• Article gratuit

    Amsterdam : dix blessés après des incidents visant des supporteurs israéliens après un match de Ligue Europa entre l’Ajax Amsterdam et le Maccabi de Tel-Aviv
    https://www.lemonde.fr/international/article/2024/11/08/amsterdam-un-tres-violent-incident-visant-des-supporters-israeliens-apres-un

    Des vidéos partagées en ligne les montrent se faire frapper, notamment au sol, tandis que des assaillants crient « Free Palestine » et des insultes en arabe .

  • Un célèbre journaliste israélien fait exploser un immeuble au Sud-Liban Hugues Maillot - Le figaro

    Le présentateur vedette de la chaîne Canal 12, danny kushmaro, s’est mis en scène dans un reportage alors qu’il déclenchait des explosifs placés dans un bâtiment par l’armée israélienne.

    La séquence est saisissante : un homme casqué, les yeux masqués par des lunettes noires et harnaché d’un gilet pare-balles, est tranquillement assis sur un canapé défoncé, trônant au sommet d’un tas de ruines. L’homme s’appelle danny kudanny kushmaroshmaro. Il est l’un des journalistes israéliens les plus célèbres du pays. Sur les images qui suivent, il va faire exploser un immeuble. Le présentateur de Canal 12, la chaîne d’information la plus populaire du pays, était récemment en reportage avec l’armée israélienne dans le sud du Liban. Il en a tiré un documentaire de 26 minutes, diffusé ce week-end, et à la fin duquel il a ° « l’honneur » de déclencher des explosifs placés dans un bâtiment. 

    « Juste avant de partir, il reste une dernière maison » , lance en hébreu un soldat à l’envoyé spécial, dans des propos traduits par L’Orient Le Jour https://www.lorientlejour.com/article/1433269/un-journaliste-israelien-fait-scandale-en-faisant-sauter-une-maison-a . Il lui montre du doigt une habitation et lui tend un détonateur. « Quatre, trois, deux, un, feu ! » compte le fantassin. Le journaliste s’exécute et commente : « Une maison avec un stock d’armes, surplombant israël, a été détruite, éliminant une menace pour l’État d’israël » . Dans un sourire il conclut, en anglais : « Don’t mess with the Jews » (« Ne vous frottez pas aux Juifs »). _


    « Fascination » pour tsahal
    Décrit comme un « élément utile de la machine de propagande » israélienne par le journal Haaretz https://www.haaretz.com/israel-news/haaretz-today/2024-10-27/ty-article/.premium/israels-most-beloved-tv-journalist-blew-up-a-building-in-lebanon-israelis-didnt-blink/00000192-cfa9-d6a0-affe-cfaf203e0000 , danny kushmaro était déjà avant la guerre un passionné d’adrénaline. Ses émissions du vendredi soir, où il se mettait en scène dans des voitures de course ou des virées à moto en Europe, ont passionné israël. Depuis le 7 octobre, il est passé naturellement du divertissement à la couverture assidue de la guerre, en accompagnant au plus près les actions de l’armée israélienne à Gaza et au Liban. « Ses reportages sur le champ de bataille ont toujours été problématiques » , note Haaretz , qui souligne sa « fascination » , voire son « idolâtrie » , pour tsahal. Les habitants de Gaza ou du Liban, auxquels il ne donne presque jamais la parole, sont régulièrement décrits comme des fanatiques sanguinaires. 

    Si la séquence de l’explosion n’a pas fait « broncher » les israéliens, selon le journal, elle a outré certains journalistes et responsables politiques. Le grand reporter de France 24 Cyril Payen l’a qualifiée de « honte ». « Il n’y a plus d’éthique, plus de garde-fous », a-t-il regretté sur X. 

    Le député Ofer Cassif, du parti de gauche hadash, a préféré manier l’ironie : « danny kushmaro est filmé ici en tenue de presse, en train de faire exploser de ses propres mains un immeuble au Liban. Il est ensuite retourné en studio pour diffuser un reportage sur les terroristes du Hamas déguisés en journalistes ». 

    #guerre #destruction du #Liban #israel #racisme #journaliste #fanatiques #propagande #spectacle #médias

    Source : https://www.lefigaro.fr/international/un-celebre-journaliste-israelien-fait-exploser-un-immeuble-au-sud-liban-202

  • Enfants influenceurs : un début de prise de conscience mais peu de contrôles
    https://www.la-croix.com/france/enfants-influenceurs-un-debut-de-prise-de-conscience-mais-peu-de-controles

    Analyse

    Quatre ans après la promulgation d’une loi sur les enfants influenceurs en 2020, les parents semblent se conformer au cadre légal et mieux saisir les dangers liés à la surexposition de leurs enfants en ligne. Mais les contrôles de l’inspection du travail restent insuffisants.

    Capucine Licoys, le 23/10/2024 à 05:20

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    Lecture en 5 min.
    Enfants influenceurs : un début de prise de conscience mais peu de contrôles
    En 2020, une loi a été adoptée pour encadrer l’activité des enfants influenceurs, souvent exposés en ligne par leurs parents. artiemedvedev / Getty

    Tiago Tanti, Cayden Correia, Ruby Guedj. Leurs noms ne vous disent peut-être rien, pourtant à eux seuls, ils cumulent près de 2,7 millions d’abonnés sur Instagram. Petite particularité de ces trois stars des réseaux sociaux, aucun n’a plus de 6 ans. Ils font partie de ce qu’on appelle les « enfants influenceurs » : ces mineurs dont la vie quotidienne est mise en scène sur Internet, souvent exploitée à des fins commerciales. Ils sont au cœur de la série Les Enfants sont rois, inspirée du roman éponyme de Delphine de Vigan, disponible ce mercredi 23 octobre sur Disney+.
    À lire aussiSérie : « Les enfants sont rois », une plongée glaçante dans l’univers des bébés influenceurs

    Outre ces comptes dont les enfants sont les héros, des parents influenceurs mettent aussi régulièrement en scène le quotidien de leur progéniture. Si ces contenus n’ont pas toujours un but lucratif, c’est le cas des trois quarts d’entre eux (77 % de ces parents disent en effet avoir un partenariat en cours avec au moins une marque, selon une étude de l’Observatoire français de la parentalité et de l’éducation numérique réalisée en 2022).

    Ces chiffres en disent long sur l’ampleur du marché lucratif reposant sur l’exposition du quotidien des enfants en ligne, à grand renfort de publications parrainées par des marques de luxe, ou de vidéos YouTube (vlogs) faisant la promotion de jeux. Avant 2020, les parents avaient le champ libre pour publier ce type de contenus mettant en scène ces petits travailleurs des plateformes en ligne, en l’absence de cadre légal.

    Jusqu’à ce que Bruno Studer, alors député Renaissance, cherche à combler ce vide législatif : « Le cœur de la loi, c’est de protéger les enfants se trouvant dans une relation de travail claire, via un partenariat de marque, mais aussi les zones plus grises d’Internet, notamment les collaborations masquées avec des plateformes qui monétisent les vues, comme YouTube », explique l’ancien élu.
    Des contrôles insuffisants

    Promulguée le 19 octobre 2020, la loi visant à encadrer l’exploitation commerciale des mineurs devient alors, selon Bruno Studer, « une première pierre dans le chantier de la protection de l’image de l’enfant en ligne ». Dorénavant, chaque mineur de moins de 16 ans bénéficie dans ce domaine d’horaires de travail encadrés et d’un droit à l’oubli numérique, qu’il peut exercer sans l’autorité d’un tuteur.

    L’activité d’un enfant influenceur tombe aussi sous le coup des règles protectrices du code du travail : à l’instar des mineurs opérant dans le monde du mannequinat, les parents doivent demander un agrément à l’administration. « Pour toute collaboration commerciale, même l’apparition minime d’un enfant, d’un de ses doigts ou de ses pieds, il faut un contrat », confirme une employée d’une agence de communication dédiée au marketing famille, qui collabore avec des influenceurs parentaux. En outre, une partie des revenus perçus par l’enfant doivent être remis à la Caisse des dépôts, afin d’être bloqués jusqu’à la majorité de l’enfant.
    À lire aussiBruno Studer : « Il faut mieux protéger les enfants filmés par leurs parents »

    Afin de s’assurer d’être en règle, les agences d’influence collaborent fréquemment avec les agences de mannequinat, et les grandes marques sont particulièrement vigilantes au respect de la réglementation. Peut-on pour autant dire que le texte a porté ses fruits et qu’il protège mieux les enfants ? « Les choses se sont améliorées puisque, avant, beaucoup de marques et de créateurs faisaient n’importe quoi, on voyait des enfants sur des comptes rémunérés sans contrat », reconnaît Oralie Guenzi, gérante de l’agence d’influence JustGo Agency, spécialisée dans la famille et la parentalité.

    Mais force est de constater que dans le monde des influenceurs, il y a encore loin de la coupe aux lèvres, puisque les contrôles de l’inspection du travail restent marginaux : « Au sein de notre agence, nos contrats “enfants” n’ont jamais été vérifiés depuis le passage de la loi, et à ma connaissance, aucun influenceur n’a fait l’objet de contrôles, ni reçu d’amende, ce que j’ai plusieurs fois fait remonter aux pouvoirs publics, explique-t-elle. Depuis la création de notre agence en 2018, on ne compte pas les contrats perdus avec certaines marques, qui se tournent vers d’autres agences moins regardantes. » Contactée, l’inspection du travail n’a pas répondu à nos sollicitations.
    « Du travail potentiellement forcé ou illicite »

    Outre la question de la relation de travail, désormais codifiée, se pose aussi la question du consentement de l’enfant à être exposé en ligne. La loi de 2020 dispose qu’une visite médicale doit être effectuée et un certificat délivré, prouvant que l’enfant est apte à apparaître devant une caméra. Mais comment s’assurer, dans un contexte de manque de contrôle, de l’assentiment du mineur à voir son image exploitée ?
    À lire aussi« Parents, résistez à la tentation de trop exposer vos enfants en ligne »

    « Ce qui est en jeu, c’est du travail potentiellement forcé ou illicite », alerte Bruno Studer, qui estime que des opérations de contrôle renforcées sont nécessaires. Et même dans les cas où les parents feraient preuve d’assiduité dans les contrôles, un enfant peut difficilement se rendre compte des conséquences de sa notoriété en ligne. « Schématiquement, un enfant devient capable de réflexion sur son image en ligne et les traces qui resteront sur les réseaux sociaux, à partir de la préadolescence », analyse Anne Cordier, professeure en sciences de l’information et de la communication à l’Université de Lorraine, spécialiste des pratiques numériques de la jeunesse.

    Autre corollaire de cette exposition en ligne, le mineur exposé se retrouve au cœur d’une transaction, ce qui peut être néfaste pour son développement psychique. « L’enfant est une personne, pas une marchandise, souligne encore Anne Cordier. Lui faire faire de la publicité aussi jeune peut lui donner l’impression qu’il n’a pas de valeur sans les likes. » Depuis la loi de 2020, l’arsenal juridique visant à renforcer les droits des enfants influenceurs s’est musclé à deux reprises. Promulguée en juin 2023, la loi visant à encadrer l’influence commerciale prévoit une peine de cinq ans de prison ainsi qu’une amende de 75 000 € pour les représentants légaux opérant sans contrat.

    Une autre, promulguée en février 2024, inscrit la notion de vie privée de l’enfant dans le code civil. Une manière de sensibiliser les parents aux conséquences de l’exposition de leurs enfants en ligne. « C’est une première étape vers l’idée qu’être parent sur le numérique peut faire l’objet de sanctions », insiste Bruno Studer, qui a porté cette loi.
    À lire aussiArnaques et publicité déguisée : fin de partie pour les influenceurs ?

    La prise de conscience des enjeux liés à l’influence sur de jeunes cerveaux a bien commencé, « mais le vrai enjeu dorénavant, c’est de pleinement faire appliquer la loi car le marché reste incontrôlé », martèle le député socialiste Arthur Delaporte, corapporteur de la loi sur les influenceurs de 2023. « Peut-être faudra-t-il un scandale retentissant pour que les choses bougent », présume de son côté Bruno Studer. Ou peut-être que la nouvelle série Les Enfants sont rois, thriller inspiré de ces enfants célèbres en ligne, permettra de faire regagner le sujet en acuité dans le débat public.

    #Enfants #médias_sociaux #Anne_Cordier

  • Le gouvernement veut la mort des radios associatives
    https://ricochets.cc/Le-gouvernement-veut-la-mort-des-radios-associatives-7933.html

    Pour le pouvoir et son bloc bourgeois, les médias qui importent sont les médias de masse, ceux affiliés aux milliardaires et à l’extrême-droite. Les petits médias indépendants et libres, comme les radios associatives, sont à éliminer. Le gouvernement utilise son budget d’austérité qu’il veut imposer au 49.3 pour camoufler sa volonté de détruire les radios associatives libres qui restent. C’est logique, dans ce régime autoritaire et non-démocratique qui penche franchement vers l’extrême (...) #Les_Articles

    / #Médias_et_expressions, Autoritarisme, régime policier, démocrature...

    #Autoritarisme,_régime_policier,_démocrature...
    https://www.acrimed.org/Qui-veut-la-mort-des-radios-associatives

  • Ricochets : lancement d’une cagnotte pour financer l’impression du prochain numéro papier
    https://ricochets.cc/Ricochets-lancement-d-une-cagnotte-pour-financer-l-impression-du-prochain-

    Le média Ricochets.cc et son journal papier plaisent et sont reconnus, avec des niveaux souvent élevés de visites pour le site et un journal papier qui se diffuse bien. Avec très peu de moyens humains et financiers, Ricochets a de l’impact et il est très utile, notamment comme contre-pouvoir et pour son agenda. Seulement, on devient trop peu nombreux.ses pour tout faire. Avec ce manque d’effectifs, il y a moins de diffusion du journal papier (peut-être aussi moins d’occasions), et les (...) #Les_actus_de_RICOCHETS

    / #Médias_et_expressions

    https://www.gandee.com/participate/1882

  • « Tatort » knackt die 8-Millionen-Marke, « DSDS » besiegt das « TV total Turmspringen »
    https://meedia.de/news/beitrag/17708-quot-tatort-quot-knackt-die-8-millionen-marke-quot-dsds-quot-besiegt-da


    Eva Löbau (l.) und Hans-Jochen Wagner im « Tatort : Ad Acta » - Foto : SWR/Patricia Neligan

    La série policière Tatort est considérée comme le feu de camp national allemand, tout le monde se réunit autour pour le regarder. L’émission bat tous les records avec un récit qui met en question l’indépendance des juges. C’est une histoire à dormir debout qui raconte comment seulement l’enquête de meurtres inexplicables d’abord dévoile un réseau d’avocats, juges et pègre. Le film montre un cas singulier mais on comprend qu’il est inspiré par des cas dans la réalité. En tant que film c’est assez moyen mais l’épisode a le mérite d’aborder un sujet sensible.

    23.9.2024 von Jens Schröder - Lineares Fernsehen:

    Der „Tatort: Ad acta“ landete mit seinen 8,08 Millionen Zuschauerinnen und Zuschauern knapp über dem der Vorwoche, der noch an der 8-Millionen-Marke vorbei geschrammt war. Die starke „Tagesschau“-Zahl, rund 900.000 Zuschauende über der der Vorwoche, lag auch an der Landtagswahl in Brandenburg, die viele politisch Interessierte zum linearen Fernsehen lockte. So erreichte auch das „Tagesthemen Extra“ nach dem „Tatort“ mit 4,58 Millionen und 19,0 Prozent noch starke Zahlen, im ZDF punkteten „heute“ und „heute journal“ mit 16,0 und 16,5 Prozent.

    In der Prime Time kam der ZDF-Film „Frühling - Das erste Mal“ dem „Tatort“ am nächsten, wobei 3,92 Millionen und 14,5 Prozent gegenüber 8,08 Millionen und 29,9 Prozent keine wirkliche „Nähe“ ist. Nur ein weiterer Sender erreichte am Sonntag um 20.15 Uhr ein Millionenpublikum: Vox mit 1,25 Millionen und 5,9 Prozent für „Grill den Henssler - Sommer-Special“. ProSiebens „Wer stiehlt mir die Show?“ kam auf 0,97 Millionen und 4,4 Prozent, der Sat.1-Film „Der Marsianer - Rettet Mark Watney“ auf 0,92 Millionen und 4,0 Prozent.

    RTL Zwei folgt im 20.15-Uhr-Ranking mit 0,85 Millionen und 3,4 Prozent für „Taffe Mädels“ vor dem kleinen Sender arte, der mit 0,68 Millionen und 2,6 Prozent für „Coco Chanel - Der Beginn einer Leidenschaft“ punktete. Erst dahinter finden sich die NFL-Übertragungen von RTL, die in der Prime Time maximal 0,60 Millionen Fans erreichten und zwischen 20.15 Uhr und 23.10 Uhr bei Marktanteilen von 2,1 bis 3,2 Prozent stecken blieben.

    Video Daily - TV: Top 25 Zuschauer ab 3 Jahre / 22. September 2024
    Platz Sender Titel Startzeit Dauer Sehb. (Mio.) MA (%)
    1 Das Erste Tagesschau 19:59:52 0:19:50 8,095 31,7
    2 Das Erste Tatort: Ad Acta 20:19:42 1:29:30 8,078 29,9
    3 Das Erste Tagesthemen Extra 21:49:45 0:09:34 4,584 19,0
    4 ZDF Frühling – Das erste Mal 20:15:22 1:28:28 3,919 14,5
    5 ZDF heute journal / Wahl in Brandenburg / Wetter 21:45:00 0:30:25 3,876 16,5
    6 ZDF Terra X: Weltstädte - Paris 19:30:55 0:43:14 3,258 14,2
    7 ZDF heute / Wahl in Brandenburg / Wetter 18:59:50 0:30:05 3,125 16,0
    8 Das Erste Berliner Runde 19:20:11 0:37:12 2,644 12,4
    9 Das Erste Caren Miosga 21:59:19 1:01:36 2,597 13,7
    10 Das Erste Landtagswahl Brandenburg 17:45:02 1:35:09 2,206 14,1
    11 RTL RTL aktuell 18:44:44 0:11:24 2,183 12,8
    12 Sat.1 Julia Leischik sucht: Bitte melde dich 18:54:26 0:44:36 2,140 10,6
    13 Das Erste Tagesthemen 23:01:00 0:31:14 2,110 15,6
    14 ZDF Detective Grace - Du sollst nicht sterben 22:16:04 1:28:17 2,080 13,5
    15 ZDF Wahl in Brandenburg 17:38:50 1:21:00 1,676 11,6
    16 Das Erste Tagesschau 17:29:53 0:15:09 1,334 11,7
    17 ZDF ZDF-Fernsehgarten 11:58:18 2:10:48 1,323 15,4
    18 Sat.1 :newstime 19:56:57 0:13:33 1,307 5,3
    19 Vox Grill den Henssler - Sommer-Special 20:15:00 2:45:11 1,253 5,9
    20 Das Erste Brisant 17:01:19 0:25:23 1,172 11,3
    21 Das Erste Oktoberfest Trachten- und Schützenzug 2024 10:03:58 1:54:33 1,100 15,0
    22 NDR Fernsehen NDR regional 19:30:00 0:29:00 1,061 4,9
    23 RTL Exclusiv - Weekend 17:45:00 0:37:39 0,995 7,1
    24 Das Erste Zimmer mit Stall - Berge versetzen 15:34:11 1:26:39 0,989 10,5
    25 Vox Die Beet-Brüder 18:10:23 1:29:35 0,986 5,2
    Quelle: AGF Videoforschung in Zusammenarbeit mit GfK

    Auch bei den 14- bis 49-Jährigen gewannen die „Tagesschau“ und der „Tatort“ den Sonntag: 1,39 und 1,18 Millionen junge Menschen sahen die beiden ARD-Sendungen - Marktanteile von 26,5 und 20,1 Prozent. „Wer stiehlt mir die Show?“ folgt dahinter auf Rang 2 der Tages-Charts und Platz 2 der Prime-Time-Tabelle: 0,73 Millionen 14- bis 49-Jährige entsprachen 14,7 Prozent. Gegenüber den beiden Vorwochen (21,0 und 16,3 Prozent) ging es für die ProSieben-Show damit weiter nach unten.

    #Allemagne #médias #TV #film_policier #corruption #justice

  • Les Médias contre la gauche - Cause commune
    https://www.causecommune-larevue.fr/les_m_dias_contre_la_gauche

    Nous explorons avec Pauline Perrenot les thématiques abordées dans son dernier ouvrage, Les Médias contre la gauche (Agone, 2023) au regard de la séquence électorale que nous venons de vivre. L’autrice et journaliste nous offre une analyse incisive des dynamiques médiatiques et de l’ostracisme, voire de la diabolisation des discours progressistes au profit d’une normalisation et d’une promotion de ceux d’extrême droite, et appelle l’ensemble des forces de gauche à politiser davantage les questions médiatiques.

    https://agone.org/auteur/pauline-perrenot
    https://seenthis.net/messages/988008
    https://fondspresselibre.org/actualites

    « Une orientation économique, pour peu qu’elle s’écarte un tant soit peu du chemin néolibéral, reçoit des accusations en irréalisme si ce n’est en faillite totale. »

    #acrimed #FPPL #médias_indépendants

  • Bernard Arnault impose sa « blacklist » de médias aux cadres de LVMH - LA LETTRE
    https://www.lalettre.fr/fr/entreprises_luxe-et-conso/2024/09/18/bernard-arnault-impose-sa-blacklist-de-medias-aux-cadres-de-lvmh,110307222-

    Dans un mail, le PDG de LVMH dresse une liste de sept médias auxquels les dirigeants du groupe ont une interdiction absolue de parler sous peine de licenciement. La Lettre dévoile ce document interne envoyé aux membres du Comité exécutif.

    C’est pas de la censure. C’est du leadership. De la libre entreprise. De l’innovation ! Du concentré de self-made-man.

    • Comme production de court métrage elle intègre sous une forme très condensée les contradictions et les doutes qui ont déjà été exprimés assez rapidement après les événements du 7 octobre 23 et qui ont été répétés depuis par différentes parties.

      Seule la technique de montage à certains passages est à mon avis trop intrusive et vise beaucoup plus l’affect que l’intellect. Il est fort possible que ce procédé stylistique soit dû aux experts en médias d’Al Jazeera.

  • Les Jeux Olympiques et la fabrique du consensus - La Vie des idées ...
    https://diasp.eu/p/17116586

    Les Jeux Olympiques et la fabrique du consensus - La Vie des idées ⬅️ URL principale utilisée pour la prévisualisation Diaspora* et avec plus de garantie de disponibilité.

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    #politique #économie #environnement #sport #médias #jeuxolympiques #jeuxolympiques2024 #paris2024 #paris2024

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  • Les médias militants des milliardaires : médaille d’or des horreurs et des manipulations
    https://ricochets.cc/Les-medias-militants-des-milliardaires-medaille-d-or-des-horreurs-et-des-m

    Alors que la création d’une chaîne de gauche (Le Media TV) a été refusée par l’Etat lors des récentes réattributions de fréquences TNT, les médias militants de milliardaires peuvent sans problème déverser non stop leur propagande nauséabonde pour le capitalisme, l’extrême droite, le système policier et la droite dure. Pluralisme, démocratie, débat ? LOL Tout le monde n’est pas dupe (le NFP est même arrivé en tête malgré tout aux législatives), mais les idéologies réactionnaires de ces (...) #Les_Articles

    / #Médias_et_expressions, Autoritarisme, régime policier, démocrature...

    #Autoritarisme,_régime_policier,_démocrature...
    https://wecastmedia.fr/larcom-a-rendu-sa-decision-sur-lattribution-des-15-frequences-tnt-dispon

  • Benjamin Biard : « Face à l’extrême droite, l’#audiovisuel_public belge a institué un #cordon_sanitaire »

    Depuis 1991, les radios et télévisions publiques belges francophones ont banni de leurs studios et plateaux tous les représentants de l’extrême droite. Résultat : celle-ci n’a jamais percé politiquement. Le politiste #Benjamin_Biard revient sur une expérience unique qu’on peut considérer comme un exemple à suivre d’urgence.

    https://aoc.media/entretien/2024/07/12/benjamin-biard-face-a-lextreme-droite-laudiovisuel-public-belge-a-institue-un

    #médias #Belgique #extrême_droite #télévision_publique #bannissement #barrage #exemple_à_suivre #bonnes_pratiques #TV #radio
    –-

    déjà signalé sur seenthis ici par @sombre, où il y a le texte complet :
    https://seenthis.net/messages/1061621

  • Émanciper nos luttes d’Instagram et TikTok et autres réseaux capitalistes de masse
    https://ricochets.cc/Emanciper-nos-luttes-d-Instagram-et-TikTok-et-autres-reseaux-capitalistes-

    Émanciper nos luttes d’Instagram et TikTok Comme partout à travers le monde, les exemples français récents de la suppression du compte Instagram « Cerveaux non disponibles » et de la censure de l’application TikTok lors de l’insurrection kanak doivent nous faire réagir. Quand la population arrive à retourner un outil du système contre le système, le pouvoir contre-attaque et interdit cet outil. Une fois la censure en place, il est bien tard et bien plus compliqué de riposter. Petit début (...) #Les_Articles

    / #Médias_et_expressions

    https://paris-luttes.info/emanciper-nos-luttes-d-instagram-18584?lang=fr

  • « Comment les médias internationaux aident Moscou et pourquoi cela constitue un problème »
    https://lundi.am/Comment-les-medias-internationaux-aident-Moscou-et-pourquoi-cela-constitue-un

    Depuis le début de la Révolution de la Dignité (également appelée Révolution de Maïdan ou de l’Euromaïdan, ndlr) et l’occupation temporaire de la Crimée, certains #médias internationaux ont diffusé leurs contenus depuis leurs bureaux en fédération de #Russie ou ont employé des journalistes liés à la Fédération de Russie. Les dirigeants de ces médias de masse n’ont pas considéré cela comme un problème. Parmi les médias internationaux qui jouent directement ou indirectement le jeu du pays agresseur, il y en a qui ont une réputation apparemment irréprochable. L’un d’eux est le plus ancien et le plus populaire des journaux étatsunien, le New York Times (NYT) [16] […].
    Depuis le début de l’invasion à grande échelle en 2022, la position et le contenu du NYT ont indigné de nombreux Ukrainiens. Par exemple, après trois mois d’invasion à grande échelle, la journaliste d’origine moscovite Yana Dlugy a été nommée à la tête de la newsletter quotidienne du NYT sur la guerre Russie-Ukraine […]. Le média ukrainien anglophone « The Kyiv Independent » [17] a publié alors un appel officiel à l’équipe éditoriale du NYT, en réaction à leur article du 19 mai 2022 intitulé « La guerre en Ukraine devient compliquée, mais l’Amérique n’est pas prête » [18]. Le journal étatsunien y soutenait qu’un « compromis douloureux » mais correct pour l’Ukraine serait de céder une partie de ses territoires. Mais l’appel du Kyiv Independent stipulait : « Aujourd’hui, le NYT appelle l’Occident à faire ce que Poutine attendait et à abandonner la lutte. Ne vous y trompez pas : si vous apaisez un dictateur, dont les troupes se livrent régulièrement à des crimes de guerre, cela conduira à un changement géopolitique catastrophique ».

    Le NYT qui avait un bureau à Moscou, n’a décidé d’en ouvrir un en Ukraine qu’à la fin du mois de juillet 2022, et encore, sous la direction d’Andrew Kramer. Cela a provoqué une vague d’indignation parmi les Ukrainiens, puisque Kramer avait auparavant vécu et travaillé en Russie pendant plus de dix ans et était connu pour ses contradictions concernant la couverture de l’occupation en 2014 de l’est de l’Ukraine et de la Crimée par Poutine. En 2017, il avait qualifié la guerre dans l’est de l’Ukraine de « civile » ce qui fut par la suite rectifié à juste titre. Un an plus tard, il qualifiait Donetsk et l’Ossétie du Sud (région de Géorgie) de « zones séparatistes », et non de territoires occupés par le Kremlin. Il a également essayé d’obtenir une accréditation en tant que journaliste dans la soi-disant « République populaire de Donetsk » afin d’y recueillir des matériaux pour ses publications. […]

    Un autre média respecté, le Washington Post, a également ouvert au printemps 2022 un bureau à Kiev, dirigé par Isabel Khurshudyan, qui était auparavant correspondante de la branche moscovite du journal... De toute évidence, cette rédaction n’a pas fait beaucoup d’efforts pour trouver un journaliste ukrainien ou international qui n’ait pas travaillé ou vécu à Moscou après 2014. […]

    Une autre manifestation de l’influence du Kremlin dans les médias internationaux consiste à ne s’adresser qu’à des experts qui sont directement ou indirectement liés à la Fédération de Russie ou qui la soutiennent. […] La situation a heureusement quelque peu changé après l’invasion à grande échelle. Les voix ukrainiennes sont désormais entendues, en grande partie grâce aux efforts des bénévoles qui travaillent sur le front de l’information. Avant février 2022, il était largement accepté de parler de la situation en Ukraine avec n’importe quel chercheur en histoire russe en ignorant complètement ses collègues ukrainiens ; le plus souvent, tout se terminait par la défense des « citoyens russes ordinaires » et la responsabilité des États-Unis dans cette situation. […] Parmi ces « experts » figurent le linguiste américain d’origine biélorusse Noam Chomsky, le politologue américain John Mearsheimer, l’historien américain Steven F. Cohen et d’autres. Ce dernier n’a pas vécu assez longtemps pour voir l’invasion à grande échelle, mais il a activement défendu pendant plusieurs années l’idée qu’il n’existe pas de régime autoritaire en Russie et que la guerre dans l’est de l’#Ukraine a commencé à cause des États-Unis. […]

    • J’avais référencé cet article du nyt de mai 2022, dans un fil contenant d’autres articles au ton similaire issus de msm « sérieux », parce qu’ils étaient plutôt dissonants par rapport à tout le reste, c’est-à-dire qu’ils osaient aller un peu plus loin (voire questionner) le discours atlantiste dominant (https://seenthis.net/messages/960915#message961232 ). Ca me semblait assez rare pour être signalé. D’ailleurs l’article pose plus de questions qu’autre chose et le point principal était en gros que l’escalade, même contrôlée, sans savoir où on va, sans plan ni objectif clairs, est inefficace voire peut mener au pire. La réponse du kyiv independent est vraiment simpliste, elle mentionne en plus que cet édito était dans le journal contrebalancé par une tribune comme il faut de Timothy Snyder, qui s’est distingué sur le sujet par ses analogies bancales (la russie est fasciste, on est en 1938, ce genre). D’ailleurs, si l’édito avance en posant des questions, c’est parce que la position qu’il soutient est difficile à faire entendre et qu’elle risque de se faire directement taxer d’appeasement et de trahison, termes que ne manque pas d’utiliser le KI dans sa réponse. Plus qu’un point de vue russe, il me semble évident que ce texte (et les autres) développent des argumentaires américano-centrés, visent à faire passer l’initiative (des actes et du récit) de Kyiv à Washington. Deux ans après, le constat fait dans l’édito que l’Ukraine ne peut pas gagner (présenté de l’autre côté comme défaitiste) est plutôt toujours juste. Et on sait aussi que des concessions, même larges, ont été envisagées par l’Ukraine toute seule dès le début de la guerre.

      Après, l’examen des luttes de pouvoir dans les rédactions a sûrement un intérêt, et il est clair que faire exister dans nos médias des points de vue et des voix ukrainiennes est important. Et oui, Chomsky, Mearsheimer et Stephen Cohen sont méga problématiques (il était question de ce dernier dans ce très bon papier —> https://seenthis.net/messages/991151 ) et malheureusement ils sont une énième tare affectant la gauche.

  • L’extrême droite fait censurer le compte Instagram de Cerveaux Non Disponibles
    https://ricochets.cc/L-extreme-droite-fait-censurer-le-compte-Instagram-de-Cerveaux-Non-Disponi

    Les multinationales des réseaux sociaux qui en réalité n’ont rien à faire de la liberté d’expression et des médias alternatifs suppriment et déréférencent (défavorisent) régulièrement les comptes de groupes contestataires ciblés par l’extrême droite ou autres malfaisants. Les systèmes de signalements automatisent les suppressions et censures. La privatisation des réseaux internet via les multinationales GAFAM & co facilite les censures et campagnes « anti-gauche », d’autant que Meta (...) #Les_Articles

    / #Médias_et_expressions

  • Die Weltwoche ...


    ... de Suisse est une horreur de droite. Alors je ne publie pas de lien. Malheureusement ses grands titres visent souvent la malhonnêteté des grands médias allemands et donnent un semblant de raison d’être à ce torchon numérique.

    Exemples

    Macrons Rekorddefizit : Hummer-Dinner mit König Charles kostete Frankreichs Steuerzahler allein 475.000 Euro

    ...

    Baerbocks Business-Reisen: Der Nachtflug nach dem EM-Spiel hat offenbar Spuren hinterlassen. An die Olympiade nach Paris reist Deutschlands Aussenministerin mit Linienflieger und Zug

    ...

    Öl schlägt Wind und Sonne: Deutsche pfeifen auf klimafreundliche Heizungs-Systeme. Robert Habecks Gesetze erleiden Schiffbruch gegen die Gesetze der Marktwirtschaft

    ...

    Klatsche für die «Tagesschau»: Der öffentlich-rechtliche Sender hat das Potsdam-Treffen falsch wiedergegeben, urteilt ein Gericht. Es darf nicht behauptet werden, dass die Ausweisung von deutschen Staatsbürgern Thema gewesen sei

    ...

    Die Freiheit zog ihn in die Schweiz: Der dänische Bitcoin-Pionier Niklas Nikolajsen landete mit einem einzigen Computer in Zürich. Heute besitzt er den St. Karlshof, ein grossartiges Anwesen von nationaler Bedeutung in Zug. Wie hat er das geschafft?

    ...

    Lob der Leistungsgesellschaft: Keine Noten, keine Punkte, keine Bewertung – Deutschland hat den Fokus verloren. Das Land steht vor der Gretchenfrage: Will man Erfolg? Oder will man sich wohlfühlen?

    ...

    Mit Bart und Penis in der Damen-Sauna: Mann schockiert Hamburg – und führt schon wieder die LGBTQ-Community vor

    etc.

    #médias #droite #Suisse

  • Scenes of Reading on the Early Portrait Postcard — The Public Domain Review
    https://publicdomainreview.org/essay/scenes-of-reading-on-the-early-portrait-postcard

    Passionnant.
    Au tournant du XIX/XXe siècle, la folie des cartes postales personnalisées s’est étendue dans le monde (occidental et développé ;-). Moyens techniques, confusion privé/public, message sous-jecent de l’image... résonnent pleinement avec ce qui se passe dans les médias sociaux actuels.
    Dans la seconde partie de cet essai, l’autrice se centre sur la représentation d’une personne en train de lire dans l’iconographie, depuis la peinture jusqu’aux cartes postales. Toute ressemblance avec une sous-partie des selfies représentant des livres n’est pas à ignorer.

    When picture postcards began circulating with a frenzy across the United States and Europe at the turn of the twentieth century, a certain motif proved popular: photographs of people posed with books. Melina Moe and Victoria Nebolsin explore this paradoxical sign of interiority and find a class of image that traverses the poles of absorption and theatricality.

    #iconographie #lecture #cartes_postales #médias_sociaux #selfies #domaine_public

  • Neue RKI-Files : Was ist los mit den deutschen Leitmedien ?
    https://www.berliner-zeitung.de/gesundheit-oekologie/neue-rki-files-was-ist-los-mit-den-deutschen-leitmedien-li.2238274


    Von rechts : Christian Drosten, Direktor des Instituts für Virologie an der Charité Berlin, Lothar Wieler, ehemaliger Präsident des Robert-Koch-Instituts (RKI), und Karl Lauterbach (SPD), Bundesminister für Gesundheit, bei einem Treffen der Bundespressekonferenz zur Corona-Lage Kay Nietfeld/dpa

    –-----

    On continue notre observation « comment je me suis fait avoir pendant l épidémie du covid » : La réaction des médias à la publication des RKI files montre une fois de plus à quel point Der Spiegel , Tagesschau et les autres médias dominants sont serviables au gouvernement et aux administrations fédérales.

    Avec les RKI files on vient d’obtenir les preuves nécessaires pour confirmer les faits qui jusqu’à il y a quelques jours n’étaient que soupçons : les mesures anti-covid décrétées étaient du n’importe quoi aléatoire et ont nuit à tout le monde sauf aux compagnies pharmaceutiques et aux médecins. Les politiciens aux manettes du pouvoir, médecins ou non, ont suivi les idées et conseils de groupes d’intérêt favorisant l’enrichissement des uns et entrainant la mort et la souffrance des autres bien plus nombreux.

    Là on essaie de se tirer de l’affaire et traite de conspirationniste la journaliste qui a publié les documents gênants.

    25.7.2024 von Ruth Schneeberger - Anstatt die nun ohne Schwärzungen veröffentlichten RKI-Protokolle zu prüfen, werfen sich manche Journalisten schützend vor die Politik. Warum dieses Anbiedern? Ein Kommentar.

    Die ersten Reaktionen der großen Medien waren schon entlarvend. Sie kamen erst am Abend des Dienstags dieser Woche, an dem die freie Journalistin Aya Velázquez frühmorgens verkündet und dann vormittags auf einer Pressekonferenz vorgestellt hatte, was eigentlich eine kleine Sensation war: Ein Whistleblower hatte ihr die kompletten RKI-Protokolle zugespielt, ohne Schwärzungen und alle Pandemie-Jahre betreffend.

    Somit liegen nunmehr die schwer umstrittenen Protokolle des Corona-Expertenrats des Robert-Koch-Instituts erstmals in voller Länge und ohne politische Schwärzungen vor. Umstritten deshalb, weil der Chefredakteur des Online-Magazins Multipolar diese schon seit Jahren versucht hatte herauszuklagen und bisher doch nur in Teilen und eben mit teils erheblichen Schwärzungen Erfolg hatte. Umstritten auch deshalb, weil im März, als die ersten Teile öffentlich wurden, Politik, Öffentlichkeit und Medien schon einmal sehr uneins darüber waren, ob sich in den Protokollen nun größere Erkenntnisse und Anlässe zu Untersuchungsausschüssen oder doch eher Belege dafür fanden, dass Politik und Behörden damals ausgewogen um Erkenntnisse in der Pandemie gerungen hätten.

    RKI-Files komplett entschwärzt: „Pandemie der Ungeimpften aus fachlicher Sicht nicht korrekt“

    Doch nun liegt eben alles offen da, dank des Whistleblowers und der auf X sehr engagierten Journalistin aus Berlin mit dem wohlklingenden Pseudonym. Folgende Sätze aus den Protokollen, um nur eine wirklich kleine Auswahl zu nennen, lassen sich nicht einfach wegdiskutieren:

    „In den Medien wird von einer Pandemie der Ungeimpften gesprochen. Aus fachlicher Sicht nicht korrekt. Gesamtbevölkerung trägt bei. Soll das in Kommunikation aufgegriffen werden?“ (RKI-Protokolle, 5. November 2021)

    „Es gibt keine Evidenz für die Nutzung von FFP2-Masken außerhalb des Arbeitsschutzes, dies könnte auch für die Öffentlichkeit zugänglich gemacht werden.“ (RKI-Protokolle, 30. Oktober 2022)
    Meistgelesene Artikel

    „Textentwurf Christian Drosten: Empfehlung für den Herbst, Darstellung der Ideen und Einschätzung. Kontext: Der Artikel ist vertraulich. Hr. Drosten hat zwischenzeitlich entschieden, das Papier nicht zu publizieren, da ungezielte Testung im Text als nicht sinnvoll betrachtet wird und dies dem Regierungshandeln widerspricht.“ (RKI-Protokolle, 29. Juli 2020)

    „Aus Altenheimausbrüchen (Exposition für alle gleich) weiß man, dass die Wirkung der Impfung eher überschätzt wird. Schwieriges Thema, sollte nicht im Impfbericht formuliert werden.“ (RKI-Protokolle, 26. Oktober 2022)

    „Impfung von Kindern: Auch wenn (von) STIKO die Impfung von Kindern nicht empfohlen wird, BM Spahn plant trotzdem ein Impfprogramm.“ (RKI-Protokolle, 19. Mai 2021)

    Dass es nun weiterer Anstrengungen bedarf, um die offensichtlichen Widersprüche zu klären, die sich aus den RKI-Protokollen ergeben, liegt auf der Hand. Ein Untersuchungsausschuss, wie von manchen Seiten gefordert und von politischen Hauptakteuren naturgemäß in ihrem eigenen Interesse abgelehnt, scheint wahrscheinlicher zu werden.
    „Faktenchecker“ wiegeln ab, „Wissenschaftsjournalisten“ werden parteiisch

    Doch was tun große Teile der Presse, deren ureigenste Aufgabe es nun wäre, sich die Protokolle genauer anzuschauen? Sie wiegeln ab.

    Zunächst war auffällig, dass den ganzen Tag lang nach Erscheinen der neuen RKI-Files außer kleineren oder Alternativmedien kaum jemand berichtete, obwohl es eine – wenn auch sehr kurzfristig einberufene – Pressekonferenz dazu gab, die in Berlin etwa in Laufweite zum ARD-Hauptstadtstudio stattfand.

    Erst am Abend berichteten die ersten Medien und auch die dpa zögerlich – und merkwürdig verdreht: Anstatt erst mal die Neuigkeiten zu verkünden, lauteten die ersten Meldungen, so auch beim ZDF: Das RKI sei empört über die Leaks. Damit wurde schon mal gegen die erste journalistische Grundregel verstoßen, zuallererst die Fakten zu benennen: nämlich dass es überhaupt solche Leaks gegeben hat, von wem sie stammen und was darin zu finden ist.

    Die ARD berichtete dann zwar in der „Tagesschau“ anderthalb Minuten über die RKI-Files und ließ auch kritische Stimmen zu Wort kommen. In dem gesamten Beitrag wurde aber nicht einmal der Name der Journalistin genannt, die das Ganze initiiert hatte. Das ist unseriös.

    Offenbar war es dem öffentlich-rechtlichen Sender wichtiger, vorab online einen sogenannten Faktencheck zu veröffentlichen, in dem auf die schon während der Pandemie bewährte Weise alle Zweifel an der Rechtschaffenheit der Maßnahmen zerstreut wurden.

    Am gestrigen Mittwoch dann bequemten sich auch die größeren Print- und Leitmedien, sich zu der Sache zu äußern – nachdem sie mit den Hauptkritisierten gesprochen und diese ihnen versichert hatten, es gebe keinerlei Anlass zur Sorge. Anstatt aber diese erwartungsgemäßen Sprechblasen zu hinterfragen, schließen sich Teile der Leitmedien diesen Narrativen einfach an – wie auch schon oft genug während der Pandemie.

    Das ist besonders auffällig in einem Text der Süddeutschen Zeitung von gestern, in dem schon in der Überschrift steht: „Und wo soll jetzt der Skandal sein?“ Christina Berndt, die etwa während Corona sehr oft im Fernsehen für die Impfung warb und dabei versicherte, es könne keine Langzeitwirkungen geben und man müsse daher auch keine Angst vor schweren Nebenwirkungen haben, und die trotzdem zur Wissenschaftsjournalistin des Jahres 2021 gewählt wurde, springt hier vor allem dem Berliner Charité-Virologen Christian Drosten zur Seite. Der gerade zusammen mit dem (mit der SZ einst verbandelten) Investigativjournalisten Georg Mascolo ein Buch zur Aufarbeitung geschrieben hat.
    Drosten, Spahn und Lauterbach sehen kein Problem

    Drosten, heißt es darin, könne sich nicht erklären, wie ein solches Zitat in die RKI-Protokolle gelangt sei, es handele sich dabei auch nicht um ein „Papier“, sondern um einen Artikel, der kurz darauf sehr wohl erschienen sei, und zwar in der Zeit.

    Dass das RKI ein Problem mit dem Nutzen von Masken habe, sei außerdem schon lange bekannt gewesen – und auch das sieht die Redakteurin aus München offenbar bis heute anders als das RKI. Schließlich wird noch Karl Lauterbach zitiert, der es ebenfalls richtig findet, nicht allzu viel auf das Robert-Koch-Institut als beratende Behörde zu hören.

    Lauterbach zu RKI-Protokollen: „Zu verbergen gibt es trotzdem nichts“

    Der Gesundheitsminister wird auch vom Spiegel zitiert, der sich am späten Mittwochabend dann doch noch sehr länglich unter Zuhilfenahme von fünf Autoren damit beschäftigt, „worum es in der Diskussion über die Pandemie der Ungeimpften geht“ (Überschrift). Der Text legt aber vor allem sehr ausführlich dar, wer außer Jens Spahn (CDU) als damaliger Gesundheitsminister noch alles den bösen Satz von der angeblichen Pandemie der Ungeimpften geäußert habe, der dann leider doch gar nicht stimmte. Unter anderem nämlich der Spiegel selbst (in Form von Nikolaus Blome) und als Erster – laut Spiegel – schon im Juli 2021 US-Präsident Joe Biden.

    Es geht in diesem Text um fast nichts anderes als darum, wer wann diesen Satz gesagt hat – und das Hamburger Magazin hilft Karl Lauterbach sogar dabei, so zu tun, als hätte nur sein Vorgänger Spahn dieses Narrativ verbreitet und nicht auch er selbst.

    Warum tun diese Leute das? Warum biedern sie sich so an die Politik an und verbreiten Narrative, die ihnen helfen, sich aus der Affäre zu ziehen? Obwohl genau das Gegenteil ihre Aufgabe wäre? Nämlich als vierte Gewalt die Entscheidungsträger aus der Politik zu kontrollieren und kritisch zu hinterfragen, anstatt wie eine PR-Abteilung für die Regierenden zu fungieren? Was ist passiert mit diesen deutschen Leitmedien, die einst so unerschrocken das „Sturmgeschütz der Demokratie“ (im Falle des Spiegel) verkörperten und keine Angst davor, sondern eher Spaß daran hatten, sich mit den größten Playern im Politbetrieb anzulegen (wie eigentlich jahrzehntelang die SZ)?

    Es liegt hier wohl daran, wie diese Medien selbst sich während der Pandemie verhalten haben und dass viele der dortigen Journalisten bis heute nicht wahrhaben wollen, dass sie vielleicht in der einen oder anderen Einschätzung, in der sie offenbar fragwürdigen Experten gefolgt sind, grundfalsch lagen.
    Irren ist menschlich, aber irgendwann sollten grobe Fehler mal auffallen

    Dabei ist Irren menschlich und kommt täglich vor; wir alle machen Fehler. Man sollte allerdings gerade als Journalist in der Lage sein, seine eigene Einschätzung, die Weltlage, die Quellen, die Experten, politische Akteure und auch wissenschaftliche Erkenntnisse immer wieder neu zu hinterfragen.

    Zu Beginn der Pandemie lag naturgemäß noch vieles im Unklaren. Ich selbst etwa habe auch anfangs länger an die Wirksamkeit der Maßnahmen geglaubt, um die Alten zu schützen. Ich wurde erst skeptisch, als immer stärker auf die Impfung als Allheilmittel gedrängt, die Möglichkeit von Nebenwirkungen verdrängt und schließlich das in sich unschlüssige 2G-Konzept verkündet wurde. Spätestens als sich Ende 2021 bei uns Hunderte Impfgeschädigte meldeten, war mir klar, dass da etwas nicht mit rechten Dingen zugehen kann.

    Und da ich weiß, dass sich dieselben teils schwerst Impfgeschädigten auch an andere Verlage und Fernsehstationen Hilfe suchend gewendet haben, dort aber in der Mehrzahl abgewiesen oder ignoriert wurden, frage ich mich: Was ist da los? Wie kann man es erstens übers Herz bringen, diese oft schweren und schlimmen Schicksale zu ignorieren, und zweitens wie zuvor weiterzumachen mit der Berichterstattung über die angeblich so sicheren und wirksamen Impfstoffe und die Unhinterfragbarkeit der Maßnahmen?

    Nach Corona-Impfpflicht bei Bundeswehr: Ungeimpfter Soldat tritt Gefängnis-Strafe an

    Die SZ brachte es sogar fertig, erst vor kurzem, am 14. Juli, unter „Top-News“ ein Thema als neu und als aufklärerisch zu verkaufen, das Querdenker schon seit 2020, alle anderen spätestens seit 2021 kannten: Dass nämlich ein Strategiepapier des Innenministeriums schon zu Beginn der Pandemie verlangte, man müsse an die „Urangst“ appellieren, dass Menschen von Kliniken abgewiesen werden und „qualvoll zu Hause sterben“. Das ist ein Witz, damit nach vier Jahren anzukommen und es dann noch als neue Erkenntnis zu verkaufen. Soll die Aufarbeitung jetzt in diesem Tempo weitergehen?

    Wiederum andere große Medien aus dem eher konservativen Spektrum, wie etwa die Welt, Cicero, auch die Schweizer NZZ mit Dependance in Berlin, hatten nach einer gewissen Übergangszeit ein feineres Gespür für Ungerechtigkeiten während der Pandemie und blickten etwas häufiger auf die Rechte der Bürger als auf Interessen der Politik. Oder kam dieser Wechsel bei manchen der Konservativen eher mit dem Wechsel der Bundesregierung, Ende 2021?

    Jedenfalls berichten Letztere, wenn auch wieder mit einiger Verzögerung, inzwischen auch wieder gewohnt kritisch über die neuesten RKI-Files, was immerhin eine gute Sache ist.

    Nichtsdestotrotz lässt sich dieser Trend auch abseits von Corona beobachten, und hier auch eher über die politischen Lager hinweg: Gerade die großen Medien und der ÖRR, die eigentlich aufgrund ihrer personellen und finanziellen Kapazitäten in der Lage wären, besonders gute unabhängige journalistische Arbeit zu leisten, scheinen in vielen großen Debatten unserer Zeit zu versagen und sich immer öfter an von der Regierung vorgegebene Narrative zu klammern und sie bisweilen bis aufs Blut – auch gegen Leser oder Zuschauer – zu verteidigen.

    Oder, wie es am Mittwoch ein User auf X formulierte, im Zuge der Debatte, warum ein Whistleblower des Robert-Koch-Instituts sich lieber an eine unabhängige Journalistin wendet als etwa an den Spiegel oder die Zeit: „Guten Tag, liebe Leser. Wir haben während der Corona-Krise als Kritiker und Korrektiv staatlicher Entscheidungen versagt und beschlossen, dieses Versagen bis heute zu verschleiern. Wir befinden uns in Abwicklung. Wir werden ersetzt durch kleinere unabhängigere Formate.“

    Das ist zwar ziemlich sarkastisch, aber ich fürchte, es trifft es ganz gut.

    Il faut noter que le journal Berliner Zeitung , son éditeur Holger Friedrich et sa rédaction font preuve de courage et d’esprit indèpendant en sortant des rangs de la presse alignée sur la ligne officielle des publications majoritaires.

    Nous ne sommes pas encore arrivés dans une situation de "Gleichschaltung" des médias allemands, mais les sources dominantes sont agréablement accordés et nous jouent le même air qui veut nous endormir pendant que notre liberté d’expression et nos moyens démocratiques sont systématiquement réduits.

    J’ai comme l’impression que les puissants sont en train de préparer les prochaines guerres.

    23.7.2024 Gefängnis für Soldaten : Wer bis 13 Uhr nicht geimpft war, galt als Befehlsverweigerer Von Camilla Hildebrandt
    https://www.berliner-zeitung.de/open-source/nach-corona-impfpflicht-bei-bundeswehr-ungeimpfter-soldat-tritt-gef

    #Allemagne #covid-19 #médias #épidémie #politique #iatrocratie #wtf

  • Faschistenversteher des Tages : El-Hotzo-Kritiker
    https://www.jungewelt.de/artikel/479880.faschistenversteher-des-tages-el-hotzo-kritiker.html


    Only a dead fascist is a good fascist.

    Quand tu gagnes ta vie avec des phrases plus ou moins drôles que tu publies sur les chaines des télés publiques allemandes tu ne dois surtout pas appeller Donald Trump un fasciste (oui, ce n’est pas un fasciste au sens précis du terme) et ne pas critiquer la compétence du tireur qui n’a touché que l’oreille du vieux . Ne pas respecter cette règle te vaudra le licenciement. Facile, t’es free-lance pas syndiqué.

    J’avoue que j’ai cherché des textes et conférences drôles de Sebastian Hotz, et ce que j’ai trouvé n’est pas très bon. Pourtant je déclare ma solidaire avec lui parce qu’il a raision. Seulement un fasciste mort est un bon fasciste.

    20.7.2024 von Jakob Reimann - Die Republik hat einen neuen Paria: Sebastian »El Hotzo« Hotz, Vollzeit-Internet-Troll ohne Herz für Faschisten. Kubicki möchte ihn gerne strafverfolgen. Tesla-Milliardär Elon Musk höchstpersönlich geht beim BRD-Kanzler petzen: Hier scheint etwas ganz, ganz Großes, ja gar Systemgefährdendes auf dem Spiel zu stehen. Es fing an mit geschmacklosen Witzchen nach dem Attentatsversuch auf den Rechtsaußenclown Donald Trump vor einer Woche. Dann legte Hotzo nach: »Ich finde es absolut fantastisch, wenn Faschisten sterben.« In der BRD kommt das nicht gut an. Die ARD hat in letzter Sekunde eine lange für Donnerstag abend geplante Literaturveranstaltung mit Hotzo in Augsburg gecancelt, in vorauseilendem Gehorsam hatte der RBB ihn schon Anfang der Woche aus der Radiosendung »Theoretisch cool« verbannt, und das ZDF hat sich distanziert, obwohl er nicht einmal fürs Zweite arbeitet.

    Dem zugrunde liegt das Bekenntnis an das Gewaltprimat des bürgerlichen Staates. Gewalt, so lernten wir dieser Tage von Ministerin Annalena Baerbock, dürfe schließlich »niemals zum Mittel der politischen Auseinandersetzung werden«. Für Gaza, Ukraine und das Mittelmeer zählt das freilich nicht, und mit Faschisten und Rechten – wie denen in Rom, Kairo oder Budapest – arbeiten wir zusammen im Krieg gegen Geflüchtete.

    Den Vogel abgeschossen hat Martina Kix in ihrem Spiegel-Kommentar namens »Sorry Seems to Be the Hardest Word«. In dem legt sie Hotzo ernsthaft eine »aufrichtige Entschuldigung« nahe. Zu Kreuze kriechen bei Donald Trump also? Der deutsche Journalismus hat fertig. Denn dass Hotzo möglicherweise ja der Auffassung ist, sich überhaupt nicht entschuldigen zu müssen, kommt ihr wohl nicht in den Sinn – ebensowenig die Möglichkeit, dass manche Menschen tatsächlich der Auffassung sein könnten, tote Faschisten sind die besseren Faschisten.

    #Allemagne #censure #médias

    • ‘Just missed’: German comedian loses job over Trump shooting joke
      https://www.theguardian.com/us-news/article/2024/jul/18/just-missed-german-comedian-loses-job-over-trump-shooting-joke

      Incensed internet users condemned the characteristically flippant remarks, with Wolfgang Kubicki, one of the vice-presidents of the Bundestag, Germany’s lower house of parliament, calling for a criminal investigation into the satirist.

      The controversy prompted the Berlin-based public broadcaster RBB to cancel Hotz’s involvement in its radio show Theoretisch Cool, which he had co-hosted since 2022. “His remarks are not compatible with the values for which RBB stands,” its programme director, Katrin Günther, said.

      […]

      But on Thursday, the national public broadcaster ARD said it would drop a planned literature event that evening with the comedian “due to the current developments”.

      The broadcaster ZDF said Hotz had only worked for it “temporarily as a freelancer”.

  • Platforms Have First Amendment Right to Curate Speech, As We’ve Long Argued, Supreme Court Said, But Sends Laws Back to Lower Court To Decide If That Applies To Other Functions Like Messaging | Electronic Frontier Foundation
    https://www.eff.org/deeplinks/2024/07/platforms-have-first-amendment-right-curate-speech-weve-long-argued-supreme-1

    Une analyse intéressante de la décision de la court suprême.
    Mais qui ne dit rien de la nécessaire régulation.
    Si les plateformes ont un droit reconnu à démotiver ou proouvoir des informations... alors, ce sont bien des éditeurs qui ne peuvent plus se revendiquer du statut d’hébergeur.
    Oui, la concurrence des plateformes pourrait être une solution... s’il était vraiment possible de concurrencer les plateformes sans se casser les dents.
    Bref, les origines libertariennes de l’EFF continuent de peser sur le raisonnement.

    Social media platforms, at least in their most common form, have a First Amendment right to curate the third-party speech they select for and recommend to their users, and the government’s ability to manipulate those processes is extremely limited, the U.S. Supreme Court stated in its landmark decision in Moody v. NetChoice and NetChoice v. Paxton, which were decided together.

    The cases dealt with Florida and Texas laws that each limited the ability of online services to block, deamplify, or otherwise negatively moderate certain user speech.

    Yet the Supreme Court did not strike down either law—instead it sent both cases back to the lower courts to determine whether each law could be wholly invalidated rather than challenged only with respect to specific applications of each law to specific functions.

    The Supreme Court also made it clear that laws that do not target the editorial process, such as competition laws, would not be subject to the same rigorous First Amendment standards, a position EFF has consistently urged.

    This is an important ruling and one that EFF has been arguing for in courts since 2018. We’ve already published our high-level reaction to the decision and written about how it bears on pending social media regulations. This post is a more thorough, and much longer, analysis of the opinion and its implications for future lawsuits.

    #EFF #Electronic_frontier_foundation #Court_suprême #Premier_amendement #Médias_sociaux