• RTS  : La « conduite inappropriée » de certains soldats israéliens à Gaza dénoncée

    En Israël, l’avocate générale des armées met en garde contre des comportements inacceptables de la part de certains soldats à Gaza. En effet, plusieurs d’entre eux ont affiché leurs faits d’armes sur les réseaux sociaux, notamment des actes de #vengeance.

    Dans une lettre envoyée au bureau du procureur militaire, l’avocate générale des armées fait état de « conduites inappropriées qui s’écartent des valeurs de l’armée israélienne » : des recours à la force injustifié, des #pillages, des #destructions de biens civils…

    Moqueurs, sans-gêne, destructeurs...
    Plusieurs publications de vidéos prises en territoire palestinien par des soldats israéliens ont été dénoncés. Par exemple, sur l’une d’elles, un soldat assis sur une chaise sort d’un sac posé devant lui des maillots de football de grands clubs européens.

    Sur d’autres images, un militaire montre un pendentif qu’il compte, dit-il, ramener à sa petite amie. Tandis qu’un autre joue avec une guitare trouvée dans les décombres et que d’autres forcent un petit coffre-fort.

    Dans une autre vidéo, tournée dans une papeterie du camp de réfugié de Jabaliya, au nord de la bande de Gaza, un militaire renverse un présentoir encore rempli de crayons et d’autocollants. Il jette les cahiers qui se trouvent sur les étagères de cette petite boutique alors que son camarade le filme en riant.

    Des images de soldats qui mettent le feu à des cartons de nourriture et à des packs d’eau trouvés à l’arrière d’un camion dans un entrepôt ont aussi été diffusées. Le militaire qui filme retourne la caméra vers lui et conclut tout sourire par souhaiter à tous de bonnes vacances et de joyeuses fêtes de #hanouka.

    Un préjudice stratégique
    Selon l’avocate générale de l’armée israélienne, de tels actes causent à l’Etat d’israël et à l’armée un préjudice stratégique sur la scène internationale. Certains incidents dépassent le seuil disciplinaire et franchissent le seuil pénal, poursuit Yifat Tomer Yérushalmi.

    Ces actes entachent l’image des forces de défenses israéliennes qui se sont longtemps targuées d’être l’armée la plus morale au monde.

    Dans une lettre envoyée tout récemment à ses troupes, le chef d’état-major de l’armée, Herzi Halevi, rappelle notamment aux soldats qu’il ne faut rien prendre qui ne leur appartient pas et qu’il ne faut pas filmer de vidéos de vengeance.

    Sujet radio : Charlotte Derouin
    Adaptation web : juma
    Publié vendredi à 09:57 Modifié vendredi à 09:58

    Source : https://www.rts.ch/info/dossiers/2023/guerre-entre-israel-et-le-hamas/2024/article/la-conduite-inappropriee-de-certains-soldats-israeliens-a-gaza-denoncee-28413706

    #vols #destruction #moralité #armée #militaires #exactions #soldats #violence #butin #racisme #religion

  • « l’ordre, l’ordre, l’ordre », E.M, 24 juillet 2023

    Nord : le gouvernement annonce le déploiement d’une #force_d'action_républicaine à Maubeuge
    https://www.bfmtv.com/grand-lille/nord-le-gouvernement-annonce-le-deploiement-d-une-force-d-action-republicaine

    Policiers, officiers de police judiciaire, fonctionnaires des finances, personnels éducatifs ou encore travailleurs sociaux aideront à la sécurisation des quartiers à Maubeuge.
    Le gouvernement a dévoilé ce jeudi 26 octobre son plan d’action en réponse aux émeutes qui ont eu lieu dans toute la France après la mort de Nahel, en juin et juillet dernier.

    Élisabeth Borne a annoncé devant un parterre d’élus des villes les plus touchées le déploiement de plusieurs forces d’action républicaines sur le territoire. Un groupe arrivera notamment bientôt à Maubeuge.

    Ce qu’il faut retenir des mesures annoncées par Elisabeth Borne à la suite des émeutes urbaines de cet été, selon Le Monde
    https://www.lemonde.fr/societe/live/2023/10/26/en-direct-elisabeth-borne-devoile-le-plan-du-gouvernement-pour-repondre-aux-

    Comme « réponse pénale exemplaire et refus total de l’impunité » attendue par les élus locaux, Elisabeth Borne annonce soumettre au vote des parlementaires, sans donner la date, la possibilité de placer « des jeunes délinquants, de manière obligatoire, dans des unités éducatives de la protection judiciaire de la jeunesse » jusqu’à « envisager un encadrement de jeunes délinquants par des #militaires ».

    La responsabilité parentale a aussi été évoquée par la cheffe du gouvernement. Toujours dans un projet de loi, l’exécutif souhaite sanctionner de « stages de responsabilité parentale ou [de] peines de travaux d’intérêt général (…) des parents qui se soustraient à leurs devoirs éducatifs ». Aussi, le gouvernement a annoncé créer une contribution financière citoyenne et familiale que les mineurs et leurs parents devront payer à des associations de victimes et qu’en cas de dégradation Elisabeth Borne veut « s’assurer » que les parents paient les dommages causés.

    Le gouvernement veut donner la possibilité aux polices municipales d’accomplir certains actes de police judiciaire. _[ à tout seigneur tout honneur, commençons par Mantes-la-Ville, Hayange, Hénin-Beaumont, Perpignan, Fréjus, Bruay-la-Buissière, Orange, Cogolin, ...]

    Quant aux réseaux sociaux, dont la première ministre a estimé qu’ils ont joué un « rôlé-clé (…) pour encourager les violences et créer l’escalade », une suspension d’un compte de six mois sera mise en place.

    #jeunes #parents #villes #sécurité #police #police_municipale #PJJ #enfermement #discipline #bannissement_numérique #stages_de_responsabilité_parentale #TIG_parentaux

  • #Nahel : ces #milices d’#extrême_droite qui se substituent à la #police | Mediapart
    https://www.mediapart.fr/journal/france/030723/nahel-ces-milices-d-extreme-droite-qui-se-substituent-la-police?userid=eb4
    #revoltes
    #violences_urbaines

    Un autre marche, mains attachées dans le dos et tête maintenue baissée, entouré par ceux qui l’ont « interpellé ». Plusieurs témoins rapportent à Mediapart des tabassages, notamment d’une personne qui tentait de mettre le feu à une poubelle. Plus gênant, une partie de ces faits se seraient déroulés avec la complicité de la police. Un employé d’un magasin de bricolage confie en effet avoir vu un équipage de la #BAC, dans une Skoda noire, « faire le lien entre la milice et le reste des #effectifs_de_la_police » lors de trois interpellations sauvages auxquelles il dit avoir assisté. « On les a également vus courir à côté des #policiers en tenue… », poursuit-il.

    « On a laissé faire en début de soirée, parce que ça nous a soulagés, confie un policier au Télégramme. Mais en fin de “séquence”, certains d’entre nous ont finalement décidé de les disperser, se rendant compte qu’ils y allaient un peu fort. »

    Trois autoproclamés « #anticasseurs » ont accordé une interview à la radio locale Jaime, dans laquelle ils n’ont aucune difficulté à reconnaître leur bonne entente avec les forces de l’ordre. « On se concertait avec la BAC qui nous disait où ne pas aller. Quant aux émeutiers, dès qu’ils nous voyaient, ils couraient. On courait aussi. Si on les attrapait, on leur mettait des Serflex aux mains. » Les #Serflex sont ces colliers de serrage qui font office de menottes de fortune. Leur utilisation contredit les propos tenus à la #radio, lorsqu’ils expliquent que leur action était improvisée.

    Qui sont les membres de cette milice soi-disant « spontanée » ?

    Les trois « anticasseurs » interviewés par la radio nient appartenir à un groupuscule d’extrême droite. Même si leur rhétorique, sommaire, reprend ses codes. « Non, nous sommes juste des personnes qui veulent sauver la France », résume une jeune femme. « On est des civils qui veulent sauver la France, on est des patriotes, complète un jeune homme. Je ne voulais pas voir ma ville brûler, c’est tout. Cela aurait pu être des “#extrême droite”, des “extrême gauche”, des centristes, des écologistes, j’aurais agi pareil. »

    Voir le Rassemblement national au pouvoir les effrayerait-il ? leur demande le journaliste de Jaime Radio. Réponse : « Est-ce que c’est une bonne ou une mauvaise chose, on ne peut pas savoir tant que ça n’arrive pas… »

    Des militants de Reconquête, le parti d’Éric Zemmour, ou du syndicat d’extrême droite La #Cocarde étudiante ont été vus cette nuit-là à Lorient au moment de l’intervention de la milice. « Mais c’était trop bien rodé, l’organisation était millimétrée. Jamais les partisans locaux de Reconquête ne seraient capables de cela », veut croire l’employé de magasin de bricolage précité.

    Au sein d’une ville connue pour abriter 4 000 militaires de la marine nationale, l’hypothèse d’une participation, au sein de la milice, de fusiliers marins ou de commandos marine, des anciens ou d’active, revient avec insistance. Ceux qui les ont vus agir en sont convaincus. Lors de l’entretien accordé à la radio locale, l’un des « anticasseurs » répète à plusieurs reprises « en tant que civil », une expression plutôt propre aux #militaires. Mais à ce stade, Mediapart n’a pas pu confirmer leur participation.

    • Nahel : l’armée ouvre une enquête sur la milice de Lorient
      https://www.mediapart.fr/journal/france/040723/nahel-l-armee-ouvre-une-enquete-sur-la-milice-de-lorient

      Ces derniers jours, les forums de discussion militaires et paramilitaires sur les réseaux sociaux évoquaient les événements. Lundi 3 juillet au soir, un certain « Coyote », affichant le logo des fusiliers marins augmenté d’un coyote en tenue militaire et armé, avait publié un message d’alerte : « À tous, urgent. Il semblerait que la DRM [Direction du renseignement militaire, c’est-à-dire le service de renseignement des armées – ndlr] se soit saisie de l’affaire de l’autre soir à Lorient pendant les émeutes. J’invite chacun d’entre vous qui ont des informations sur l’événement et qui en ont parlé à leurs potes de supprimer tout ça et ceux y ayant participé de serrer les fesses. »

      [...]

      Lundi soir, les démentis du maire de Lorient et de la responsable policière – qui n’ont pas répondu à nos sollicitations – ont été encore plus spectaculairement contredits par des éléments recueillis par Ouest-France.
      Le quotidien régional a publié le témoignage d’un des anticasseurs qui affirme : « Certains policiers nous ont remerciés et ont accepté notre aide, d’autres préféraient nous mettre à distance. Je comprends que ça puisse créer un malaise. Comme le maire de Lorient qui a dit que notre présence n’était qu’une rumeur : n’importe quoi ! »
      L’homme de 25 ans se présente comme un militaire ayant déjà à son actif plusieurs missions à l’étranger dans des zones de conflit. Il détaille avoir agi avec une trentaine d’autres « collègues » militaires, âgés « entre 20 et 25 ans », « mais aussi de quelques civils ». Il évoque « des fusiliers, peut-être des commandos. Il y avait différentes unités ».

      [... Enfin, une réalité statistique peut s’avérer gênante pour les garants du maintien de l’ordre. Dans la nuit de vendredi à samedi, les émeutes à Lorient ont donné lieu à quatre interpellations, comme l’a confirmé à Mediapart le procureur de la République. Or, Ouest-France compte, d’après le témoignage du milicien, quatre personnes livrées par les anticasseurs à la police. Lundi, un salarié d’un magasin de bricolage racontait à Mediapart avoir assisté à « au moins » trois interpellations sauvages .
      Faut-il en déduire que les seuls à être parvenus à appréhender des émeutiers à Lorient vendredi soir étaient des miliciens ?

      Matthieu Suc et Marine Turchi ne semblent guère soucieux du sort de leur source...

      #militaires

    • Chambéry : un homme reçoit un coup de marteau à la tête en marge d’un défilé de l’ultradroite
      https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/chambery-un-homme-recoit-un-coup-de-marteau-a-la-tete-en-marge-d-un-defil

      À Chambéry, un groupe d’une cinquantaine d’individus d’ultradroite s’est rassemblé dans le centre-ville ce lundi soir, dans le secteur du Carré Curial. Des bagarres ont ensuite éclaté et un homme a été gravement blessé à la tête après avoir reçu un coup de marteau.

    • Nahel : l’armée ouvre une enquête sur la milice de Lorient | Mediapart
      https://www.mediapart.fr/journal/france/040723/nahel-l-armee-ouvre-une-enquete-sur-la-milice-de-lorient

      L’article 73 du Code de procédure pénale prévoit les interpellations par de simples citoyens : « Dans les cas de crime flagrant ou de délit flagrant puni d’une peine d’emprisonnement, toute personne a qualité pour en appréhender l’auteur et le conduire devant l’officier de police judiciaire le plus proche. »

      Mais en l’état, plusieurs éléments interrogent. D’abord, le fait que les membres de ce groupe se soient dissimulés sous des cagoules et des cache-nez pour interpeller d’autres citoyens. Ensuite, le caractère musclé de leur intervention, qu’a reconnu le milicien interviewé par Ouest-France : « Ça aurait pu être moins violent. Quand certains allaient un peu fort, on leur disait de se calmer. »

      Enfin, une réalité statistique peut s’avérer gênante pour les garants du maintien de l’ordre. Dans la nuit de vendredi à samedi, les émeutes à Lorient ont donné lieu à quatre interpellations, comme l’a confirmé à Mediapart le procureur de la République. Or, Ouest-France compte, d’après le témoignage du milicien, quatre personnes livrées par les anticasseurs à la police. Lundi, un salarié d’un magasin de bricolage racontait à Mediapart avoir assisté à « au moins » trois interpellations sauvages.

      Faut-il en déduire que les seuls à être parvenus à appréhender des émeutiers à Lorient vendredi soir étaient des miliciens ? 

      Dans Ouest-France, le jeune homme interviewé assume en tout cas son action : « Finalement, qu’importe qu’on soit “mili”, pharmacien ou vendeur de vélos, l’essentiel, c’est ce qu’on a fait », explique-t-il. Avant de conclure : « On est fiers de ce qu’on a fait et on recommencera si le besoin se présente. Quand tu veux tout brûler, tu dois t’attendre à des réponses. »

    • Je me réjouis que des jeunes militaires de #Lorient aient apporté spontanément leur concours à la #Police dans la lutte contre les émeutiers. Ils ont ainsi concouru à éviter le pire et à protéger les personnes et les biens.

      https://twitter.com/marclefur/status/1676513406298251264

      Marc LE FUR, Député des Côtes d’Armor, Conseiller régional de Bretagne. Whitey né à Dakar, haut fonctionnaire, LR.
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Marc_Le_Fur

  • L’armée britannique en renfort pour remplacer les grévistes des secteurs critiques afp/ami - RTS
    https://www.rts.ch/info/monde/13610635-larmee-britannique-en-renfort-pour-remplacer-les-grevistes-des-secteurs

    L’armée britannique sera appelée en renfort pour remplacer des travailleurs grévistes dans certains secteurs sensibles comme la police aux frontières ou les ambulances, a indiqué jeudi le gouvernement. Le pays est confronté à des débrayages à répétition, dans un contexte d’augmentation du coût de la vie.

    « Ces grèves récurrentes vont perturber tout le monde, et cela inclut notre personnel militaire qui devra, malheureusement, se mobiliser et remplir certaines des fonctions vitales dont nous avons besoin pour que le pays continue de fonctionner », a indiqué à la presse un porte-parole du Premier ministre Rishi Sunak.

    Face à la multiplication des appels à la grève dans le transport ferroviaire, la santé, le courrier et la logistique ou encore la police aux frontières, le gouvernement avait déjà prévenu qu’il envisageait de recourir à l’armée.

    « Des discussions sont en cours avec le ministère de la Défense » pour que des militaires remplacent des ambulanciers grévistes, au moment où le système public de santé vit une crise inédite, en particulier dans les services d’urgence, a précisé le porte-parole. Les infirmières seront ainsi en grève deux jours en décembre, une première à l’échelle nationale depuis plus de 100 ans.

    Formation en vue de l’engagement
    Par ailleurs, des militaires sont « en cours de formation » pour soutenir la police aux frontières, a ajouté le porte-parole. Quelque 2000 militaires seraient ainsi en train d’être formés, a précisé la ministre de l’Education Gillian Keegan, jeudi matin sur Sky News.

    Mercredi, le syndicat PCS a lancé un appel à la grève pour les agents de la police aux frontières de plusieurs aéroports britanniques au moment des fêtes de fin d’année, laissant augurer d’importantes perturbations notamment à Heathrow et Gatwick.

    Ce recours à l’armée ne serait pas unanimement apprécié dans les rangs des militaires, selon des informations rapportées par le quotidien The Telegraph.

    Contexte d’inflation
    Ces grèves interviennent par ailleurs sur fond de revendications salariales dans un contexte d’inflation dépassant les 10% qui provoque une sévère crise du coût de la vie.

    Si les négociations ont abouti dans certaines entreprises, elles semblent au point mort dans plusieurs secteurs et le gouvernement a durci son discours ces derniers jours.

    Le Premier ministre Rishi Sunak a promis mercredi de mettre en place de « nouvelles lois dures » pour lutter contre les conséquences des grèves.

    #grève #greve #salaires #Transports #perturbations #luttes_sociales #militaires

  • Var : un incendie se déclare dans un vaste camp militaire à Canjuers, 200 hectares brûlés - Le Parisien
    https://www.leparisien.fr/faits-divers/var-un-incendie-se-declare-dans-un-vaste-camp-militaire-a-canjuers-200-he

    Pour l’instant, le feu a progressé dans une zone « polluée, c’est-à-dire où il y a des obus et des explosifs non explosés et où pour raison de sécurité les pompiers ne peuvent pas pénétrer », indiquent les soldats du feu.

    Un incendie causé par un tir d’artillerie ...

    #trop_cons

  • Soupçons de viol : non-lieu pour les six pompiers de Paris accusés par une touriste norvégienne - Le Parisien
    https://www.leparisien.fr/faits-divers/soupcons-de-viol-non-lieu-pour-les-six-pompiers-de-paris-accuses-par-une-

    La juge d’instruction a concentré son analyse sur la notion de consentement. Elle estime que rien ne permet de remettre en cause la version des militaires, qui décrivaient d’une relation sexuelle librement consentie avec cette jeune Norvégienne, à la caserne Plaisance en mai 2019.

  • #Chili : la lutte #Mapuche continue sous état d’urgence
    https://fr.squat.net/2022/01/27/chili-la-lutte-mapuche-continue-sous-etat-durgence

    Dans une partie des zones mapuche, soit les quatre provinces de Bío Bío, #Arauco, #Malleco et #Cautín, l’Etat chilien a décrété l’état d’urgence le 12 octobre dernier suite à l’offensive des groupes de lutte qui multiplient les attaques d’intérêts forestiers et les occupations de terres. Cela signifie notamment une augmentation de barrages policiers sur les […]

    #actions_directes #Amériques #arbres #Biobío #militaires

  • Silat al-Harithiya (Palestine) : les forces de l’ordre israëliennes démolissent six maisons palestiniennes
    https://fr.squat.net/2021/12/21/silat-al-harithiya-palestine-les-forces-de-lordre-israeliennes-demolissent

    Lundi 20 décembre 2021, dans le village de Silat al-Harithiya, près de Jénine, les forces de l’ordre israëliennes ont prévenu des familles palestiniennes de leurs intentions de démolir leurs six maisons. Les soldats israëliens les ont perquisitionnées, mises sens dessus-dessous, et sont repartis après avoir menacé tout le monde et tiré une douzaine de coups […]

    #expulsion #militaires #Moyen-Orient #Palestine/Israël

  • Benin City (Nigeria) : #manifestation contre des démolitions de bâtiments par l’armée nigériane
    https://fr.squat.net/2021/08/25/benin-city-nigeria-manifestation-contre-des-demolitions-de-batiments-par-l

    Le 16 août 2021, des centaines d’habitant·e·s de la communauté Oghede, à Benin City, dans l’Etat d’Edo, ont manifesté contre la démolition de bâtiments et de structures construites par les habitant·e·s eux-mêmes, notamment des tombes. Les manifestant·e·s revendiquaient leurs terres, menacées d’expropriation par l’armée nigériane. Des pancartes et banderoles avec des inscriptions contre l’armée ont […]

    #Afrique #expulsion #militaires #Nigeria

  • Les dimensions spatiales du maintien de l’ordre.

    Carnets de débats

    Marion Lecoquierre et Félix Tréguer. #Villes sous contrôle et #technologisation du maintien de l’ordre. Entretien avec #Félix_Tréguer [Texte intégral]

    Carnets de recherches

    Clément Monseigne. Maintien de l’ordre et maintien des ordres : les #logiques_spatiales du régiment des Gardes-françaises à Paris à la veille de la Révolution

    Jonas Campion. Des espaces « exceptionnels » à sécuriser : éléments d’histoire de la cohabitation policière à la frontière franco-belge (xxe- xxie siècles)

    Camille Guenebeaud. Au-delà des murs. Maintenir l’ordre à la #frontière franco-britannique

    Andrea Kretschmann. Les #villes_artificielles comme espaces de formation de l’ordre politique : l’entrainement aux scénarios apocalyptiques des polices européennes

    Aurélien Restelli. « Avant la manif ». L’#aménagement_préventif de l’espace manifestant

    Aïcha Bourad et Fanny Parent. La #foule et l’#ordre : gouvernement spatial des conduites dans les meetings électoraux

    Naoko Tokumitsu. Le développement de dispositifs techniques de #surveillance des #espaces_publics et la participation des habitants au maintien de l’ordre au #Japon

    Romane Joly et Vincent Lebrou. Des #jardins pour maintenir l’ordre ? Enquête ethnographique dans un quartier populaire strasbourgeois

    Carnets de terrain

    Bénédicte Michalon, Tristan Bruslé, Olivier Clochard, Mathilde Darley, Olivier Milhaud et Marie Morelle. Enquêter dans les lieux d’#enfermement. Retour collectif sur une expérience de recherche

    Damien Carrière
    Garde-à-vous à Manesar. Une observation participante parmi les gardiens de sécurité en Inde [Texte intégral]

    Carnets de lectures

    Franck Ollivon. Marie Morelle, #Yaoundé carcérale. Géographie d’une ville et de sa #prison. Lyon : ENS Editions, 2019, 228 p.

    Léopoldine Manac’h. BABELS, La police des migrants. Filtrer, disperser, harceler. Paris : éditions du Passager clandestin, 2019, 120 p.

    Alex Mahoudeau. Mathieu Rigouste, La Domination Policière. Une violence industrielle. Paris : La Fabrique, 2012, 257 p.

    Carnets de soutenances

    Franck Ollivon. La prison chevillée au corps. Pour une approche géographique du placement sous #surveillance_électronique

    Arthur Oldra. Spatialités individuelles et jeux de places dans l’espace public urbain. De quelques perspectives géographiques à propos des #militaires en opération #Vigipirate/#Sentinelle.

    https://journals.openedition.org/cdg/6590
    #maintien_de_l'ordre #géographie #espace #revue

    #espace_public #quartiers_populaires #Strasbourg #lieux_d'enfermement

    ping @davduf

  • Débandade de Macron face aux militaires : l’incroyable renversement !
    https://www.crashdebug.fr/debandade-de-macron-face-aux-militaires-l-incroyable-renversement

    Signez la pétition en soutien à nos militaires, ils perdent leur nerfs, c’est bon signe, maintenez la pression.

    Amitiés,

    f.

    ♦️ADHÉREZ AUX PATRIOTES :

    http://les-patriotes.fr/jadhere

    🇫🇷 (Pour rappel, Les Patriotes, nouvelle formation politique, ne bénéficient d’AUCUN soutien financier public ni d’aucun soutien bancaire. Ils vivent exclusivement des adhérents et donateurs.)

    ♦️FAIRE UN DON AUX PATRIOTES :

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    ♦️ TÉLÉGRAM : https://t.me/les_patriotes

    #Militaires#VictoireJustice#Archives

    Source : Youtube.com

    Information complémentaire :

    Crashdebug.fr : Guerre civile ou coup (...)

  • #Birmanie : comment #Total finance les généraux à travers des comptes #offshore
    https://www.lemonde.fr/international/article/2021/05/04/birmanie-comment-total-finance-les-generaux-a-travers-des-comptes-offshore_6

    [...] le PDG de Total, Patrick Pouyanné [...] affirme simplement s’acquitter de ses obligations auprès de l’Etat birman.

    Des documents internes, auxquels Le Monde a eu accès, racontent une autre version de l’histoire. Ils mettent en lumière le montage financier autour du gazoduc sous-marin de 346 km qui relie le gisement de Yadana à la Thaïlande. Ce tuyau ne se contente pas de transporter du gaz : il est le cœur d’un système où des centaines de millions de dollars provenant des ventes du gaz sont détournées des caisses de l’Etat birman vers la Myanmar Oil and Gas Enterprise (MOGE), une entreprise publique à la gestion opaque, contrôlée par les #militaires.

    #paywall

  • À la frontière franco-espagnole, la police « #traque » les migrants

    Depuis environ un mois, les contrôles à la frontière franco-espagnole se sont intensifiés. Selon les associations, les migrants, « traqués par la police », prennent de plus en plus de #risques pour atteindre la France. Les humanitaires redoutent un drame, d’autant que certains exilés tentent désormais de rejoindre l’Hexagone en traversant la #rivière #Bidassoa à la nage.

    « #Refoulements illégaux », « traque », « #chasse_à_l'homme », « violation des droits »... Les mots utilisés par les associations locales pour décrire la situation à la frontière franco-espagnole sont forts. Depuis un mois, les humanitaires observent une présence de plus en plus importante des #forces_de_l'ordre. « Il y a toujours eu des contrôles mais à ce point-là, jamais ! On a même vu des #militaires déambuler dans les villages », raconte Lucie Bortaitu de l’association bayonnaise Diakité.

    Début novembre, lors d’une visite dans les Pyrénées, le président Emmanuel Macron avait annoncé le doublement des effectifs aux frontières françaises pour lutter contre la menace terroriste, les trafics et l’immigration illégale.

    À cela s’ajoute la fermeture, début janvier, de 15 points de passage sur les 650 kilomètres de frontière qui séparent l’Espagne de la France pour contenir la pandémie de Covid-19. Cette #surveillance renforcée 24h/24 mobilise 230 #policiers et #militaires.

    Mais pour les associations, le principal enjeu est de limiter l’arrivée de migrants dans l’Hexagone. « Les autorités françaises utilisent l’excuse de la crise sanitaire mais en fait le but premier est le #contrôle_migratoire », estime Ion Aranguren, de l’association espagnole Irungo Harrera Sarea, active du côté d’Irun. « C’est clairement pour lutter contre l’immigration illégale : seuls les Noirs sont constamment contrôlés par les policiers », renchérit Lucie Bortaitu.

    Des refoulements quotidiens

    Depuis plusieurs semaines, selon les humanitaires, les migrants sont « traqués » sur la route, dans les trains et dans la rue. À #Hendaye, les #gendarmes sont même entrés dans le jardin d’un particulier pour y extraire un exilé venu se cacher de la police, rapportent les bénévoles. Des migrants ont aussi été arrêtés au-delà des #20_kilomètres de la frontière, un rayon dans lequel les contrôles d’entrée sur le territoire sont autorisés. Plusieurs personnes ont ainsi été interpellées à #Bordeaux à leur descente du train et expulsées en Espagne.

    D’autres migrants racontent avoir été interpellés, puis envoyés dans les locaux de police avant d’être expulsés à la frontière au beau milieu de la nuit. « L’autre jour, on a appris que cinq femmes avaient été déposées à #Behobia [ville espagnole frontalière située à quelques kilomètres d’#Irun, ndlr] tard le soir. On les lâche là au milieu de nulle part, loin des associations et alors qu’un couvre-feu est aussi en vigueur en Espagne », souffle Lucie Bortaitu. D’autres encore ont été laissés par la police française à #Ibardin, en plein cœur des Pyrénées, du côté espagnol.

    Ce genre de témoignages de refoulement sont recueillis quotidiennement par les associations, françaises et espagnoles. Certains exilés ont déjà tenté six, sept voire huit fois le passage.

    Les mineurs non plus n’échappent pas à ces renvois, malgré la possession d’acte de naissance pour certains, synonyme d’une évaluation de leur minorité et d’une prise en charge par le département.

    Atteindre la France par la rivière

    Ces refoulements, de plus en plus fréquents, inquiètent les humanitaires et les avocats. « Ces #expulsions, qui sont devenues la norme, se font en dehors de tout cadre légal. Ce sont purement et simplement des renvois expéditifs illégaux », signale Me Francisco Sanchez Rodriguez, avocat en droits des étrangers au barreau de Bayonne. Les exilés n’ont en effet pas la possibilité de déposer l’asile, et aucun document de renvoi ne leur est délivré par un juge, comme le prévoit la loi. « On n’avait jamais vu cela à cette frontière », assure l’avocat.

    Malgré la pression policière et les violations de leurs droits, les migrants restent déterminés à continuer leur route. Résultat : ils prennent de plus en plus de risques pour échapper aux forces de l’ordre. Quelques-uns ont même tenté d’atteindre la France en traversant la frontière Bidassoa, qui sépare les deux pays. Un itinéraire jusque-là jamais emprunté par les exilés.

    Tom Dubois-Robin, un habitant d’Hendaye, voit depuis environ un mois des migrants essayer de « passer en France à la nage », en dépit des dangers. Samedi 13 mars, alors qu’il est assis au bord de l’eau avec des amis, il porte secours à un jeune homme venu de l’autre côté de la rivière. Quelques jours plus tard, Tom Dubois-Robin ramasse une doudoune dans l’eau. Dans les poches, il trouve des effets de la Croix-Rouge, dont le centre à Irun accueille des exilés. « Il a dû tenter la traversée et a jeté sa doudoune car elle était trop lourde », pense l’Hendayais.

    Les associations et les citoyens du #Pays_basque redoutent un drame, et se battent pour empêcher que leur rivière ne devienne un cimetière. Tom Dubois-Robin partage ce combat. Cet ancien policier, qui a lâché son uniforme en 2018 en raison justement de ces renvois à répétition, a écrit aux élus de sa région pour « qu’ils tapent du point sur la table et qu’on évite le pire ». Las qu’il est depuis plusieurs années de « ce ping-pong incessant » qui consiste à « renvoyer à la frontière des familles avec enfants ».

    https://www.infomigrants.net/fr/post/31024/a-la-frontiere-franco-espagnole-la-police-traque-les-migrants

    #traque_policière #frontières #migrations #asile #réfugiés #Pyrénées #France #Espagne #contrôles_frontaliers #militarisation_des_frontières #armée #police

    ping @isskein @karine4

  • Une filière néonazie au sein de l’armée française - Page 1 | Mediapart
    https://www.mediapart.fr/journal/france/160321/une-filiere-neonazie-au-sein-de-l-armee-francaise

    Bon nombre de ces nouveaux cas se retrouvent dans les rangs de la #Légion_étrangère mais pas uniquement. En plus des six régiments métropolitains que compte cette célèbre institution, le 3e régiment de parachutistes d’infanterie de marine (3e RPIMa), le 35e régiment d’infanterie (35e RI) et le 132e régiment d’infanterie cynotechnique (132e RIC) sont concernés à la marge. À noter que la plupart des cas identifiés ne sont pas isolés. Les uns sont en contact avec les autres. On les retrouve souvent réunis sur des photos de groupe.

    Le précédent article de Mediapart révélait la présence de #militaires #néonazis au sein du 13e bataillon de chasseurs alpins (13e BCA), du 1er régiment de hussards parachutistes (1er RHP), du 2e régiment d’infanterie de marine (2e RIMa), etc. Nos nouvelles révélations portent à 14 le nombre de régiments de l’armée française comptant de tels individus dans leurs rangs. Comparée à l’ensemble des 210 000 militaires, la soixantaine de cas désormais identifiés en quelques mois par Mediapart pèse peu mais notre enquête, menée essentiellement en sources ouvertes (c’est-à-dire en consultant les publications sur les réseaux sociaux accessibles à tous) avec les moyens qui sont ceux d’un journal et non de l’État, ne saurait être exhaustive.

    #armée #fascisme

  • A Genocide Incited on Facebook, With Posts From Myanmar’s Military - The New York Times
    https://www.nytimes.com/2018/10/15/technology/myanmar-facebook-genocide.html

    NAYPYIDAW, Myanmar — They posed as fans of pop stars and national heroes as they flooded Facebook with their hatred. One said Islam was a global threat to Buddhism. Another shared a false story about the rape of a Buddhist woman by a Muslim man.

    The Facebook posts were not from everyday internet users. Instead, they were from Myanmar military personnel who turned the social network into a tool for ethnic cleansing, according to former military officials, researchers and civilian officials in the country.

    The previously unreported actions by Myanmar’s military on Facebook are among the first examples of an authoritarian government’s using the social network against its own people. It is another facet of the disruptive disinformation campaigns that are unfolding on the site. In the past, state-backed Russians and Iranians spread divisive and inflammatory messages through Facebook to people in other countries. In the United States, some domestic groups have now adopted similar tactics ahead of the midterm elections.

    #Facebook #Birmanie #Rohingyas #Militaires

  • Protesters hold back military takeover of Balkans’ largest mountain pasture
    https://news.mongabay.com/2021/01/protesters-hold-back-military-takeover-of-balkans-largest-mountain-pa

    Les manœuvres #militaires malvenues en #Sinjajevina au #Montégro #pastoralisme #paysage #écosystèmes

    A 2019 decree by the government of Montenegro sets forth the country’s intention to set up a military training ground in the highland grasslands of Sinjajevina in the northern part of the country.
    But the pastures of Sinjajevina have supported herders for centuries, and scientists say that this sustainable use is responsible in part for the wide array of life that the mountain supports; activists say an incursion by the military would destroy livelihoods, biodiversity and vital ecosystem services.
    A new coalition now governs Montenegro, one that has promised to reevaluate the military’s use of Sinjajevina.
    But with the country’s politics and position in Europe in flux, the movement against the military is pushing for formal designation of a park that would permanently protect the region’s herders and the environment.

  • La nuit des longs couteaux - Regarder le documentaire complet | ARTE
    https://www.arte.tv/fr/videos/086122-000-A/la-nuit-des-longs-couteaux
    https://api-cdn.arte.tv/api/mami/v1/program/fr/086122-000-A/940x530

    https://www.youtube.com/watch?v=cyR7Sctoguk

    À l’été 1934, Hitler, qui a liquidé la démocratie allemande en un temps record, se retrouve pourtant pris en étau entre deux forces antagonistes : d’un côté, la frange révolutionnaire de son parti, le NSDAP (Parti national-socialiste des travailleurs allemands), incarnée par son ami Ernst Röhm, le chef de la Sturmabteilung (SA), formation paramilitaire du parti nazi ; de l’autre, les milieux conservateurs, révulsés par les excès de cette faction qui menace la Reichswehr, l’armée régulière. Cofondée par Hitler et Röhm en 1921 à Munich, la SA a joué un rôle fondamental dans l’ascension des nazis. Si le putsch manqué du 9 novembre 1923, qui a amené le futur dictateur à viser une conquête du pouvoir par les urnes, avait éloigné ce dernier de Röhm, les deux hommes se sont retrouvés en 1930. Surfant sur les ravages de la Grande Dépression, le premier a fait campagne devant des foules grandissantes, pendant que le second tenait la rue par la terreur.

    Basculement
    Mais en juin 1934, les services rendus ne comptent plus. Göring, le numéro deux du régime, Himmler, le chef de la SS, et Heydrich, son adjoint, pressent le Führer de neutraliser Röhm, en inventant un projet de coup d’État. Au matin du 30 juin, à Bad Wiessee, Hitler, revolver au poing, procède à l’arrestation de son ancien frère d’armes – abattu le lendemain dans sa cellule – et déclenche une vague d’assassinats à travers le pays, qui se déchaînera jusqu’au 2 juillet, ciblant les dignitaires de la SA mais aussi des opposants conservateurs et catholiques. Présentés comme une purge interne, ces meurtres seront légalisés rétroactivement. Après la mort du président Hindenburg, le 2 août 1934, Hitler, désormais soutenu par les élites conservatrices et l’armée régulière, peut précipiter l’Allemagne dans la barbarie.
    Entrelaçant images d’archives et passionnantes analyses d’historiens français et allemands, ce documentaire retrace l’ascension commune, mêlée de fascination réciproque, d’Hitler et de Röhm, le tribun et le militaire. Il déroule la chronologie détaillée et expose les conséquences de ces trois jours sanglants qui, par des compromissions insidieuses au plus haut sommet de l’État, ont légitimé la #terreur_nazie .

    #Troisième_Reich #histoire

    • Vu cette semaine, j’ai apprécié, j’ai noté vers la fin cette quasi impossibilité de rompre l’enchainement fasciste avec la mise en place de l’obligation des militaires de prêter serment de fidélité à Hitler lui même plutôt qu’à leur pays.
      #obéissance
      #militaires

    • La fabrique du cauchemar « Journal fictif d’Adolf Hitler », de Haris Vlavianos
      https://www.monde-diplomatique.fr/2020/09/DE_MONTJOYE/62162

      D’emblée, dans son avant-propos, Haris Vlavianos pose la vieille et obstinée question : « Comment un homme falot, pétri d’obsessions, inculte et d’origine modeste, a-t-il fait pour séduire autant d’Allemands et les entraîner dans son sillage ? » Des centaines d’ouvrages ont donné leur version et accumulé les clichés : Adolf Hitler, petit caporal, peintre raté, médiocre « poilu » ; ou bouffon maniaque, monstre débile, tueur en série de masse, incarnation d’un mal absolu… Vlavianos choisit la forme du journal intime. C’est hardi, c’est risqué. Il effectue une plongée dans le quotidien de #Hitler au moment où les vociférations hystériques de ce petit chef de bande vont devenir élaboration d’un programme politique destiné à conquérir le pouvoir, quand, à la suite de son putsch manqué (novembre 1923), il est emprisonné (jusqu’en décembre 1924) à Landsberg, une captivité de plus d’un an qui aboutit à la rédaction des premiers chapitres de Mein Kampf. Avec ce « document fictionnel » qui transforme Hitler en « vrai » personnage, il n’est plus de fascination possible, il y a là juste un pauvre type.

      Vlavianos use d’une langue simple, simpliste, syntaxe minimale, vocabulaire réduit, pour ce pauvre type prétentieux, qui commente des livres où il n’est capable de voir que ses obsessions. Et qui ressasse sa vision de l’Europe : décadente, perverse, infestée par le Juif et le communiste, et dont le « honteux traité de Versailles » est à la fois effet et cause, aboutissant à l’humiliation de l’Allemagne. Autant d’idées banales et haineuses qui circulaient alors largement dans une partie de la population, et tant pis si le peuple allemand est sacrifié à l’idée qu’il a de l’Allemagne, tant pis pour le peuple — tout comme les femmes, grand objet de son dégoût —, qui a besoin d’être guidé… Oscillant entre auto-apitoiement — « Je suis un minable » — et exaltation obsessionnelle, il commence à tisser les liens avec et entre les individus de sa sphère politique, courriers, entretiens, visites d’admiratrices (qu’il méprise), et c’est ainsi que se prépare la suite… Le procès va lui permettre de se tester « pour de vrai » : ce qui devait être affaire de justice tourne en meeting, dont chaque parole et chaque geste sont amplifiés, commentés, par la presse et les politiques, offrant à ce qui n’était qu’une idée fumeuse et paranoïaque une consistance publique. Hitler apparaît comme cristallisant l’inconscient collectif, la machine s’enclenche, les liens tissés commencent à être utiles, le désir fou d’un pouvoir absolu s’appuie sur un mouvement soigneusement planifié dont les moteurs sont la détestation viscérale de la vie, le mépris absolu de l’autre, et la conquête du consentement populaire, par le biais de gesticulations « démocratiques » destinées à l’anéantissement du système parlementaire. Pour ce faire, tous les moyens seront bons, et ce sont les multiples « ficelles » de ce succès que le livre rend visibles et sensibles. Écrit par un historien qui est aussi un poète célèbre, l’auteur notamment de Vacances dans la réalité (Circé, 2011), grand traducteur (de Walt Whitman, Wallace Stevens, William Blake…), ce « journal fictif » est l’un de ces livres-outils qui permettent, au-delà de l’émotion ou de la morale, de déconstruire les mécanismes identitaires et totalitaires dont notre époque se montre assez friande.

      Arnaud de Montjoye

  • [Révélations] En France, un centre de formation pour des #soldats_saoudiens - Amnesty International France
    https://www.amnesty.fr/controle-des-armes/actualites/revelations-en-france-un-centre-de-formation-pour-des-soldats-saoudiens
    #longuet #commercy #armee #defense

    En toute impunité et en flagrante contradiction avec ses engagements internationaux, la France fournit des armes à l’#Arabie_saoudite et aux Émirats arabes unis, pays engagés dans le conflit au #Yémen. #Conflit qualifié de la pire catastrophe humanitaire au monde par l’ONU.

    En lien avec notre campagne « silence on arme », nous avons mené une enquête inédite qui révèle la manière dont la France va un cran plus loin, en permettant à des militaires saoudiens de venir se former sur le sol français.

    L’enquête inédite menée par Audrey Lebel pour notre magazine d’information La Chronique détaille la manière dont la France a favorisé, soutenu financièrement comme politiquement l’implantation, sur notre territoire, d’un campus destiné à former des militaires saoudiens. 

    La formation est un pan moins connu de la question du commerce mais elle en fait bien partie. Aymeric Elluin, notre chargé de plaidoyer armes, reviens sur les lois internationales qui régissent le commerce des armes et la façon dont elles sont sans cesse contournées. 

    Notre enquête donne la parole à des députés qui dénoncent le manque de transparence de l’État et l’absence de contrôle de notre Parlement sur le commerce des armes. Ils racontent comment on les a dissuadé de s’en mêler.

    En France, on s’apprête à former des militaires saoudiens au maniement de la dernière version d’armes, déjà utilisées dans le conflit au Yémen. Grâce à un centre de formation flambant neuf, implanté en Meuse avec de l’argent du contribuable français, et en violation des traités internationaux. Une enquête d‘Audrey Lebel pour La Chronique.

    Commercy, commune de la #Meuse de 6 000 habitants. Ses madeleines, son château Stanislas, ses soldats saoudiens.

    Bienvenue en région #Grand_Est, où tout a été mis au point pour recevoir, dans les conditions d’un quatre étoiles, des militaires du royaume wahhabite. Celui-là même qui mène, depuis 2015, une guerre au Yémen contre les forces houthis soutenues par l’Iran. Plus de cinq ans après le début de l’offensive, ce conflit, qualifié par les Nations unies de « la pire catastrophe humanitaire au monde », a fait plus de 230 000 morts.

    Ce qui n’a pas empêché notre pays d’accueillir sur son sol, à coup de subventions et d’aides de toutes sortes, une entreprise qui fabrique des armes impliquées dans ce conflit. Armes sur lesquelles des #militaires #saoudiens doivent venir se former. L’#entreprise belge #John_Cockerill devait, en échange, dit-on, booster l’économie locale.

    • Le 26 mars 2015, l’Arabie saoudite lance l’opération « Tempête décisive ». À la tête d’une coalition de huit pays arabes, elle intervient au Yémen, pays frontalier du royaume, où s’affrontent soldats des Forces armées saoudiennes et combattants houthis, une minorité chiite soutenue par l’Iran. Les ONG ne cesseront de dénoncer le risque de famine, le choléra, les armes, les missiles, les bombes utilisées pour cibler des hôpitaux, des marchés, des espaces publics, des bus transportant des enfants. Des experts de l’ONU parleront de possibles crimes de guerre commis à l’encontre des civils yéménites. Pour autant, ce conflit, n’a pas mis fin aux relations entre l’entreprise, la commune et l’État. La situation pose-t-elle un problème de conscience à Gérard Longuet ? « Je ne suis pas en mesure d’interdire la guerre dans le monde. Moi, j’ai envoyé, comme ministre de la Défense, l’armée française bombarder les troupes de Kadhafi, je ne porterai pas de jugement, mais on a quand même pris un marteau-pilon pour écraser quelques fourmis, explique-t-il. Je sais que des armes seront vendues et je préfère que des ouvriers français et belges puissent travailler. Quand la France vend des Rafale, en Inde, ce n’est pas pour le défilé du 14 Juillet local, c’est pour transformer les gens en charbon de bois ». L’argument de l’emploi, un grand classique mis en avant par les industriels, les acteurs locaux et ceux de l’État, pour justifier le commerce des armes.

      https://www.amnesty.fr/chronique
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Bernard_Serin


      #marchand_de_canons

  • Trump refuse de rebaptiser les #bases_militaires honorant des généraux sudistes

    Le président américain Donald Trump s’est dit mercredi catégoriquement opposé à l’idée de rebaptiser des bases militaires portant le nom de #généraux_sudistes, y voyant un manque de #respect pour les #soldats.

    Les tweets présidentiels interviennent au moment où les manifestations contre le racisme, consécutives à la mort de George Floyd sous le genou d’un policier blanc, ont relancé avec vigueur le débat sur le passé esclavagiste du pays.

    Ce n’est pas la première fois que Donald Trump se range de ce côté sur ce sujet sensible aux Etats-Unis où certains voient dans l’#hommage rendu aux #Sudistes, qui étaient favorables à l’esclavage, la célébration d’un passé raciste.

    A l’été 2017, il avait estimé que l’#histoire américaine était « mise en pièces » par le retrait de statues de personnages des Etats confédérés.

    Dix bases de l’armée de terre, toutes situées dans le sud du pays, portent le nom d’anciens #militaires_sudistes.

    Dans une série de tweets, le président américain a estimé que ces bases « légendaires » faisaient désormais partie du #patrimoine américain. Et martelé que son gouvernement n’étudierait « même pas » la possibilité de les renommer.

    « Respectez notre armée ! », a-t-il conclu.

    Mardi, le ministre de la Défense s’était de son côté dit, par la voix d’une porte-parole, « ouvert à une discussion sur le sujet ».

    Une statue de généraux sudistes est enlevée à Dallas (Texas) en septembre 2017

    Dans ses messages, le président américain cite en particulier #Fort_Bragg en #Caroline_du_Nord.

    Cette base, la plus grande du pays, porte le nom d’un ancien général de l’armée sécessionniste, #Braxton_Bragg, qui est surtout connu pour avoir perdu la grande #bataille_de_Chattanooga en 1863.

    Une base de #Géorgie honore #Henry_Benning, un général esclavagiste convaincu, qui avait plaidé pour la création d’une « #Slavocratie_sudiste ».

    Il existe aussi un #Fort_Lee, du nom du commandant en chef de l’armée sudiste #Robert_Lee, situé à une trentaine de kilomètres de #Richmond, capitale des Etats confédérés pendant la guerre.

    Le Pentagone avait déjà envisagé de renommer ces bases en 2015, après la fusillade de Charleston, en Caroline du Sud, où un jeune suprémaciste blanc avait tué neuf fidèles noirs dans une église. Mais l’armée de Terre avait finalement choisi de conserver les noms actuels.

    Preuve que ce débat récurrent est bien revenu au premier plan, la présidente de la Chambre des représentants Nancy Pelosi a appelé mercredi soir au retrait des 11 statues du Capitole représentant des soldats et des responsables confédérés.

    « Ces statues célèbrent la #haine, pas notre patrimoine », a-t-elle estimé.

    Défendant les tweets présidentiels, Kayleigh McEnany, porte-parole de la Maison Blanche, a estimé que changer le nom de ces bases serait insultant pour tous les soldats américains qui y ont été stationnés.

    Et argué qu’il s’agissait d’une pente glissante, évoquant par exemple le retrait temporaire du film « Autant en emporte le vent », de la plateforme de streaming HBO Max.

    Le long-métrage, qui présente une version romantique du Sud et une vision très édulcorée de l’#esclavage, est considéré par nombre d’universitaires comme l’instrument d’une forme de #révisionnisme_sudiste.

    « Jusqu’où faut-il aller ? », s’est-elle interrogée.

    « George Washington, Thomas Jefferson et James Madison doivent-ils être effacés de l’Histoire » ? a-t-elle poursuivi, dans une allusion au fait que ces présidents possédaient des esclaves.

    En 2017, M. Trump avait déjà tenu le même raisonnement pour défendre le maintien des statues de généraux sudistes.

    Mais la mise sur le même plan d’hommes qui ont joué un rôle central dans la création du pays et de ceux qui ont mené la « #sécession » contre celui-ci au nom de la défense de l’esclavage avait suscité de vives critiques.

    Près d’un siècle sépare la déclaration d’indépendance qui a fondé les Etats-Unis d’Amérique, le 4 juillet 1776, et la Guerre de Sécession.

    Cette dernière, qui a déchiré la nation de 1861 à 1865, a fait quelque 620.000 morts, soit un bilan bien plus lourd pour les Etats-Unis que les deux guerres mondiales réunies.

    https://www.courrierinternational.com/depeche/trump-refuse-de-rebaptiser-les-bases-militaires-honorant-des-
    #USA #Etats-Unis
    #toponymie #toponymie_politique

    ping @neotoponymie

  • U.S. warship heads to port after coronavirus outbreak - Reuters
    https://www.reuters.com/article/us-health-coronavirus-usa-navy-exclusive-idUSKCN2262CP


    FILE PHOTO: The U.S. Navy Arleigh Burke-class guided-missile destroyer USS Kidd receives fuel from the Military Sealift Command replenishment oiler USNS Guadalupe in the Pacific Ocean March 27, 2020.
    U.S. Navy/Mass Communication Specialist 3rd Class Brandie Nuzzi/Handout via REUTERS

    At least 18 sailors aboard a U.S. Navy destroyer have tested positive for the new coronavirus, U.S. officials said on Friday, dealing another blow to the military as it faces fallout over its handling of an outbreak on an aircraft carrier last month.

    The Navy confirmed a Reuters report on the outbreak aboard the Kidd, a destroyer that was on a counter-narcotics mission, and said the number of those infected with the virus on the vessel was expected to rise.

    In a statement, the Navy said a sailor who had become sick was medically evacuated off the ship and later tested positive for the virus, prompting further testing of the crew that led to the discovery of additional positive cases.

    A specialized medical team has been sent to the ship to carry out contact tracing and more onsite testing, it added.

    Pentagon confirms coronavirus outbreak on U.S. destroyer
    A Navy spokesman said the Kidd was currently operating in the Pacific.

  • Afghan refugees flee Iran over coronavirus fears- Middle East Eye
    Following the recently intensifying war of words between Tehran and Washington over the US deployment of Patriot air defence systems in Iraq, Iranian experts close to the government have warned about a possible confrontation between US forces and Iraqi armed groups supported by Iran.#Covid-19#Iran#USA#Conflit#militaires#Économie#sanction#migrant#migration#réfugiés#Afghan

    https://www.middleeasteye.net/news/iranian-press-review-afghan-refugees-flee-iran-over-coronavirus-fears

  • Les nouveaux déserteurs - CQFD, mensuel de critique et d’expérimentation sociales
    http://cqfd-journal.org/Les-nouveaux-deserteurs

    Pour Nolan, l’armée était « un rêve de gosse ». Les classes ? « J’ai kiffé. » Le désenchantement est venu plus tard, quelques mois après son affectation dans l’artillerie. « Pour te recruter, ils te vendent du rêve, des photos d’hélicoptère. Ils ne te disent pas que tu vas faire la boniche, passer ton temps à récurer l’escalier de la caserne avec les ongles pendant que tes chefs te disent que t’es qu’une merde. »

    Un jour, la petite amie de Nolan a été hospitalisée pour une grossesse extra-utérine. On ne l’a pas laissé aller la voir. Le soldat n’était pourtant pas en mission de l’autre côté du globe. Sa section était en France, en exercice, jouant simplement à « bouffer de la terre ». Puis Nolan s’est blessé au genou : « Les sous-offs me disaient que la douleur était dans ma tête ! » Dépité, fatigué de ses collègues « cassos » (« cas sociaux ») qui tuent l’ennui en picolant, Nolan finit par ne pas rentrer de permission. Il est signalé déserteur.

    Ce 17 février 2020, au tribunal de Marseille, Nolan attend son procès. En théorie, il risque trois ans de prison ferme. Pendant l’état d’urgence, assimilé à un temps de guerre, les déserteurs risquaient dix ans de cabane.

    Il n’existe plus, en France, de tribunaux militaires à proprement parler. À la place, il y a des chambres spécialisées, où des magistrats civils jugent les infractions commises par les bidasses dans l’exercice de leurs fonctions et les affaires strictement militaires. Cet après-midi-là à Marseille, sur huit affaires examinées, six concernent des désertions. Le quota habituel.

    #armée #militaires #justice

  • La #préparation_physique et mentale du #combattant : rencontre avec un membre des #forces_spéciales !

    La #Marine_nationale, l’Association des officiers de réserve de la Marine nationale Isère et l’#Université_Grenoble_Alpes vous invitent à une soirée-débat exceptionnelle avec un membre des forces spéciales.

    Membre des forces spéciales, actuellement en poste au #Centre_d'information_et_de_recrutement_des_forces_armées (#CIRFA) de Lyon, le #Maître_W sera à Grenoble #IAE sur le campus (plan d’accès) le mercredi 19 février 2020 pour une #soirée-débat sur la « Préparation physique & mentale du combattant » (#PPMC).

    La préparation physique et mentale du combattant
    A seulement 27 ans, Will a déjà parcouru plus de 30 pays, dont une bonne partie d’entre eux au cours d’opérations au sein de la Marine nationale. Ancien membre du pôle France de Judo, et après un bac S et une école d’ingénieur, il a intégré l’institution et a notamment travaillé sur Lorient au sein du Groupe anti-terrorisme. Parachutisme, plongée, secourisme, tir...
    Aujourd’hui il vient nous parler de performance et de préparation physique et mentale :

    Comment se prepare-t-on au #combat ?
    Quels sont les 3 piliers de la #performance ?
    Qu’est-ce que la PPMC ? Qu’est-ce qu’une #TOP ?
    Tous les #militaires sont-ils des #sportifs ?
    Quels sont les parallèles avec les #sportifs_de_haut_niveau ?
    Comment travaille-t-on la #résilience et la #résistance_psychologique ?
    Où et comment se font ces #formations ?

    #Entraînement, #phsychologie_adaptive, méthodologies, #outils_mentaux... Autant de questions auxquelles nous essayerons d’apporter des réponses lors de cette soirée-débat.
    Des moments d’échange sont prévus, n’hésitez pas à venir avec vos questions !
    Programme et inscription à la soirée-débat

    Accueil et afterwork à partir de 18h00 et jusqu’à 18h30
    Conférence et échanges de 18h30 à 20h
    Cocktail convivial de 20h à 20h30

    Pour vous inscrire (entrée libre dans la limite des places disponibles), rendez-vous sur la page :
    https://www.weezevent.com/preparation-physique-et-mentale

    https://www.univ-grenoble-alpes.fr/actualites/agenda/agenda-sport/la-preparation-physique-et-mentale-du-combattant-rencontre-avec-

    #complexe_universitaro-militaro-industriel

    –—

    voir à propos du complexe universitaro-militaro-industriel l’article :
    Grenoble, l’université (dés)intégrée. Un enquête sur le #complexe_universitaro-militaro-industriel grenoblois
    https://seenthis.net/messages/697249

  • Jérusalem (Israël-Palestine) : #émeutes du logement le vendredi 26 juillet
    https://fr.squat.net/2019/08/03/jerusalem-israel-palestine-emeutes-du-logement-le-vendredi-26-juillet

    Vendredi 26 juillet 2019, dans le quartier Wadi al-Hummus de Jérusalem-Est, des dizaines de Palestinien·ne·s ont participé aux mobilisations hebdomadaires du vendredi, cette fois pour protester en particulier contre les démolitions de logements qui ont lieu de façon intensive ces dernières semaines à Jérusalem-Est, généralement près du « mur de l’apartheid ». Des affrontements ont éclaté entre […]

    #Vidéos #militaires #Moyen-Orient #Palestine/Israël

  • Jérusalem (Israël-Palestine) : opération de démolition de maisons palestiniennes
    https://fr.squat.net/2019/07/23/jerusalem-israel-palestine-operation-de-demolition-de-maisons-palestinienn

    L’armée israëlienne a commencé lundi 21 juillet à démolir des logements de Palestinien·ne·s que le pouvoir israëlien juge illégaux au sud de Jérusalem, dans le quartier de Sour Baher, à proximité du « mur de l’apartheid » censé séparer l’État israëlien de la Cisjordanie occupée (Jérusalem étant censée être une zone internationale « neutre »). Plus d’une dizaine d’immeubles […]

    #expulsion #militaires #Moyen-Orient #Palestine/Israël