• Das Problem der Vernichtung lebensunwerten Lebens im Schrifttum, 1933
    https://katalog.ub.uni-heidelberg.de/cgi-bin/titel.cgi?katkey=65544345


    Gerhard Wischer um 1940

    Dissertation von Gerhard Wischer, 1933, Umfang: 53 S.
    Signatur. U 35.3139
    Standort: Hauptbibliothek Altstadt / Ausweichmagazin
    bestellbar (Lesesaal)
    Mediennummer: 05261154

    Die Freigabe der Vernichtung lebensunwerten Lebens, 1922
    https://sammlungen.ub.uni-frankfurt.de/download/pdf/8796938.pdf

    Ihr Maß und ihre Form
    Von den Professoren
    Dr. jur. et phil. Karl Binding
    und
    Dr. med. Alfred Hocke

    Euthanasie : Das Problem d. Vernichtung lebensunwerten Lebens , 1924
    https://www.deutsche-digitale-bibliothek.de/item/3HOQ2N3OJJVBSXCJTFEO556JVJIF63BV

    Standort
    Deutsche Nationalbibliothek Frankfurt am Main

    Maße
    8

    Umfang
    88 S.

    Sprache
    Deutsch

    Anmerkungen
    Zugl.: Heidelberg, Diss., 1924

    Ereignis
    Veröffentlichung

    (wo)
    [s. l.] @

    (wer)
    [s. n.] @

    (wann)
    1924

    Urheber
    Barth, Fritz
    https://www.deutsche-digitale-bibliothek.de/person/gnd/116063386

    Inhaltsverzeichnis
    https://d-nb.info/572137427/04

    Rechteinformation
    Bei diesem Objekt liegt nur das Inhaltsverzeichnis digital vor. Der Zugriff darauf ist unbeschränkt möglich.

    Letzte Aktualisierung
    11.06.2025, 14:17 MESZ

    Bernd Withöft: Die Todesurteile der Waldheimer Prozesse. Dissertation Wien 2008, überarbeitet 2014 (mit 25 Fallanalysen, darunter 22 Hingerichtete).
    https://fedora.phaidra.univie.ac.at/fedora/get/o:364098/bdef:Content/get

    #Kalenderblatt – Vor 70 Jahren wurde der „Euthanasie“-Arzt Gerhard Wischer hingerichtet
    https://www.stsg.de/cms/pirna/aktuelles/kalenderblatt-vor-70-jahren-wurde-der-euthanasie-arzt-gerhard-wischer-hingerich
    ...
    Im Oktober 1945 kam Wischer in sowjetische Haft. Im Zuge der Waldheimer Prozesse wurde er am 23. Juni 1950 „wegen Teilnahme an Tötungen in der Heil- und Pflegeanstalt Waldheim“ als „Hauptverbrecher“ zum Tode verurteilt. Seine weitreichende Beteiligung an der „Aktion T4“ blieb dem Gericht allerdings unbekannt.
    An die „Waldheimer Prozesse“ erinnern heute, auf dem Gelände des ehemaligen Haftkrankenhauses, ein Gedenkstein und eine Gedenktafel. Einen Hinweis auf die nationalsozialistischen Krankenmorde sucht man dort jedoch vergebens.
    (Verfasst von Marie-Christien Martin)
    Hagen Markwardt (Gedenkstätte Pirna-Sonnenstein, Öffentlichkeitsarbeit)
    Tel.: 03501 710963
    hagen.markwardt@stsg.de

    Gerhard Wischer,
    https://de.wikipedia.org/wiki/Gerhard_Wischer

    Gerhard Hans Kurt Julius Wischer (* 1. Februar 1903 in Berlin; † 4. November 1950 in Waldheim) war ein deutscher Psychiater, der während der Zeit des Nationalsozialismus an Euthanasieverbrechen beteiligt war.

    #euthanasie #nazis #médecine #iatrocratie

  • [Sans pincettes] Budget de la Sécurité sociale 2026 : « L’argument de la responsabilisation des patients est un leurre », des médecins.

    Alors que sont célébrés les 80 ans de la création de la Sécurité sociale et qu’est discuté, au Parlement, le #PLFSS pour 2026, la ministre de la #santé, Stéphanie Rist, déclarait, le 22 octobre dans Le Figaro : « Il faut rappeler que le tout gratuit dans la santé est une illusion. » Ces propos reprennent l’argument des opposants à la Sécu, selon lequel ce modèle déresponsabiliserait les patients. Il est choquant d’entendre la ministre de la Santé, elle-même médecin, reprendre cet argument fallacieux.

    En réalité, les patients paient quatre fois leurs #soins. Une première fois par la contribution sociale généralisée et la contribution au remboursement de la dette sociale, soustraites automatiquement tous les mois de leur salaire brut. Une deuxième fois par la cotisation volontaire, mais quasi obligatoire, à une mutuelle ou à une assurance privée. Le montant de la cotisation à cette complémentaire santé augmente avec l’âge et avec le niveau de couverture choisie, contrairement au principe d’égalité de la Sécu. Une troisième fois par la taxe sur la valeur ajoutée (#TVA), qui représente aujourd’hui plus de 20 % des recettes de l’assurance-maladie obligatoire, en compensation des exonérations et des diminutions de cotisations patronales décidées par les gouvernements successifs au nom de la défense de l’emploi. La TVA, à l’opposé du principe de solidarité de la Sécu, impacte davantage les personnes ayant de faibles revenus que celles qui bénéficient de hauts revenus. C’est la solidarité à l’envers, du bas vers le haut.

    Enfin, les patients paient une quatrième fois pour les #dépassements_d’honoraires des #médecins_spécialistes, qui peuvent représenter le quadruple, voire le quintuple, du tarif conventionnel remboursé par la #Sécu. Ces dépassements, très variables d’un spécialiste à l’autre pour une même prestation, ne sont régulés ni par la loi ni par le conseil de l’ordre des médecins, pourtant censé faire respecter « le tact et la mesure ». Ils augmentent en moyenne de 5,5 % par an et atteignaient 4,5 milliards d’euros en 2024 Finalement le #reste_à_charge que les assurés paient de leur poche est en moyenne 430 euros par an et de 780 euros pour les personnes prises en charge à 100 % du tarif réglementé au titre des affections de longue durée (#ALD). Ce reste à charge peut dépasser 4 900 euros par an pour 1 % des patients en ALD.

    Accroissement assumé des inégalités

    En réalité, la ministre veut doubler les #franchises et #forfaits, en passant d’un maximum cumulé de 100 à 200 euros par an. « Je n’ai pas l’impression de commettre un crime », avait déclaré le président Macron lors de la conférence de presse du 16 janvier 2024, annonçant déjà un doublement des franchises. Pas un crime, en effet, mais un accroissement assumé des #inégalités_sociales_de_santé qui retardent les prises en charge médicales des patients ayant de faibles revenus et coûtent finalement plus cher que l’économie visée de 2,3 milliards d’euros. L’argument de la responsabilisation des patients est un leurre : ce ne sont pas les #malades qui prescrivent les médicaments, les examens de biologie ou de radiologie, les arrêts de travail ou les bons de transport, mais les médecins. Par définition, la responsabilisation des patients ne peut pas concerner la prescription des #médecins mais seulement l’observance des traitements et des rendez-vous – ce qu’a dû observer la docteure Rist dans sa pratique antérieure de rhumatologue.

    Elle prétend par ailleurs s’attaquer à la « rente », c’est-à-dire aux tarifs très supérieurs aux coûts réels du service rendu. Le PLFSS en discussion vise la radiologie, la radiothérapie, la dialyse rénale et la biologie, mais ne s’attaque ni à #Big_Pharma ni aux chaînes de #cliniques commerciales internationales financiarisées, dont les actionnaires reçoivent des dividendes payés par la Sécu. Elle ne dit rien non plus de la spécificité française d’un double financement pour le même soin, à la fois par l’assurance-maladie obligatoire et par les #assurances complémentaires, en concurrence sur le marché. Si bien que, en matière de frais de gestion du système de santé, la France dépense le double de la moyenne des pays de l’OCDE, 6.9 milliards pour la Sécu et 8.7 milliards pour les complémentaires. Selon les calculs du Haut Conseil pour l’avenir de l’assurance-maladie, la fusion des complémentaires dans la Sécu permettrait d’économiser plus de 5 milliards par an.

    La santé n’est gratuite pour personne. Alors que le reste à charge des patients augmente, conduisant à des renoncements aux soins, et que les cotisations aux complémentaires ne cessent de croître, pourquoi préserver cette rente ?

    Mady Denantes est médecin généraliste ; Anne Gervais est hépatologue ; André Grimaldi est diabétologue ; Olivier Milleron est cardiologue.

    https://www.lemonde.fr/idees/article/2025/10/29/budget-de-la-securite-sociale-2026-l-argument-de-la-responsabilisation-des-p

    #solidarité_à_l’envers #financiarisation #accès_aux_soins #retard_de_prise_en_charge_médicales #renoncements_aux_soins

  • La médecine soigne-t-elle vraiment tout le monde ?

    En fin d’études, les médecins prêtent le serment d’Hippocrate, s’engageant à soigner toute personne sans distinction. Mais dans les faits, est-ce vraiment le cas ? Pourquoi certaines personnes sont-elles moins bien prises en charge que d’autres ? Est-ce la faute des médecins eux-mêmes — ou celle d’un système qui trie, hiérarchise, invisibilise en permanence ? Quels effets produit cette médecine qui peine à accueillir les #corps_minoritaires ?

    https://www.binge.audio/podcast/encoreheureux/la-medecine-soignent-elles-vraiment-tout-le-monde

    #médecine #discriminations #soins #tri #invisibilisation #hiérarchisation #minorités
    #audio #podcast

  • #Santé des femmes : rattraper le temps perdu
    5 émissions radio !

    https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/le-grand-reportage/sante-des-femmes-rattraper-le-temps-perdu-7139410

    #podcast

    Au départ de ce Grand Reportage, il y a une dissonance. D’un côté, les questions de santé des femmes sont de plus en plus mis en lumière, comme l’endométriose et la ménopause. De l’autre, les témoignages de patientes qui déplorent un manque d’écoute et de prise en charge persistent toujours.
    Avec

    Catherine Vidal, neurobiologiste, directrice de recherche honoraire à l’Institut Pasteur de Paris, et membre du Comité d’éthique de l’Inserm où elle est co-fondatrice du groupe « Genre et recherches en santé »

    De cette tension est née l’envie de comprendre : que sait-on vraiment de la santé des femmes aujourd’hui et à quoi la recherche s’intéresse désormais ?

    Où tu apprends, entre autres, que le #travail de #nuit des #femmes augmente de 28% le risque de cancer du sein. (cf 52:35)

    #précarité #famille_monoparentale #france #médecine

  • Dépassements [d’]honoraires : alerte pour les patients handicapés [ou pas]
    https://informations.handicap.fr/a-depassements-honoraires-alerte-pour-les-patients-handicapes-

    De plus en plus fréquents chez les jeunes spécialistes, les #dépassements_d'honoraires médicaux inquiètent les associations, en particulier celles qui représentent les personnes handicapées, souvent confrontées à un reste à charge élevé.

    Les trois quarts des jeunes spécialistes qui s’installent aujourd’hui pratiquent des dépassements d’honoraires, contre deux tiers en 2017, pointe un rapport du Haut conseil de l’Assurance maladie (HCAAM) qui s’inquiète de l’inflation de ces suppléments non remboursés par l’#Assurance_maladie.

    Selon cette instance consultative, qui regroupe de multiples parties prenantes du système de santé, « le montant total des dépassements d’honoraires des médecins spécialistes atteint 4,3 milliards d’euros en 2024, en forte accélération depuis 2019 (+5 % par an en valeur réelle, hors inflation) ». Cette accélération s’explique notamment par la hausse du nombre de #spécialistes pratiquant ces suppléments : ainsi en 2024 « 56 % des spécialistes sont en secteur 2 » (pratiquant des dépassements d’honoraires), « contre 37 % en 2000 ».

    Un risque de renoncement aux soins

    La croissance est alimentée aussi par la « hausse des taux de dépassements » pratiqués, et par une tendance des praticiens du secteur 2 à diminuer le nombre d’actes maintenus aux tarifs opposables, note le HCAAM. Pour ce dernier, ces évolutions imposent des réformes « face à un système (…) qui présente un risque réel de renoncement aux soins ou de charge financière excessive ».

    Des restes à charge parfois très élevés

    En effet ces dépassements d’honoraires « peuvent induire un reste à charge élevé pour les patients », poursuit-il. « Par exemple, pour une intervention de prothèse totale de la hanche, près de la moitié des patients s’acquittent de dépassements (630 euros en moyenne et plus de 1 000 euros dans 10 % des cas) », indique-t-il.

    #santé #tarifs_opposables #dépassements_d'honoraires #secteur_2 #accès_aux_soins #médecine #médecins #médecine_de_classe #esprit_de_lucre

    • Flora Bastiani saisit ainsi un état de la subjectivité humaine (« le phénomène de l’ensemble ») à un moment où elle n’est pas encore en mesure, ou n’est plus en mesure, d’être indépendante, où elle n’existe que grâce à la subjectivité du soignant et exclusivement au sein de la relation de soin. Pour soigner un patient, il ne suffit pas de lui administrer mécaniquement un traitement ; il faut bien au contraire redonner au patient le statut de sujet. La nouveauté, ici, est que redonner au patient ce statut ne consiste pas à prendre en compte son avis ou son ressenti, puisqu’il n’est plus capable de le formuler ou même parfois d’en avoir un, mais à le soigner de bout en bout comme s’il était un sujet.

      Repenser l’ancrage théorique des philosophies du soin et de la subjectivité

      Pour extraire simultanément cette conception singulière du soin critique et de la subjectivité du patient en état critique, d’un ensemble de pratiques concrètes (richement rapportées dans les quatre chapitres qui jalonnent l’ouvrage), l’auteure est contrainte d’effectuer un double travail méthodologique. Elle doit, dans un premier temps, au fil des premières pages d’une longue introduction (p. 7-11), inventorier brièvement les différentes approches philosophiques du soin, telles qu’elles sont actuellement défendues par les théoriciens du « care » (Gilligan, Tronto, etc.). C’est une manière pour elle de souligner l’originalité de la conception du soin que véhiculent les pratiques de ces quatre infirmiers : la considération qu’ils portent à la subjectivité d’autrui ne se surajoute pas à un acte de soin de nature purement technique, comme le considèrent souvent les théoriciens du care ; elle constitue au contraire une composante pleine et entière de l’acte technique de soin, sans laquelle celui-ci perd non seulement en humanité, mais aussi, en premier lieu, en efficacité, comme le souligne régulièrement l’auteure. Il s’agit ainsi de se prémunir contre ces perspectives discursives qui prévalent outre-Atlantique (réfléchir sur la signification de mots tels que « care », ou sur les qualités relationnelles et morales des soignantes ou du « féminin », sans procéder au préalable à des observations poussées dans les centres de soin), et qui demeurent généralement trop éloignées de ce qui importe aux professionnels dans leurs tâches quotidiennes (p. 9-11). Ces perspectives ne se contentent-elles pas de dresser un « portrait daté », rivé à son insu aux « origines religieuses de l’institution hospitalière, avec les notions de dévouement, d’abnégation et de vocation compassionnelle » (p. 10) ?

      Flora Bastiani doit ensuite répertorier, dans la suite de son introduction (p. 11-65), une multiplicité de conceptions philosophiques de la #subjectivité (Husserl, Merleau-Ponty, Lévinas, etc.), élaborées dans des contextes très différents du sien, afin de montrer que le domaine qu’elle a choisi (les soins critiques) révèle un aspect de la subjectivité humaine (l’ensemble) demeuré jusque-là dans l’ombre. Cela éclaire non seulement les innovations philosophiques conceptuelles qu’elle entend apporter sur les thématiques du soin et de la subjectivité, mais permet aussi d’encadrer rigoureusement les études de cas qui suivent.

      #microphilosophie #sujet #phénoménologie_du_soin #soin

  • Long COVID, invisible illness

    [en] Executive Summary Design and Multidisciplinary Framework This self-initiated, independently funded research program, originating in general and family practice, adopts a multidisciplinary framework by engaging patients as active partners throughout the research process. The approach integrates diverse methodologies, including: — Narrative medicine: systematic listening and structured symptom analysis using the Human Phenotype Ontology. — Multi-omics: whole genome/exome sequencing, transcriptomics (global and tar- geted), plasma proteomics (quantitative and untargeted), and lipidomics. — Systemic immunology: high-parameter flow cytometry, multiplex serum assays, and single-cell RNA sequencing. — Neurobiology: investigation of patient-derived autoantibodies and their role in pain symptomatology via in vivo and in vitro modeling. — Functional neuroimaging: Tc-99m HMPAO brain perfusion SPECT-CT and single-voxel MR spectroscopy (MRS) to detect metabolic changes invisible to con- ventional MRI. — Molecular virology and structural biology: characterization of SARS-CoV-2 and host interactions at molecular and structural levels. — Anthropological inquiry: longitudinal interviews exploring illness narratives, healthcare navigation, and social legitimacy. — Epistemological analysis: reflection on co-production of new disease categories by molecular data, clinical practice, and patient expertise within quaternary prevention ethics. — Computer science and biostatistics: integration and analysis of clinical, para- clinical, and multi-omics datasets. — Patient partnership: collaboration with patients and the Long COVID Belgium association to guide research priorities and interpretation. — Social partnership: engagement with community organizations, including Le Ressort in Gembloux, to address social dimensions of illness and care. Anthropological and Epistemological Contributions — Qualitative investigations highlight diagnostic contestation, identity disruption, and disparities in access to care, informing research priorities and patient-centered outcome measures. v — Epistemological analysis underscores the tension between rapid molecular advances and slower clinical adaptation, stressing the ethical imperative to prevent both over- and underdiagnosis within quaternary prevention. Methodological Innovations — Use of large language models (LLMs) to analyze patient narratives and classify symp- toms within standardized ontologies (e.g., Human Phenotype Ontology), introducing the concept of a terminological biomarker. — Cross-disciplinary collaboration among general practitioners, specialists, multi-omics researchers, immunologists, neurobiologists, epidemiologists, anthropologists, and computer scientists. — Systematic patient involvement through symptom diaries, clinical interviews, the Long COVID Belgium association, and contributions from Le Ressort social workers. Main Recommendations 1. Official recognition of Long COVID as a chronic and disabling condition requiring sustained medical, social, and policy attention. 2. Interdisciplinary expertise centers integrated with primary care to improve diagnosis, management, and research coordination. 3. Standardization of clinical data through structured ontologies (HPO) and harmonized data models (OMOP). 4. Political and financial mobilization to support research, train healthcare pro- fessionals, and ensure dignified patient care. 5. Reduction of healthcare access inequalities by addressing socio-economic and educational disparities across cohorts. Conclusion By integrating high-resolution biology and advanced imaging within a reflexive social science framework, the Belgian Long COVID Research Network has advanced the field from anecdotal reports of recurrent symptoms to coherent, multimodal evidence of SARS- CoV-2 persistence. This multidisciplinary approach provides a robust foundation for precision diagnostics, targeted therapies, and ethically grounded clinical practice for Long COVID and other post-infectious syndromes. It underscores the central role of general practice in early identification and management of emerging pathologies and calls for a paradigm shift in research, healthcare delivery, and governance addressing invisible chronic diseases.

    https://orbi.uliege.be/handle/2268/335655
    #long-covid #covid #covid_long #rapport #médecine_générale #maladies_chroniques #invisibilité

  • Universitäts-Institut für Erbbiologie und Rassenhygiene Frankfurt am Main
    https://de.wikipedia.org/wiki/Universit%C3%A4ts-Institut_f%C3%BCr_Erbbiologie_und_Rassenhygiene_Fran

    Das Universitäts-Institut für Erbbiologie und Rassenhygiene Frankfurt am Main war ein erbbiologisches Forschungsinstitut der Universität Frankfurt in Frankfurt-Süd, das zugleich als amtsärztliche „erb- und rassenpflegerische“ Beratungsstelle diente. Nach der Gründung 1935 stand im Mittelpunkt der Forschung zunächst der Versuch, in Zusammenarbeit mit dem Frankfurter Gesundheitsamt einerseits eine „erbbiologische Bestandsaufnahme“ der Einwohner Frankfurts und andererseits der Bauernbevölkerung der 18 Dörfer der hessischen Schwalm zu erstellen. Im Rahmen der Funktion des Instituts als Beratungsstelle stellten die Mitarbeiter Erbgesundheitszeugnisse aus, erstellten Abstammungsgutachten und nahmen Gutachtertätigkeiten in Verfahren nach dem Gesetz zur Verhütung erbkranken Nachwuchses wahr. Das Institut und dessen Mitarbeiter waren auf diese Weise unmittelbar an der Umsetzung der nationalsozialistischen Rassenhygiene und der nationalsozialistischen Verfolgung der Sinti und Roma beteiligt. Als eine der größten Einrichtungen ihrer Art kam dem Institut Modellcharakter zu. Geleitet wurde es zunächst von Otmar Freiherr von Verschuer und von 1942 bis zum Ende des Zweiten Weltkrieges von Heinrich Wilhelm Kranz. Zu den bekanntesten Mitarbeitern gehörten Heinrich Schade, Hans Grebe, Gerhart Stein und Josef Mengele. Ab 1945 ging das Institut für Erbbiologie und Rassenhygiene in dem Institut für Humangenetik des Universitätsklinikums Frankfurt am Main auf.
    ...

    Otmar von Verschuer
    https://de.wikipedia.org/wiki/Otmar_von_Verschuer

    Bereits 1931 behauptete Verschuer, dass die „Bedeutung der erblichen Veranlagung für die Entstehung des Verbrechertums […] an kriminellen Zwillingen in einwandfreier Weise bewiesen worden“ sei und berief sich dabei auf Studien des Psychiaters Johannes Lange. Mit seinem Freund Diehl erbrachte er ab 1931 vermeintliche Belege für die Erblichkeit der Tuberkulose, was zur Sterilisierung zahlreicher Menschen führte.[13] An der Universität Berlin wurde Verschuer 1933 nebenamtlicher außerordentlicher Professor für Anthropologie, menschliche Erblehre und Eugenik.[14] Im Juni 1933 wurde die Deutsche Gesellschaft für Rassenhygiene verstaatlicht, Verschuer wie auch die andern Vorstandsmitglieder aus dem KWI in Berlin mussten zurücktreten und wurden durch Ernst Rüdin als von Wilhelm Frick ernannten Reichskommissar der Gesellschaft ersetzt.[15] Im Mai 1933 wurde ein „Sachverständigenbeirat für Bevölkerungs- und Rassenpolitik beim Reichsinnenminister“ gegründet, dessen Aufgabe auch der Entwurf eines Sterilisationsgesetzes war. Für die Durchführung des daraus resultierenden Gesetzes zur Verhütung erbkranken Nachwuchses vom 14. Juli 1933 wurde neben Fischer und Fritz Lenz auch Verschuer aufgefordert, seinen Sachverstand beizutragen.[16] Die Wissenssoziologen Kurt Bayertz, Jürgen Kroll und Peter Weingart beschreiben die neue Situation so: Die Machtergreifung bot die Verheißung der Professionalisierung der Rassenhygiene zum Preis der Abhängigkeit von politischer Kontrolle, was angesichts der ideologischen Affinität kein hoher Preis war.[17] Im August 1933 war von Verschuer einer der Referenten bei den von Karl Astel durchgeführten Schulungen in der Staatsschule für Führertum und Politik in Egendorf bei Blankenburg.[18] 1936 wurde er Richter am Erbgesundheitsgericht Charlottenburg.[19]

    Ab 1934 erschien, bis 1939 als Beilage zum Deutschen Ärzteblatt, seine Zeitschrift Der Erbarzt. Darin wurden „Ergebnisse der Erbforschung“ an die frei praktizierende deutsche Ärzteschaft vermittelt.[19] Im Mai 1939 hatte Verschuer auf der Hauptversammlung der Kaiser-Wilhelm-Gesellschaft in Breslau verkündet „Ein neuer Arzttyp hat sich herausgebildet, der Erbarzt“.
    ...
    Von 1936 bis 1938 war Gerhart Stein, ein in der SA aktiver Student, einer von Verschuers Doktoranden. Er promovierte über Roma, die er vor allem im Zwangslager für „Zigeuner“ in Berlin-Marzahn untersuchte. Noch vor Abgabe der Arbeit arbeitete Stein für die Rassenhygienische Forschungsstelle. Josef Mengele, der seit Januar 1937 zu Verschuers Institut gehörte, wurde 1938 mit Sippenuntersuchungen bei der Lippen-Kiefer-Gaumenspalte promoviert. Er versuchte, deren Erblichkeit statistisch nachzuweisen.

    #Allemagne #histoire #nazis #euthanasie #racisme #médecine #iatrocratie #santé #eugénisme #alcoolisme #euthanasie

  • Die Beratungsstelle für Erb- und Rassenpflege in Dresden - gedenkplaetze.info

    Die Beratungsstelle für Erb- und Rassenpflege in Dresden
    Beratungsstelle für Erb- und Rassenpflege#Allemagne #histoire #nazis #euthanasie #racisme #médecine #iatrocratie #santé #eugénisme #alcoolisme
    Pfotenhauerstr. 92
    01307 Dresden

    Im Haus auf der Pfotenhauer Straße 92 am Rande des damaligen „Rudof-Hess-Krankenhauses“ und heutigen Universitätsklinikums befand sich die Beratungsstelle für Erb- und Rassenpflege. Sie war ein Teil des Selektionssystems der Nazis, dass den Wert eines Menschen allein anhand seiner Abstammung bemaß. Das System brach mit der Tradition moralischer Prinzipien, sich besonders für die Schwachen, Benachteiligten und Kranken zu engagieren. Es reduzierte den Wert eines Menschen auf seine biologische Abstammung und unterteilte hierbei Menschen allein deshalb in angeblich höherwertiges und weniger wertes Leben.

    Neue Gesetze zur Ausgrenzung von Menschen

    Basis für die Arbeit der Beratungsstellen waren grob gesagt drei Gesetze, von denen zwei Teil der sogenannten Nürnberger Gesetze waren und der rassistische und antisemitische Ideologie des Nationalsozialismus eine juristische Grundlage lieferten. Das „Gesetz zum Schutze des deutschen Blutes und der deutschen Ehre“ wurde am 15. September 1935 beschlossen. Es verbot Eheschließungen, aber auch außerehelichen Geschlechtsverkehr zwischen jüdischen und nicht-jüdischen Menschen. Im Kern stand dahinter ein Familienbild, dass die traditionelle und ‚arische‘ Familie in den Mittelpunkt stellte und alle anderen Familienverbände nach rassistischen und antifeministschen Kriterien abwertete. Unterfüttert wurde es durch das zeitgleich verabschiedete Reichsbürgergesetz, dass nun auch jursitisch jüdische Menschen aus der Bürgerschaft ausschloss und sie zu Menschen zweiter Klasse abwertete. Das „Gesetz zur Verhütung erbkranken Nachwuchses“ wurde bereits im März 1933 noch vom Reichstag verabschiedet führte die Möglichkeit von Zwangssterilisationen von Menschen ein, die nach der NS-Ideologie als körperlich oder geistig behindert galten.

    https://gedenkplaetze.info/ns-gesundheitspolitik/die-beratungsstelle-fuer-erb-und-rassenpflege-in-dresden

    Die Aufgaben der Beratungsstelle für Erb- und Rassenpflege

    Die Beratungsstellen für Erb- und Rassenpflege waren den Gesundheitsämter untergeordnet, so auch in Dresden. Ihre Hauptaufgabe war die Gutachtenerstellung. So genannte Abstammungsgutachten dienten als Nachweis der eigenen „rassischen Abstammung“ und konnten bei im Sinne der NS-Ideologie ‚negativem‘ Ergebnis zu repressiven Maßnahmen führen. Hierzu zählten Berufsausschluss, Eheverbote, Zwangsarbeit und letztendlich auch Deportation und Vernichtung. Erbegesundheitszeugnisse führten im Zweifel zu Zwangssterilisierung und gezielter Tötung. Die Die Beratungsstelle und deren Mitarbeitende waren auf diese Weise unmittelbar an der Umsetzung der nationalsozialistischen Rassenhygiene beteiligt.

    Der Dresdner Arzt und ‚Rassenhygieniker’ Hermann Vellguth

    Hermann Vellguth wurde am 4. Februar 1906 in Kirchtimke bei Bremen als Sohn eines Arztes geboren. Nach dem Abitur studierte Vellguth ab 1924 Medizin. Er war ab 1930 unter anderem an einer Chirurgischen Klinik in Dresden tätig. Im Februar 1932 trat er in die NSDAP und im Juni 1933 in die SS ein und erreichte bis 1944 den Grad des SS-Sturmbannführers in Himmlers Sicherheitsdienst. Am 15. Juni 1933 wurde Vellguth Abteilungsleiter der neu gegründeten Abteilung „Erb- und Rassenkunde“ am Deutschen Hygiene Museum in Dresden. Seine Aufgabe war die Ausarbeitung eines wissenschaftlichen Fundamentes für die Umsetzung der Selektion von Menschen im Sinne der nationalsozialistischen Rassenhygiene. Dafür wurden vor allem zahlreiche Lehrmittel, Schautafeln und Ausstellungen er- und umgearbeitet. Vom Staatskommissar für das gesamte Gesundheitswesen Ernst Wegner wurde er berufen um

    „alles zu entfernen, was gegen unsere nationalsozialistische Weltanschauung, gegen Anstand und Sitte und gegen das deutsche Schönheitsideal verstößt.“

    Unter Leitung der Abteilung „Erb- und Rassenkunde“ wurde unter anderem 1933 Veranschaulichungsmaterialien wie die Lichtbildreihen 38a „Vererbungslehre“, 65a „"Bevölkerungspolitik und Rassenhygiene“, oder die Unterrichtssammlung über Vererbungslehre, Rassenpflege, oder auch Rassenkunde herausgegeben. Außerdem war Vellguth verantwortlich für die Wanderausstellungen „Volk und Rasse“ und „Blut und Rasse“. Diese Ausstellungen sah Vellguth als wichtigen Beitrag zur Schulungs- und Aufklärungsarbeit an, welche essenzielle Grundpfeiler der nationalsozialistischen Ideologie und Propaganda darstellten. Darüber hinaus war Herrmann Vellguth als ärztlicher Beisitzer am Erbgesundheitsobergericht in Dresden tätig und entschied über die Zwangssterilisierung vieler, wahrscheinlich hunderter oder tausender Menschen. Eine genaue Anzahl der durch ihn gefällten Urteile ist leider nicht überliefert.

    Propaganda im Dienste der NS-Volksgemeinschaft

    Im Katalog zur Ausstellung „Blut und Rasse“ machte Vellguth als Gefahr für das Fortbestehen des deutschen Volkes vor allem die Vermehrung von ihm als ‚schwachsinnig‘, aber auch verbrecherisch und unsozial bezeichneter Menschen aus. Aus ideologischer Überzeugung hielt er die Fürsorge für psychisch Kranke und körperlich eingeschränkte Menschen für eine groteske Idee. Im Vordergrund stand ein verdrehter Arbeitsrationalismus mit Fokus auf Arbeiter, die den wirtschaftlichen Erfolg des deutschen Volkes sichern würden. Für Vellguth waren Kinder, welche sogenannte „erbkranke Anlagen“ in sich trugen ein schweres Unrecht gegen Volk und Staat. In dem Katalog zur Ausstellung „Blut und Rasse“ von 1936 betont Dr. Vellguth, dass dieses Gesetz auf dem „Grundsatz der Freiwilligkeit“ aufbaut. Wörtlich heißt es: „Es soll dem Erbkranken selbst die Möglichkeit gegeben werden, aus der Erkenntnis seines unverschuldeten Zustandes die Folgerungen zu ziehen und sich dem Eingriff der Unfruchtbarmachung zu unterziehen.“ Tatsächlich wurde mit dem System der Erbgesundheitsgerichte aber ein System geschaffen, dass die zwangsweise Sterilisation anordnete.

    Aufstieg und mangelnde Aufarbeitung nach dem Ende des NS

    Während in der Dresdner Beratungsstelle willige Beamte im Sinne Vellguths Dienst schoben und sich so am System des Nationalsozialismus mitschuldig machten, stieg Vellguth zum Leiter des staatlichen Gesundheitsamtes Ostpreußen auf und übernahm schließlich 1940 die Leitung des Hauptgesundheitsamtes in Wien. Nach dem Krieg ließ er sich in Flensburg nieder. Während des Verfahrens, das 1947 gegen ihn als ehemaligen Sturmbannführer der SS und Untersturmführer der Waffen-SS geführt wurde, beschrieb er seine Tätigkeit für das Rassenpolitische Amt als eine rein gesundheitspolitische Arbeit. Das Gericht glaubte seiner Darstellung, dass er kein aktives SS-Mitglied und kein bekennender Nationalsozialist gewesen sei und beließ es bei einer Geldstrafe von 3000 Mark. Dies überrascht, da Vellguth noch vor der Machtergreifung der Nationalsozialisten, und sogar gemeinsam mit seinem Vater, der NSDAP beigetreten war. In seiner SS-Laufbahn wurde er mit Auszeichnungen wie dem SS-Ehrenwinkel und dem SS-Julleuchter geehrt. Ab 1958 praktizierte Dr. Hermann Vellguth als niedergelassener Arzt in Hennstedt in Dithmarschen. Wann er verstarb ist nicht bekannt.

    Quellen/Literatur

    Deutsches Ärzteblatt Heft 1, 1. Juli 1933

    Katalog der Wanderausstellung „Blut und Rasse“ (1936)

    Harten, Hans-Christian; Nerisch, Uwe; Schwerendt, Martin: Rassenhygiene als Erziehungsideologie des Dritten Reichs, Berlin 2006

    Klee, Ernst (2003): Das Personen Lexikon zum Dritten Reich

    Rickmann, Anahid S.: „Rassenpflege im völkischen Staat“. Vom Verhältnis der Rassenhygiene zur nationalsozialistischen Politik, Bonn 2002.

    Süß, Winfried: Der „Volkskörper“ im Krieg. Gesundheitspolitik, Gesundheitsverhältnisse und Krankenmord im nationalsozialistischen Deutschland 1939 - 1945, München 2009 (=Studien zur Zeitgeschichte, Bd. 65).

    Stigmatisation sociale des consommateurs de drogues
    https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Stigmatisation_sociale_des_consommateurs_de_drogues

    #Allemagne #histoire #nazis #euthanasie #racisme #médecine #iatrocratie #santé #eugénisme #alcoolisme #euthanasie

  • Medizinische Klinik Nummer 42, 1923
    https://books.google.de/books?id=9f8piL-JnHAC&newbks=0&printsec=frontcover&pg=PA1416#v=onepage&


    On nous menace avec la faillite des assurances maladie publiques. Ce n’est pas la première fois.

    21.10.2023 - Die gesetzlichen und privaten Krankenversicherungen sind zahlungsunfähig.

    #Allemagne #histoire #économie #crise ##inflation #médecine #assurance

  • Gunshot wounds in Palestinian children indicate targeted fire
    https://www.volkskrant.nl/kijkverder/v/2025/gunshot-palestine-children-israel-war~v1819649

    findings
    Fifteen international doctors told de Volkskrant that during their work in hospitals in Gaza, they saw children aged 15 years and younger with gunshot wounds to the head or chest. According to the most conservative count, they collectively saw 114 children with such wounds, the majority of whom have died.
    Eyewitnesses told the doctors that the bullets mostly came from Israeli army (IDF) snipers or drones.
    According to former commander of the Dutch land forces Mart de Kruif, the chance that these were accidental hits is negligible, since the doctors describe more than a hundred cases.
    Nine doctors told de Volkskrant that they had seen wounds possibly caused by controversial fragmentation weapons.

    The Israeli army refuses to answer questions about shooting at children and says it neither possesses nor uses fragmentation weapons.
    At the bottom, you can read more about how this article was produced.

    #génocide #infanticide #sionisme #gaza

    • ABOUT THIS STORY

      Over the past months, de Volkskrant spoke extensively with 17 international doctors and a nurse about what they witnessed in Gaza. Where possible, they supported their testimonies with photos, X-rays, medical notes, and excerpts from diaries. The newspaper saw images of dozens of children with gunshot wounds to the head or chest.

      De Volkskrant compiled this photo selection after careful consideration, because the images form an essential part of this investigation. They vividly illustrate the doctors’ testimonies about the patterns of injuries they observed. Where possible, the doctors who took the images consulted with relatives. In some cases, this was not possible, but the doctors shared the images anyway, believing the public interest to be significant: they suspect war crimes. de Volkskrant possesses many more images, but most are considered too graphic for publication.

      The newspaper approached doctors who had previously worked in international crisis zones, allowing them to compare the situation in Gaza with past experiences. They are also the last international eyewitnesses.

      de Volkskrant asked the doctors to count how many children aged 15 and under they saw with a single gunshot wound to the head or chest—an important indication that they were deliberately targeted. Some doctors had notes or photos; others relied on memory. The newspaper used the most conservative count, excluding children about whom the doctors were uncertain. Children who also had gunshot wounds in other body parts were not included, as deliberate targeting is less certain in those cases. This also applies to the two young boys described by orthopedic surgeon Mark Perlmutter, who were shot in both head and chest.

      Some doctors worked at the same hospital simultaneously, so duplicates cannot be entirely ruled out. However, the doctors consider this very unlikely, as they generally did not see the same patients. The number of children with gunshot wounds that a doctor encountered depended heavily on location and timing. For example, American trauma surgeon Feroze Sidhwa saw thirteen children on his first mission, and none on his second, which partly took place during a ceasefire.

      de Volkskrant asked the Israeli army (IDF) about the doctors’ findings. The IDF responded, but questions about deliberately shooting at children were not answered.
      MADE BY

      Text: Maud Effting, Willem Feenstra
      Images: Judith Baas, Rowin Ubink
      Design: Titus Knegtel, Adriaan van der Ploeg
      Graphics: Eleanor Mohren
      Data: Erik Verwiel, Laurie Treffers
      Final editing: Joyce Brekelmans
      Coordination: Corto Blommaert, Anne van Driel, Xander van Uffelen, Monique Wijnans

      #guerre #medecine #iatrocratie #enfants

  • #AMIS

    Vous avez aussi probablement vers chez vous une antenne ligue des droits de l’Homme / association anti répression qui ont des numéros d’avocat : il est recommandé de s’écrire le-dit numéro quelque part (sur le bras par exemple) pour pouvoir l’appeler en cas de garde à vue.

    https://pipou.academy/@darckcrystale/115176601595782106

    #conseils #garde_à_vue #arrestation #avocat #médecin #silence #informer
    #droits #guide #manuel #manifestation #police #défense #résistance #quoi_faire #je_n'ai_rien_à_déclarer #quoi_faire

    • #Conseils_pratiques pour manifester

      Ce document est une compilation d’infos collectées un peu partout sur le Net, suite notamment aux mobilisations de Seattle, Washington, Prague, Nice, Davos, Gènes ...
      Ces infos sont là pour vous aider à vous préparer pour les prochaines mobilisations ...
      L’une des caractéristiques des dernières grosses mobilisations anti-capitalistes a été l’existence de nombreux petits groupes affinitaires, très mobiles. Un certain nombre des conseils ci-dessous concernent ces groupes affinitaires.
      Même si vous décidez de bouger au sein de gros cortèges, il peut être utile de vous coordonner au sein de ces cortèges en petits groupes.
      La plupart de ces conseils paraîtront sans doute évidents, ou paranos, mais bon, mieux vaut essayer de prévoir avant.

      Trousses de secours

      Il est important d’avoir toujours sur soi de quoi soigner de petites blessures, qu’elles soient le fait de la répression policière ou de simples accidents.

      Pensez par exemple à du sérum ou un produit pour les yeux, de quoi faire un pansement d’urgence si vous êtes séparéE de votre secouriste ; une bande, quelques compresses...

      Asthmatiques, pensez à la ventoline,

      Privilégiez les lunettes aux lentilles, ayez si possible 2 paires dont une qui ne craint rien,

      Pour les filles, si vous avez vos règles, privilégiez les serviettes aux tampons, en cas d’arrestation vous risquez de ne pas pouvoir en changer.

      Essayer d’avoir dans chaque groupe quelqu’un ayant des notions de secourisme, et une trousse de secours complète, avec :

      – Des gants stériles,
      – des pansements,
      – des compresses,
      – des bandes stériles,
      – du coton (nez qui saigne...),
      – des antiseptiques,
      – les médicaments classiques contre les maux de tête, les problèmes digestifs...

      Quelques objets à avoir sur vous :
      Prenez autant d’eau que vous pouvez sans vous surcharger. Pour boire bien sûr, mais aussi pour se rincer les yeux en cas d’attaque aux gaz, ou pour nettoyer une plaie. Evitez évidemment les bouteilles en verre.
      De l’argent liquide, ça peut toujours servir. Si vous vous faites arrêter, les flics peuvent vous apporter des sandwichs en vous les faisant payer. Pensez à avoir de la monnaie si vous devez utiliser des toilettes publiques, un distributeur de café ...
      Une carte téléphonique, même si vous avez un portable.
      De quoi écrire : feuilles et stylos peu fragiles, mais aussi marqueurs si vous devez laisser des messages
      Une lampe de poche,
      *des allumettes,
      Pensez a prendre de la nourriture.
      Si les actions durent des heures, il ne faut pas oublier de faire régulièrement des pauses pour grignoter. Ca permet de se calmer et de reprendre des forces. Prenez des choses énergétiques et peu fragiles (chocolat, pâtes de fruit, barres de céréales...) Evitez les fruits qui s’écrasent au fond du sac

      Comment s’habiller ?
      Essayez de vous habiller de la façon la moins voyante possible,
      Pensez à avoir des vêtements chauds,
      Des chaussures confortables pour marcher longtemps, courir... et qui ne prennent pas l’eau,
      Une cape de pluie (ou un sac poubelle) peut être utile,
      Emportez de quoi vous changer, pour plusieurs raisons :
      – si vous avez été repéréE en train de faire des choses que la loi réprouve,
      – ça peut vous éviter de vous faire interpeller,
      – des vêtements empestant les lacrymos ou pleins de boue peuvent vous dénoncer aux flics ?
      – si les flics utilisent des canons à eau, prévoir des vêtements imperméables, ou de quoi se changer.
      Les affaires de rechange seront utilement emballées dans des sacs plastiques pour les protéger des intempéries...
      des sacs plastiques (ça peut toujours servir).

      Concernant les informations juridiques, avoir un nom d’avocat suffit en théorie. Pas besoin d’avoir son numéro. Pas besoin non plus d’avoir sur soi son guide du manifestant interpellé :
      Il est préférable de l’avoir lu et de le connaître avant, même si les commissariats sont généralement des zones où le droit des manuels ne s’applique pas.

      Comment se protéger ?
      A chacunE de déterminer s’il/elle se donne les moyens de se protéger, au risque de passer pour unE affreux/euse casseur/euse, ou s’il/elle préfère se faire passer pour unE innocentE passantE embarquéE bien malgré lui/elle dans cette histoire. Ceux qui décident de se protéger pourront recourir aux méthodes classiques :
      Lunettes de plongée pour les yeux,
      Prévoir plusieurs foulards, keffieh...
      Les garçons pourront avoir intérêt à avoir une coquille,
      Pour les bras et les jambes, des protèges-tibias classiques, ou la méthode italienne, à base de blocs de mousse renforces de bouts de bois.
      N’oubliez pas les gants
      Pensez aussi à quelque chose pour vous couvrir la tête, toujours utile contre les retombées de grenades lacrymos
      Il ne s’agit pas de se transformer en guerrier urbain, mais l’expérience prouve que quelque soit le type d’action menée, qu’elle soit violente ou non, la riposte policière est toujours brutale.

      Pour éviter les ennuis :
      N’oubliez pas vos papiers d’identité
      Du papier toilette, ça peut toujours servir
      Si vous avez un portable, pensez a le recharger avant de partir et emportez si possible une batterie de rechange ou des piles.
      Si vous n’avez aucun endroit sûr où laisser vos affaires (si vous êtes hébergés dans un squat que les flics risquent d’évacuer par exemple. A Prague, les flics ont confisqué des sacs au camping pendant que les propriétaire n’étaient pas là), il peut être utile de n’emporter que le minimum d’affaire et d’avoir toujours son sac avec soi.

      Communiquer ?
      Pour pouvoir bouger efficacement, il est essentiel d’avoir de bonnes infos, et pour cela nous ne pouvons compter que sur nous. L’exemple de Prague où d’innombrables fausses informations (intentionnelles ou non ont circulées nous le prouve. Il faut donc avoir des moyens de communication et des contacts fiables. Le moyen de communication de base est bien évidemment le portable. Mais il ne faut pas oublier le rôle des messagers. Si ceux-ci peuvent disposer de moyens de déplacement rapides (rollers, trottinette, vélo...), c’est encore mieux. Il faut avoir des contacts fiables dans les groupes d’activistes, mais aussi dans les endroits « stratégiques » (centres de convergence, points infos...) et quelques personnes « à l’arrière » chargées de collecter et de retransmettre les infos. Même s’il ne se passe rien, que chaque groupe informe régulièrement les collecteurs, afin que chacunE puisse avoir en permanence une vision claire de la situation, et se déterminer en fonction.
      N’oubliez pas que toute communication est interceptable.
      Il peut être utile de prévoir un code.

      http://1libertaire.free.fr/manif1.html

    • Pratique sur l’équipement du bon petit manifestant

      Considérant l’engouement pour les manifestations qui se profilent dans les jours / semaines à venir, je me permets aujourd’hui de partager quelques conseils pratiques pour celles et ceux qui seraient amenés à prendre place dans un cortège pour la première fois. C’est une expérience très enrichissante, mais comme tout, ne doit pas forcément se prendre à la légère.

      Ces conseils sont tirés à la fois de mon expérience acquise suite aux manifestations auxquelles j’ai pris part (les premières remontant à l’époque du lycée vers 2010, les dernières étant les grosses manifs gilets jaunes au début du mouvement), mais aussi de bon sens basique.

      La tenue :

      Prévoyez un tenue adaptée à la météo du jour, avec de bonnes chaussures. Une manifestation, par définition, consiste à marcher dehors. Vous n’irez pas faire un trek l’été en tong avec une doudoune, adaptez donc votre tenue aux conditions météo locales. Ne vous couvrez pas trop cependant, marcher entretient la chaleur du corps, il faut trouver votre équilibre. Preférez des chaussures imperméables.

      Prenez des vêtements auxquels vous ne tenez pas. Il se peut que vous vous retrouviez avec des vêtements abimés, ce qui serait dommage s’il s’agit de vêtements chers, mais aussi l’odeur de la lacrymo est très persistante et fort désagréable.

      S’il y a un risque de pluie, prenez un K-Way ou tout autre sur-vêtement imperméabilisé. Être trempé jusqu’aux os dehors en plein hiver vous coupe l’envie de revendiquer quoique ce soit. Si vous n’en avez pas, un sac poubelle fera l’affaire. C’est l’accessoire du pauvre, mais je préfère ça qu’être trempé jusqu’au slip.

      Un vêtement capable de couvrir les voies respiratoires est un plus. Si jamais ça devient trop chaud, les forces de l’ordre ne tarderont pas à employer le gaz lacrymo. Ce truc est un enfer, autant pour les yeux que pour les poumons et la gorge. On y reviendra plus loin, mais si vous devez passer par une zone même faiblement gazée, vous devrez pouvoir vous couvrir les voies respiratoires.

      Ne vous vêtissez pas d’une tenue trop voyante. En cas d’altercations, vous serez bien plus facilement identifiable. Bien que vous n’ayez rien fait, vous serez une cible « de choix » pour les forces de l’ordre, qui auront moins de mal à désigner « le gars avec une perruque vert fluo » que « le type avec son jean bleu ». Passer une nuit au poste, voire même seulement quelques heures, ne m’attire pas du tout.

      Le sac à dos :

      Accessoire indispensable, vous devez y mettre :

      – de l’eau - c’est l’élément vital. Si vous vous trouvez loin de chez vous, sans réel point d’eau, ça va être compliqué de tenir dans la durée. Eventuellement demandez à des voisins de cortège, voire des bars ouverts sur le chemin planifié, mais par confort emportez votre eau. Je suggère 1,5L d’eau par demi-journée, pour une journée complète de marche et de chant ça fait 3L, ça reste peu mais ça limite le poids dans le sac.

      – de la nourriture - même principe que pour l’eau, même si l’eau reste prioritaire. Tenir toute une journée avec le ventre vide est une mauvaise idée, vous devez vous ressourcer. Si votre cortège organise les fameux « barbec CGT » pas de soucis, dans le cas contraire soyez autonomes. Une barre de céréales, un truc chocolaté ou sucré, un double-sandwich pour le midi suffisent, pas besoin d’emporter sur le dos un service raclette pour 10 personnes

      – vos papiers / de l’argent - en cas de contrôle, vous devez justifier de votre identité. Mais en cas de chahut, ça peut vite partir en vrille. Ce que je suggère, c’est de laisser votre porte-feuille / sac à main à la maison, et de prendre dans une petite poche plastique hermétique votre carte d’identité ou votre permis de conduire, votre carte vitale et de 20 à 30€ en espèces. Ainsi, aucun risque de perdre la totalité de votre portefeuille et de se retrouver avec les emmerdes qui vont avec. L’argent en espèces ça permet d’acheter n’importe quoi en cas de besoin, on sait jamais. Et la CI et la carte vitale, c’est en cas de contrôle ou en cas de pépin physique qui nécessiterait qu’on vous emmène aux urgences (on ne m’a jamais confirmé la carte vitale mais par prudence j’ai toujours préféré la prendre). Et le tout dans un sac hermétique, ainsi ça évite que la pluie ou l’eau des canons à eau ne vienne imbiber le tout.

      – (dans les grands cortèges) de quoi prodiguer les premiers soins à l’arrache - pansements, collyres majoritairement. En cas de petite blessure non grave ou de contact des yeux avec du gaz lacrymo, ces deux petits machins valent très cher dans un cortège. Le gaz lacrymo est persistant sur vos yeux, et les frotter n’est absolument pas efficace pour s’en débarrasser : seules des larmes artificielles pourront vous nettoyer les yeux.

      – s’il vous reste de la place, un tee-shirt et un pull de rechange (dans un sac hermétique). Si l’eau s’est infiltrée sous vos vêtements, ce sera une bénédiction de pouvoir se changer mi-parcours. Sinon plus de nourriture et d’eau. Rappelez-vous cependant que le sac doit pouvoir être assez léger pour le supporter toute la journée, et si besoin, ne doit pas diminuer votre capacité à courir.

      Le comportement :

      Suivez le mouvement, suivez le mouvement, suivez le mouvement. Les organisateurs de la grève ont prédéfini un parcours, les forces de l’ordre quadrillent le parcours, et si tout le monde joue le jeu tout ira pour le mieux. Globalement en tête de cortège se trouveront les organisations syndicales, ils ont des membres qui connaissent la route. En cas d’hésitation, suivez-les. Même si pour une raison inconnue le cortège se coupe en deux, suivez les syndicats. Et si la foule est trop nombreuse, et que vous n’avez pas en vue les organisateurs, demandez aux forces de l’ordre quelle est la voie à suivre.

      Il se peut que des brigades de FDO pratiquent des contrôles à l’entrée. Dans ce cas, vous ne pourrez rejoindre le cortège que par des points précis, et vous serez alors soumis à un contrôle. Le moindre objet sur vous qui peut générer de la casse sera interdit et vous n’aurez alors pas l’accès au cortège. Ils interdissent toutes les armes évidemment, mais également des casques de scooter. Tout objet « exotique » pourra être considéré comme suspect, par exemple un gars en possession de lunettes de plongée devant moi s’est vu interdire l’accès (ce sont les meilleures protections oculaires contre le gaz lacrymo, d’où l’interdiction).

      En cas de mouvement de foule, ne paniquez pas. Si ça court, il y a peut-être une raison, mais il n’y en pas très certainement pas. Les FDO, quoiqu’on en dise, protègent le cortège de tout incident (terrorisme, dégénéré en voiture, etc). Je ne les porte pas du tout dans mon cœur, mais n’ai jamais eu à déplorer d’incident de ce type lors de mes manifs, donc logiquement tout se passera bien de ce côté-là.

      En cas de contact avec du gaz lacrymo, couvrez-vous les voies respiratoires et essayez de fermer au maximum les yeux. Ne les fermez pas complètement, vous pourriez dans votre fuite percuter un élément présent sur le trottoir et tomber inconscient, avec tous les risques que ça entraîne derrière. Rappelez-vous, le gaz est très opaque, et pris dans un gros nuage il est difficile de voir à travers. De manière générale, tomber au sol dans un cortège est une très mauvaise situation, d’autant plus si ça court autour de vous. Aussi douloureux que soit le contact avec le gaz lacrymo, vous devez vous en sortir au plus vite.

      Rien n’annonce l’arrivée du gaz lacrymo à part le bruit spécifique que font les projectiles lorsqu’ils se dispersent de leur support. C’est un « Poc » très caractéristique. Sitôt que vous l’entendez, vous avez environ 5s pour trouver où ça va se déclencher et en partir au plus vite. Repérer le sens du vent est un très bon atout pour se prémunir des fumées.

      Quoiqu’il se passe, ne vous approchez pas des projectiles tombés au sol. Dans la panique vous ne saurez identifier s’il s’agit d’une grenade explosive ou d’un palet lacrymo. Ne perdez une main inutilement, éloignez-vous.

      Il se peut qu’il y ait des « médecins » dans le cortège. Chaque fois que j’en ai vu, c’était lors de manifs dans de grandes villes. Il s’agissait d’étudiants et internes dans un domaine médical, portaient des blouses blanches avec des + rouges coloriés dessus, et distribuaient des pansements, larmes, de l’eau, tout pour vous permettre de ne plus souffrir du gaz lacrymo. Si vous êtes confrontés à du gaz lacrymo mais n’avez rien pour en débarrasser, allez voir ces personnes.

      Ne cassez rien, ne dégradez rien, n’attaquez personne. Aussi chauds que peuvent être certains cortèges, aussi remontés suite à des provocations ou des actes illégaux de certains FDO, ne réagissez pas à chaud. Si ça arrive autour de vous, allez-vous en vite (sans courir), ou si c’est impossible, trouvez un abri. Vous ne voulez pas être celui qui prend le LBD dans la tronche ? Ne soyez pas là où les troubles se produisent.

      Vous vous trouverez dans un cortège dans lequel se trouveront de nombreuses autres personnes. L’effet de groupe est incroyable, et peut vous transcender dans votre lutte, mais gardez toujours un œil extérieur sur d’une ce qu’il se passe, et deux, ce que VOUS faites. Ce n’est pas parce que votre camarade de cortège, avec qui vous chantez et insultez Elisabeth Borne depuis 8h ce matin veut soudainement mettre le feu à un buisson que vous devez lui dire oui ou même ne rien dire. Limitez vos comportements néfastes, mais essayez dans la mesure du possible de restreindre ceux des autres. Vous n’aurez hélas que très peu d’emprise sur simplement 2 gars un peu trop chauds, alors jaugez pour EN PRIORITE ne pas mettre votre vie ou votre santé en danger.

      Si vous venez avec des amis ou votre conjoint, il est de bon ton de rester proches les uns des autres. Cependant, en cas de débordements, acceptez le fait d’être séparés d’eux. Vous les retrouverez quoiqu’il arrive le soir, alors il est déconseillé de se mettre en danger juste pour le principe d’être avec eux. Tout le monde a son portable sur soi, vous allez bien vous retrouver à l’appart autour d’un petit apéro après la bonne douche.

      Concernant le portable d’ailleurs, je vous suggère d’avoir rechargé votre batterie à 100% avant de démarrer la journée.

      Voilà c’est à peu près tout ce que j’avais à dire pour des manifestants débutants et pacifistes. J’ai volontairement omis les « techniques de combat » face aux FDO et autres moyens de tricher avec les règles mises en place.

      A ceux que j’aurais pu effrayer, dites-vous que les 3/4 des conseils ne sont pas applicables aux petites manifestations. Cependant par soucis de faire bien, j’ai listé tout ce que j’avais en tête.

      Aussi, je ne suis pas un « manifestant pro échelon 4 », d’autres conseils pourraient être bien meilleurs que les miens. Alors camarades de précédents cortèges, corrigez ou complétez moi. Ce qui importe le plus, c’est votre sécurité (et que la réforme ne passe pas).

      https://www.reddit.com/r/france/comments/10e9rfr/pratique_sur_l%C3%A9quipement_du_bon_petit_manifestant

    • Pour partir en manifestation sereinement, quelques bons conseils à réfléchir en amont

      AVANT LA MANIF’

      – Organise-toi avec d’autres personnes pour ne pas aller seul·e à la manifestation. Le mieux est de se regrouper suivant les envies, les peurs, les risques que l’on accepte de prendre. C’est bien d’aborder concrètement ses points avec les personnes qui vont t’accompagner pour éviter les malaises et les situations inconfortables.
      - Tchecke ton téléphone : c’est une bonne source d’information pour la police si tu te fais arrêté·e. Assure-toi que tu as un bon code pin (évite 1234 et 1312, régulièrement essayés par les flics), efface tes messages et tes conversations [1]. Demande-toi si tu en as besoin, ou si c’est plus simple de le laisser chez toi [2].
      - Prépare de quoi te protéger des armes de la police : Masque ou lunette de ski contre les Balles de Défense, masque à gaz contre les lacrymos, protections de toutes sortes (protèges-tibia, casque,…).
      - Habille-toi de façon adaptée : mets de bonnes chaussures et des vêtements pas trop amples. Un foulard peut aussi être utile. C’est mieux de s’attacher les cheveux, et de laisser les boucles d’oreilles et les piercings à la maison.
      – Prépare de quoi te soigner ou soigner d’autres personnes. Contre les gaz : sérum physiologique, bouteille de maalox ou de xolaam (un médicament pour le ventre que tu trouves en pharmacie, et qu’il faut dilluer dans l’eau). C’est bien d’avoir quelques matériels de premiers soins pour les autres types de blessures : bandages, compresses,… et pourquoi pas une trousse de secours plus complète, avec des gants stériles, des pansements, des compresses, des bandes stériles, du coton, des antiseptiques et les médicaments classiques contre les maux de tête, les problèmes digestifs…
      - Vérifie tes poches et ton sac à dos : n’emmène rien qui soit inutile (que tu pourrais perdre, ou que les flics pourraient te prendre). Vérifie que tu n’as pas de couteaux ou de drogues (qui sont des bons prétextes d’arrestation pour les flics. À l’inverse, il est toujours bien d’avoir une ou deux bouteilles d’eau, de quoi grignoter, et un peu d’argent liquide.
      - Renseigne-toi sur les contrôles et les fouilles. Les sites d’information alternative donnent parfois ce genre d’information. Demande-toi si tu prends tes papiers d’identité.
      - Apprend ou note le numéro du collectif anti-rep local [3].
      - Cherche le nom d’un·e avocat·e qui te convienne. Dans de nombreuses villes, les collectifs anti-rep conseillent des avocat·es disponibles les jours de manifestation.
      - Prépare tes garanties de représentation. Même si le risque de se faire arrêter reste faible, quelques bons réflexes peuvent changer la donne en cas d’arrestation et de poursuites. Les « garanties de représentation » sont des papiers que ta ou ton avocat·e présentera au juge dans le cas où le procureur a demandé que tu passes en procès immédiatement à la sortie d’une garde-à-vue et que tu demandes un délai pour te préparer [4]. Il s’agit de documents administratifs de base, qui atteste de ta situation, et qui pourront convaincre le juge que tu ne vas pas t’enfuir avant ton procès. Tu peux produire les pièces que tu veux, dont les principales sont : carte d’identité, attestation de logement (bail, quittance de loyer, facture), situation professionnelle (contrat, dernière feuille de paie, promesse d’embauche rapide, certificat de scolarité), situation familliale (livret de famille, certificat de naissance).
      - Parle avec tes proches de ce qu’ils ou elles doivent faire si tu te faisais arrêter : qui doivent-ils prévenir, où peuvent-ils trouver tes garanties de représentation, quel·le avocat·e est-ce que tu vas demander, est-ce que tu souhaiterais une forme de soutien extérieure,…
      – Tu peux imprimer les tracts des collectifs anti-rep locaux [5] et les distribuer autour de toi.

      EN MANIF

      - Ne reste jamais seul·e, n’hésite pas à proposer clairement à une ou plusieurs personnes de rester avec toi.
      - Pense aux yeux qui te regardent : très souvent en manifestation, on est regardé soit par des policiers soit par des caméras. Parmi les flics qui encadrent les manifestations, certains sont en civil, infiltrés dans le cortège. On peut les identifier facilement quand on observe attentivement. Il y a aussi toute une panoplie de caméras dans les centre-ville (dont tu peux trouver des cartographies participatives en ligne). Pense aussi aux caméras privées, aux téléphones, aux go-pro… Tu peux te masquer ou te déguiser si tu ne veux pas êtres sur ces images.
      – Reste en cortège dense. Les flics ont beaucoup plus de difficultés à arrêter des personnes quand elles se trouvent au sein d’un cortège dense, au milieu de manifestant·es qui font attention les un·es aux autres. L’attention et la solidarité au sein d’une manifestation sont primordiales. N’hésite pas à alarmer les autres ou à intervenir quand tu es témoin d’une arrestation.
      - Ne bois pas (ou pas trop…) : l’alcool nous rend souvent moins doué·es en élaboration collective et en évaluation des risques ! Il donne un bon prétexte aux flics pour t’arrêter, et il favorise la déshydratation et le risque d’hémorragie en cas de blessure.
      – Fais attention aux armes de la police :
      > Les lacrymogènes sont envoyées généralement en cloche. On les voit arriver si on est attenti·ve, on peut les éviter facilement en se déplaçant et en observant le sens du vent. Les effets peuvent être assez violents (difficulté à respirer et à ouvrir les yeux), il faut rester calme, respirer doucement, s’éloigner et se soigner. Les effets ne durent pas très longtemps.
      > Les gazeuses à main sont utilisées dans les contacts rapprochés. À bout portant, les effets dans les yeux peuvent être très handicapant pendant quelques heures.
      > Les Lanceurs de Balle de Défense – qu’on continue souvent à appeler « flashball » – envoie des balles en caoutchouc. Suivant la distance à laquelle on se trouve, et la partie du corps atteinte, les balles peuvent faire de graves blessures. Vous pouvez essayer de repérer parmi les flics où est le lanceur, pour anticiper les tirs.
      > Les grenades : il y en a de différentes sortes, dans tous les cas il ne faut absolument jamais essayer de les ramasser ou de les renvoyer. Éloigne-toi si tu les vois arriver.
      - Soigne-toi et soigne les autres.
      > Les effets des gaz lacrymogènes se soignent avec du sérum physiologique et du maalox (voir plus haut). Tu peux aussi imbiber à l’avance une écharpe de jus de citron.
      > Les effets des gazeuses à main se soignent avec des lingettes. Il faut s’essuyer plutôt que de mettre de l’eau.
      > Pour les blessures plus grave, n’hésite pas à te tourner vers les street medic (des personnes qui proposent de soigner les blessé·es, elles ont souvent des signes distinctifs, et du matériel de soin approprié).
      – Fais attention en quittant la manif’ : le mieux est de partir par deux ou trois. Il faut éviter d’être seul·e, mais ce n’est pas très malin non plus de partir à trop nombreu·ses, pour ne pas attirer l’attention des flics. Lorsque tu portes des vêtements qui t’identifient facilement, change-toi ou jette tes vêtements si tu penses que les flics te cherchent.

      EN CAS D’ARRESTATION

      Voici quelques bases, mais le mieux est de lire les conseils pratiques « Vous risquez d’aller en gav« .

      – NE DÉCLARE RIEN : avouer ne pourra jamais t’aider, même si les flics te disent le contraire (ils ont absolument besoin de tes aveux pour pouvoir te poursuivre, sans eux ton dossier a de grandes chances d’être vide !).
      – Demande TOUJOURS un·e avocat·e, même quand tu penses que ce qui t’est reproché n’est pas grave. C’est vraiment important pour la suite de ton aventure.
      - Refuse la comparution immédiate (c’est un procès qu’on te propose à la sortie de ta garde-à-vue) : demande un délai pour préparer correctement ton procès. C’est très important. Les procès immédiats sont bien plus sévères.
      - Tu peux choisir de refuser de donner tes empreintes et ton ADN. Et oui, la signalétique, c’est pas automatique ! Tu auras sûrement des poursuites, mais le jeu en vaut parfois la chandelle.
      - Exerce ton droit au silence si on te demande ton code pin. Les flics veulent lire ton téléphone pour t’incriminer ou incriminer d’autres personnes. Ne les aide pas !

      N’hésite pas à poser des questions au collectif anti-rep de ta ville.

      –—

      [1] Tu peux aussi utiliser des messageries qui cryptent les échanges et qui peuvent effacer automatiquement les messages, comme Signal.

      [2] À ce propos, tu peux lire l’article « Ne jamais éteindre son téléphone : une nouvelle approche à la culture de la sécurité«  : https://iaata.info/Ne-jamais-eteindre-son-telephone-une-nouvelle-approche-a-la-culture-de-la-29

      [3] Tu peux trouver certains de leur contact sur la page d’accueil du site.

      [4] Ce procès s’appelle une comparution immédiate.

      [5] Tu peux en trouver certains sur les pages du site de chaque collectif.

      https://rajcollective.noblogs.org/conseils-pratiques/vous-allez-manifester

  • Das Dogma der biologischen Psychiatrie in historischer Perspektive
    Stephan Schleim
    https://overton-magazin.de/top-story/das-dogma-der-biologischen-psychiatrie-in-historischer-perspektive

    7.9.2025 von Stephan Schleim

    Bild: heute.at/CC BY-4.0

    Man kann die Störungsbilder einfach nicht im Gehirn nachweisen. Welche Schlüsse zieht man daraus?

    Im ersten Teil ging es um eine neue Studie, die die Auswirkungen von Psychotherapie im Gehirn nachgewiesen haben will. Wie ich ausführte, ist das weder neu noch überraschend. Die Darstellung der Studienergebnisse erwies sich außerdem als problematisch, vor allem wegen der fehlenden Kontrollgruppe.

    Die Versuche der biologischen Psychiatrie, ihre Hunderten Störungsbilder wie Depressionen oder Angst- und Aufmerksamkeitsstörungen im Gehirn nachzuweisen, scheitern immer wieder. Trotzdem fordern diese Forscher*innen seit Jahrzehnten immer mehr Geld. Und sie kriegen es in der Regel auch. Für andere Forschungsbereiche, die klinische Praxis und damit das Wohl der Patient*innen hat das verheerende Auswirkungen.

    Ökonomisch nennt man das „Opportunitätskosten“. Was verliert man dadurch, dass ein Forschungszweig so dominiert?
    Opportunitätskosten

    Die Mittelverteilung ist nicht so unschuldig, wie es auf den ersten Blick scheinen mag. Und es ist mitnichten ein rein wissenschaftlicher Streit. Wie eine Reihe amerikanischer und britischer Psychiater vor ein paar Jahren schon einmal anmerkte, kann man jeden Euro beziehungsweise jedes Pfund oder jeden Dollar ja nur einmal ausgeben. Durch die starke Dominanz der Neuro-Forschung fehle es an Projekten zur Prävention psychologisch-psychiatrischer Probleme, zur Unterstützung von Familien, die es schwer haben, und zur Verhinderung von Suiziden.

    Doch die Situation im Jahr 2025 ist, dass die Forschungsmilliarden weltweit – hier am Beispiel der größten psychiatrischen Forschungseinrichtung aufgezeigt, dem National Institute of Mental Health (NIMH) in den USA – immer noch vor allem in die Suche nach den neuronalen Ursachen fließen. Laut den gängigsten offiziellen Kriterien gibt es 227 gültige Symptomkombinationen für Depressionen, bei der Aufmerksamkeitsstörung ADHS sind es sogar 116.220. Dieser von führenden Fachleuten am Konferenztisch festgelegten Komplexität und Vagheit kann man mit neurowissenschaftlicher Forschung nicht Herr werden.

    In meinem Buch Die Neurogesellschaft von 2011 entlarvte ich einige Neuromythen. Ironischerweise rezensierte es der führende europäische Neuropsychologe in der Zeitschrift für Neuropsychologie sehr wohlwollend. Ein anderer Institutsdirektor schrieb mir, er stimme mir zwar weitgehend zu, doch er würde das Buch seinen Mitarbeiter*innen nicht empfehlen. Sonst müsste er nämlich fürchten, dass sie mit der Arbeit aufhören. Dabei wäre genau das die beste Schlussfolgerung gewesen.

    2021 formulierte ich den Aufruf, das medizinische Modell in der Psychiatrie endlich aufzugeben. Damit hätte man viele Forschungsmilliarden sparen und nicht nur in Prävention, sondern auch die bessere Ausbildung klinischer Psychologen und Psychiater investieren können. Wer meine Kritik für übertrieben hält, dem sei mit einem Zitat von Thomas Insel geantwortet. Er war von 2002 bis 2015 Direktor des NIMH und entschied jedes Jahr über ein Milliardenbudget. Gegenüber Wired erklärte er, der „Star-Neurowissenschaftler“, erstaunlicherweise:

    „Ich habe 13 Jahre am NIMH verbracht und mich dort intensiv mit der Erforschung der Neurowissenschaften und Genetik psychischer Störungen beschäftigt. Wenn ich zurückblicke, wird mir klar, dass es mir zwar gelungen ist, eine Menge wirklich toller Artikel von tollen Wissenschaftlern [im Original: lots of really cool papers published by cool scientists] zu veröffentlichen, und das zu einem ziemlich hohen Preis – ich glaube, 20 Milliarden Dollar. Aber ich glaube nicht, dass wir etwas dazu beigetragen haben, die Suizidrate zu senken, die Krankenhausaufenthalte zu reduzieren und die Genesung von zig Millionen Menschen mit psychischen Erkrankungen zu verbessern.“ (Thomas Insel in Wired, 2017; dt. Übers.)
    Historisch

    Wie „coole Forschung cooler Leute“ zur dominanten Strömung in der Psychiatrie werden konnte, verdeutlicht ein kurzer historischer Überblick. Wer es genauer lesen will, kann in Perspektiven aus der Depressions-Epidemie weiterlesen.

    Im 19. Jahrhundert kam es zu großen Umbrüchen in der Medizin. Inspiriert durch naturwissenschaftliche Fortschritte – verbunden mit heute noch bekannten Namen wie Rudolf Virchow (1821-1902), Robert Koch (1843-1910) und Paul Ehrlich (1854-1915) – entdeckte man immer mehr Bakterien, Viren und organische Abweichungen als Krankheitsherde. Psychiatrie und Psychotherapie im heutigen Sinne kannte man noch nicht. Für die Armen gab es Seelsorge oder Gefängnisse. Die Wohlhabenden kamen in Sanatorien. Wer es sich wirklich leisten konnte, mietete sich einen Leibarzt als Reisebegleitung, um einmal andere Luft zu schnuppern und auf andere Gedanken zu kommen.

    In den Großstädten war auch das Elend der Armen groß. Schließlich nahm man sie – vor allem Alte, Bettler, Demente, Epileptiker und Prostituierte, die keinen anderen Ort hatten – in Krankenhäusern auf. Beispiele sind die Salpêtrière in Paris, die 1795 vom Psychiatrie-Reformer Philippe Pinel (1745-1826) übernommen wurde; später sollte der junge Sigmund Freud (1856-1939) hier studieren und in die Hypnose eingeweiht werden. Oder das heute noch existierende Bethlem-Krankenhaus in London, wo der Arzt und Apotheker John Haslam (1764-1844) um 1800 schon in den Gehirnen verstorbener Patient*innen nach dem Sitz von Depressionen suchte – und sogar glaubte, sie gefunden zu haben!

    Um nicht nur als Seelsorger oder „Irrenärzte“, sondern als echte Mediziner wahrgenommen zu werden, brauchte die Psychiatrie eine organische Ursache der „Geisteskrankheiten“. Passenderweise entwickelte der Arzt und Anatom Franz Joseph Gall (1758-1828) damals die Phrenologie. Zwar sah man in der Ärzteschaft die spätere Popularisierung durch Galls Assistenten, Johann Gaspar Spurzheim (1776-1832), und andere kritisch. Doch die Ansicht, dass „Geisteskrankheiten“ Gehirnkrankheiten sein mussten, passte in den Zeitgeist. Sie löste das peinliche Dilemma, kein Organ zu haben, auf das man zeigen konnte.

    Abbildung 3: Der Gedanke der funktionellen Spezialisierung des Gehirns, links von den Phrenologen Gall und Spurzheim auf einer anatomischen Zeichnung von 1810 angedeutet, inspirierte Psychiatrie und Psychologie bis heute. Die spätere Popularisierung, Persönlichkeitseigenschaften an der Kopfform erkennen zu können, hier aus einem Buch aus dem Jahr 1859, brachte die Phrenologie aber nachhaltig in Verruf .

    Die Hypothese der Gehirnstörungen wurde im Laufe des 19. Jahrhunderts schließlich zum Dogma. Wie dieses bis heute wirkt, sah man auch an der Aussage Ronny Redlichs im ersten Teil, mit seiner – bei näherer Betrachtung doch eher bescheidenen – Studie die Gleichwertigkeit von Psychotherapie „naturwissenschaftlich-medizinisch“ gezeigt zu haben. Gleichwertig womit eigentlich? Er meinte Psychopharmaka.

    Das ist ein interessantes Beispiel, da diese laut neuer epidemiologischer Studien bei Depressionen kaum besser als Placebo wirken. Der vielleicht irgendwie noch optimistische Fund, dass sie wenigstens 15 Prozent der Betroffenen helfen, doch dann intensiv, wurde gerade mit einer brandneuen Studie weiter relativiert: Wenn man das nicht nur, finanziert durch die Pharmaindustrie, in sorgfältig ausgewählten Patientengruppen erforscht, sondern in repräsentativen Gruppen, wie sie wirklich in den Praxen und Kliniken zu finden sind, dann ist die Wirksamkeit noch geringer.
    Kaputte Gehirne

    Dass Menschen mit psychologisch-psychiatrischen Problemen fürchten, nicht ernst genommen zu werden, ist bekannt. Doch dass auch die Fachleute immer noch am gut 200 Jahre alten Dogma festhalten, sogar den genetischen Konsens seit den 1970er-Jahren beharrlich ignorieren und stattdessen jetzt „verborgener Erblichkeit“ nachjagen, ist erstaunlich. Das ist die „dunkle Energie“ der Psychiatrie, wobei man der Physik vielleicht noch eher nachsieht, zur Aufrechterhaltung des sonst sehr gut funktionierenden Standardmodells unbeobachtete Entitäten anzunehmen.

    Die heute anhaltende Welle der biologischen Psychiatrie kam in den 1980ern auf. Damals begann die Zeit von „Neuro“ und „Gen“. Thomas Insels Vor-vor-vor-vor-Vorgänger als Direktor am NIMH, Alan Leshner, erklärte vielleicht im Altersleichtsinn, wie das funktionierte: „Experten für psychische Gesundheit begannen, Schizophrenie als ‚Gehirnkrankheit‘ zu bezeichnen und Kongressabgeordneten Gehirnscans zu zeigen, um sie zu mehr Forschungsgeldern zu bewegen. Es funktionierte wirklich“ (zit. n. Satel & Lilienfeld, 2014, S. 4; dt. Übers.).

    Leshner war von 1990 bis 1992, also gerade am Anfang der „Dekade des Gehirns“, kommissarisch im Amt – ausnahmsweise als Neuropsychologe, nicht als biologischer Psychiater. Heute, 30 Jahre später, wollen Psychiater die Diagnose „Schizophrenie“ übrigens aufgeben, unter anderem weil sie bei Patienten mehr Leid verursachen kann als dass sie hilft.

    Leshner wurde für seinen Einsatz für die Psychiatrie dadurch belohnt, dass er zum ersten Direktor des neu gegründeten National Institute on Drug Abuse (NIDA) ernannt wurde. Eine seiner wesentlichen Leistungen bestand darin, Sucht als Gehirnkrankheit darzustellen. Wenn es schon zur Zeit der Phrenologen funktionierte, warum dann nicht auch Ende der 1990er? Gut 25 Jahre später haben die USA ein ungekanntes Suchtproblem mit vielen Toten und noch mehr Elend.

    Aber für die Forscher*innen ging die Rechnung auf: Sie hatten, mit Thomas Insel gesprochen, satte Chancen für „coole Karrieren mit coolen Papers“. An Forschungsmilliarden bestand kein Mangel. Ein von mir sehr geschätzter Neuropsychiater sagte es einmal im Interview: „Auf wissenschaftlichen Kongressen kommen Sie mit sozialpsychiatrischen Vorträgen in unserer Zeit nicht so gut an. Und die Leute wollen eben auch Karriere machen.“ Ja, so ist das.
    Gegenwart

    Was nahe am Menschen wäre, ist in der Forschung, die zwanghaft „medizinisch-naturwissenschaftlich“ sein will, doch in Wirklichkeit vor allem Ideologie ist, kaum angesehen. Man könnte über den Coup lächeln, wenn nicht so viel auf dem Spiel stünde: Die zum Beispiel von Leshner und vielen anderen versprochenen Medikamente gegen Sucht sind größtenteils ein Traum geblieben, während heute viele Millionen Menschen einen süchtigen Albtraum erleben.

    Die 2004 im „Manifest führender Hirnforscher“ versprochenen besseren Therapien gibt es immer noch nicht. Auch alle von Thomas Insel 2010 für das Jahr 2020 versprochenen Fortschritte der biologischen Psychiatrie – darunter diagnostische Biomarker, bessere Therapien und sogar Impfungen gegen psychologisch-psychiatrische Störungen – fehlen bis heute. Eine Dekade, nachdem er seinen milliardenschweren Direktorenstuhl am NIMH räumte, erklärte Insel die Sache mit den „kaputten Gehirnschaltkreisen“ als Metapher. Man wisse noch gar nicht genug übers Gehirn. Ach so.

    Mit Leshner könnte man sagen: „Es funktionierte wirklich.“ In seinem neuen Buch Healing: Our Path from Mental Illness to Mental Health erklärte Insel, zur Lösung der Krise der psychischen Gesundheit müsse man vielleicht doch sozial-institutionelle Probleme lösen. Ach so. Darauf hat die biologische Psychiatrie, die vor allem Moleküle herumschubsen will, keine Antwort.
    Hypes

    Als ich in dem Fachgebiet promovierte, war gerade die „Personalisierte Medizin“ in. Im biomedizinischen Paradigma war das aber nur eine Chiffre für noch mehr Gerätemedizin. Weil das den Patient*innen nicht half, dachte man sich als nächstes die „Translationale Medizin“ aus: Als ob medizinische Forschung nicht immer praktisch, anwendungsnah und im Interesse der Betroffenen sein müsste. Den neuesten Hype nennen sie jetzt „Präzisionsmedizin“.

    Dem Anspruch, Vorläufiges immer als großen Durchbruch verkaufen zu müssen, mochte ich nicht gerecht werden. Darum hörte ich 2010 mit dieser Forschung auf. Seitdem wunderte ich mich mehr als einmal über Forscherpersönlichkeiten mit tollen Karrieren, die im persönlichen Gespräch alle Kritik einräumten – um dann in Forschungsanträgen, öffentlichen Vorträgen oder im Interview den Medien etwas ganz anderes zu erzählen. Ist das nur Zweckoptimismus oder schon eine psychologisch-psychiatrische Störung, Stichwort „Realitätsverlust“?

    Für die im ersten Teil kritisierte Publikation unter Leitung von Ronny Redlich in der Fachzeitschrift Translational Psychiatry flossen laut der Preisordnung 4000 Euro an Publikationskosten an den Verlag. Für eine Veröffentlichung meiner Kritik müsste ich 1300 Euro bezahlen. Dann wird es halt wieder nur ein Blogbeitrag. Dass den Hilfesuchenden mit dem Aufspüren neuronaler Abdrücke psychosozialer Therapie nicht gedient ist, sollte aber auch so klar geworden sein.
    Zukunft

    Der Schweizer Psychiatrieprofessor Matthias Jäger klagte kürzlich über die Patientenflut nach der sovielten Destigmatisierungskampagne in der Gesellschaft: „[Das Soziale in der Psychiatrie] bedeutet aber nicht, dass die Psychiatrie für die Behebung von sozialen Problemlagen und sozial unerwünschten Verhaltens jeglicher Art zuständig ist.“ Damit wäre man wieder zurück im frühen 19. Jahrhundert, gewissermaßen vor der medizinischen Professionalisierung des Fachs, in der Zeit der Armen- und Irrenhäuser.

    Dank knapper Kassen, Mangel an Prävention und mit Ausblick auf weitere Sozialkürzungen für die Verteidigung ist nicht von einer Abnahme psychologisch-psychiatrischer Störungen auszugehen. In Großbritannien, wo die sozialen Einschnitte schon ein, zwei Stufen weiter sind und die Not der Menschen entsprechend groß, entstehen allerdings auch neue Lösungen:

    Es gibt dort ein Ministerium gegen Einsamkeit. Ein Netzwerk kritischer Psychiater*innen um Joanna Moncrieff, Psychiatrieprofessorin in London, hilft Menschen beim Abbauen der sogenannten Antidepressiva. Denn dass man davon abhängig werden kann, wurde lange geleugnet. Und gemeinschaftliche Hilfe vor Ort soll dort für die Menschen verfügbar sein, wo sie leben und sich durch die Herausforderungen ihres Alltags lavieren.

    Hier in meinem Artikel wurde eine Möglichkeit identifiziert, wo man (global) sofort ein paar Milliarden und in Europa immer noch Hunderte Millionen einsparen könnte. Und wenn Psychologie (wörtlich: Seelenlehre) und Psychiatrie (wörtlich: Seelenheilung) ihr seelenleere überwinden und den Menschen wieder als das biopsychosoziale Wesen würdigen, das er ist, werden auch hier vielleicht wieder Probleme gelöst und nicht nur Symptome behandelt. Auch Jahrzehnte der Psychotherapieforschung kamen zum Fazit, dass Beziehungen und das Umfeld die wesentlichen Faktoren sind:

    Abbildung 4: Laut dieser Übersicht sind für den Therapieerfolg allgemeine Faktoren, darunter vor allem die Beziehung zum*zur Psychotherapeut*in, Veränderungen außerhalb der Therapie und die Erwartung der Klient*innen von Bedeutung. Auf die psychotherapeutischen Techniken im eigentlichen Sinn entfallen nur 15 Prozent. Nach: Helle, 2019, S. 179

    Dennoch will ich meinen ausdrücklichen Respekt für alle Psychiater*innen ausdrücken, die sich trotz der schwierigen Bedingungen den Herausforderungen ihres Berufs stellen, nicht selten Tag und Nacht. Meine Kritik richtet sich nicht gegen sie, sondern das die Forschung und Praxis einengende Dogma.

    Damit sind Alternativen aufgezeigt. Ob wir sie beschreiten, hängt von unseren Entscheidungen ab, sowohl individuell als auch gemeinschaftlich.

    Der Artikel wurde zuerst auf dem Blog „Menschen-Bilder“ des Autors veröffentlicht.

    Als eBook ist von Stephan Schleim erschienen: „Perspektiven aus der Depressions-Epidemie: Depressionen verstehen, vorbeugen und heilen“.

    Referenzen

    Ball, T., Derix, J., Wentlandt, J., Wieckhorst, B., Speck, O., Schulze-Bonhage, A., & Mutschler, I. (2009). Anatomical specificity of functional amygdala imaging of responses to stimuli with positive and negative emotional valence. Journal of Neuroscience Methods, 180(1), 57-70.

    Böge, K., Jüttner, J., Stratmann, D., Leucht, S., Moritz, S., Schomerus, G., … & Hahn, E. (2025). Psychiatrische Begriffe im Wandel–Warum eine Umbenennung der Schizophrenie im 21. Jahrhundert nötig ist. Psychiatrische Praxis, 52(03), 125-128.

    Brabec, J., Rulseh, A., Hoyt, B., Vizek, M., Horinek, D., Hort, J., & Petrovicky, P. (2010). Volumetry of the human amygdala—an anatomical study. Psychiatry Research: Neuroimaging, 182(1), 67-72.

    Brosch, K., Stein, F., Schmitt, S., Pfarr, J. K., Ringwald, K. G., Thomas-Odenthal, F., … & Kircher, T. (2022). Reduced hippocampal gray matter volume is a common feature of patients with major depression, bipolar disorder, and schizophrenia spectrum disorders. Molecular Psychiatry, 27(10), 4234-4243.

    Buchheim, A., Viviani, R., Kessler, H., Kächele, H., Cierpka, M., Roth, G., … & Taubner, S. (2012). Changes in prefrontal-limbic function in major depression after 15 months of long-term psychotherapy. PloS One, 7(3), e33745.

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    Duque, A., Arellano, J. I., & Rakic, P. (2022). An assessment of the existence of adult neurogenesis in humans and value of its rodent models for neuropsychiatric diseases. Molecular Psychiatry, 27(1), 377-382.

    Hamilton, J. P., Siemer, M., & Gotlib, I. H. (2008). Amygdala volume in major depressive disorder: a meta-analysis of magnetic resonance imaging studies. Molecular Psychiatry, 13(11), 993-1000.

    Helle, M. (2019). Psychotherapie. Berlin: Springer.

    Insel, T. R. (2010). Faulty circuits. Scientific American, 302(4), 44-52.

    Insel, T. (2022). Healing: Our Path from Mental Illness to Mental Health. Penguin.

    Jäger, M. (2025). Das Soziale in der Psychiatrie. Psychiatrische Praxis, 52(05), 245-247.

    Leshner, A. I. (1997). Addiction is a Brain Disease, and it Matters. Science, 278(5335), 45-47.

    Lewis-Fernández, R., Rotheram-Borus, M. J., Betts, V. T., Greenman, L., Essock, S. M., Escobar, J. I., … & Iversen, P. (2016). Rethinking funding priorities in mental health research. The British Journal of Psychiatry, 208(6), 507-509.

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    Zwiky, E., Borgers, T., Klug, M., König, P., Schöniger, K., Selle, J., … & Redlich, R. (2025). Limbic gray matter increases in response to cognitive-behavioral therapy in major depressive disorder. Translational Psychiatry, 15(1), 301.

    #science #médecine #psychologie #psychiatrie #psychologie_biologique #iatrocratie

  • Depressionen : „Psychotherapie verändert das Gehirn“
    https://overton-magazin.de/top-story/depressionen-psychotherapie-veraendert-das-gehirn

    Le cerveau vit et bouge. En bref c’est le résultat des études menés par les chaires de psychologie biologique. Au dépens des soins cliniques on dépense des milliards pour une science qui depuis des décennies ne produit pas de résultats. On et tenté de placer sa qulité au niveau des expériences du fameux Docteur Mengele, sauf que probablement sa "science" a été plus sanglante.

    6.9.2025 von Stephan Schleim


    Laut einer Studie an der Universität Halle-Wittenberg ist die Wirkung von Psychotherapie nun „medizinisch-naturwissenschaftlich“ belegt.

    Depressionen entwickeln sich mehr und mehr zur Volkskrankheit. Trotz anhaltender Kritik an der Wirksamkeit sogenannter Antidepressiva werden davon inzwischen in Deutschland genug verschrieben, um täglich fünf Millionen Menschen zu behandeln. Viele Personen suchen psychotherapeutische Hilfe. Für gesetzlich Krankenversicherte sind die Wartezeiten schmerzhaft lang, während Psychologieverbände mehr Behandlungsplätze fordern und seit der Reform der Ausbildung zum*zur Psychotherapeut*in die Finanzierung weiterhin unklar ist. Allein davon könnte man schon depressiv werden.

    Jetzt hat eine Forschungsgruppe unter der Leitung von Ronny Redlich, Professor für biologische und klinische Psychologie an der Universität Halle-Wittenberg, die möglichen Auswirkungen von Psychotherapie auf das Gehirn näher untersucht. „Mehr graue Zellen durch Psychotherapie“, kommentierte das die Pressemitteilung der Uni vom 27. August. Es klingt wie ein Durchbruch: „Jetzt haben wir erstmals einen validen Biomarker für den Effekt von Psychotherapie auf die Hirnstruktur“, erklärt der Professor. „Einfacher ausgedrückt: Psychotherapie verändert das Gehirn.“

    Na ja. Das Lesen dieses Artikels verändert Ihr Gehirn (hoffentlich auf positive Weise). Spaziergänge in der Natur verändern das Gehirn. Unser ganzes Leben lang verändert alles, was wir tun und wahrnehmen, das Gehirn. Es ist ein plastisches Organ, das mit seinen rund 86 Milliarden Nervenzellen noch viele Geheimnisse seiner Funktionsweise vor uns verbirgt. Schauen wir uns die neue Studie einmal näher an.
    Die Studie

    Für die jetzt in der Fachzeitschrift Translational Psychiatry publizierte Studie wurden 30 Personen im Alter von durchschnittlich 28 Jahren mit der Diagnose Depressionen untersucht. Ihre Hirnstruktur wurde zweimal mit dem Magnetresonanztomografen (MRT) untersucht: einmal kurz vor dem Beginn einer kognitiven Verhaltenstherapie und dann nach rund 22 Therapiesitzungen beziehungsweise 40 Wochen später. Laut den Forschenden lag der Schwerpunkt bei den Gehirnuntersuchungen auf Strukturen des limbischen Systems wie den Mandelkernen (Amygdalae) oder Hippocampi. Diese werden oft mit Emotionsverarbeitung in Verbindung gebracht.

    Am Rande: Was genau zum „limbischen System“ gehört ist gar nicht so klar, lateinisch limbus bedeutet einfach „Saum“. Außerdem hat die Erklärungskraft des Gehirnmodells, das psychische Vorgänge bestimmten Gehirnregionen zuordnet, in den letzten Jahren verstärkt Gegenwind bekommen. Doch mit der alternativen Sichtweise, dass das Gehirn ein holistisches Netzwerk ist, kann man nun auch nicht gerade viel erklären – und vor allem nicht den Einsatz der millionenteuren Scanner rechtfertigen. Wie so oft in der Wissenschaft: „Es ist komplex!“

    Zunächst einmal ergab die Studie, dass die Psychotherapie half: Verschiedene Fragebögen zur Messung depressiver Symptome zeigten eine Abnahme. Diese Effekte waren stark und statistisch sehr signifikant. Bei 19 der 30 Personen waren die Depressionen nach den 40 Wochen teils oder vollständig gebessert. Und was zeigte nun das Gehirn?

    Sowohl in beiden Mandelkernen als auch im rechten Hippocampus hatte das Volumen der grauen Substanz zugenommen. Das zeigte sich aber nur bei einer gezielten Suche in diesen Regionen und nicht, wenn man das ganze Gehirn betrachtete. Mit den sogenannten „region of interest“-Analysen kann man das Problem umschiffen, stärker für Zufallstreffer kontrollieren zu müssen.

    Wenn man das gesamte Gehirn untersucht, berechnet man nämlich Zehntausende statistische Tests, die alle eine gewisse Fehlerwahrscheinlichkeit haben. In der Regel deutet das alternative Vorgehen aber auf kleinere Effekte hin. Und tatsächlich war das Gehirn-Ergebnis auch schwächer als die Auswertung der Fragebögen.
    Gehirnbefund

    Werfen wir den Blick daher auf den Hirn-Befund:

    Abbildung 1: Die Abbildung zeigt rechts einen positiven statistischen Fund für die beiden Amygdalae. Links sieht man eine Korrelation der Veränderung der rechten Amygdala (y-Achse) und eines Messwerts für die Identifikation von Gefühlen (x-Achse). Diese Korrelation war auf dem p < 0,05-Niveau gerade so signifikant. Quelle: Zwiky et al., 2025; Lizenz: CC BY 4.0

    Ein direkter Zusammenhang zwischen den Messwerten für die depressiven Symptome und der Gehirnveränderung zeigte sich allerdings nicht. Nur bei der Auswertung eines Fragebogens für Alexithymie – ein Fachbegriff für Probleme beim Wahrnehmen und Beschreiben von Gefühlen – gab es den Treffer. Und dann auch nur für den Unterpunkt „Schwierigkeiten, Gefühle zu beschreiben“.

    Die Publikation wurde um dieses Thema herum aufgebaut, wie die Forschenden es in ihrer zweiten Hypothese formulierten: „Wir gehen außerdem davon aus, dass regionale volumetrische Veränderungen eher mit einer Verbesserung der Alexithymie als mit einer Abnahme der Schwere der depressiven Symptome insgesamt zusammenhängen“ (S. 2, dt. Übers.).

    Hier ist es schade, dass die Forschenden ihre Studie nicht im Voraus registrieren ließen. Bei der Medikamentenforschung, mit der sie ihre Ergebnisse in der Pressemitteilung verglichen, ist das üblich. Und auch im Zuge der Krise der Psychologie der letzten zehn bis 15 Jahre wurde die Bedeutung dieses Vorgehens immer wieder hervorgehoben: Ohne eine Registrierung können Forschende hinterher zu einem zufälligen Fund eine Geschichte stricken, als ob sie genau das gesucht hätten.

    Ich will dieser Forschungsgruppe nichts unterstellen. Ich kann nur sagen, dass mir das nicht einleuchtet: Wenn man den positiven Effekt von kognitiver Verhaltenstherapie auf depressive Symptome kennt und diesem im Gehirn festmachen will, warum verengt man dann den Blick auf Alexithymie? Und warum dann nur auf den Teilaspekt, Gefühle zu beschreiben?

    An dieser Stelle möchte ich aber vor allem auf zwei wichtige Kritikpunkte eingehen, die auch für Laien verständlich sein sollten.
    Fehlende Kontrollen

    Wir erinnern uns an die Kernbotschaft: Psychotherapie verändert die Gehirnstruktur. Ich fürchte aber, dass die Studie dieses Ergebnis gar nicht tragen kann – und zwar aufgrund prinzipieller Fehler im Studiendesign:

    Laut der Studie war die graue Substanz – im Durchschnitt der 30 Personen – nach 40 Wochen beziehungsweise 22 Therapiesitzungen in einigen Gehirnregionen etwas stärker ausgeprägt. Das ist erst einmal nur eine Korrelation. Woher wissen wir, dass hier auch wirklich ein ursächlicher Zusammenhang besteht, dass es also wirklich die Psychotherapie war, die die Gehirnveränderung bewirkte?

    Um diesen Schluss zumindest plausibel zu machen, hätten die Forschenden diese 30 Personen unbedingt mit einer Kontrollgruppe vergleichen müssen, die sich in nichts von der Zielgruppe unterscheidet – außer in der Therapie. Idealerweise hätte man zwei zusätzliche Gruppen mit der Diagnose Depression gehabt: Eine, die zum Beispiel regelmäßig Spaziergänge in der Natur machte; und eine, die gar nichts tat, während sie auf einen Therapieplatz wartete. Davon gibt es (leider) mehr als genug. Das wäre wichtig gewesen, denn erstens verändern zum Beispiel auch Spaziergänge das Gehirn und zweitens geht eine depressive Episode sogar ohne Behandlung oft nach vier bis neun Monaten von selbst wieder vorbei.

    Zugegeben, Leute in der Kontrollgruppe auf einen Therapieplatz warten zu lassen, ist auch keine gute Lösung. Trotzdem gibt es in der guten Psychotherapieforschung immer Kontrollgruppen. Ohne diese kann man ein Ergebnis unmöglich kausal interpretieren. Zum Vergleich: Man kann gute Gründe dafür haben, kein Geld dabei zu haben, wenn man vom Sport kommt und noch eine Apfelschorle kaufen will; darum ist es aber trotzdem nicht richtig, diese ohne Bezahlung mitzunehmen. Ebenso kann man auf die Kontrollgruppe nicht verzichten, wenn man spezifisch den Effekt von Psychotherapie untersuchen will, selbst wenn man dafür gute Gründe haben mag.

    Doch selbst das wäre noch nicht einmal das größte Problem. Auf dieses kommen wir jetzt zu sprechen.
    Medikamente

    Ein zweites Problem ist aber noch gravierender: Von den 30 Personen nahmen nämlich neun, also fast ein Drittel, sogenannte Antidepressiva; sieben dieser neun sogar eine hohe Dosis. Nun ist aber schon lange bekannt, dass bei Personen mit Depressionen aber ohne Medikamente kleinere und bei denjenigen mit Medikamenten größere Amygdalae gemessen wurden. Das zeigte zum Beispiel schon eine viel zitierte Meta-Analyse aus dem Jahr 2008. Schauen wir uns unter diesem Gesichtspunkt noch einmal die Korrelation aus Abbildung 1 genauer an:

    Abbildung 2: Die Abbildung zeigt wieder die Veränderung des Volumens der rechten Amygdala (y-Achse) im Zusammenhang mit dem Messwert für die Identifikation von Gefühlen (x-Achse). Im blauen Kreis in der Mitte sieht man neun Personen, für die sich im Prinzip nichts geändert hat und im orangefarbenen Rechteck rechts oben sechs Personen, die das Ergebnis – die gestrichelte Gerade darunter – gewissermaßen „nach oben ziehen“. Quelle: Angepasst nach Zwiky et al., 2025; Lizenz: CC BY 4.0

    Wir sehen auf der Abbildung, dass sich für einige Personen in der Studie – die im blauen Kreis – weder das Volumen in der rechten Amygdala noch die Identifikation von Gefühlen nennenswert geändert hat. Der ohnehin schon kleine Effekt wird vor allem von den sechs Personen im orangefarbenen Rechteck nach oben gezogen.

    Wenn von diesen einige Medikamente genommen haben, könnte das die Veränderung des Gehirnvolumens besser erklären, während die Forscherinnen und Forscher das Ergebnis der Psychotherapie zuschreiben. Das wäre ein grober Fehler. Darum sollten sie meiner Meinung nach die Analyse unbedingt noch einmal ohne die Antidepressiva-Gruppe wiederholen.
    Alter Wein

    Wir erinnern uns, dass die Pressemitteilung das Ergebnis als neu darstellte: „Erstmals haben die Forschenden auch konkrete anatomische Veränderungen dokumentiert.“ Und der Studienleiter Redlich ergänzte: „Jetzt haben wir erstmals einen validen Biomarker für den Effekt von Psychotherapie auf die Hirnstruktur. Einfacher ausgedrückt: Psychotherapie verändert das Gehirn.“

    Diese Darstellung ist aus zwei Gründen sehr merkwürdig: Erstens bezweifelte niemand ernsthaft, dass Psychotherapie das Gehirn verändert. Schon wenn man irgendetwas lernt, sagen wir die Melodie von „Alle meine Entchen“ auf dem Klavier, ändert sich etwas im Körper und insbesondere im Gehirn. Zweitens wurden im Zusammenhang mit Psychotherapie schon oft Gehirnveränderungen berichtet.

    Zum Beispiel hat schon 2012 die Bremer „Hanse-Neuropsychoanalysestudie“ von Anna Buchheim und unter Beteiligung des inzwischen verstorbenen deutschen „Gehirn-Gurus“ Gerhard Roth (1942-2023) Gehirnveränderungen im Verlauf von 15 Monaten psychoanalytischer Psychotherapie nachvollzogen. Auch damals ging es vor allem um das limbische System und Unterschiede in der rechten Amygdala. Diese Studie wird von den Forscher*innen aus Halle-Wittenberg noch nicht einmal erwähnt.

    Anna Buchheim, Gerhard Roth und zwei Kolleg*innen veröffentlichten darüber 2012 einen Kommentar in Gehirn&Geist mit dem Titel „Das Hirn heilt mit„. Darin schrieben sie, es habe 2005 rund 15 und 2012 schon 40 neurowissenschaftliche Studien zur Wirksamkeit von Psychotherapie gegeben. Wie kann man solche Ergebnisse dann im Jahr 2025 noch als neu bezeichnen?
    Zurückhaltung

    Die genannten und einige weitere Probleme sollten einen bei der Interpretation der Ergebnisse zur Zurückhaltung anhalten. In der Fachpublikation verwiesen die Forscher*innen selbst auf die nur kleine Gruppengröße. Dass es keine Kontrollgruppe ohne Behandlung gab, wurde dort ebenfalls als limitierender Faktoren eingeräumt. Und insbesondere: „Da die Korrelationen zwischen den Erhöhungen des Volumens der grauen Substanz und Verbesserungen bestimmter psychologischer Funktionen … nur gering waren, müssen sie mit Vorsicht interpretiert werden“ (S. 5; dt. Übers.).

    Wie passt das dazu, die Studie gegenüber den Medien als großen Durchbruch darzustellen? Die Behauptung, die Entstehung neuer „grauer Zellen“ durch Psychotherapie nachgewiesen zu haben, ist übrigens Unsinn: Das kann man mit so einer groben MRT-Messung im lebenden Gehirn gar nicht feststellen.

    Ob nach dem Alter von ca. 14 Jahren überhaupt noch neue Neuronen im Gehirn entstehen, ist in der Fachwelt umstritten. Hierfür müsste man eigentlich eine Biopsie vornehmen und auch dann ist es nicht trivial, unter Milliarden von Zellen neue von alten Neuronen zu unterscheiden. Aus ethischen Gründen verbietet sich das natürlich bei lebenden Personen und über die Interpretation der Ergebnisse an Toten streitet man sich noch. Vor Kurzem schlussfolgerte eine Forschungsgruppe, dass man die Bedeutung dieses Phänomens nicht überbewerten sollte, selbst wenn es bei Erwachsenen vorkommt.

    Für besonders problematisch halte ich diese Schlussfolgerung des Studienleiters Redlich: „Umso erfreulicher ist, dass wir durch unsere Studie zeigen konnten, dass Psychotherapie auch aus medizinisch-naturwissenschaftlicher Sicht eine gleichwertige Alternative ist.“ Damit kommt das alte Trauma von Psychologie und Psychiatrie zum Ausdruck: Etwas kann nur wahr sein, wenn es neurologisch nachgewiesen ist. Machen Sie das auch so, wenn jemand sagt, „Ich bin dein Freund“ oder „Ich liebe dich“, dass Sie dann einen Hirnscan als Beweis verlangen, anstatt sich das Verhalten der Person anzusehen?

    Aber natürlich sind Übertreibungen, bei denen jede Kritik, Einschränkungen und Zurückhaltungen vergessen sind, ein gefundenes Fressen für die Medien. So raschelte es in Lichtgeschwindigkeit durch den Blätterwald: „Depressionen – Mehr graue Zellen durch Psychotherapie“ (Deutschlandfunk), „Depression: Psychotherapie baut graue Zellen auf“ (Scinexx), „Psychotherapie verändert das Gehirn“ (wissenschaft.de), „Mehr graue Zellen durch Psychotherapie“ (Ärztenachrichtendienst) oder „Depressionen: Wie Psychotherapie das Gehirn stärkt“ (MDR) – um hier nur die ersten paar Online-Treffer zu nennen.
    Biologische Psychiatrie

    Ich spanne den Bogen noch etwas weiter auf. Erinnern wir uns, was der statistische stärkste Fund der Studie war: Von den 30 Personen hatten nach 22 Psychotherapiesitzungen 19 eine mäßige oder starke Besserung erfahren. Worauf die Medien aber anspringen, das ist der weder neue noch überraschende, doch in dieser Studie sehr spekulative Gehirnbefund.

    Der Studienleiter, Ronny Redlich, wirkte auch an einer neueren Studie mit, die tief in die Seele der biologischen Psychiatrie blicken lässt. Darin suchten Dutzende Autor*innen, darunter viele große Namen der heutigen psychiatrischen Forschung in Deutschland, nach einem Biomarker für Depressionen. Dass man allem Gehirn-Gerede zum Trotz weder Depressionen noch irgendeine der anderen Hunderten psychologisch-psychiatrischen Störungen neurowissenschaftlich diagnostizieren kann, wissen viele Laien gar nicht. In der neuen Untersuchung probierten die Fachleute es mit künstlicher Intelligenz.

    Das ernüchternde Ergebnis überraschte sie: „Trotz der verbesserten Vorhersagefähigkeit … konnte kein informativer Biomarker für Depressionen auf individueller Ebene identifiziert werden – selbst bei umfassender Optimierung mit Maschinenlernen in einer großen Stichprobe diagnostizierter Patienten“ (Winter et al., 2024, E1; dt. Übers.). Schon mindestens seit den frühen 1800er-Jahren – ich habe es gerade in meinem Buch über die Depressions-Epidemie wieder dargestellt – haben biologische Psychiater mit allen Tricks versucht, die organische Ursache von Depressionen und anderen Störungen zu finden. Mit seltenen Ausnahmen, die alle längst in die Neurologie abgewandert sind – man denke an Neurosyphilis, Epilepsie, Multiple Sklerose, Parkinson, Alzheimer-Demenz ist noch ein Grenzfall –, waren diese Versuche seit über 200 Jahren erfolglos.
    Gebt uns mehr Geld!

    Doch anstatt nach so vielen Falsifikationen endlich die Gehirn-Ideologie mit ihren Molekülen, Genen, neuronalen Schaltkreisen und Versuchstieren aufzugeben und wieder hauptsächlich am und mit Menschen zu arbeiten, wählt man die Flucht nach vorne: „Für Forscher, Fachzeitschriften und Fördereinrichtungen ist es unerlässlich, über die nächsten Schritte zur Weiterentwicklung der biologischen Psychiatrie nachzudenken“ (ebenda, S. E8, dt. Übers.).

    Diesen logischen Kurzschluss muss man sich auf der Zunge zergehen lassen: Unser Ansatz ist wieder gescheitert, ihr müsst uns noch mehr Geld geben! Im Interesse der Patient*innen und der Gesellschaft sollte man dieses Forschungsprojekt aber nicht weiterentwickeln, sondern es endlich aufgeben.

    Psychiatrie sollte zu 80 Prozent psychosozial und zu maximal 20 Prozent biologisch sein. Übrigens hat auch diese neue Studie mit künstlicher Intelligenz gezeigt, was man seit Jahrzehnten immer wieder bestätigt hat: Den größten Einfluss auf Depressionen hat die Umwelt, hier ausgedrückt als soziale Unterstützung und erfahrene Kindesmisshandlung. Interessiert hat das keinen, denn man ja echte „medizinisch-naturwissenschaftliche“ Forschung machen. Das Soziale verschwindet dann vom Radar, obwohl es viel wichtiger ist.

    Im zweiten Teil geht es ausführlicher um die Geschichte der Psychiatrie und das Dogma seiner biologischen Seite.

    Der Artikel wurde zuerst auf dem Blog „Menschen-Bilder“ des Autors veröffentlicht.

    Als eBook ist von Stephan Schleim erschienen: „Perspektiven aus der Depressions-Epidemie: Depressionen verstehen, vorbeugen und heilen“.

    Referenzen

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    Stephan Schleim

    Stephan Schleim ist studierter Philosoph und promovierter Kognitionswissenschaftler. Seit 2009 ist er an der Universität Groningen in den Niederlanden tätig, zurzeit als Assoziierter Professor für Theorie und Geschichte der Psychologie. Sein Schwerpunkt liegt in der Erforschung von Wissenschaftsproduktion und –kommunikation. Schleim ist Autor mehrerer Bücher zu Neurowissenschaften, Psychologie und Philosophie.
    Bild: Elsbeth Hoekstra

    #science #médecine #psychologie #psychiatrie #psychologie_biologique #iatrocratie

  • L’impérissable sociabilité réelle de l’échange direct par la parole.
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article4785

    L’appareil vocal humain représente un prodige d’ingénierie biologique. Du diaphragme aux lèvres, en passant par le larynx et les cavités de résonance, chaque élément contribue à cette symphonie quotidienne. Les cordes vocales, ces deux petites membranes de quelques millimètres d’épaisseur, peuvent vibrer jusqu’à 1000 fois par seconde pour produire les sons les plus aigus. High-tech / Sciences

    / #IA_:_Intelligence_Artificielle, Sciences & Savoir, #médecine,_sciences,_technologie,_ADN,_vaccin,_médicaments,_découvertes

    #High-tech_/_Sciences #Sciences_&_Savoir
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/IMG/mp3/l_imperissable_sociabilite_reelle_de_l_echange_direct_par_la_parole.mp3

  • Récit : #naissance de Léna

    Caroline fait le récit de la naissance de Léna à l’issue d’un « plan de naissance » établi avec la maternité : les contractions, l’expulsion, son ressenti, l’accueil du bébé avec le père et la relation avec le personnel de l’établissement ; car malgré l’approche de la maternité, qui se veut respectueuse de la naissance, les contraintes réglementaires requièrent des pratiques intrusives... et il faut argumenter !

    Article à lire dans la revue Passerelle Éco n°86 https://www.passerelleco.info/N86 ...

    #accouchement #sensation #douleur #femme #médecine #santé #respect #maternité

  • Le sommeil, une nécessité expliquée par une étude inédite.
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article4782

    Les bienfaits du sommeil sont prouvés, pourtant certains philosophes le considèrent une perte de temps, même s’ils insistent qu’il soit réparateur, tel un médecin, de l’individu. Ils indiquent que c’est protecteur du système immunitaire. Il n’est pas simple de plonger dans de dormance, il faut le stimuler. Le faire à horaires réguliers établit régularité de l’horloge biologique. Puis la durée idéale est de 7 à 9 heures pour un adulte. Et éviter les longues siestes (max 20–30 minutes) est de meilleur apport. High-tech / Sciences

    / Sciences & Savoir, #médecine,_sciences,_technologie,_ADN,_vaccin,_médicaments,_découvertes, (...)

    #High-tech_/_Sciences #Sciences_&_Savoir #actus

  • La #migration est un #fait_social_total

    Parti pris · Omniprésente dans le paysage audiovisuel et les discours politiques, la question de l’immigration est sans conteste l’#obsession du #complexe_politico-médiatique français. Mais les deux visions principales qui s’affrontent – à #droite et à #gauche – pêchent considérablement par #distorsion et #omissions et peinent à embrasser la #dimension_globale de ce fait social.

    Si l’entrée de l’immigration dans le #débat_public fut progressive, on peut considérer comme un premier tournant les #agressions_racistes de #1973 et leur #médiatisation. En effet, le sujet va gagner en #visibilité à partir de ces événements et de leurs conséquences politiques, bien avant, comme on peut le lire parfois, la percée du #Front_national, au milieu des années 1980, et son affrontement avec les mouvements antiracistes.

    L’occasion est alors donnée aux immigrés de se présenter à la société française et de raconter leurs #conditions_de_travail et de vie. C’est aussi une opportunité, pour la société française, de débattre d’un sujet qui ne quittera plus les champs médiatique et politique, au point d’éclipser toutes les autres préoccupations citoyennes et même de les absorber, puisque le traitement qui en est fait suggère insidieusement sa responsabilité dans tous les #problèmes_sociaux.

    Si l’on peut penser que la surreprésentation de la question de l’immigration est imputable aux exigences et aux intérêts propres au secteur des médias, au vu de l’appétence de ces derniers pour les polémiques, on est bien en peine de justifier son #omniprésence dans le #discours_politique qui en a fait un #enjeu_électoral majeur. Cette évolution du #débat, en ampleur et en intensité, s’est accompagnée d’une #polarisation de plus en plus marquée et de la résurgence d’un #racisme_décomplexé, qui dénonce l’immigration comme un #poids pour le pays d’accueil et n’est contré que par une #rhétorique utilitariste qui associe immigration et #bénéfices_économiques.

    « #Grand_remplacement », « #invasion_migratoire » et « #submersion_migratoire »

    Porté par la droite et l’#extrême_droite, mais pas seulement, ce discours raciste développe l’idée que l’immigration représente non seulement une #charge_sociale, mais aussi une #menace_identitaire et sécuritaire pour les Français. Les immigrés sont ici présentés comme des individus #indésirables et en surnombre – on parle de « grand remplacement », d’« invasion migratoire » et de « submersion migratoire » – qui menaceraient la #sécurité et l’#identité nationales. L’argumentaire principal mobilisé pour défendre cette thèse est l’#incompatibilité des caractéristiques culturelles et religieuses des populations immigrées avec les valeurs de la #République, avec une focalisation sur l’#islam. Ce discours prône ouvertement l’arrêt des flux migratoires et même la possibilité du retour dans le pays d’origine. Sauf que…

    Lorsqu’il s’agissait de répondre à un besoin de #main-d’œuvre et d’abaisser les #coûts_du_travail, la droite, de connivence avec le #patronat, était favorable à l’immigration, notamment dans les années 1960, lorsque les constructeurs automobiles et les patrons des mines recrutaient massivement dans les pays du Maghreb. Ou encore au début des années 2000, lorsque le discours gouvernemental a fait de « l’#immigration_choisie » un leitmotiv. Aujourd’hui encore, cette pratique est maintenue et « protégée » parce que voulue par les élites économiques, bien que décriée sur les plateaux télévisés.

    De l’autre côté du spectre politique, l’argument utilitaire est mobilisé pour défendre les populations immigrées. Il est de plus en plus porté par la gauche, qui aime à rappeler la contribution des étrangers pendant la Grande Guerre et la Seconde Guerre mondiale ainsi que dans les #mines, les #usines et sur les grands #chantiers portés par le développement de l’#industrialisation, et qui souligne aujourd’hui le rôle des #médecins_étrangers dans le maintien du système de #santé_publique. Discours utilitariste donc (qui s’appuie sur les résultats de recherches en sciences économiques et en démographie conduites notamment par l’OCDE, la Banque mondiale et le FMI) mais qui est présenté comme humaniste par ses tenants, qui mettent en avant la #solidarité avec les immigrés et défendent une politique de #régularisation des #sans-papiers.

    Justifier le jeu du #capitalisme

    Ce discours est apprécié par la population concernée et il est souvent et naïvement repris par elle, puisqu’elle y trouve une justification à sa présence, au point de faire son totem de cette phrase qu’on entend souvent dans les bouches d’immigrés : « On travaille. » Mais la gauche dénie ici le fait que l’importation de populations étrangères dévalue les #classes_populaires (son principal électorat), qui se sont d’ailleurs progressivement détournées d’elle. En effet, valoriser la #participation des immigrés revient à justifier le jeu du capitalisme, qui utilise la #concurrence entre travailleurs et l’importation de main-d’œuvre pour casser les grèves, baisser les #salaires et ne pas améliorer les conditions de travail.

    Autrement dit, lorsqu’une partie de la gauche renonce à sa position historique sur la #régulation de l’immigration, elle protège ce que #Karl_Marx qualifie de « secret grâce auquel la classe capitaliste maintient son #pouvoir ». Elle devient dès lors ce que le sociologue #Ramón_Grosfoguel appelle une #gauche_impérialiste, dans le sens où « elle construit un #projet_politique où elle ne demande qu’à améliorer sa situation à l’intérieur des murs [frontières], à l’intérieur des espaces impérialistes, sans les remettre en cause, sans problématiser la #domination que ce #système-monde exerce sur les habitants à l’extérieur des murs [frontières]… Elle ne remet pas en question les #structures_de_pouvoir qui produisent le #pillage et l’#appauvrissement de la grande majorité de la population mondiale, qui vit juste à l’extérieur des murs et est soumise aux formes les plus despotiques, les plus appauvries et les plus violentes de l’accumulation du capital ». Pire, dans une démarche paternaliste, elle appelle à renforcer l’#aide_publique_au_développement au lieu de militer pour la #désimpérialisation.

    Dans les deux discours présentés ci-dessus, il y a des omissions et des distorsions si considérables qu’elles altèrent complètement l’appréhension du sujet de l’immigration. Il s’agit également de discours prisonniers de leurs points de vue et de leurs antagonismes réciproques, jusqu’à donner parfois l’impression qu’ils se définissent non pas en fonction des besoins de la réalité et des idées qu’ils défendent mais bien en réaction l’un à l’autre. À cela s’ajoute le fait que l’immigré est systématiquement abordé comme #objet et non comme #sujet, ce qui contribue à normaliser une #pensée_impérialiste qui ne participe qu’à stigmatiser les populations immigrées et à les dépouiller de leur #agentivité.

    Les trois quarts des migrations africaines sont intracontinentales

    Il s’agit d’un double phénomène : émigration-immigration. Toute étude ou tout discours qui ferait l’économie de l’un se condamnerait à l’incompréhension de l’autre, car l’un et l’autre sont les deux faces d’une même pièce. On comprend donc qu’une réflexion sur les conséquences de l’#immigration dans les pays d’arrivée doit nécessairement et impérativement s’accompagner d’une réflexion sur les #causes de l’#émigration dans les pays de départ.

    Une mise en perspective plus large permettra donc de montrer que les migrations ne concernent pas seulement les pays occidentaux – il s’agit d’un phénomène mondial –, voire qu’ils ne sont concernés que dans une moindre mesure, puisque les trois quarts des migrations africaines, par exemple, sont intracontinentales. Cela permettra également de jeter la lumière sur les problèmes réels ou supposés qui poussent des personnes du Sud à affluer en masse vers le Nord (pauvreté, conflits armés, accroissement démographique…), ainsi que sur les problèmes réels ou supposés qui poussent l’Occident à recruter des étrangers (déclin démographique, pénurie de main-d’œuvre, déserts médicaux…).

    Cette approche, qu’on pourrait qualifier de globale, est cruciale, parce qu’elle permet de démontrer combien une réflexion intramuros est vouée à l’échec, la seule manière de comprendre et de gérer la question migratoire étant d’établir un dialogue bilatéral, qui implique non seulement les pays d’émigration et les pays d’immigration mais aussi les populations migrantes et les sociétés d’accueil.

    L’immigration en #France est liée à l’#histoire_coloniale

    Il est aussi nécessaire de prendre en considération le rôle de l’histoire coloniale (esclavage, mobilisation militaire forcée et recrutement de travailleurs dans les colonies) dans la création des schémas migratoires ainsi que les rapports de force qui existent entre pays anciennement colonisateurs et pays anciennement colonisés. En effet, l’histoire de l’immigration en France est fondamentalement liée à l’histoire coloniale qui l’a créée, ce qui implique que, pour comprendre les migrations aujourd’hui volontaires, il est essentiel de revenir sur les #migrations_forcées dans les anciennes colonies, puisqu’elles ont des trajectoires identiques mais surtout qu’elles obéissent d’abord et avant tout aux besoins des pays occidentaux.

    Qualifiée comme telle – parce que c’est ce qu’on veut voir en elle, ce qu’on aimerait qu’elle soit et qu’elle le demeure –, l’#immigration_de_travail est une expression qui porte en elle un refus : regarder l’immigré autrement que comme un agent au service du capital, un corps au service des possédants. Or l’immigré est une personne, qui vient avec son histoire, sa religion, sa langue, sa façon d’être au monde, ses représentations et ses croyances, bref sa #culture. Il vient également avec ses besoins et ses aspirations : se marier, se perpétuer et vivre auprès de sa famille. Pourtant, et alors que, comme l’écrit le sociologue et non moins émigré-immigré #Sayad_Abdelmalek, « la chose était prévisible dès le premier acte d’immigration », tout semble se réaliser, du moins dans un premier temps, dans une logique du #provisoire.

    Ce sont là les #illusions qui accompagnent le phénomène migratoire, très bien expliquées par Abdelmalek Sayad. « L’image de l’émigration comme “#rotation” continuelle exerce sur chacun un fort pouvoir de séduction : la société d’accueil a la conviction de pouvoir disposer éternellement de #travailleurs […] sans avoir pour autant à payer (ou fort peu) en problèmes sociaux ; la société d’origine croit pouvoir se procurer de la sorte et indéfiniment les ressources monétaires dont elle a besoin, sans qu’il résulte pour elle la moindre altération ; les émigrés sont persuadés de s’acquitter de leurs obligations à l’égard de leur groupe […] sans avoir pour cela le sentiment de se renier. »

    L’illusion du provisoire

    C’est cette triple fonction des illusions qui maintient la notion de provisoire et lui donne une place centrale dans les #imaginaires de chacun, malgré sa mise en défaut par la réalité. C’est-à-dire, même après que le turnover a été révolu, que les séjours de travail se sont allongés jusqu’à devenir quasi permanents (transformant radicalement les rapports aux groupes d’appartenance et au #pays_natal), que les profils et les trajectoires migratoires se sont complexifiés, et que l’immigration de travail s’est transformée en #immigration_familiale, puis en #immigration_de_peuplement. La notion de provisoire est une consolation pour l’émigré face à sa désertion, pour la société d’origine face à sa désintégration et pour la société d’accueil dans son rêve de purification.

    La #délocalisation d’une partie de la société vers un autre pays, comme l’entretien de relations sociales et affectives entre ceux qui partent vivre à l’étranger et ceux qui restent dans le pays natal, semble créer une route qui grandit en même temps que la communauté d’expatriés. L’existence d’une solidarité intracommunautaire semble également faciliter, quand elle ne l’encourage pas directement, le passage à l’acte. En effet, l’idée de trouver des compatriotes ou même des membres du cercle familial (qui peuvent aider financièrement et psychologiquement) rassure le candidat à l’émigration sur la faisabilité de son #projet_migratoire et elle atténue sa peur de la #solitude et de l’#isolement. C’est ce qui explique le fait qu’on retrouve dans des villes et des quartiers à fortes densités immigrantes toute une communauté d’immigrés souvent originaires d’une même région et ayant parfois des liens de parenté.

    Les coûts importants des procédures administratives pour les demandes de visa et le pourcentage très élevé de refus dans certains pays (plus de 50 % en Algérie) rendent la voie légale souvent inaccessible. Le recours à la #clandestinité devient une possibilité de dépasser ces #blocages. En effet, traverser la Méditerranée dans une embarcation et franchir la frontière illégalement est une option choisie par des milliers de personnes chaque année, malgré les #risques et malgré les actions de prévention et de lutte contre la migration illégale.

    Maintenir coûte que coûte une #hiérarchie_sociale

    Ce qu’on peut relever du débat tel qu’il se présente aujourd’hui autour de la migration, c’est qu’elle est posée comme problème pour certaines populations et pas pour d’autres. Par exemple, en France ou en Allemagne, les réfugiés syriens ou afghans ne sont pas perçus comme les réfugiés ukrainiens. Le #traitement_médiatique qui leur est réservé n’est pas le même, pas plus que les dispositions prises pour leur #accueil et leur #insertion.

    Cet exemple permet d’inscrire la question dans le tableau plus large de la migration des pays du Sud vers les pays du Nord. Cette migration a ses spécificités et ses problématiques propres et elle ne saurait être confondue avec les mobilités intra-européennes ou euro-australo-américaines, par exemple, qui ne sont pas source de tensions, les populations qui en sont issues étant considérées comme assimilables, sinon semblables. Il n’en a pas toujours été ainsi. On se souvient du racisme envers les Bretons à Paris, des Britanniques envers les Irlandais, des Français envers les Italiens, les Espagnols, les Portugais…

    Ainsi posée, c’est la question du #racisme qui émerge comme point nodal de la migration, considérée par les uns comme phénomène social et par les autres comme problème social. Cette discrimination, qui a longtemps trouvé sa justification dans la #théorie_des_races et l’#infériorité_biologique supposée des uns par rapport aux autres, est remplacée, depuis la Seconde Guerre mondiale, par un #racisme_culturel, c’est-à-dire par un ensemble de pratiques et de discours dans lesquels la culture de certains groupes sociaux (généralement racisés) est essentialisée et infériorisée, l’objectif étant toujours le même : maintenir coûte que coûte une hiérarchie sociale.

    Faire l’impasse sur le #système-monde

    Penser l’État-nation dans un contexte d’#interdépendance_internationale est une ineptie, tout comme l’est le fait de chercher à préserver les intérêts d’un État ou à établir un #ordre_national plus juste dans un monde ravagé par les injustices, où l’on assiste au pillage des richesses humaines et naturelles par des multinationales occidentales ; un monde où rien ne protège les plus démunis de la prédation des États les plus puissants, qui se maintiennent par une #force_de_travail bon marché et des #matières_premières bradées. En effet, dans ce marché international qu’est devenu le monde et qui est régi par les intérêts économiques du capital et ses injonctions, le racisme apparaît comme une condition essentielle pour conserver une main-d’œuvre privée de droits, une force de travail à bas coût, non seulement dans les périphéries mais aussi au cœur des puissances économiques.

    Le racisme fonctionne donc selon des besoins cycliques. D’une part, il permet d’offrir des compétences à la demande et une main-d’œuvre bon marché dans les périodes de croissance, et, d’autre part, il permet d’exclure certaines populations du marché du travail dans les périodes de crise. Pour que cette mécanique puisse se perpétuer, les discriminations doivent persister, les frontières se renforcer et les populations « déplaçables » se résigner à leur #instrumentalisation. C’est ainsi que la splendide forteresse (le #centre) se protège contre les populations issues des #périphéries. C’est à ces conditions que peut se maintenir indéfiniment cet #ordre inique à l’échelle mondiale et c’est à ce niveau que doit s’inscrire la lutte pour la #justice_sociale.

    Ainsi déployée, la question migratoire déborde complètement celle des attitudes individuelles ou collectives vis-à-vis des immigrés, tout comme elle ne saurait être attribuée aux seuls faits politique ou économique, puisqu’elle est un fait social total, et que toute tentative de la saisir par un seul bout est vouée à l’échec. Il faut donc réinventer le débat, lui donner l’ampleur qu’il mérite et mettre à jour le lien direct qui lie les migrations avec les #guerres menées en Afrique et au Moyen-Orient, avec l’#extractivisme effréné et l’#exploitation irresponsable des #ressources des pays du Sud. Ce faisant, la question migratoire reprendra la place qui est la sienne au cœur de la lutte anti-impérialiste.

    https://afriquexxi.info/Migration-fait-social-total
    #utilitarisme #humanitarisme #paternalisme #diaspora #approche_globale #voies_légales #Etat-nation #nationalisme #nationalisme_méthodologique #périphérie #anti-impérialisme
    ping @reka @karine4 @_kg_ @isskein

  • Jeudi 7 août 2025 à Gaza : Israël tue plus de 46 personnes
    8 août 2025 | - IMEMC News
    https://imemc.org/article/dozens-including-palestinians-near-aid-centers-killed-in-gaza

    Jeudi, 671e jour du génocide perpétré par Israël à Gaza, les hôpitaux de l’enclave assiégée ont rapporté que les forces israéliennes avaient tué au moins 46 Palestiniens depuis l’aube, dont 23 personnes qui attendaient l’aide humanitaire.

    Des sources médicales dans la bande de Gaza ont annoncé jeudi la mort de quatre citoyens des suites de la famine et de la malnutrition, enregistrée dans les hôpitaux de la bande de Gaza au cours des dernières 24 heures. Deux enfants figuraient parmi les morts, portant à 197 le nombre total de victimes de la famine et de la malnutrition, dont 96 enfants.

    Ruaa Mashi, âgée de deux ans, est morte dans sa tente dans la région de Mawasi, à l’ouest de Khan Younis, dans le sud de Gaza, des suites d’une famine et d’une malnutrition sévères.
    Sa mort met en évidence l’aggravation de la catastrophe humanitaire dans la bande de Gaza, où les familles déplacées sont confrontées à une pénurie extrême de nourriture et de soins médicaux dans un contexte de siège renforcé et de génocide israélien continu.
    https://imemc.org/wp-content/uploads/2025/08/ruaa-mashi-WhatsApp-Video-2025-08-08-at-2.26.26-AM.mp4?_=1

    La crise humanitaire dans la bande de Gaza continue de s’aggraver, en raison du blocus et des pénuries de nourriture et de fournitures médicales, alors que la famine sévère coïncide avec la guerre génocidaire menée par Israël depuis le 7 octobre 2023.

    Depuis le 2 mars 2025, les autorités d’occupation israéliennes ont fermé tous les points de passage avec la bande de Gaza, empêchant l’entrée de la plupart des denrées alimentaires et de l’aide médicale, provoquant une famine dans la bande de Gaza.

    L’Office de secours et de travaux des Nations unies (UNRWA) a averti que la malnutrition chez les enfants de moins de cinq ans avait doublé entre mars et juin, en raison du blocus en cours.

    L’Organisation mondiale de la santé a confirmé que les taux de malnutrition à Gaza ont atteint des niveaux alarmants, que le blocus délibéré et les retards dans l’acheminement de l’aide ont causé de nombreuses pertes en vies humaines et que près d’un enfant sur cinq âgé de moins de cinq ans dans la ville de Gaza souffre de malnutrition sévère.

    Un rapport récent de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (#FAO) et du Centre des Nations unies pour l’application des technologies spatiales (UNOSAT) souligne l’impact dévastateur sur l’agriculture de Gaza :
    Seulement 1,5 % des terres agricoles sont intactes et accessibles, tandis que 86 % ont été endommagées.

    Des zones agricoles entières à Rafah et dans le nord de Gaza sont complètement interdites d’accès, et la quasi-totalité des terres agricoles de la province de Gaza sont également inaccessibles.

    Cette destruction généralisée des terres agricoles accélère l’aggravation de la famine à Gaza, délibérément intensifiée par le blocus israélien en cours qui restreint l’aide humanitaire.

    #Human_Rights_Watch appelle les gouvernements à suspendre les transferts d’armes vers Israël en raison du risque évident qu’elles soient utilisées pour commettre de graves violations du droit international humanitaire.
    L’organisation a souligné que l’utilisation répétée d’armes fournies par les États-Unis dans des frappes contre des écoles transformées en abris et d’autres crimes de guerre présumés rend les États-Unis complices de ces actes illégaux.
    https://imemc.org/wp-content/uploads/2025/08/WhatsApp-Video-2025-08-08-at-12.01.01-AM.mp4?_=2

    #Médecins_Sans_Frontières a accusé les forces israéliennes et les entrepreneurs américains d’avoir mené des attaques ciblées et aveugles contre des Palestiniens affamés dans des centres de distribution de nourriture à Gaza, qualifiant ces sites de « zones de mise à mort préméditées » pour les civils.
    L’organisation a déclaré que l’analyse des données provenant de deux de ses cliniques révélait un schéma constant de violence systématique contre les civils qui attendaient dans les files d’aide, notamment des tirs directs et des attaques, une politique délibérée de famine et de meurtre.
    Médecins Sans Frontières a appelé au démantèlement immédiat de la GHF (Gaza Humanitarian Foundation) et a demandé la réactivation du mécanisme de livraison de l’aide coordonné par l’ONU.

    Les attaques suivantes menées par les forces israéliennes contre des civils palestiniens ont été documentées par des sources locales jeudi :
    22 h
    Des avions israéliens ont lancé une frappe aérienne sur les zones orientales de Khan Younis, dans le sud de la bande de Gaza.
    21 h 30
    Des colons israéliens bloquent la route pour empêcher des camions d’aide humanitaire d’atteindre des familles affamées à Gaza , tout en jouant de la musique à plein volume et en dansant pour se réjouir, alors que la faim et la souffrance s’intensifient à quelques kilomètres de là.
    https://imemc.org/wp-content/uploads/2025/08/WhatsApp-Video-2025-08-08-at-1.33.20-AM.mp4?_=3

    20h
    Plusieurs Palestiniens ont été blessés après des frappes aériennes israéliennes qui ont visé l’école Musa bin Nusayr, qui abritait des familles déplacées dans le quartier d’Al-Daraj, à Gaza.

    17h
    Sept civils, dont une famille entière, ont été tués et d’autres blessés jeudi lors de bombardements israéliens sur la ville de Gaza.
    Abdullah Abu Al-Jabin, sa femme et leurs quatre enfants ont été tués lorsque les forces d’occupation ont bombardé une tente abritant des personnes déplacées près de la mosquée Bir al-Saba, dans le quartier de Sheikh Radwan, au nord-ouest de la ville de Gaza.

    Une femme a été tuée et un citoyen gravement blessé lors d’une attaque israélienne qui a visé trois maisons distinctes près de la place Al-Shawa, dans la ville de Gaza.

    16 h
    Un enfant palestinien a été tragiquement tué jeudi lorsqu’une caisse d’aide humanitaire larguée par les airs est tombée directement sur lui dans le sud de Gaza. Plusieurs organisations humanitaires ont averti que les largages aériens à Gaza sont inefficaces et peuvent tuer des civils affamés
    Saed Abu Younis a été tué alors qu’il tentait de récupérer de l’aide humanitaire larguée par les airs à Khan Younis, ont confirmé des sources médicales à l’hôpital Nasser.

    Il y a quelques jours, un infirmier a également été tué après avoir été directement touché par une caisse d’aide humanitaire.

    L’enfant palestinien Taha Al-Maqadma a perdu la vue après avoir été touché par des tirs des forces israéliennes dans un centre de distribution d’aide humanitaire américain présumé, dans le centre de la bande de Gaza.
    Il a également perdu son père et son frère lors de la guerre génocidaire menée par Israël contre Gaza.
    https://imemc.org/wp-content/uploads/2025/08/IMG_3427.mp4?_=4

    Le Croissant-Rouge palestinien a confirmé la mort de son collègue Ashraf Yousef, 44 ans , membre de l’équipe des services administratifs de l’hôpital de campagne Al-Saraya. Il a été tué lors d’une frappe aérienne israélienne qui visait un groupe de civils attendant de l’aide dans la région de Kisufim, à l’est de la bande de Gaza centrale.

    MISE À JOUR À PARTIR du rapport de 10h33 :
    Neuf Palestiniens ont été abattus alors qu’ils attendaient l’aide humanitaire. Ils ont été tués près d’un centre d’aide au nord de Rafah , dans la partie la plus méridionale de Gaza, et quatre autres dans le centre de Gaza.

    Des sources médicales à Gaza ont confirmé que six autres Palestiniens, dont un enfant, Mohammad Zakaria, sont morts de malnutrition.
    https://imemc.org/wp-content/uploads/2025/08/A7_snyPPR75z0L0u.mp4?_=5

    Le directeur de la Société palestinienne de secours médical à Gaza a déclaré à Al-Jazeera que la bande de Gaza recevait au moins 600 camions d’aide par jour pour lutter contre la famine qui se propage.

    Dans le quartier de Sheikh Radwan, situé au nord de la ville de Gaza, les forces israéliennes ont tiré un missile sur une maison, tuant trois Palestiniens et en blessant plusieurs autres.

    Des sources au centre médical Shifa ont rapporté que quatre Palestiniens ont été tués et plusieurs autres blessés lors d’une frappe israélienne sur un appartement dans le camp de réfugiés de Shati, à l’ouest de la ville de Gaza.

    Quatre Palestiniens ont été tués et plusieurs autres blessés lorsqu’un hélicoptère militaire israélien a tiré un missile sur un appartement dans l’immeuble résidentiel Salhi, situé dans la partie ouest du camp de réfugiés de Nuseirat , dans le centre de Gaza.

    Cinq Palestiniens ont été tués et plusieurs autres blessés lorsque les forces israéliennes ont pris pour cible une tente abritant une famille déplacée dans la région d’at-Tal, au sud-ouest de Deir al-Balah , dans le centre de Gaza.

    À Khan Younis, dans le sud de Gaza, un père palestinien, sa femme et leurs enfants ont été tués dans un bombardement israélien qui a frappé la partie ouest de la ville. De nombreuses autres personnes ont été blessées et transportées d’urgence au centre médical Nasser.

    Deux femmes palestiniennes ont également été tuées lorsque leur tente a été bombardée par un drone israélien, tandis qu ’un enfant a été tué dans une autre frappe visant la tente de sa famille dans l’ouest de Khan Younis.
    https://imemc.org/wp-content/uploads/2025/08/yO1oBgk5Os9OIvwh.mp4?_=7

    Toujours à Khan Younis, six Palestiniens ont été tués et de nombreux autres blessés dans un bombardement visant la tente d’une famille déplacée dans la région d’Al-Mawasi, à l’ouest de la ville. Parmi les Palestiniens tués figuraient Amira Youssef Sa’adi Mansour, 6 ans, et sa mère, Tahani Hani Abu Ghali, 32 ans.

    Ces meurtres surviennent dans un contexte de famine croissante. Le ministère de la Santé de Gaza a confirmé la mort de trois personnes, dont deux jeunes filles. Le nombre total de décès attribués à la famine et à la malnutrition s’élève désormais à 198, dont 96 enfants, chiffres qui reflètent les privations systématiques auxquelles sont confrontés les civils.

    Par ailleurs, les médias israéliens ont rapporté que le chef d’état-major Herzi Halevi devrait lancer un avertissement sévère lors d’une réunion du cabinet de sécurité, mettant en garde contre l’occupation totale de la bande de Gaza. Il aurait qualifié une telle mesure de « plonger Israël dans un trou noir qui rappelle le Vietnam ».

    La chaîne Channel 12 a rapporté que le prochain plan militaire prévoit l’occupation totale de la ville de Gaza, dans un contexte de tensions persistantes entre le Premier ministre Benjamin Netanyahu et le chef d’état-major au sujet des décisions stratégiques à prendre à Gaza.

    Selon des sources militaires israéliennes citées par le journal Maariv, l’armée prévoit qu’après la prise de contrôle totale de Gaza, elle sera contrainte d’établir une administration militaire et d’assumer la responsabilité de la gestion des affaires d’environ 2,5 millions de Palestiniens.

    Les estimations militaires suggèrent que la campagne visant à prendre le contrôle de la bande de Gaza pourrait durer au moins trois mois et impliquer des opérations de grande envergure pour démanteler le réseau de tunnels.

    Les estimations israéliennes préviennent également qu’un nombre important de soldats pourraient être tués si l’offensive militaire était étendue. En outre, on craint que la plupart des prisonniers israéliens détenus à Gaza ne soient tués soit par leurs ravisseurs, soit en raison de l’intensification des frappes aériennes si l’offensive s’intensifie.

    L’armée devrait présenter aujourd’hui aux dirigeants politiques un compte rendu détaillé des coûts potentiels qu’Israël devrait supporter s’il procédait à une occupation totale de Gaza.

    Pour sa part, le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré que plus de 14 800 patients à Gaza ont besoin de soins médicaux spécialisés de toute urgence, appelant à l’accélération des efforts d’évacuation médicale.
    Dans un message publié sur la plateforme X, M. Ghebreyesus a annoncé que l’OMS avait facilité l’évacuation de 15 enfants dans un état critique, ainsi que 42 de leurs proches, de Gaza vers la Jordanie tôt dans la matinée.
    Il a ajouté : « Plus de 14 800 patients à Gaza ont toujours désespérément besoin de soins médicaux spécialisés. Nous exhortons davantage de pays à prendre des mesures pour accueillir les patients et accélérer les évacuations médicales par tous les moyens possibles. »

    Un représentant de l’Union européenne a informé jeudi l’agence Reuters que la situation à Gaza restait extrêmement critique d’un point de vue humanitaire. Le responsable a souligné que l’absence d’un environnement opérationnel sûr continuait d’entraver les efforts d’aide et la distribution de fournitures essentielles.

    Human Rights Watch a documenté que les frappes militaires israéliennes ont visé plus de 500 écoles dans la bande de Gaza depuis octobre 2023, dont beaucoup servaient d’abris pour les familles déplacées. Ces attaques ont causé la mort de centaines de civils.
    L’organisation a déclaré que les frappes contre des établissements d’enseignement à Gaza constituent une violation du droit international, quelle qu’en soit la justification. Elle a également souligné le recours à la tactique du « double coup », qui consiste à frapper d’abord, puis à attaquer les secouristes, et a fait état d’agressions délibérées contre le personnel médical.
    Les conclusions indiquent que les bombardements étaient aveugles et impliquaient des munitions fournies par les États-Unis, ce qui soulève de graves préoccupations quant aux violations du droit humanitaire et à la responsabilité des pays exportateurs d’armes.

    Il convient de noter que le nombre de Palestiniens tués alors qu’ils attendaient l’aide humanitaire a dépassé 1 655, et que plus de 11 800 personnes ont été blessées. Au total, 193 Palestiniens, dont 96 enfants, sont morts de faim.

    Depuis le 7 octobre 2023, Israël a tué plus de 61 158 Palestiniens, dont au moins 18 592 enfants et 12 400 femmes, et blessé plus de 151 442 personnes, dont la plupart sont des enfants, des femmes et des personnes âgées. Des milliers de personnes sont toujours portées disparues, dont beaucoup sont ensevelies sous les décombres, dans les rues bombardées et les ruelles détruites de la bande de Gaza dévastée.

    #Génocide #Bilan

    • Principaux événements du jeudi 7 août 2025, 23 h 51 BST | Middle East Eye
      https://www.middleeasteye.net/live-blog/live-blog-update/evening-recap-497

      - Les responsables sanitaires de Gaza ont confirmé que 47 Palestiniens ont été tués par Israël dans l’enclave depuis l’aube jeudi.

      – Le nombre de Palestiniens morts de faim à cause du siège israélien est passé à 197.

      – Le ministère libanais de la Santé a déclaré que six personnes ont été tuées et dix autres blessées lors d’une frappe aérienne israélienne sur la Bekaa, dans l’est du pays.

      – Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré jeudi à Fox News que son plan était d’occuper militairement l’ensemble de la bande de Gaza.

      – Le Hamas a déclaré que les déclarations de M. Netanyahu « constituent un revirement clair dans le cours des négociations et révèlent clairement les véritables motivations derrière son retrait du dernier cycle [de négociations], alors que nous étions sur le point de parvenir à un accord final ».

      – Un responsable jordanien a déclaré à Reuters que les Arabes « ne soutiendront que ce que les Palestiniens auront accepté et décidé ».

      – Le chef d’état-major israélien Eyal Zamir a souligné qu’il continuerait à exprimer son opposition aux projets du gouvernement visant à occuper la bande de Gaza.

    • Mise à jour au matin du vendredi 8 août 2025, 05 h 55 BST | | Middle East Eye
      https://www.middleeasteye.net/live-blog/live-blog-update/morning-update-387?nid=425676&topic=Israel%2527s%2520war%2520on%2520G

      Voici les dernières informations concernant la guerre entre Israël et Gaza :
      • Le cabinet de sécurité israélien a approuvé la proposition du Premier ministre Benjamin Netanyahu visant à ce que l’armée israélienne prenne le contrôle de la ville de Gaza, à l’issue d’une réunion marathon qui s’est terminée tôt vendredi matin, selon Haaretz.

      • L’Australie a exhorté Israël à « ne pas s’engager dans cette voie », après que le Premier ministre Netanyahu a déclaré qu’Israël avait l’intention de prendre le contrôle militaire de Gaza.

      • NBC News a rapporté que des images obtenues par un satellite commercial montrent l’armée israélienne rassemblant des troupes et du matériel près de la frontière avec la bande de Gaza en vue d’une possible opération terrestre majeure imminente.

      • Le Hamas a déclaré que la déclaration du Premier ministre Benjamin Netanyahu « confirmant son intention d’étendre l’agression confirme sans aucun doute qu’il cherche à se débarrasser de ses prisonniers et à les sacrifier », avertissant qu’il traiterait toute force formée pour gouverner le territoire comme « une force d’occupation liée à Israël ».

      • La police israélienne a arrêté 10 manifestants, dont deux mineurs, lors d’une manifestation à Tel-Aviv jeudi soir, alors que des milliers de personnes s’étaient rassemblées pour réclamer un accord sur les prisonniers, a rapporté Haaretz.

      • La communauté juive ultra-orthodoxe d’Israël s’est engagée jeudi à résister aux mesures prises par le gouvernement pour appeler les étudiants des séminaires au service militaire, alors que des manifestants descendaient dans les rues de Jérusalem pour protester contre l’arrestation de deux objecteurs.

  • Samedi 26 juillet 2025 à Gaza : plus de 71 morts, 22 demandeurs d’aide tués ; 124 morts de faim
    27 juillet 2025 | - IMEMC News
    https://imemc.org/article/saturday-in-gaza-ongoing-bombing-death-and-starvation

    Le samedi 26 juillet 2025, 659e jour du génocide en cours à Gaza, la famine continue de s’aggraver dans tout le territoire assiégé, le nombre de morts de faim s’élevant à 124 Palestiniens, dont 83 enfants. Les bombardements israéliens se sont également poursuivis pour le 659e jour consécutif (à l’exception d’un bref cessez-le-feu début 2025), tuant au moins 71 Palestiniens. 42 civils palestiniens ont été abattus samedi sur des sites dits « de distribution d’aide », un événement quotidien dans les arènes de type « gladiateurs » mises en place par une société américaine le 27 mai.

    Le ministère de la Santé de Gaza a déclaré que la famine avait fait cinq nouvelles victimes au cours des dernières 24 heures, portant à 127 le nombre total de décès liés à la famine depuis le début du conflit, dont 85 enfants.

    Le gouvernement israélien a annoncé qu’il mettrait en place des « pauses humanitaires » dans certaines zones de Gaza à partir de dimanche, afin de faciliter l’acheminement de l’aide. Cependant, les experts affirment que ces brèves interruptions ne suffiront pas à atténuer la crise alimentaire qui s’aggrave dans tout le territoire.

    L’armée israélienne a largué une quantité limitée de nourriture dans le nord de Gaza, une initiative qui a suscité de vives critiques de la part des responsables des Nations unies et des organisations humanitaires, qui ont qualifié cette approche de coûteuse, inefficace et dangereuse.

    Ajoutant aux tensions croissantes, les forces israéliennes ont arraisonné le navire Handala qui se rendait à Gaza avec des secours destinés aux personnes souffrant de la faim. Le navire transportait 19 militants internationaux et deux journalistes d’Al Jazeera, dont on ignore toujours le sort.

    Le nourrisson Houd Arafat a rejoint deux autres nourrissons, Zeinab Abu Hleib et Houd Arafat (âgé de seulement sept jours), décédés des suites de malnutrition et du manque de lait , portant à cinq le nombre de morts de faim, dont trois enfants, au cours des dernières 24 heures.
    Selon des sources médicales, le nombre de victimes de la famine dans la bande de Gaza est passé à 127, dont 85 enfants.
    https://imemc.org/wp-content/uploads/2025/07/ZeinabAbuHalib.mp4?_=1

    Zeinab Abu Hleib
    Environ 900 000 enfants à Gaza souffrent actuellement de la faim, dont 70 000 sont entrés en phase de malnutrition.

    L’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine (#UNRWA) avait averti que la malnutrition chez les enfants de moins de cinq ans avait doublé entre mars et juin, en raison du blocus israélien de la bande de Gaza.

    La défense civile de Gaza a averti samedi qu’aucun de ses véhicules ne serait bientôt en mesure de fournir des services vitaux en raison de leur état de délabrement avancé et d’une pénurie critique de carburant. Dans un communiqué, l’organisation a déclaré avoir informé l’ONU et les organisations humanitaires internationales que sans un approvisionnement immédiat en carburant et en pièces de rechange, ses équipes ne seraient plus en mesure de répondre aux bombardements israéliens ou à d’autres urgences d’ici la fin du mois.

    La défense civile a également souligné une augmentation des incendies causés à la fois par les attaques israéliennes et par les Palestiniens qui brûlent tout ce qu’ils peuvent pour remplacer le gaz de cuisine en raison du blocus.

    Les autorités israéliennes ont annoncé samedi qu’elles allaient larguer un camion de nourriture (il en faudrait plus de 600 par jour pour éviter la famine) dans ce que les Palestiniens qualifient de « coup de pub ». Le commissaire de l’UNRWA, M. Lazzarini, a déclaré : « Le largage d’aide au-dessus de Gaza ne résout pas la crise alimentaire, n’est pas distribué équitablement et ne peut être comparé à la capacité des camions. Il s’agit simplement d’une tentative pour apaiser les consciences face à la guerre de famine que mène Israël contre les civils à Gaza. »

    S’adressant à Al Jazeera, le directeur des soins infirmiers du complexe médical Nasser a averti que Gaza s’approchait d’une vague de morts massives parmi les groupes vulnérables de Palestiniens affamés en raison de la famine causée par le blocus israélien. Parallèlement, Quds News rapporte que des médecins s’évanouissent dans les salles d’opération de Gaza à cause de la faim et de l’épuisement. Les chirurgiens perdent leur concentration en plein opératoire et continuent leur travail les larmes aux yeux. Les pédiatres tiennent dans leurs bras des nourrissons mourants, alors qu’eux-mêmes n’ont pas mangé depuis des jours. Certains médecins ne se souviennent plus des noms ou ne peuvent plus prendre de notes précises. Leur mémoire s’estompe. Leur esprit est brisé. Ce n’est pas une exagération. C’est la réalité quotidienne des équipes médicales de Gaza.

    Le Dr Muneer Alboursh, directeur général du ministère de la Santé, affirme que la crise a atteint un point insupportable. « Même les #médecins, ceux qui sont censés sauver des vies, ont maintenant besoin d’être sauvés », a-t-il déclaré.

    Dans tous les hôpitaux, les corps s’effondrent en silence. Dans toutes les salles d’urgence, les médecins ignorent leur propre douleur pour soigner les blessés. Le siège et la famine ne tuent plus seulement les patients. Ils tuent aussi les médecins.

    Depuis le 7 octobre 2023, les forces d’occupation israéliennes ont lancé une offensive contre la bande de Gaza, qui a fait au moins 59 733 morts, dont une majorité d’enfants et de femmes, et 144 477 blessés, selon un bilan provisoire, car un certain nombre de victimes sont encore sous les décombres et sur les routes, et les équipes d’ambulanciers et de secours ne peuvent pas les atteindre.

    Les attaques suivantes contre des civils palestiniens par les forces israéliennes ont été documentées par des sources locales le samedi 25 juillet 2025 :
    23h30
    Trois Palestiniens ont été tués samedi soir lors d’un bombardement israélien sur la ville de Gaza .
    Un correspondant de l’agence de presse Wafa a rapporté que le bombardement visait un immeuble résidentiel près de l’hôtel Al-Amal, à l’ouest de la ville de Gaza, tuant trois citoyens et en blessant plusieurs autres.

    20 h 11
    Dix Palestiniens ont été tués samedi soir par les tirs des forces d’occupation israéliennes (IOF) au nord-ouest de la bande de Gaza .
    Un correspondant de Wafa a rapporté que les forces d’occupation ont ouvert le feu sur des personnes qui attendaient l’aide humanitaire au nord-ouest de Gaza, près du checkpoint de Zikim , tuant 10 citoyens et en blessant d’autres.

    Cette attaque fait suite à une précédente attaque contre des personnes en quête d’aide (détails ci-dessous) au cours de laquelle 12 personnes ont été abattues par des tireurs d’élite américains et israéliens postés sur les sites « d’aide ».
    https://imemc.org/wp-content/uploads/2025/07/video_2025-07-26_17-56-39.mp4?_=2

    18 h
    Six citoyens palestiniens, dont deux enfants, ont été tués et plusieurs autres blessés samedi lorsqu’un drone israélien a bombardé une tente abritant des personnes déplacées dans la région d’Al-Mawasi, à l’ouest de Khan Younis, dans le sud de la bande de Gaza.
    Des sources médicales du complexe médical Nasser ont confirmé l’arrivée à l’hôpital des corps de six Palestiniens, dont deux enfants, et d’un certain nombre de blessés. Elles ont indiqué que le bombardement visait directement une tente pour personnes déplacées dans une zone que l’occupation prétendait « sûre ».

    Quds News rapporte qu’ un jeune Palestinien a été tué lors d’une frappe aérienne israélienne sur la ville de Bani Suheila, dans le sud de la bande de Gaza.

    MISE À JOUR DU Rapport de 13 h 07
    À l’aube samedi, six civils ont été tués et d’autres blessés dans une frappe aérienne israélienne visant la partie ouest de la ville de Gaza .

    Dans le quartier de Tal Al-Hawa, dans le sud de la ville de Gaza, un obus israélien a tué trois Palestiniens et blessé six autres, pour la plupart des enfants, près de la Palestine Bank.

    Des sources médicales ont rapporté que quatre des victimes ont également été tuées lorsque des avions de combat israéliens ont bombardé un appartement dans le quartier de Rimal.

    De plus, Mohammad Riyad Fawrah et sa femme Jumana Aref Fawrah ont été tués lorsque des débris d’un bâtiment voisin se sont effondrés sur leur tente à la suite d’une frappe.

    Plusieurs civils blessés, dont beaucoup attendaient l’aide humanitaire, ont été transportés d’urgence au complexe médical Al-Shifa après que les soldats ont ouvert le feu sur les Palestiniens dans le quartier d’Al-Waha.

    Depuis tôt ce matin, des dizaines de Palestiniens ont été tués par les tirs de l’armée israélienne, parmi lesquels 12 personnes venues chercher de l’aide ont été tuées par des tirs israéliens à Khan Younis, dans le sud de Gaza, en plus des 17 Palestiniens tués et 200 blessés alors qu’ils cherchaient de l’aide près de la base de Zikim , dans le nord de Gaza.

    En outre, la défense civile palestinienne a déclaré que ses médecins, en coordination avec le Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations unies (#OCHA), avaient réussi à récupérer les corps de douze Palestiniens dans le corridor de Morag, au nord de Rafah, dans la partie la plus méridionale de Gaza.

    Dans le même temps, l’aviation israélienne a lancé une série de raids aériens sur al-Shuja’iyya, à l’est de la ville de Gaza, intensifiant les bombardements.

    L’armée israélienne continue de commettre des massacres contre des civils qui attendent de l’aide et qui sont quotidiennement menacés de mort par des tirs aveugles et des attaques directes.

    Depuis la mise en place du système de points de distribution de l’aide le 27 mai 2025, plus de 1 000 Palestiniens ont été tués et des centaines d’autres blessés alors qu’ils tentaient de recevoir une aide humanitaire.

    Les centres de distribution d’aide gérés par la « Gaza Humanitarian Relief Foundation », une organisation israélo-américaine rejetée par les Nations unies, sont devenus des lieux de massacres, où les civils sont non seulement pris pour cible, mais aussi soumis à des humiliations et à des déplacements forcés dans des conditions catastrophiques.

    Le Programme alimentaire mondial a qualifié la situation d’inédite, tandis que l’UNICEF a lancé des avertissements concernant l’épuisement imminent des traitements vitaux contre la malnutrition.

    Dans le même temps, les médias israéliens ont rapporté que l’armée israélienne avait détruit des dizaines de milliers de tonnes de fournitures humanitaires, dont des quantités importantes de nourriture destinées aux civils de Gaza.

    Un haut responsable de la Société palestinienne de secours médical à Gaza a déclaré à Al-Jazeera qu’au moins 50 000 nourrissons dans la bande de Gaza n’avaient pas accès à des préparations spécialisées pour nourrissons. Il a rapporté que plus de 1 000 personnes qui cherchaient de l’aide avaient été tuées et environ 6 000 autres blessées.

    Les équipes médicales sont contraintes d’administrer des perfusions à leur propre personnel afin de leur permettre de continuer à travailler. Les ambulances sont immobilisées en raison d’un manque total de carburant, ce qui entrave considérablement les efforts d’urgence et de secours. La famine est telle que des personnes s’effondrent dans les rues de Gaza.

    Plus de 1 600 membres du personnel médical ont été tués à ce jour et, selon le responsable, les habitants de Gaza n’ont plus que deux choix terribles : la famine ou la mort. Le responsable a conclu par un appel urgent : la guerre doit cesser et l’aide humanitaire doit être autorisée à entrer immédiatement.

    Depuis le 7 octobre 2023, le nombre de Palestiniens tués s’élève à 59 676, dont la plupart sont des enfants et des femmes, et 143 965 personnes ont été blessées. Ces chiffres restent incomplets, car de nombreuses victimes sont toujours prisonnières des décombres ou gisent dans des zones inaccessibles où les équipes de secours ne peuvent pas se rendre.

    #Génocide #Bilan

    • Principaux événements du samedi 26 juillet 2025 | Middle East Eye
      https://www.middleeasteye.net/live-blog/live-blog-update/evening-recap-490

      • Le directeur de l’hôpital al-Shifa a déclaré que les hôpitaux de la bande de Gaza ont enregistré la mort de cinq Palestiniens, dont deux enfants, morts de faim au cours des dernières 24 heures.

      • Cela porte à 127 le nombre total de personnes décédées à Gaza des suites de la malnutrition, dont 85 enfants.

      • Le ministère palestinien de la Santé à Gaza a rapporté qu’au moins 57 personnes ont été tuées au cours de la dernière journée, et 512 blessées.

      • Le chef de l’agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens, Philippe Lazzarini, a critiqué l’utilisation de l’aide aérienne à Gaza, avertissant qu’elle risquait de tuer des civils en quête de secours.

      • Les troupes israéliennes ont pris d’assaut samedi le navire #Handala, qui se dirigeait vers Gaza dans les eaux internationales, empêchant ainsi sa tentative de livrer de l’aide aux Palestiniens dans l’enclave assiégée.

      • Deux hauts responsables de l’armée israélienne ont déclaré au New York Times qu’il n’y avait aucune preuve que le Hamas ait pillé l’aide humanitaire de l’ONU à Gaza, contredisant ainsi directement l’un des principaux arguments avancés par le gouvernement israélien pour justifier le blocage depuis des mois de l’acheminement de vivres à plus de deux millions de personnes.

      • Les Émirats arabes unis, proches alliés régionaux d’Israël, ont déclaré qu’ils reprendraient « immédiatement » les largages d’aide humanitaire à Gaza, alors que la situation humanitaire continue de se détériorer en raison du blocus israélien.

      • L’armée israélienne affirme qu’elle rouvrira les « couloirs humanitaires » pour les convois de l’ONU à Gaza et reprendra les largages d’aide, des mesures visant à apaiser une crise largement causée par son propre blocus de l’enclave assiégée.

    • Le point de la situation au matin du 27 juillet 2025, 10 h 33 BST | Middle East Eye

      Voici les derniers développements de la guerre entre Israël et Gaza :
      • Israël annonce une pause de 10 heures dans ses opérations militaires dans trois zones de la bande de Gaza, notamment al-Mawasi, Deir al-Balah et la ville de Gaza. Dans le même temps, au moins 43 Palestiniens auraient été tués à Gaza depuis l’aube de ce dimanche lors d’attaques israéliennes.

      • Dimanche matin, Israël a déclaré avoir largué de l’aide humanitaire dans l’enclave assiégée, après des semaines de pression internationale croissante pour permettre la livraison sans restriction de nourriture et de fournitures vitales dans le territoire, alors que la crise alimentaire s’aggrave. Plusieurs organisations et groupes internationaux ont averti que le largage de l’aide pourrait mettre en danger la vie des civils.

      • Le Hamas a condamné la décision d’Israël de larguer de l’aide, affirmant qu’elle « représente une politique flagrante visant à gérer la famine, et non à y mettre fin, et à imposer des faits accomplis sur le terrain sous les bombardements et la faim ».

      • Le ministère de la Santé à Gaza a déclaré que s ix Palestiniens, dont deux enfants, sont morts au cours des dernières 24 heures des suites de la famine et de la malnutrition.

      • La flottille Handala est arrivée au port d’Ashdod après le raid israélien sur le navire.

  • Matières fécales à l’origine des probiotiques.
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article4774

    Parmi les nouvelles thérapies « microbiotiques », celles induites pour les transits intestinaux diarrhéiques persistants. Des sociétés développent des capsules de microbiote standardisé, issues de matières fécales purifiées, ce qui étonnant. Rarement listées explicitement dans les pharmacopées classiques, ces prescriptions restent encadrées comme traitement biologique ou comme produit à usage médical, dans un cadre strict, voire étroitement surveillé. Sports / Santé

    / #USA,_Maison_Blanche,_CIA, Sciences & Savoir, #médecine,_sciences,_technologie,_ADN,_vaccin,_médicaments,_découvertes

    #Sports_/_Santé #Sciences_&_Savoir

  • La démence du vieillissement reculera chez les jeunes générations.
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article4763

    À partir d’un signe d’espoir, signifiant que les jeunes générations sont moins susceptibles de développer une démence au même âge que leurs parents ou grands-parents, comprendre cette mutation pourrait permettre d’accélérer et de la propager partout l’amélioration. Bien que le risque de démence augmente avec l’âge, les experts soulignent depuis longtemps que ce n’est pas une fatalité du vieillissement. Elle peut être surmontée, une voie est ouverte. Sports / Santé

    / Sciences & Savoir, #médecine,_sciences,_technologie,_ADN,_vaccin,_médicaments,_découvertes, #UE_-_Union_Européenne, #Data_-_Données, USA, Maison Blanche, (...)

    #Sports_/_Santé #Sciences_&_Savoir #USA,_Maison_Blanche,_CIA