e Jesmin Rahman .

    Tra gli stati dei Balcani occidentali extra UE, per esempio, l’Albania e la Bosnia Erzegovina spiccano per la lunghezza del congedo di maternità (52 settimane), ma l’indennità è pari solo al 60-65% del salario. Diverso è il caso della Bulgaria, dove il congedo dura addirittura 58 settimane ma viene pagato al 90% – la situazione migliore in Europa. Per incentivare il reinserimento delle neo-mamme nel mercato occupazionale, il governo bulgaro nel 2017 ha adottato una misura che garantisce alle donne che rientrano al lavoro entro il primo anno d’età del figlio il 50% del benefit che riceverebbero rimanendo a casa.

    Congedi di maternità in Europa

    Nei paesi dell’UE il tasso di occupazione femminile nel 2016 era ancora inferiore di 11,6 punti percentuali rispetto a quello maschile: la perdita economica dovuta a questo divario nel 2013 era stimata intorno ai 370 miliardi di euro all’anno. Secondo Eurostat, la quota di uomini che lavorano part-time diminuisce all’aumentare del numero dei loro figli, mentre aumenta per le donne. Secondo la Commissione europea le responsabilità assistenziali sono la causa di inattività per quasi il 20% delle donne fuori dal mercato del lavoro, mentre costituiscono meno del 2% dei casi per gli uomini.
    Congedo parentale, il modello svedese

    Un ruolo decisivo nel riequilibrio tra vita privata e professionale è giocato quindi dal congedo parentale. Quello a cui si ispira l’UE è il modello svedese, per cui ai genitori spettano 480 giorni di congedo, di cui almeno 60 riservati al padre e almeno 60 alla madre. In più nelle prime due settimane dopo la nascita, entrambi i genitori possono accudire il figlio insieme. È proprio per aumentare il ricorso al congedo parentale dei padri che alcuni paesi prevedono che il congedo abbia una parte non condivisa, o «quota daddy» – poiché “è stato ripetutamente dimostrato che il congedo parentale basato su un diritto di famiglia (cioè non legato al padre) è usato prevalentemente dalle madri”, come affermano gli studiosi Peter Moss e Fred Deven .

    Attualmente tutti i paesi dell’UE prevedono un congedo parentale, ma c’è un’ampia variabilità, dalle 18 settimane di Cipro non remunerate ai tre anni per genitore in Germania, di cui però solo 14 settimane vengono pagate. Oltre alla Svezia, le migliori condizioni le si hanno in Slovenia. Lì il padre e la madre hanno a disposizione 130 giorni di permesso ciascuno, pagati al 90%, e solo una parte è trasferibile.

    In Bulgaria le madri godono di ottime condizioni di congedo, ma invece quello parentale è molto sfavorevole: prevede solo 6 mesi a disposizione di ciascun genitore, senza alcun tipo di remunerazione. Per quanto riguarda gli stati dei Balcani occidentali extra UE un buon esempio è quello della Serbia, con tre mesi pagati al 100% se il genitore ha lavorato negli ultimi sei mesi (comunque al di sotto dello standard previsto dall’UE).
    Congedo parentale, come renderlo efficace

    «Il congedo da solo non cambierà i comportamenti» ha affermato Tim Shand, vicepresidente di Promundo , un’organizzazione non governativa impegnata a favore della parità di genere, e coordinatore della rete mondiale MenCare , durante un’audizione al Parlamento europeo a febbraio di quest’anno. Secondo lui, per essere davvero efficace la nuova direttiva dovrebbe prevedere un «congedo non trasferibile, di una lunghezza ragionevole e pagato a sufficienza, tra il 70% e 100% dello stipendio regolare o equivalente».

    Una distribuzione più equa dei tempi di cura avrebbe come effetti sicuri una maggiore parità di genere, un coinvolgimento più intenso delle donne nel mondo del lavoro, con la conseguente riduzione dello scarto nelle retribuzioni di uomini e donne – e quindi una maggiore emancipazione. A trarne beneficio non sarebbero solo le donne, ma anche i figli. Secondo Shand, «i padri sono importanti per lo sviluppo emotivo e intellettuale dei bambini. Il coinvolgimento dei padri può contribuire a ridurre i tassi di depressione e avere un’influenza positiva sulle scelte future in termini lavorativi e sentimentali e anche di equilibrio tra vita professionale e familiare».

    https://www.balcanicaucaso.org/Tutte-le-notizie/Genitori-in-Europa-chi-sta-a-casa-con-i-figli-190834

    #congé_parental #Europe #comparaison #parentalité #genre #statistiques #chiffres #congé_maternel #congé_paternel #travail #famille #cartographie #visualisation #maternité #paternité

  • La #Mission_Eucap octroie à la police nationale du #Niger 6,5 Milliards FCFA pour le contrôle des frontières

    La #police nigérienne va bénéficier d’une enveloppe de 10 millions d’euros, soit 6,5 milliards FCFA, de la mission #Eucap_Sahel au Niger pour financer le projet de création de #Compagnies_mobiles_de_contrôle_des_frontières (#CMCF) dans toutes les régions du Niger. Ce, dans le but de lutter contre le crime organisé et la migration clandestine.

    Cette enveloppe est offerte précisément par les Pays-Bas à hauteur de 4 millions d’euros (2,6 milliards FCFA), et l’Allemagne 6 millions d’euros (3,9 milliards FCFA).

    « L’#Allemagne contribuera pour 6 millions et les #Pays-Bas pour 4 millions pour aider le gouvernement nigérien dans la lutte contre l’immigration irrégulière, le trafic de drogue et des armes. », a précisé le ministre des Affaires étrangères des Pays-Bas Stef Blok.

    La convention matérialisant cet appui a été signée le 31 octobre, en présence du Chef de la délégation de l’Union européenne Denisa-Elena Ionete, du Chef de la mission Eucap Sahel au Niger Frank Van Der Mueren, et du ministre des Affaires étrangères des Pays-Bas.

    Pour mémoire, la mission Eucap Sahel avait déjà offert du #matériel d’une valeur de 15 millions FCFA à l’Agence nationale de lutte contre la traite des personnes et le trafic illicite de migrants (#ANLTP / #TIM), toujours dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, le crime organisé, la traite des personnes et la migration clandestine.

    Eucap Sahel Niger est un instrument de développement et de stabilité de l’Union européenne, mise sur pied dans le cadre de la politique de sécurité et de défense commune. Lancée en 2012 au Niger, elle contribue au renforcement des capacités des forces de défense et de sécurité nigériennes dans le cadre de la lutte contre le terrorisme et la criminalité organisée.

    En 2018, sa mission a été prolongée au Niger pour une période de deux ans.

    https://www.niameyetles2jours.com/la-gestion-publique/securite/0111-3043-la-mission-eucap-octroie-a-la-police-nationale-du-niger

    • L’Allemagne et les Pays-Bas vont financer une police de contrôle au Niger

      L’Allemagne et les Pays-Bas vont débloquer 10 millions d’euros au Niger pour mettre sur pied des forces spéciales chargées de contrôler les frontières du pays africain notamment contre l’immigration illégale, a annoncé jeudi la mission civile européenne Eucap Sahel.

      Le Niger, les Pays-Bas et Eucap Sahel - qui aide depuis 2012 le Niger à lutter contre le terrorisme et la criminalité organisée - ont signé mercredi à Niamey la convention pour le financement de cette force dénommée Compagnies mobiles de contrôle des frontières (CMCF), selon Eucap Sahel.

      « Les Pays-Bas contribueront pour 4 millions d’euros et l’Allemagne pour 6 millions d’euros. Nous travaillerons avec le gouvernement nigérien dans la lutte contre la migration irrégulière, le trafic de drogue et des armes », a précisé à la télévision Stef Blok, le ministre des Affaires étrangères des Pays-Bas en visite au Niger.

      Les fonds seront confiés à Eucap Sahel et serviront à la formation, l’entrainement et l’équipement de centaines de policiers nigériens qui composeront les compagnie, a-t-il dit.

      Dans une première phase, deux compagnies fortes de 250 policiers nigériens seront positionnés à Maradi et Birn’in Konni, deux régions proches de la frontière avec le Nigeria, un des gros pourvoyeurs de clandestins transitant par le Niger pour l’Europe, a expliqué une source sécuritaire à l’AFP.

      « Grosso modo c’est pour combattre tout ce que nous avons comme défis : la migration illégale, le trafic des être humains, la drogue, le terrorisme », a expliqué Souley Boubacar, le patron de la police nigérienne.

      Selon les statistiques européennes, environ 90% des migrants d’Afrique de l’Ouest traversent le Niger pour gagner la Libye et l’Europe.

      Mi-juillet, lors d’une visite au Niger, le président du Parlement européen Antonio Tajani s’était réjoui de la chute « de plus de 95% » du flux de migrants transitant par le Niger vers la Libye et l’Europe, entre 2016 et 2017.

      https://www.voaafrique.com/a/l-allemagne-et-les-pays-bas-vont-financer-une-police-de-contr%C3%B4le-au-niger/4638602.html

    • Germany, Netherlands back Niger border force to counter migration

      Germany and the Netherlands have pledged to fund special forces in Niger to control its border and prevent illegal migration, the EU’s security mission in the country said Thursday.

      Niger is a transit country for thousands of migrants heading to Libya and Algeria, key hubs for migrants trying to reach Europe.

      Under the new plan, the two European nations will disburse €10 million to finance the new force, according to EUCAP Sahel, which provides support for Niger security forces.

      The funds would be used for training and equipping hundreds of Niger police officers.

      “Roughly speaking, it is to combat all our challenges: illegal migration, human trafficking, drugs, terrorism,” said Souley Boubacar, head of the Niger police.

      In the first phase, two companies of 250 Niger police will be positioned at Maradi and Birnin Konni — two regions on the troubled frontier with Nigeria that have become a key crossing point for migrants heading for Europe — a security source told AFP.

      It came after Germany held talks with Niger earlier this year, which took in discussions on migration issues. Angela Merkel welcomed the President of Niger, Mahamadou Issoufou, to Meseberg Castle in Brandenburg during the talks.

      The EU has been grappling with massive migration from Africa and the Middle East since 2015.

      Niger has become one of the main crossing routes for poor migrants, with 90 percent of West African migrants passing through the country, according to the EU.

      The Saharan route is notorious for its dangers, which include breakdowns, lack of water and callous traffickers who abandon migrants in the desert.

      Niger introduced a law making people-smuggling punishable by a jail term of up to 30 years in 2015.

      In July, European Parliament President Antonio Tajani said the flow of migrants through Niger fell by 95 percent between 2016 and 2017.


      https://www.thelocal.de/20181101/germany-netherlands-back-niger-border-force-to-counter-migration
      #Allemagne #Pays-Bas

    • Appui de plus de 6,5 Milliards de FCFA de La Mission Eucap à la police nationale pour le contrôle des frontières

      Le Ministre des Affaires étrangères des Pays-Bas Monsieur STEF BLOK a procédé ce mercredi 31 octobre 2018 à la signature d’une convention avec le Chef de la mission Eucap Sahel au Niger Monsieur FRANK Van Der Mueren pour le compte de la police nationale du Niger représentée par son directeur général le Commissaire général de police Souley Boubacar et en présence du Chef de la délégation de l’Union Européenne Mme Denisa-Elena IONETE.
      D’un coût global de 10 millions d’euros dont 4 millions des Pays-Bas et 6 millions de l’Allemagne, ce mémorandum d’entente permettra de financer le projet de création de Compagnies Mobiles de Contrôle des Frontières (CMCF) dans toutes les régions du Niger.
      La création de ces nouvelles compagnies s’inscrit dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée et la migration irrégulière.
      Le Chef de la mission EUCAP SAHEL au Niger, Monsieur FRANK VAN DER MUEREN a tenu à souhaiter la bienvenue au Ministre STEF BLOK, à la délégation de la police nationale et aux participants à cette cérémonie.
      Il a, à cette occasion, souligné que ce projet s’inscrit dans le cadre ‘’des actions de l’Union Européenne au Niger’’ et ‘’c’est un geste politique très fort envers le Niger’’.
      Rappelons qu’EUCAP SAHEL est à son quatrième mandat au Niger dont le dernier court de 2018 à 2020. Sa mission principale est la lutte contre l’insécurité et la migration clandestine. EUCAP SAHEL au Niger emploie 115 agents internationaux et 15 nationaux.
      ‘’L’Allemagne contribuera pour 6 millions et les Pays-Bas pour 4 millions pour aider le gouvernement nigérien dans la lutte contre l’immigration irrégulière, le trafic de drogue et des armes’’ a indiqué le ministre STEF BLOK au cours d’un point presse animée juste après la signature de cette convention.
      Le Commissaire général de police Directeur général de la police du Niger Souley Boubacar a exprimé toute sa satisfaction après cette signature avant d’ajouter que ‘’c’est pour combattre tout ce qu’il y a aujourd’hui comme défis de l’heure tels le trafic de drogue, d’armes, l’immigration irrégulière, le banditisme transfrontalier’’.
      Lancée en 2012, EUCAP Sahel Niger est une mission civile de l’Union européenne promouvant une politique de sécurité et de défense commune, rappelons-t-on. Elle apporte ses appuis dans le cadre de renforcement des forces de sécurité nigériennes.

      http://www.anp.ne/?q=article/appui-de-plus-de-6-5-milliards-de-fcfa-de-la-mission-eucap-la-police-nationale-p
      #externalisation #contrôles_frontaliers

  • Le gouvernement des playgrounds
    Histoire fragmentée des aires de jeux, 1770-2010

    Par Ferdinand Cazalis

    https://jefklak.org/le-gouvernement-des-playgrounds

    Sols absorbants, formes arrondies et couleurs vives, les aires de jeux standardisées font désormais partie du paysage urbain. Toujours les mêmes toboggans sécurisés, châteaux forts en bois et animaux à ressort. Ces non-lieux qu’on finit par ne plus voir ont une histoire, parallèle à celle des différentes visions portées sur l’enfant et l’éducation. En retournant jouer au XIXe siècle, sur les premiers playgrounds des États-Unis, on assiste à la construction d’une nation – et à des jeux de société qui changent notre vision sur les balançoires du capitalisme.

  • La #famille, un nouvel idéal ?

    Depuis les années 1960, le taux de #divorce en Occident augmente chaque année. En parallèle, de nouveaux #modèles de familles, monoparentales ou recomposées, sont apparus. Pourtant, malgré ces mutations, le #modèle_traditionnel réunissant père, mère et enfants reste la superstar des publicités, comme celle de la littérature et du cinéma.

    https://www.arte.tv/fr/videos/058227-061-A/square-idee
    #stéréotypes #monoparentalité #familles_recomposées #représentations #vidéo #film #récit_familialiste #ordre #valeur_refuge #idéologie #famille_nucléaire #divorce #cellule_familiale #famille_nucléaire #norme #propriété #mariage #christianisme #Eglise_catholique #amour #idéal_romantique #égoïsme_parental #lavage_de_cerveau #politiques_natalistes #Etat #domestication_de_la_sexualité #sexualité
    enfant comme #fixateur_social —> et c’est comme cela que, selon les deux interviewés, on ne fait pas la #révolution...

    #femmes comme #armée_de_réserve, nous suggère une des personnes interviewées (9’15 min) :

    « La #prime_aux_fourneaux fait actuellement l’objet de discussions en Autriche. Le #Vorarlberg a proposé de donner 300 euro aux femmes qui n’ont pas recours à la garde d’enfants dans les écoles maternelles, et ce jusqu’à l’âge de 6 ans. Et en Haute-Autriche cette question est également discutée. C’est révélateur du fait que le nombre d’emplois diminue. Autrement dit, selon l’état actuel du #marché_du_travail, les #femmes sont utilisées comme une armée de réserve. En ce moment on préfère les avoir à la maison car il y a de toutes façons peu d’emplois. C’est toujours en fonction des besoins économiques. »

    #Empire_romain #domination_masculine #unité_de_consommation #financement_des_retraites #violence #patriatcat #matriarcat #hiérarchie #maternité

    Interviewée :

    « J’ai lu un jour une interview d’un manager qui déclarait à la fin de sa carrière : ’Je ne pouvais pas m’occuper de mes enfants, mais je vais me rattrapper maintenant à la retraite avec mes petits-enfants.’ Imaginez qu’une femme dise une chose pareille. Elle ne peut pas dire ça. » Elle ne peut pas dire cela parce que les sanctions qui pèsent sur les mères sont beaucoup plus fortes que sur les pères défaillants

    #économie #travail #formation_à_la_parentalité #modèle_familial #éducation_des_enfants #éducation_collective #anarchisme #clan #amour_romantique #responsabilité #pression_sociale #congé_parental #explosion_démographique #justice_distributive #écologie #save_the_planet_make_no_baby #pression_sociétale #infertilité #propagande_nataliste #insémination_artificielle #cliniques_de_fertilité #business #néolibéralisme #néo-libéralisme #féminisme #politique_familiale #natalité

    • APHORISMAIRE À L’USAGE DES FUTURS FAMILICIDES

      Ce recueil d’aphorismes peu compatibles avec les bonnes mœurs ne devrait pas faire remonter la cote de popularité de son auteur, pourtant au plus bas dans les sondages effectués dans les maternités. Et pas seulement dans les maternités, confirment les critiques littéraires.
      Écridéviant, performeur volontiers nudiste, cofondateur de la « Fête des Non-Parents » et peintre en statues coloniales, Théophile de Giraud, né par hasard et sans conviction en 1968, a commis quelques doigts de livres désobligeants, tatoués d’humour noir et parfois diaprés d’une vaporeuse touche d’anti-natalisme consensuel.
      Épris de subversion carabinée, ce riant comparse de Noël Godin a participé, entre deux tentatives de suicide ou de régime amincissant, aux entartages de Doc Gynéco et de l’anticontraceptif archevêque Léonard, ainsi qu’au Coup d’État burlesque de Jan Bucquoy.
      Il a d’ores et déjà prévenu ses éventuels futurs parents qu’il refusera de renaître, même contre forte récompense.


      http://www.maelstromreevolution.org/pages/FRA/prodotto.asp?ProdottoID=308&FamigliaID=0

      #livre #Théophile_de_Giraud

  • Sorcières - Mona CHOLLET - Éditions La Découverte
    http://www.editionsladecouverte.fr/catalogue/index-Sorci__res-9782355221224.html

    Sorcières
    La puissance invaincue des femmes
    Mona CHOLLET
    Qu’elles vendent des grimoires sur Etsy, postent des photos de leur autel orné de cristaux sur Instagram ou se rassemblent pour jeter des sorts à Donald Trump, les sorcières sont partout. Davantage encore que leurs aînées des années 1970, les féministes actuelles semblent hantées par cette figure. La sorcière est à la fois la victime absolue, celle pour qui on réclame justice, et la rebelle obstinée, insaisissable. Mais qui étaient au juste celles qui, dans l’Europe de la Renaissance, ont été accusées de sorcellerie ? Quels types de femme ces siècles de terreur ont-ils censurés, éliminés, réprimés ?
    Ce livre en explore trois et examine ce qu’il en reste aujourd’hui, dans nos préjugés et nos représentations : la femme indépendante – puisque les veuves et les célibataires furent particulièrement visées ; la femme sans enfant – puisque l’époque des chasses a marqué la fin de la tolérance pour celles qui prétendaient contrôler leur fécondité ; et la femme âgée – devenue, et restée depuis, un objet d’horreur. Enfin, il sera aussi question de la vision du monde que la traque des sorcières a servi à promouvoir, du rapport guerrier qui s’est développé alors tant à l’égard des femmes que de la nature : une double malédiction qui reste à lever.

    Version papier : 18 €

    Vivement la rentré !

    • "Sorcières", de @mona , explique pourquoi les femmes qui ne veulent pas d’enfant sont vues comme les sorcières d’aujourd’hui

      Quel est le point commun entre les femmes qui ne désirent pas d’enfant aujourd’hui et les sorcières d’autrefois ? Pour la journaliste du Monde diplomatique Mona Chollet, dont le livre « Sorcières - La puissance invaincue des femmes » est paru jeudi 13 septembre, ces deux types de femmes se ressemblent plus qu’on ne le croit.

      Dans cet essai, l’auteure de « Beauté fatale » et de « Chez soi » décortique cette figure de notre histoire -et de notre imaginaire- et démontre comment des femmes d’aujourd’hui, celles qui s’émancipent de certaines normes sociales, sont en fait des héritières directes de celles qu’on traquait, chassait, censurait, éliminait à la Renaissance.

      « Elles ont réprimé certains comportements, certaines manières d’être. Nous avons hérité de ces représentations forgées et perpétuées au fil des siècles. Ces images négatives continuent à produire, au mieux, de la censure, ou de l’autocensure, des empêchements ; au pire, de l’hostilité, voire de la violence », explique Mona Chollet, qui relève trois types de femmes étant des sorcières des temps modernes : « la femme indépendante -puisque les veuves et les célibataires furent particulièrement visées ; la femme sans enfant -puisque l’époque des chasses a marqué la fin de la tolérance pour celles qui prétendaient contrôler leur fécondité, et la femme âgée -devenue, et restée depuis, un objet d’horreur ».

      C’est surtout la deuxième catégorie de femmes, celles qui font le choix de ne pas devenir mères, qui a donné à Mona Chollet l’envie d’écrire sur les sorcières, comme elle l’explique à Cheek Magazine.

      Refuser d’être mère

      De nos jours, souligne la journaliste, seulement 4,3% des femmes françaises déclarent ne pas vouloir d’enfant. Le nombre de femmes sans enfant a même baissé tout au long du XXe siècle. Aux États-Unis, elles sont aussi de plus en plus nombreuses.

      Dans cette enquête passionnante, Mona Chollet analyse les motifs, tellement divers, qui ont pu motiver et motivent encore certaines femmes à résister, d’une certaine manière, à ce que la société attend d’elle : devenir mères.

      Parmi celles-ci, le refus de mettre au monde un enfant qui n’a rien demandé, dans une société qui ne semble pas à la hauteur, avec un avenir qui paraît s’assombrir. Mona Chollet cite ainsi l’écrivaine française Corinne Maier qui voit « dans la procréation le verrou du système actuel, dans la mesure où elle nous conduit à perpétuer un mode de vie qui nous mène à la catastrophe écologique ». Pour Corinne Maier, « nous vivons dans une société de fourmis, où travailler et pouponner modèle l’horizon ultime de la condition humaine. Une société pour laquelle la vie se limite à gagner son pain et à se reproduire est une société sans avenir car sans rêves ».

      Ascension sociale

      Mona Chollet décrit également les envies et parcours de ces femmes qui, en prenant la décision de ne pas enfanter, s’extraient de leur milieu social, poursuivent leurs ambitions, grimpent les échelons et attribuent leur ascension à cette décision. Par exemple, Gloria, 43 ans, qui décrit dans les travaux de la chercheuse Carolyn M. Morell : « Si j’avais été gentille et docile, aujourd’hui, je vivrais probablement en Floride avec six enfants, je serais mariée à un mécanicien et je me demanderais comment payer la prochaine facture ».

      La journaliste évoque également ces femmes qui ne veulent pas reproduire le schéma de leur propre enfance malheureuse, celles qui trouvent que la vie est dure et ne veulent pas la transmettre, celles qui veulent mener leur vie seules ou au contraire se consacrer pleinement à leur couple, sans tierce personne dans le cocon. Au final, il existe sûrement autant de raisons de ne pas enfanter que de femmes.

      C’est sans compter toutes celles qui sont mères mais regrettent de l’être, un tabou peut-être encore plus important mais qu’on a pu voir émerger en 2016 en Allemagne à travers le hashtag #RegrettingMotherhood.

      Sorcières modernes

      Quant à Mona Chollet, qui livre régulièrement son expérience personnelle tout au long de l’essai, elle estime, par exemple, ne pas pouvoir « ajouter un membre à la société alors que celle-ci a si spectaculairement échoué à établir un rapport harmonieux à son milieu vital et semble si bien partie pour le détruire tout à fait ».

      En quoi ces femmes sont-elles des sorcières d’aujourd’hui ? Parce qu’à leur époque, entre autres, elles étaient celles qui n’enfantaient pas, qui vivaient à l’écart de la société.

      Ces dernières années, à travers les mouvements féministes, la figure de la sorcière a considérablement gagné en popularité. Si certaines livrent leurs recettes de potions ou d’amulettes sur les réseaux sociaux, d’autres se reconnaissent dans le pouvoir très particulier des sorcières : celui de s’extraire des injonctions sociales, des représentations attendues de la féminité, renversent l’ordre des choses et choisissent de vivre telles qu’elles l’entendent. Un pouvoir qui, aujourd’hui comme à la Renaissance, rend ces femmes aussi menaçantes que fascinantes.

      https://www.huffingtonpost.fr/2018/09/15/sorcieres-de-mona-chollet-explique-pourquoi-les-femmes-qui-ne-veulent-pas-denfant-sont-vues-comme-les-sorcieres-daujourdhui_a_23526093/?ncid=other_twitter_cooo9wqtham
      #maternité

  • Cette #expédition du #CNRS en #Amazonie fait passer #Koh_Lanta pour une promenade de santé
    https://www.huffingtonpost.fr/2015/05/21/expedition-amazonie-geographique-koh-lanta-france-bresil-raid-7-borne

    #Jean_Baptiste_Duval écrit cet #article sur l’expédition dite « #Raid_des_7_bornes » le #21_mai #2015. Cette #mission du #Centre_National_de_la_Recherche_Scientifique a pour but de retrouver les #7_bornes marquant la #frontière entre la #Guyane et le #Brésil.

    Avec 25 à 30 kg de #matériel sur le dos, progressant difficilement dans la #jungle à la vitesse moyenne de 1 km/h, grimpant et descendant les incontournables #collines successives des #monts #Tumuc_Humac pour un #dénivelé total positif de 15.000 m, la colonne scientifico-militaire avançant sans #layonnage (coupes dans la forêt pour tracer un #sentier) entend atteindre après une quarantaine de jours, à raison d’une douzaine de kilomètres par jour, son objectif vers le 20 juillet, à la source du #fleuve #Oyapock .

    Cette expédition a un but #scientifique puisqu’elle enrichit l’inventaire de la #biodiversité et de la #flore sauvage déjà connues par l’Homme, mais aussi un but #géographique dans le sens qu’elle est à la recherche des traces des #explorateurs du passé qui ont posé ces bornes.

    Les monts Tumuc Humac auxquels va s’attaquer la colonne des « 7 bornes », ont déjà écrit une page funeste dans le grand livre de l’exploration française : en 1950, c’est au coeur de cette pieuvre verte que disparut à jamais le jeune #explorateur #Raymond_Maufrais (24 ans à l’époque), parti en solitaire pour une mortelle #traversée vers le Brésil.

    • soit plus précise cite le géographe à l’origine de ce raid. « François-Michel Le Tourneau, directeur de recherche au CNRS et docteur en sciences de l’information géographique, est à l’origine de ce raid, mené conjointement avec les légionnaires du 3e Régiment Etranger d’Infanterie basé à Kourou ».

  • Match Ajaccio - Le Havre : la LFP durcit ses sanctions
    https://www.francebleu.fr/sports/football/match-ajaccio-le-havre-la-lfp-durcit-ses-sanctions-1527218129

    La Ligue de football professionnel sévit après les incidents du pré-barrage de Ligue 2 polémique entre l’AC Ajaccio et Le Havre. Le Corse Mathieu Coutadeur écope de sept matches de suspension ferme. L’attaquant havrais Mateta est suspendu une rencontre, contre trois pour le défenseur Denys Bain.

    Twitter
    https://mobile.twitter.com/InsideGones/status/998285303650635777/video/1

    Ambiance ultra raciste à #Ajaccio avec le déplacement du Havre. #Mateta (joueur noir) célèbre son pénalty de façon mesurée, ce qui provoque l’agression de la part des joueurs corses (voir vidéo) avec ce magnifique commentaire du journaliste « Mateta il a pas à faire ça ». Bon ok, alors le gars se fait agresser et c’est à lui qu’on reproche son attitude. Dans le normal quoi ! Et en plus il est suspendu…
    #foot #racisme #sport #journalisme

  • Armi italiane nel mondo: dove finiscono e chi colpiscono

    Bombe per decine di milioni di euro all’Arabia Saudita, che le usa nella guerra in Yemen. E le armi italiane finiscono pure in Nord Africa, Turchia e in tanti altri paesi del Medio Oriente. Un commercio che vede tra i protagonisti la #Rwm_Italia (della #Rheinmetall) e le autorità italiane che lo permettono. Una situazione così grave che gli attivisti hanno presentato un esposto.

    Più di 45 milioni di euro di bombe all’Arabia Saudita. Una fornitura che rappresenta un record non solo per la piccola azienda di Domusnovas in Sardegna, dove la Rwm Italia produce bombe aeree del tipo MK 82. MK83 e MK84 per conto della multinazionale tedesca Rheinmetall, ma per l’intera produzione italiana di ordigni.

    Un dato che, considerata la rilevanza a livello manifatturiero e soprattutto la criticità del destinatario e utilizzatore finale, dovrebbe apparire in chiara evidenza nella Relazione destinata al Parlamento. Di cui, invece, non si trova menzione nella “Relazione sulle operazioni autorizzate e svolte per il controllo dell’esportazione, importazione e transito dei materiali di armamento per l’anno 2017” pubblicata – in totale silenzio (nemmeno un tweet per annunciarla) – lo scorso venerdì 4 maggio sul sito del Senato (ma non ancora disponibile su quello della Camera).
    Armi italiane in Medio Oriente e Nord Africa

    Della Relazione sul controllo del commercio di armi ci siamo in parte già occupati, commentando alcune anticipazioni offerte, in modo alquanto insolito, dal direttore dell’Unità nazionale per le autorizzazioni dei materiali di armamento (Uama), Francesco Azzarello, con una sua intervista all’Ansa. Ma i dati che emergono dal documento ufficiale sono molto più preoccupanti di quelli finora anticipati.

    Innanzitutto perché, degli oltre 10,3 miliardi di euro di autorizzazioni all’esportazione di materiali d’armamento rilasciate nel 2017 dal governo Gentiloni, il 57,5% è destinato a Paesi non appartenenti all’Ue o alla Nato e prevalentemente ai paesi del Medio Oriente e Nord Africa. Ma soprattutto perché tra i principali destinatati figurano nazioni belligeranti, monarchie assolute, regimi autoritari irrispettosi dei diritti umani, governi fortemente repressivi.

    L’esatto opposto di quello che ci si aspetterebbe: ai sensi della normativa nazionale che regolamenta questa materia, la legge 185 del 1990, le esportazioni di armamenti «devono essere conformi alla politica estera e di difesa dell’Italia» e dovrebbero essere regolamentate «secondo i principi della Costituzione repubblicana che ripudia la guerra come mezzo di risoluzione delle controversie internazionali» (art. 1).
    Guerra in Yemen e regimi: le armi italiane nel mondo

    L’elenco di questi Paesi è impressionante. Si comincia con il Qatar (4,2 miliardi di euro), a cui sono state fornite da Fincantieri quattro corvette, una nave per operazioni anfibie e due pattugliatori e in aggiunta il sistema di combattimento e missilistico della Mbda: un intero arsenale bellico che la sottosegretaria di Stato alla Presidenza del Consiglio dei ministri, onorevole Maria Elena Boschi, nella sezione di sua competenza liquida sbrigativamente come una mera «fornitura di navi e di batterie costiere».

    Segue l’Arabia Saudita (52 milioni), a cui vanno aggiunti altri 245 milioni di euro per gli Efa “Al Salam” e i Tornado “Al Yamamah” riportati nei programmi intergovernativi.

    E poi Turchia (266 milioni), Pakistan (174 milioni), Algeria (166 milioni), Oman (69 milioni), Iraq (55 milioni), Emirati Arabi Uniti (29 milioni), Giordania (14 milioni), Malaysia (10 milioni), Marocco (7,7 milioni), Egitto (7,3 milioni), Tunisia (5,5 milioni), Kuwait (2,9 milioni), Turkmenistan (2,2 milioni).
    #Pakistan #Algérie #Oman #Irak #EAU #Emirats_Arabes_Unis #Jordanie #Malaysie #Maroc #Birmanie #Egypte #Tunisie #Kuwaït #Turkmenistan

    Come ha rilevato con un comunicato la Rete italiana per il Disarmo, «il risultato è evidente: gli affari “armati” dell’industria a produzione militare italiana si indirizzano sempre di più al di fuori dei contesti di alleanze internazionali dell’Italia verso le aree più problematiche del mondo».

    Armi all’Arabia Saudita: «Violati i diritti umani»

    Soprattutto le forniture di armamenti all’Arabia Saudita sono state oggetto di specifiche denunce da parte delle associazioni pacifiste italiane ed europee. Si tratta di forniture – non va dimenticato – che il Parlamento europeo ha chiesto con tre specifiche risoluzioni di interrompere ponendo un embargo sugli armamenti destinati all’Arabia Saudita «visto il coinvolgimento del paese nelle gravi violazioni del diritto umanitario accertato dalle autorità competenti delle Nazioni Unite» (risoluzione del Parlamento europeo sulle esportazioni di armi del 13 settembre 2017).

    Insieme all’’European Center for Constitutional and Human Rights (Ecchr) e all’organizzazione yemenita per i diritti umani Mwatana, lo scorso 18 aprile la Rete Italiana per il Disarmo ha presentato una denuncia penale alla Procura della Repubblica italiana di Roma.
    Autorità e Rwm Italia: chiesta apertura indagine

    Nella denuncia si chiede che venga avviata un’indagine sulla responsabilità penale dell’Autorità italiana che autorizza le esportazioni di armamenti (Unità per le autorizzazioni dei materiali d’armamento – Uama) e degli amministratori della società produttrice di armi Rwm Italia S.p.A. per le esportazioni di armamenti destinate ai membri della coalizione militare guidata dall’Arabia Saudita coinvolti nel conflitto in Yemen.

    La denuncia è estremamente dettagliata e riporta il caso di un raid aereo effettuato l’8 ottobre 2016, verosimilmente dalla coalizione militare guidata dall’Arabia Saudita, che ha colpito il villaggio di Deir Al-Hajari, nello Yemen nord-occidentale, distruggendo la casa della famiglia Houssini e uccidendo sei persone, tra cui una madre incinta e quattro bambini. Sul luogo dell’attacco sono stati rinvenuti dei resti di bombe e un anello di sospensione prodotti da Rwm Italia.
    Rheinmetall nel mirino dell’azionariato critico

    Le associazioni non si sono limitate alla denuncia. Per sensibilizzare l’opinione pubblica la Fondazione Finanza Etica (Ffe) ha partecipato lo scorso 8 maggio a Berlino all’assemblea degli azionisti della Rheinmetall, l’azienda che controlla la Rwm Italia.

    All’assemblea era presente, in rappresentanza delle associazioni pacifiste italiane, Francesco Vignarca, coordinatore di Rete Disarmo. Numerose anche le organizzazioni tedesche che, acquistando azioni della Rheinmetall, hanno potuto partecipare all’assemblea dei soci: tra le altre va ricordata la banca cattolica Bank für Kirche und Caritas (presente in rappresentanza del network SfC-Shareholder for Change), Urgewald, Campact, varie associazioni cattoliche ed Ecchr (European Centre for Constitutional and Human Rights).

    Particolarmente significativo l’intervento di Bonyan Gamal, in cui l’attivista yemenita di Mwatana ha descritto la tragica morte della famiglia Houssini, suoi vicini di casa, centrati da una bomba prodotta dalla Rwm Italia.
    Mons. Zedda su Rwm Italia: «No a produzione di armi»

    Una presa di posizione quanto mai significativa è venuta dal vescovo di Iglesias, monsignor Giovanni Paolo Zedda. Il prelato è titolare della diocesi di cui fa parte Domusnovas, dove ha sede la fabbrica della Rwm Italia. Dopo aver ricordato nel suo messaggio la «gravissima situazione occupativa» nell’iglesiente, monsignor Zedda evidenzia che «la gravissima situazione economico-sociale non può legittimare qualsiasi attività economica e produttiva, senza che ne valutiamo responsabilmente la sostenibilità, la dignità e l’attenzione alla tutela dei diritti di ogni persona».

    «In particolare, non si può omologare la produzione di beni necessari per la vita con quella che sicuramente produce morte. Tale è il caso delle armi che – è purtroppo certo – vengono prodotte nel nostro territorio e usate per una guerra che ha causato e continua a generare migliaia di morti».

    E, in merito ai piani proposti dalla Rwm Italia per ampliare la fabbrica, monsignor Zedda afferma con chiarezza: «Qualunque idea di conservazione o di allargamento di produzione di armi è da rifiutare». Un messaggio che è stato accolto con grande attenzione dai partecipanti al convegno “Pace, lavoro, sviluppo”, che proprio in quei giorni si teneva a Iglesias per riflettere anche sulle prospettive di una possibile riconversione della fabbrica delle bombe.


    https://www.osservatoriodiritti.it/2018/05/15/armi-italiane-nel-mondo-arabia-saudita-yemen
    #armes #Italie #armement #commerce_d'armes #Arabie_Saoudite #Yémen #Turquie
    cc @albertocampiphoto

    • Armi italiane in Yemen: Governo del Cambiamento alla prova

      Il ministro della Difesa, Elisabetta Trenta, vuole vederci chiaro sull’esportazione di armi italiane verso Arabia Saudita e altri Paesi coinvolti nel conflitto in Yemen. E si dichiara pronta a bloccare le vendite di armi «verso Paesi in guerra o verso altri Paesi che potrebbero rivenderle a chi è coinvolto». Nel frattempo, però, servirebbe più trasparenza.

      Il ministro della Difesa, Elisabetta Trenta, ha annunciato ieri l’intenzione, «laddove si configurasse una violazione della legge 185 del 1990», di interrompere le esportazioni di armamenti a Paesi coinvolti in conflitti bellici. L’annuncio, pubblicato sulla sua pagina Facebook, fa seguito a una serie di dichiarazioni rilasciate nei giorni scorsi da diversi parlamentari del Movimento 5 Stelle (M5S) ed in particolare dal suo leader politico, Luigi Di Maio.

      Al termine della riunione della Cabina di Regia per l’Italia internazionale, il ministro dello Sviluppo economico, Di Maio, aveva infatti affermato:

      «Non vogliamo, ad esempio, continuare ad esportare armi verso Paesi in guerra o verso altri Paesi che, a loro volta, potrebbero rivenderle a chi è coinvolto in un conflitto bellico».

      Una dichiarazione salutata positivamente da alcuni parlamentari del M5S che hanno annunciato di voler avviare iniziative parlamentari «per imprimere un cambiamento anche in questo settore».
      Trenta chiede chiarimenti su esportazione armi italiane

      Ma torniamo alla dichiarazione del ministro della Difesa. A fronte delle «immagini di quel che accade in Yemen ormai da diversi anni», Elisabetta Trenta annuncia innanzitutto di aver chiesto «un resoconto dell’export, o del transito di bombe o altri armamenti dall’Italia all’Arabia Saudita». Il ministro, specificando agli organi di stampa che «fino ad ora, erroneamente, si era attribuita la paternità della questione al ministero della Difesa, mentre la competenza è del ministero degli Affari Esteri (Unità per le autorizzazioni dei materiali di armamento-UAMA)», comunica di aver inviato «venerdì scorso una richiesta di chiarimenti, sottolineando – laddove si configurasse una violazione della legge 185 del 1990 – di interrompere subito l’export e far decadere immediatamente i contratti in essere».

      Si tratta, evidenzia, di «contratti firmati e portati avanti dal precedente governo» (leggi Armi italiane ai regimi autoritari). La titolare della Difesa annuncia infine di aver «allertato il collega Moavero, che sono certa si interesserà quanto prima dell’argomento». Al momento, dal ministero degli Esteri non risulta alcuna risposta. Ma la dichiarazione della Trenta evidenzia un’attenzione, finora inedita, da parte di un organo governativo, da non sottovalutare.
      Rete Disarmo e Amnesty su armi italiane vendute all’estero

      La Rete italiana per il Disarmo, che per anni insieme a diverse altre organizzazioni della società civile ha sollevato in varie sedi la questione, ha salutato positivamente la presa di posizione della ministro Trenta sulla questione delle vendite di bombe italiane all’Arabia Saudita, evidenziando che «va nella giusta direzione e verso l’unica e sola soluzione sensata e umana: lo stop di qualsiasi fornitura militare».

      https://www.osservatoriodiritti.it/2018/09/18/armi-italiane-in-yemen-arabia-saudita

    • Triplicherà la produzione la fabbrica di bombe in Sardegna che rifornisce i sauditi

      L’azienda tedesca investe sulle sue filiali all’estero per aggirare il blocco di forniture a Riyadh imposto da Angela Merkel

      #Rwm verso l’ampliamento. Il comitato di riconversione e Italia Nostra Sardegna in piazza per protestare: «Il comune di Iglesias non ci ascolta»

      La Rwm, la fabbrica di bombe situata a Domusnovas in Sardegna, triplicherà la sua produzione e amplierà le sue strutture su un territorio che rientra sotto il comune di Iglesias. È prevista la costruzione di due nuovi reparti produttivi; a giorni verrà pubblicata l’autorizzazione sull’albo pretorio comunale.

      Secondo Italia Nostra Sardegna, la richiesta di autorizzazione all’ampliamento è stata formulata in modo che i due reparti impiegati nel processo di miscelazione, caricamento e finitura di materiali esplodenti non vengano inquadrati come impianti chimici, così da eludere le valutazioni di Impatto ambientale e il coinvolgimento della Regione Sardegna. Con i due nuovi reparti la produzione passerà da 5 mila a 15 mila bombe l’anno.

      La Rwm è tristemente famosa per le forniture all’Arabia Saudita, che utilizza gli ordigni per bombardare i civili in Yemen nella guerra contro i ribelli sciiti Houthi che ormai va avanti dal 2015. La fabbrica è una filiale dell’azienda tedesca di armamenti Rheinmetall, il cui presidente Papperger già a maggio scorso dichiarava durante il consiglio di amministrazione il rinnovo di investimenti per il sito di Domusnovas. Gli investimenti sono arrivati e l’ampliamento ha ricevuto l’autorizzazione.

      In circa 18 mesi i lavori dovrebbero essere conclusi: a dare la tempistica approssimativa era stato proprio l’amministratore delegato di Rwm, Fabio Sgarzi, in un’intervista a La Nuova Sardegna lo scorso luglio. Proprio in quel periodo, infatti, la società aveva presentato la richiesta di ampliamento per la quale lo scorso 3 novembre è scaduta la prima fase autorizzativa.

      «Non possiamo essere complici di una tale sciagura» dichiara Arnaldo Scarpa, portavoce del Comitato di riconversione, che giovedì 8 novembre era in piazza assieme all’associazione Italia Nostra Sardegna per un sit in di protesta. Lo scorso luglio le due associazioni si sono costituite nella Conferenza dei Servizi, in cui vengono presi in considerazione gli interessi pubblici, per richiedere la necessità di una valutazione di impatto ambientale. Ma questa volta non sono stati ascoltati: in assenza di pareri contrari, la procedura di ampliamento va avanti. «Diventa così ancora più importante la protesta” continua Scarpa “Stiamo valutando gli estremi per un ricorso al Tar».

      È dal 2016 che la Rwm prova ad ampliarsi nel territorio di Iglesias: due anni fa, infatti, la società aveva richiesto l’autorizzazione per la costruzione di un nuovo campo per i test. Ma questa richiesta è al momento bloccata in fase istruttoria presso la regione Sardegna, in attesa di una Valutazione di impatto ambientale, istanza fortemente voluta dall’associazione Italia Nostra Sardegna. Fino ad ora, denunciano le associazioni, la politica locale non ha preso una posizione, sostenendo che l’approvazione o il rigetto delle autorizzazioni di ampliamento siano questioni puramente tecniche di competenza del Suap (Sportello unico per le attività produttive). «Ci siamo rivolti direttamente al Sindaco di Iglesias, al responsabile del Suap e al responsabile del procedimento del comune di Iglesias, speriamo che in questi giorni la situazione possa essere ribaltata” conclude Scarpa «la lotta non violenta continua e con maggiore motivazione».

      I progetti di espansione peraltro vanno nella direzione contraria a quella indicata dalla cancelliera tedesca Angela Merkel, che in relazione al caso Kashoggi ha minacciato di sospendere il commercio di armi con l’Arabia Saudita. Di fatto però la Merkel sa benissimo che in mancanza di una regolamentazione definita sulle filiali all’estero, le grosse aziende tedesche di armi possono continuare a commerciare impunite.

      La Rheinmetall infatti sta implementando gli investimenti sulle sue due più grosse succursali all’estero: da un lato procede all’ampliamento della sarda Rwm e dall’altra ha appena ricevuto una grossa offerta dalla compagnia della difesa saudita Sami (Saudi Arabian Military Industries) per la sudafricana Rdm (Rheinmetall Denel Munition). Secondo una fonte anonima riportata dalla Reuters l’offerta ammonterebbe a un miliardo di dollari e riguarderebbe Denel, l’azienda che dal 2008 si è legata in una join venture con la Rheinmetall Waffe Munition tedesca e che attualmente detiene il 49% della filiale sudafricana. In tale modo i sauditi, con una quota di minoranza, entrerebbero di diritto nel consiglio di amministrazione e riuscirebbero ad impossessarsi di una grossa parte della fabbrica.

      Se nelle dichiarazioni politiche viene messa in discussione la possibilità di commerciare con l’Arabia Saudita, nei fatti quando si parla di affari milionari, la solidarietà tra i vari paesi coinvolti risulta più compatta che mai.

      https://www.dirittiglobali.it/2018/11/triplichera-la-produzione-la-fabbrica-di-bombe-in-sardegna-che-riforn
      #Allemagne

    • Armi italiane vendute all’estero per rilanciare il “Sistema Paese”

      Il Governo del Cambiamento non ha intenzione di rinunciare alla vendita di armi italiane in Medio Oriente. Tanto che per il sottosegretario alla Difesa Tofalo si tratta di un business «da sfruttare al massimo». Con buona pace dei diritti umani violati dall’Arabia Saudia nella guerra in Yemen. Società civile e Comuni, invece, chiedono un’inversione di rotta

      Ha preso il via domenica scorsa Idex 2019 (International Defence Exhibition), l’esposizione biennale di sistemi militari di Abu Dhabi giunta alla quattordicesima edizione. Un salone che rappresenta il punto di riferimento per i ricchi acquirenti del Medio Oriente e, soprattutto, per le aziende produttrici di armamenti.

      Come annunciato (leggi Marina militare: dalla Spezia al Medio Oriente per affari di guerra), la Marina Militare ha voluto inviare ad Abu Dhabi la fregata Margottini per arricchire con le sue tecnologie belliche il salone Navdex, che si tiene in contemporanea a Idex.

      Tra le 1.235 aziende di 57 Paesi, la presenza italiana è rilevante: 31 aziende, tra cui oltre ai colossi #Leonardo (ex #Finmeccanica) e #Fincantieri, figurano i produttori di bombe (#Simmel_Difesa del gruppo francese #Nexter), di “armi leggere” (#Beretta, #Benelli, #Tanfoglio, #Fiocchi, ma anche la meno nota #Mateba), di “materiali da difesa” di ogni tipo e soprattutto di sistemi elettronici tra cui spicca #Hacking_Team, l’azienda sospettata di essere coinvolta nello spionaggio di Giulio Regeni (con relative proteste dell’azienda) e anche nel caso dell’omicidio del giornalista saudita Jamal Khashoggi.

      In breve, un ampio campionario dell’arsenale bellico italiano, pesante e leggero, con tanto di associazione di rappresentanza, l’Aiad (Federazione Aziende Italiane per l’Aerospazio, la Difesa e la Sicurezza), la cosiddetta “Confindustria degli armamenti”, capitanata dal suo presidente Guido Crosetto che è anche coordinatore nazionale di Fratelli d’Italia.

      Armi italiane vendute all’estero: occasione da “sfruttare”

      In questo contesto non poteva certo mancare la visita di un rappresentante del governo italiano: vi ha infatti partecipato il sottosegretario alla Difesa, l’onorevole pentastellato Angelo Tofalo. Per non far passare inosservata la sua presenza, il sottosegretario ha voluto dedicare al salone militare un ampio scritto sulla sua pagina Facebook con tanto di foto ricordo della visita agli stand ed in particolare del suo incontro con Mohammed bin Zayed Al Nahyan, il Principe erede dell’Emirato di Abu Dhabi e delegato per il ministero della Difesa.

      Un resoconto entusiasta, in cui il sottosegretario parla di Idex 2019 nei termini di «una grande opportunità per stabilire e rafforzare cooperazioni con i principali attori dell’area», di «un’occasione da sfruttare al massimo» e, soprattutto, del suo ruolo «per sostenere le nostre eccellenze (…) per affermare il “made in Italy” nel mercato internazionale». «Anche questo vuol dire fare politica, quella buona, e gli interessi dell’Italia», chiosa Tofalo.

      Dichiarazioni in perfetto stile “commesso viaggiatore” dell’industria militare italiana. Quanto questo risponda al suo ruolo di sottosegretario alla Difesa, il cui compito principale sarebbe quello di assicurare la sicurezza del nostro Paese a fronte della minaccia che queste monarchie rappresentano (ne parlo più sotto), non è dato di sapere.

      In sfregio alle violazioni e ai crimini di guerra

      La partecipazione di Tofalo a Idex 2019 è un messaggio molto chiaro: il governo Conte non intende rinunciare agli affari militari e coglie l’occasione del salone di Abu Dhabi per rafforzare i legami con le monarchie del Golfo. Manifestando così il suo appoggio politico all’intervento militare che vede protagonisti gli Emirati Arabi insieme ai sauditi in Yemen.

      Un sostegno inammissibile alla luce della relazione dell’Alto commissario delle Nazioni Unite per i diritti umani dell’agosto scorso che documenta come tutte le parti implicate nel conflitto nello Yemen stiano commettendo “crimini di guerra”. E in totale disprezzo della risoluzione 2018/2853 del Parlamento europeo che lo scorso ottobre ha esortato tutti gli Stati membri dell’Ue ad «astenersi dal vendere armi e attrezzature militari all’Arabia Saudita, agli Emirati Arabi Uniti e a qualsiasi membro della coalizione internazionale, nonché al governo yemenita e ad altre parti del conflitto».

      Sulla questione dello Yemen il sedicente governo del Cambiamento quindi si mostra non solo in perfetta continuità con i governi che l’hanno preceduto (leggi Armi italiane in Yemen: Governo del Cambiamento alla prova), ma anzi intende incentivare le forniture belliche perché – come spiega il sottosegretario Tofalo – «in questo settore, quando viene a crearsi un bisogno, accade che tanti competitor sono pronti a inserirsi e affermare le proprie tecnologie e prodotti». E per promuovere l’export armato sta pensando «ad una a grande fiera sull’Industria della Difesa, magari a Milano», scrive Tofalo nel suo post.
      Armi sviate alle milizie in Yemen

      Tutto questo avviene a pochi giorni di distanza dalla pubblicazione di un rapporto in cui Amnesty International documenta che «gli Emirati Arabi Uniti sono diventati il principale fornitore di veicoli blindati, sistemi di mortaio, fucili, pistole e mitragliatrici a milizie presenti in Yemen che compiono crimini di guerra e altre gravi violazioni dei diritti umani in modo del tutto impunito».

      Non solo. Amnesty evidenzia che «i gruppi armati destinatari finali di questi loschi traffici – tra cui i “Giganti”, la “Cintura di sicurezza” e le “Forze di elite” – sono addestrati e finanziati dagli Emirati Arabi Uniti ma non rispondono ad alcun governo». Alcuni di loro sono stati accusati di crimini di guerra, anche nel corso della recente offensiva contro la città portuale di Hodeidah e nella gestione del sistema di prigioni segrete nel sud dello Yemen».
      Guerra in Yemen: anche gli Usa ci ripensano

      Accuse confermate da un’inchiesta della CNN che documenta come Arabia Saudita e Emirati Arabi hanno trasferito armamenti di fabbricazione americana a combattenti legati ad al Qaeda, alle milizie salafite e ad altre fazioni attive nella guerra nello Yemen. Arabia Saudita e Emirati Arabi «hanno usato le armi prodotte dagli Stati Uniti come una forma di valuta per comprare la lealtà delle milizie e delle tribù, rafforzare i rapporti con gruppi armati scelti e influenzare il complesso panorama politico», riporta la CNN.

      Anche a fronte di queste inchieste, nei giorni scorsi la Camera degli Stati Uniti ha votato per porre fine al coinvolgimento militare e al sostegno di Washington alla coalizione a guida saudita nello Yemen. Un fatto rilevante, sia per il ruolo fondamentale di sostegno degli Stati Uniti alla coalizione a guida saudita nel conflitto yemenita, sia perché la risoluzione è passata grazie al voto anche di 18 rappresentanti repubblicani (248 voti a favore, 177 contrari): è la prima volta che la Camera approva una risoluzione del “War Powers Act” da quando la legge è stata emanata nel 1973.
      Le città italiane: basta armi italiane all’Arabia Saudita

      Il blocco delle forniture belliche all’Arabia Saudita e agli Emirati Arabi Uniti è stato ripetutamente richiesto, oltre che dal Parlamento europeo (leggi Basta armi ai sauditi, lo chiede l’Europa), anche da numerose associazioni della società civile italiana (da Amnesty International Italia a Fondazione Finanza Etica, dal Movimento dei Focolari a Oxfam Italia, dalla Rete della Pace alla Rete Italiana per il Disarmo e Save the Children Italia che ieri ha diffuso un nuovo appello). E sta trovando il sostegno da parte di numerose amministrazioni comunali.

      La mozione per fermare le forniture belliche è partita da Assisi, “Città della pace”, dove nel novembre scorso è stata approvata all’unanimità nel consiglio comunale. È poi approdata a Cagliari (la città dal cui porto e aeroporto partono le bombe della serie MK 80 fabbricate dalla Rwm Italia di Domusnovas e destinate all’Arabia Saudita), dove il consiglio comunale lo scorso 8 gennaio ha approvato un ordine del giorno che sollecita l’applicazione delle legge 185/90, che vieta la produzione e la vendita di armi ai Paesi in guerra. Sono seguite le mozioni approvate nei consigli comunali di Verona e di Bologna.

      È quindi approdata nell’assemblea capitolina che lo scorso 12 febbraio ha approvato la mozione “Stop bombe per la guerra in Yemen”. La mozione impegna la giunta, tra l’altro, a:

      «Promuovere, insieme agli altri comuni convergenti su questi intenti, alle associazioni e ai comitati di cittadini interessati, ogni azione perché il Governo e il Parlamento Italiano diano attuazione ai principi costituzionali e alle risoluzioni del Parlamento Europeo, bloccando l’esportazione di armi e articoli correlati, prodotti in Italia, destinate all’Arabia Saudita e a tutti i Paesi coinvolti nel conflitto armato in Yemen».

      Un’iniziativa importante, che andrebbe replicata in tutte le città e comuni d’Italia.

      Per riportare all’attenzione nazionale il tema delle esportazioni di armamenti, segnaliamo il convegno “Produzione e commercio di armamenti: le nostre responsabilità”, che si terrà il 1° marzo a Roma (iscrizione obbligatoria entro il 22 febbraio).

      https://www.osservatoriodiritti.it/2019/02/22/armi-italiane-vendute-all-estero-yemen-arabia-saudita

    • No all’allargamento della #RWM a #Iglesias

      La Tavola Sarda della Pace prende atto della decisione dell’Amministrazione comunale di Iglesias che autorizza d’ufficio l’allargamento della fabbrica di armamenti RWM, con la costruzione di due nuove linee di produzione che porteranno lo stabilimento a triplicare la capacità produttiva. Poiché tutto ciò è avvenuto con scarsa trasparenza, nessuna apertura ad un dibattito pubblico che coinvolga le popolazioni locali, nessuna considerazione dei documenti a tale scopo presentati da comitati ed organizzazioni della società civile, intende prendere posizione su questo grave fatto.

      Da oltre tre anni ormai la RWM, succursale italiana della multinazionale degli armamenti Reinhmetal a maggioranza tedesca e con sede a Berlino, vende i suoi micidiali ordigni all’Arabia Saudita, che li utilizza per i bombardamenti a tappeto contro i centri abitati e le popolazioni civili dello Yemen, che hanno fino ad oggi causato oltre 10mila vittime, in un’emergenza umanitaria gravissima, amplificata dalla mancanza di acqua e cibo e dalla conseguente epidemia di colera che ha colpito la popolazione. Il Governo italiano in carica, come peraltro quello precedente, continua ad ignorare l’applicazione della legge 185 del 1990 che fa divieto alla vendita e al transito sul suolo italiano di armi dirette a paesi in guerra o che violino i diritti umani. La monarchia saudita non sfugge ad entrambi i criteri, in quanto viola i diritti umani (il caso Khashoggi è solo la punta dell’iceberg, le donne continuano ad essere pesantemente discriminate) e bombarda la popolazione yemenita con le bombe prodotte nella fabbrica RWM situata nei territori dei Comuni di Domusnovas e Iglesias.

      Essendo fermamente avversi ad ogni guerra, violenza e discriminazione, pensiamo che questo devastante e illecito commercio d’armi vada fermato e, nel rispetto del diritto ad un lavoro dignitoso, vadano con urgenza ricercate soluzioni di sviluppo ecosostenibile sul territorio sardo.

      Per questo chiediamo che il Sindaco di Iglesias Mauro Usai riconsideri la decisione presa troppo frettolosamente, che il Presidente della Giunta Francesco Pigliaru intervenga in modo chiaro utilizzando le prerogative della Regione, che il Governo italiano aderisca all’embargo proposto dall’Unione Europea sulla vendita d’armi all’Arabia Saudita.

      https://www.arci.it/no-allallargamento-della-rwm-a-iglesias
      #Sardaigne

    • Rwm nel #Sulcis. Fabbrica delle bombe giorni decisivi per l’ampliamento

      Il momento è decisivo. In questi due giorni si gioca la fase clou della partita per l’ampliamento della “fabbrica delle bombe” sarde. Così è spesso chiamato lo stabilimento di Rwm Italia situato nel Sulcis, in bilico fra il comune di Domusnovas e quello di Iglesias. La ragione è semplice. L’impianto è specializzato – come si evince dal sito ufficiale – nella produzione di «sistemi antimine, testate missilistiche, dispositivi elettronici con spolette». In particolare, ordigni Mk-80. I cui frammenti, con tanto di codici identificativi – come documenta da anni Avvenire – sono stati ritrovati sul territorio yemenita dopo i bombardamenti della coalizione a guida saudita.

      Riad, del resto, è tra i clienti principali della Rwm Italia. Proprio da quest’ultima, nel 2016, ha ricevuto un “mega-ordine” da 411 milioni di euro. A cui si sono sommate, nel periodo successivo, commesse più piccole, tutte già autorizzate. Le richieste hanno fatto aumentare di oltre il 50 per cento il fatturato dell’azienda in un biennio. I ricavi delle vendite sono passati da 48,1 milioni di euro nel 2015 a 90 milioni di euro. Al contempo, però, esso ha innescato una “maratona produttiva”.

      L’impianto sardo lavora ormai h 24, sette giorni su sette. Nemmeno questo, però, sembra essere sufficiente per soddisfare la domanda. Da qui, l’idea di un’espansione. Dal 2016, nell’ambito di un piano di investimenti da 40 milioni di euro, Rwm Italia ha presentato al Comune di Iglesias dodici pratiche di ampliamento. La sorte della più significativa di queste si conoscerà domani. Ieri, è scaduto il termine per la presentazione di “osservazioni” relative all’effetto sul territorio dell’autorizzazione per la costruzione di due nuovi siti nella regione iglesiente da parte dei diversi enti locali.

      Solo domani, però, data la concomitanza della festa, si saprà se queste sono state effettivamente inoltrate. In caso affermativo, le parti ne dovranno discutere in una riunione ad hoc già prevista per giovedì. Il mancato recapito di rimostranze, invece, equivarrebbe a un via libera all’ampliamento, senza necessità di una valutazione dell’impatto ambientale. A quel punto, Rwm Italia potrebbe raddoppiare o triplicare la produzione, passando dall’attuale media annuale di 5mila ordigni a 10 o 15mila. Certo, tale espansione avrebbe anche ricadute in termini di occupazione.

      Un problema non da poco in un’aerea depressa come il sud della Sardegna che, nel 2017, s’è aggiudicato il penultimo posto nella classifica italiana per Pil pro capite. Dal 2015 al 2017, sono stati assunti altri 37 nuovi dipendenti, raggiungendo quota 171, in buona parte con contratti a termine o interinali. «Siamo pienamente consapevoli del dramma della disoccupazione che tanto ferisce la nostra terra – spiega Cinzia Guaita, del Comitato riconversione Rwm –. Eventuali nuove assunzioni, tuttavia, aumenterebbero una produzione eticamente inaccettabile e totalmente incompatibile con la legislazione italiana, che consente la produzione di armi solo per fini difensivi.

      Non solo. Finirebbero per incrementare ulteriormente l’esercito dei precari e, poi, dei disoccupati. In caso di blocco dell’export a Riad, i contratti sarebbero soggetti a immediata risoluzione». Nato il 15 maggio 2017, il Comitato – a cui aderiscono venti tra associazioni, fondazioni, singole persone di diverse orientamento – si batte per la riconversione dell’impianto. In occasione della scadenza di ieri, in collaborazione con Italia Nostra, ha rivolto forti appelli agli enti locali perché approfondissero le conseguenze ambientali dell’ultimo ampliamento. «Lottiamo pacificamente per un lavoro sostenibile e umano. In questo anno e mezzo, abbiamo promosso incontri con esperti per trovare insieme alternative per tutti i dipendenti della fabbrica – spiega il portavoce Arnaldo Scarpa –. Soluzioni non assistenziali, pacifiche, sostenibili e foriere di duraturo sviluppo nel nostro territorio».

      «Dobbiamo costruire pezzi di pace nei territori, invertendo il processo di un’economia armata che fa cadere sui lavoratori, ultimo anello della catena, un peso di coscienza insostenibile», conclude Guaita. Curioso che una delle partite decisive per Rwm si giochi proprio proprio l’indomani del moto di indignazione mediatica per la morte per fame della piccola yemenita Amal. Mentre la foto della bimba scompare dai social, il flusso di armi occidentali verso i teatri di guerra, prosegue.

      https://www.avvenire.it/attualita/pagine/rwm-si-prepara-a-ingrandirsi-fino-a-15mila-bombe-lanno

    • La fabbrica di bombe e armi si amplia: reportage della tv di Stato tedesca

      Il primo canale della tv di Stato tedesca continua a interessarsi al Sulcis, e in particolare alla fabbrica di bombe di #Domusnovas. Ieri, in prima serata, sulla Ard è andato in onda un dettagliato servizio firmato da Philipp Grüll e Karl Hoffmann (qui il video completo con un’intervista al vescovo di Iglesias, Giovanni Paolo Zedda). Al centro ci sono gli ampliamenti previsti – e già in corso, come si capisce dalle immagini – della sede locale della Rwm (di proprietà del colosso tedesco #Rheinmetall). Undici gli interventi diversi – autorizzati dal Comune di Iglesias – che porteranno all’aumento della produzione di bombe e armi, impiegate, come documentato anche da un’inchiesta del New York Times nello Yemen. Più volte, inutilmente, il Parlamento europeo ha approvato risoluzioni contrarie ell’export di armi verso i paesi in conflitto. Ma di fatto produzione e carichi non si sono mai fermati. E ora arriva il rilancio. Alle proteste di pacifisti e dello stesso presidente della Regione, Francesco Pigliaru, si contrappongono i lavoratori e chi sostiene la linea “se non qui si produrranno altrove”.

      https://www.sardiniapost.it/cronaca/la-fabbrica-di-bombe-e-armi-si-amplia-il-servizio-della-tv-di-stato-ted

    • Iglesias, la fabbrica di bombe Rwm raddoppia: ok del Comune per l’ampliamento dello stabilimento

      La fabbrica di bombe, al centro di tantissime polemiche nel corso degli ultimi anni dopo che si è scoperto che gli ordigni qui prodotti venivano utilizzato contro i civili in Yemen, non lascia la Sardegna, anzi raddoppia.

      https://www.vistanet.it/cagliari/2018/11/14/iglesias-la-fabbrica-di-bombe-rwm-raddoppia-ok-del-comune-per-lampliamento-

  • Les Japonaises privées de #MeToo

    http://www.elle.fr/Societe/News/Les-Japonaises-privees-de-MeToo-3665834

    Le hashtag des victimes de violences sexuelles s’est diffusé partout dans le monde. Sauf au Japon, où celles qui brisent la loi du silence risquent menaces et exclusion sociale.

    Non, elle ne souhaite pas changer son nom ou être photographiée de dos : « Oui, j’ai peur mais il faut voir la réalité en face. Depuis que j’ai proclamé #MeToo, en décembre dernier, ma carrière d’actrice est fichue, alors autant parler. » Yumi Ishikawa, 31 ans, est l’une des rares femmes au Japon à avoir osé utiliser ce hashtag. Pourtant, dit-elle, son histoire est celle de centaines d’actrices. « Mon manager m’a poussée dans les bras de deux réalisateurs et d’un producteur, une dizaine de fois. Dans le monde du cinéma, il y a un accord tacite : il faut coucher pour avoir un rôle, surtout celles qui débutent. Je me disais qu’en tant que femme c’était normal d’y passer. Ce n’est qu’avec #MeToo que j’ai pris conscience du problème. » Yumi a d’abord ressenti une libération qui a très vite laissé place à la honte, sous le coup des critiques et des insultes : « Tu es moche », « Tu es une traînée », « C’est honteux pour une Japonaise d’évoquer un tel sujet ».

    Shiori Ito aurait pu lancer le mouvement #MeToo au Japon. Dans son livre « Black Box » (non traduit) publié en octobre dernier, elle dénonce le viol dont elle a été victime par un proche de l’actuel Premier ministre Shinzo Abe. Au moment des faits, il y a trois ans, la police l’a dissuadée de porter plainte, son agresseur présumé n’a pas été inquiété par la justice et elle a même dû s’exiler. De passage à Tokyo, cette journaliste nous explique être la cible de menaces de mort : « Je me sens en danger dans mon propre pays. Après la publication de mon livre, j’ai reçu des dizaines de mails haineux, venant d’hommes mais aussi de femmes, des coups de fil menaçants, jour et nuit, me disant que je devrais mourir. Je me suis d’abord réfugiée chez une amie pendant deux mois et demi. Puis une représentante d’une ONG qui lutte pour les droits des femmes m’a conseillé d’aller à Londres. Le pire, c’est que ma sœur aujourd’hui n’arrive pas à trouver de travail à cause de moi. J’ai coupé les ponts avec ma famille. »

    • #Japon #femmes #viol #mentalité #harcèlement #patriarcat #
      #discriminations #maternité #consentement

      Sur les encarts publicitaires comme sur les plateaux télévisés défilent tous les stéréotypes : mère parfaite ou jeune fille au corps hyper-sexualisé. « On vit encore dans une société dirigée par des hommes, qui s’adresse à eux seuls », résume la professeure féministe d’Osaka. Troisième puissance économique mondiale, l’archipel figure parmi les pays les plus conservateurs et discriminants au monde, avec moins de 10 % de députés et de cadres femmes. Après le premier enfant, la majorité des mères quittent leur travail pour rester à la maison. Selon le dernier rapport du Forum économique mondial sur la parité entre les femmes et les hommes, publié en novembre dernier, le Japon se retrouve 114e sur 144 pays.

      […] Au Japon persiste l’idée que si une fille accepte d’aller boire un verre avec un homme, elle est responsable de son agression ; elle doit savoir se protéger. La loi sur les violences sexuelles rédigée il y a cent dix ans va dans ce sens. « Pour qu’un viol soit qualifié de crime, la victime doit le prouver par des blessures physiques !, s’insurge l’avocate Akiko Mochizuki. On imagine encore qu’une victime est forcé-ment agressée la nuit, par un inconnu surgi de nulle part ! » Elle a créé à Tokyo l’association Tsubomi, l’une des rares structures nationales à s’occuper de victimes de viol. Elle en aide quelque 1 500. Elle salue le combat de la journaliste Shiori Ito grâce à laquelle la loi a été modifiée en juillet dernier : la peine est passée de trois à cinq ans en cas de viol, et les hommes sont aussi considérés comme des victimes de violences sexuelles. Mais pour l’avocate, la lutte est perdue d’avance : dans 99 % des cas, le violeur n’est pas condamné

  • Racism, Not Race, Causes Health Disparities for Black Mothers, by Sheela Nimishakavi | Nonprofit Quarterly
    https://nonprofitquarterly.org/2018/04/18/racism-not-race-causes-health-disparities-black-mothers

    The health disparities that exist for Black mothers in America are well documented. Black women are three to four times more likely to die from childbirth than their White counterparts. Yet, aside from listing “being Black” as a risk factor for maternal death, little has been done to address this alarming statistic.

    (…) Dr. Crear-Perry’s definition of a risk factor brings a new perspective to the issue of racism and maternal death. Seeing race as a risk factor for maternal death would suggest that there is some genetic predisposition that has been passed to Black mothers, much like Tay-Sachs disease is common among individuals of Eastern European descent. This is not the case, however. A growing body of research indicates that, in fact, the stress caused by discrimination plays a noteworthy role in both maternal and infant mortality.

    #discrimination #racisme #santé #femmes

  • Manque d’ouverture de données de la part de l’IGN : les bornes géodésiques. Obligé de les scrapper pour les publier ensuite sur un site du gouvernement. Ne marche-t-on pas à l’envers ?
    https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/bornes-geodesiques-ign
    #OpenDataFail #OpenData #IGN

    Les bornes géodésiques par l’IGN :
    https://geodesie.ign.fr/index.php?page=points_geodesiques
    https://geodesie.ign.fr/fiches/index.php?module=e&action=visugeod