• L’Autre Marx. Pourquoi le Manifeste du parti communiste est obsolète, par Norbert Trenkle
    http://www.palim-psao.fr/2020/03/l-autre-marx.pourquoi-le-manifeste-du-parti-communiste-est-obsolete-par-n

    Au moins depuis la crise financière de 2008, Karl Marx a de nouveau été considéré, à juste titre, comme très pertinent. Ses nouveaux et anciens partisans, se sont cependant concentrés sur cette partie de sa théorie qui était obsolète depuis longtemps : la théorie de la lutte de classe entre la bourgeoisie et le prolétariat. En revanche, l’« Autre Marx », celui qui a critiqué le capitalisme en tant que société fondée sur la production marchande générale, le travail abstrait et l’accumulation de valeur, n’a guère retenu l’attention. Mais c’est précisément cette partie de la théorie de Marx qui nous permet d’analyser convenablement la situation actuelle du système capitaliste mondial et son processus de crise. La théorie de la lutte des classes, en revanche, ne contribue absolument en rien à notre compréhension de ce qui se passe actuellement, et n’est pas non plus en mesure de formuler une nouvelle perspective d’émancipation sociale. Pour cette raison, nous devons affirmer que le Manifeste du Parti communiste est aujourd’hui obsolète et n’a plus qu’une valeur historique.

    #Nobert_Trenkle #Marx #classe #sujet_révolutionnaire #critique_de_la_valeur #wertkritik #capitalisme #travail

    • #Überbau Les positions de Krisis sont le résultat d’un élognement des théoriciens du terrain des luttes de classe et d’une erreur dans leur interprétation de la valeur du travail En plus ce qu’ils reprochent à la gauche marxiste traditionelle est simplement faux.
      A mon avis on doit qualifier la production intellectuelle de cette tendance comme du #mindfuck ou, pardon, onanisme intellectuel.

    • argument irrecevable qui ne sert que pour ceux avec qui on n’est pas d’accord tout en mettant régulièrement en avant des gens parfaitement « théoriciens » quand eux vont dans notre sens… + le fait qu’une partie de Krisis/Exit a toujours refusé de parvenir et d’être théoricien d’université, et a gardé un boulot de prolo, en faisant le boulot théorique de manière totalement indépendante…

      la critique de la valeur et du travail est clairement celle qui explique le mieux l’état actuel du capitalisme, en laissant les éléments qui étaient propres à une époque (et parfaitement valables à cette époque) et en ne gardant que ce qui continue d’être valable quelques soient les différentes transformations du capitalisme « avec Marx, au-delà de Marx »

    • La supposée « critique de la valeur » est tout à fait en deçà de Marx, comme l’ont été et le sont, de très nombreux marxistes.

      Pour le « au delà de Marx », on a des exemples, des bricolages, des tentatives, bien moins fermées que ces justifications qui se justifient (la « critique de la valeur est lourdement pédago, voilà qui la fait ressembler aux marxistes) j’en signalais une hier
      https://seenthis.net/messages/848423

      il y en a d’autres ici, dont #Mario_Tronti
      https://seenthis.net/messages/476291
      dont Bernard Aspe
      https://seenthis.net/messages/640521

      Et, quand même ! rendons à Toni Negri, ce qui lui revient, puisque l’on parle d’un Marx au-delà de Marx (même si la note de lettre est pas sensass du tout)
      https://www.monde-diplomatique.fr/1980/09/GAUDEMAR/35726

      lui qui après d’autres prenait Marx par le milieu (les Grundrisses ), avant l’acmé du biais scientiste, plutôt que de faire de l’économicisme à partir de lectures du Capital (comme les patrons), ou de la philo en piochant dans les Manuscrits de 1844 (ce qui est la tradition française qui se veut de gauche c’est à dire non stalinienne, anti léniniste : Rubel, etc.
      Pas besoin d’être en chaire pour céder à la pensée spéculative (comme il faut bien qu’il se passe quelque chose on présente une une bataille entre concepts, plutôt que les phénomènes de conflictualité, de refus, et de fuite depuis lesquelles forger des concepts...) sans aucun niveau d’#enquête, de confrontation avec des choses, les rapport sociaux, etc.

      Bien sûr que le Manifeste est » obsolète " (surtout pour les mangeurs de mac do qui sont foutus deux minutes après leur sortie de cuisine. Tellement daté même qu’il précède le passage de la survaleur absolue à la plus value relative. C’est un texte d’intervention politique, un genre que la critique de la valeur ne peut que rabaisser pour mieux se pousser du col de « la théorie » ! Mais si nos théoriciens s’y penchait un peu, ils y liraient que le capitalisme est contraint de se révolutionner, est révolutionnaire. Ce qui devrait nous intéresser nous qui vivons sou une révolution capitaliste permanente.

    • la théorie comme repoussoir à bon compte… comme si juste décrire le monde et les luttes sectorielles d’un instant donné suffisant à comprendre ce qui s’est passé et ce qui se passe… alors aussi que les soi-disant descriptions « prolétaires » sont tout à fait issues de théories aussi, souvent de théories simplifiés, réappropriés, ou d’autres fois inversement de tentatives théories à partir d’un réel donné, mais qui finalement n’est que propre à une époque précise… bref partout il y a de la théorie, ça n’a aucun sens tout ça… Mais en parallèle on doit utiliser telle théorie en la confrontant à un constat du monde d’une époque donnée, et voir si elle colle, si elle explique des choses. Beaucoup de théories donnaient l’impression d’expliquer les choses à une époque, et justement parce que le capitalisme se révolutionne, en fait on s’aperçoit que cette théorie ne colle plus du tout à l’époque suivante… tandis que d’autres théories durent plus longtemps et continuent d’expliquer des phénomènes à plusieurs moments différents du capitalisme. La critique de la valeur n’a jamais fait que de la théorie, à chaque décennies il y eu à chaque fois en parallèle des textes d’application à des événements du moment, pour les regarder au prisme de leurs théories… et ça colle bien plus souvent à la réalité que du Negri…

      il y a à être pédago tout simplement parce que le capitalisme n’est absolument pas une chose simple, avec des gentils et des méchants, que c’est une manière de vivre extrêmement complexe, qui inclus désormais à peu près tout le monde, y compris celleux qui en crèvent. Ce n’est pas non plus que de l’économie à comprendre, c’est un fait social total, une manière complète de vivre justement, et la critique de la valeur a bien bien plus à voir avec l’anthropologie et la philosophie politique qu’avec un économisme (vu que justement c’est une critique de l’économie et non pas une utilisation de l’économie pour comprendre le monde)

      l’opéraisme au delà de Marx oui, tellement au delà que plus du tout « avec », un paléo-léninisme comme disait Jappe et Kurz dans « Les habits neufs de l’Empire » :D

  • Nach Kalifornien: Uber-Fahrer auch in Frankreich Angestellte
    https://www.taxi-times.com/nach-kalifornien-uber-fahrer-auch-in-frankreich-angestellte

    Im Lichte des Kommentar der Taxi Times zeit sich die eigentliche Bedeutung des letzten höchstrichterlichen Uber-Urteils in Frankreich:

    – Uber wird das Urteil weitgehend ignorieren und seine „Partner“ zum Unterzeichnen geänderter Knebelverträge zwingen.
    – Für die beschäftigten anderer Gig-Ökonomie-Branchen kann das Urteil hingegen deutlich positive Auswirkungen haben.
    – Die im Vergleich zu Deutschland bessere Position der französischen und vor allem Pariser Taxifahrer ist das Ergebnis lang andauernder und teilweise historischer Kämpfe.

    Die Macron-Regierung versucht heute mit Deutschland gleichzuziehen und alle sozialen Errungenschaften und öffentlichen Dienstleistungen im Namen des Marktes abzuschaffen oder zu privatisieren. Der Kampf dagegen wird von gut der Hälfte aller Franzosen geführt oder unterstützt. Das ist anders als in Deutschland, wo seit der Regierung Helmut Schmidt der arbeitenden Bevölkerung und ihren gewerkschaftlichen Vetretungen schrittweise verdaubare Opfer aufgezwungen wurden, deren Summe heute die katastrophalen Auswirkungen zeitigt, wo es um die Abwehr der neofaschistischen Marktradikalen aus den USA geht.

    5. März 2020 von Wim Faber - Mit dieser Entscheidung können die Fahrer eine Neueinstufung ihrer Arbeitsbeziehung zu Uber beantragen. Uber zahlt im Moment keine Steuern, die das französische Sozialsystem finanzieren. „Das Urteil spiegelt nicht die Gründe wider, warum sich Fahrer für Uber entscheiden: die Unabhängigkeit und die Freiheit zu arbeiten, wenn, wann und wo sie wollen“, sagte Uber in einer schriftlichen Erklärung. „In den letzten zwei Jahren haben wir viele Änderungen vorgenommen, um den Fahrern neben einem stärkeren sozialen Schutz noch mehr Kontrolle darüber zu geben, wie sie Uber nutzen“, fügte das Unternehmen hinzu und stellte fest, dass der Gerichtsentscheid nicht zu einer automatischen Neueinstufung der Fahrer führen würde.

    Eben dieser Entscheid könnte auch Auswirkungen auf Frankreichs ‘Gig Economy’ (beispielsweise Uber Eats, Deliveroo, Just Eat-Takeaway) haben. Deren Apps für die Durchführung der Dienstleistungen sehr stark von ‚selbständigen‘ Fahrern abhängig sind. Sie führen ihre Geschäfte, ohne sich an den Sozialabgaben ihrer Partner zu beteiligen und liefern deswegen auch keinen echten Mehrwert für die Gesellschaft.

    Die Entscheidung folgt auf eine Reihe von rechtlichen ‚Herausforderung#Frankreich #Justiz #Urteil #Uber #Arbeitsrecht #Mindestlohn #SMICen‘ für Uber und ähnliche Unternehmen von Brasilien bis Kolumbien und den Vereinigten Staaten. In Kalifornien, wo Uber seinen Sitz hat (San Francisco), wurde kürzlich ein Gesetz (AB5) verabschiedet, dass es den Gig-Unternehmen erschwert, ihre Mitarbeiter als unabhängige Auftragnehmer anstatt als Mitarbeiter einzustufen.

    #Frankreich #Justiz #Urteil #Uber #Arbeitsrecht #Mindestlohn #SMIC

  • Communiqué de presse - la Cour de cassation a décidé de requalifier en contrat de travail la relation contractuelle entre la société Uber et un chauffeur.
    https://www.courdecassation.fr/jurisprudence_2/communiques_presse_8004/prestation_chauffeur_9665/press_release_44526.html

    Gute Nachrichten aus Frankreich ? Nicht so ganz, weil schon feststeht, was der Uber-Konzern mit Unterstützung der macronistischen Liberalen als Nächstes tun wird, um den „Taximarkt“ zu erobern.

    In Deutschland hat Uber bereits eine Lösung für das Problem Scheinselbständigkeit gefunden. Hierzulande werden sociétés d’écran eingesetzt, welche pro forma die Autos und Fahrer beschaffen, mit denen Uber seine Dienste anbietet. Damit ist die Bombe der #Scheinselbständigkeit entschärft, und die Gegenwehr der Taxiunternehmen auf die Frage der #Rückkehrpflicht zum Standort des Mietwagenunternehmens begrenzt worden. In wieweit die Safedriver und anderen Mietwagenausbeuter von Uber finanziert und gesteuert werden oder vielleicht wirklich selbständig tätige Fahrdienste sind, kann hier nicht geklärt werden.

    Sicher jedoch ist, dass alle Fahrdienste menschliche Chauffeure benötigen und das Gerede von autonomen Taxis nicht der Realität in der individuellen Personenbeförderung entspricht. Das wird für mindestens 10 bis 20 Jahre auch so bleiben, so dass Fahrerlöhne für Taxi- und Mietwagenbetriebe heute und in Zukunft den größten Kostenfaktor darstellen.

    Wie konnte es also gelingen, dem Taxigewerbe, das sich bei Einführung des deutschen gesetzlichen MIndestlohns am 1. Januar 2015 ausserstande sah, Löhne in gesetzlich vorgeschriebener Höhe zu zahlen, einen ansatzweise rentabel wirtschaftenden Konkurrenten entgegenzusetzen?

    Durch massives Lobbying gelang es Uber und seinen Verbündeten durchzusetzen, dass im Juli 2017 die #Ortskundeprüfung für Mietwagenfahrer abgeschafft wurde. Damit eröffnete sich den Mietwagenbetreibern ein riesiges Reservoir an armen, mit ihren Rechten nicht vertrauten Arbeitskräften, die daran gewohnt waren jeden Lohn zu akzeptieren und unter den unerträglichsten Bedingungen zu arbeiten. Kriege und Zerstörung ganzer Volkswirtschaften hatten hunderttausende junger Männer nach Deutschland getrieben, die nun von Uber als Arbeitsarmee im Krieg gegen Mindestlohn und soziale Absicherung ins Feld geschickt werden konnten.

    Aufgrund der Abwesenheit jeglicher Erfassung von Arbeitszeiten oder Fahrstrecken in den Mietwagen können die Betreiber ihre Fahrer gnadenlos ausbeuten. Es genügt zu wissen, dass die Betriebskosten eines Taxis und eines Mietwagens so gut wie identisch sind, um zu verstehen, dass die von Uber einbehaltenen 30 Prozent Vermittlungsgebühr nur aus dem Fahrerlohn abgezweigt werden können. Wenn man weiterhin davon ausgeht, dass bei Uber die selbe Fahrtstrecke 20 Prozent billiger als mit dem Taxi ist, muss man diese Differenz ebenfalls vom Fahrerlohn abziehen.

    So sieht die Rechnung für Unternehmer und Fahrer aus:

    Taxi

    € 120,00 Umsatz (gleiche Strecke 20% teurer)
    € 8,40 Umsatzsteuer (7%)
    € 48,00 Fahrzeugkosten usw. (40%)
    € 9,60 Gewinn (8%)
    € 54,00 Fahrerlohn (45 %)

    Uber-Mietwagen

    € 100,00 Umsatz
    € 19,00 Umsatzsteuer (19%)
    € 40,00 Fahrzeugkosten usw. (40%)
    € 30,00 Uber-Provision (30%)
    € 8,00 Gewinn (8%)
    € 3,00 Fahrerlohn (3%)

    Die Rechnung ist nicht exakt, weil weder schwankende Benzinpreise noch der Umsatzsteuer-Vorabzug einbezogen sind. Sie sollte jedoch klar zeigen, dass ein Uber-Fahrer mit der gleichen Arbeit erheblich weniger als ein Taxifahrer verdient. Vielleicht ist der Unterschied nicht ganz so groß wie in der Beispielrechnung, jedoch wären schon 30% bis 50% des Taxifahrereinkommens für Uber-Chauffeure hoch geschätzt.

    Wir wissen, dass es Taxiunternehmen mit Mühe gelingt, den gesetzlichen Mindestlohn zu zahlen. In Anbetracht dieser Zahlen dürfte kein Mietwagenunternehmen, das hauptsächlich für Uber fährt, eine gründliche Betriebsprüfung überstehen. Wir müssen deshalb davon ausgehen, dass die Angabe falscher Arbeitszeiten bei Mietwagen noch verbreiteter ist als bei Taxiunternehmen. In Wirklichkeit wird viel länger gearbeit, als die Lohnabrechnungen ausweisen.

    Wir müssen auch davon ausgehen, dass Uber seine lokalen Partner subventioniert, und die Fahrpreise im Grunde illegales Dumping darstellen. Dagegen ist seit Wegfall des deutschen Rabattgesetzes jedoch kaum ein Kraut gewachsen.

    Im Ergebnis sind die Einnahmen der Berliner Taxiunternehmen sind seit Abschaffung der Ortskundeprüfung für Mietwagenfahrer um 30 bis 50 Prozent gefallen. Die Zahl der in Berlin zugelassenen Taxis hat zwischen Dezember 2019 und März 2020 um etwa 300 abgenommen, weil die Betreiber ihre Rechnungen nicht mehr bezahlen konnten.

    Die Schlacht hat in Frankreich noch nicht richtig begonnen.

    La Cour de cassation a décidé de requalifier en contrat de travail la relation contractuelle entre la société Uber et un chauffeur. En effet, lors de la connexion à la plateforme numérique Uber, il existe un lien de subordination entre le chauffeur et la société. Dès lors, le chauffeur ne réalise pas sa prestation en qualité de travailleur indépendant mais en qualité de salarié.

    Faits et procédure

    La société Uber met en relation, via une plateforme numérique, des chauffeurs VTC et des clients.
    Une fois son compte clôturé par Uber, un de ces chauffeurs a demandé à la justice prud’homale de requalifier la relation contractuelle avec cette société en contrat de travail.
    La cour d’appel a fait droit à sa demande.

    La question posée à la Cour de cassation

    Lorsqu’il réalise une prestation pour Uber, un chauffeur, inscrit au registre des métiers comme travailleur indépendant, est-il lié par un lien de subordination avec cette société, situation de nature à justifier la requalification de la relation contractuelle en contrat de travail ?

    La réponse de la Cour de cassation

    Les critères du travail indépendant tiennent notamment à la possibilité de se constituer sa propre clientèle, la liberté de fixer ses tarifs et la liberté de définir les conditions d’exécution de sa prestation de service.

    A l’inverse, dans le cadre d’un contrat de travail, le lien de subordination repose sur le pouvoir de l’employeur de donner des instructions, d’en contrôler l’exécution et de sanctionner le non-respect des instructions données.

    Le chauffeur qui a recours à l’application Uber ne se constitue pas sa propre clientèle, ne fixe pas librement ses tarifs et ne détermine pas les conditions d’exécution de sa prestation de transport. L’itinéraire lui est imposé par la société et, s’il ne le suit pas, des corrections tarifaires sont appliquées. La destination n’est pas connue du chauffeur, révélant ainsi qu’il ne peut choisir librement la course qui lui convient.
    Par ailleurs, à partir de trois refus de courses, la société Uber peut déconnecter temporairement le chauffeur de son application. En cas de dépassement d’un taux d’annulation de commandes ou de signalements de « comportements problématiques », le chauffeur peut perdre l’accès à son compte.
    Enfin, le chauffeur participe à un service organisé de transport dont la société Uber définit unilatéralement les conditions d’exercice.

    Ainsi, l’ensemble de ces éléments caractérise l’existence d’un lien de subordination entre le chauffeur et la société Uber lors de la connexion à la plateforme numérique, son statut d’indépendant n’étant que fictif.
    Le fait que le chauffeur n’ait pas l’obligation de se connecter à la plateforme et que cette absence de connexion, quelle qu’en soit la durée, ne l’expose à aucune sanction, n’entre pas en compte dans la caractérisation du lien de subordination.

    Arrêt n°374 du 4 mars 2020 (19-13.316) - Cour de cassation - Chambre sociale - ECLI:FR:CCAS:2020:SO00374 | Cour de cassation
    https://www.courdecassation.fr/jurisprudence_2/chambre_sociale_576/374_4_44522.html

    Résumé
    Le lien de subordination est caractérisé par l’exécution d’un travail sous l’autorité d’un employeur qui a le pouvoir de donner des ordres et des directives, d’en contrôler l’exécution et de sanctionner les manquements de son subordonné. Peut constituer un indice de subordination le travail au sein d’un service organisé lorsque l’employeur en détermine unilatéralement les conditions d’exécution.

    Justifie légalement sa décision une cour d’appel qui, pour qualifier de contrat de travail la relation entre un chauffeur VTC et la société utilisant une plate-forme numérique et une application afin de mettre en relation des clients et des chauffeurs exerçant sous le statut de travailleur indépendant, retient :

    1°) que ce chauffeur a intégré un service de prestation de transport créé et entièrement organisé par cette société, service qui n’existe que grâce à cette plate-forme, à travers l’utilisation duquel il ne constitue aucune clientèle propre, ne fixe pas librement ses tarifs ni les conditions d’exercice de sa prestation de transport,

    2°) que le chauffeur se voit imposer un itinéraire particulier dont il n’a pas le libre choix et pour lequel des corrections tarifaires sont appliquées si le chauffeur ne suit pas cet itinéraire,

    3°) que la destination finale de la course n’est parfois pas connue du chauffeur, lequel ne peut réellement choisir librement, comme le ferait un chauffeur indépendant, la course qui lui convient ou non,

    4°) que la société a la faculté de déconnecter temporairement le chauffeur de son application à partir de trois refus de courses et que le chauffeur peut perdre l’accès à son compte en cas de dépassement d’un taux d’annulation de commandes ou de signalements de « comportements problématiques », et déduit de l’ensemble de ces éléments l’exécution d’un travail sous l’autorité d’un employeur qui a le pouvoir de donner des ordres et des directives, d’en contrôler l’exécution et de sanctionner les manquements et que, dès lors, le statut de travailleur indépendant du chauffeur était fictif.

    Mindestlohngesetz
    https://de.wikipedia.org/wiki/Mindestlohngesetz_(Deutschland)

    Ortskundeprüfung – Wikipedia
    https://de.wikipedia.org/wiki/Ortskundepr%C3%BCfung

    Der Bundesrat hat in seiner Sitzung am 7. Juli 2017 der Abschaffung der Ortskundeprüfung für Krankenwagen- und Mietwagenfahrer in Orten mit mehr als 50.000 Einwohnern zugestimmt. Bisher musste diese Prüfung auch bei Betriebssitzgemeinden mit einer Größe von mehr als 50.000 Einwohnern beim Führerschein zur Fahrgastbeförderung mit Mietwagen oder Krankenwagen abgelegt werden.

    Ortskundewegfall für Mietwagen im Bundesrat beschlossen
    https://www.taxi-times.com/ortskundewegfall-fuer-mietwagen-im-bundesrat-beschlossen

    Der aus Sicht des Taxigewerbes zweifelhafte Beschluss ist Teil der „Zwölften Verordnung zur Änderung der Fahrerlaubnis-Verordnung (FEV) und anderer straßenverkehrsrechtlicher Vorschriften“. In ihm wurde das festgehalten, was eine Expertengruppe „Fahrerlaubniswesen“ innerhalb des Bund-Länder-Fachausschusses ausgearbeitet hatte.

    Im Punkt 5 der 12. Verordnung wird eine Änderung des § 48 FEV bestimmt. Demnach wird dort folgender Nebensatz gestrichen: „oder – falls die Erlaubnis für Mietwagen oder Krankenkraftwagen gelten soll – die erforderlichen Ortskenntnisse am Ort des Betriebssitzes besitzt; dies gilt nicht, wenn der Ort des Betriebssitzes weniger als 50 000 Einwohner hat“.
    ...
    Der mit dieser Änderung verbundene künftige Wegfall der Ortskundeprüfung für Kranken- und Mietwagenfahrer wird von der Taxibranche seit Wochen heftig kritisiert, ebenso eine Empfehlung der Bayerischen Staatsregierung an die Führerscheinstellen, „im Vorgriff auf die zu erwartende Gesetzesänderung“ bereits jetzt auf die Ortskundeprüfung für Krankenwagen und Mietwagen zu verzichten.

    Da man aber seitens des Taxi- und Mietwagenverbands BZP von dieser Entwicklung überrascht wurde und selbst erst vor wenigen Wochen von den Änderungsplänen erfahren hatte, war die Zeit für eine wirksame Lobbyarbeit offenbar zu kurz.

    #Frankreich #Justiz #Urteil #Uber #Arbeitsrecht #Mindestlohn #SMIC

  • 15. September 2014 ver.di – Taxigewerbe: Tarifverhandlungen zu Mindestlohn gescheitert
    https://www.verdi.de/themen/nachrichten/++co++1663c046-3cc1-11e4-aeaa-5254008a33df

    Weniger als 8,50 Euro pro Stunde für Taxifahrer festschreiben? Nicht mit ver.di. Die Verhandlungen über einen Mindestlohntarifvertrag im deutschen Taxigewerbe sind gescheitert. Das hat die zuständige Tarifkommission von ver.di am Wochenende beschlossen. „Die Arbeitgeber wollten schlechte Arbeitsbedingungen tarifvertraglich festschreiben und gleichzeitig an Löhnen deutlich unter 8,50 Euro pro Stunde festhalten. Das lehnen wir ab. Mit uns gibt es nur klare, nachvollziehbare Regelungen, die Verbesserungen für die Beschäftigtenin der Branche bringen", stellte ver.di-Bundesvorstandsmitglied Christine Behle klar.

    „Unser Ziel war es, eine bislang völlig unzureichend geregelte Branche erstmalig bundesweit einheitlich zu tarifieren und den Beschäftigten verlässliche Löhne und Arbeitsbedingungen zu sichern“, sagte Behle: „Das ist an der Blockadehaltung der Arbeitgeberseite gescheitert.“ Sie seien darauf fixiert gewesen, deutlich niedrigere Stundenlöhne als die ab 1. Januar 2015 gesetzlich geltende Vergütung in Höhe von 8,50 Euro zu vereinbaren. Gleichzeitig hätten sie aber jegliche kostenwirksame Verbesserung bei den Arbeitsbedingungen abgelehnt. Demnach wollten die Taxi-Unternehmen bei Schichtlängen von zwölf Stunden mehr als 40-Wochenstunden ebenso festschreiben wie eine Sechs-Tage-Arbeitswoche. Als Einstieg in den Mindestlohn hätten ihnen 6,80 Euro je Stunde vorgeschwebt. „Dabei wollten sich die Arbeitgeber jegliche Erhöhungen durch Absenkungen an anderer Stelle von den Arbeitnehmern bezahlen lassen“, kritisierte Behle.

    Mit dem Taxi ins Prekariat

    Zudem hatte ver.di gefordert, dass eine individuelle Arbeitszeitdokumentation der Fahrer verbindlich vorgeschrieben werden muss. Dies sollte über geeignete Taxameter geschehen. Auch das hatten die Arbeitgeber aus Kostengründen abgelehnt. Ein verbindlicher Arbeitszeitnachweis sei für die Beschäftigten unverzichtbar, erklärte Behle weiter. Die Verweigerungshaltung der Arbeitgeber sei vor dem Hintergrund der gesetzlichen Regelungen im kommenden Jahr völlig unverständlich: Mit dem Mindestlohngesetz werde die Arbeitszeiterfassung ohnehin zur Pflicht.

    Ohne Tarifvertrag gilt für angestellte Taxifahrer künftig der gesetzliche Mindestlohn von 8,50 Euro je Stunde. ver.di bietet allen angestellten Gewerkschaftsmitgliedern an, sie bei der Durchsetzung ihres Anspruchs auf den gesetzlichen Mindestlohn zu unterstützen.

    #Taxi #Gewerkschaft #Tarifverhandlungen #Mindestlohn

  • Le 20 décembre 2019, je reçois, par mail, ce message de "pub" d’une formation qui nous est proposée dans notre #université (#Université_Grenoble_Alpes) :

    L’#UGA nous informe de la mise en place à la formation #communication_assertive et bienveillante dans les relations professionnelles .

    Deux sessions au choix sont ouvertes :

    Soit les 29 & 30 juin 2020
    soit les 03 & 04 décembre 2020

    La date limite d’inscription est : j - 15 avant la date de la formation

    La formation est placée sous le thème " #efficacité professionnelle ".

    Objectifs de la formation :

    A l’issue de la formation, les participants seront capables de :

    – Décoder leur comportement et celui des autres dans les relations professionnelles

    – Communiquer avec #tact et #diplomatie

    – Etablir des #attitudes_positives au quotidien

    – Développer des relations professionnelles harmonieuses et efficaces

    Programme :

    1. Prendre conscience de son comportement

    – Identifier les raisons de ne pas de comprendre

    – Comprendre l’image que l’on renvoie à ses interlocuteurs

    – Prendre conscience de l’image de sa communication écrite

    – Identifier son comportement dans les situations relationnelles

    2. Savoir dialoguer avec tact et souplesse

    – Pratiquer l’écoute active et savoir utiliser les 5 types de questions

    – Utiliser les 3 techniques de reformulation

    – Améliorer sa communication non verbale

    – Etre congruent entre son langage verbal et non-verbal

    – Ajuster sa communication à son interlocuteur

    – Choisir son vocabulaire pour communiquer avec précision et tact à l’écrit

    3. Savoir soutenir une position claire et diplomate

    – Etre assertif : utiliser la méthode DESC

    – Exprimer son avis sans juger l’autre

    – Formuler des critiques constructives

    – Faire face aux critiques

    – Formuler un refus sans provoquer de tension

    – Faire et accepter des compliments dans le monde professionnel

    Durée : 2 jours

    Public : Toute personne souhaitant optimiser sa communication afin d’améliorer ses relations professionnelles

    –--------

    Sur ce, je réponds à une collègue, en colère :

    Plus de moyens, moins de compétition, moins de darwinisme social résoudrait la moitié des problèmes sans formations à la communication bienveillante !

    –-> je fais évidemment allusion aux propos tenus par #Antoine_Petit (à la tête du #CNRS) qui a appelé à une loi « darwinienne » pour le financement de la #recherche. « Une loi ambitieuse, inégalitaire — oui, inégalitaire, une loi vertueuse et darwinienne, qui encourage les scientifiques, équipes, laboratoires, établissements les plus performants à l’échelle internationale, une loi qui mobilise les énergies. »
    https://seenthis.net/messages/815560

    #formation #bienveillance #communication_bienveillante #travail #relations_professionnelles #inégalités #performance #compétition #attitude_positive #harmonie #hypocrisie #image #tact #souplesse #écoute_active #techniques_de_reformulation #communication #communication_non_verbale #langage_verbal #langage_non-verbal #vocabulaire #méthode_DESC #critiques_constructives

    • Et parallèlement à l’#Université d’#Amsterdam... la week of #work_stress !

      Message from the works council

      Dear all,

      The week of 11th of November is the week of work stress. It is the week where the university brings out its petting puppies, makes you bikeblend your smoothie, and has you beat a few djembe tunes to let go of your #stress. Some might argue that it is a nice gesture of the employer, but we of the FNV in the OR find it a slap in the face of the employee. It adds insult to injury.

      This waste of money again shows that the faculty is not taking work pressure seriously. We said it last year, and we said it again this year: “stop monkeying around and actually deal with the causes of work pressure”. Work pressure is not that difficult. There are either too many tasks for the number of people, or there are not enough people for the number of tasks. So the answers are also simple. If an organization is financially healthy, you hire more people. If the organization is financially unhealthy, you are stuck with reducing the tasks. There is no rocket science involved.

      Yet as you can see in this week of work stress, the faculty seems keen to responsiblize the individual for the work pressure he or she is experiencing. This leads to offers such as #time_management (we just received an email that there are two spots still available), #yoga, and #mindfulness. But these are just bandaids ("lapjes voor het bloeden" as the Dutch expression goes) that obscure the structural faults of the system. There are too many administration processes. There is too much institutional distrust that you are not doing your work correctly leading to for instance to ’#jaargesprekken' being moments where you defend yourself instead of discussing how you would like to grow as a professional. There are criteria for promotion that seem to change during the process. We have to accept budget cuts in our teaching programme while at the same time the faculty wants to start new programmes that make new claims on budget and staff.

      Recently, our support staff at EOSS was confronted with a report that was framed as research about the high work pressure they are experiencing. Yet it actually placed all the blame at the staff of EOSS and suggested their so-called inefficient work and non-conformance to instructions from management was the cause of their work pressure. Another signal that work pressure is not taking seriously by management and the individual employee is again responsibilized for his or her work’ stress’. The Works Council will keep pushing the Faculty and the UvA to make meaningful structural changes that address work pressure instead of blaming the victim. Namaste.

      XXXX (FNV Works Council Representative)

      Reçu via email d’une amie/collègue qui y travaille...

    • Et petit exemple d’#Angleterre (#UK):

      Universities have driven their workers into the ground. That’s why I’m striking

      Our eight days of action are in response to a marketised sector that has prioritised profit over the welfare of staff and students.

      Workers in higher education across the UK are on strike. One of the reasons we are striking is because of the poor conditions we face today – which were, in large part, decided by the 2010 election.

      Nearly a decade ago, the Tory and Lib Dem coalition government conspired to transform higher education, unleashing the forces of marketisation. The physical and emotional landscape of the university has fundamentally changed in the intervening years. The devastation wrought cannot be overstated. Contrary to justifications for reform by Tories and Lib Dems, the contemporary university is not sustainable, and reforms have reduced standards and entrenched inequality.

      In public discussion of the – shameful – tripling of student fees and mounting student debt, the changes to university funding that this brought about are often neglected. The 2010 coalition government replaced the old system of block grants with money paid per student per course, and lifted the cap on the number of student places available. Now, universities compete for funding by competing for students, with each other, and between their own departments.

      Most remarkably, this was done in the name of improving standards. It has left its scars on the physical landscape of universities, no longer able to fit in the number of students they have enrolled, and the springing up of new buildings, luxury accommodation and gyms all designed to attract prospective students. If the modern university has a soundtrack, it would be constant drilling for the construction of new, shiny buildings, temples to “student satisfaction”.

      Marketisation does not mean the immediate insertion of the profit motive into previously public goods. It means, at least in the first instance, making those public goods profitable. Students are in more and more debt, workers are paid less and less, while private companies and developers are given access to a potentially lucrative market.

      What does this mean for workers in higher education? They face a proliferation of perverse incentives: instead of research and teaching, lecturers are expected to take part in a perpetual recruitment drive. Instead of supporting students emotionally and academically, staff in student services, often facing cuts and “restructures”, are expected to act as the vanguard of “employability”.

      With more students, permanent staff are expected to take on more and more work. Temporary staff are expected to paper over structural gaps, providing a “flexible” workforce who are hired and fired in response to fluctuations in student numbers. Research shows that part-time staff and those on hourly rates are only paid for 55% of their work. Staff in general work, on average, the equivalent of two days unpaid per week. Given these low wages, many temporary staff are effectively paid less than the minimum wage.

      The expectations placed on staff cannot be met. It is not possible to produce the kind of work expected in the amount of time we are paid to do it. New methods of evaluation and student metrics create even more work, and overlook the key fact that asking students if they enjoyed a course reveals very little about whether that course was well-taught. Student services are stretched to breaking point, and instead of releasing the tension by, for example, increasing funding, services are instead outsourced, with trained counsellors replaced by generic “advisers” and, even, apps.

      When we say that the expectations on staff cannot be met, we mean that it is not possible to live under these conditions. There is nothing else left to squeeze. The doctrines of flexibility and precarity are in no way specific to higher education. They are paradigmatic of contemporary working practices. This means the struggle against precarity is not just a struggle for better conditions for academic workers – it is the insistence that a better life is possible for all of us. The disruption to teaching that comes from workers’ poor health, unnecessary pressure and precarity is much, much greater than the disruption caused by the cancellation of classes.

      Despite the deprivations of the picket line – early mornings, hours standing in the cold, lost pay – I have rarely seen colleagues so happy. The lifting of the neoliberal impulse to be constantly working, every interaction a chance for self-development, every minute a chance to get something done, has profound effects. Reclawing time from management’s extractive demands gives us a glimpse of how the university could be.

      The University and College Union dispute, which runs until next Wednesday, is about pay and pensions for some 43,000 members of the union, all working in academia. Even if we won on both counts, our futures, and the future of higher education, will not be secure without a fundamental rethink of the way in which universities are funded in the UK.

      We cannot afford to merely attempt to reform a marketised sector, based around fees. Almost 10 years on from the seismic higher education reforms of 2010, we face another general election. The only party now offering a rethink of fees and funding, rather than the shuffling of proverbial deckchairs, is Labour.

      We must not let students’ interests be pitted against workers. They are one and the same. So far during the strike, universities have bribed students to cross the picket line with gimmicks like free breakfast and free parking. They have attempted to ban solidarity action by students with a sustained campaign of misinformation, including the suggestion that joining picket lines is illegal and that students must cross them because they are members of NUS and not UCU. We are warned that students might feel anxious about the strike and that by picketing our workplaces we are letting them down.

      In these moments, management attempts to call upon a sense of duty we might feel towards our students. But as workers in higher education, we should not be content to merely provide a better version of the kind of education-as-commodity that management insists on.

      With our strike and the election, we have a chance to start fundamentally re-imagining the university. It’s the only thing that might save it.

      https://www.theguardian.com/commentisfree/2019/nov/28/universities-workers-strike-marketised-sector-money-staff
      #grève

    • Et hop une autre offre de formation arrivée ce jour dans ma boîte mail :

      "Mieux vivre ses émotions dans les relations professionnelles"

      Public : Tout collaborateur qui souhaite mieux vivre ses émotions afin de favoriser ses relations professionnelles.

      C’est classé dans la rubrique « #efficacité professionnelle »

      Et voici un aperçu du contenu :

      #intelligence_émotionnelle #émotions #réactions_émotionnelles_parasites #dysfonctionnement #mots #visage #corps #couleurs #saveurs #musique #timbres_psychologiques #élastiques_émotionnels #alexitymie #vague_des_émotions #pensée_positive #mots_déclencheurs #respiration

    • 10.12.2021, nouveau message des services centraux de notre université (qui semble de plus en plus inspirée !!) :

      Programme de #pause_active destiné à l’encadrement

      A l’attention des personnels en situation d’encadrement (cadres administratifs et techniques, responsables pédagogiques, responsables scientifiques)

      Madame, Monsieur,

      Suite à une expérimentation menée au printemps dernier et dans le cadre de l’accord-cadre Qualité de Vie au Travail de l’UGA, le SUAPS et la Direction de l’environnement social (DGDRH-DES) vous proposent des séances de Pause Active en visioconférence.

      Ces temps courts, de 20/25 mns vous permettront de :

      Bien débuter la journée

      Apprendre à apprivoiser le stress, prévenir le stress chronique

      Lutter contre l’épuisement professionnel

      – *Prévenir les troubles musculo-squelettiques

      Être plus efficace et concentré

      Ils se déroulent les jeudis à 8h et 8h30, jusqu’au 9 décembre pour le 1er semestre

      Puis au 2nd semestre, à partir du 13 janvier

      Pas d’inscription préalable, juste une connexion !

      Comment se déroulent les séances ?

      Séance à 8h00 : #Sophrologie :

      Prendre conscience des différentes parties de son corps

      Se libérer des tensions physiques, mentales et émotionnelles

      Respirer, se poser, prendre un temps pour soi

      Activer les capacités utiles pour sa journée de travail

      –-

      Séance à 8h30 : Réveil musculaire en douceur :

      Étirements légers, respiration, focus sur l’ensemble du dos pour dénouer les tensions.

    • J’avais oublié d’ajouté cela sur ce fil :

      Arrive aujourd’hui, 21.10.2020, un message de mon #université (#Université_Grenoble_Alpes) qui nous invite à s’inscrire à une #formation...
      La formation s’intitule :
      Gestion du #stress pour les enseignant(e)s

      La troisième annonce en ce genre, les deux précédentes étaient des formations qui portaient sur :

      1. Gestion de #conflits (formation mise sous le thème « #efficacité_professionnelle »)

      2. Mieux vivre ses #émotions dans ses #relations_professionnelles (aussi mise sous le même thème : #efficacité_professionnelle)

      Comme dit ma collègue @mobileborders :
      « De la #responsabilisation_personnelle des #failles_structurelles... »

      https://seenthis.net/messages/882135

    • 07.01.2022... on commence une nouvelle année avec de nouvelles formations. Cette fois-ci c’est... le #co-développement !

      Formation Co-Développement Enseignants/Enseignants-chercheurs

      –-> le plus drôle dans tout ça, c’est la "#méthode_Payette_et_Champagne" (ou "paillettes et champagne" si vous préférez).

      « une méthode subtile et exigeante alors qu’elle paraît simple en apparence » dit A. Payette
      https://esprit-co-developpement.fr

      Pas trop bien réussi à en savoir plus après une brève recherche sur la toile (si il y a des motivé·es...)

      J’en ai fait un mini-tweet :

      https://twitter.com/CDB_77/status/1479350762329280514

    • Avril 2022... Dans notre institut, comme partout ailleurs dans les facs françaises (et au-delà), on souffre d’un déficit STRUCTUREL en personnel enseignant... Pour info, notre institut « tourne » avec environ 40% des heures d’enseignement qui sont données par du personnel précaire, dont des #vacataires... Outre ce problème STRUCTUREL, il y a aussi la difficulté à pouvoir embaucher lesdits vacataires... deux difficultés avant tout :
      – iels sont payé·es, à l’heure, en dessous du smic, donc iels préfèrent faire autre chose dans la vie...
      – iels ne peuvent être embauché·es que si iels ont un contrat par ailleurs (donc, chômeur·es, circulez, on ne peut pas vous donner du taf... qui est payé moins du smic, mais bon...)

      Résultat des courses : c’est une galère pas possible pour les responsables de formations à la fac de trouver des enseignant·es pour les cours présents dans la maquette...

      Donc : problème structurel...

      Or, voici ce que notre direction nous propose, une réunion pour discuter de cette problématique « vacataires » (très bien) :

      "Lors du dernier conseil d’UFR, la problématique des vacataires d’enseignement (recrutement, constitution des dossiers, paiement) a été abordée et il a été émis le souhait d’organiser un temps de travail à ce sujet.

      ... et voici la phrase suivante :

      Ce sujet faisant également écho à celui lié à la qualité de vie au travail, il semble primordial d’y travailler dessus de manière prioritaire."

      –-> le lien avec la fameuse #QVT... ce n’est pas un problème de QVT, c’est un problème de #politique_universitaire, bordel ! Non, on ne va pas résoudre cela avec des séances de sophrologie ou avec des pauses actives !

    • « En termes d’émotions, là c’est moins évident : on parle de plus en plus de burnout, mais à la force physique s’est substituée une injonction à la force mentale, à prendre sur soi. Et si ça ne va pas, on va faire en sorte que les individus s’adaptent au monde du travail, mais on ne va jamais faire en sorte que le monde du travail s’adapte au #corps et à l’esprit des individus. On va donner des sièges ergonomiques, des ergosquelettes, on va créer des formations gestes et postures, on va embaucher des psychologues pour que les gens tiennent au travail, sans s’interroger sur ce qui initialement a causé ces souffrances. »

      https://www.frustrationmagazine.fr/entretien-rivoal

      #adaptation #résilience #force_mentale #émotions

      signalé ici :
      https://seenthis.net/messages/969443

    • Le business du bonheur

      La psychologie positive, conceptualisée aux États-Unis à la fin des années 1990, s’est imposée en Europe par le biais du management d’entreprise. Enquête sur une discipline contestée, proche du développement personnel.

      https://www.arte.tv/fr/videos/099779-000-A/le-business-du-bonheur

      voir aussi le trailer sur twitter :
      https://twitter.com/ARTEfr/status/1567845341793320962

      signalé sur seenthis par @olivier_aubert :
      https://seenthis.net/messages/971462

  • Mindestlohn im Taxigewerbe: Schnell noch ein Tarifvertrag - taz.de
    https://taz.de/Mindestlohn-im-Taxigewerbe/!5039660

    20. 6. 2014 - BERLIN taz | Die ersten Kündigungen sind ausgesprochen, vorsorglich, schließlich muss man die Kündigungsfrist einhalten, die bei langjährigen Mitarbeitern ein halbes Jahr betragen kann. „Es ist bitter, weil es ja gerade die besonders treuen Fahrer in der Firma trifft“, sagt Taxiunternehmer Wolfgang Schwuchow aus Erfurt. Er hat jetzt, noch im Juni, zwei langjährigen Fahrern die schriftliche Kündigung zum 1. Januar 2015 überreicht.

    Am 1. Januar 2015 kommt der Mindestlohn von 8,50 Euro die Stunde. Das Gesetz dazu soll am 4. Juli verabschiedet werden. Auch im Taxigewerbe müssen Unternehmer dann ihren Angestellten den Mindeststundenlohn zahlen, ganz unabhängig davon, wie viel Fahrten der Kutscher hatte oder wie viel Umsatz er machte. Die Taxibranche ist in Aufruhr, denn bisher ist die Bezahlung umsatzabhängig, die Stundenlöhne liegen oft niedriger.

    Angestellte Fahrer etwa bekommen derzeit 40 Prozent vom Umsatz als Bruttolohn. Wer also 8,50 Euro als Stundenlohn einfahren will, müsste 21 Euro Kasse in der Stunde machen. Das schaffen die Kutscher nur selten. „In Berlin machen die Fahrer im Durchschnitt 14 Euro in der Stunde an Umsatz“, erzählt Uwe Gawehn von der Taxi-Innung Berlin. Mit dem Mindestlohn sei ein Unternehmen mit angestellten Fahrern nicht mehr wirtschaftlich zu führen, Entlassungen seien die logische Folge.

    Kein Wunder also, dass die Branche händeringend nach alternativen Lösungen sucht. Eine naheliegende Möglichkeit ist eine Tarifanhebung, sprich Preiserhöhung. „Doch das kostet Zeit, das bei den Kommunen durchzusetzen“, sagt Thomas Grätz, Geschäftsführer des Deutschen Taxi- und Mietwagenverbandes (BZP). Die Taxitarife sind regional unterschiedlich und müssen von den Kommunen genehmigt werden. Außerdem ist völlig unklar, ob die Kunden Preiserhöhungen von durchschnittlich 25 Prozent, in Einzelfällen sogar 70 Prozent akzeptieren.

    Überlange Schichten als Kompensation
    Für eine zweijährige Übergangslösung bis zum 1. Januar 2017 sucht die Taxibranche daher jetzt nach einer Möglichkeit, mit der Gewerkschaft Ver.di einen Tarifvertrag abzuschließen, der eine Ausnahmeregelung vom Mindestlohn schafft. Heraus käme ein Lohn von weniger als 8,50 Euro. Denn das Gesetz erlaubt niedrigere Löhne als 8,50 Euro brutto bis zum Jahre 2017, wenn diese verbindlich in einem Tarifvertrag stehen. Das Problem: Der Taxidachverband BZP muss von den Mitgliedern zuerst einmal zum tariffähigen Arbeitgeberverband erklärt werden, eine erste Abstimmung dazu scheiterte kürzlich. Jetzt wollen sich die Taxler noch mal am 3. Juli treffen, um den Arbeitgeberverband aus der Taufe zu heben.

    Die Gewerkschaft Ver.di will allerdings nicht ohne weiteres noch schnell solch einen Billigtarifvertrag unterstützen. Stimme man für eine Übergangszeit einem Lohn von weniger als 8,50 Euro zu, dann müsse es für die beschäftigten Angestellten an anderer Stelle einen „Mehrwert“ geben, etwa bei den Arbeitszeiten oder durch Zuschläge für Nacht- und Feiertagsarbeit, sagte Ver.di-Sprecher Christoph Schmitz der taz.

    Bisher kompensieren die Fahrer ihre niedrigen Stundenumsätze und die langen Wartezeiten an den Taxiplätzen durch überlange Arbeitsschichten. „50, 60 Stunden“ in der Woche fahre er, erzählt ein Berliner Kutscher. Damit erreiche er einen Monatslohn von 1.300 Euro brutto. Heruntergerechnet auf die Stunde sind das nicht mehr als 5,50 Euro brutto. Käme der Mindestlohn, würden die Fahrer wohl Teilzeitverträge erhalten von ihren Unternehmen, glaubt der Fahrer, der seinen Namen nicht in der Zeitung lesen will. Auf dem Papier steht dann eine bestimmte Stundenzahl, die aber in Wahrheit weit überschritten wird. Diese Tricksereien wären heikel – schließlich könnte jeder Kutscher seinen Dienstherrn wegen der Falschangaben später bei den Behörden anzeigen. Mit dem Mindestlohn sollen auch Stundenzettel eingeführt werden für die Kutscher.

    Der Taxidachverband sieht jeden vierten der 200.000 Arbeitsplätze für angestellte Fahrer in Deutschland durch den Mindestlohn von 8,50 Euro in Gefahr. Mehr als 60 Prozent der Taxiunternehmen bestehen allerdings aus Ein-Wagen-Betrieben. Und selbständige Alleinfahrer können weiterhin zu Dumpinglöhnen ackern – für Selbständige gilt der Mindestlohn nicht.

    #Taxi #Mindestlohn

  • Connecticut legislators to consider minimum pay for Uber and Lyft drivers - Connecticut Post
    https://www.ctpost.com/politics/article/Connecticut-legislators-to-consider-minimum-pay-13608071.php

    By Emilie Munson, February 11, 2019 - Prompted by growing numbers of frustrated Uber and Lyft drivers, lawmakers will hold a hearing on establishing minimum pay for app-based drivers.

    After three separate legislative proposals regarding pay for drivers flooded the Labor and Public Employees Committee, the committee will raise the concept of driver earnings as a bill, said state Rep. Robyn Porter, D-New Haven, who chairs the committee, on Friday night.

    A coalition of Uber and Lyft drivers from New Haven has been pressuring lawmakers to pass a pay standard, following New York City’s landmark minimum pay ordinance for app-based drivers approved in December. The legislation, which set an earnings floor of $17.22 an hour for the independent contractors, took effect on Feb. 1.

    Connecticut drivers have no minimum pay guarantees.

    Guillermo Estrella, who drives for Uber, worked about 60 hours per week last year and received $25,422.65 in gross pay. His pay stub doesn’t reflect how much Estrella paid for insurance, gas, oil changes and wear-and-tear on his car. Factor those expenses in, and the Branford resident said his yearly take-home earnings were about $18,000 last year.

    Estrella and other New Haven drivers have suggested bill language to cap the portion of riders’ fares that Uber and Lyft can take at 25 percent, with the remaining 75 percent heading to drivers’ pockets. The idea has already received pushback from Uber, which said it was unrealistic given their current pay structure.

    Connecticut legislators have suggested two other models for regulating driver pay. State Sen. Steve Cassano, D-Manchester, filed a bill to set a minimum pay rate per mile and per minute for drivers. His bill has not assigned numbers to those minimums yet.

    “What (drivers) were making when Uber started and got its name, they are not making that anymore,” said Cassano. “The company is taking advantage of the success of the company. I understand that to a point, but it shouldn’t be at the expense of the drivers.”

    State Rep. Peter Tercyak, D-New Britain, proposed legislation that says if drivers’ earnings do not amount to hourly minimum wage payments, Uber or Lyft should have to kick in the difference. Connecticut’s minimum wage is now $10.10, although Democrats are making a strong push this year to raise it.

    As lawmakers consider these proposals, they will confront issues raised by the growing “gig economy”: a clash between companies seeking thousands of flexible, independent contractors and a workforce that wants the benefits and rights of traditional, paid employment.

    Some Democrats at the Capitol support the changes that favor drivers.

    “I thought it was important to make sure our labor laws are keeping up with the changes we are seeing in this emerging gig economy, that we have sufficient safeguards to make sure that drivers are not being exploited,” said Sen. Matt Lesser, D-Middletown.

    But the proposals also raise broad, difficult questions like what protections does a large independent contractor workforce need? And how would constraining the business model of Uber and Lyft impact service availability around the state?

    Sen. Craig Miner, a Republican of Litchfield who sits on the Labor committee, wondered why Uber and Lyft drivers should have guaranteed pay, when other independent contractors do not. How would this impact the tax benefits realized by independent contractors, he asked.

    Uber and Lyft declined to provide data on how many drivers they have in the state, and the Connecticut Department of Motor Vehicles does not keep count. In Connecticut, 82 percent of Lyft drivers drive fewer than 20 hours per week, said Kaelan Richards, a Lyft spokesperson.

    Last week, Hearst Connecticut Media spoke to 20 Uber and Lyft drivers in New Haven who are demanding lawmakers protect their pay. All drove full-time for Uber or Lyft or both.

    An immigrant from Ecuador, Estrella, the Branford driver, struggles to pay for rent and groceries for his pregnant wife and seven-year-old son using his Uber wages.

    “A cup of coffee at the local Starbucks cost $3 or $4,” said Estrella. “How can a trip can cost $3 when you have to drive to them five minutes away and drop them off after seven or eight minutes?”

    In December, 50 Uber and Lyft drivers held a strike in New Haven demanding better pay. The New Haven drivers last week said they are planning more strikes soon.

    “Why is Uber lowering the rates and why do we have to say yes to keep working?” asked Carlos Gomez, a Guilford Uber driver, last week.

    The drivers believe Uber and Lyft are decreasing driver pay and taking a larger chunk of rider fares for company profits. Many New Haven drivers said pay per mile has been decreasing. They liked Sen. Cassano’s idea of setting minimum pay per mile and per minute.

    “The payment by mile, it went down by 10 cents,” said Rosanna Olan, a driver from West Haven. “Before it was more than one dollar and now when you have a big truck SUV, working long distance especially is not worth it anymore.”

    Uber and Lyft both declined to provide pay rates per mile and per minute for drivers. Drivers are not paid for time spent driving to pick up a passenger, nor for time spent idling waiting for a ride, although the companies’ model depends on having drivers ready to pick up passengers at any moment.

    Lyft said nationally drivers earn an average of $18.83 an hour, but did not provide Connecticut specific earnings.

    “Our goal has always been to empower drivers to get the most out of Lyft, and we look forward to continBy Emilie Munson Updated 4:49 pm EST, Monday, February 11, 2019uing to do so in Connecticut, and across the country," said Rich Power, public policy manager at Lyft.

    Uber discouraged lawmakers from considering the drivers’ proposal of capping the transportation companies’ cut of rider fares. Uber spokesman Harry Hartfield said the idea wouldn’t work because Uber no longer uses the “commission model” — that stopped about two years ago.

    “In order to make sure we can provide customers with an up-front price, driver fares are not tied to what the rider pays,” said Hartfield. “In fact, on many trips drivers actually make more money than the rider pays.”

    What the rider is pays to Uber is an estimated price, calculated before the ride starts, Hartfield explained, while the driver receives from Uber a fare that is calculated based on actual drive time and distance. Changing the model could make it hard to give customers up-front pricing and “lead to reduced price transparency,” Hartfield said. New York’s changes raised rates for riders.

    James Bhandary-Alexander, a New Haven Legal Assistance attorney who is working with the drivers, said Uber’s current pay model is “irrelevant to how drivers want to be paid for the work.”

    “The reason that drivers care is it seems fundamentally unfair that the rider is willing to pay or has paid $100 for the ride and the driver has only gotten $30 or $40 of that,” he said.

    Pursuing any of the three driver-pay proposals would bring Uber and Lyft lobbyists back to the Capitol, where they negotiated legislation spearheaded by Rep. Sean Scanlon, D-Guilford, from 2015 to 2017.

    Scanlon said the companies eventually favored the bill passed in 2017, which, after some compromise, required drivers have insurance, limited “surge pricing,” mandated background checks for drivers, imposed a 25 cent tax collected by the state and stated passengers must be picked up and delivered anywhere without discrimination.

    “One of my biggest regrets about that bill, which I think is really good for consumers in Connecticut, is that we didn’t do anything to try to help the driver,” said Scanlon, who briefly drove for Uber.
    By Emilie Munson Updated 4:49 pm EST, Monday, February 11, 2019
    emunson@hearstmediact.com; Twitter: @emiliemunson

    #USA #Uber #Connecticut #Mindestlohn #Klassenkampf

  • Common Psychological Challenges when #trading
    https://hackernoon.com/common-psychological-challenges-when-trading-71c135e527dd?source=rss----

    In #crypto trading, two emotions can ruin the results of an otherwise outstanding trader. These are greed and fear. However, it’s not enough to know these two emotions. You also need to understand how they manifest themselves so you don’t fall victim to them.To help you do that, this article will go over some of the more common psychological challenges in crypto trading.FOMO (Fear of Missing Out)The first and perhaps biggest psychological mistake in crypto is FOMO: the Fear of Missing Out.Traders with FOMO believe that every trade can be a winner. They don’t like to sit trades out for fear of losing profits, and don’t pay much attention to losing trades because they believe in their ability to recoup losses quickly.FOMO leads to 2 specific mistakes: taking on more trades and opening bigger (...)

    #learning #mindset #blockchain

  • Technologies and Startups that Hack Brain
    https://hackernoon.com/technologies-and-startups-that-hack-brain-e51ea6983edb?source=rss----3a8

    Technologies and Startups that Hack the BrainWhat they do and how machine learning fits inCover of the Brazilian edition of ‘Neuromancer’‘…physics and #neuroscience are in some ways the most fundamental subjects: one is concerned with the external world out there, and the other with the internal world in our minds’.Demis Hassabis, a co-founder of DeepMind. FT.com***The development of technologies that study and affect the ‘internal world in our minds’ is fuelled by investment activity, among other things. In the summer of 2016, CB Insights, an investment database, published a review of 17 startups that boost the brain. In just two years, in June 2018, Neuronetics, the most well-funded #startup from the list, went public. Other companies from that list raised substantial investment rounds. For (...)

    #data-science #mindfulness #ai

  • L’économie de la connaissance
    Óscar Hernández Bernalete, ambassadeur du Venezuela, en retraite
    #économie_orange = #économie_créative
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Économie_créative

    #mentefactura = #mindfacturing #mentalfacture ?
    La economía del conocimiento
    http://www.el-nacional.com/noticias/columnista/economia-del-conocimiento_271743

    Cuando los países concentran sus energías sociales, económicas y laborales en las mejores prácticas existentes, comprobadas a través de los años y con un rendimiento que se convierte en crecimiento y desarrollo sustentable, entonces podemos concluir que los países están recorriendo el camino de la prosperidad. Por el contrario, cuando una nación se enfrasca en la diatriba, en el conflicto, en el manejo de herramientas políticas que con el tiempo han demostrado rechazo, ineficacia y generación de pobreza, entonces estamos ante el retroceso, la desesperanza y la pérdida de oportunidades.

     Esta antesala tiene como objetivo introducirme en un tema no tan trillado, pero ya suficientemente evaluado, como es el de la economía naranja. Genialmente, en contraposición a las manufacturas la denominan “mentefacturas”. Esta no es otra que aquellas actividades que estimulan que las ideas, las iniciativas, los hallazgos y las observaciones en el marco del tiempo y del espacio se transformen en bienes y servicios culturales. En otras palabras, como diría Descartes “Pienso luego existo”, aquí estamos ante la opción de piensa, crea una idea y estamos ante la creación y la generación de riqueza. 

    La reproducción de valor la define la propiedad intelectual. Los especialistas en industrias creativas afirman que “el valor de los bienes y servicios se fundamentan precisamente en la propiedad intelectual”.

     Muchos creadores, artistas, arquitectos, cineastas, diseñadores de moda y editores, así como la industria de juegos, moda, música, publicidad, software, TV y radio tienen poca conciencia de que pertenecen a la economía naranja y que su contribución al crecimiento económico es fundamental en estos tiempos. Sus antecedentes están en la “economía creativa” como la definió John Howkins en un famoso texto de principios del milenio sobre cómo se transforman las ideas en beneficios.

     Tal como lo explica uno de los expertos en este tema Felipe Buitrago, en una excelente presentación del BID, esta economía está compuesta  tanto por la economía cultural, las industrias creativas y las áreas de soporte para la creatividad. Más de un lector se debe preguntar ¿por qué naranja? Pues el color que se asocia a la creatividad. Mediciones nos indican que si esta economía del conocimiento fuera un país, sería la cuarta economía detrás de Estados Unidos, China y Japón; el noveno mayor exportador y la cuarta fuerza laboral con más de 144 millones de trabajadores. No es cualquier cosa.

    No son pocas las buenas experiencias que se asocian a esta realidad. Modelos infinitos. En términos de generación de empleo son millones de personas en todo el mundo que se benefician. El Cirque du Soleil emplea más de 5.000 personas y reporta ventas que superan los 800 millones de dólares anuales. Netflix, el video club por correo físico y virtual, tiene más de 33 millones de suscriptores y comercializa anualmente 3.600 millones de dólares por año. El Festival Iberoamericano de Teatro de Bogotá, el Carnaval de Río son buenos ejemplos. Tal como lo indica el documento La #economía_naranja. Una oportunidad infinita “mas de 100 horas de video son subidas cada minuto a Youtube. En agosto de 2013 acumuló 6.000 millones de horas de video visitadas por más de 1.000 millones de personas. Allí están otros retos para nuestra región”.

    • Quand des pays concentrent leurs énergies sociales, économiques et productives sur les meilleures pratiques confirmées par les années et avec une efficacité qui se transforme en croissance et développement soutenable, on peut alors en déduire que ces pays se trouvent sur le chemin de la prospérité.

      Au contraire, quand une nation s’enfonce dans la diatribe, le conflit et le recours à des outils politiques dont le temps a prouvé le rejet, l’inefficacité et l’accroissement de la pauvreté, on se trouve alors devant la régression, le désespoir et la perte d’opportunités.
      […]
      Pourquoi « orange » ? Parce c’est la couleur associée à la créativité. Les statistiques montrent que si cette économie de la connaissance était un pays, il serait la quatrième économie mondiale derrière les États-Unis, la Chine et le Japon ; le neuvième exportateur et la quatrième force de travail avec plus de 144 millions de travailleurs. Ce n’est pas rien.

  • First day using my own app
    https://hackernoon.com/first-day-using-my-own-app-2a1f72a335a3?source=rss----3a8144eabfe3---4

    The results have been amazing, dare I say it myselfDisclaimer: You can jump straight to “Day 1: My experience” if you’re uninterested in the history.History: The back storyNear the end of last year, I went through an unhealthy habit of wasting a lot of time and money by indulging myself with nights out with friends. I would spend about 2–3 nights out weekly (usually Fridays and Sundays).On top of this unhealthy layer of bad decisions, I adopted an even more interesting one: About halfway through the evening, albeit incredibly dangerous, I would abandon my friend group and take a lone walk through the city.Identifying my prioritiesGoing out and, dare I say, being surrounded by an unproductive atmosphere…and being unproductive myself, would put me in an unbent state of reflection.What am I (...)

    #productivity #mindfulness #development #apps #personal-development

  • #mindfulness in Software Development
    https://hackernoon.com/mindfulness-in-software-development-21dd2d82e5d7?source=rss----3a8144eab

    I’ve been on training for mindful coaching recently, and almost a day in, I started wondering on how to apply what I learned to coding. How could a team benefit from combining the two concepts? How could mindful coding help to ease the pains of building software?For those new to the topic, mindfulness is a concept that teaches our mind to be in the present, in whatever we do right at that moment. Not thinking about the future, the laundry we have to do, neither dwelling in past mistakes we did.It’s also about not judging. Not judging others, not judging ourselves. Not feeling controlled by our feelings and learned actions on a subconscious level.Sounds easy?It is not. It is harder than you might think. But it’s worth it. And well research (New? Start here ).Now, let’s explore my thoughts (...)

    #mindful-software #software-development #software-mindfulness

  • Zwar soll der #Mindestlohn (...) bis 2020 in zwei Stufen auf dann 9...
    https://diasp.eu/p/8186007

    Zwar soll der #Mindestlohn (...) bis 2020 in zwei Stufen auf dann 9,35 Euro steigen. Doch diese wenigen Cent mehr reichen für Arbeitnehmer nicht aus, um Preissteigerungen abzufedern, ihre Existenz zu sichern und vor allem fürs Alter vorzusorgen. Das konstatiert selbst die Bundesregierung, die eine Mindestlohnhöhe von 12,63 Euro ausgerechnet hat, die nötig wäre, damit Beschäftigte in Vollzeit später eine Rente über Grundsicherungsniveau bekommen und vor Altersarmut geschützt sind. https://www.handelsblatt.com/meinung/kolumnen/expertenrat/bentele/expertenrat-verena-bentele-auch-9-35-euro-reichen-nicht-der-mindestlohn-muss-deutlich-steigen/23716600.html?ticket=ST-172732-OMAp0Sr1OjpWlyetdgYc-ap1

  • NYC passes minimum pay wage for Uber and Lyft drivers
    https://www.engadget.com/2018/12/04/nyc-minimum-pay-wage-uber-lyft-drivers

    12.04.18 - New York City’s Taxi and Limousine Commission voted today to establish a minimum wage for drivers working for companies like Uber, Lyft, Juno and Via. The city is the first in the US to set a minimum pay rate for app-based drivers. Going forward, the minimum pay will be set at $17.22 per hour after expenses, bringing it in line with the city’s $15 per hour minimum wage for typical employees, which will take effect at the end of the year. The additional $2.22 takes into account contract drivers’ payroll taxes and paid time off.

    “Today we brought desperately needed relief to 80,000 working families. All workers deserve the protection of a fair, livable wage and we are proud to be setting the new bar for contractor workers’ rights in America,” Jim Conigliaro, Jr., founder of the Independent Drivers Guild, said in a statement. “We are thankful to the Mayor, Commissioner Joshi and the Taxi and Limousine Commission, City Council Member Brad Lander and all of the city officials who listened to and stood up for drivers.”

    Earlier this year, the Taxi and Limousine Commission released the results of a study it requested, which recommended the new pay floor. And in August, NYC Mayor Bill de Blasio signed a bill requiring the commission to set a base pay rate. The Independent Drivers Guild, which has been working towards a minimum pay rate for some time, estimates that contract drivers in the city are currently earning just $11.90 per hour after expenses.

    Across the US, there’s been increased scrutiny on what companies like Uber and Lyft are actually paying their workers. In May, San Francisco subpoenaed the two companies for their pay records, and both companies have faced lawsuits over driver wages. Last year, NYC began requiring all ride-hailing services to offer an in-app tipping option.

    The rules passed today aren’t sitting well with the companies affected by them, however. Lyft told Engadget that it’s concerned that calculating pay per ride rather than per week will incentivize short rides over long rides. Further, Lyft says the new out of town rates — which require companies to pay drivers more when they take passengers outside of the city and return without a passenger — will be hard to implement before the new regulations take effect in 30 days.

    “Lyft believes all drivers should earn a livable wage and we are committed to helping drivers reach their goals,” the company told Engadget. “Unfortunately, the TLC’s proposed pay rules will undermine competition by allowing certain companies to pay drivers lower wages, and disincentive drivers from giving rides to and from areas outside Manhattan. These rules would be a step backward for New Yorkers, and we urge the TLC to reconsider them.”

    Uber released a statement as well ahead of today’s vote. The company’s director of public affairs, Jason Post, said:

    “Uber supports efforts to ensure that full-time drivers in NYC - whether driving with taxi, limo or Uber - are able to make a living wage, without harming outer borough riders who have been ignored by yellow taxi and underserved by mass transit.

    The TLC’s implementation of the City Council’s legislation to increase driver earnings will lead to higher than necessary fare increases for riders while missing an opportunity to immediately reduce congestion in Manhattan’s central business district.

    The TLC’s rules does not take into account incentives or bonuses forcing companies to raise rates even higher. Companies use incentives and bonuses as part of driver earnings to ensure reliability citywide by providing a monetary incentive to drivers to complete trips in areas that need them the most (such as outside of Manhattan).

    In addition, the rules miss an opportunity to immediately deal with congestion in Manhattan’s central business district. A recent TLC study authored by economists James Parrott and Michael Reich describes a formula that would financially punish companies who have low utilization rates. Instead, the TLC is choosing the adopt an industry-wide utilization rate that does not hold bases accountable for keeping cars full with paying passengers.”

    #USA #New_York #Uber #Mindestlohn

  • Five ways to overcome negative thinking
    https://hackernoon.com/five-ways-to-overcome-negative-thinking-3c697cbe2b98?source=rss----3a814

    Have you ever felt trapped in your own mind? Did you ever feel like your self-doubt is holding you back?A study shows that an astonishing 49 percent of entrepreneurs are suffering from at least one mental illness, such as ADD, ADHD, depression, bipolar disorder, anxiety or addiction, and about one-third of them struggle with more than one mental illnesses. If everything depends on yourself, the responsibilities can overtake you. I want to introduce you to five steps that will eliminate negative thinking, while also providing a basis for the manifestation of an energetic, positive mindset.Stop looking at the pastYou messed up, things didn’t go like you planned and you feel haunted by back luck. It happened. Get over it. Being aware of your deficits is important, constantly thinking about (...)

    #positive-thinking #mindset #self-improvement #positivity #entrepreneurship

  • Arbeitsmarkt: Kommission entscheidet über Höhe des Mindestlohns | ZEIT ONLINE
    https://www.zeit.de/wirtschaft/2018-06/arbeitsmarkt-mindestlohn-erhoehung-kommission-hubertus-heil

    Dit jibt wiedan Jeschrei! Kann keena zahln , wir jehn alle pleite , wir müssende Leute rausschmeissen und so weiter etc. p.p.

    Stimmt schon, wenn dit SPD-Heil den Milo erhöht und sich gleichzeitig die SPD-Geisel weigert, für höhere Umsätze pro Taxi zu sorgen (jaja, dit kanna, machta aba nich) dann is wat faul im Staate D.

    Ceterum censeo - dafür sorjen dit zusammenwächst wat zusammenjehört, nämlich de Anzahl vonne Taxen und Mietwajen mit vanünftije Löhne, dafür broochet mehr als hamwaimmasojemacht und dakönntejajedakomm . Mal üba de Landesjenzen hinaus richtich Terz machen und den illegalen Taxis ohne Dachzeichen dit Wassa abjraben, Fiskalzähla für Mietwagen, Mietwagen-Fahrer mit Ortskunde verlangen, mal ’n halbet Jahr lang jeden Tag hundert Taxi- und Mietwajenkontrollen durchjezojen, wirklich alle Taxis aus Mehrwajenbetrieben ohne Fiskaljerät wechprüfen und noch so’n paar Dinga, die Sozialbetrüjan und Steuahintaziehan den Tach verderben, und jut is.

    Abba de Senatsmischpoke willja lieba innovative Mobilitätsangebote .

    Wat solln an Kurzzeitmietautos und subventionierten Illegaltaxis vom Autokonzern innovativ sein? Innovativ, am Arsch! Tut wat für de arbeetende Bevölkerung, nich nur mit Mindestlohn, der dann sowieso ausjetrickst wird. Hautse wech, die Betrüja. Und traut Euch endlich, solange Konzessionen wechzuprüfen, bis man vom Taxi wieda leben kann.

    Turnusgemäß soll der Mindestlohn ab 2019 erhöht werden. Hierzu wird am Mittag die zuständige Kommission aus Vertretern von Arbeitgebern, Gewerkschaften und Wissenschaft ihre Empfehlung vorlegen. Da diese sich aus der Erhöhung der Tariflöhne ergibt, müsste laut Statistischem Bundesamt der Mindestlohn rein rechnerisch von derzeit 8,84 Euro auf 9,19 Euro brutto pro Stunde steigen.

    Die Gewerkschaften fordern einen „ordentlichen Zuschlag“, der über diese 9,19 Euro hinausgeht. Auch der Sozialverband VdK findet den Wert zu gering. „Die Unternehmen müssen endlich ihre Beschäftigten am wirtschaftlichen Aufschwung beteiligen“, sagte VdK-Präsidentin Verena Bentele. Demnach müsse durch die Höhe des Mindestlohns gesichert werden, dass Vollzeitbeschäftigte für ihren Lebensunterhalt sorgen und eine angemessene Alterssicherung über dem Grundsicherungsniveau aufbauen könnten. „Wir brauchen einen Mindestlohn, der über 12 Euro liegt, um Armut wirksam zu bekämpfen“, sagte Bentele. Die Arbeitgeber dagegen warnen davor, den Mindestlohn deutlich zu erhöhen.

    P.S. Schöne Fahrradweje bauta. Kosten reichlich und dit dauert! Wie wärt denn, wenn ab morjen keen Privat-PKW mehr inne Stadt dürfte? Kostet nüscht und löst Umwelt- und Unfallproblem sofort uff eenmal. So janz nebenbei wären wa de Mietwajen los und der #ÖPNV würde richtich Umsatz machen. Endlich mal Amsterdam links übaholn! Wär doch nett, oda?

    #Berlin #Taxi #Milo #Mindestlohn #rant

  • Wie der Mindestlohn noch immer umgangen wird - ZDFmediathek
    https://www.zdf.de/verbraucher/wiso/umgehung-mindestlohn-100.html

    von Sven-Hendrik Hahn (Video), Mario Shabaviz (Text) im Video als Autorin bezeichnet: Asli Özarslan

    Wie der Mindestlohn noch immer umgangen wird
    Mindestlohn - das Wort sagt eigentlich alles. Wer arbeitet, muss in Deutschland mindestens einen bestimmten Betrag bekommen. Wer weniger bekommt, wird betrogen. Und tatsächlich ist das in vielen Branchen immer noch der Fall.

    Beitragslänge:4 min Datum:11.06.2018
    aus: WISO vom 11. Juni 2018

    Verfügbarkeit:
    Video verfügbar bis 11.06.2019, 19:25
    Betrogen um den Mindestlohn – Alltag in Deutschland!?
    8,84 Euro brutto pro Stunde – das ist aktuell der gesetzliche Mindestlohn in Deutschland. Er ist eine Art untere Schmerzgrenze für die angemesseneEntlohnung von Beschäftigten. Doch seit es den Mindestlohn gibt – eingeführt im Januar 2015, mit damals noch 8,50 Euro/Stunde – versuchen Arbeitgeber auch, ihn zu unterlaufen.

    Branchen, in denen das typischerweise geschieht, sind zumeist auch die klassischen Niedriglohnbranchen: der Handel, das Hotel und Gastgewerbe, das Baugewerbe, das Gesundheits- und Sozialwesen und das Reinigungsgewerbe. Nicht zu vergessen auch etwa der Bereich der privaten Pflege oder das Taxigewerbe. Und besonders oft trifft es generell die geringfügig Beschäftigten.

    Laut einer Befragung des Deutschen Instituts für Wirtschaftsforschung bekamen im Jahr 2016 etwa 1,8 Mio. Beschäftigte weniger als den gesetzlichen Mindestlohn. Die gewerkschaftsnahe Hans-Böckler-Stiftung kommt in ihren Untersuchungen für das gleiche Jahr sogar auf 2,7 Mio. Beschäftigte, die nicht mindestens die ihnen gesetzlich zustehende Bezahlung erhielten.

    Umgehung in der Praxis

    Doch wie läuft das in der Praxis ab? Da werden Trinkgelder mit in die Bezahlung nach Mindestlohn eingerechnet oder variable Komponenten aufgestellt, deren Erfüllung nicht in der Macht der Beschäftigten liegt. „Beliebt“ ist auch das viel zu knappe Kalkulieren von Arbeitsleistung pro Zeit, etwa eine Vorgabe, wie viele Quadratmeter Fläche pro Zeit oder wie viele Zimmer pro Zeit zu schaffen sind. Wer hier mehr Zeit benötigt, als vorgegeben, muss zur Erfüllung der Vorgabe mehr arbeiten – und das dann oft unentgeltlich. Und wo die Reinigungskraft noch warten muss, bis auch der letzte Gast ausgecheckt hat, entsteht ebenfalls schnell unbezahlte Mehrarbeit. Betrug zu Lasten der Beschäftigten ist aber nur möglich, wenn diese sich nicht zu wehren wissen und wenn oft auch die Verwaltung das üble Spiel mitspielt. Denn ohne Manipulationen bei der korrekten Erfassung der Arbeitszeit/Überstunden und bei deren fairer Bezahlung geht es nicht.

    Anonyme Schilderung über die Praxis

    Wie das konkret ablaufen kann, hat uns eine ehemalige Beschäftigte aus dem Hotelgewerbe geschildert. Sie war für die buchhalterischen Vorgänge dahinter mit zuständig — und genau das bewog sie schließlich auch, deswegen ihren Job aufzugeben. Drei Jahre lang arbeitete Jenny R. * (Name geändert) in einem Hotel einer großen deutschen Stadt. In diese Zeit fiel auch die Einführung des gesetzlichen Mindestlohns. Hier ihre Schilderung:

    „Mich hat der Mindestlohn in dem Hotel nur indirekt betroffen, da ich als Lohnbuchhalterin leider die Kraft war, die diesen Betrug ausführen musste, was mich dann auch letzlich zur Kündigung bewogen hat. Ich gehörte aber nicht zu den Empfängern vom Mindestlohn. Mit Einführung des Mindestlohnes wurden alle Verträge, die vorher weit unter Mindestlohn waren, neu geschlossen und vom Gehalt auf Stundenlohn geändert. Die Mitarbeiter dachten, sie müssten das unterschreiben. Alles andere hätte wohl auch zur Entlassung in dem Betrieb, zur fristlosen Kündigung geführt.

    Mitarbeitern, die vorher knapp unter Mindestlohn verdienten, wurde das Gehalt auf Mindestlohn angepasst. Zimmermädchen und Servicemitarbeiter, nun plötzlich Stundenlöhner, die bislang auf 30 Stunden angestellt waren, hatten auf einmal nur noch Verträge mit 27,5 Stunden pro 5-Tage- Woche. Begründung war, dass eine halbe Stunde davon ja als Pause abgezogen werden musste.

    Stundenzettel wurden von der Verwaltung geschrieben. Es wurde nur geschaut, an welchen Tagen der Mitarbeiter da war und dann wurde für diesen 5,5 Stunden eingetragen. Die Mitarbeiter haben fast jeden Tag länger gearbeitet. Sie ‚durften‘ dann am Anfang des Folgemonats zum Unterschreiben der monatlichen Stundenzettel antreten.

    Mindestlöhner wurden auch über den Lohn sanktioniert. Ein Roomboy hatte mal nicht ordentlich geputzt — und ihm wurden dann dafür Stunden vom Stundenzettel gestrichen oder gar Urlaubstage abgezogen. Zimmermädchen hatten laut Stundenzettel 9 Uhr Dienstbeginn, das hieß dann aber: ab 9 Uhr anfangen mit der Reinigung. Das Beladen des Wagens davor war aber nicht in der Arbeitszeit mit bedacht.

    Wenn – aufgrund des immer währenden Mangels an Bettwäsche und Handtüchern - auf die Wäscherei bis weit nach der Dienstzeit gewartet werden musste, damit die Zimmer fertig waren, wurde das auch nicht bezahlt. Das Warten wurde dann als ‚lange Pause‘ verkauft. Im Vertrag stand eine Klausel, dass Ansprüche aus dem Arbeitsverhältnis nach drei Monaten verfallen, was nach Mindestlohngesetz auch nicht rechtens ist, aber es wehrte sich ja keiner dagegen. Oft wurden der letzte Lohn und auch restliche Urlaubsansprüche nicht bezahlt.

    Andere Mitarbeiter, die flexibel an sieben Tagen eingesetzt wurden, haben auch neue Verträge bekommen, in denen das ursprüngliche Brutto durch damals 8,50 Euro gerechnet wurde und dann die monatliche Stundenzahl im Vertrag verankert wurde.

    Diese Mitarbeiter hatten dann zwar weiter dasselbe Bruttoeinkommen und die gleiche Arbeit, aber auf dem Papier weniger Stunden — obwohl die locker auf nochmal die Hälfte der bezahlten Stunden extra kamen, die aber einfach unter den Tisch fielen.

    Mitarbeiter der Rezeption hatten Verträge zur 5-Tage-Woche à 8 Stunden. Auch hier wurden dann auf dem Stundenzettel aber 7,5h notiert, also eine halbe Stunde Pause abgezogen, erfasst. Mit Übergabe war man immer über der Dienstzeit. Überstunden wurden gar nicht erst erfasst.

    Wenn ein Rezeptionist 6 Tage arbeiten musste, in der Woche, wurde ihm ein „Gut-Tag“ gutgeschrieben, der aber nach ein paar Monaten verfallen ist, wenn man ihn nicht genommen hat. Wenn der „Gut-Tag“ aber genommen wurde, wurden dann auch nur 4 Tage in der Woche bezahlt. Also - unterm Strich - hatte man dann einen ganzen Tag für den Arbeitgeber kostenfrei gearbeitet. Feiertage wurden gar nicht bedacht. Mit der Begründung: ‚Stundenlohn!! Nur Tage, an denen gearbeitet wird, werden bezahlt.‘"

    Schilderungen rechtlich haltbar?

    Diese Schilderungen haben wir einer Fachanwältin für Arbeitsrecht zugeleitet. Rechtsanwältin Sabine Geilen ist in Leipzig tätig und kennt die gängigen Tricks. Ihre Einschätzung ist eindeutig:

    „Ich halte diese Ausführungen in der Tat für plausibel. Bereits der erste Punkt „Reduzierung von 30 h auf 27,5 h“ ist auffällig. Ich glaube durchaus, dass der Arbeitgeber so vorgegangen ist und die Arbeitnehmer aus Unwissenheit und/oder Angst dies akzeptiert haben. Eine Pause wäre nämlich erst ab einer Arbeitszeit von mehr als 6 h/Tag erforderlich (vgl. § 4 ArbZG). Die von den MA zu erledigenden Aufgaben haben sich aber mit Sicherheit nicht reduziert, so dass sich vermutlich auch die tatsächliche Arbeitszeit nicht reduziert hat.

    "Wo kein Kläger, da kein Richter.“

    Dass der Arbeitgeber bis dahin die Pausen der MA mitbezahlt hat, ist wenig glaubhaft. Natürlich kann ich durch so eine Vertragsgestaltung mit entsprechender monatlicher Quittierung der geleisteten Arbeitsstunden auf diese Weise nach außen darstellen, dass der Mindestlohn eingehalten wird. Entscheidungserheblich ist jedoch, wie lange die Mitarbeiter tatsächlich tätig sind.

    Auch das Beladen des Reinigungs-Wagens durch den Zimmerservice, beispielsweise, ist Arbeitsleistung und muss entsprechend vergütet werden, mithin bei der Erfassung der Arbeitszeit berücksichtigt werden. Das Weglassen der Erfassung dieser Tätigkeiten kann ebenso wie das Nichterfassen der Überstunden zum Unterschreiten des Mindestlohns führen. Aber – wo kein Kläger, da kein Richter.“

    Geringer Kontrolldruck

    Für das Aufdecken und Verhindern solcher Verstöße ist deutschlandweit der Zoll zuständig, genauer gesagt, die „Finanzkontrolle Schwarzarbeit“. Im vorigen Jahr eröffnete der Zoll auch über 2.500 Ermittlungsverfahren und diese endeten in jedem zweiten Fall auch mit der Zahlung eines Bußgeldes.

    Doch der Kontrolldruck ist - „aus Ganze gerechnet“- nicht sehr hoch. Denn bei einer Gesamtzahl von 2,2 Millionen Betrieben mit mindestens einem sozialversicherungspflichtig Beschäftigten wurden in 2017 gerade einmal 2 Prozent aller infrage kommenden Betriebe überprüft. Die Bezahlung nach wenigstens dem gesetzlichen Mindestlohn - sie wird also auch künftig keine Selbstverständlichkeit sein.

    Downloads
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    mittel
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    SD - https://rodlzdf-a.akamaihd.net/none/zdf/18/06/180611_clip_3_wis/1/180611_clip_3_wis_476k_p9v13.mp4

    #Deutschland #Arbeit #Milo #Mindestlohn

  • Massive Verstöße bei Backshops - Friedenau - berliner-woche.de
    http://www.berliner-woche.de/friedenau/wirtschaft/massive-verstoesse-bei-backshops-d161714.html
    Warum? Will niemand Feierabend machen?

    Auch wenn in Berlin 75 Prozent konfessionslos sind, ein Verkaufsverbot an hohen kirchlichen Feiertagen gibt es trotzdem. Bei Kontrollen wurde aber jetzt festgestellt: Betriebe wollen partout Kasse machen.

    Am Ostermontag war es, als Mitarbeiter des Ordnungsamts und Beamte der Berliner Polizei sich auf Kontrollgang begaben. „In diesem Jahr waren wir zur Kontrolle der Ladenöffnung an Feiertagen im südlichen Bereich von Schöneberg, in Friedenau, und in Schöneberg-Nord rund um die Kurfürsten- und die Hauptstraße unterwegs“, hat Ordnungsstadträtin Christiane Heiß (Grüne) nun mitgeteilt.

    Dabei habe es „massive Verstöße“ gegen das Berliner Ladenöffnungsgesetz gegeben. 18 Betriebe wurden kontrolliert. Die schwarzen Schafe waren Blumenläden und Bäckereien.

    Drei Betrieben wurde sogar Vorsatz nachgewiesen. Es handelt sich in allen drei Fällen um Backshops in Friedenau. Besonders dreist sei eine Bäckerei gewesen, erzählt Stadträtin Heiß. Sie hat bereits zum dritten Mal ein sehr hohes Bußgeld erhalten. Das Geschäft befindet sich aber schon im Nachbarbezirk Steglitz-Zehlendorf. Das Ordnungsamt Tempelhof-Schöneberg leistete Amtshilfe.

    Den Geschäftsführern der ertappten Läden droht nun eine Geldbuße in Höhe von bis zu 2500 Euro. In besonderen Fällen können es sogar bis zu 15 000 Euro werden. „Nach dem Ordnungswidrigkeitengesetz soll die Geldbuße den wirtschaftlichen Vorteil übersteigen, den die Betreiber aus dieser Zuwiderhandlung gezogen haben“, erläutert Stadträtin Christiane Heiß.

    #Berlin #Steglitz #Friedenau #Mindestlohn #Späti