• Taser Will Use Police Body Camera Videos “To Anticipate Criminal Activity”
    https://theintercept.com/2017/04/30/taser-will-use-police-body-camera-videos-to-anticipate-criminal-activi

    When civil liberties advocates discuss the dangers of new policing technologies, they often point to sci-fi films like “RoboCop” and “Minority Report” as cautionary tales. In “RoboCop,” a massive corporation purchases Detroit’s entire police department. After one of its officer gets fatally shot on duty, the company sees an opportunity to save on labor costs by reanimating the officer’s body with sleek weapons, predictive analytics, facial recognition, and the ability to record and transmit live (...)

    #Taser #Microsoft #algorithme #criminalité #sécuritaire #activisme #surveillance #vidéo-surveillance #IBM #Minority_Report #Predpol #Ntechlab (...)

    ##criminalité ##DeepLearningEngine

  • IT in der öffentlichen Verwaltung : Europas fatale Abhängigkeit von Microsoft - Tagesspiegel
    http://www.tagesspiegel.de/weltspiegel/it-in-der-oeffentlichen-verwaltung-europas-fatale-abhaengigkeit-von-microsoft/19628246-all.html


    Dans l’univers des adminsitrations on commence à se rendre compte de la dépendance du géant Microsoft. Le très conservateurs Tagesspiegel publie un article de fond qu’on n’aurait pas cru possible sur ses pages il y a quelques mois.

    Alle europäischen Staaten nutzen Software von Microsoft für ihre Verwaltungen – und geraten immer tiefer in die Abhängigkeit des US-Konzerns. Warum das technisch und politisch höchst riskant ist. von Harald Schumann und Elisa Simantke

    #monopoles #Microsoft #Europe #politique

  • #WikiLeaks dévoile les méthodes de la #CIA pour percer les défenses de #Windows
    https://www.mediapart.fr/journal/international/070417/wikileaks-devoile-les-methodes-de-la-cia-pour-percer-les-defenses-de-windo

    WikiLeaks publie vingt-sept documents détaillant le fonctionnement de Grasshopper. Il s’agit d’un outil qui permet de fabriquer sur mesure des logiciels d’installation de virus informatiques capables de déjouer les systèmes de défense des ordinateurs utilisant les logiciels de #Microsoft.

    #International #Surveillance #Vault_7

  • #Framaslides : reprenez en main votre Power, Point !
    https://framablog.org/2017/03/22/framaslides-reprenez-en-main-votre-power-point

    Pour le meilleur ou pour le pire, les diaporamas, slides et autres présentations font partie de notre quotidien. Quitte à devoir en faire et en voir, seul·e ou en groupe, autant disposer d’un outil en ligne pratique et respectueux de … Lire la suite­­

    #Dégooglisons_Internet #Libres_Services #Degooglisons #GAFAM #Google #Microsoft #Planet #PlanetEdu #Powerpoint #RezoTIC

  • Artificial intelligence is ripe for abuse, tech executive warns : ’a fascist’s dream’
    https://www.theguardian.com/technology/2017/mar/13/artificial-intelligence-ai-abuses-fascism-donald-trump

    Microsoft’s Kate Crawford tells SXSW that society must prepare for authoritarian movements to test the ‘power without accountability’ of artificial intelligence As artificial intelligence becomes more powerful, people need to make sure it’s not used by authoritarian regimes to centralize power and target certain populations, Microsoft Research’s Kate Crawford warned on Sunday. In her SXSW session, titled Dark Days : AI and the Rise of Fascism, Crawford, who studies the social impact of machine (...)

    #Microsoft #algorithme #domination

  • Restreindre la collecte de #données sous #Windows_10 | Agence nationale de la #sécurité des systèmes d’information
    http://www.ssi.gouv.fr/particulier/guide/restreindre-la-collecte-de-donnees-sous-windows-10

    Les préoccupations relatives au respect de la #vie_privée et à la confidentialité des données sous Windows 10 font l’objet de nombreux articles depuis sa sortie. Beaucoup sont alarmistes et font germer l’idée que Microsoft dispose d’un accès élargi aux données et en collecte un certain nombre à l’insu de l’utilisateur, ce qui engendre de nombreuses critiques.

    À la date d’écriture de cette note et selon les informations rendues publiques par #Microsoft, plusieurs données sont collectées et corrélées entre elles sous Windows 10. Les données recueillies peuvent être stockées et traitées dans tout pays dans lequel Microsoft, ses filiales ou prestataires de service sont implantés.

    Les recommandations présentées dans ce document permettent de guider le lecteur dans la configuration de son système d’exploitation pour limiter les données recueillies par l’éditeur. Bien entendu, il est du ressort de chaque entité d’apprécier son propre besoin en matière de confidentialité des données, idéalement par une analyse de risques (menée par exemple avec la méthode EBIOS) dont les conclusions doivent permettre de prendre une décision au plus haut niveau.

  • Abatage massif de dindes dans les services informatique
    http://www.dsfc.net/informatique/perspective/abatage-massif-dindes-services-informatique

    Avec #Microsoft Office 365, l’abatage massif des dindes s’est accéléré dans les services informatique. C’est Noël pour Microsoft. Il y aurait encore besoin de quelques dindons.

    #Perspective #Bill_Gates #Microsoft_Exchange_Server #Microsoft_Office_365 #Visual_Basic

  • Accessibilité bureaucratique
    http://romy.tetue.net/accessibilite-bureaucratique
    http://romy.tetue.net/bureaucratic-accessibility

    Mais pourquoi reste-t-il si difficile d’avoir des alternatives textuelles aux images ? Encore faudrait-il savoir faire un site web… En matière d’accessibilité, vous avez tous et toutes entendu parler du besoin de fournir une alternative textuelle aux images. C’est très loin d’être suffisant pour rendre un site web accessible, mais c’est l’exemple qui revient toujours à ce sujet. Parce que c’est le plus simple à comprendre et à expliquer. Pour rappel, le premier critère d’accessibilité — depuis des…

    #Microsoft #a11y #RGAA #accessibilité

  • Au Royaume-Uni, Google et Bing s’engagent à limiter la visibilité des sites de contenus piratés
    http://www.lemonde.fr/pixels/article/2017/02/21/au-royaume-uni-google-et-bing-s-engagent-a-limiter-la-visibilite-des-sites-d

    Google et Microsoft ont signé au Royaume-Uni un « code de conduite », ont rapporté lundi 20 février le Guardian et la BBC. Ce code les engage à rendre moins visibles les sites proposant des contenus piratés, comme des films, de la musique, des livres ou des retransmissions de matches. Concrètement, les moteurs de recherche Google et Bing promettent de ne pas mettre en avant les sites signalés par les ayants droit quand les internautes chercheront des contenus. Ils s’engagent à valoriser à la place (...)

    #Google #Microsoft #Bing #GoogleSearch #surveillance #web #copyright

  • grossmann.legal | Vertraulichkeit und Datensicherheit
    https://www.grossmann.legal/technologien
    Des technologies de communication chiffrée utiles pour avocats et experts comptable

    Von grossmann.legal eingesetzte Technologien zum Schutz der Vertraulichkeit und zur Datensicherheit

    Silent Phone (Silent Circle, LLC, Genf) | Verfügbar für iOS und Android. Beschreibung im ► Apple AppStore: „Silent Phone provides encrypted voice, video, and messaging brought to you by the world leaders in privacy, Silent Circle. Calls and messages between Silent Phone members are encrypted end-to-end protecting your business from criminals and competitors alike.“

    ► Tutanota (Tutao GmbH, Hannover) | Verfügbar für Web, iOS und Android. Beschreibung im ► Apple AppStore: „Die Open Source App Tutanota macht es dir ganz einfach, Ende-zu-Ende verschlüsselte E-Mails an jeden zu verschicken. Selbst E-Mails ohne Ende-zu-Ende-Verschlüsselung sowie alle deine Kontakte werden verschlüsselt auf den Tutanota-Servern in Deutschland gespeichert.“

    Sie erreichen Rechtsanwalt Rainer Großmann bei Tutanota über die E-Mail-Adresse ► grossmann@tutanota.de (Kontaktaufnahme über eine Nicht-Tutanota-E-Mail-Adresse nicht empfehlenswert).

    ​► Besonderes elektronisches Anwaltspostfach (beA) (Bundesrechtsanwaltskammer, Berlin) | Verfügbar für Web und verschiedene Kanzleianwendungen. Beschreibung auf der ► Webseite der Bundesrechtsanwaltskammer (Informationen zum Start von beA teilweise überholt, vgl. die ► Presseerklärung der Bundesrechtsanwaltskammer vom 28.11.2016): „Das besondere elektronische Anwaltspostfach (beA) ermöglicht Rechtsanwälten die sichere elektronische Kommunikation mit der Justiz und untereinander. Ab dem 1. Januar 2016 wird jeder in Deutschland zugelassene Rechtsanwalt über ein solches elektronisches Postfach erreichbar sein. Rechtliche Grundlage für das beA ist das Gesetz zur Förderung des elektronischen Rechtsverkehrs mit den Gerichten vom 10. Oktober 2013 (ERV-Gesetz).“

    ► WebAkte (e.Consult Aktiengesellschaft, Saarbrücken) | Verfügbar für Web und verschiedene Kanzleianwendungen. Beschreibung auf der ► WebAkte-Internetseite: „WebAkte ist ein sicheres Mail-System & Online-Aktenschrank zum Austausch sensibler Dokumente via Internet für Anwälte & Notare. WebAkte ist so schnell wie eine E-Mail, sicher wie ein Einschreiben (u.a. TÜV-Süd geprüft, DATEV-Rechenzentrum). WebAkte überträgt Ihre Dokumente, strukturierte Daten und prozessuale Schriftsätze direkt aus Ihrer Anwalts-Software heraus.“

    Der Webakte-Dienst von grossmann.legal kann direkt über die ► grossmann.legal WebAkte Portalseite aufgerufen werden (vgl. zur Auftragsdatenverarbeitung durch die e.Consult AG unseren aktuellen ► Hinweis zum Datenschutz bei WebAkte).

    ​► Adobe Sign (Adobe Systems Incorporated, San José) | Verfügbar für Web, Windows, macOS, iOS und Android. Beschreibung auf der ► Adobe Produktseite: „Unterzeichnen Sie jedes Dokument bequem und schnell – dank elektronischer Unterschriften mit Adobe Sign. Die Signaturen sind rechtlich bindend, sicherer als manuelle Unterschriften und mit Ihren vorhandenen Applikationen anwendbar. Mit durchgängig digitalen Unterschriftsprozessen sorgen Sie dafür, dass Dokumente nicht nur unterzeichnet, sondern gleichzeitig digital versiegelt werden […] Erstellen Sie digitale Workflows, die Routineaufgaben der Rechtsabteilung vollständig automatisieren.“

    ► Boxcryptor (Secomba GmbH, Augsburg) | Verfügbar für Windows, macOS, iOS, Android, u.a. Beschreibung im ► Apple AppStore: „Verschlüsseln Sie Ihre Dateien mit Boxcryptor, bevor sie zu Dropbox, iCloud, Google Drive, OneDrive und vielen weiteren Anbietern übertragen werden – ohne Verlust von Sicherheit, Datenschutz und Komfort! Bei Ihrem Anbieter kommen nur verschlüssselte Dateien an und Sie behalten die Kontrolle über Ihre Daten. Mit Boxcryptor für iOS greifen Sie auch unterwegs jederzeit auf Ihre geschützten Daten zu.“

    ► Bitlocker/Bitlocker To Go (Microsoft Corp., Redmond) | Verfügbar für Windows. Beschreibung im ► TechNet: „Die BitLocker-Laufwerkverschlüsselung ist ein Betriebssystemfeature zum Schutz von Daten, das zuerst in Windows Vista verfügbar war. In den folgenden Betriebssystemversionen wurde die Sicherheit von BitLocker weiter verbessert, damit der Schutz durch BitLocker für mehr Laufwerke und Geräte bereitgestellt werden kann. Durch die Integration von BitLocker im Betriebssystem wird Bedrohungen durch Datendiebstahl oder Folgen bei verlorenen, gestohlenen oder nicht ordnungsgemäß außer Betrieb gesetzten Computern entgegengewirkt.“

    Sie erreichen grossmann.legal bei Silent Phone unter dem Benutzernamen „grossmann“ oder unter der Telefonnummer +44 20 3868 9163 (Verbindung über Telefonnetz nicht zu empfehlen).

    Voici de idées pour les moins ambitieux qui voudraient quand même profiter un peu des technologies de com chiffrée :

    Kostenlose S/MIME-Zertifikate : Die 3 besten Anbieter
    http://praxistipps.chip.de/kostenlose-smime-zertifikate-die-3-besten-anbieter_50249

    Outlook 2013 : verschlüsseln mit dem OutlookPrivacyPlugin 2.0
    http://www.fabiandeitelhoff.de/2013/08/outlook-2013-verschlusseln-mit-outlook-privacy-plugin-2-0

    Help - How do I set up end-to-end encryption with S/MIME in Thunderbird ? - posteo.de
    https://posteo.de/en/help/how-do-i-set-up-end-to-end-encryption-with-smime-in-thunderbird

    #sécurité #microsoft #crypto

  • Le #numérique à l’#école, inutile en #pédagogie mais bon pour Microsoft
    https://reporterre.net/Le-numerique-a-l-ecole-inutile-en-pedagogie-mais-bon-pour-Microsoft

    Pour Florent Gouget, professeur de français au collège Joseph-Durand de Montpezat-sous-Bauzon, en Ardèche, l’enseignement numérique tend à « morceler le travail pédagogique en différentes tâches exécutables, et finalement à le déshumaniser. C’est un changement réel et profond pour les enseignants, qui incarnent depuis toujours des savoirs vivants ». Avant de poursuivre : « Cette numérisation va complètement à l’encontre de la vocation première de l’école, qui est de transmettre des connaissances par la relation humaine. Cette relation est partie intégrante de l’apprentissage. »
    En définitive, pour Florent Gouget, le PNE ne sert qu’à « appliquer à l’école les logiques managériales en vigueur dans l’entreprise, en valorisant les compétences au détriment des connaissances, lesquelles sont réduites à de simples informations à accumuler ». Une évolution que préfigurait et encourageait déjà, en février 2010, le rapport Fourgous, intitulé « Apprendre autrement à l’ère du numérique. Se former, collaborer, innover : un nouveau modèle éducatif pour une égalité des chances » [7], commandé par le Premier ministre d’alors, François Fillon.

  • #Lobbying : l’artillerie lourde des géants du net en #France et en #Europe
    http://multinationales.org/Lobbying-l-artillerie-lourde-des-geants-du-net-en-France-et-en-Euro

    Évasion fiscale, contournement du droit social, vie privée, situations de monopole... De #Google à #Uber en passant par #Microsoft, #Amazon ou Facebook, les géants américains du net se retrouvent souvent sous le feu des critiques en Europe. Pour désamorcer ces controverses et s’assurer que les législations adoptées ne nuisent pas trop à leurs intérêts, ils ont déployé depuis quelques années une véritable armée de lobbyistes à Bruxelles et dans les capitales européennes, en n’hésitant pas à débaucher anciens (...)

    Actualités

    / #Télécommunications, France, Europe, Lobbying, Google, Microsoft, Uber, #Apple, Amazon, #union_européenne, (...)

    #influence
    « https://github.com/alphoenix/donnees/blob/master/lobbies-gafamut/readme.md »

    • Hahaha, je me souviens du bruit à la sortie de l’article dont il parle. J’avoue que ça me fait un petit peu rigoler — comparer Word et LaTeX pour la production de documents de qualité c’est un peu comme se demander s’il vaut mieux aller sur la Lune en montgolfière ou en hélico…

      Et comme le signale @grommeleur, quand on blogue avec du texte à ce point illisible c’est difficile d’être crédible sur des choix de production documentaire.

      Ceci dit l’étude d’origine est intéressante (même si en effet elle présente certains problèmes). Elle mériterait d’être reproduite avec des variations tentant de mieux mesurer les différences au quotidien.

  • Das Daten-Kartell – Warum fordert niemand eine Vergesellschaftung der Daten? | NachDenkSeiten – Die kritische Website
    http://www.nachdenkseiten.de/?p=36456

    Wir sind Zeitzeugen einer Bildung von sagenhaften Monopolen in nahezu allen softwarebasierten Zukunftstechnologien. Egal ob es um Computer- oder Smartphone-Betriebssysteme, Suchmaschinen, Soziale Netzwerke oder sogar ganz generell um Daten, den Zugriff auf Daten und die kommende Entwicklung künstlicher Intelligenz geht – sechs gigantische Konzerne haben die Welt von Big Data fein säuberlich untereinander aufgeteilt: Google, Amazon, Facebook, Microsoft, Apple und IBM. Daten sind das Öl des 21. Jahrhunderts, so will es eine Metapher. Der IT-Vordenker Evgeny Morozov vergleicht die heutige Situation bei Big Data mit fünf, sechs Banken, denen die gesamte Landmasse der Welt gehört und denen wir immer dann eine Gebühr bezahlen müssen, wenn unser Fuß die Erde berührt. Der politischen Linken empfiehlt Morozov daher einen „Datenpopulismus“ und liegt damit goldrichtig. Es ist ohnehin erstaunlich, dass dieses eminent wichtige Thema in der politischen Debatte derart stiefmütterlich behandelt wird. Von Jens Berger.

    Dieser Beitrag ist auch als Audio-Podcast verfügbar.

    Das Daten-Kartell - Warum fordert niemand eine Vergesellschaftung der Daten? - Jens Berger [ 22:19 ] Player verbergen | Play in Popup | Download

    Google – Datenkrake und angehender Werbemonopolist im Netz

    Bei den Suchmaschinen hat Google weltweit einen Marktanteil von rund 92%. Und dies mit mal mehr mal weniger Abstrichen weltweit. Lediglich in China, Südkorea und Russland haben mit Baidu, Naver und Yandex lokale Rivalen die Nase vorn. In Deutschland und dem Rest der EU ist Google übrigens nahezu konkurrenzlos. 94% aller Deutschen suchen im Netz mit Google. Und das ist ein richtiges Problem. Was Google nicht oder schlecht listet, existiert im Netz streng genommen nicht. Google ist damit der uneingeschränkte Türsteher zum Internet. Wie der Algorithmus von Google genau funktioniert, ist einzig und allein Sache des Giganten aus Mountain View, Kalifornien, dessen Geschäfte in der Dachgesellschaft Alphabet Inc. gebündelt sind, die einen Börsenwert von 484 Milliarden US$ hat – rund fünfmal so viel wie der Chemieriese Bayer.

    Um vor der Allmacht dieses Konzerns zu warnen, ist ein Blick auf die Suchmaschinenfunktion jedoch unter Umständen sogar eine unnötige Verharmlosung. Googles wichtige Aktiva sind nicht die Suchanfragen, sondern die Daten der Suchenden! Über Ihre Suchanfragen, Ihr Surfverhalten und vieles andere mehr – wie zum Beispiel Bild- und Gesichtserkennung über die gelisteten Fotos, Rohdaten aus Google Maps und Street View, Bewegungsprofile, um nur ein paar Punkte zu nennen – sind Sie für Google ein gläserner Datensatz. Das momentane Geschäftsmodell von Google ist es, nicht nur personalisierte, sondern sogar interessenspezifische Werbung einzublenden. Wer sich im Netz beispielsweise häufig über Norwegen informiert, ist natürlich genau der richtige Werbekunde für Anzeigen für Direktflüge nach Oslo oder Ferienhäuser am Sognefjord. Wie gut diese interessenspezifische Werbung funktioniert, sieht man auf der Suchmaschine von Google, bei der bezahlte Anzeigen recht präzise zu den verwendeten Suchbegriffen eingeblendet werden.

    Google ist jedoch viel mehr als eine Suchmaschine. Der Konzern ist auch der weltweit größte Anbieter von Werbeflächen, die auf herkömmlichen Internetseiten angezeigt werden. Rund 70 Milliarden US$ kassierte das Unternehmen im letzten Jahr für seine Werbeflächen und ist damit drauf und dran, auch abseits der reinen Suchmaschinenergebnisse in Richtung Monopol zu steuern.

    Und da sind wir dann schnell bei Morozovs „Gebühr dafür, den Fuß auf die Erde setzen zu dürfen“. Es sind ja nicht die Anbieter, die die Werbekosten zahlen, sondern die Kunden der beworbenen Produkte. Bei fast jedem Einkauf zahlen wir daher schon heute unsere „Google-Abgabe“, also den Anteil des Preises, der über die Marketing- und Werbekosten an Google geflossen ist. Und dies ist erst der Anfang. Wer künftig online werben will, der wird dies nicht mehr ohne Googles Datenpool tun können. Wer will schon einem überzeugten Kroatien-Urlauber Werbung für Ferienhäuser am Nordkap zeigen? Der Geist ist aus der Flasche und auch interessenspezifische Werbung ist nur der Anfang.

    Facebook – der Netzwerkmonopolist auf dem Weg zur dunklen Seite

    Der zweite Gigant im Bunde ist Facebook, der Moloch unter den Sozialen Netzwerken, der durch den Zukauf von WhatsApp auch bei den Messenger-Diensten mit einem Marktanteil von über 80% ein De-Facto-Monopol hat. Auch Facebook verdient sein Geld (rund zwei Milliarden US$ Gewinn pro Jahr) momentan „noch“ mit personalisierter, interessenspezifischer Werbung. Auch bei Facebook sind die Daten jedoch der eigentliche Schatz – und zwar nicht nur ökonomisch, sondern auch politisch. Netzwerke wie Facebook haben zudem ein sehr großes Manipulationspotential. Auch wir von den NachDenkSeiten hatten und haben mit den Algorithmen von Facebook auch immer wieder unsere Probleme – auch wenn wir „noch“ davon ausgehen müssen, dass diese Probleme vor allem schlampig programmierten Algorithmen geschuldet sind, ist dies nur ein Vorgeschmack, was uns schon bald drohen könnte. Vor allem die deutsche Politik ist samt ihrer unsäglichen „Fake-News-Kampagne“ ganz angetan davon, die Sozialen Netzwerke dazu zu bringen, ihre Mitglieder noch stärker zu zensieren.

    Schauen wir doch mal in die Kristallglaskugel: Wer entscheidet denn künftig, was echte und was falsche Nachrichten sind? Wer entscheidet, welche Meinungen von der Meinungsfreiheit gedeckt sind und was gegen die „Nutzungsbedingungen“ verstößt? Wer löscht „Fake-News“ und grenzwertige Meinungsäußerungen auf Facebook? Ein dem Innenministerium unterstelltes „Abwehrzentrum gegen Falschmeldungen“ aka „Wahrheitsministerium“? Ich persönlich halte das für eher unwahrscheinlich, da dem Staat selbst hierbei über das Grundgesetz immer noch zu hohe Hürden gesetzt sind. Wahrscheinlicher ist da schon eine verstärkte Zensur durch die Community selbst. Und dass so was generell nicht funktioniert und sich in derlei Strukturen gerne Systeme herausbilden, die mit Meinungspluralität gar nichts zu tun haben, zeigt die Wikipedia mit ihrer „dunklen Seite“ ja vortrefflich. Es ist schon erstaunlich. Da sollen juristisch ungeschulte „Moderatoren“, egal ob es sich jetzt um die bereits vorhandene Truppe der Bertelsmann-Tochter Arvato oder um künftige „Lösungen“ handelt, entscheiden, was unter die grundgesetzlich geschützte Meinungsfreiheit fällt? Ist dies denn nicht eine Aufgabe für Juristen? Warum macht man Facebook nicht die Auflage, ein Prüfungszentrum in Deutschland zu finanzieren, das vom Staat betrieben wird und in dem examinierte Juristen ihren Dienst tun und ihre Entscheidungen transparent den Nutzern offenlegen? Offenbar scheuen die Zensoren aber das Licht und wählen lieber das Dunkel.

    Wenn nun aber „die Sozialen Medien“, was ja de facto nur Facebook und der Kurznachrichtendienst Twitter sind, ihre Algorithmen nicht nur aus rein technischen und kommerziellen Erwägungen programmieren, sondern freiwillig oder auf Anweisung eines Staates inhaltlich filtern oder gar zensieren, ist dies eine sehr gefährliche Entwicklung. Schon heute informieren sich vor allem in den jüngeren Generationen mehr Menschen über die Sozialen Netzwerke als über das Fernsehen oder gedruckte Zeitungen und Zeitschriften. Alle – natürlich inhaltlich nach wie vor vollkommen richtigen – Beschwerden über die Einseitigkeit der klassischen Medien würden von einer schärferen Filterung oder Zensur der Sozialen Netzwerke mühelos in den Schatten gestellt. Und es reicht bereits, dass diese Gefahr sich in Form eines Unwetters bereits am Horizont abzeichnet. Noch ist es Fünf vor Zwölf, aber die Uhr tickt unerbittlich. Facebook verfügt an den Börsen übrigens über einen Wert von 330 Milliarden US$, rund 100 Milliarden US$ mehr als Nestlé, der mit Abstand größte Lebensmittelkonzern der Welt.

    Microsoft, Apple und Google – wer das Betriebssystem stellt, bestimmt die Regeln

    Daten sind etwas sehr Abstraktes. Greifbarer wird es für viele nicht so fürchterlich technikaffine Menschen dann, wenn es um die direkte Schnittstelle zu den Daten geht – dem Betriebssystem. Hier erreichen die Windows-Produkte aus dem Hause Microsoft einen Marktanteil von fast 90%. Den Rest teilen sich das ebenfalls nicht unproblematische MacOS X und die diversen Linux-Distributionen. Anders sieht es in der Wachstumsbranche der Betriebssysteme für Smartphones und Tablets aus. Hier hat wiederum Google mit seinem Produkt „Android“ fast 90% Marktanteil, dahinter kommt Apple mit seinem iOS und dann kommt erst mal gar nichts mehr. Vor allem bei Mobilgeräten kassieren die Hersteller der Betriebssysteme an einer Stelle, die viele Nutzer so gar nicht erwarten. Bei jedem Software- und den meisten Medieneinkäufen kassieren Google und Apple mit. Wer seine Software über den Google-Store und seine Musik und Filme über iTunes kauft, bezahlt automatisch eine 30%-Vermittlerabgabe an Google und Apple. Google und Apple verhindern zudem, dass man Software über andere Vertriebswege einkaufen kann. Auch hier sind wir von Morozovs „Schrittgebühr“ nicht mehr weit entfernt, zumal Microsoft aus Googles und Apples Geschäftsgebaren offenbar lernt, die Verwaltung (inkl. Zwangsupdates) ebenfalls bereits zentralisiert hat und externe Software am liebsten auch nur noch über den eigenen Microsoft Store vertreiben würde. Apple ist an der Börse übrigens 590 Milliarden US$, Microsoft 482 Milliarden US$ wert. Als Vergleich – VW, immerhin zweitgrößter Automobilbauer der Welt bringt es auf 70 Milliarden Euro, die Deutsche Bank gerade eben noch auf 24,2 Milliarden Euro.

    Amazon – weit mehr als ein „Buchhändler“

    Was glauben Sie, mit was Amazon eigentlich sein Geld verdient? Mit Büchern? Ach was. Als Handelsplattform? Schon eher. Das meiste Geld verdient Amazon jedoch mit seinen „Web Services“, den Online-Diensten, die man wohl am besten mit „Cloud-Computing“ zusammenfassen könnte. Anfangs stellte man bei Amazon schlicht fest, dass man mehr Rechenpower und Speicherplatz vorrätig hat, als man selbst braucht. Heute ist die Vermietung und vor allem der Betrieb dieser neudeutsch als „Cloud“ bezeichneten externen Rechen- und Datenspeicher ein profitables Kerngeschäft von Amazon. Rund um den Globus verteilt arbeiten in hunderten Rechenzentren rund 1,4 Millionen Server (Stand 2014) für Amazon und generierten im letzten Quartal rund 2,4 Milliarden US$ Umsatz bei einem seit Jahren anhaltenden Umsatzwachstum von stabil über 50% pro Jahr. Neben Amazon sind vor allem Microsoft (Azure, Office 365), IBM und Google hier gut und profitabel im Rennen. Die drei Amazon-Konkurrenten können für Ihr „Cloud-Geschäft“ sogar jährliche Zuwachsraten von 93% vermelden. Warum so viele Privatpersonen und noch mehr Unternehmen der „Magie der Cloud“ verfallen, ist dabei nicht wirklich verständlich. Sicher – momentan gibt es die Dienstleistungen oft noch geschenkt und dort wo Geld verlangt wird, sind die Preise meist akzeptabel; vor allem dann, wenn man sie betriebswirtschaftlich mit eigenen Alternativen vergleicht. Doch auf diese Art und Weise werden die Kunden natürlich auch abhängig gemacht. Ist das gesamte Unternehmen erst mal „in die Cloud“ integriert, ist es nämlich sehr aufwändig und vor allem sehr teuer, die Wolke wieder zu verlassen oder zu einem anderen Anbieter zu wechseln.

    Dass die „großen Vier“ im Cloud-Computing rund 60% Marktanteil haben, ist ein Problem. Noch problematischer wird es jedoch, wenn man sich vor Augen hält, wer da unsere Daten speichert. Amazon ist selbst ein ausgewiesener Datenhändler. Microsoft ist Amazon in diesem Punkt dicht auf den Fersen und über Google muss an dieser Stelle wohl kein Wort mehr verloren werden. Das vermeintlich preiswerte Outsourcing in eine Cloud sorgt so indirekt auch dafür, dass die Daten-Mining-Giganten den eigentlichen Kern ihres Geschäftsmodells nicht nur frei Haus bekommen, sondern dafür auch noch ordentlich bezahlt werden. Von wem? Natürlich von uns, dem Endkunden, der letzten Endes die IT-Kosten der Cloud-Kunden über den Preis mitbezahlt. Wie war das noch mal mit Morozovs „Schrittgebühr“? IBM ist übrigens 158 Milliarden US$ wert, Amazon kommt auf 353 Milliarden US$.

    Das Ende der Fahnenstange ist noch lange nicht erreicht

    Und es wird in Zukunft noch dramatischer, da die Cloud-Giganten bereits an sehr ausgetüftelten Anwendungen zur Künstlichen Intelligenz (z.B. Gesichtserkennung, Mustererkennung) arbeiten und ihr größtes Plus die Datensätze sind, über die sie bereits verfügen. Wenn Künstliche Intelligenz personalisierbar ist und über Ihre Daten Rückschlüsse auf Ihr Verhalten, Ihre Gedanken und künftigen Entscheidungen und Taten möglich sind, erschließt sich für die Konzerne eine ganz neue, so noch nie dagewesene Goldgrube; für Sie selbst könnte dies jedoch die wahrgewordene Hölle sein. Aber auch gänzlich unpathetisch lässt sich feststellen, dass Sie für diese Dienstleistungen direkt oder indirekt zur Kasse gebeten werden.

    Die sechs in diesem Artikel genannten Unternehmen kommen auf einen Gesamtwert von 2.400 Milliarden US$. Das ist mehr als doppelt so viel wie die Crème de la Crème der deutschen Wirtschaft, die 30 Dax-Unternehmen, zusammen wert sind. Aber selbst das ist schon fast eine Nebensächlichkeit, wenn man sich die unglaubliche Macht dieser Konzerne vor Augen hält. Jeder Einzelne ist entweder alleine auf seinem Gebiet (Google bei Suchmaschinen und Smartphone-OS, Facebook bei den Sozialen Netzen und den Messengers, Microsoft bei den Desktop-OS und Amazon im Cloud-Computing) oder in Kombination mit einigen wenigen Konkurrenten ein Monopolist. Zusammen bilden diese Konzerne ein Kartell. Ein Datenkartell, das die Macht hat, uns in der Zukunft nach seinem eigenen Geschmack auszuleuchten, auszuhorchen, auszunehmen und schlussendlich sogar unsere Meinung über Filter und Algorithmen zu beeinflussen.

    Das Kartellproblem ist auch ein geopolitisches Problem

    Hierbei geht es nicht um oberflächliche Kapitalismuskritik, sondern um den Kern unserer wirtschaftlichen Zukunft. Auch geopolitisch ist diese Frage nicht eben undelikat. Was denkt sich beispielsweise die EU dabei, die wichtigste Kerntechnologie und politisch ungemein relevante Algorithmen in die Hände von sechs Unternehmen zu geben, die allesamt ihren Sitz an der amerikanischen Westküste haben und bei denen kein einziger Europäer in die Entscheidungsprozesse eingebunden ist und kein Europäer Zugriff auf wichtige und strategische Informationen hat? Man muss sicher kein Antiamerikaner sein, um hier ein grundlegendes Problem zu sehen.

    Tabak, Öl, Eisenbahn … vor allem die USA haben eine sehr lebhafte Geschichte, wenn es um die Zerschlagung von Kartellen geht. Beim Daten-Kartell ist dies jedoch nicht so einfach und auch nicht sinnvoll, da es hierbei im Kern ja nicht um den Wettbewerb oder um den Zugang zum Markt geht. Daten sind keine Schienen oder Pipelines, sie sind immateriell und flüchtig. Die Büchse der Pandora ist geöffnet und lässt sich ohne weiteres auch nicht mehr schließen. Auf nationaler Ebene ist da ohnehin nicht viel zu erreichen. Am beschriebenen geopolitischen Dilemma würde sich auch nichts ändern, wenn künftig anstatt sechs, sechzig Konzerne von der amerikanischen Westküste die Daten der gesamten Welt ausbeuten und sich diesen Dienst von der ganzen Welt fürstlich bezahlen lassen.

    Wir bräuchten eine internationale Daten-Überwachungsagentur

    Was wir bräuchten, wäre eine globale Vergesellschaftung dieser Zukunftstechnoligen. Eine Daten-UNO, wie es sie ja in der frühen Internetzeit in Form des ICANN sogar im Kern schon gab. Sicher, das mag sich nun ein wenig naiv, ja weltfremd anhören. Aber ist es das wirklich? Betroffen sind wir alle ohne Ausnahme. Der indische Stahlarbeiter wird genauso von Google vermessen, wie der deutsche Arzt oder der argentinische Bauunternehmer. Vor allem: Es sind unsere Daten, auch wenn wir ständig Nutzungsbedingungen wegklicken und das Kleingedruckte in Datenschutzerklärungen überlesen. Wir sind es auch, mit denen diese Geschäfte gemacht werden. Wir bezahlen direkt oder indirekt für die Werbung und Produkte, die auf Basis unserer Daten an Dritte verkauft werden.

    Google und Co. müssten dafür noch nicht einmal zerschlagen werden. Was wir bräuchten, wäre eine internationale Daten-Überwachungsagentur, die Einblick in die Algorithmen bekommt und der – hier wird es besonders pikant – die Überschüsse aus dem Geschäft mit den Daten zustehen. Denn hier schließt sich der Kreis: Wenn eine „Schrittgebühr“ schon unabwendbar ist, dann sollte sie doch zumindest, wie jede andere Steuer auch, der Allgemeinheit zu Gute kommen. Dies ist auch deshalb notwendig, da die genannten Konzerne sich momentan ja durch zahlreiche Steuertricks nahezu komplett der Besteuerung entziehen.

    Wenn die Allgemeinheit die Kontrolle über die Software mit all ihren düsteren Algorithmen und die finanziellen Einkünfte aus dieser Software hat, können wir optimistischer in die Datenzukunft blicken. Fest steht, dass so viel politische und so viel finanzielle Macht nicht in den Händen so weniger Großkonzerne verbleiben darf. Dass die USA an einer solchen Lösung kein Interesse haben können, liegt auf der Hand. Dies erklärt wohl die Passivität der europäischen Eliten in dieser Frage.

    Und da sonst kaum wer – außer vielleicht die in Vergessenheit geratenen Piraten – derlei Themen auf der politischen Agenda hat, sollte sich die politische Linke diese Ziele auf ihre Fahnen schreiben. Es heißt ja immer wieder – natürlich zu Unrecht -, dass die Linke vor allem deshalb bei den jüngeren Generationen nicht mehr punkten kann, weil die politischen Themen der Linken einer teils entpolitisierten Jugend nicht mehr so einfach zu vermitteln sind. Das Thema „Datenpopulismus“ liegt jedoch auf der Straße. Die Linke muss sich nur bücken und das Thema aufnehmen. Auf geht´s, willkommen im neuen Jahr mit neuen Themen.

    #Amazon #Apple #Datenhandel #Datenschutz #Facebook #Google #IBM #Kartell #Künstliche_Intelligenz #Meinungsfreiheit #Microsoft #Monopolisierung #soziale _Medien #Wikipedia #Zensur

  • Les Mouchards de Microsoft traumatisés par les vidéos des utilisateurs - RTS - Vtom - 12 Janvier 2017
    https://www.rts.ch/info/sciences-tech/reperages-web/8303558-mouchards-de-microsoft-traumatises-par-les-videos-des-utilisateurs.html

    D’anciens employés de Microsoft chargés de surveiller les communications incluant des vidéos violentes et de pornographie enfantine poursuivent le géant du web. Ils disent avoir développé un stress post-traumatique.


    Deux ex-membres de la « Microsoft’s Online Safety Team » (l’équipe de sécurité en ligne de Microsoft) ont déposé une plainte le 30 décembre, a rapporté mercredi The Daily Beast. Ils reprochent au géant du web de ne pas les avoir préparés aux horreurs qu’ils voyaient tous les jours.

    Les deux hommes étaient chargés depuis 2008 de passer au crible les communications des utilisateurs de Microsoft pour dénoncer les cas de pornographie enfantine et les vidéos violentes.

    Thérapie refusée
    Après avoir été forcés de regarder « les vidéos les plus tordues » d’internet pendant plusieurs années, les employés ont déclaré avoir développé un sévère stress post-traumatique.

    Selon la plainte, Microsoft a refusé d’entourer l’équipe d’un psychologue ou de leur payer une thérapie. Le groupe leur aurait dit de prendre plus de « pauses clope ».

    Interrogé par The Daily Beast, Microsoft indique seulement avoir mis en place de « solides programmes » de soutien aux employés du département.

    Le rôle de l’équipe de sécurité en ligne est de faciliter la coopération entre Microsoft et les autorités américaines, conformément à la législation adoptée en 2007.

    Cette loi stipule notamment que, en cas de contenu illégal, les fournisseurs de services en ligne doivent supprimer les comptes incriminés et les signaler aux autorités.

    Dans ce but, les membres de l’équipe peuvent voir toutes les communications de n’importe quel utilisateur de Microsoft à n’importe quel moment.

    #microsoft #vidéo #violence #pornographie_enfantine #stress_post-traumatique #Microsoft’s_Online_Safety_Team

  • Des pirates français condamnés à verser 4,6 millions d’euros à Microsoft
    http://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/2017/01/04/32001-20170104ARTFIG00227-des-pirates-francais-condamnes-a-verser-46-millio

    Cinq Français avaient créé un système de revente sans licence du système d’exploitation Windows XP. Ils ont été condamnés par le tribunal de grande instance de Bayonne.

    La stratégie de dissuasion de Microsoft porte ses fruits. Cinq prévenus accusés d’avoir organisé à leur profit un système de revente du logiciel Windows XP de Microsoft sans licence ont été condamnés mardi 3 janvier à des peines de prison avec sursis de 12 à 18 mois, rapporte Sud-Ouest. Le tribunal de grande instance de Bayonne les a condamnés à verser 4,6 millions d’euros de dommages et intérêts à Microsoft.

    #microsoft #licence

  • Apple, Google, Microsoft et Facebook : bienvenue chez « les Intaxables »
    https://www.mediapart.fr/journal/economie/071112/apple-google-microsoft-et-facebook-bienvenue-chez-les-intaxables

    Une poignée d’entreprises de haute technologie, connues de tous et hyperactives sur le territoire français, se débrouillent pour payer un montant d’impôt ridicule dans l’Hexagone. Les États-Unis commencent à s’en émouvoir, et la France tente d’affronter ces « Intaxables ». Les faits sont connus, mais lorsque des chiffres apparaissent, ils font mal. Ils démontrent comment des mastodontes économiques, ultra-visibles et chouchous des citoyens (et donc des contribuables) parviennent, partout dans le monde, à (...)

    #Apple #Google #Microsoft #Facebook #optimisation_fiscale