• Microsoft’s Recall Feature on Windows 11 Not Removable After All
    https://digitalmarketreports.com/news/25091/microsoft-recall-feature-on-windows-11-not-removable-after-all

    Microsoft has confirmed that Windows 11 users will not be able to uninstall the controversial “Recall” feature, despite earlier reports suggesting otherwise. Recall, part of the Copilot+ suite announced in May, automatically captures screenshots of user activity on the operating system, ostensibly to help users easily retrieve past work.

    Oui, ils se foutent de not’gueule quand ils disent qu’ils nous ont entendu et que bon, ok, on va supprimer nos fonctionnalités attentatoires à la sécurité et à la vie privée.

  • August Windows Update Breaks Linux Dual-Boots
    https://www.omgubuntu.co.uk/2024/08/windows-update-breaking-linux-dualboot-fix

    I haven’t booted into the Windows partition on my Chuwi laptop for a while, but hearing that a recent Windows update leaves dual boot users unable to boot Linux at all, I’m glad I haven’t! #Microsoft’s mid-August drop of #security updates to Windows 10 and Windows 11 includes a security patch to address an exploit targeting GRUB2 Secure Boot bypassing. The Secure Boot Advanced Targeting (SBAT) update nixes the vulnerability by preventing ‘old, vulnerable boot managers’ from being able to boot. Prior to release, Microsoft said this update would not be applied to systems where an active dual-boot was detected, […] You’re reading August Windows Update Breaks Linux Dual-Boots, a blog post from OMG! Ubuntu. Do not reproduce elsewhere without (...)

    #News #GRUB

  • Les voix de la #Saint-Barthélemy - Regards protestants

    Tout ou presque semble avoir été écrit sur le massacre de la Saint-Barthélemy, ses acteurs, ses causes et ses conséquences... Mais, a t-on tout entendu ? Découvrez le résultat de vingt-cinq enquêtes haletantes où l’historien #Jérémie_Foa retrouve les victimes et les tueurs dans leur humaine trivialité.

    Une passionnante enquête tirée du livre « Tous ceux qui tombent, visages du #massacre_de_la_Saint-Barthélemy » de l’historien Jérémie Foa. Un podcast à la croisée du true crime à la première personne, du livre audio et de la #fiction_sonore.

    https://shows.acast.com/les-voix-de-la-saint-barthelemy-regards-protestants
    #histoire
    #podcast #audio

  • Rising rates of cancer in young people prompts hunt for environmental culprit
    https://archive.ph/2024.08.07-041555/https://www.ft.com/content/491d7760-c329-4f57-9509-0da36bc9e7de

    The idea of #cancer as predominantly a disease of old age is beginning to creak. An analysis last year showed that, in the G20 group of industrialised nations, rates of several cancers are rising faster among the young than among the old. 

    Now, scientists at the American Cancer Society have confirmed the trend across a wider range of cancers, with statistics broadly suggesting that a Gen X or Millennial is more likely to develop certain types of the disease than her Baby-boomer parents. Half of the 34 types studied showed a “birth cohort effect”, meaning they are increasingly common among successively younger cohorts.

    […]

    Bafflingly, many of the new clinic’s young patients are in good shape, exercise regularly and eat healthily. That is prompting a hunt for environmental carcinogens capable of affecting entire generations. Last year, New Zealand researchers showed that microplastics, now found everywhere and ingested from infancy onwards, could disrupt the gut lining. The prevalence of microplastic pollution since the 1960s — the tiny plastic particles come from consumer products and the breakdown of industrial waste — has the right timeline and might explain the compounding effect between generations, but it needs further investigation.

    #microplastiques #cancer #jeunes

    Source:
    Differences in cancer rates among adults born between 1920 and 1990 in the USA: an analysis of population-based cancer registry data - The Lancet Public Health
    https://www.thelancet.com/journals/lanpub/article/PIIS2468-2667(24)00156-7/fulltext
    https://www.thelancet.com/cms/asset/7e57a199-90a6-4451-b369-61f85bfca303/gr1.jpg

  • More academic publishers are doing AI deals

    A week after #Taylor_&_Francis sold authors’ work to #Microsoft AI for $10 million without asking or paying them, the Bookseller surveyed other academic publishers to see if they were cutting similar deals in the name of “AI research.” And, of course, they are. [The Bookseller, archive]

    #Wiley and #Oxford_University_Press confirmed AI partnerships. But they’re in completely noble causes! (And a big bag of cash.)

    Wiley said “it is in the public interest for these emerging technologies to be trained on high-quality, reliable information.” Oxford University Press wants to “champion the vital role that researchers have in an AI-enabled world.”

    Cambridge University Press said it’s talking to authors before making deals, so that’s nice.

    Pearson declined to comment. But CEO Omar Abbosh has called AI “an important driver of growth.” So have a guess. [The Bookseller, archive]

    Pan Macmillan, Hachette, and HarperCollins confirmed that they have not yet poured authors’ work into the AI shredders.

    Some publishers promise authors opt-ins and remuneration. But we suspect that feeding academic work to AI will not go so well. It likely means a loss of citations — authors won’t get credited — and original work will get taken out of context or otherwise mangled, because LLMs process words the way a blender processes food.

    https://pivot-to-ai.com/2024/08/04/more-academic-publishers-are-doing-ai-deals
    #édition_scientifique #AI #IA #intelligence_artificielle #recherche #ESR #Cambridge_University_Press #droits_d'auteur

  • Nos #vêtements génèrent des #microplastiques qui polluent le #fleuve #Saint-Laurent

    Les microplastiques les plus abondants dans le #fleuve_Saint-Laurent sont les #fibres_textiles de #polyester. Lorsqu’on lave une veste en tissu polaire, de minuscules fibres de plastique s’échappent vers les écosystèmes aquatiques.

    Valérie S. Langlois est professeure titulaire et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en écotoxicogénomique et perturbation endocrinienne à l’Institut national de la recherche scientifique (INRS) ; Julien Gigault est professeur et chercheur en chimie à l’Université Laval ; Raphaël Lavoie est chercheur scientifique à Environnement et Changement climatique Canada et professeur associé à l’INRS et To Tuan Anh est technicien à l’INRS.

    Nos vêtements sont faits principalement de… matière plastique. Contrairement au coton, qui provient d’une plante, le polyester et le fameux spandex ou lycra — qui rendent les vêtements plus extensibles — ne poussent pas dans la nature. Ce sont des matières artificielles conçues à partir de plastique qui sont utilisées dans la production de textiles synthétiques.

    Lorsqu’on les lave, de minuscules fibres de plastique se détachent de nos vêtements puis passent dans les canalisations. Une fois arrivées à la station d’épuration des eaux usées, elles déjouent le processus d’élimination en raison de leur taille microscopique (d’où leur nom, les microplastiques) et se retrouvent dans nos écosystèmes aquatiques.

    Nous avons récemment mené une évaluation des microplastiques présents dans les eaux du fleuve Saint-Laurent et de son estuaire. Nous avons constaté que les microplastiques les plus abondants étaient les fibres textiles de polyester.

    Ailleurs dans le monde, on trouve des résultats similaires. Dans la mer Caspienne, par exemple, les fibres textiles étaient également le type de microplastiques le plus retrouvé dans le système digestif des poissons.

    Dans cet article, nous proposons de brosser un portrait de cette situation préoccupante.
    Pleins feux sur les microplastiques

    Les microplastiques (dont la taille varie entre l’épaisseur d’un cheveu et celle d’un cure-dent) ont été détectés partout sur la planète, notamment dans l’eau, les sédiments, le sol, l’air, les animaux et même dans les nuages et le sang humain.

    À l’échelle mondiale, on estime que près de 110 millions de tonnes de plastiques se sont accumulées dans les rivières au fil du temps, dont 12 % seraient des microplastiques et 88 % des macroplastiques (dont la taille est supérieure à l’épaisseur dudit cure-dent).

    Les microplastiques sont reconnus comme étant les produits de la dégradation des macroplastiques. On peut par exemple penser aux particules d’abrasion des pneus, aux bouteilles de plastique ou aux fibres de lavage des textiles.

    Conséquence ? Une proportion substantielle des macroplastiques d’aujourd’hui se dégradera et se transformera en microplastiques de demain.

    Les effets néfastes de l’exposition aux microplastiques sur la santé des organismes vivants ont été largement documentés. Chez l’humain, cette exposition a été associée à une perturbation des cellules, à des troubles du métabolisme, à une réponse du système immunitaire et à des effets négatifs sur la reproduction et le développement.

    L’éventail des effets répertoriés des microplastiques sur la santé n’est probablement que la pointe de l’iceberg, alors que les efforts de recherche mondiaux se poursuivent pour étudier diverses espèces.
    Des microplastiques pour souper ?

    Les microplastiques peuvent, entre autres, s’accumuler dans les poissons que l’on pêche et que l’on élève en aquaculture. Vous aurez donc deviné qu’ils finissent par se retrouver… dans nos assiettes.

    Une étude récente a démontré la présence de microplastiques de type fibres textiles synthétiques dans la chair de poissons commerciaux destinés à l’alimentation humaine. La quantité de microplastiques était également plus grande dans les poissons carnivores, c’est-à-dire ceux qui se nourrissent d’autres poissons.

    Consommer des poissons herbivores tels que le tilapia, plutôt que des poissons carnivores comme le thon, le saumon et la truite, pourrait ainsi diminuer la quantité de microplastiques dans nos repas.

    Le fleuve Saint-Laurent et son estuaire

    Le fleuve et son estuaire drainent environ 25 % de l’eau douce mondiale. Et plus de 45 millions de personnes vivent à proximité.

    En voguant sur le fleuve, la contamination par les microplastiques peut finir par atteindre l’océan Atlantique.

    Cette situation est particulièrement préoccupante. Pourquoi ? D’une part, parce qu’elle contribue à prédire de futures charges de microplastiques dans les eaux marines. Et de l’autre, parce que le fleuve abrite plusieurs millions d’animaux, d’invertébrés et de plantes.

    Dans notre étude, nous avons évalué la portion de microplastiques qui flottent dans les 40 premiers centimètres sous la surface de l’eau à 11 sites distincts du fleuve et de l’estuaire du Saint-Laurent.

    Nos résultats sont sans équivoque : les microplastiques sont présents à tous les sites d’échantillonnage. Les catégories de microplastiques les plus abondantes étaient les fibres textiles, suivies par les fragments (provenant par exemple de sacs de plastique) et les sphères (provenant entre autres des produits cosmétiques).

    Une analyse plus approfondie a permis de déterminer que les matériaux prédominants étaient le polyester, le polyéthylène, le polypropylène, le nylon et le polystyrène.

    Ces données offrent de précieuses informations quant à la répartition et au comportement des microplastiques afin de mieux préserver et gérer nos ressources en eau douce.

    Robert Charlebois chantait « Il faut laver l’eau, laver l’eau, laver l’eau »

    Poly-Mer — une petite entreprise québécoise — a conçu un filet qui s’attache derrière un canot ou un kayak afin de récolter les microplastiques qui flottent à la surface.

    En collaboration avec Stratégies Saint-Laurent — un OSBL québécois qui vise à favoriser l’implication des collectivités riveraines dans la protection, la réhabilitation et la mise en valeur du Saint-Laurent —, nous avons testé le filet de Poly-Mer et démontré qu’il pouvait bel et bien aider à filtrer les microplastiques dans l’eau.

    À hauteur d’un seul humain, d’une seule ville, que puis-je faire ?

    L’accord de Kunming-Montréal sur la biodiversité signé en 2022 (aussi connu sous le nom de COP15) a reconnu une fois de plus l’importance de travailler ensemble vers l’élimination de la pollution par le plastique planétaire.

    Et si on réduisait notre consommation de la matière plastique ? La question « en a-t-on vraiment besoin ? » n’a jamais été aussi pertinente qu’aujourd’hui, tant pour le portefeuille que pour l’environnement.

    Par exemple, la gestion municipale du compost domestique devrait éviter à tout prix l’utilisation de sacs de plastique. En effet, même les sacs étiquetés comme étant biodégradables ne se décomposent pas complètement. Il vaut mieux mettre les rebuts alimentaires directement dans notre bac de compost et le laver régulièrement.

    L’élimination appropriée des plastiques à la source est essentielle, tout comme l’investissement dans des technologies de traitement des eaux usées capables de retirer les microplastiques.

    https://theconversation.com/nos-vetements-generent-des-microplastiques-qui-polluent-le-fleuve-s

    #industrie_textile #textile #habits #mode #pollution #eau #pollution_de_l'eau #Canada #plastique

  • World of Warcraft developers form Blizzard’s largest and most inclusive union - The Verge
    https://www.theverge.com/2024/7/24/24205366/world-of-warcraft-developers-form-union-blizzard-entertainment

    More than 500 developers at Blizzard Entertainment who work on World of Warcraft have voted to form a union. The World of Warcraft GameMakers Guild, formed with the assistance of the Communication Workers of America (CWA), is composed of employees across every department, including designers, engineers, artists, producers, and more. Together, they have formed the largest wall-to-wall union — or a union inclusive of multiple departments and disciplines — at Microsoft.

    #jeu_vidéo #jeux_vidéo #activision_blizzard #microsoft #syndicalisme #syndicat #cwa

  • Big Tech Consolidation Amplified the CrowdStrike Outage
    https://jacobin.com/2024/07/crowdstrike-microsoft-big-tech-consolidation

    21.7.2024 by Freddy Brewster, Lucy Dean Stockton , Katya Schwenk, Helen Santoro - On Friday, an update to a cybersecurity program took down Microsoft systems across the globe. Microsoft has resisted efforts to regulate a root cause of this chaos: the concentration of digital infrastructure in the hands of a few tech giants.

    A little more than a year before Microsoft’s systems crashed on Friday, creating global chaos in the banking, airline, and emergency service industries, the company pushed back against regulators investigating the risks of a handful of cloud services companies controlling the world’s technological infrastructure, according to documents we reviewed.

    “Regulators should carefully avoid any intervention that might disturb the competitive offerings that have promoted the explosive innovation and growth attributable to the cloud,” the company wrote in response to the Federal Trade Commission’s 2023 review of cloud computing companies’ security practices and interoperability protocols.

    The agency questioned whether these companies “invest sufficient resources in research and development” of systems upon which the economy and government rely.

    Microsoft is blaming this week’s global cloud outages on an update from CrowdStrike, a cybersecurity firm whose software protects against hacks. The debacle comes two days after federal agencies released new guidance sounding additional alarms that Big Tech’s consolidation of cloud services could put consumers at serious risk. It also comes one day after Microsoft’s cloud services experienced a separate outage in certain parts of the United States.

    “This is a CrowdStrike-caused outage. It would be inaccurate to report this as a Microsoft outage,” the company said in a statement. “A CrowdStrike update was responsible for bringing down a number of IT systems globally. We are actively supporting customers to assist in their recovery.”

    CrowdStrike did not respond to a request for comment.

    “All too often these days, a single glitch results in a system-wide outage, affecting industries from healthcare and airlines to banks and auto-dealers,” posted Lina Khan, Federal Trade Commission chairwoman, whose agency spearheaded the probe of the cloud computing industry. “Millions of people and businesses pay the price. These incidents reveal how concentration can create fragile systems.”

    At the root of the problem, regulators and researchers say, is Big Tech’s consolidation of cloud services, a technology that allows consumers to store computer information in massive data centers rather than storing it on-site. Just three companies — Amazon, Microsoft, and Google — control 65 percent of the cloud market, according to a report released on July 18 by CloudZero, a cost management platform.

    Microsoft and CrowdStrike also dominate the end point security market, which ensures cybersecurity for devices like desktops, laptops, and mobile devices. As of 2022, the two companies controlled more than 30 percent of the market.

    This consolidation helped allow a simple error to spiral on Friday.

    “We had this cascading failure of all of these businesses, banks, the London Stock Exchange, all of these airlines had to be grounded, because of this one mistake,” said Zane Griffin Talley Cooper, a researcher at the University of Pennsylvania studying digital infrastructure. “And it’s because the internet has become so centralized in the hands of four or five big companies.”

    “With that model, catastrophic failures like this are going to be increasingly common,” he added.
    Regulatory Scrutiny Intensifies

    In March 2023, the Federal Trade Commission announced a wide-ranging survey of the business practices of cloud providers. The agency looked at “market power, business practices affecting competition, and potential security risks,” soliciting comments from companies and the public.

    In its response to the Federal Trade Commission’s probe, Microsoft claimed the marketplace for cloud services remains robust, and warned that regulations may affect “billions of dollars” in investments.

    The company also suggested that the Federal Trade Commission’s intervention would “run the risk of impacting the quality of these solutions and the pace of innovation, and ultimately disadvantaging American companies on the global stage,” Microsoft wrote.

    Public Citizen, a consumer advocacy nonprofit, warned the Federal Trade Commission in 2023 that the market dominance of Amazon, Microsoft, and Google over the cloud services sector is a threat to the economy.

    “Single point dependency on a cloud provider is a structural weakness for the entire economy with the potential to cause more consumer harm in the future,” the group wrote in June 2023.

    On Wednesday — just two days before the global outage — the Department of the Treasury, along with the Consumer Financial Protection Bureau and other federal agencies, cautioned that the industry’s deep reliance on a small handful of cloud service providers left it vulnerable to widespread outages and disruptions.

    The Treasury also released a suite of guidance for banks and financial institutions, following its report from last February that raised an alarm about the potential risks of the highly consolidated market. The report advised that a failure like the one on Friday “could impact multiple financial institutions or U.S. consumers,” and recommended additional oversight, like inspecting third-party service providers.

    The Consumer Financial Protection Bureau’s chief, Rohit Chopra, said on Friday that the failures are just a glimpse of the havoc that could be wreaked by this kind of outage in the financial sector. His agency has warned that in the future, such events could further “freeze parts of the payments infrastructure or grind other critical services to a halt.”

    “There are just a handful of big cloud companies where so much of the economy is now resting on,” Chopra said on CNBC. “We’re getting a taste of some of the potential effects of a real reliance of sectors across the economy relying on a handful of cloud companies and other key systems.”

    Friday’s outage was just a preview, he said, of what could go wrong in extreme cases of corporate consolidation and deregulation.

    “Break Up This Cloud Consortium”

    First reports of the outage surfaced early Friday morning, as computers running on Microsoft’s Windows operating system went down all at once. The issue traced back to a system update that was pushed by a company called CrowdStrike, a cybersecurity provider that is used to protect against hackers in a wide range of sectors, from airlines to banking — and was previously known for its involvement in the 2016 investigation into Russia’s hack of the Democratic National Committee.

    CrowdStrike quickly said it had identified the problem with the update and began pushing a solution, but added that the fixes could take hours.

    “We are aware of this issue and are working closely with CrowdStrike and across the industry to provide customers technical guidance and support to safely bring their systems back online,” Satya Nadella, Microsoft’s CEO, posted on X.

    Microsoft, which was one of the early pioneers of cloud computing software, controls a staggering 85 percent of federal productivity software, and even more of its operating system.

    Yet the Big Tech giant has a history of pushing back against cybersecurity measures. In 2016, the Federal Reserve, the Office of the Comptroller of the Currency, and the Federal Deposit Insurance Corporation released a joint rulemaking notice regarding the need for increased regulations on “enhanced cyber risk management standards for large and interconnected entities.”

    The proposed rule would have “significant consequences not only for the financial services industry but also for third-parties like Microsoft,” the company wrote in a comment letter. It also raised concerns about the new rules, and added that cloud service providers offer better service and cybersecurity than traditional on-site storage centers.

    The rule was withdrawn in March 2019.

    Agencies and Congress have repeatedly tried and failed to strengthen cybersecurity regulations. Within the past three years, lawmakers have introduced at least four legislative initiatives to address these concerns, though none have been adopted so far.

    This February, the federal Cybersecurity and Infrastructure Security Agency also announced it was renewing a task force charged with managing risks to the global information and communications technology supply chain, crucial for protecting computer hardware, software, and applications.

    The companies themselves were seemingly aware of the potential threat caused by an overreliance on cloud-based systems.

    In a 2023 comment letter to the Consumer Financial Protection Bureau about a proposed rulemaking to tighten personal data restrictions, CrowdStrike — the cybersecurity company responsible for Friday’s data breach — argued that the biggest risk to cybersecurity was not software supply chain issues, but hackers.

    “It is our view that perhaps the most significant threat to data comes from bad actors operating unlawfully, leading to data breaches, cyberattacks, exploits, ransomware attacks and other exposure of consumer data,” CrowdStrike wrote.

    CrowdStrike echoed their concerns about the dangers of hackers and resulting system failures in their most recent annual 10-K report. The company told investors that the “consolidation of siloed products” was a concern because “integrating and maintaining numerous products, data and infrastructures across highly distributed enterprise environments” created “blind spots that hackers can exploit.”

    Microsoft, in its 2023 annual report to shareholders, also expressed that “providing [their] customers with more services and solutions in the cloud puts a premium on the resilience of [their] systems.”

    But the companies have worked hard to keep regulators from taking steps to address these risks.

    Microsoft is one of the country’s top spenders on lobbying, ranking in the top one hundred of corporations. So far this year, the company spent more than $5 million on campaign donations and lobbying lawmakers and regulators. Microsoft lobbied Congress, the Federal Trade Commission, the Treasury Department, the Executive Office of the White House, and other regulators on “policy issues in cloud computing,” among other issues, disclosures show.

    “What we really need,” said Cooper, the University of Pennsylvania researcher, “is regulators to break up this cloud consortium of four or five companies and help distribute management of the internet backbone through a host of different companies.”

    Contributors

    Freddy Brewster is a freelance reporter and has been published in the Los Angeles Times, NBC News, CalMatters, the Lost Coast Outpost, and other outlets across California.

    Lucy Dean Stockton is the news editor at the Lever.

    Katya Schwenk is a journalist based in Phoenix, Arizona.

    Helen Santoro is a journalist based in Colorado.

    #capitalisme #informatique #internet #nuage #sécutité #GAFAM #cloud_computimg #monopoles #Microsoft #Amazon #Google

  • Scandale des eaux en bouteille : la fraude de #Nestlé s’élève à plus de 3 milliards en 15 ans

    Dans le cadre de l’#enquête_judiciaire visant Nestlé sur les traitements interdits des #eaux_minérales naturelles, de nouvelles investigations révèlent que la multinationale trompe les consommateurs depuis plus de quinze ans.

    L’ampleur de la #fraude est inédite. Par sa durée : plus de quinze ans, et par son montant : plus de 3 milliards d’euros au minimum. C’est ce que révèle un nouveau rapport d’enquête, que Mediapart a pu consulter, sur le traitement frauduleux des eaux minérales par Nestlé.

    Depuis 2005, la #multinationale a vendu plus de 18 milliards de bouteilles d’eau sous les marques #Contrex, #Hépar ou #Vittel, dont la #qualité équivalait à celle de l’#eau_du_robinet. Mais à un #prix près de cent fois supérieur.

    « Au vu de la durée des pratiques et du nombre de directeurs qui ont pu se succéder sur cette période », le caractère systémique de cette fraude conduit les enquêteurs à retenir principalement la #responsabilité du groupe Nestlé davantage que des responsabilités individuelles. Contacté, le groupe Nestlé nous a renvoyés vers son site, où sont publiées des réponses types.

    Tout a commencé en novembre 2020, lorsqu’un salarié du groupe #Alma (qui commercialise les eaux de la marque #Cristaline) signale auprès de la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) des #traitements non conformes des eaux commercialisées comme « #eaux_minérales_naturelles ». Cette alerte déclenche un premier rapport du Service national d’enquête (SNE) de la DGCCRF, et un deuxième de l’Inspection générale des affaires sociales (Igas), comme l’avaient révélé Mediacités puis Le Monde et Radio France,

    Ces enquêtes concluent que près de 30 % des marques françaises, dont celles du groupe Nestlé, ont recours à des techniques de #purification des eaux classées comme « minérales naturelles » interdites, traitements utilisés notamment contre des #contaminations bactériennes ou chimiques.

    Les procédés auxquels ont recours les entreprises, tels que l’utilisation d’#UV, de #filtres_à_charbon_actif ou de #microfiltres (en deçà de 0,8 µm) sont seulement autorisés pour l’eau du robinet ou les « eaux rendues potables par traitements ». Ils sont strictement interdits pour les « eaux minérales naturelles » et les « #eaux_de_source », qui ne doivent pas subir d’opérations modifiant leur composition.

    Saisi en octobre 2022 par l’agence régionale de santé (ARS) Grand Est, chargée du contrôle de plusieurs sites du groupe Nestlé, le parquet d’Épinal (Vosges) a ouvert une enquête préliminaire, visant le groupe pour « #tromperie par personne morale sur la nature, la qualité, l’origine ou la quantité d’une marchandise ».

    C’est dans ce contexte que le service enquête de la DGCCRF a de nouveau été missionné et ce sont ses conclusions, rendues en avril, que Mediapart a pu consulter. Les investigations ont porté sur les eaux du groupe, embouteillées dans les #Vosges : Contrex, Hépar et Vittel. Leur enquête révèle que pour ces trois eaux minérales, Nestlé a recours à des traitements interdits depuis au moins 2005, voire 1993 pour certaines, et cela de façon permanente, en raison, notamment, de #contaminations_bactériennes fréquentes. À partir de ces éléments d’investigation, le procureur va décider de l’orientation des poursuites.

    Des contaminations fréquentes

    Selon les résultats de contrôles réalisés par Nestlé, de janvier 2020 à mars 2022, plusieurs sources d’eau sont contaminées « de #pathogènes et de #bactéries hétérotropes au-dessus de la limite légale », parfois même jusqu’à 85 % supérieurs. Et ce problème n’est pas récent. Pour y remédier, Nestlé a recours à des traitements par UV, supprimant les micro-organismes, des « process qui ne sont pas conformes avec la réglementation française », signale une note interne à l’entreprise.

    Lors de leur audition, plusieurs responsables reconnaissent ces pratiques interdites. L’ancien directeur de l’usine Nestlé dans les Vosges (en poste de 2019 à 2023) explique que ces appareils étaient utilisés « sur des captages qui avaient des dérives microbiologiques ».

    Dans un courrier adressé à l’ARS, l’entreprise précise que « ces traitements ont été mis en place depuis plusieurs décennies » et cela sur plusieurs captages d’eau des groupes Contrex et Hépar. Pour justifier de telles pratiques, la multinationale attribue la présence de ces dérives bactériennes « au #changement_climatique », provoquant la diminution des nappes d’eau et favorisant les contaminations des sols versants.

    Autre facteur potentiel de contamination, la surexploitation des ressources en eau par Nestlé n’est, en revanche, par abordée. Pas un mot non plus sur le signalement de ces bactéries que le groupe aurait dû faire auprès des autorités, et notamment de l’agence sanitaire de santé (ARS). Rien, non plus, sur la fermeture du site qui aurait dû être envisagée, ou encore sur le changement de #classification de l’eau commercialisée, de « minérale naturelle » à « rendue potable par traitements ».

    C’est en toute connaissance de cause que Nestlé a choisi d’avoir recours de façon intensive aux traitements par UV, ainsi que le constatent les enquêteurs. En épluchant les factures des différentes entreprises spécialisées dans ces installations, on découvre que de septembre 2005 à novembre 2022 (dates du début de l’enquête judiciaire et de l’arrêt de ces traitements), Nestlé a acheté plusieurs appareils à UV, dont quatre utilisés pour les eaux minérales naturelles. Les enquêteurs notent également que le « changement systématique des lampes UV une fois par an », par Nestlé, révèle une utilisation continuelle de cette technique.

    Mais manifestement, cela ne suffit pas à endiguer les contaminations et concernant plusieurs sources, Nestlé installe également des microfiltres (de membrane inférieure à 8 micromètres – µm), permettant de désinfecter l’eau en filtrant les bactéries. Cependant, non seulement ces installations peuvent elles-mêmes être factrices d’infections mais elles ne permettent pas de retenir certains virus ou bactéries.

    Sans se prononcer sur les #pollutions_bactériennes fréquentes des sources ni sur les risques de telles pratiques, les enquêteurs relèvent « une utilisation de filtres non autorisés par les arrêtés préfectoraux à différents niveaux de filtration allant de 0,2 µm à 10 µm depuis au moins 2010 », et cela pour les trois eaux minérales exploitées dans les Vosges.

    Nestlé date certains traitements de 1993

    Certains traitements ne répondent nullement à des « besoins de sécurité sanitaire ». L’utilisation de filtres à charbon actif, là encore interdite, permet de retenir « d’éventuelles traces de résidus de pesticides » dans les eaux. Mais, lors de son audition par les enquêteurs, l’ancien directeur des usines du groupe dans les Vosges explique que cette technique visait surtout à « la protection de la réputation de la marque [Vittel, en l’occurrence – ndlr]. Il était possible de détecter des traces d’herbicides en très faible quantité ».

    Cette stratégie est confirmée par le groupe dans un courrier envoyé à l’ARS en 2022 : « Ce type de #filtration a été mis en place afin d’éviter toutes traces de #pesticides et de #métabolites qui pourraient être mal perçus par les consommateurs et ainsi protéger l’#image de #marque et plus généralement de l’industrie des minéraliers, face à un risque réputationnel important. »

    Les enquêteurs n’ont étonnamment pas retenu cette année-là, mais datent de 2010 la mise en place de ce traitement interdit, qui correspond à l’année de prise de poste du responsable ressource en eaux (REE) auditionné.

    Ils ne retiennent pas non plus la responsabilité de l’ARS, qui est pourtant mise en cause par les déclarations de l’ancien directeur de l’usine. Interrogé sur l’utilisation de #CO2, traitement interdit mais mis en place par Nestlé, il affirme aux enquêteurs : « J’étais au courant pour l’ajout de CO2 pour Vittel. Nous l’avons montré à l’ARS lors des visites mais ils n’ont jamais considéré cela comme un point important. »

    Le garant de la sécurité sanitaire, l’ARS, n’en a pas tenu rigueur à l’exploitant, ce qui soulève de facto la responsabilité de l’État dans les pratiques trompeuses de Nestlé. Interrogée sur ce point par Mediapart, l’ARS n’a pas souhaité répondre.

    La longévité de la fraude interroge également sur l’efficacité des contrôles effectués par l’ARS. Certes, Nestlé a sciemment dissimulé les installations permettant les traitements des eaux illégaux : dans des armoires, dans des bâtiments isolés, voire dans « une pièce souterraine », ainsi que le constatent les enquêteurs. Par ailleurs, les points de prélèvement pour les contrôles de la qualité de l’eau brute étaient sciemment positionnés après les différentes techniques frauduleuses. Pourtant, l’ARS connaissait au moins l’un des traitements interdits et a fait le choix, malgré tout, de fermer les yeux.

    Caractère systémique de la fraude

    Les enquêteurs n’iront pas plus loin sur la responsabilité de l’État dans cette fraude. Concernant la multinationale, c’est le caractère systémique de la fraude qui est soulevé. En effet, dans leurs conclusions, les inspecteurs déplorent que l’expertise des responsables du groupe Nestlé « [soit] cependant utilisée de manière dévoyée, au regard de leur volonté de tromper les consommateurs et l’administration ».

    « L’installation des traitements semble ancienne et pourrait être antérieure au rachat, en 1992, par le groupe Netslé des deux usines » de Vittel et #Contrexéville. Mais ces pratiques ont perduré « non par négligence mais bien [du fait] d’un réel #choix de l’entreprise de maintenir ces traitements en place ».

    Par ailleurs, « au vu de la durée des pratiques et du nombre de directeurs qui ont pu se succéder sur cette période, ayant agi pour le compte et au bénéfice de la société […], la #responsabilité_morale de Nestlé doit être retenue à titre principal ».

    De fait, les enquêteurs établissent qu’il s’agit d’une fraude organisée, qui a duré plusieurs décennies, relevant davantage d’une stratégie du groupe que d’une initiative individuelle.

    La commercialisation d’au moins 18 milliards de bouteilles, selon les estimations des enquêteurs, « à destination finale des consommateurs, sous la dénomination “eau minérale naturelle” alors que ces eaux ne pouvaient prétendre à cette qualité, constitue l’élément matériel du #délit_de_tromperie sur les qualités substantielles et la composition des marchandises ».

    La tromperie est renforcée par la #publicité_mensongère présentant ces eaux comme « pures » et exemptes de tout traitement.

    Ce délit est passible d’une peine de trois ans d’emprisonnement et d’une amende pouvant être portée à 10 % du chiffre d’affaires moyen annuel, soit 20 millions d’euros dans le cas de Nestlé, une somme qui peut paraître dérisoire comparée aux 3 milliards d’euros acquis par l’entreprise grâce à cette fraude (d’après les calculs faits dans le cadre des investigations).

    En effet, selon les enquêteurs, « la différence de chiffre d’affaires réalisée en vendant ces produits en eau minérale naturelle au lieu d’eau rendue potable par traitement est estimée à 3 132 463 297 euros pour les différentes marques et périodes infractionnelles correspondantes ».

    Mais le préjudice pour l’environnement induit par la #surexploitation des ressources en eau par Nestlé n’est quant à lui pas chiffré. Les risques sanitaires ne font pas non plus à ce stade l’objet d’investigations. Ainsi que le concluent les inspecteurs, « le maintien des traitements a permis la continuité de l’exploitation de l’ensemble des sources. Le retrait des traitements UV a entraîné un arrêt de l’exploitation de certains captages qui étaient contaminés microbiologiquement ».

    https://www.mediapart.fr/journal/france/180724/scandale-des-eaux-en-bouteille-la-fraude-de-nestle-s-eleve-plus-de-3-milli
    #réputation

  • Dove sono i metalli rari in Italia

    Se lo sta chiedendo il governo, che ha approvato un decreto per sfruttare vecchi giacimenti e aprire nuove miniere.

    Dopo le sollecitazioni ricevute negli ultimi anni dall’Unione Europea, lo scorso 20 giugno il governo italiano ha approvato un decreto per sostenere la ricerca delle cosiddette “materie prime critiche”, un gruppo di metalli particolarmente necessari per il settore tecnologico e per la transizione energetica. Le materie prime critiche servono soprattutto all’industria dei microchip e dei componenti elettronici o per la produzione di batterie dei veicoli elettrici. Alcune hanno nomi più conosciuti, come il rame, il litio, il silicio e il nichel, altre sono meno note come il bismuto, il boro, il cobalto, il gallio, il germanio, il magnesio e il manganese, la grafite naturale, il titanio e il tungsteno.

    Fino a qualche decennio fa in Italia c’erano diversi giacimenti di questi metalli, miniere via via abbandonate perché dai costi insostenibili soprattutto se paragonati a quelli delle importazioni. Tuttavia negli ultimi anni l’aumento della richiesta dei metalli rari ha invertito questo rapporto: ora comprarli all’estero e importarli è molto costoso, mentre è più vantaggioso e politicamente strategico sfruttare vecchi giacimenti o trovarne di nuovi.

    Con queste premesse il governo ha approvato una serie di misure: semplificare le procedure per consentire alle compagnie minerarie di cercare nuovi giacimenti, finanziare una mappatura più completa delle aree sulla base di studi geologici, realizzare un piano nazionale delle materie prime con una definizione più puntuale dei finanziamenti per questo settore. L’obiettivo è spingere le compagnie a investire nella ricerca di nuovi giacimenti.

    Il ministro dell’Ambiente e della Sicurezza energetica, Gilberto Pichetto Fratin, ha detto che il programma esplorativo dovrà essere pronto entro il 24 maggio 2025. Se ne occuperà l’ISPRA, l’istituto superiore per la protezione e la ricerca ambientale, a cui sono stati dati 3,5 milioni di euro per realizzare una mappa dei possibili giacimenti, la nuova carta mineraria dell’Italia. Grazie alla nuova carta potranno essere aggiornati e migliorati i censimenti fatti dall’ISPRA negli ultimi anni.

    Uno degli ultimi censimenti è stato pubblicato nell’atlante dei dati ambientali, aggiornato al 2023, e comprende i giacimenti sfruttati in passato e ora da rivalutare.

    Nel documento dell’ISPRA si legge che l’Italia è «totalmente dipendente» dai mercati esteri, ma anche che sul territorio esistono mille possibili giacimenti: i più interessanti sono nell’arco alpino, in Liguria, nella fascia tirrenica tra Toscana e Campania, in Calabria e in Sardegna. «La coltivazione di minerali metalliferi è stata progressivamente abbandonata a cavallo dei due secoli non per esaurimento delle risorse ma, nella quasi totalità, per le convenienti condizioni economiche dei mercati esteri delle materie prime e per la mancanza di lungimiranza della politica industriale mineraria», dice lo studio.

    Risultano attive soltanto due miniere di fluorite (a Bracciano, in provincia di Roma, e a Silius, in Sardegna) e una ventina di feldspato tra Piemonte, Toscana, Lazio, Calabria e Sardegna. C’è poi un giacimento di titanio in Liguria, uno di cobalto in Piemonte, di litio in Lazio. Negli ultimi anni sono stati dati permessi per cercare zinco, cobalto, titanio e nichel in particolare sull’arco alpino.

    Il decreto prevede anche che le compagnie minerarie titolari delle concessioni, già attive o future, dovranno dare allo Stato tra il 5 e il 7 per cento dei prodotti estratti. Questa sorta di tassa finanzierà il fondo nazionale del Made in Italy per sostenere nuovi investimenti e un’ulteriore ricerca di materie prime critiche.

    In merito all’impatto ambientale, su cui c’è una maggiore sensibilità rispetto al passato, il governo ha incaricato l’ISPRA di vigilare sui progetti di ricerca dei metalli insieme alle soprintendenze dei territori interessati. L’ISPRA potrà bloccare i permessi se verranno rilevate irregolarità, per esempio trivellazioni in punti non consentiti. L’istituto dovrà anche coinvolgere gli enti locali, in particolare i comuni, per spiegare in modo approfondito i lavori previsti, l’impatto delle ricerche e dell’eventuale apertura di nuove miniere.

    https://www.ilpost.it/2024/07/14/mappa-metalli-rari-italia
    #Italie #extractivisme #Alpes #permis #mines #minières #Italie #terres_rares #matières_premières_critiques #transition_énergétique #batteries #extractivisme #décret #matières_premières_critiques #microchip #électronique #lithium #cuivre #cobalt #tungstène #titan #mines #minières #ISPRA #Gilberto_Pichetto_Fratin #matières_premières #concessions #cartographie #visualisation #carte

    –—

    #métaliste sur l’#extraction de #terres_rares dans les #Alpes :
    https://seenthis.net/messages/1013289

  • Firmenkunden verärgert : Microsoft stellt Office-365-Konnektoren für Teams ein
    https://www.heise.de/news/Workflow-unterbrochen-Microsoft-stellt-Office-365-Konnektoren-fuer-Teams-ein-9

    Voilà pourquoi je suis heureux d’avoir réduit à quasiment zéro ma consommation de drogues produites à Redmond, Washington. J’ai commencé ma désintoxication il y a 25 ans. Depuis les crises répétées comme celle décrite dans l’article ont renforcé mes défenses contre la dépendance et ses effets nocifs.

    11.7.2024 von Tilman Wittenhorst - Microsoft stellt kurzfristig die Office-365-Konnektoren für seine Kollaborationsplattform MS Teams ein und legt Kunden, die für ihre Workflows davon Gebrauch machen, den Umstieg auf das eigene Angebot Power Automate sowie die Workflows-App in MS Teams nahe. Das teilt das Unternehmen in einem Blogbeitrag mit und gibt seinen Kunden etwas mehr als zehn Wochen Zeit, ihre Abläufe umzustellen. Solche konfigurierbaren Konnektoren leiten Informationen externer Quellen als Posting in einen Chat-Kanal in Teams weiter; insbesondere Arbeitsgruppen in Firmen machen hiervon Gebrauch.
    Knappe Frist gesetzt

    In einem Beitrag des Developer-Blogs für Microsoft 365 erläutern zwei Mitarbeiter die Pläne des Unternehmens: Zunächst loben sie die zahlreichen Office-365-Konnektoren für ihre Vielseitigkeit und ihre Beliebtheit bei den Kunden – nur um dann mitzuteilen, dass die Anbindung der Konnektoren an MS Teams bereits zum 15. August 2024 unterbunden werde; ab diesem Datum könnten Kunden keine neuen Konnektoren mehr in Betrieb nehmen. Und zum 1. Oktober 2024 würden sämtliche noch vorhandenen Konnektoren in allen Cloud-Umgebungen ihren Dienst einstellen, heißt es in dem Blogbeitrag. Stattdessen sollen Kunden zur Alternative Power Automate wechseln, damit ein „reibungsloser Betrieb“ gewährleistet bleibe.

    Mit den Konnektoren ergänzen Arbeitsgruppen ihren Austausch um automatisierte Chatnachrichten, sofern sie MS Teams dafür nutzen. Verfügbare Office-365-Konnektoren binden etwa Dienste in Microsofts Azure-Cloud, einen RSS-Feed, ein Trello-Board oder ein GitHub-Repository an, und mit selbst entwickelten Webhooks lässt sich beispielsweise eine Verbindung zu einem Monitoring- oder Ticketing-System oder einer CI/CD-Pipeline herstellen. Erwünschte Informationen tauchen somit als Nachrichten in einem Chatraum auf und bündeln wichtige Informationen für einen Workflow an einem Ort.
    Low-Code-Tool als Alternative

    Als Ersatz empfehlen die Autoren des Blogbeitrags Power Automate aus der hauseigenen Power Platform. Mit dem grafisch orientierten Low-Code-Werkzeug lassen sich Workflows ohne besondere Programmierkenntnisse erstellen und dadurch externe Komponenten mit der Workflows-App in Teams verbinden. Microsoft empfiehlt laut Blogbeitrag Power Automate als „skalierbare, flexible und sichere“ Weise, Konnektoren zu verwenden. Zudem stehe hierfür bereits eine größere Auswahl an Konnektoren bereit. Auch ein Hinweis auf die Secure Future Initiative (die bereits seit 2023 läuft) verweist auf mögliche Sicherheitsbedenken der bisher genutzten Office-365-Konnektoren, auf die der Blogbeitrag jedoch nicht näher eingeht.

    Angesichts der äußerst knappen Fristen und dem harten Schnitt, mit dem Microsoft seine Kunden vor vollendete Tatsachen stellt, sind die zahlreichen Unmutsäußerungen im Diskussionsforum unter dem Blogbeitrag wenig verwunderlich. Einzelne Nutzer merken etwa an, dass eine Übergangsfrist von kaum drei Monaten (noch dazu teils in den Sommerferien) viel zu kurz sei. Außerdem verlange eine Umstellung auf Power Automate auch eine entsprechende Enterprise-Lizenz – und dazu natürlich die nötige Aufwand für die Entwickler. Ferner würden die im Blogbeitrag verlinkten Templates für Power Automate auf die Power Platform verweisen, auf die man ohne gültige Lizenz jedoch keinen Zugriff habe.
    Warnhinweis eingeblendet

    Weitere Vorwürfe in den Kommentaren lauten unter anderem, Microsoft habe aus vergangenen erzwungenen Migrationen nichts gelernt und die Fristen erneut zu kurz angesetzt. Auch nehmen manche Kunde den geplanten Schritt als „schnelles Geldmachen“ wahr, der ihnen nur Aufwand, aber keinen Nutzen bringe. Zudem sei unabsehbar, ob Power Automate überhaupt mit bestimmen Nachrichtenformaten umgehen könne, wenn ein bisher verwendeter Konnektor oder Webhook ersetzt werden müsse. Laut The Register berichten einzelne Kunden, seit Kurzem werde an jede per Webhook erzeugte Teams-Nachricht automatisch ein Warnhinweis angefügt: Darin heißt es, die Office-365-Konnektoren in Teams seien veraltet, empfehlenswert sei der Umstieg auf die Workflows-App.

    Die Anfrage der iX-Redaktion beantwortete Microsoft noch nicht. Eine etwaige Stellungnahme reichen wir an dieser Stelle nach.

    #Microsoft #marketing #wtf

  • Type of Russian missile that struck Kyiv children’s hospital uses western components
    https://www.ft.com/content/ef463ac9-4804-4ad7-b9a2-c113590f2f96

    Russia is making nearly eight times more #Kh-101s than before Vladimir Putin’s full-scale invasion in 2022 — and is still dependent on parts from western countries, particularly the US.

    [...] Although #sanctions have cut Russia off from some advanced components, the Kremlin’s defence sector has turned to microprocessors and other advanced technology not intended for military use.

    The transition is visible in Ukrainian analysis of a Kh-101 fired in January, which revealed 16 pieces of western-made electronics inside the missile.

    Two of the components were branded as made by Swiss-headquartered #STMicroelectronics, with the remainder made by US chipmakers including #Texas_Instruments, #Analog_Devices and #Intel.

    All of the goods are principally intended for civilian use — with some quite old. Financial Times analysis of Russian filings shows how Russian companies in 2023 were able to obtain parts identical to those used in the January Kh-101 by simply buying them on the open market and importing them via China.

    While the Russian documents state that the parts were made by western manufacturers, all were listed as having been made in China, Malaysia, the Philippines, Taiwan or Thailand.

    [...] In 2021, the year before Putin ordered the full-scale invasion, Russia produced just 56 Kh-101 missiles. After the Kremlin kept arms factories running in round-the-clock shifts, Russia produced 420 Kh-101s last year — a nearly eightfold rise, according to a report last month by the Royal United Services Institute, a British defence think-tank.

    #microprocesseur #ukraine

  • Windows-Installation mit lokalem Konto : Microsoft blockiert populäre Umgehung
    https://www.heise.de/news/Microsoft-blockiert-weiteren-Weg-zur-Windows-Installation-mit-lokalem-Konto-97

    Il est de plus en plus difficile d’installer un système d’exploitation Windows 11 sans compte chez Mocrosoft. Voilà la solution du jour.

    Le géant de l’informatique nous dit la même chose comme ses semblables : Si tu veux te servir de ma baguette magique il ne suffit pas que tu me payes. Jeux veux que tu me donnes ton âme aussi. Sympa les gars. Le deal que le docteur Faust conclut avec le diable fut plus avantageux.

    On sait comment finit l"histoire. Sa petite copine meurt, son monde s’écroule et l’auteur du drame n’a su se tirer de l"affaire qu’en faisant intervenir le deus ex machina . Pour les utilisateurs MS par contre il n’y aura pas de sauveteur miraculeux.

    https://learn.microsoft.com/en-us/dotnet/visual-basic/language-reference/statements/goto-statement
    hell : FileClose(1)
    GoTo hell

    10.6.2024 von Dirk Knop - Die Installation von Windows 11 mit lokalem Konto wird zunehmend schwieriger. Microsoft hat jetzt eine populäre Umgehungsvariante blockiert.

    Viele Nutzerinnen und Nutzer wollen ihr Windows 11 nicht unter Angabe eines Online-Microsoft-Kontos, sondern mit einem lokalen Konto einrichten. Microsoft hat jedoch etwas gegen und möchte die Nutzung der Cloud-Dienste und -Konten forcieren. Nun hat der US-Konzern einen einfachen und oft genutzten Weg verrammelt, der die Nutzung eines lokalen Kontos ermöglichte. Eine andere Umgehungsvariante funktioniert jedoch immer noch.

    Der gerne und oft genutzte Weg, bei der Windows-Installation als Name des Kontos ein nicht existierendes wie „Windows“ oder „Microsoft“ und ein beliebiges (ungültiges) Passwort einzugeben, ist nicht mehr nutzbar. Anstatt des Hinweises, dass das Konto aus Sicherheitsgründen gesperrt sei und der anschließenden Möglichkeit, ein lokales Konto einzurichten, werden diejenigen, die das versuchen, einfach zurück zur Eingabe eines Kontos geleitet. Dies fiel in der vergangenen Woche Nutzern auf X (ehemals Twitter) auf.
    Funktionierende Variante zur Win-11-Installation mit lokalem Konto

    Eine Variante, um Windows 11 mit lokalem Konto zu installieren, klappt weiterhin. Dazu kappt man bei der Installation die Netzwerkverbindungen. Windows zeigt daraufhin an, dass keine Internetverbindung besteht. Die Tastenkombination Shift (Umschalten) und gleichzeitig F10 öffnet die Eingabeaufforderung von Windows. An der führt dann der Befehl oobe\bypassnro dazu, dass das Windows-Setup neu startet. Nach der erneuten Länder- und Tastatureinstellung erscheint abermals die Aufforderung, ein Konto einzurichten, allerdings mit der Option „Ich habe kein Internet“, die das Anlegen eines lokalen Kontos ermöglicht.

    Microsoft macht es somit immer schwieriger, Windows lediglich mit einem lokalen Konto und ohne Cloud-Dienste zu nutzen.

    Vor rund einem Jahr erschien etwa der Tipp in der c’t, ein ungültiges Konto anzugeben und so zum Erstellen eines lokalen Kontos zu gelangen. Der hat sich hiermit erübrigt. Glücklicherweise bleibt Interessierten aber noch ein weiterer Weg, um den Online-Konto-Zwang herumzukommen.

    P.S. J’avoue que moi aussi je me sers plutôt dans les repos des distributions Linux que de compiler mes sources. Il n’y a pas d’autre solution que de lire le code avant de le compiler soi-même si on veut être à l’abri de la surveillance par les GAFAM. Je fais confiance par fatigue et manque de temps disponible. Dans la réalité on n’échappe pas aux conditions d’existence d’espèce faustienne.

    #Microsoft #Wimdows #GAFAM #surveillance #wtf

  • #Microsoft Announce #WSL Updates, Including New Settings App
    https://www.omgubuntu.co.uk/2024/05/wsl-gui-settings-apps-coming-soon

    Those using Ubuntu on Windows through the Windows Subsystem for Linux (WSL) may be interested to know that ‘significant updates’ are on the way. In a blog post to recap things discussed as the recent Microsoft BUILD event the company’s senior product manager for the Windows developer platform Craig Loewen runs though what’s coming down the pipe for WSL users. Several experimental WSL features Microsoft announced last year have started to make their way to stable/default builds. Among them, automatically releasing stored memory in WSL back to Windows. Device with limited memory will benefit most from this, but so too […] You’re reading Microsoft Announce WSL Updates, Including New Settings App, a blog post from OMG! Ubuntu. Do not reproduce elsewhere without (...)

    #News #windows_11

  • #Microsoft Gives Its Open-Source Developer Font Major Update
    https://www.omgubuntu.co.uk/2024/05/cascadia-code-font-update-large-type-pieces

    Cascadia Code is an open-source monospaced font made by Microsoft first released in 2020 and serves as the default typeface for the official Windows Terminal app. Similar to Intel’s One Mono, JetBrains’ Mono and IBM’s Plex, Cascadia Code is an clear, legible, modern monospaced font tailored for terminal and code editing and offering a wide range of programming ligatures. Earlier this mont the font received its first update in nearly 3 years and, as per release announcement, it’s a huge one. If you’re a fan of this font and have an older version installed, or you’re just a creative into […] You’re reading Microsoft Gives Its Open-Source Developer Font Major Update, a blog post from OMG! Ubuntu. Do not reproduce elsewhere without (...)

    #News #Fonts

  • #Forts_Maunsell

    Les Forts Maunsell étaient des petites tours fortifiées marines construites au niveau de l’estuaire de la Tamise et de la Mersey durant la Seconde Guerre mondiale pour protéger le Royaume-Uni de toute invasion allemande. Ils tirent leur nom de leur concepteur #Guy_Maunsell. L’armée les a abandonnés à la fin des années 1950 et ils furent parfois utilisés pour d’autres activités. C’est ainsi que l’un d’eux est devenu une micronation non-indépendante, sous le nom de #principauté_de_Sealand.

    Ils ont été également utilisés comme bases pour des #radios-pirates à l’époque de l’explosion de la pop music britannique des années 60 (la Beatlemaia). Ils étaient une alternative plus robuste à l’emploi de bateaux émetteurs ancrés au large des eaux territoriales souvent malmenés par les tempêtes hivernales de la Manche et de la Mer du Nord. L’extension des eaux territoriales britanniques et des actions militaro-policières ont sonné la fin de cette utilisation à l’aube des années 70.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Forts_Maunsell

    #micro-Etat #micro-nation #micro-nations #micro-Etats #UK #Angleterre #Manche #La_Manche

  • Pourquoi C# reste aussi décrié par les libristes, et pourquoi ils ont raison ?

    – Le langage C# est normalisé ECMA, mais n’est que open-source
    – .NET Core est libre (licence MIT), mais reste sous l’EULA Microsoft... je ne sais pas comment ca se résoudrait devant un juge.
    – Le compilateur est libre (Roslyn, licence MIT).
    – Xamarin, le cross platform implementation, est privateur
    – je ne parle pas du compilateur indépendant MONO

    Donc on peut vite penser que C# et .NET sont libres, mais en vrai, ils s’adossent à des outils qui ne le sont pas. On peut tomber dans des superpositions de licences qui ne sont pas libres, juste open-sources.

    Et n’oublions pas : L’open-source, c’est la laisse que le maitre a faite tomber au sol, mais qu’il peut reprendre à tout moment.

    #microsoft #.net #csharp #dotnet #opensource

  • Les bernard-l’ermite déménagent dans des déchets plastiques… et intriguent les scientifiques
    https://theconversation.com/les-bernard-lermite-demenagent-dans-des-dechets-plastiques-et-intri

    Un autre facteur qui limite le choix de la coquille est la disponibilité de coquilles appropriées. Or, pour une raison encore inconnue, une partie des bernard-l’ermite terrestres choisissent d’occuper des objets en plastique plutôt que des coquilles naturelles, comme le montre cette dernière étude.

  • Microsoft: four Xbox-exclusive games are coming to PS5 and Nintendo Switch - The Verge
    https://www.theverge.com/2024/2/15/24073691/microsoft-xbox-games-ps5-nintendo-switch-exclusivity

    It’s official: Microsoft is bringing some Xbox-exclusive games to PS5 and Nintendo Switch. It’s part of a broader strategy shift inside Microsoft’s gaming business to grow games beyond just the company’s Xbox consoles.

    #jeux_vidéo #jeu_vidéo #business #microsoft #console_xbox #console_playstation #console_switch #exclusivité

  • Microsoft prepares to take Xbox everywhere - The Verge
    https://www.theverge.com/2024/2/12/24067370/microsoft-xbox-playstation-switch-games-future-hardware

    Microsoft’s Xbox business needs to get bigger. The company’s Xbox Series S and X sales still lag behind Sony’s PlayStation 5, and Microsoft Gaming CEO Phil Spencer has previously admitted its Xbox Game Pass subscriptions were slowing down, too. He admitted that in 2022, a dry year for Xbox games after Microsoft’s big exclusive Bethesda game Starfield was delayed.

    An Xbox Game Pass slowdown might be why I’m hearing that a number of Xbox exclusives are coming to consoles with which Microsoft usually competes. Sources familiar with Microsoft’s plans tell The Verge that the company is getting ready to launch a select number of Xbox games on PS5 and Nintendo Switch. Weeks of rumors suggest that Hi-Fi Rush, Sea of Thieves, and even Bethesda titles like Starfield and Indiana Jones could appear on non-Xbox platforms.

    #jeux_vidéo #jeu_vidéo #business #microsoft #console_xbox #console_playstation #console_switch #analyse #rumeur

  • Microsoft’s recent layoffs contradict what the company promised of its merger, the FTC says. - The Verge
    https://www.theverge.com/2024/2/7/24065150/microsofts-recent-layoffs-contradict-what-the-company-promised-of-its-merg

    Microsoft’s recent layoffs contradict what the company promised of its merger, the FTC says.

    Pour le détail des observations de la FTC, voir les captures jointes à ce Tweet :
    https://twitter.com/tomwarren/status/1755309305866154194

    Réponse de Microsoft :
    Microsoft says Activision was already planning ‘significant’ layoffs. - The Verge
    https://www.theverge.com/2024/2/8/24066089/microsoft-says-activision-was-already-planning-significant-layoffs

    Microsoft says Activision was already planning ‘significant’ layoffs.

    Plus détaillée dans ce Tweet :
    https://twitter.com/tomwarren/status/1755626533048209882

    #jeux_vidéo #jeu_vidéo #microsoft #acivision_blizzard #ftc #business #rachat #acquisition #finance #ressources_humaines #licenciements

  • #Microsoft Relents: #VS_Code will Work with #ubuntu_18.04 Until 2025
    https://www.omgubuntu.co.uk/2024/02/vscode-recovery-update-for-ubuntu-18-04

    Microsoft has announced a temporary reprieve for developers who use VS Code to connect to servers, clouds, container, and other devices running on Ubuntu 18.04 LTS. As I covered last week, Microsoft pushed out an update to VS Code that bumps its glibc requirement, dropping support for Ubuntu 18.04 LTS (which uses an older version of glibc) in the process. Innocuous though it sounds, that move had a huge impact, leaving thousands of developers who use VS Code unable to connect to/work with devices running Ubuntu 18.04 LTS or other Linux distros using <glibc 2.27, including RHEL 7, CentOS 7, […] You’re reading Microsoft Relents: VS Code will Work with Ubuntu 18.04 Until 2025, a blog post from OMG! Ubuntu. Do not reproduce elsewhere without (...)

    #News

  • #vscode Drops Ubuntu 18.04 Support, Devs Feel “Screwed”
    https://www.omgubuntu.co.uk/2024/02/vscode-drops-ubuntu-18-04-support-leaves-devs-screwed

    Microsoft Visual Studio Code (VS Code) has dropped support for #ubuntu_18.04_LTS — a move causing issues for scores of developers. VS Code 1.86 (aka the ‘January 2024’ update) saw #Microsoft bump the minimum build requirements for the text editor’s popular remote dev tools to ≥glibc 2.28 — but Ubuntu 18.04 LTS uses glibc 2.27, ergo they no longer work. While Ubuntu 18.04 is supported by Canonical until 2028 (through ESM) a major glibc upgrade is unlikely. Thus, this “breaking change” is truly breaking workflows: “Yeah this has completely screwed me. I have a number of older servers and […] You’re reading VSCode Drops Ubuntu 18.04 Support, Devs Feel “Screwed”, a blog post from OMG! Ubuntu. Do not reproduce elsewhere without (...)

    #News