• Improving online advertising through product and infrastructure
    https://blog.mozilla.org/en/mozilla/improving-online-advertising

    As Mark shared in his blog, Mozilla is going to be more active in digital advertising. Our hypothesis is that we need to simultaneously work on public policy, standards, products and infrastructure. Today, I want to take a moment to dive into the details of the “product” and “infrastructure” elements. I will share our emerging thoughts on how this will come to life across our existing products (like Firefox), and across the industry (through the work of our recent acquisition, Anonym, which is building an alternative infrastructure for the advertising industry).

    #merdification

  • La cartographie sensible et participative. Pour qui, pour quoi, comment ?

    Dans ce Tuto, nous abordons les méthodes et apports de la cartographie dite « sensible » comme processus d’exploration et mode de co-écriture scientifique.

    Dans un premier temps, #Morgane_Dujmovic présentera les évolutions récentes des cartes sensibles et leur contribution à l’épistémologie et aux méthodologies des sciences sociales. De façon croissante ces quinze dernières années, des travaux au croisement de la recherche, des pratiques artistiques et/ou du travail social se sont intéressé à des solutions graphiques adaptées à la subjectivité des récits. Dans le domaine de la cartographie, l’approche sensible a exploré l’utilisation de techniques manuscrites ou manuelles permet d’évoquer les dimensions narratives, psychologiques et émotionnelles des récits de vie, par exemple l’atténuation (Khalili 2011) et la représentation manuscrite du fond de carte (B. Ahmed et Dujmovic 2017) ou la construction d’une légende commune (Amilhat Szary et Mekdjian 2015). Les cartes sensibles entendent ainsi mobiliser les sens et la sensibilité des cartographes, pour susciter ceux des lecteurs ou lectrices de la carte (Rekacewicz et Tratnjek 2016, Mekdjian et Olmedo 2016).

    Plus rares sont les travaux qui comportent une dimension participative affirmée. La seconde partie du Tuto aborde la carte comme outil d’expression, de restitution, et comme mode relationnel. Nous verrons comment on peut appliquer ces réflexions sur le terrain et comment les retranscrire en pratiques cartographiques, à partir du projet « CartoMobile » qui s’intéresse aux savoirs et représentations de personnes exilées dans des contextes frontaliers violents (frontières françaises, balkaniques et Méditerranée centrale). Morgane Dujmovic détaille le dispositif d’ateliers cartographiques itinérants qui lui a permis de fabriquer des processus cartographiques « à hauteur d’individus », adaptées aux expériences singulières de la frontière – de la formulation d’un projet de carte, aux choix de sémiologie graphique et de valorisation. On s’interrogera ainsi sur le potentiel des co-écritures graphiques sensibles pour générer des recherches à plusieurs mains et plusieurs voix.

    Ce Tuto ouvre également une réflexion sur la restitution et la réception de telles cartes, où sont à nouveau questionnées les possibilités de participation de personnes dont les savoirs sont peu entendus, délégitimés et/ou mis en silence. Cette réflexion s’appuie sur deux expériences de restitution collective : l’exposition participative issue de la CartoMobile, qui fait interagir le public avec les récits cartographiques de personnes exilées, et le projet art-science « Freestyler la carte » qui met en dialogue et en jeu la musique, le corps et la voix dans la représentation de l’espace en exil (actuellement en création avec l’artiste congolais Wanny S-King dans le cadre d’une résidence EHESS/Fondation Camargo).

    https://mate-shs.cnrs.fr/actions/tutomate/tuto60_carto-sensible_dujmovic

    https://www.youtube.com/watch?v=2o5SMn-ihNA&t=35s

    #cartographie_participative #cartographie_sensible #visualisation #méthodologie #conférence #cartographie_radicale #migrations #frontières #imaginaire #ressources_pédagogiques #sémiologie_graphique #sens #sensibilité #contre-cartographie #espace_vécu #choix_graphiques #savoirs_expérientiels #vidéo

    ping @visionscarto @reka

  • Mineurs, immigrés : Michel Barnier veut toujours plus les enfermer- Rapports de Force
    https://rapportsdeforce.fr/analyse/mineurs-immigres-michel-barnier-veut-toujours-plus-les-enfermer-1002

    Facilitation de l’enfermement dans les CRA, comparutions immédiates pour les 16-18 ans, limitation des exceptions en matière de justice pour mineur : lors de son discours de politique générale, ce 1er octobre 2024, Michel Barnier a exprimé sa volonté d’enfermer […] L’article Mineurs, immigrés : Michel (...) @Mediarezo Actualité / #Mediarezo

  • Creuse : syndicats et écologistes unis pour protéger la forêt le 5 octobre- Rapports de Force
    https://rapportsdeforce.fr/ici-et-maintenant/creuse-syndicats-et-ecologistes-unis-pour-proteger-la-foret-le-5-oct

    Ce vendredi 4 et samedi 5 octobre, une manifestation est organisée à Guéret (Creuse) contre l’implantation d’une usine de production de granulés de bois. Dans ce territoire, les collectifs écologistes et forces syndicales s’organisent ensemble pour la protection de la […] L’article Creuse : syndicats (...) @Mediarezo Actualité / #Mediarezo

  • Non au SNU, Vendredi 4 octobre, 20h Espace Associatif, Quimper- CNT 29
    https://www.cnt-f.org/staf/2819-non-au-snu-vendredi-4-octobre-20h-espace-associatif-quimper

    LE SNU ET LA MILITARISATION DE LA JEUNESSE ? NOUS N’EN VOULONS PAS ! Le président Macron affiche une orientation très inquiétante au travers de ses déclarations sur la « nécessité d’un réarmement civique et moral de la jeunesse », et par le biais de la généralisation du SNU à l’école. Ce dispositif (...) @Mediarezo Actualité / #Mediarezo

  • Faire Front à Concarneau Samedi 5 octobre 2024- CNT 29
    https://www.cnt-f.org/staf/2831-faire-front-a-concarneau-samedi-5-octobre-2024

    Samedi 5 octobre 2024 en lien avec l‘appel national des soulèvements de la terre à désarmer l’empire Bolloré le collectif local « lever les voiles » appelle à une mobilisation maritime dans l’archipel des Glénans A terre un rassemblement festif est organisé place Jean Jaurès devant les halles de (...) @Mediarezo Actualité / #Mediarezo

  • South Korea’s Repressive Laws Deny Workers Their Rights
    https://jacobin.com/2024/10/south-korea-workers-rights-law


    Members from the Korean Confederation of Trade Unions (KCTU) participate in a protest against of the government’s labor policies on May 31, 2023, in Seoul, South Korea. (Chris Jung / NurPhoto via Getty Images)

    La corée c’est comme l’Allemagne mais davantage confucéen surtout quand on regarde les droits restreints des employés.

    2.10.2024 by Jamie Doucette - The ousting of a popular government official in Seoul last month was linked to Korean laws that bar many workers from engaging in political activity. A draconian system known as the “prosecutor republic” helps conservative elites maintain their power.

    A ruling by South Korea’s Supreme Court in early September upheld a suspended sentence against Cho Hee-yeon, the popular superintendent of Seoul’s Metropolitan Office of Education and a progressive sociologist and civil society leader.

    Cho is known for his efforts to expand free school meals, protect student rights, and limit private high schools. The ruling forced him to resign from his position, one akin to education minister for a city of nearly ten million people.

    The removal of Cho is an injustice that speaks volumes about the present-day Korean power structure. Decades after the formal end of military rule, Korean workers still face stifling legal constraints on their freedom to engage in political activity. This is one of many obstacles facing the Korean left as it struggles to maintain a presence in national politics.
    A Political Crime

    What was the nature of Cho’s crime? He was charged under the Public Official Election Act in 2021 with abusing his power by helping to rehire five teachers from the Korean Teachers and Education Workers Union (KTU) who had previously faced charges under the same act. One was accused of posting defamatory messages on online message boards during the 2002 presidential elections (and subsequently pardoned), while the remaining four were sanctioned for collecting donations to support a candidate in the 2008 superintendent elections.

    The original cases highlighted the limits on Korean workers’ freedom of association rights. Korea is one of the few countries that prohibit teachers from joining parties, supporting candidates, and expressing their political opinions publicly. Korea’s former conservative president Park Geun-hye effectively banned the KTU in 2014 for retaining dismissed teachers as members, rendering it an “illegal organization” for almost seven years, despite criticism from the International Labour Organization (ILO) and other international bodies.

    A Supreme Court ruling eventually restored the union’s legal status in 2020. Park herself was impeached during the Candlelight Revolution of 2016–17 for a string of scandals and authoritarian political maneuverings involving Korea’s large conglomerates (the chaebol), former prosecutors, and close confidantes.

    To help address the issue of the dismissed teachers, Cho sought legal advice on rehiring them and took the principled opinion that it was fair to consider their applications through a special recruitment process in 2019. Despite his indictment on charges that this process was illegal, Cho’s overall record as education superintendent was validated when he was one of the few prominent progressives to be reelected in the 2022 local elections, in his case for a third time.
    Prosecutor Republic

    Cho’s case is symptomatic of a deeper struggle that involves the power of a conservative bloc in Korean politics and the struggle to put forward a substantive left alternative. It was the first such case to be selected by Korea’s newly established Corruption Investigation Office for High-Ranking Officials (CIO).

    This independent office, established in 2021, was created in the wake of the Candlelight Revolution and #MeToo protests to investigate high-profile cases of corruption, collusion, and wrongdoing. Prominent prosecutors, supported by the conservative opposition, resisted this change as a threat to their autonomy. Many observers saw the targeting of Cho for the CIO’s first case as a sign that the prosecutors were determined to keep control and use their power to frustrate progressive politics.

    Analysts have used the phrase “politics by public security” (공안정국) to describe this brand of politics in Korea, with the “prosecutor republic” (검찰공화국) as its current iteration. Prosecutors have long wielded enormous power over processes of investigation and indictment while maintaining close relations with the media and conservative elites. This is rooted in a legacy that dates back to Korea’s colonial era and the Cold War dictatorships that came after it.

    This legal/political nexus helped fuel the Candlelight Revolution and led to efforts by the liberal administration of Moon Jae-in to tackle its power. Ironically, Moon’s reform push ended with the election of a conservative president, Yoon Suk-yeol, who hailed from the prosecution service itself. In office, Yoon has appointed former prosecutors who are close to him to prominent positions across his administration, from finance and trade to communications and public administration.

    Yoon’s rise was intimately bound up with the politics of prosecution reform during Moon’s administration. Moon sought to put limits on the powers of investigation exercised by prosecutors and transfer greater responsibility for investigations to the police. He also set up the CIO as a special, independent body to handle the investigation and indictment of high-ranking officials.

    As Moon’s prosecutor general, Yoon objected to these reforms and eventually resigned in protest. Meanwhile, the Supreme Prosecutors’ Office investigated Moon’s minister of justice, Cho Kuk, who was tasked with overseeing the reform process. The investigation revealed some minor examples of corruption that undermined Moon’s promises to address inequality and challenge the status quo.

    Specifically, Cho, a former criminal law professor at Korea’s elite Seoul National University, and his wife (also a professor) were accused of forging documents and using their influence to gain admission for their children to prestigious high schools and universities, among other allegations. Cho’s actions upset many people, especially young voters who resented his behavior and saw it as no different from the conceit and opportunity hoarding of the wealthy elite (who are often called “gold spoons”). As the scandal broke, it seemed hypocritical for Cho to be tasked with institutionalizing Moon’s pledge to create a society where “opportunities are equal, processes are fair, and outcomes are just.”

    As a result, the fight over prosecution reform devolved into a politics of personality, polarizing around one’s stance toward Cho Kuk himself, who at that time was considered to be Moon’s most likely successor. Cho’s supporters depicted him as a figure who was suffering to keep the Candlelight movement alive, while the conservative bloc pointed to his record as evidence that the Left now represented “vested interests” to be overcome. Cho had participated in a variety of socialist and progressive movements since the 1980s and declared himself to be both a liberal and a socialist in his confirmation hearing.

    This focus on Cho’s personal track record helped the conservative bloc to appropriate the rhetoric of “fairness” by shrewdly appointing Yoon as its presidential candidate. The perception of Yoon as an independent prosecutor who was not beholden to the elite enabled the conservative party to rebrand itself.

    Yoon had previously led the investigation into Park Geun-hye and had prosecuted several chaebol heads and conservative appointees. An analogy for US politics would be if the Republican Party had selected Robert Mueller as its candidate following his investigation into Russian electoral interference.
    Prosecution Reform as Social Reform?

    The controversy about Cho obscured the nature and purpose of prosecution reform. As civil society organizations like the Citizens’ Coalition for Economic Justice pointed out, the planned prosecution reform would do little to advance a comprehensive vision of economic democracy, a slogan on which Moon had long campaigned.

    Such critics noted how the conglomerates had long evaded punishment for illegal acts, including bribery and anti-worker policies, due to the failure of the prosecution service to vigorously investigate and indict them. This problem, they argued, could not be fully resolved through prosecution reform without significant reform of the chaebol system itself.

    One could make the same criticism of the administration’s half-hearted labor law reforms. Cho Kuk himself pressured unions to help negotiate a flexible working-hours agreement that weakened Moon’s pledges to institute a fifty-two-hour workweek and expand the minimum wage.

    The administration also kept in place laws that enabled brutal damage claims against workers for trade union activity. It did not pass comprehensive anti-discrimination legislation, and it took a selective approach to ratifying the core conventions of the ILO on freedom of association and collective bargaining, leaving many restrictions on workers’ rights intact.

    While Cho’s prosecution reforms did eventually pass, the lack of a broader, egalitarian plan for legal reform that might have helped secure stronger political rights for workers left prosecutors with substantial powers that they could use to frustrate progressive demands. If the Moon administration had granted stronger recognition of political rights for teachers and translated the ILO’s conventions into domestic law more effectively, it would have been much more difficult for the authorities to launch cases against teachers and other workers for engaging in political activity. Such cases ultimately led to the ousting of Superintendent Cho.

    Yoon’s 2022 presidential run thus benefited from his liberal predecessor’s lack of a comprehensive vision. The brand of “fairness” that Yoon campaigned on has proved to be distinctively anti-egalitarian.

    During the election, he promised to disband the Ministry of Gender Equality, claiming that it was unfair to men. This was in spite of Korea’s abysmal record on gender equality, with the worst wage gap between male and female workers in the Organisation for Economic Co-operation and Development. In office, Yoon ramped up the practice of using damage claims and other punitive measures against workers to suppress strikes while seeking to institute a new sixty-nine-hour working week.

    In addition to former prosecutors, Yoon has also appointed several figures from the Korean New Right, who advocate sympathetic views of Japanese colonialism and Korea’s military dictatorships, to head important cultural and social institutions such as the Independence Hall, the Ministry of Employment and Labor, and the National Human Rights Commission. Taking a page from their anti-communist playbook, Yoon now frequently claims that “communist totalitarian” and “anti-state” forces have disguised themselves as legitimate progressive and human rights activists.
    A Left Alternative?

    Conservative forces were routed in this spring’s legislative elections, turning Yoon into a lame-duck president. However, that does not mean the election was a victory for the Left, whose parties were largely wiped out. An alliance between the Justice and Green Parties failed to win any seats, while the left-nationalist Jinbo (“Progressive”) Party took three seats through an alliance with the Democratic Party (DP), which is now by far the largest parliamentary group.

    As Kap Seol has explained, the fate of the left parties was partly because of the sabotage of Korea’s proportional representation voting system under Moon’s tenure to favor satellite parties associated with the dominant players in the National Assembly. This limited the number of seats available for independent minor parties. But many voters who were unhappy with perceived cronyism of DP leader Lee Jae-myung also flocked to a new party created by Cho Kuk.

    The standard English translation of the new group’s name — 조국혁신당 — as the “Rebuilding Korea Party” does not capture its close association with Cho himself. “Cho Kuk” can be read phonetically in Korean as “my country” or “my fatherland,” so a more literal translation would be “Cho Kuk Innovation Party” and/or “My Innovative Country Party.”

    The party’s main pledge is to reform the “prosecutorial dictatorship” of the Yoon administration and impeach the president. It presents this issue both as a political goal and as a personal vendetta for the judicial harassment of Cho and his family: his wife served several years in prison, and Cho himself faces jail time in the future if he loses his appeal.

    For many observers, the rise of Cho’s party speaks to the lack of a strong left alternative. While the group does include many center-left reformers from the Moon administration, it is mostly populated by figures associated with the so-called Gangnam Left, in reference to the affluent Seoul district. The term conjures up an image of property-owning, university-educated professionals who tend to vote progressive but also benefit from and seek to maintain their elite status.

    For the moment, both Cho and the Democratic Party have embraced pro-labor issues. These include a long-awaited revision to protect freedom of association and end punitive damage claims against workers. This is known as the Yellow Envelope Law, after a public campaign in 2014 to help workers pay back such claims. They also talk about creating a “Seventh Republic” through constitutional reforms to expand social rights and popular participation as well as supporting initiatives to secure the political rights of teachers.

    The problem is that the promised labor law revision could have easily been carried out when Cho and the DP were in power. The current president will continue to veto such efforts as long as he remains in office. Moreover, Cho and the Democrats have mostly borrowed these progressive policies from the Justice Party, the force they demolished in the recent elections.

    Despite its own internal problems and its drift away from labor activism, the Justice Party still has a more egalitarian agenda than Cho’s single-issue force. Its absence from parliamentary politics is sure to leave a void. With Korean politics seemingly anchored in a personality-driven party system, the Left faces the challenge of reconstructing progressive politics along genuinely popular and egalitarian lines.

    #Corée #syndicalisme #politique #répression

  • La Croix-Rouge, humanitaire, vraiment ?- Autre futur
    http://www.autrefutur.net/?La-Croix-Rouge-humanitaire-vraiment

    Hostiles aux méthodes managériales de la direction de notre association gestionnaire, La Croix-Rouge française, nous, professionnels du soin psychique en secteur médico-social en Ile de France, entamons un mouvement de grève. De nos lieux d’exercice, trois Centres Médico-Psycho-Pédagogique (CMPP), et (...) @Mediarezo Actualité / #Mediarezo

  • [CCL] 20h30 concert GIULIO ERASMUS AND THE END OF THE WORM + LA BANDE A BADER + FRICHE.CAPTA & NORE- Lille Alternataire
    http://lille.cybertaria.org/spip.php?article5402

    – GIULIO ERASMUS AND THE END OF THE WORM (minimal wave/post-punk, be) – LA BANDE A BADER (driftcore with trombone & gameboy, marseille) – FRICHE.CAPTA & NORE (dj sets bass music bizarroides) [Prix Libre] - Agenda @Mediarezo Actualité / #Mediarezo

  • Marc Joly, « La pensée perverse au pouvoir » - Les bonnes feuilles- L’En Dehors
    http://endehors.net/news/marc-joly-la-pensee-perverse-au-pouvoir-les-bonnes-feuilles

    Marc Joly, « La pensée perverse au pouvoir » - Les bonnes feuilles Marc Joly est sociologue au CNRS. Depuis plusieurs années maintenant, il s’intéresse à une catégorie d’analyse originale pour https://t.co/yhVFqkfIP6 via @blast_france L’En Dehors (@endehors2) October 2, (...) @Mediarezo Actualité / #Mediarezo

  • Russie : Résistance radicale (du 29 août au 27 septembre 2024)- Attaque
    https://attaque.noblogs.org/post/2024/09/27/russie-resistance-radicale-du-29-aout-au-27-septembre-2024

    a2day.org / vendredi 27 septembre 2024 Noïabrsk Le 11 septembre, les médias au service de la propagande ont rapporté que deux adolescents avaient incendié un hélicoptère Mi-8 sur un aérodrome de la ville de Noïabrsk. Deux jeunes en age scolaire, … Continuer la lecture (...) @Mediarezo Actualité / #Mediarezo

  • Manche : Quelques boulons en moins pour un pylône THT près de Flamanville- Attaque
    https://attaque.noblogs.org/post/2024/09/30/manche-quelques-boulons-en-moins-pour-un-pylone-tht-pres-de-flamanv

    Indymedia Nantes / lundi 30 septembre 2024 L’EPR de Flamanville, dont les travaux (commencés en 2006) touchent à leur fin, pourrait être raccordé au réseau électrique cet automne. Cette étape appelée « couplage » est décisive pour la mise en service de … Continuer la lecture (...) @Mediarezo Actualité / #Mediarezo

  • Des médecins s’inquiètent déjà au 19e siècle des effets des #pesticides sur la #santé

    Si l’usage des pesticides s’est généralisé dans les années 1960, il avait commencé bien avant, explique l’historienne des sciences #Nathalie_Jas. Dès le 19e siècle, des médecins se sont aussi inquiétés de leurs effets sur la santé. Entretien.
    Basta ! : Quand a commencé l’usage des pesticides en agriculture ?

    Nathalie Jas : Dès la fin du 18e siècle, des savants et des représentants de l’élite agricole ont essayé d’utiliser des produits chimiques en agriculture. À partir des années 1830, une industrie des engrais se développe aux États-Unis et dans les pays européens. Ce mouvement est étroitement lié à des formes d’intensification de la production agricole qui se mettent d’abord en place dans les zones qui s’urbanisent et s’industrialisent.

    Dans ces territoires, les agriculteurs doivent alors produire plus, en étant moins nombreux, pour nourrir les personnes qui ont quitté les campagnes. L’utilisation de produits chimiques comme les insecticides, anti-parasitaires ou anti-cryptogamiques (c’est-à-dire les antifongiques, contre les champignons, ndlr) en agriculture est ainsi initié dès la première moitié du 19e siècle puis se répand dans la viticulture ou la production de certains fruits. Ce processus ne va jamais cesser.

    Après la Seconde Guerre mondiale, et en particulier dans les années 1960, on assiste à une accélération de l’industrialisation de l’agriculture qui repose, entre autres, sur l’usage des pesticides. Les transformations profondes qui s’opèrent à ce moment-là s’inscrivent dans différentes dynamiques initiées antérieurement, à commencer par la longue confrontation avec des problèmes sanitaires, que ce soit pour les végétaux ou les animaux, qui restaient sans véritables solutions. Par exemple, dès la fin du 18e siècle, on a cherché à utiliser des substances chimiques pour la conservation des semences et des récoltes attaquées par des champignons ou des insectes.

    Est-ce la course au rendement agricole qui a poussé à l’utilisation toujours plus poussée des pesticides ?

    Des textes d’agronomes au début du vingtième siècle décrivent bien les conséquences phytosanitaires des logiques d’intensification que requièrent des cultures orientées vers le rendement. Des formes de monoculture se mettent en place, avec des choix de variétés qui ne sont pas forcément les plus résistantes face aux insectes, aux maladies et champignons. La monoculture réduisant les possibilités de stratégie agronomiques, on se tourne, avec plus ou moins de succès, vers des produits chimiques afin de limiter les dégâts.

    À partir du dernier tiers du 19e siècle, les marchés globaux se développent, notamment avec l’arrivée du chemin-de-fer et des bateaux à vapeur. Cette densification des échanges de produits agricoles s’accompagne d’un accroissement conséquent des circulations de pathogènes, d’insectes, d’adventices. De nouveaux problèmes phytosanitaires s’installent dans des régions où ils n’étaient pas présents auparavant.

    C’est le cas du très célèbre phylloxéra, un puceron venu des États-Unis et, qui, en une trentaine d’années détruit l’ensemble du vignoble européen. Une solution efficace via un système de greffe est mise au point à la fin des années 1870 à Montpellier. Elle n’est cependant adoptée qu’à la fin du 19e siècle, après plus d’une vingtaine d’années d’utilisation massive de produits chimiques pulvérisés sans succès et avec le soutien de l’État. Cette histoire est une illustration parmi d’autres de l’importance qu’a pu prendre la lutte chimique en agriculture avant la Seconde Guerre mondiale, dans certains secteurs agricoles au moins.

    Cette émergence de la chimie dans l’agriculture s’accompagne-t-elle de tentatives de réglementations, liées à la peur de l’empoisonnement collectif ?

    C’est ce que l’on appelle les législations sur les substances vénéneuses, qui ont une très longue histoire, antérieure même au 18e siècle. Ces législations ont été revues et développées à différentes époques. Au-delà de la question de la consommation de produits alimentaires potentiellement contaminés, on trouve des traces de l’inquiétude de médecins, d’agronomes et de chimistes du 19e face aux conséquences sur la santé des ouvriers et ouvrières agricoles et des paysans et paysannes de l’utilisation de produits chimiques.

    Ainsi, à la fin du 19e siècle, ce qui est considéré comme le premier manuel de « médecine agricole » rédigé par un médecin, décrit les maux de santé rencontrés en milieu agricole et rural. Quelques pages sont consacrées à l’utilisation de produits chimiques pour protéger les récoltes et les animaux, et sur les effets délétères de ces produits sur la santé de ceux et celles qui y sont exposés.

    L’ordonnance de 1846, qui vise à encadrer les multiples usages de l’arsenic en agriculture, est-elle appliquée ?

    À cette époque, on utilisait des produits à base d’arsenic pour traiter les semences et les cultures, et lutter contre certaines maladies cutanées animales comme la gale, qui pouvaient rendre les animaux très malades et engendrer d’importantes pertes. Cet usage s’est notamment développé parmi certains éleveurs de moutons qui plongeait leurs bêtes dans des bains d’arsenic. Il y avait aussi un usage domestique pour lutter contre les mouches.

    Dans les années 1840, les autorités publiques s’inquiètent des empoisonnements criminels alimentaires à l’arsenic. Pour tenter de lutter contre ce qui est présenté comme un problème majeur de sécurité publique, elles ont inclus cette préoccupation dans la législation les « substances vénéneuses » via un article d’une ordonnance royale de 1846 qui la réforme.

    L’usage des « composés arsenicaux » est interdit en 1846 sur les cultures et les récoltes ainsi que dans la sphère domestique. Mais cette ordonnance continue à autoriser l’usage de ces produits pour le bain des animaux. Les autorités considèrent alors que pour les semences, il y a des solutions alternatives, mais qu’il n’en existe pas pour les animaux. C’est une première manifestation de ce que j’appelle une « politique de segmentation » pour les produits chimiques toxiques utilisés en agriculture.

    Cette politique est toujours structurante : les politiques publiques différencient les mesures appliquées à ces produits suivant les produits, mais aussi suivant l’usage qui en est fait. Ce qui est intéressant aussi avec la législation de 1846, c’est qu’elle n’est pas appliquée. Les écarts plus ou moins importants aux normes prescrites par les réglementations portant sur les toxiques en agriculture que l’on désigne comme pesticides après la Seconde Guerre mondiale sont aussi très structurants dans le long terme.

    Est-ce aussi ce qui s’est passé pour la vigne ?

    La vigne est soumise à de nombreuses problématiques phytosanitaires que l’on a très tôt cherché à solutionner en utilisant des produits chimiques : produits à base de cuivre, nicotine (dont les stocks nationaux sous la Troisième République font l’objet d’une répartition départementale âprement négociée, votée chaque année au Parlement), souffre, arsenicaux notamment. Le cas du phylloxéra montre bien que le réflexe « produits chimiques » étaient déjà bien installé dans certains secteurs agricoles dans le dernier tiers du 19e siècle. Ce que le cas du phylloxéra nous enseigne aussi, c’est que ce réflexe était aussi le produit de l’activité voire de l’activisme d’un ensemble d’acteurs : des élites viticoles, mais aussi des industries.

    Mais à cette époque, ce n’était pas forcément les industries fabricant les produits chimiques qui conduisaient ce que l’on appellerait aujourd’hui du lobbying. En France, ce secteur était alors très éclaté, et peu organisé. Les entreprises qui organisent la promotion des solutions chimiques auprès des autorités publiques et agricoles afin de lutter contre le phylloxera, c’est la compagnie ferroviaire PLM (pour Paris Lyon Marseille), qui assure le transport de produits et de pulvérisateurs mais aussi l’entreprise Vermorel, alors le premier fabricant de pulvérisateurs du pays.

    Bien que la crise du phylloxera ait été solutionnée par le greffage, la viticulture n’a pas alors remis en cause l’utilisation de produits chimiques dans la lutte phytosanitaire. Au contraire, le coût pour replanter les vignes était conséquent : la vigne est donc devenue à la fin du 19e siècle une importante culture qui reposait sur la minimisation des risques de perte de récoltes. La logique de la solution chimique va se poursuivre.

    En 1916, en plein milieu de la Première Guerre mondiale, une autre loi encadrant l’usage des pesticides voit le jour. Qu’apporte-elle de nouveau ?

    Le décret-loi du 14 septembre 1916 concernant l’importation, le commerce, la détention et l’usage des substances vénéneuses est une législation très importante qui ne concerne pas principalement l’agriculture, mais qui jette les bases d’un ensemble de règles qui encadrent encore aujourd’hui l’usage des pesticides.

    Ce texte mentionne par exemple l’obligation d’avoir un local séparé et fermé pour stocker les produits définis réglementairement comme toxiques ou dangereux et utilisés en agriculture, l’obligation de mentionner des informations précises sur les étiquettes des sacs ou des bidons contenants ces produits ou encore l’obligation de porter des vêtements de protection pour manipuler ou épandre les produits, vêtements qui devaient être enlevés et lavés systématiquement après chaque utilisation. Les employeurs étaient tenus d’informer les ouvriers et les ouvrières agricoles des dangers des produits utilisés. Et ces travailleurs et travailleuses devaient avoir des endroits où se laver avant de repartir à leur domicile

    Pourquoi les préoccupations pour la santé publique apparaissent à ce moment-là dans les débats politiques ?

    Il y a plusieurs raisons. La fin du 19e siècle et le début du 20e siècle ont été marqués par un ensemble de luttes ouvrières visant, entre autres, à supprimer l’utilisation de certains produits toxiques dans les industries. De ces luttes ont résulté des législations sur les accidents du travail et les maladies professionnelles qui ne concernaient pas le secteur agricole.

    Cependant, certains médecins hygiénistes et chimistes toxicologues, forts de leur expérience du milieu industriel, s’inquiètent de l’utilisation de certains toxiques en agriculture, au premier rang desquels les arsenicaux. Ils craignent ce qu’ils nomment l’épidémie d’« arsenicisme à venir » résultant d’expositions répétées à de petites doses (la cancérogénicité de l’arsenic n’est pas encore identifiée) via le travail agricole, la contamination des habitations par les travailleurs et travailleuses agricoles (et donc des enfants) et l’alimentation.

    Au-delà, ils s’interrogent aussi des effets sur la faune, notamment les abeilles. Par ailleurs, les préfets sont préoccupés par la circulation de produits à base d’arsenicaux non seulement interdits mais pouvant aussi contaminer les aliments. Des intoxications collectives visibles retentissantes confirment cette préoccupation.

    Les interpellations de l’État sont suffisamment importantes pour qu’il intervienne. Sa réponse, via le décret-loi de 1916 tente d’articuler développement de l’agriculture à la protection de la santé publique via l’instauration de réglementations qui encadrent les usages. Non seulement l’efficacité de ces mesures n’est pas évaluée, mais aucun moyen n’est alloué pour s’assurer de leur mise en œuvre. Elles restent donc largement ignorées.

    Est-ce en vertu de ce pragmatisme économique et industriel que la notion « d’usage contrôlé » fait son entrée dans la loi ?

    La notion d’ « usage contrôlé » est postérieure mais c’est bien cette logique qui guide le décret-loi de 1916. Il établit trois tableaux dans lesquels les substances sont classées. Les substances qui ne sont classées dans aucun des trois tableaux ne sont pas soumises au décret-loi. On trouve des substances utilisées en agriculture à des fins vétérinaires ou phytosanitaires dans les tableaux A (substances toxiques) et C (substances dangereuses). Les substances classées dans ces tableaux sont soumises à des réglementations spécifiques qui encadrent leur commercialisation, leur détention et leurs usages et qui visent à protéger la santé publique.

    La loi dit que les produits classés comme A, qui sont considérés comme les plus toxiques, ne sont théoriquement pas autorisés à être utilisés en agriculture. C’était le cas des arsenicaux. Le décret-loi institue cependant un système dérogatoire au bénéfice de certains arsenicaux. Il est à noter que des systèmes similaires se mettent alors en place dans d’autres pays et que ce type de classement des substances chimiques suivant leur toxicité qui organise leur encadrement réglementaire se retrouve aujourd’hui dans de nombreuses législations internationales, dont la législation européenne.

    Ce système dérogatoire va être largement utilisé dans l’entre-deux-guerres, et le nombre de produits utilisés ne va cesser de croître...

    Oui, il va y avoir une extension des dérogations à d’autres substances en fonction de ce qui est considéré comme étant des urgences. C’est le cas de l’arseniate de plomb, qui était totalement interdit en 1916 et qui est autorisé dans l’entre-deux-guerres via un système dérogatoire pour lutter contre les invasions de doryphores sur les pommes de terre.

    Si les médecins hygiénistes s’indignent, les agronomes et nombre d’agriculteurs considèrent alors que c’est l’unique solution pour préserver les récoltes de pommes de terre qui est un aliment essentiel dans l’Entre-deux guerre. De nombreux autres produits sont utilisés, le souffre, le cuivre et la nicotine déjà évoqués mais aussi les huiles de pétrole ou des produits comme la chloropicrine, issus des recherches sur les gaz de guerre. À partir des années 1930, de nouveaux produits font leur apparition sur les marchés par exemple pour la désinfection des semences (dont le Zyklon B, utilisé dans les chambres à gaz par les nazis) ou des herbicides élaborés à partir de produits pétroliers.

    Pendant et après la Seconde Guerre mondiale, il y a une accélération de la structuration des industries phytosanitaires. Co-construite avec l’État, cette structuration et cet encadrement de l’usage des pesticides ne riment pas nécessairement avec une meilleure protection des usagers. Pourquoi ?

    Avant la Seconde Guerre mondiale, il existait une multitude de petites entreprises qui produisaient des insecticides, des anti-parasitaires, des produits anti-cryptogamiques voir des herbicides. On ne parlait pas encore de pesticides. Ces entreprises avaient mauvaise réputation car la qualité de leurs produits n’étaient pas contrôlée et et encore moins réglementée, à l’exception des produits à base de cuivre.

    Les plus grosses entreprises dont celles qui constituèrent ensuite Rhône-Poulenc et Péchiney – les deux très grandes entreprises françaises des pesticides post Seconde Guerre mondiale, ainsi que Vermorel, le gros fabricant français de pulvérisateurs – étaient d’un avis différent. Elles voulaient gagner en crédibilité pour développer leur marché. Elles ont donc travaillé avec certains haut-fonctionnaires du ministère de l’Agriculture, des scientifiques convaincus par la lutte chimique et des représentants du monde agricole.

    https://basta.media/des-medecins-s-inquietent-des-le-19e-siecle-des-effets-des-pesticides-sur-l
    #histoire #médecine #histoire_des_sciences #agriculture #industrie_agro-alimentaire #produits_chimiques #industrialisation #urbanisation #insecticides #viticulture #WWII #seconde_guerre_mondiale #industrialisation_de_l’agriculture #rendement_agricole #monoculture #phylloxéra #lutte_chimique #chimie #législations #lois #substances_vénéneuses #médecine_agricole #ordonnance #1846 #arsenic #semences #élevage #composés_arsenicaux #politique_de_segmentation #normes #vigne #lobbying #PLM #Vermorel #greffage #1916 #santé_publique #travail #conditions_de_travail #maladies_professionnelles #travail_agricole #abeilles #alimentation #intoxications #usage_contrôlé

  • "Tous doivent être décapités" : Révélations sur les #atrocités commises dans le bastion africain de #TotalEnergies

    Les villageois de la péninsule d’#Afungi, dans le nord du Mozambique, connaissaient bien ces conteneurs : une douzaine de boîtes en acier collées les unes contre les autres pour former un mur, avec une barrière au milieu. Ils servaient de portail de fortune pour un site de production de #gaz_naturel en cours de construction par TotalEnergies, dans une région isolée en proie à une violente insurrection islamiste.

    Ces mêmes villageois avaient été pris entre les feux croisés de l’#armée_mozambicaine et des combattants affiliés à l’#Etat_islamique. Après avoir fui leurs maisons, ils étaient allés chercher la protection des soldats du gouvernement. Au lieu de cela, ils ont trouvé la violence.

    Les soldats ont accusé les villageois d’avoir participé à l’#insurrection. Ils ont séparé les hommes — un groupe de 180 à 250 personnes — de leurs femmes et de leurs enfants. Puis ils les ont entassés dans les deux conteneurs situés de part et d’autre de l’entrée, les frappant à coups de pied et de crosse.

    Les soldats ont détenus ces hommes pendant trois mois. Ils les ont battus, affamés, torturés puis finalement exécutés. Finalement, seuls 26 prisonniers ont survécu.

    En discutant avec des survivants et des témoins et en faisant du porte-à-porte, j’ai pu reconstituer un récit détaillé des #atrocités perpétrées au cours de l’été 2021 par un #commando_mozambicain, dirigé par un officier qui disait avoir pour mission de protéger “le projet de Total”.

    La nouvelle du massacre ne peut qu’ajouter aux airs de désastre qui entourent désormais un projet qui — avec le développement d’un second #champ_gazier par #ExxonMobil — a été présenté comme le plus gros investissement privé jamais réalisé en Afrique, avec un coût total de près de 50 milliards de dollars.

    La construction de la #concession_gazière est interrompue depuis 2021, date à laquelle les rebelles islamistes ont envahi la région, massacrant plus de 1000 personnes. La justice française a déjà ouvert une enquête sur la gestion de TotalEnergies à la suite de la mort de sous-traitants lors de cette attaque.

    Ce second #bain_de_sang, que nous révélons, a été perpétré non pas par des islamistes mais par une unité militaire mozambicaine opérant à partir de la guérite de TotalEnergies.

    L’alliance de la major pétrolière avec l’armée mozambicaine soulève inévitablement des questions sur la gestion de #Patrick_Pouyanné, PDG de TotalEnergies.

    Il avait prévu de faire du mégaprojet mozambicain la vitrine de ses ambitions pour un avenir à faible émission de carbone. Au lieu de cela, sa stratégie d’investissements risqués dans des régions instables du monde risque désormais de se heurter aux efforts juridiques croissants visant à traduire les #multinationales devant la justice internationale.

    Pour évaluer à quel point l’entreprise est exposée, deux questions sont primordiales : TotalEnergies savait-elle qu’elle travaillait avec des tortionnaires et des tueurs ? Savait-elle — ou aurait-elle dû savoir — que des atrocités avaient été commises dans ses conteneurs ?

    En réponse à un résumé détaillé de cet article, #Maxime_Rabilloud, directeur général de #Mozambique_LNG, la filiale de TotalEnergies dans le pays, a déclaré que son entreprise n’avait “aucune connaissance des événements présumés décrits” ni “aucune information indiquant que de tels événements ont eu lieu”.

    Il a également déclaré que la société n’était pas présente sur le terrain au moment des #meurtres, ayant confié le site aux forces de sécurité mozambicaines. “Néanmoins, étant donné la gravité des allégations, nous prenons votre message très au sérieux”, a-t-il ajouté.

    https://www.politico.eu/article/totalenergies-mozambique-patrick-pouyanne-atrocites-afungi-palma-cabo-delga
    #Afrique #Françafrique #Mozambique #viols #violence #torture #massacre

    • L’explosion de Deepwater Horizon en 2010 — qui a tué onze travailleurs de la plate-forme et dont la marée noire a dévasté des centaines de kilomètres de côtes du golfe du Mexique, au large des Etats-Unis — a été un moment charnière pour le secteur des combustibles fossiles, a déclaré Patrick Pouyanné lors d’une conférence à Londres en 2017.

      Les pénalités financières “absolument énormes” de 62 à 142 milliards de dollars (selon le calcul utilisé) imposées au géant pétrolier britannique BP ont annoncé l’arrivée de ce que Patrick Pouyanné a appelé un nouveau “risque juridique” interdisant d’opérer dans les pays où de telles amendes pourraient être prononcées.

      La solution de Patrick Pouyanné a consisté à chercher des territoires moins réglementés au Moyen-Orient, où l’entreprise a débuté, et en Afrique, berceau d’Elf Aquitaine, le producteur de pétrole absorbé par Total en 1999.

      Opérer dans ces régions comporte souvent un risque politique plus élevé — corruption, instabilité, insurrection — reconnaît Patrick Pouyanné. Mais c’est le genre de risque face auquel Total, l’une des plus grandes entreprises du monde (cotée à 150 milliards d’euros), est bien équipée. La taille de l’entreprise lui a également permis de diversifier ses investissements dans le monde entier, en veillant à ce qu’aucun projet ne soit suffisamment important pour faire couler l’ensemble de l’entreprise.

      C’est ainsi qu’en mai 2019, Patrick Pouyanné a annoncé la pièce maîtresse de sa nouvelle stratégie : l’achat d’une participation de 26,5% et le rôle d’opérateur principal dans un champ gazier géant situé dans une zone de guerre à l’autre bout de la planète. “Nous aimons le risque, c’est pourquoi nous avons décidé de nous lancer dans l’aventure du Mozambique”, a-t-il déclaré une semaine plus tard à l’Atlantic Council de Washington.

      “L’avantage d’être une grande entreprise avec un portefeuille très important est que nous pouvons absorber ce type de risque…” Mentionnant la Papouasie-Nouvelle-Guinée comme “un autre bel endroit” dans lequel Total investit, il a ajouté : “[Ni l’un ni l’autre], même s’il y a un effondrement, ne mettront Total en danger.”

  • Anticolonialisme : La Guyane sous tensions- Alternative Libertaire
    https://www.unioncommunistelibertaire.org/?Anticolonialisme-La-Guyane-sous-tensions

    Depuis le mouvement social de 2017, la Guyane est sortie des radars de l’actualité. Pourtant la situation est loin de s’être améliorée, tandis que Gérald Darmanin a suggéré d’élargir à la Guyane la suspension du droit du sol appliquée à Mayotte. - AL de septembre est en kiosque ! / Politique, (...) @Mediarezo Actualité / #Mediarezo

  • Corona-Impfstoffe – Pathologin warnt : „Diese mRNA-Technik ist nicht ausreichend getestet“
    https://www.berliner-zeitung.de/open-source/corona-impfstoffe-pathologin-warnt-diese-mrna-technik-ist-nicht-aus

    Avec le temps on apprend comment plusieurs mécanismes de censure, de népotisme et d’autres dysfonctionnements de l’économie et de la société capitaliste convergent vers un système complexe et contradictoire qui permet à quelques personnes de gagner des fortunes en tuant un nombre considérable d’autres par la vaccination avec des substances qui modifient le comportement cellulaire d’une manière imprévisible.

    Cet article est un appel à la vigilance de toutes et tous parce que le complexe médico-pharmaceutique empêche la réalisation d’études scientifiques systématiques assez larges pour obtenir une vue précise du problème.

    2.10.2024 von Ute Krüger - Unsere Autorin arbeitete als Oberärztin in der Klinischen Pathologie mehrerer schwedischer Kliniken. Seit den Corona-Impfungen beobachtete sie einen neuartigen „Turbo-Krebs“.

    Dies ist ein Open-Source-Beitrag. Der Berliner Verlag gibt allen Interessierten die Möglichkeit, Texte mit inhaltlicher Relevanz und professionellen Qualitätsstandards anzubieten.

    Seit meiner Kindheit hatte ich den Wunsch, Ärztin zu werden, um Menschen helfen zu können. In der Oberschule in Seelow/Brandenburg wurde mein Interesse für das Mikroskop in einem Biologiekurs geweckt. Der Aufbau der Pflanzen bei starker Vergrößerung faszinierte mich sehr. Nach meinem vorpraktischen Jahr 1989 auf der Herz-Akutstation in der Berliner Charité studierte ich an der Humboldt-Universität zu Berlin Medizin. In meiner Doktorarbeit analysierte ich fast 7500 Obduktionsfälle. Hier verglich ich die von den klinisch tätigen Ärzten gestellten Diagnosen, wie zum Beispiel Todesursachen, mit den Ergebnissen der Obduktion zum Zwecke der Qualitätskontrolle. In den folgenden Jahren arbeitete ich als Assistenzärztin in der Klinischen Pathologie des Oskar-Ziethen-Krankenhauses Lichtenberg und bestand im Jahr 2004 die Facharztprüfung für Pathologie. Das Mikroskop wurde mein täglicher Begleiter.

    Aufgrund der Aussicht, dass Arbeit und Familie als Ärztin in Deutschland nicht unter einen Hut zu bringen waren, ging ich mit meinem damaligen Partner im Jahr 2005 nach Växjö in Südschweden. Hier arbeitete ich zehn Jahre lang als Oberärztin in der Klinischen Pathologie des Zentralkrankenhauses und war in den letzten vier Jahren auch Ärztliche Leiterin. In den darauffolgenden acht Jahren war ich als Oberärztin in der Klinischen Pathologie des Landeskrankenhauses Kalmar, Schweden, und gleichzeitig als Oberärztin am Institut für Klinische Wissenschaften der Universität in Lund, Schweden, tätig.

    An der Universität habe ich zum Thema Brustkrebs geforscht, um ein besseres Verständnis der Tumorbiologie und der Risikofaktoren für Brustkrebs zu erlangen. Das Ziel war, herauszufinden, wie diese Erkrankung verhindert werden kann. Zeitgleich mit dem Beginn meiner Tätigkeit in Kalmar und Lund wirkte ich in einem Zeitraum von fünf Jahren als Vorstandsmitglied der Schwedischen Gesellschaft für Pathologie mit, um die Qualität in der Pathologie in Schweden zu verbessern. So blicke ich insgesamt auf eine 25-jährige Tätigkeit in der Pathologie zurück. Bis zum Jahr 2022 diagnostizierte ich in meiner klinischen Tätigkeit als Brustkrebsspezialistin Tausende von Krebserkrankungen und anderen Krankheiten.
    Im Herbst 2021 mehrten sich seltsame Krebsfälle

    Im Herbst des Jahres 2021 bemerkte ich eine Veränderung beim Auftreten des Brustkrebses in meiner Routinearbeit im Krankenhaus. Ich sah häufiger als gewohnt Tumore jüngerer Patientinnen, oft zwischen 30 und 50 Jahre alt, und ich sah mehr aggressiv wachsende Tumore und somit größere Tumore. Es fanden sich gehäuft nicht nur ein, sondern mehrere Tumore gleichzeitig in einer Brust. Auch schien häufiger Brustkrebs in beiden Brüsten gleichzeitig aufzutreten. Dazu fiel mir auf, dass es bei früher vom Brustkrebs geheilten Patientinnen scheinbar mehr Rückfälle gab. Hier handelte es sich dann um sehr aggressives Tumorwachstum mit sehr rascher Tumorstreuung im ganzen Körper, welches wiederholt wenige Monate nach der Corona-Impfung auftrat.

    Da ich einen Zusammenhang dieser „neuartigen“ Tumore mit der Impfung gegen Covid-19 (im Folgenden der Einfachheit halber Corona-Impfung genannt) sah, meldete ich zahlreiche Fälle der schwedischen Arzneimittelbehörde. Zudem versuchte ich, in der zweiten Pathologiekonferenz in Berlin deutschsprachige Kollegen zu finden, um meine Hypothese des, so wie ich ihn nannte, „Turbokrebses“ nach Corona-Impfung zu widerlegen oder zu bestätigen. Ich wollte eine groß angelegte Studie ins Leben rufen. Mein Bestreben war, alle Corona-Impfungen zu stoppen, bevor diese Frage nicht geklärt war. Leider fand sich nur ein interessierter österreichischer Pathologenkollege, der meinem Aufruf gefolgt ist. Zu zweit und vor allem neben der tagesfüllenden klinischen Tätigkeit war eine solche Arbeit nicht zu bewältigen.

    Im Laufe der Monate erreichten mich zahlreiche E-Mails von Kollegen, Angehörigen und Betroffenen zum Thema Turbokrebs. Es schien also nicht nur mir ein möglicher Zusammenhang zwischen den Corona-Impfungen und aggressiven Krebsfällen aufgefallen zu sein.

    In einer Studie aus Großbritannien vom Oktober 2023 wurde die Krebssterblichkeit von 15- bis 44-Jährigen untersucht. Es handelt sich hierbei also um sehr junge Menschen, bei denen Krebs als Todesursache bisher eher selten war. Es zeigte sich für Brustkrebs bei Frauen, dass es im Jahr 2022 einen Anstieg der Krebstodesfälle um 28 Prozent gab. Noch alarmierendere Zahlen lagen für Bauchspeicheldrüsenkrebs vor: Hier fand sich ein Anstieg der Todesfälle um 80 Prozent für Frauen und 60 Prozent für Männer. Zudem wurde eine 120-pozentige Zunahme der Todesfälle für Männer, verursacht durch den schwarzen Hautkrebs (Melanom), gefunden.
    Ungeklärte Übersterblichkeit

    Das ist auch deswegen so brisant, weil wir es ja in der Tat seit 2021 mit einer ungeklärten Übersterblichkeit zu tun haben.

    Schaut man sich die Sterbeziffern der vergangenen vier Jahre in Deutschland an, ist vor allem für die letzten Jahre eine deutliche Übersterblichkeit zu verzeichnen. In dem Vorabdruck einer Veröffentlichung dieses Jahres ist ersichtlich, dass die Übersterblichkeit in der ersten Phase der Pandemie ohne Impfungen mit den Corona-Infektionen und Todesfällen korreliert. Im zweiten und dritten Pandemiejahr findet sich jedoch ein beträchtlicher Anstieg der Übersterblichkeit, der nicht durch die Corona-Infektionen erklärt werden kann, sondern im Zusammenhang mit den Corona-Impfungen zu sehen ist.

    Je mehr Impfungen verabreicht wurden, desto höher war der Studie zufolge die Übersterblichkeit. Zudem variierte die Übersterblichkeit während der beiden letzten Pandemiejahre erheblich zwischen den Bundesländern. So wurde für das dritte Pandemiejahr die Übersterblichkeit für Berlin, Brandenburg und Sachsen mit 5 bis 6 Prozent angegeben, im Gegensatz dazu fand sich eine etwa doppelt so hohe Übersterblichkeit in Bremen und dem Saarland mit 11 Prozent. Die Übersterblichkeit korreliert mit der Anzahl der corona-geimpften Personen in den Bundesländern. In der Studie heißt es wörtlich: „Je mehr Impfungen in einem Bundesland verabreicht wurden, desto größer war der Anstieg der Übersterblichkeit.“ (Übersetzung der Autorin)

    Corona und Übersterblichkeit: Warum die Impfstoffe als Ursache nicht auszuschließen sind
    https://www.berliner-zeitung.de/open-source/corona-und-uebersterblichkeit-warum-die-impfstoffe-als-ursache-nich

    In dieser wissenschaftlichen Arbeit wurde auch die Anzahl der Totgeburten untersucht. Auch hier zeigt sich: Die Anzahl der Totgeburten korreliert im dritten Pandemiejahr mit der Anzahl der Corona-Impfungen in der Bevölkerung.

    In dem im August 2024 erschienenen Vorabdruck einer anderen Veröffentlichung wird die Übersterblichkeit in Österreich untersucht. Hier fließt unter anderem auch das Alter der Verstorbenen mit ein. Es zeigt sich, dass die Übersterblichkeit von 15–29-Jährigen für das Jahr 2023 unglaubliche 34 Prozent beträgt.

    Bereits im August 2021 warnte der renommierte Pathologe und Direktor des Pathologischen Instituts der Universitätsklinik Heidelberg, Prof. Dr. med. Peter Schirmacher, vor einer hohen Dunkelziffer an Impftoten. Ende November 2022 veröffentlichte er eine Studie, im Gespräch mit der Welt erläuterte er kurz darauf die Ergebnisse seiner Forschung. Untersucht worden seien Menschen, die in den ersten 14 Tagen nach der Impfung aus scheinbarer Gesundheit heraus unerwartet verstorben seien. Bei 30 Prozent habe es einen Zusammenhang zwischen Impfung und Versterben gegeben. Schirmacher betonte, dass weitere Untersuchungen notwendig seien und mutmaßte, dass „im einen oder anderen Fall vielleicht auch die Sorge vor unliebsamen Ergebnissen“ weiterer Forschung im Weg stehen könnte.

    Obduktionen liefern wichtige Erkenntnisse

    Ohne Obduktion ist es nicht möglich, Todesfälle aufgrund von Impfnebenwirkungen an das Paul-Ehrlich-Institut, Bundesinstitut für Impfstoffe und biomedizinische Arzneimittel, zu melden. In diesem Zusammenhang ist noch zu nennen, dass viele Geimpfte plötzlich zu Hause verstorben sind. Bei der äußeren Leichenschau wurde dann als Todesart „natürlich“ angekreuzt, eine Obduktion unterblieb. Somit wurden Todesfälle, die eventuell in Zusammenhang mit den Corona-Impfungen standen, von der Statistik nicht erfasst.

    Im Jahr 2021 lernte ich Prof. Dr. med. Arne Burkhardt kennen, einen sehr kompetenten Pathologenkollegen. Er hatte zusammen mit Rechtsanwalt Elmar Becker beschlossen, Todesfälle nach Corona-Impfungen zu untersuchen. Burkhardt wollte herausfinden, ob ein ursächlicher Zusammenhang zwischen Impfung und Tod besteht. Es hatten sich viele Menschen aus dem europäischen Raum an ihn gewandt, nachdem Angehörige nach der Impfung verstorben waren. In den Obduktionsberichten der Pathologen oder Rechtsmediziner konnte jedoch kein Zusammenhang mit der Corona-Impfung festgestellt werden. Die Angehörigen zweifelten aber an diesem Ergebnis und sorgten dafür, dass die Pathologie- oder rechtsmedizinischen Institute Gewebeproben ihrer Verstorbenen an Prof. Burkhardt schickten.

    Kritik an WHO-Studie: Hat die Corona-Impfung wirklich Millionen Leben gerettet?
    https://www.berliner-zeitung.de/open-source/kritik-an-who-studie-hat-die-corona-impfung-wirklich-millionen-lebe

    Diese weltweit wohl einzigartige Arbeit begann in der ersten Hälfte des Jahres 2021 in seinem Pathologielabor in Reutlingen. Im Sommer 2021 kam der erfahrene Pathologe Prof. Dr. med. Walter Lang mit ins Team.

    In fast drei Viertel der bis Juni 2023 untersuchten 89 Todesfälle deuten die Befunde laut Burkhardt auf einen Zusammenhang des Todes mit der Corona-Impfung hin. Es wurde festgestellt, dass die Gewebeschäden in Abhängigkeit von der Anzahl der Corona-Impfungen stehen. So waren schwere Gewebeschäden bei den Verstorbenen nach mehrfacher Corona-Impfung deutlich häufiger als nach nur einmaliger Impfung. In mehr als der Hälfte der Fälle war die Todesursache auf eine Entzündung des Herzmuskels zurückzuführen. Die jüngste Verstorbene war eine 16-jährige Schülerin. Es war bekannt, dass alle neuartigen Corona-Impfstoffe eine Herzmuskelentzündung auslösen können. Das findet sich auch in der Analyse der Berichte über unerwünschte Nebenwirkungen des Impfstoffes der Firma Pfizer. Allerdings scheint, in Anbetracht der Ergebnisse der Professoren Burkhardt und Lang, die in der Analyse von Pfizer angegebene Häufigkeit noch deutlich untertrieben zu sein.

    In fast 90 Prozent der von Burkhardt und Lang untersuchten Todesfälle fand sich eine Entzündung der Blutgefäße, der großen wie der kleinen. Überdurchschnittlich häufig fand sich eine Entzündung der Aorta, des größten blutführenden Gefäßes unseres Körpers. Sie können sich sicher denken, dass eine Entzündung in der Gefäßwand zur Brüchigkeit des Gefäßes führt und dieses durch den herrschenden Druck dann reißen kann, welches zum raschen Verbluten der Person führt.
    Autoimmunerkrankungen als Folge der Impfung?

    Weiterhin beschrieben die beiden Pathologen entzündliche Veränderungen in den Organen, sogenannte Autoimmunerkrankungen. Also Erkrankungen, bei denen das Immunsystem des Körpers körpereigenes Gewebe angreift. An dieser Stelle möchte ich gerne kurz erläutern, wie die mRNA-Impfstoffe nach gegenwärtigem Erkenntnisstand wirken. Es wird durch diese Impfung die Zellprogrammierung gesunder Körperzellen verändert. Für unsere Körper gab es eine Produktion des sogenannten Spikeproteins vor diesen Corona-Impfungen nicht. Seit diesen mRNA-basierten Corona-Impfungen produzieren aber unsere gesunden Körperzellen diese Teile des Coronavirus und präsentieren es auf der Zelloberfläche. Für Zellen der körpereigenen Immunabwehr sind diese Zellen fremd und sie werden bekämpft.

    So werden also gesunde (Spikeprotein präsentierende Zellen) angegriffen und es entsteht eine Entzündung, die als Autoimmunreaktion bezeichnet wird. In einer im Juli dieses Jahres im anerkannten Wissenschaftsjournal Nature veröffentlichten Studie aus Korea zeigt sich, dass nach einer Booster-Impfung, also einer zweiten Corona-Impfung, ein erhöhtes Risiko für bestimmte Autoimmunerkrankungen zu finden ist. Hier werden kreisrunder Haarausfall, die Schuppenflechte und Gelenkrheumatismus genannt. Wichtig ist an dieser Stelle zu erwähnen, dass diese Impfkomplikationen an grundsätzlich allen Organen auftreten können.

    Nach dem unerwarteten und plötzlichen Tod unseres lieben Kollegen Burkhardt habe ich es als meine Pflicht angesehen, die von ihm gefundenen Befunde der Öffentlichkeit zugänglich zu machen. Innerhalb eines Jahres stellte ich diese Befunde zusammen und veröffentlichte sie in dem Buch „Geimpft – gestorben – Histopathologischer Atlas der Corona-Impfschäden“, das im August 2024 erschienen ist. Es werden 57 Patientenfälle vorgestellt, deren Tod in der großen Mehrheit der Fälle in einem nachweisbaren Zusammenhang mit der Injektion der mRNA-Impfung gegen Covid-19 steht. Das Buch richtet sich vorrangig an Pathologen, aber auch an Mediziner anderer Fachrichtungen sowie gesundheitsinteressierte Nichtmediziner.

    Es werden einerseits die Bilder von Gewebeschnitten präsentiert, um die in der Routinepathologie und Rechtsmedizin tätigen Kollegen hinsichtlich dieser völlig neuen Befunde zu sensibilisieren und auf die für die mRNA-Injektionen typischen Veränderungen hinzuweisen. Andererseits sind die entsprechenden Fallbeschreibungen enthalten, welche die tragischen Umstände und vielgestaltigen Leiden der Menschen nach diesen Impfungen dokumentieren.
    Gehäuftes Auftreten neurologischer Erkrankungen

    Auch neurologische Erkrankungen finden sich gehäuft nach den Corona-Impfungen. Hier ein Beispiel aus meiner Tätigkeit als Pathologin: Ich hatte einen verstorbenen Patienten obduziert, der nach zweimaliger Corona-Impfung verstorben war. Er hatte aufgrund einer bösartigen Vorerkrankung eine Chemotherapie und eine Therapie zur Dämpfung der Immunantwort erhalten hatte. Zur gleichen Zeit bekam er zwei Dosen des Impfstoffes gegen Covid-19.

    Ich behaupte, dass jeder Nicht-Mediziner versteht, dass man nicht einerseits das Immunsystem dämpfen kann und andererseits einen Impfstoff gibt, der die Aktivität des Immunsystems in allerhöchstem Grade voraussetzt. Der Mann entwickelte relativ kurze Zeit nach den Impfungen Lähmungen am ganzen Körper und verstarb drei Monate später. Diesen Fall wollte ich zusammen mit zwei sehr erfahrenen Professoren aus der Universitätsklinik Lund, Schweden, und der Berliner Charité veröffentlichen. Über ein halbes Jahr lang hatte ich deshalb Kontakt mit dem British Medical Journal, einer anerkannten Fachzeitschrift. Ich wurde wiederholt gebeten, Textänderungen und neue Färbungen im Labor vorzunehmen, um dann nach zahlreichen Mailkontakten die kurze Mitteilung zu erhalten, dass ein ähnlicher Fall soeben veröffentlicht worden und das Journal nicht länger an meinem Artikel interessiert sei.

    Corona-Impfstoffe: „Zum Fremdschutz haben sich vorwiegend immunologische Dilettanten geäußert“
    https://www.berliner-zeitung.de/open-source/corona-impfstoffe-zum-fremdschutz-haben-sich-vorwiegend-immunologis

    Daraufhin habe ich mich an ein anderes Journal gewandt, dort wurde der Text im Dezember 2022 veröffentlicht. Leider ist dieser Artikel aber nicht auf Pubmed, der Plattform mit wissenschaftlichen Veröffentlichungen – ich möchte es das „Wikipedia der Wissenschaftler und Ärzte“ nennen – zu finden. So stellt sich mir die Frage, wie viele veröffentlichte wissenschaftliche Studien und Fallbeschreibungen ebenfalls nicht auf dieser Plattform zu finden sind.

    Impfstoffe wurden bislang normalerweise vor der Zulassung sieben bis acht Jahre lang entwickelt und erprobt. Der Corona-Impfstoff hingegen ist nach nicht mal einem Jahr, völlig unzureichend getestet, auf den Markt gekommen.

    Es sind nicht nur unzählige Menschen nach diesen Corona-Impfungen erkrankt, sondern es sind auch zahlreiche Menschen nach diesen Impfungen verstorben. In einer Studie vom Juni 2024 konnten für Pfizer-Impfstoffe in 11 Prozent und für Moderna-Impfstoffe in 21 Prozent schwere Nebenwirkungen nach diesen mRNA-Impfungen nachgewiesen werden. Im Vergleich hierzu wurden für die bisherigen Influenza-Impfungen schwere Nebenwirkungen mit nur null bis vier Prozent angegeben. Demgegenüber wird die Wahrscheinlichkeit, an einer Corona-Infektion zu versterben, mittlerweile mit nur 0,1 Prozent angegeben. In meinen Augen war und ist die Corona-Impfung leider immer noch ein Experiment an uns Menschen.

    Weitere alarmierende Zahlen betreffen die Geburtenrate. Eine Untersuchung der Lebendgeburten in Europa aus dem Jahr 2022 zeigt, dass in allen untersuchten Ländern ein Rückgang der Geburtenzahlen mit bis über 10 Prozent zu verzeichnen ist. In diesem Zusammenhang konnte in den Gewebeschnitten aus dem Institut von Burkhardts Labor gezeigt werden, dass das Spikeprotein in den Eierstöcken aufzufinden war. Diese Tatsache lässt schlussfolgern, dass auch hier eine Entzündung auftreten kann, die wiederum zu Narbenbildung und möglicher Unfruchtbarkeit führen kann. In den Gewebeschnitten von Hoden junger Verstorbener fand sich eine erheblich reduzierte Anzahl von Spermien, ein Fall ist auch bildlich im oben beschriebenen Buch festgehalten. Diese Veränderungen in den Geschlechtsorganen sind erschreckend und könnten den Geburtenrückgang erklären.

    Zensur beim MDR? Beitrag über verunreinigte Corona-Impfstoffe bleibt ohne Begründung gelöscht
    https://www.berliner-zeitung.de/open-source/zensur-beim-mdr-beitrag-ueber-verunreinigte-corona-impfstoffe-bleib

    Politik statt Wissenschaft

    Mittlerweile weiß man, nach Bekanntwerden der zunächst geheimen Krisenstabs-Dokumente des Robert-Koch-Institutes (RKI) in Deutschland, dass es keine wissenschaftliche Grundlage für zahlreiche von der Politik vorgegebene Maßnahmen im Zusammenhang mit Corona gab und gibt.

    Wissenschaftler und Ärzte, die sich ausgiebig mit den Folgen dieser Corona-Impfungen auseinandergesetzt haben, werden als Schwurbler, Verschwörungstheoretiker oder gar Rechtsextreme tituliert. Mein Versuch, vor dem sogenannten Turbokrebs nach Corona-Impfungen zu warnen, wurde in den schwedischen Medien als Sabotage bezeichnet – Sabotage gegen die Impfkampagne, die vorsah, alle Menschen der Region gegen Corona zu impfen.

    Aufgrund des Umstandes, dass die Politik über die Wissenschaft bestimmte, habe ich meine Anstellungen als Oberärztin sowohl im Krankenhaus in Kalmar als auch am Universitätsklinikum in Lund gekündigt. Ich war zutiefst schockiert und konnte es mit meinem Gewissen nicht mehr vereinbaren, Teil eines solch unwissenschaftlichen Gesundheitssystems zu sein. Einer meiner Grundsätze besteht darin, dem Menschen keinen Schaden zuzufügen, wie ich es auch im Eid des Hippokrates (der Formulierung der ärztlichen Ethik) geschworen haben.

    Ich möchte an Sie appellieren, werden Sie aktiv. Informieren Sie sich. Stellen Sie alles infrage, auch das, was Ihnen auf einem Silbertablett immer wieder in den Medien serviert wird. Kontrollieren Sie auch die von mir angeführten Literaturangaben.

    Welche Schäden diese mRNA-basierten Impfstoffe gegen Corona angerichtet haben, ist nun bekannt. Diese mRNA-Technik ist noch nicht ausreichend erprobt und getestet. Bitte informieren Sie sich, auf welcher Basis die Impfstoffe hergestellt sind, mit denen Sie sich in Zukunft impfen lassen wollen.

    Und denken Sie daran, Angst schwächt unser Immunsystem. Seien Sie so viel wie möglich in der Natur und stärken Sie es auf diese Weise. Unser Körper ist fantastisch, unterstützen Sie ihn und vertrauen Sie ihm und sich!

    Dr. med. Ute Krüger ist Fachärztin für Pathologie mit 25-jähriger Berufserfahrung. Seit nahezu 20 Jahren lebt sie in Schweden. Heute ist sie in eigener ganzheitlicher Praxis tätig.

    CC BY-NC-ND 4.0

    #Suède #Allemagne #covid-19 #coronavirus #vaccination #médecine #iatrocratie

  • Entretien Fabien Canavy (MDES) : « l’État français applique la doctrine du chaos organisé »- Alternative Libertaire
    https://www.unioncommunistelibertaire.org/?Entretien-Fabien-Canavy-MDES-l-Etat-francais-applique-la

    Fabien Canavy est le secrétaire général du Mouvement pour la décolonisation et l’émancipation sociale (MDES) depuis 2019. Actuellement retraité de la Direction départementale de l’équipement où il était technicien du développement durable, il a été conseiller régional à deux reprises et élu dix-sept ans à (...) @Mediarezo Actualité / #Mediarezo

  • Abus au sein du collectif 269 Libération Animale - Pour une lutte antispéciste qui n’exploite pas ses activistes- Paris Luttes
    https://paris-luttes.info/abus-au-sein-du-collectif-269-18690

    Nous, militant.e.s antispécistes, Nous voulons témoigner des comportements abusifs au sein du collectif 269 LA qui ont des conséquences fortes sur la santé mentale des activistes, sur leur capacité à être autonomes, et qui mènent à toujours plus de fichages à travers l’Europe de toujours plus (...) @Mediarezo Actualité / #Mediarezo

  • Ricochets : lancement d’une cagnotte pour financer l’impression du prochain numéro papier
    https://ricochets.cc/Ricochets-lancement-d-une-cagnotte-pour-financer-l-impression-du-prochain-

    Le média Ricochets.cc et son journal papier plaisent et sont reconnus, avec des niveaux souvent élevés de visites pour le site et un journal papier qui se diffuse bien. Avec très peu de moyens humains et financiers, Ricochets a de l’impact et il est très utile, notamment comme contre-pouvoir et pour son agenda. Seulement, on devient trop peu nombreux.ses pour tout faire. Avec ce manque d’effectifs, il y a moins de diffusion du journal papier (peut-être aussi moins d’occasions), et les (...) #Les_actus_de_RICOCHETS

    / #Médias_et_expressions

    https://www.gandee.com/participate/1882

  • Au large de Djibouti, au moins quarante-cinq morts dans le naufrage de deux bateaux de migrants
    https://www.lemonde.fr/afrique/article/2024/10/02/au-large-de-djibouti-au-moins-quarante-cinq-morts-dans-le-naufrage-de-deux-b

    Au large de Djibouti, au moins quarante-cinq morts dans le naufrage de deux bateaux de migrants
    Le Monde avec AFP
    Au moins quarante-cinq personnes sont mortes dans le naufrage, au large de Djibouti, de deux bateaux transportant des migrants, a annoncé mardi l’agence de l’ONU pour les migrations. « Les bateaux ont quitté le Yémen avec trois cent-dix personnes à bord », a rapporté l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), ajoutant que de nombreux passagers étaient toujours portés disparus. Quelque trente-deux personnes ont été secourues, a ajouté l’OIM sur le réseau social X, précisant que l’organisation participait aux secours.
    Chaque année, des dizaines de milliers de migrants de la Corne de l’Afrique empruntent la « route de l’Est », qui traverse la mer Rouge, pour tenter d’atteindre les pays du Golfe riches en pétrole, fuyant les conflits, les catastrophes naturelles et les perspectives économiques médiocres dans leur pays. En août, un bateau convoyant des migrants avait coulé au large du Yémen, faisant treize morts.
    Les migrants qui parviennent à atteindre le Yémen sont souvent confrontés à d’autres menaces pour leur sécurité dans ce pays le plus pauvre de la péninsule Arabique, en proie à une guerre civile depuis près de dix ans. La plupart tentent de rejoindre l’Arabie saoudite et d’autres pays arabes du Golfe où ils pourront travailler comme ouvriers ou employés de maison.

    #Covid-19#migrant#migration#djibouti#yemen#corneafrique#routemigratoire#merrouge#traversee#mortalite#sante#migrationirreguliere

  • “Le syndicat reste l’un des rares espaces qui permet l’organisation des classes populaires”, entretien avec Baptiste Giraud- Rapports de Force
    https://rapportsdeforce.fr/pas-de-cote/le-syndicat-reste-lun-des-rares-espaces-qui-permet-lorganisation-des

    En cette rentrée syndicale, Rapports de force a souhaité questionner la fonction de la grève et de la lutte syndicale. A quoi sert une journée d’action ? Pourquoi la grève est-elle si dure à faire prendre ? Doit-on miser sur […] L’article “Le syndicat reste l’un des rares espaces qui permet (...) @Mediarezo Actualité / #Mediarezo