• Citation autour de la #catégorisation migrants/réfugiés, exemple de la frontière Pologne/Biélorussi par #Nando_Sigona :

    Many of these people have been trying to get through border defences into Poland where security forces are attempting to prevent them from crossing. According to some reports, they are “migrants”, to others, “refugees”. The BBC, for example, reports that Poland fears that Belarus “may try to provoke an incident with hundreds of migrants seeking to cross into the EU”. In the same article, the Belarusian border agency is reported saying “that ‘refugees’ were heading for the EU ‘where they want to apply for protection’.”

    Two observations follow: the people stranded at the border are “migrants” for Poland and “refugees” for Belarus. By applying the quotation marks in reporting Belarus’s position, the BBC is implicitly aligning itself with the Polish and EU narrative.

    This argument over terminology, as research on the 2015-16 Mediterranean border crisis has demonstrated. As I wrote at the time the way we label, categorise and, in turn, differentiate between those on the move – for example those who crossed the Mediterranean on unseaworthy boats – has had enormous implications on the kind of legal and moral obligations receiving states and societies feel towards them.

    https://theconversation.com/belarus-border-crisis-with-poland-loses-sight-of-the-people-trapped
    #réfugiés #migrants #terminologies #vocabulaire #catégorisation #asile #migrations #mots #frontières

    ping @karine4

  • En Grèce, une eurodéputée témoigne du refoulement de réfugiés vers la Turquie
    https://www.lemonde.fr/international/article/2021/11/08/en-grece-une-eurodeputee-temoigne-du-refoulement-de-refugies-vers-la-turquie

    En Grèce, une eurodéputée témoigne du refoulement de réfugiés vers la Turquie. En mission sur l’île de Samos, Cornelia Ernst, du parti allemand de gauche Die Linke, a rencontré cinq demandeurs d’asile qui disent avoir échappé à cette pratique illégale.

    Lors de sa visite de trois jours en compagnie d’une délégation de la commission des libertés civiles du Parlement européen, en Grèce, et notamment sur l’île de Samos, où a été inauguré début septembre un nouveau camp ultrasécurisé, l’eurodéputée a rencontré cinq réfugiés somaliens qui affirment avoir échappé à un refoulement vers la Turquie. Une pratique contraire aux droits international et européen qui consiste à ne pas enregistrer les demandeurs d’asile en Grèce et à les renvoyer de force vers les eaux territoriales turques.Le 3 novembre, lorsque Cornelia Ernst et ses collègues rencontrent plusieurs ONG à Samos, un avocat et des humanitaires de Médecins sans frontières (MSF) les informent qu’« à ce moment même sur l’île un groupe de personnes a peur d’être refoulé et a appelé une ligne téléphonique d’urgence pour demander de l’aide ». Cornelia Ernst dit alors avoir pris la « décision personnelle » de suivre les humanitaires pour voir de ses propres yeux ce qu’il se passait. La délégation a suivi le programme qui était prévu pour leur visite et n’a pas souhaité se joindre à l’expédition.
    Avec trois membres de MSF, l’eurodéputée se rend donc sur la localisation indiquée au numéro d’urgence par les demandeurs d’asile. Dans un premier temps, la police ne les laisse pas passer, mais Cornelia Ernst montre sa carte de membre du Parlement européen. « Il y avait au moins quatre voitures de police autour du site, (…) certains policiers avaient des uniformes, d’autres non. Deux hommes en uniforme bleu sans insigne portaient des masques noirs recouvrant leur visage », décrit l’élue.
    Après quinze à vingt minutes de recherches, quatre hommes et une femme sortent des buissons. « Ils disaient qu’ils étaient somaliens et qu’ils étaient arrivés dans la nuit avec dix-neuf autres personnes qu’ils ont perdues de vue après leur débarquement. Parmi eux se trouvaient des femmes et trois enfants », explique Cornelia Ernst. Effrayés, les demandeurs d’asile se cachaient par peur d’être renvoyés de force en Turquie par la police.
    « La police ne nous empêche pas de faire notre travail mais nous intimide », explique-t-il, affirmant toujours informer par courriel « la police grecque, les gardes-côtes, le directeur du camp, pour ne pas être accusés à tort de faciliter l’immigration illégale vers la Grèce ». « Le 25 juin, un collègue a été arrêté et mis en garde à vue pendant douze heures sans raison. De mauvais vents soufflent sur l’Europe, et la criminalisation de l’aide aux réfugiés se banalise. » Les cinq demandeurs d’asile ont bien été enregistrés le 3 novembre dans le camp de Samos et doivent désormais rester quinze jours en quarantaine, en raison de l’épidémie de Covid-19.
    Cornelia Ernst a demandé aux gardes-côtes grecs et au ministère des migrations des informations sur cette affaire. Lors d’une conférence organisée à la dernière minute le 4 novembre, à Athènes, le ministre grec des migrations, Notis Mitarachi, a précisé qu’il allait demander « une enquête au parquet », mais a aussi trouvé « très particulier qu’un habitant sache où et quand étaient cachés des migrants ». Des propos visant directement Dimitris Choulis, un avocat spécialisé dans le droit des réfugiés qui défend depuis des mois les rescapés de refoulements vers la Turquie et dénonce les agissements des autorités grecques.
    Des hotlines comme celle gérée par l’ONG Aegean Boat Report informent en direct des arrivées sur les îles grecques, souvent avec des photos et des géolocalisations précises envoyées par les migrants, d’où les informations obtenues par l’avocat. Les défenseurs des droits de l’homme, les enquêtes journalistiques, et le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés ont documenté ces refoulements illégaux de migrants vers la Turquie. La Commission européenne a appelé Athènes, en octobre, à mettre en place un mécanisme indépendant pour enquêter sur ces violations aux frontières. Mais M. Mitarachi a toujours nié ces accusations et affirme que la Grèce dispose « d’autorités indépendantes pour enquêter ». Cornelia Ernst en est pourtant persuadée : « Si nous n’avions pas été là [le 3 novembre], ces réfugiés n’auraient pas été capables de demander l’asile.

    #Covid-19#migrant#migration#grece#sante#quarantaine#samos#demandeurdasile#refoulement#turquie

  • Covid-19 : les Etats-Unis rouvrent leurs frontières après vingt mois de restrictions
    https://www.lemonde.fr/international/article/2021/11/08/les-etats-unis-rouvrent-leurs-frontieres-apres-vingt-mois-de-restrictions_61

    Covid-19 : les Etats-Unis rouvrent leurs frontières après vingt mois de restrictionsPlus d’une trentaine de pays, dont la France, sont concernés par la levée, lundi, du « travel ban » décidé en mars 2020 par Donald Trump. Pour faire face à l’afflux de demandes, les compagnies aériennes ont augmenté le nombre de vols transatlantiques.
    L’heure est enfin arrivée : les Etats-Unis rouvrent, lundi 8 novembre, leurs frontières terrestres et aériennes aux voyageurs vaccinés contre le Covid-19, après vingt mois de restrictions particulièrement mal vécues en Europe ou chez les voisins mexicains et canadiens. La France fait partie des pays concernés par cette levée des restrictions de voyage. Familles séparées, relations d’affaires perturbées, ambitions professionnelles contrariées : le « travel ban » imposé par Donald Trump au mois de mars 2020, et confirmé par son successeur Joe Biden, a été très critiqué et il est devenu emblématique des bouleversements provoqués par la pandémie.
    Pour se prémunir des pays les plus affectés par le Covid-19, Donald Trump avait imposé dès février 2020 des restrictions sur les voyages en provenance de Chine. Puis, le 13 mars, ce fut le tour des pays européens de l’espace Schengen. Ont suivi quelques jours plus tard la Grande-Bretagne et l’Irlande, tandis que les frontières terrestres avec le Mexique et le Canada étaient en très grande partie fermées. Avec tous ces pays, la densité des échanges humains et économiques est immense.
    Beaucoup de familles des deux côtés de l’Atlantique attendent ces retrouvailles avec fébrilité. Il était certes possible d’aller des Etats-Unis vers l’Europe depuis l’été dernier, mais les étrangers installés sur le sol américain et détenteurs de certains visas n’avaient aucune garantie de pouvoir retourner chez eux.Pour faire face à l’afflux de demandes, les compagnies aériennes ont augmenté le nombre de vols transatlantiques et vont utiliser de plus gros avions. Cette levée des restrictions représente une bouffée d’oxygène pour un secteur plongé dans la crise par la pandémie.
    De leur côté, les autorités mexicaines s’attendent à des embouteillages monstres aux postes-frontières. « Il y aura des toilettes portables installées sur les trois ponts, car selon les autorités des Etats-Unis les temps d’attente pourront atteindre quatre heures. Nous demandons aux conducteurs d’être patients », a déclaré César Alberto Tapia le directeur de la sécurité routière de la ville frontière de Ciudad Juarez, reliée à El Paso (Texas) par trois ponts internationaux. Les bureaux de change de Ciudad Juarez ont signalé une pénurie de dollars ces derniers jours.
    Le long de l’immense frontière mexicaine, de nombreuses villes américaines, au Texas ou en Californie, ont souffert économiquement de cette limitation des échanges. « La pandémie a touché tout le monde et nous attendons simplement que les nôtres puissent venir nous rendre visite eux aussi », explique à l’AFP Marcos Rivera, propriétaire d’un magasin de vêtements à El Paso.Plus anecdotiquement, au nord, les riches retraités canadiens vont pouvoir sans crainte, à l’heure des premiers frimas, entreprendre leur transhumance annuelle en voiture vers la Floride et ses douceurs climatiques. Plus d’une trentaine de pays sont concernés par la levée du « travel ban ». Mais l’entrée ne sera pas totalement libre et les autorités américaines entendent surveiller le statut vaccinal des voyageurs, en même temps qu’elles continueront d’exiger des tests Covid négatifs.
    Les autorités sanitaires américaines ont déclaré que tous les vaccins approuvés par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) seraient acceptés. Il s’agit pour l’instant, selon la procédure d’urgence de l’OMS, des vaccins de : Johnson & Johnson ; AstraZeneca ; Moderna ;Pfizer-BioNTech ; Bharat Biotech ; Sinopharm ; Sinovac.Pour les voyageurs arrivant par les airs, les Etats-Unis demanderont à partir de lundi, en plus d’une preuve de vaccination et d’un test réalisé dans les trois jours avant le départ, la mise en place par les compagnies aériennes d’un système de suivi des contacts.
    Pour la voie terrestre, la levée des restrictions se fera en deux temps. A partir de lundi, pourront traverser la frontière du Canada ou du Mexique les personnes venant pour des raisons jugées non essentielles, par exemple familiales ou touristiques, à condition d’être vaccinées. Les personnes venant pour des motifs impérieux – par exemple les chauffeurs routiers – n’en auront pas besoin. Mais à partir de janvier, l’obligation vaccinale vaudra pour tous les visiteurs franchissant les frontières terrestres, quel que soit leur motif d’entrée.

    #Covid-19#migrant#migration#etatsunis#canada#mexique#europe#sante#circulation#frontiere#vaccination

  • En images : aux Etats-Unis, les voyageurs de retour, touristes et familles séparées se pressent aux frontières
    https://www.lemonde.fr/international/portfolio/2021/11/08/en-images-aux-etats-unis-les-voyageurs-de-retour-touristes-et-familles-separ

    En images : aux Etats-Unis, les voyageurs de retour, touristes et familles séparées se pressent aux frontières
    portfolio Plus d’une trentaine de pays sont concernés par la levée des restrictions d’entrée pour les voyageurs « non essentiels », qui viennent pour la plupart de pays européens, du Mexique et du Canada.
    C’est la fin d’une séparation de plus d’un an et demi entre les Américains et le reste du monde. Le travel ban (« interdiction de voyager ») imposé aux voyageurs par l’ex-président américain Donald Trump en mars 2020 à cause du coronavirus, a été levé lundi 8 novembre.Plus d’une trentaine de pays sont concernés par la levée des restrictions d’entrée pour les voyageurs « non essentiels », qui viennent pour la plupart de pays européens, du Mexique et du Canada, mais les visiteurs resteront sous surveillance.Désormais, pour ceux qui arrivent par les airs, les Etats-Unis demandent une preuve de vaccination, les résultats d’un test datant de trois jours tout au plus et la mise en place par les compagnies aériennes d’un système de suivi des contacts.Pour les personnes arrivant par voie terrestre, la levée des restrictions se fera en deux temps. Depuis lundi peuvent traverser les frontières les personnes venant pour des raisons familiales ou touristiques, à condition d’être vaccinées ; les personnes venant pour motifs impérieux – comme les chauffeurs routiers – sont dispensées de cette obligation. A partir de janvier, celle-ci vaudra pour tous les visiteurs, quel que soit leur motif d’entrée. Dès la première heure lundi, touristes et familles séparées par le coronavirus se sont pressées dans les aéroports et aux frontières terrestres.

    #Covid-19#migrant#migration#etatsunis#frontiere#circulation#vaccination#famille#tourisme#sante

  • Coronavirus: Singapore and Malaysia will launch a vaccinated travel lane between Changi Airport and Kuala Lumpur | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/asia/article/3155220/coronavirus-japan-reopens-business-travel-students-singapore-launches

    Singapore to open vaccinated travel lane with Malaysia on November 29
    Singapore and Malaysia will launch a vaccinated travel lane between Changi Airport and Kuala Lumpur International Airport from November 29, allowing vaccinated travellers from each country to cross the border without the need for quarantine, the prime ministers of both nations said in a joint press statement on Monday. The city-state also rolled out quarantine-free entry for vaccinated travellers from Australia and Switzerland on Monday as part of a phased reopening of its borders that has seen quarantine-free travel expanded to nearly a dozen countries, including Germany, Canada, France, Britain and the United States.Singapore has been reporting more than 3,000 daily infections in recent weeks, although most are asymptomatic or mild. Over 80 per cent of Singapore’s 5.45 million population has been vaccinated.Last week, the US advised citizens against travel to Singapore and raised its alert for the city state to its highest risk level. Germany has also classified Singapore as a “high-risk area”.

    #Covid-19#migrant#migration#singapour#malaisie#frontiere#sante#circulation#vaccination

  • Coronavirus: Japan reopens to business travel, students; Australians search for fake vaccination certificates | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/asia/article/3155220/coronavirus-japan-reopens-business-travel-students-singapore-launches

    Coronavirus: Japan reopens to business travel, students;
    Japan on Monday began easing border controls for fully vaccinated visitors excluding tourists, responding to requests from the business community following a rapid decline in infections. The new rules allow business travellers to undergo quarantine for three days, down from the 10-day period formerly applied to vaccinated Japanese nationals and foreigners with residency in Japan when returning from business trips. Those seeking to stay in the country over the long term, including foreign students and workers on so-called technical internship programmes, from Monday morning can again apply for entry – but must undergo at least 10 days’ quarantine upon arrival. All travellers must have been fully inoculated with one of the three vaccines approved by the Japanese government – those developed by Pfizer, Moderna or AstraZeneca. Companies need to submit documentation for business travellers, including planned itineraries and written pledges to follow antivirus measures while in Japan. A health ministry official said it may take a week or two before the first travellers granted shorter quarantine periods arrive in the country. Japan closed its borders to virtually all foreign visitors in January, except for those with special permits and for humanitarian purposes. Daily cases have fallen sharply since September, in a trend generally attributed to vaccinations and extensive mask-wearing. About 73 per cent of the population have been fully vaccinated. Japan saw no deaths from Covid-19 on Sunday for the first time in about 15 months, with just 162 infections reported nationwide.
    The easing of border controls is part of the country’s move to gradually resume social and economic activity. The government is experimenting with package tours, at restaurants and sports events before further resumption of daily activities. Deputy Chief Cabinet Secretary Seiji Kihara said Japan is considering allowing foreign tour groups by the end of the year after studying ways to control and monitor their activities.

    #Covid-19#migrant#migration#japon#sante#frontiere#circulation#vaccination#etudiant#business#economie

  • Coronavirus: what to expect as US reopens to vaccinated foreign travellers | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/world/united-states-canada/article/3155248/coronavirus-what-expect-us-lifts-pandemic-travel

    Coronavirus: what to expect as US reopens to vaccinated foreign travellers
    The United States was expecting a flood of international visitors crossing its borders by air and by land after lifting travel restrictions for much of the world’s population first imposed in early 2020 to address the spread of Covid-19.And Delta Air Lines Chief Executive Ed Bastian warned travellers should be prepared for initial long lines.“It’s going to be a bit sloppy at first. I can assure you, there will be lines unfortunately,” Bastian said, adding that “we’ll get it sorted out”.Delta said in the six weeks since the US reopening was announced it has seen a 450 per cent increase in international point-of-sale bookings versus the six weeks prior to the announcement.
    White House spokesman Kevin Munoz said on Twitter “As we expect high demand when the US lifts its existing air and land travel restrictions Monday, we are taking critical steps to be prepared by providing additional resources”. The Biden administration has held multiple calls with US airlines to prepare for the influx of additional travellers that were to begin arriving at US airports and has warned travellers crossing from Canada and Mexico by land or ferry to be prepared for longer waits starting Monday.
    The rules have barred most non-US citizens who within the prior 14 days have been in 33 countries – the 26 Schengen countries in Europe without border controls, China, India, South Africa, Iran, Brazil, Britain and Ireland.
    Trade group US Travel said the countries accounted for 53 per cent of all overseas visitors to the United States in 2019 and border communities were hit hard by the loss of tourists crossing from Mexico and Canada. The group estimates declines in international visitation “resulted in nearly US$300 billion in lost export income” since March 2020.
    US airlines were boosting flights to Europe and other destinations that were impacted by the restrictions. Many international flights were expected to operate close to full or full on Monday, with high passenger volume throughout the following weeks. Airlines will check vaccination documentation for international travellers as they currently do for Covid-19 test results. At land border crossings, US Customs and Border Protection will ask if travellers have been vaccinated and spot check some documentation.Children under 18 are exempt from the new vaccine requirements. Non-tourist travellers from nearly 50 countries with nationwide vaccination rates of less than 10 per cent will also be eligible for exemption.
    New contact tracing rules will take effect requiring airlines to collect information from international air passengers if needed “to follow up with travellers who have been exposed to Covid-19 variants or other pathogens”. A second phase, beginning in early January, will require all visitors to be fully vaccinated to enter the United States by land, no matter the reason for their trip. US health authorities have said all vaccines approved by the US Food and Drug Administration and the World Health Organization would be accepted for entry by air.At the moment, this includes the AstraZeneca, Johnson & Johnson, Moderna, Pfizer/BioNTech, Covaxin, Sinopharm and Sinovac vaccines.The United States has not yet commented on the increase in Covid-19 cases in Europe.The WHO has expressed “grave concern” over the rising pace of infections in Europe, warning that the current trajectory could mean “another half a million Covid-19 deaths” by February. But speaking for the United States, Surgeon General Vivek Murthy said Sunday on ABC that he’s “cautiously optimistic about where we are”, while adding: “We can’t take our foot off the accelerator until we’re at the finish line”.

    #Covid-19#migration#migrant#etatsunis#sante#vaccination#frontiere#circulation#ttravailleurmigrant

  • La professionnalisation de l’assistance aux #migrants en #Tunisie
    https://metropolitiques.eu/La-professionnalisation-de-l-assistance-aux-migrants-en-Tunisie.html

    En Tunisie, la gestion des #migrations subsahariennes est devenue ces dernières années un nouveau secteur d’emploi. Camille Cassarini montre les effets de cette professionnalisation, qui se traduit notamment par l’incorporation des objectifs étatiques de contrôle des migrants par les #ONG. En Tunisie, la question de l’accueil des populations migrantes subsahariennes en situation irrégulière se pose de manière relativement récente. Jusqu’en 2011, la gestion de ces migrations s’opérait dans un cadre #Terrains

    / Tunisie, migrations, #droit, migrants, ONG, #accueil

    https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met_cassarini.pdf

  • L’OMS autorise un huitième vaccin, développé en Inde, contre le Covid-19
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/11/03/l-oms-autorise-un-huitieme-vaccin-developpe-en-inde-contre-le-covid-19_61008

    L’OMS autorise un huitième vaccin, développé en Inde, contre le Covid-19
    C’est le premier vaccin anti-Covid-19 entièrement développé en Inde et le huitième à recevoir le précieux sésame. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a accordé, mercredi 3 novembre, l’homologation d’urgence au Covaxin. Ce vaccin – efficace à 78 % – est recommandé pour tous les groupes d’âge à partir de 18 ans.Il requiert deux doses à quatre semaines d’intervalle, mais se révèle « particulièrement bien adapté aux pays à revenu faible et moyen en raison de la facilité avec laquelle il peut être stocké », selon un communiqué de l’OMS. C’est le premier vaccin entièrement développé et fabriqué en Inde à recevoir l’homologation de l’organisation onusienne.Il rejoint les vaccins anti-Covid-19 de Pfizer-BioNtech, Moderna, AstraZeneca (l’OMS compte deux vaccins AZ, dont l’un fabriqué en Inde), Johnson & Johnson, Sinopharm et Sinovac sur la liste. Le vaccin Covaxin, ou BBV152, est un vaccin à virus inactivé, une technologie relativement classique mais comportant un nouvel adjuvant le rendant plus efficace, selon le fabriquant. C’est cet adjuvant qui le distingue des deux autres vaccins à virus inactivé déjà autorisés par l’OMS, ceux des laboratoires chinois Sinovac et Sinopharm.Le stockage est plus simple que pour les vaccins à ARN messager comme ceux de Moderna et Pfizer-BioNtech, qui, pour s’être révélés les plus efficaces parmi tous les sérums autorisés jusqu’à présent, ont néanmoins besoin d’être transportés et stockés à ultra-basse température.
    L’homologation par l’OMS permet de faciliter la reconnaissance internationale du vaccin, surtout aux agences onusiennes et au système Covax – mis en place pour faciliter l’accès à l’immunisation au Covid-19 dans les pays les plus démunis –, et d’en faire usage. « L’homologation par l’OMS est un pas significatif vers un accès mondial au Covaxin qui est sûr, efficace et déjà largement utilisé en Inde », a souligné le docteur Krishna Ella, PDG de Bharat Biotech. Le ministre des affaires étrangères indien, Subrahmanyam Jaishankar, s’est lui aussi réjouit dans un tweet. Il estime que l’homologation « va faciliter les voyages pour de nombreux citoyens indiens et il contribue à l’équité vaccinale ». L’iniquité vaccinale – les pays les plus riches se sont réservé l’essentiel des doses de vaccin disponibles – est un problème dénoncé sans relâche par l’OMS, comme par les pays qui en sont victimes. L’organisation a souligné récemment que, « jusqu’à présent, seuls 0,4 % des tests et 0,5 % des vaccins injectés dans le monde ont été utilisés dans les pays à faibles revenus, malgré le fait que ces pays comptent pour 9 % de la population mondiale ». Selon Bharat Biotech, la capacité de production était de 50 à 55 millions de doses par mois en octobre et l’entreprise compte atteindre une capacité de production annuelle d’un milliard de doses à la fin de 2021. Des transferts de technologie « sont également en cours vers des entreprises en Inde, aux Etats-Unis et d’autres pays », précise Bharat Biotech.

    #Covid-19#migration#migrant#inde#sante#vaccin#OMS#equite#COVAX#circulationtherapeutique#circulation#frontiere

  • Des nouvelles de la frontière à Briançon
    https://ricochets.cc/Des-nouvelles-de-la-frontiere-a-Briancon.html

    Des nouvelles de la frontière à Briançon…. Face au mépris et à la violence de l’état, les solidaires tentent de s’organiser « Que les choses soient claires : je ne laisserai personne installer dans notre ville une loi et des règles différentes de celles de la République, et je viens donc de saisir à l’instant la Préfète de l’évacuation par les moyens de la force publique. » Ainsi s’exprime ce samedi 30 octobre le maire de Briançon Arnaud Murgia en apprenant l’occupation quelques heures plus tôt de la salle (...) #Les_Articles

    / #Migrant.e.s_-_Réfugié.e.s_-_Exilé.e.s

  • Didier Leschi : « L’action des grévistes de la faim a fait apparaître une incohérence dans la politique mise en œuvre », Propos recueillis par Julia Pascual
    https://www.lemonde.fr/societe/article/2021/11/01/didier-leschi-l-action-des-grevistes-de-la-faim-a-fait-apparaitre-une-incohe

    Le patron de l’OFII est chargé d’une mission de médiation à Calais où, depuis plus de trois semaines, un prêtre et deux militants ont cessé de se nourrir pour dénoncer la situation des #migrants. Il se rend sur place, mardi, pour une nouvelle réunion.

    Depuis plus de trois semaines, un prêtre, Philippe Demeestère, et deux militants ont entamé, à Calais (Pas-de-Calais), une grève de la faim pour dénoncer la situation des migrants. Didier Leschi, directeur général de l’Office français de l’intégration et de l’immigration (OFII), fait le déplacement, mardi 2 novembre, et précise les enjeux de la situation au Monde.

    Voilà plus de trois semaines qu’un prêtre et deux militants sont en grève de la faim à Calais pour dénoncer la situation des migrants. Vous avez été chargé d’une mission de médiation le 27 octobre. Qu’est-ce qui fait obstacle à une sortie de crise ?

    Ce qui bloque aujourd’hui, c’est un débat autour de ce que les grévistes de la faim et un groupe d’associations appellent un moratoire sur les évacuations de campements. Depuis cinq ans, l’action de l’administration a permis que ne se reconstitue pas, à partir de petites implantations, la « jungle » qui a été démantelée il y a cinq ans, c’est-à-dire un campement où se sont entassées jusqu’à 10 000 personnes et qui accumulait tous les défauts de ce type de situation informelle : violence, emprise des passeurs, prostitution… une indignité totale. Aujourd’hui, il y a des tentatives régulières d’installer des petits campements par des personnes en attente d’un passage en Angleterre. Le débat avec les grévistes de la faim est un débat sur la légitimité de ces personnes à continuer de stationner à Calais dans de l’habitat informel. Il n’y a pas un droit des gens de demeurer à Calais pour être à portée de main des passeurs. L’Etat ne peut pas laisser libre cours à des traversées de la Manche extrêmement dangereuses. Faire un moratoire tel que proposé par certaines associations, c’est, en réalité, faire le jeu des passeurs.
    Dans le cadre de la médiation, je propose qu’un hébergement soit systématiquement offert aux personnes. Celui-ci ne peut pas se situer à Calais, pour des raisons matérielles, et parce que la dernière fois qu’une tentative d’hébergement en dur s’est faite à Calais, ça a participé au développement de la « jungle ».

    Vous proposez un hébergement systématique lorsqu’un campement est évacué. Ce n’était donc pas le cas jusque-là ?

    Ce n’était pas le cas jusqu’à présent. L’action des grévistes de la faim a fait apparaître une incohérence dans la politique mise en œuvre. Effectivement, les évacuations en urgence n’étaient pas assorties systématiquement d’une proposition d’hébergement. La proposition que je fais, en outre, c’est que ces évacuations ne soient plus faites par surprise mais que les personnes soient prévenues en amont et qu’un délai de trois quarts d’heure leur soit laissé pour récupérer leurs effets personnels.

    Confirmez-vous les confiscations de tentes ou d’affaires dénoncées par plusieurs associations ?

    Il est indéniable que, lors des évacuations, il n’y a pas d’attention portée aux effets personnels. Je considère qu’il y a là un problème. Mais aucun service de l’Etat ne vole ces effets. Pour mettre un terme à la suspicion, il faut laisser un temps pour que les personnes récupèrent leurs affaires, y compris les tentes. Cela dit, s’il s’agit uniquement de récupérer les tentes pour refuser les hébergements et s’installer ailleurs, cette attitude finira par poser problème.
    Lorsque les personnes acceptent d’être hébergées, elles repartent presque aussitôt pour tenter de nouveau de passer en Angleterre.

    C’est un éternel recommencement ?

    Calais est en face de l’Angleterre et les migrants qui y stationnent sont le reflet du chaos du monde et sont, pour certains, les rejetés de pays voisins de la France. La situation ne pourra pas se résoudre du jour au lendemain, il faut l’humaniser au maximum.

    Ne faudrait-il pas négocier avec les Anglais pour qu’ils considèrent ces demandeurs d’#asile ?

    Les rapports avec l’Angleterre se sont complexifiés depuis [que c’est la faute de] le Brexit. Il est difficile de faire fi d’un accord des autorités anglaises. A défaut, dire qu’on laisse passer les personnes dans des conditions dangereuses et pour le seul bénéfice lucratif des passeurs ne résoudra pas le problème.

    Pourquoi les personnes qui se trouvent à Calais ne demandent-elles pas l’asile en France ?

    Il y a des gens qui n’ont jamais demandé l’asile en Europe, il y a des gens qui ont bénéficié d’une protection humanitaire en Allemagne mais qui a pris fin, il peut aussi y avoir des déboutés de l’asile en Europe… On a, aujourd’hui, une image partielle de qui sont ces personnes. Je propose d’ailleurs de faire des diagnostics sociaux pour mieux individualiser les situations. Il y a aussi une forme de mirage anglais et il est difficile de faire comprendre aux gens que l’Angleterre n’est pas le paradis espéré.

    Un des bilans positifs de l’évacuation faite il y a cinq ans et que ceux qu’on a convaincus de déposer une demande d’asile en France, et qui ont été acceptés à ce titre, sont dans des parcours d’intégration aujourd’hui.

    A l’époque, l’application du règlement de #Dublin qui empêche un demandeur d’asile de demander une protection dans un autre Etat que celui par lequel il est entré en Europe, avait été suspendue. Ce n’est pas envisagé aujourd’hui ?

    La non-application de Dublin a été faite au cas par cas, quand les personnes ont accepté de quitter #Calais. Ça ne fait pas partie des choses qu’on met sur la table aujourd’hui et c’est une décision complexe qui ne relève pas de ma compétence.

    En quoi le contexte électoral pèse sur votre mission de médiation ?

    Personne n’a intérêt à ce que les difficultés autour de Calais soient portées à l’incandescence. L’immigration fait partie des sujets qui enflamment une partie de la société française et qu’il faut savoir traiter sans angélisme mais aussi sans oublier qu’on a affaire à des personnes humaines qui sont dans une situation de détresse. Il y a un équilibre à trouver. Le rappel du besoin de fraternité fait partie des prises de position importantes de l’Eglise. J’ai une très grande considération pour des actes comme ceux du père Philippe Demeestère, mais il faut que le sentiment de la vie l’emporte sur des tentations mortifères.

  • Phuket Sandbox shines the way for Thai tourism revival - Asia Times
    https://asiatimes.com/2021/10/phuket-sandbox-shines-the-way-for-thai-tourism-revival

    Phuket Sandbox shines the way for Thai tourism revival
    Quarantine island experiment set to be replicated as kingdom takes a daring punt on reopening its decimated tourism industry
    by Peter Janssen October 27, 2021
    PHUKET – The Phuket Sandbox – Thailand’s pilot run for reopening the country’s crucial tourism sector that accounted for about 20% of gross domestic product (GDP) before Covid-19 – has so far been disappointing in terms of numbers but is being hailed as a success in other respects.
    The Phuket Sandbox – a pun on Fintech terminology for a safe haven for experimenting with new technologies – was launched on July 1 with a target of attracting at least 100,000 foreign tourists in its first three months.
    Actual arrivals were an underwhelming 42,000, generating about 3 billion baht (US$90.8 million) in tourist spending. That’s obviously a far cry from the 14.5 million foreign and domestic tourists who visited the island resort in all of 2019, generating 442 billion baht ($13.4 billion) in revenue.
    Thai Prime Minister Prayut Chan-ocha recently announced that Bangkok and other leading tourist destinations such as Pattaya and Chiang Mai will reopen to fully vaccinated foreign tourists from 46 designated “low-risk” countries, lifting the kingdom’s previous onerous 7-14 day quarantine requirements.Prayut originally vowed to reopen the country by mid-October but was forced to delay until November 1 in the face of still alarming new infection rates, which are still hovering around 10,000 per day in a country of 69 million, a tardy vaccination rollout and questions about the efficacy of some of the vaccines used, especially the China-made Sinovac.Those issues will all persist after the reopening and could lead to fresh outbreaks and dire consequences for the government. For Bangkok, Phuket has proven an important test run. Local Phuket government authorities have been meeting with the Bangkok-based National Security Council three times a week to hash out problems they have confronted in implementing the Sandbox and find solutions, said Piyapong.
    “We try to pass on the feedback from the tourists to the government officials,” Piyapong said. Tourists have uniformly complained about the complexities involved with gaining entry to the Sandbox, particularly the difficulties of complying with myriad requirements to secure a Certificate of Entry (COE), the document that was previously required.As of November 1, the COE requirement will be canceled and replaced with a digital Thailand Pass, which drops certain demands such as pre-payment for two or three Covid-19 swab tests, while lowering the minimum Covid medical insurance requirement from US$100,000 to US$50,000.But an initial Covid test will still be required at the airport, and an installation of a government mobile phone application known as Rao Chana that helps keep track of newcomers. These procedures have meant tourists arriving at Phuket usually spend two hours at the airport, which would become a lot longer if arrivals were in the thousands.The Sandbox concept was originally a proposal from Phuket’s private sector represented by the Phuket Tourism Association, Phuket Hotels Association, Phuket Travel Agents Association in collaboration with the local Phuket government and with support from Bangkok’s powers-that-be.“It is a model that we proposed ourselves, as opposed to coming from the government,” said Bhummikitti Ruktaengam, president of the Phuket Tourism Association.But while the Sandbox concept was a private sector initiative, many of the conditions came at the behest of Bangkok-based authorities, specifically the “doctor-ocracy” that has been determining much of Thailand’s government policy since the Covid-19 pandemic first struck in early 2020.Some of the initial requirements were eased as the Sandbox progressed. For instance, on October 1 the requirement that tourists spend 14 days quarantined on the island was reduced to seven. On October 15, the island was re-opened to fully vaccinated domestic visitors and bars were allowed to serve booze and stay open till 10 pm.To the government’s credit, it has learned something from the Sandbox.“We learned that the Sandbox would have attracted more people with fewer complications,” Bhummikitti said. “We have made suggestions to the government and the government has taken our advice, and it will benefit the whole country.” One lesson the pandemic has taught governments in general is that the virus is not predictable. Singapore, which recently reopened its borders to vaccinated tourists from ten select countries, is now experiencing a resurgence in Covid cases that is likely to overshadow any benefits from a trickle of arrivals.Thailand continues to record about 10,000 new Covid cases daily, with the total caseload since the virus was first detected in March 2020 now reaching 1,859,157 with 1,740,316 recoveries and 18,799 deaths. A recently detected “Delta plus” variant has raised new concerns and fresh questions about the wisdom of reopening to the world when so few Thais have been inoculated.The government has been relatively slow in rolling out vaccinations, with only 38% of the population fully vaccinated and 55% receiving one dose as of late October. Nearby Malaysia is 75% fully vaccinated Singapore has reached 82%.Phuket has benefitted from the Sandbox in terms of being prioritized in the national vaccine rollout.“Phuket has the highest prevalence of vaccinations in Thailand, with 82% of the population (547,584) having received the first dose, and 71% two doses and 46% a booster too,” Kobsak Kookiatkul, Phuket’s health chief, told a recent seminar. “This makes foreigners feel confident.”Unfortunately for the Sandbox, the Delta variant started to spread on the island in June and July, coinciding with the Sandbox’s opening on July 1. The news no doubt discouraged some tourists from booking trips to the resort island. Since April, Phuket has recorded 14,443 cases and 101 deaths, but the incidence has been on a downward trend since October, as is the situation nationwide.More importantly, there have been no reported cases of foreign tourists spreading the virus to the local population, according to Kobsak. Of the 53,120 foreign tourists who arrived between July 1 and October 21, some 171 tested positive for Covid-19. When a tourist tests positive, they end up spending their vacation in a local hospital for 10-14 days.But given the ongoing resurgence of the pandemic in various countries such as Russia, the United Kingdom, the United States and even highly vaccinated Singapore, Phuket’s tourism industry is only cautiously optimistic about the near future. That would mean about 1 million tourists, both foreign and domestic, still well short of the 4 million arrivals in the fourth quarter of 2019.Phuket’s tourism prospects will arguably improve with the reopening of other destinations in Thailand such as Bangkok, and Phuket’s neighboring provinces Krabi, Phang Nga and Samui, which provide tourists with more travel options in the kingdom.In recent weeks, Malaysia has announced plans to open Langkawi resort island to vaccinated foreign tourists in mid-November (the island was opened to domestic tourists last month), Indonesia has opened up Bali to vaccinated tourists from 19 countries (but they must spend the first five days quarantined in a hotel) and Vietnam has indicated it will open the island of Phu Quoc, off the southern coast, in late November.“I believe the Phuket Sandbox was a wake-up call for governments in our region to also launch similar projects in their own backyards,” said Luzi Matzig, chairman of Asian Trails, a travel agency specializing in the European market.But no one is expecting a dramatic recovery this year or even next. “It will take many months to restart tourist arrivals in the different destinations and if we can achieve 50% of the pre-Covid numbers during 2022 this will already be a positive result,” Matzig said.The Tourism Authority of Thailand (TAT) expects tourism revenues to reach about 50% of pre-Covid levels in 2022, with at least 13 million foreign tourists and 122 million domestic tourists spending 620 billion baht ($19 billion) and 680 billion baht ($20.5 billion), respectively, according to a recent Bualuang Securities report.

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  • UNHCR Global Trends - Forced displacement in 2020
    https://www.unhcr.org/flagship-reports/globaltrends

    Growing displacement despite pandemic
    While the full impact of the COVID-19 pandemic on wider cross-border migration and displacement globally is not yet clear, UNHCR data shows that arrivals of new refugees and asylum-seekers were sharply down in most regions – about 1.5 million fewer people than would have been expected in non-COVID circumstances, and reflecting how many of those seeking international protection in 2020 became stranded.Despite COVID-related movement restrictions and pleas from the international community for a ceasefire that would facilitate the COVID-19 response, displacement continued to occur – and to grow. As a result, above one per cent of the world’s population – or 1 in 95 people – is now forcibly displaced. This compares with 1 in 159 in 2010.

    #Covid-19#migrant#migration#sante#pandemie#deplacementforce#frontiere#refugie#demandeurdasile#protection

  • HCR - Des actions plutôt que des mots : Cinq conditions pour parvenir à l’équité dans la distribution des vaccins
    https://www.unhcr.org/fr/news/press/2021/10/617b9d36a/actions-plutot-mots-conditions-parvenir-lequite-distribution-vaccins.html

    Des actions plutôt que des mots : Cinq conditions pour parvenir à l’équité dans la distribution des vaccins. Déclaration conjointe des Nations Unies/ Mouvement international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge
    "En juin 2020, quelques mois après le début de la pandémie de COVID-19, les Nations Unies et le Mouvement international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge ont conjointement appelé les gouvernements, le secteur privé ainsi que les organisations internationales et de la société civile à accélérer les efforts pour développer, tester et produire un “vaccin universel” sûr et abordable afin de protéger tout le monde, partout, et de mettre fin à la crise.Un vaccin pour tous devrait protéger les riches et les pauvres, les personnes âgées comme les jeunes, les personnes déplacées de force, les migrants, quel que soit leur statut migratoire, et plus largement les populations souvent négligées, tant dans les zones urbaines qu’au sein des communautés rurales.Quinze mois plus tard, grâce à des avancées scientifiques et technologiques extraordinaires, à une collaboration au niveau mondial et à une confiance mutuelle dans les aspects réglementaires, de multiples vaccins sûrs et efficaces contre le Covid-19 sont disponibles et administrés dans des pays du monde entier. Pourtant, malgré de grands discours sur une solidarité mondiale, l’objectif de disposer d’un “vaccin universel” est loin d’être atteint. La distribution équitable des vaccins est une priorité politique, morale et économique qui a jusqu’à présent été largement négligée."Profits à court-terme et nationalisme vaccinal continuent de l’emporter sur la solidarité lorsqu’il s’agit d’une distribution équitable des vaccins. Bien que plus de 48% de la population mondiale ait reçu au moins une dose de vaccin, ce pourcentage tombe autour de 3% dans les pays à faible revenu. La situation est particulièrement préoccupante dans les pays en proie à une crise humanitaire qui ont besoin d’environ 700 millions de doses supplémentaires pour atteindre l’objectif de l’Organisation mondiale de la santé de vacciner 40% de leur population d’ici la fin de l’année.
    Plus de la moitié des pays ayant lancé un appel humanitaire n’ont pas assez de doses pour vacciner ne serait-ce que 10% de leur population. Sept pays parmi les plus pauvres au monde ne peuvent même pas vacciner 2% de leur population (Burundi, Cameroun, Haïti, République démocratique du Congo, Soudan du Sud, Tchad et Yémen). Les pays riches qui disposent de quantités importantes de vaccins se sont généreusement engagés à faire don de leurs doses excédentaires aux pays à revenu faible ou intermédiaire via le dispositif COVAX. Cependant, trop peu de ces promesses de dons ont été honorés. La disponibilité des doses pour les plus vulnérables reste limitée par les restrictions à l’exportation et la réticence des pays à céder leur place dans la chaîne de production au dispositif COVAX, même s’ils ne peuvent pas utiliser ces doses immédiatement.Le « Tampon humanitaire » du mécanisme COVAX est ouvert aux candidatures depuis juin 2021. Ce dernier devrait constituer une solution de dernier recours pour garantir l’accès aux vaccins aux personnes déplacées, ainsi qu’à d’autres populations vulnérables dans le monde. Il s’inscrit également dans le cadre des efforts visant à réduire les inégalités qui, autrement, compromettraient la reprise sociale et économique dans les zones en proie à une crise humanitaire. Il est donc urgent d’augmenter l’offre, de partager les vaccins et de veiller à leur accessibilité pour tous. Mais la disponibilité des doses de vaccin ne constitue qu’une partie de la solution à cette crise. Nous devons veiller à ce que les vaccins circulent des tarmacs des aéroport aux bras des personnes les plus vulnérables, notamment les réfugiés, les migrants, les demandeurs d’asile, les apatrides et ceux qui vivent dans des régions contrôlées par des groupes armés ou affectés par des conflits armés. Il est indispensable d’investir davantage dans les mécanismes et les capacités de distribution au niveau local, non seulement pour garantir une livraison rapide et équitable des vaccins, mais aussi pour renforcer les systèmes de santé nationaux en vue d’une préparation et d’une réponse plus efficaces aux pandémies. Partout dans le monde, les efforts déployés pour enrayer la pandémie sont sapés par la méfiance qui engendre des réticences à l’égard des vaccins. Plus que jamais, il est important de travailler avec et au sein des communautés, notamment en s’appuyant sur les médias sociaux et des réseaux communautaires, afin de créer un climat de confiance et de renforcer la confiance dans l’efficacité et la sécurité des vaccins. Les activités qui renforcent le soutien aux acteurs locaux et qui s’attaquent à la désinformation sont essentielles pour garantir le succès de la distribution des vaccins aux communautés locales, notamment celles les plus vulnérables.

    #Covid-19#migrant#migration#sante#UNHCR#croissantrouge#croixrouge#vaccination#inclusion#personnedeplacee#refugie#systemesante#vulnerabilite

  • Coronavirus: Thailand ends quarantine for vaccinated visitors from China, US, Singapore, others | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/asia/article/3154374/coronavirus-thailand-ends-quarantine-vaccinated-visitors-china-us

    Coronavirus: Thailand ends quarantine for vaccinated visitors from China, US, Singapore, others From Monday, fully-inoculated travellers will be able to freely tour Thai beaches, temples and tropical islands after testing negative for Covid-19 on arrival. Elsewhere, Singapore is boosting the number of ICU beds, while hundreds of workers at seafood firms in south Vietnam have tested positive for Covid-19
    Thailand is ending quarantine for vaccinated visitors from more than 60 countries including China, India, Japan, Singapore and the US, in the biggest reopening gamble in Asia and one that could mark a turning point for the revival of mass tourism during the pandemic. From Monday, fully-vaccinated travellers will be able to freely tour Thailand’s sandy beaches, temples and tropical islands after testing negative for Covid-19 on arrival.
    Inoculated visitors from countries not on the list can travel to Bangkok and 16 other regions, but they will be confined to their initial destination for the first seven days before being allowed to travel elsewhere.
    It is the biggest step Thailand has taken to welcome back a slice of the nearly 40 million visitors it hosted the year before the pandemic, and is billed as a “fight to win foreign tourists” as countries from Australia to the UK also loosen Covid-19 curbs.A successful Thai experiment could help salvage its battered economy and serve as a model for countries wary of a virus resurgence from reopenings.To boost the confidence of tourists and the public, Thailand is linking the reopening to a higher vaccination rate, which “is a measured approach that has a lot of logic to it”, according to Amar Lalvani, chairman of US boutique hotel operator Standard International.
    Meanwhile in Australia, the government will from November 21 allow fully vaccinated travellers from Singapore to travel to the country without quarantine, starting with New South Wales and Victoria, The Sydney Morning Herald newspaper reported on Sunday.It will be up to the other Australian states and territories to decide if they similarly want to accept vaccinated travellers without the need for 14 days of hotel quarantine, according to the report.The decision follows an announcement by the Civil Aviation Authority of Singapore (CAAS) earlier this week on extending the vaccinated travel lane to Australia and Switzerland, which will allow vaccinated travellers from both countries to enter Singapore without the need for quarantine from November 8.
    Singapore Transport Minister S Iswaran called it a “significant move”.
    “Families and loved ones can reunite, students can resume their studies, and businesspeople and tourists can once again travel,” Iswaran said in a Facebook post on Sunday.Singapore is increasing the number of hospital beds in intensive care units as serious Covid-19 infections in the current outbreak remain at an elevated level.Authorities will set up 280 ICU beds this week, up from about 200 now, Health Minister Ong Ye Kung said in a Facebook post on Sunday. About 70 per cent of Singapore’s ICU beds are occupied, he said.“Our hospital capacity is dynamic – we step them up as the number of cases that require acute or ICU care goes up, and vice versa,” Ong said. “But with each increase, health care workers will come under even greater strain. There is a human limit.” Singapore is trying to ease the strain on the health care system by maintaining domestic restrictions at least until late November, including limiting social gatherings to two people.Janil Puthucheary, senior minister of state at the health ministry, will give an update in Parliament on Monday on the ICU situation and hospital capacity. He will also explain the possible course of action and the trade-offs Singapore is facing, Ong said.Singapore has one of the highest inoculation rates in the world, allowing its government to open borders up with vaccinated travel lanes including to parts of Europe, Australia, Canada and the US.

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  • Covid-19 : Israël ouvre ses frontières aux touristes non accompagnés
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/11/01/australie-thailande-coree-du-sud-des-pays-assouplissent-les-restrictions-de-

    Israël ouvre ses frontières aux touristes non accompagnés
    Pour la première fois depuis le début de la pandémie due au coronavirus, Israël a commencé, lundi, à accueillir les touristes non accompagnés d’un groupe de voyage organisé. Ces derniers avaient déjà été autorisés à venir sur le sol israélien en septembre.Les voyageurs non accompagnés doivent prouver qu’ils ont été vaccinés, qu’ils ont reçu une injection de rappel ou qu’ils ont été guéris du Covid-19 au cours des six derniers mois. Les autorités reconnaissent la plupart des vaccins, mais les personnes vaccinées avec le Spoutnik V russe doivent subir un test sérologique à leur arrivée. Les voyageurs doivent également présenter un test négatif avant d’embarquer sur leur vol et en subir un autre à l’arrivée. Israël avait prévu de rouvrir ses portes aux touristes au printemps dernier, mais a reporté cette décision en raison d’un pic de cas dû au variant Delta hautement contagieux. Depuis, Israël a lancé une campagne de rappel au cours de laquelle près de la moitié de la population a reçu une troisième dose de vaccin, ce qui a permis de faire baisser le nombre de cas.

    #Covid-19#migrant#migration#sante#israel#vaccination#frontiere#circulation#test#variant#tourisme

  • Covid-19 : La Thaïlande accueille ses premiers touristes vaccinés sans quarantaine
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/11/01/australie-thailande-coree-du-sud-des-pays-assouplissent-les-restrictions-de-

    La Thaïlande accueille ses premiers touristes vaccinés sans quarantaine
    Des touristes se prélassent près de la piscine d’un hôtel sur l’île
    Depuis ce lundi, le gouvernement thaïlandais autorise les voyageurs vaccinés de plus de 60 pays à séjourner en Thaïlande sans effectuer de quarantaine. Les premiers ont atterri ce matin à Bangkok et sur l’île de Phuket, un espoir de renaissance pour l’industrie touristique thaïlandaise exsangue après un an et demi de verrouillage.La pandémie de Covid-19 a frappé de plein fouet l’économie du royaume, qui dépend beaucoup du tourisme et a enregistré l’an dernier ses pires résultats depuis la crise financière asiatique de 1997, avec une baisse de plus de 80 % des arrivées de visiteurs internationaux.« La chose la plus importante à laquelle le gouvernement et moi-même pensons en ce moment est de faire en sorte que les moyens de subsistance des gens reviennent à la normale », a déclaré vendredi le premier ministre, Prayut Chan-o-cha. Le tourisme représente près d’un cinquième de l’économie, et l’impact de la pandémie s’est répercuté sur divers secteurs, de la restauration aux transports.
    Le retour des touristes sera progressif, et les autorités tablent sur 10 millions à 15 millions de visiteurs l’année prochaine, encore loin du record de 2019, de près de 40 millions. Les recettes attendues pour 2022 sont d’environ 30 milliards de dollars. « En 2023, nous pensons qu’elles seront proches du chiffre de l’année 2019 », a déclaré le ministre du Tourisme, Pipat Ratchakitprakarn.Mais l’industrie se veut moins optimiste, dans la mesure où les touristes chinois, qui constituent le principal marché pour la Thaïlande, sont toujours soumis à une quarantaine stricte à leur retour chez eux et ne devraient pas venir en masse avant de nombreux mois. De plus, le royaume enregistre encore environ 10 000 cas de Covid-19 par jour, et seulement 40 % environ de la population a reçu deux doses de vaccin. A Bangkok, ce taux est de 80 %.En Uruguay, le choix a également été fait d’ouvrir les frontières uniquement aux étrangers vaccinés.

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