Savez-vous planter du #riz à la mode coréenne ?
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#agriculture
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#agriculture
Intéressant ce simili-tracteur qui ne tasse pas la terre. Ça peu changer de la grelinette.
« qui ne tasse pas la terre » je suis pas convaincu, enfin il doit la décompacter après passage des roues j’imagine
Je me demande si un truc comme ça pourrait pas être utilisé pour les poireaux et autres alliacées, ou bien sûr pour les autres céréales. Le fait que ce soit immergé doit quand même pas mal aidé. Intéressant pour #micro_fermes, #biointensive ? cc @koldobika
#outil #bricole #low_tech #technologie_appropriée #technologie_conviviale ?
Je me dis qu’il faut une certaine surface pour permettre une économie d’échelle suffisante pour que le machin soit rentable, non ? Ou alors en équipement mutualisé peut-être. Mais en biointensive il faudrait un rack avec intervalles réglables (vu que chaque culture a les siens) et capable de planter en quinconce :-)
Drill-powered Microfarming : Slow Tools for Humanity - MilkwoodMilkwood – Real Skills for Down to Earth Living
▻http://www.milkwood.net/2014/12/15/drill-powered-microfarming-slow-tools-humanity
Many small-scale growers we know want to use their time and energy efficiently, but they also want to find a balance between automation while keeping themselves in direct relationship to the soil, each and every day.
Mini rotavator avec une perceuse électrique :
▻http://www.johnnyseeds.com/p-6620-tilther.aspx
▻https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=FGJneZLT2c4
Ramassage de verdure avec une perceuse électrique :
Peut être des choses à creuser ici : ▻https://www.facebook.com/slowtools
à rapprocher de ►http://seenthis.net/messages/313755 (avec des vélos)
La micro-ferme, modèle agricole pour le 21ème siècle ?
▻http://www.consoglobe.com/micro-ferme-cg
La micro-ferme, comme on le devine aisément à son appellation, est une ferme de petite surface. Généralement, moins d’un hectare. Il s’agit d’un agrosystème à la fois naturel et très productif, qui fonctionne avec un recours minimal aux énergies fossiles.
#agriculture #biointensive #micro_ferme
La ferme du Bec Helloin qui doit valider un modèle sans intrant ça me parait bizarre, il me semblait qu’ils avaient bien boosté leurs sols avec du fumier
Bon je vais troller un peu ... :)
A propos de modèle, je me suis posé la question de savoir si tout ces modèles ne finissent pas par être happés par la tendance de #commodification, bref la tendance business. Ca a certainement sa part d’utilité, mais je trouve qu’il y a un certain élitisme à travers tous ces nouveaux modèles, un peu comme dans les courants pédagogiques alternatifs.
Par exemple, en permaculture, combien coûte un PDC (Permaculture Design Course) ? Quel est le prix d’une certification en permaculture ?
J’imagine par exemple qu’une fois validée par les institutions ce modèle de micro-ferme, qu’il devienne (presque) une marque déposée ...
Ben c’est pas il te « semblait », c’est écrit noir sur blanc dans le même article. Mais donc sans contradiction entre les deux :
Pour enrichir les sols, le couple mise sur un apport massif de fumier décomposé et de compost. Il teste également des solutions innovantes comme le biochar, un charbon de bois microporeux incorporé au sol, associé à des micro-organismes efficaces.
Le soleil est la source d’énergie presque exclusive de la ferme qui n’a plus recours ni aux énergies fossiles ni à aucun intrant biologique extérieur.
J’aurais du mieux lire l’article,
Par contre ils utilisent plein d’intrants biologiques extérieur, ça s’appelle des stagiaires ;)
Pour le côté business, il y a ça de base dans la permaculture car il s’agit aussi de former des consultants qui peuvent mettre en place des design chez des clients. Pareil pour les micro-fermes, c’est pas des jardiniers qui veulent faire du fric, mais des agriculteurs qui choisissent de faire moins et mieux, mais la contrainte rentabilité est là de base.
Pour les prix des PDC c’est cher, mais ça me choque pas par rapport au prix des autres stages. Ce qui me choque plus en France c’est le niveau des formations, ou le foutage de gueule sur certains stages (+ de 1000€ et plus de 40 stagiaires, la bétaillère de luxe)
Perso je yrouve ça cool de pouvoir gagner de l’argent en faisant une activité qui va dans le bon sens. Mais faut pas que ça vire au Ponzi non plus.
Disons je n’ai pas été vraiment surpris par le vocable employé de consultant pour désigner des formateurs en permaculture qui dispensent des enseignement sur le design ; on retrouve ces mêmes termes dans le monde de la technologie, notamment en informatique. En même temps la permaculture est une méthode australienne si je ne me trompe.
En faite j’ai simplement été surpris de voir qu’il y avait des certifications en permaculture (et certaines pour devenir à son tour consultant je suppose), exactement comme dans l’informatique. C’est vrai que ça m’a surpris, au début du moins.
Sinon ; tu as raison, y a pas de mal à gagner de l’argent, tant qu’on va dans le bon sens.
De la permaculture et du logiciel libre ou du partage de la connaissance, même problématique. Et ceux qui veulent se faire formateur de permaculture ou se faire payer pour expliquer, pourquoi pas. Mais une certification en permaculture, c’est juste ridicule.
C’était pas dénué d’intérêt vu que les australiens du début étaient des vrais génies, mais là la certification s’est diluée et ne veut plus dire grand chose.
D’autre part, il me semble qu’il faut environ 4 hectares à un groupe de 6 personnes (2 adultes 4 enfants) pour être autonome, ce qui n’est évidemment pas équivalent à « viable économiquement ».
Des études menées notamment à la ferme biologique du Bec Hellouin démontrent que 1000m2 cultivés en maraichage diversifié permettent de créer une activité de plein temps économiquement viable.
Ah oui, avec des stagiaires gratos ou des woofers, et en revendant à 5€ le kilo de tomates ?
Même si je suis admirative de leur démarche (bon en même temps en permaculture depuis 2008 c’est jeune uh uh), je doute très très fort de ce qui est écrit ici :
A noter que les premiers résultats de l’étude ont été encourageants. Au cours de l’année 2012-2013 marquée par des conditions climatiques défavorables, les 1000m2 cultivés ont permis de dégager un revenu de 32 000 euros pour une charge de travail de 1400 heures pour une personne.
▻http://seenthis.net/messages/318899#message318926
la ferme du Bec Hellouin s’est récemment reconvertie dans la production pour riches #gentrification ▻http://www.lexpress.fr/styles/saveurs/la-jeune-rue-le-projet-gastronomique-et-design-qui-va-changer-paris_1503184
@touti l’étude n’était pas aussi mal menée que ça :) Mais par contre ils ont calculé le chiffre d’affaire par rapport à ce qui était produit x prix au kg qui se pratiquait, indépendamment du fait que c’était vendu, donné ou mis au compost. C’est plus facile de générer du chiffre comme ça ...
Pour du maraîchage sur petites surface, voir la ferme de la grelinette et Eliot Coleman. Je suis en train de m’y pencher tout doucement. Bon par contre c’est plus que 1000m².
@touti la nourriture d’une personne peut être produite sans intrant sur 465m² en #biointensive (372 m² si on ne compte pas les allées entre les buttes) ►http://www.growbiointensive.org/grow_main.html
Coleman et Fortier également cités ici ►http://seenthis.net/messages/203034
Et apparemment encore moins si on n’est pas regardant sur la diversité :
A more down-to-earth approach to efficient food raising is presented in David Duhon’s book One Circle: How to Grow a Complete Diet in Less Than 1,000 Square Feet ($9 postpaid from Ecology Action, Willits, CA). Duhon examines and gives complete growing information for 14 crops with high potential for use in “minimal area” gardens. Six of these—potatoes, sunflowers, onions, turnips, parsnips and garlic—could conceivably provide a woman’s complete, balanced diet for one year from just a 550-square-foot garden! (Duhon’s other “wonder crops” are collards, filberts, leeks, parsley, peanuts, soybeans, sweet potatoes and wheat.)
Oui mais dans ce cas on est obligés d’avoir des intrants car ce sont presque uniquement des plantes « consommant » plus de matière organique qu’elles n’en produisent.
(et puis sous climat humide et sur terre lourde, tournesol, oignons panais et ail tu peux oublier)
Je pense que la ressource limitante est plus le manque de place pour faire pousser de la nourriture que la matière organique (particulièrement en ville).
Oui effectivement. Du coup ça se rapprocherait plus du maraîchage intensif de la couronne parisienne au XIXème siècle (avec cloches de verre et crottin de cheval en abondance)
En travaillant sur les accaparements, j’avais vu qu’on estimait qu’il fallait entre 0,3 et 0,4 ha en agriculture traditionnelle pour nourrir une personne... ça reste à vérifier
Une question me vient. Sous les climats tempérés, comment on fait pour se nourrir l’hiver lorsqu’on dispose de la surface agricole suffisante pour soi et sa famille. Dans mon imaginaire, l’hiver on ne peut rien produire, non ? A moins qu’avec un système de serres, ou autres.
Ceux qui recherchent l’autosuffisance sous climat tempérés font des réserves pour tout l’hiver, c’est ça ? Des réserves sous forme de conserve (des confits par ex) je suppose.
Ben tu manges quoi là actuellement en hiver ?…
En hiver il a des poireaux, des choux, des épinards, des bettes, des panais, mâche... ce qui se conservent hors de terre : patates, carottes, courges et autres cucurbitacées et les légumes de l’été que tu as mis en conserve :)
beaucoup de fruits en ce moment car il fait super chaud, autour de 32 degré la journée. Le climat est tropical :)
@odilon, donc c’est possible de ramasser des légumes en hiver, merci, je ne savais pas. C’est vrai quand on est déconnecté de la terre comme moi, à première vue c’est surprenant. Parcontre, j’imagine que c’est un gros travail que de préparer toutes ces conserves pour l’hiver.
Y a aussi tout ce qui est sec : légumineuses et céréales. Et sinon on peut ramasser des légumes en hiver, si le sol n’est pas trop gelé ...
et aussi les oignons, ail, échalotes... les châtaignes...
Plusieurs interrogations subsistent
– Combien de m2 est nécessaire pour nourrir un groupe de 6 et EDIT : sur toute une année. La notion d’un seul individu à nourrir m’est impensable ce qui fait qu’une surface pour une personne me parait absurde, et le temps de travail s’en trouve d’autant accru.
Comparez avec un appartement de 100m2 pour 1 ou pour 6 où la cuisine sert à tous.
– Que veut dire nourrir une personne ? est-ce qu’elle mange de la viande et donc fait-elle de l’élevage sur sa parcelle ?
– la plus cruciale et mensongère porte sur le rapport de 32000 euros, je vais dire à tout mes potes qui font de la permaculture depuis 20 ans qu’en fait ils sont hyper riches, je sens qu’on va bien rigoler !
Non, ce n’est pas stupide d’estimer la surface nécessaire par personne, c’est une moyenne pour connaître les besoins d’une population. Pas seulement d’une famille de 6. Pourquoi 6 plutôt que 3 ou 7 ou 13 ?
Par contre, ce n’est pas comparable avec une surface habitable, là je ne vois pas du tout.
Sur le rapport des 32 000 euros, j’ai aussi quelques doutes :)
Pour les chiffres fournis par @koldobika et moi même, tu multiplies par 6 pour 6 personnes (moins s’il y a des enfants). Je suis pas sûr de comprendre ta cuisine partagée, car tu ne partages pas tes besoins alimentaires. Ensuite, on peut se demander le nombre de m² dont peut s’occuper une personne sous ce régime d’intensité d’utilisation (et donc combien une personne peut elle nourrir
d’autres personnes en plus d’elle même), là je ne sais pas.
Nourrir une personne, pour ces deux chiffres, prend en compte tous les besoins nutritionnels (donc pas que calories), et sont pris en compte les éventuelles doses à ne pas dépasser (pas trop de patates pour ne pas s’intoxiquer notamment). Les deux solutions sont végétaliennes, celle fournit par @koldobika prend en compte la éncessité de faire pousser assez de matière organique pour faire du compost pour ne pas épuiser la fertilité, alors que celle que je donne veut être la plus productive par unité de surface.
le site générale
►http://www.fermedubec.com
celui de la ferme
▻http://www.fermedubec.com/animaux.aspx
Ils élèvent des moutons, des lapins et des volailles, ça explique peut-être les revenus avancés.
Non ce n’est pas pris en compte. Y a l’étude dans le lien que j’ai fait plus haut
Ah oui, 32 000 c’est le chiffre d’affaire, il faut retirer les frais et au final il reste 14 130 €...
Du coup le lien précédent de @touti en rapport avec le biointensif est une approche opposée au forest_gardening (#forêt_comestible), lequel demande un gros investissement en temps au départ, mais ensuite c’est la nature qui autoproduit ce qui réduit très fortement le temps de travail avec le temps. Enfin c’est ce que j’ai compris. Vos commentaires sur ces deux approches m’intéresseraient.
Il me semble, si j’ai compris, qu’il faille plus d’investissement au départ pour mettre en route une forêt comestible, que pour les autres systèmes de culture, mais qu’après c’est le bonheur.
Opposés je sais pas, différents oui,
Biointensif :
– forte productivité sur peu d’espace
– premières récoltes dans l’année
– gestion intensive
– production d’annuelles : légumes, racines
Forêt comestible :
– bonne productivité par rapport au temps de gestion investi
– le système produit bien à partir d’une décennie ?
– productions de fruits, baies, champignons
merci pour cette discussion et vos éclaircissements.
Produire plein de bouffe sur peu de place, un enjeu pour la reconversion des actuelles zones pavillonnaires dans la pénurie énergétique à venir.
Le jardinier maraîcher - Reporterre
▻http://www.reporterre.net/spip.php?article3501
L’agriculture biologique est un enjeu majeur pour notre santé et notre environnement. Mais cette agriculture est-elle viable ? Est-il possible de vivre de sa production de légumes biologiques en cultivant de manière artisanale une superficie d’un hectare ou moins ?
Jean-Martin Fortier, qui exploite depuis une dizaine d’années une microferme en Estrie, en fait la démonstration avec brio. Dans ce manuel de maraîchage biologique, il partage avec beaucoup de générosité et de transparence les principes, méthodes et astuces qui ont fait le succès de ses cultures et la rentabilité de son entreprise agricole.
Véritable mine d’informations pratiques, cet ouvrage s’adresse autant au jardinier amateur qu’à une personne qui souhaiterait se lancer en agriculture écologique de proximité. En plus de fournir des notes culturales sur 25 légumes, il nous apprend, étape par étape, comment :
– choisir l’emplacement d’un site en s’inspirant de la permaculture ;
– minimiser les investissements au démarrage de son entreprise ;
– utiliser de la machinerie alternative au tracteur ;
– cultiver en planches permanentes avec une approche de travail du sol minime ;
– fertiliser organiquement ses cultures ;
– lutter efficacement contre les maladies et les insectes nuisibles ;
– désherber avec les meilleurs outils ;
– prolonger la saison en « forçant » ses cultures ;
– élaborer un calendrier cultural ;
– faire une bonne planification financière.
En choisissant de nourrir les communautés locales avec des aliments sains, l’agriculture biologique sur petite surface incarne à merveille l’économie post-capitaliste qui pointe à l’horizon.
toujours sur Jean-Martin Fortier ▻http://www.reporterre.net/spip.php?article5081
Quelles ont été vos sources d’inspiration ?
Eliot Coleman, qui est un des pionniers de l’agriculture biologique aux Etats-Unis. Dans son premier livre, il a jeté les bases d’un système tel que celui que nous avons mis en place. Il a inventé ou importé d’Allemagne, de Suisse, de France, la plupart des outils que nous utilisons, et qui pour la plupart ne sont pas connus en France. Son premier livre m’a guidé quand j’ai commencé et je l’ouvrais chaque fois que je ne savais pas comment m’y prendre. Cela m’a donné envie d’écrire Le jardinier maraîcher, car j’ai pris conscience de la portée que peut avoir la transmission d’un savoir-faire. Il n’y avait rien de tel en français.
Est-ce un modèle reproductible ?
Tout ce que je fais a été inspiré de ce que faisaient les maraîchers en Ile-de-France au XIXe siècle. J’ai vu des photos dans des livres de l’époque et cela ressemble à ma ferme. C’était du maraîchage intensif sur petite surface. C’étaient des outils qui ressemblent à ceux que l’on utilise, c’était de la vente directe, c’était de la qualité. Ce qui manquait c’était un modèle pour montrer comment faire.
Tout le monde a un tracteur aujourd’hui, même les petits agriculteurs. Mais le tracteur détermine les outils dont vous allez avoir besoin. Or, dans ce métier, la récolte représente 50 % du temps et ça ne se fait pas avec un tracteur ! Nous, nous avons commencé avec peu : un petit motoculteur et quelques outils à main. C’était accessible.
Autre méthode inspirée des maraîchers d’Île-de-France du XIXème siècle, la biointensive ▻http://senshumus.wordpress.com/2006/11/04/c%E2%80%99est-quoi-la-biointensive
Il y a plus d’un siècle, des maraîchers pratiquaient autour de Paris une méthode de culture intensive qui leur permettait, dans une région où la place était déjà comptée, de produire, de manière totalement biologique (les engrais chimiques et les pesticides n’étaient pas encore inventés), des grandes quantités de légumes d’excellente qualité, à partir de surfaces très réduites.
L’apparition de la mécanisation, les progrès des moyens de transport et les engrais ont relégué cette méthode à de rares jardins d’amateurs éclairés : il était possible de produire plus loin de Paris, en quantité suffisante. Pourtant, de nombreux jardiniers auraient tout intérêt à en connaître les grands principes. D’autant plus que cette ancestrale méthode a depuis été améliorée, pour donner naissance à la méthode française intensive biodynamique, ou biointensive.
►http://fr.ekopedia.org/Micro-agriculture_biointensive
▻http://senshumus.wordpress.com/2009/01/30/principes-et-pratique-de-la-micro-agriculture-biointensive
il partage avec beaucoup de générosité
ça ne va pas jusqu’à proposer une version gratos ;-)
200 pages, 25 euros.
#biointensive, est-ce que ce tag convient pour tout ça ou on utilise un tag genre #micro_ferme ?
toutes les micro fermes ne sont pas biointensives donc je dirais plutôt option 2.
le préfixe « bio » me gêne un peu mais bon, je dis ça comme ça... :)
pourtant ce sont bien des méthodes bio. aucun produit de synthèse. et une amélioration de l’activité biologique du sol.
Oui oui, j’entends bien, mais c’est tellement connoté que je ne trouve pas ça valorisant... c’est vrai qu’à la base je trouve le terme « agriculture biologique » un peu fourre tout. D’autant qu’il y a une certaine souplesse vis-à-vis de certains produits chimiques.
oui c’est vrai. c’est toute la question des termes un peu galvaudés : les abandonner et en choisir d’autres, ou se les réapproprier...
En même temps « biointensive » veut dire jardinage/agriculture « biologiquement intensive » et pas agriculture « biologique intensive ».
Je sais pas si je suis clair :)
Oui, c’est le terme « biologique » que je trouve galvaudé.
Faut dire à la base agriculture biologique ça veut pas dire grand chose :)
Peut-être que je me trompe mais il me semble que la racine « écolo » l’est moins (galvaudée) et est plus chargé de sens. Ça pourrait donner écolo-intensive :)))
Galvaudé… galvaudé… vous voulez dire, comme le mot « paysan » ?
=> []
Faut dire à la base agriculture biologique ça veut pas dire grand chose :)
un truc qui m’a fait tiquer dans les graines biaugerme
▻http://www.biaugerme.com/fiche_variete.php?id=258
Vous étonnerez vos voisins sceptiques quant à la biologie avec ces tomates énormes, pesant près d’un kilo
y a des gens qui sont pas certains que la biologie existe, et pour qu’ils constatent que la biologie existe vraiment il faut leur montrer des grosses tomates.
Ça ressemble à une erreur de traduction tellement ça semble incohérent dans la formulation. ("sceptique quant à l’agriculture biologique" ?) (Bon je passe sur le côté « je fais du jardinage pour épater la galerie »)
je pense qu’ils ont mis « biologie » pour « jardinage/agriculture sans azote de synthèse » (pour dire si ça va loin dans l’usage à tort et à travers du terme)