Pourquoi un futur moins technologique sera plus désirable
▻https://usbeketrica.com/article/futur-low-tech-plus-desirable
Low-tech or not low-tech ?
#low-tech #climat #effondrement #pollution #frugalité #minimalisme
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Déconsommation : mode ou nécessité ? Aurélie Kieffer et Lise Verbeke - 28 Septembre 2018 France Culture
▻https://www.franceculture.fr/emissions/grand-reportage/deconsommation-mode-ou-necessite
L’ère est à la déconsommation. Consommer moins, mieux et autrement. Depuis quelques années, cette tendance se confirme. Nous achetons moins de viande, de produits d’hygiène, de vêtements. Chaque déconsommateur a ses raisons, économiques, environnementales ou simplement pour se sentir mieux.
▻https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/10084-28.09.2018-ITEMA_21828392-0.mp3
Nous achetons moins de viande, moins de plats préparés, moins de vêtements. La déconsommation n’est pas une vue de l’esprit, mais une tendance qui infuse doucement dans la société.
La preuve par les chiffres : le bureau d’études IRI a établi, pour le premier semestre de l’année 2018, « une baisse des volumes d’un niveau jamais atteint en 5 ans ». Et le plus flagrant concerne l’alimentation et les produits d’hygiène, les ventes ont baissé de 1,2% selon la société d’études.
La fièvre acheteuse des Trente Glorieuses ne s’empare plus des consommateurs. Les supermarchés voient leur nombre de clients diminuer lentement. Mais si le consommateur achète moins et différemment, ses motivations sont diverses.
Consommer moins, pour boucler ses fins de mois
L’une des premières raisons lorsque le consommateur se lance dans un processus de déconsommation reste d’ordre économique. Comment vivre correctement, sans frustration et manque, tout en gardant son compte bancaire dans le vert à la fin du mois ? Herveline Verbeken s’est posée cette question avec son mari, quand ils se sont lancés dans un projet immobilier. Cette Normande de 38 ans, assistante de direction, a d’abord décidé de décortiquer ses relevés bancaires des derniers mois.
Nous n’avions pas de problème d’argent, mais nous avions tout de même l’impression d’être pris à la gorge et de ne pas épargner. Nous achetions des montres, des bijoux, du maquillage, sans compter, sans faire les comptes, comme beaucoup de gens, je pense. Quand je me suis penchée sur mes dépenses, là, ça nous a fait mal, car nous nous sommes rendus compte que nous avions une grosse case « indéterminée », on ne savait pas où était parti l’argent.
A coup de tableaux, de colonnes recettes et dépenses, Herveline a établi un budget, sur le mois, mais aussi sur plusieurs années pour parer à toutes dépenses.
Chaque dépense et recette d’Herveline et sa famille sont répertoriées dans un tableau au centime prés.• Crédits : Lise Verbeke - Radio France Avec une amie, Marie Lefèvre, elles ont toutes les deux créé un groupe Facebook : « Gestion budgétaire, entraide et minimalisme ». Plus de 130 000 personnes y adhèrent aujourd’hui, pour « aider les personnes à s’en sortir mieux financièrement avec des astuces écologiques et éthiques ». On y partage des recettes de lessive au lierre, des conseils pour réduire sa facture EDF, des idées de cadeaux de Noël faits maison, des exemples de tableaux pour apprendre à gérer son budget. Une entraide pour parvenir à consommer moins, mieux, autrement.
▻https://www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=D3ULyERfYmE
Pour aller plus loin que cette simple entraide virtuelle, un peu partout en France, s’est développé depuis quelques années le concept de Repair Café. Dans la métropole lilloise, il en existe une vingtaine. En plein centre de Lille, le Repair Café a lieu tous les troisièmes mardis du mois, à la Maison régionale de l’environnement et des solidarités. Des bénévoles, souvent des retraités, aident et apprennent aux gens à réparer leurs objets cassés. C’est Christophe qui a monté ce Repair Café, « en voyant un reportage sur le premier café de ce genre à Amsterdam en 2009 ».
Chaque troisième mardi du mois, une cinquantaine de personnes viennent au Repair Café de Lille. • Crédits : Lise Verbeke - Radio France Tous les milieux sociaux se retrouvent au Repair café, des jeunes et des moins jeunes, le café fait le plein à chaque rencontre. « Ils en ont marre de jeter, marre de racheter, mais certains veulent aussi réparer de vieux objets qui ont une valeur sentimentale à leurs yeux », détaille Christophe.
Pour nous, le principe du Repair Café, c’est qu’il doit être le plus local possible, proche des gens, pour participer à la transition écologique mais cela créé aussi du lien entre les gens - Christophe
Consommer moins, pour protéger la planète
Au-delà des questions économiques, décider de réduire sa consommation s’inscrit aussi dans une démarche écologique, pour ceux qui se considèrent comme des consom’acteurs. C’est le cas de Fabien, trentenaire, chargé de communication dans un grand groupe. Sensibles aux questions environnementales, lui et sa femme ont peu à peu modifié et réduit leur consommation, « pour faire un geste, à notre échelle ». Il a trouvé des solutions près de chez lui, dans la métropole lilloise. Il réduit ses emballages, achète ses légumes, fruits, produits laitiers et viande au Courtcircuit.fr, un « drive fermier », avec des producteurs des Hauts-de-France.
L’un des points de retraits du Courcircuit.fr à la gare Lille Europe, où Fabien va chercher ses légumes chaque vendredi. • Crédits : Lise Verbeke - Radio France Chaque mois, Fabien se rend aussi à Roubaix, une ville considérée comme la pionnière du « zéro déchet » en France, dans une épicerie vrac où il remplit ses bocaux de pâtes, de riz, de chocolat ou de thé en ne prenant que la quantité dont il a besoin pour éviter tout gaspillage.
Coline Huc, la gérante de la boutique en vrac, « Un Grain dans le bocal », à Roubaix. • Crédits : Lise Verbeke - Radio France La gérante de la boutique « Un grain dans le bocal », la première épicerie de ce genre à Roubaix, s’est installé il y a un an. « J’étais responsable de communication dans la grande distribution, explique Coline Huc, j’avais envie de changer et j’ai regardé un reportage sur le zéro déchet à Roubaix. J’ai essayé de le faire chez moi, je me suis dit qu’il y avait quelque chose à faire et je me suis lancée ». L’avantage du vrac est que le consommateur achète uniquement la quantité dont il a besoin et évite le gaspillage alimentaire.
Consommer moins, pour se sentir mieux
Je consomme, donc je suis ? Ce mantra est balayé d’un revers de main par Camille et Delphine. Déconsommer devient une mode, un nouvel art de vivre.
Camille habite Clamart, au sud de Paris. Dans sa maison, chaque objet est éthique, sain, fait en matériaux non polluant et naturels, les jouets de son fils, les meubles, les matelas, les vêtements. La blogueuse s’est lancé un défi l’année dernière, un défi « zéro conso ».
Je me suis mise à consommer plus quand j’ai compris comment bien consommer. Quand j’allais dans des vide-greniers, je remplissais la maison de choses saines, cools, pas polluantes, mais je n’en avais quand même pas besoin. J’ai donc compris qu’il fallait que j’arrête de me donner des besoins là où je n’en avais pas. Et aujourd’hui, je n’ai pas de frustration. Par exemple, quand je vois sur Instagram un super beau tapis, alors que j’en ai acheté un il y a trois ans, l’envie passe. Mais ce sont des étapes, car il y a quelques années, je l’aurais acheté !
Parfois, le processus de déconsommation est poussé jusqu’à l’extrême, jusqu’à ne plus posséder que le minimum. Delphine se définit comme appartenant au mouvement des minimalistes. Cette quadragénaire vit dans un appartement épuré, près de Genève, avec son fils de 6 ans. Le minimalisme n’a pourtant pas toujours été son mode de vie.
Delphine a travaillé pendant 10 ans dans le secteur de la banque à Genève.
J’étais une shopping addict, je ne vivais que par ça. J’étais une sur-consommatrice. J’étais dépendante à cette petite adrénaline que je ressentais quand j’insérais ma carte bancaire, j’étais dépendante à ce petit plaisir là.
Delphine vit à Genève et tient un blog « Mon truc en moins » où elle décrit son mode de vie minimaliste• Crédits : Lise Verbeke - Radio France Un jour, elle a eu un déclic, lors d’un séjour à Londres où elle se réjouissait de refaire sa garde robe. Elle s’est rendue compte que rien ne lui faisait envie. Puis, son médecin l’a arrêtée pour burn-out. « J’ai passé 15 jours à ne rien faire d’autre que ranger chez moi, et lire des choses sur le minimalisme ». Un mouvement dans lequel elle se retrouve et depuis, elle s’est débarrassée de beaucoup de choses chez elle, des vêtements, des livres, des produits de beauté, et même des souvenirs, des photos, des lettres d’amour.
Grand Reportage de Lise Verbeke
#Déconsommation #consommation #gaspillage #minimalisme #repair-café #courses
Origine de l’information : La revue de presse ►https://seenthis.net/people/lescrises
►https://www.les-crises.fr/revue-de-presse-du-06-10-2018
L’#urbanisation du #Japon, le pays des #possibles, partie 3 : #Sou #Fujimoto.
Les #possibilités d’#urbanisation du Japon sont le sujet principal de cette #interview de l’#architecte #japonais Sou Fujimoto faite par Marie Bélœil.
►https://www.courrierinternational.com/article/larchitecte-japonais-sou-fujimoto-chaque-mur-est-une-fenetre
Publié le 11/05/2O18
Vu le 07/06/2018
Figure importante du « #minimalisme » japonais, Sou Fujimoto, en répondant à la journaliste, nous permet de placer de nouveaux #concepts à propos de ses choix d’organisation #urbains japonais. Selon lui la #maison est « à la fois un nid et une grotte, une fusion moderne des deux », elle fait partie de la #société et donc du domaine du #public tout en recueillant la sphère #privée. Il considère également qu’il y a un lien important entre #nature et #architecture étant donné le lien important entre la nature et l’homme et des choix à faire vis-à-vis de la #relation qu’ils entretiennent. De plus, « la nature est une grande source d’#inspiration. » L’#habitat selon lui est fondée sur les notions de « transparence », de « division » ou encore d’« identification », en un mot il est fondé sur les « relations entre les #individus et entre l’#individu et la société », celle-ci devant de préférences être basées sur « [la] #diversité et [l’]harmonie. [La] #différence et [la] #tolérance. » Aussi pense-t-il la question de la « fenêtre » en fonction de ses relations, et considère-t-il les notions de #fenêtres et de #murs étroitement liées.
Les murs séparent, relient et créent du lien. La présence d’un mur éveille la curiosité pour ce qui se trouve derrière. Les murs ne sont pas des #barrières et peuvent au contraire servir de point de départ à des #rencontres.
Le #mur est une #fenêtre. Les murs et leurs ouvertures se définissent toujours les uns par rapport aux autres. Pour moi, une #ouverture sans fenêtre n’est pas un mur. Et une fenêtre sans mur n’est pas une fenêtre.
D’autres questions lui sont posées, à propos de ses allusions à Le #Corbusier, à propos du Ministère de la Solitude au Royaume-Unis ou encore à propos de ses #projets en France comme notamment celui de l’Arbre Blanc ou encore celui en partenariat avec #OXO #Architectes : le projet Mille Arbres. Cependant nous nous intéresserons désormais à l’aspect problématique du développement urbain rapide du Japon et ses limites.
Stephen Shore. Yesterday’s America at MoMA - Domus
▻https://www.domusweb.it/en/news/2017/12/01/stephen-shore-yesterday-s-america-at-moma.html
J’ai découvert aujourd’hui ce site d’information sur l’art, le graphisme, l’architecture, le design, et il a fallu que je me fasse une extrême violence douloureuse pour ne pas y rester des heures. C’est beau, c’est riches, j’ai découvert des merveilles et des merveilles, mais il me faut aussi nourrir mes enfants et payer les traites de la maison. Cela dit je le signale quand même mais ne venez pas vous plaindre après que vous avez crashé vos deadlines.
He started developing negatives from his parents when he was only 6, received his first camera when he was 9. At the age of 14 he called up Edward Streichen, then director of MoMA’s Department of Photography, and offered him to have a look at his work: Streichen said yes and bought three of his pictures. Forty years before the mind-blowing rise of Instagram, in March 1972, he started keeping a visual diary of his daily life, taking snapshots of everyday objects, unremarkable buildings, hotel rooms, people’s faces, unmade beds, and much more.
#photographie #états-unis
#beau #minimalisme un peu #road_movie aussi
#stephen_shore un de mes petits chouchous depuis toujours !
Waldoscope : Malibu - Drift Day 10 / La Costa Beach
▻http://waldoscope.blogspot.com/2017/12/malibu-drift-day-10-la-costa-beach.html
Toujours cette extraordinaire série photographique.
#états-unis #photographie #Minimalisme #rien mais tout
(38) I am making art- #John_Baldessari 1971 - YouTube
Merci Kahena Sanaâ pour le signalement
I am making art- John Baldessari 1971
▻http://www.erictabuchi.net/filter/Photoworks
Très intéressant travail photographique
#photographie #monde_intersticiels #beau #simple #minimalisme #fin_d_empire #époque
@cdb_77 Tu es fâchée ? Même pas un petit cc @philippe_de_jonckheere ?
Tabuchi le croisement réussi entre de nombreuses démarches, celles des nouveaux documentaristes américains (Sternfled Meyerowtich, Misrach, Shore ... ) et des époux Becher, matiné d’un peu de mission DATAR en France (Garnell etc...).
@philippe_de_jonckheere : NEEEEEEINN ! C’est que... parfois j’oublie (sorry), parfois j’ai pas envie d’embêter le monde
:-)
@cdb_77 Tu ne m’embêtes jamais, et, dans le cas présent, je suis taquin, manière de te remercier, une fois de plus, pour de tels signalements ! Amicalement.
Des films en feuilles de papier
▻http://www.laboiteverte.fr/films-en-feuilles-papier
Bunch of Kunst - Sleaford Mods: Die wütendste Band Englands | ARTE MEDIATHEK | ARTE
▻http://www.arte.tv/de/videos/075202-000-A/bunch-of-kunst
Ce « road-movie » à travers la Grande-Bretagne raconte l’histoire de ce duo de rappeurs (blancs) au flow rageur. Les Sleaford Mods aiment brocarder le parti conservateur, tirer à vue sur les mirages de la célébrité ou raconter par le menu la vie en bas de l’échelle sociale. Ce duo s’inscrit dans la tapageuse lignée des grandes gueules anglaises, de Johnny Rotten à The Streets.
▻https://www.youtube.com/watch?v=Vc_6SCpTtjU&list=RDVc_6SCpTtjU#t=72
Je les mettrais plus volontiers sous punks que rap.
@vanderling
Ils étaient en concert à Rennes @unagi le 22 mai dernier. Je n’y étais pas, trop fatigué, c’était un lundi. Voici une courte interview après leur balance de 15 mn à la salle Ubu.
▻http://rennesmusique.com/sleaford-mods
Je rajoute : #hip_hop #Working_class_heroes #punchlines #groupe_prolétaire
- Tu es fan de la culture punk des Sex Pistols, du Wu-Tang Clan. Le son de Sleaford Mods en est logiquement très influencé. Ce sont deux références importantes pour toi. Il y en a d’autres ?
– Oh oui beaucoup d’autres. J’ajouterais Two Lone Swordsmen, The Jam. J’écoute beaucoup de hip-hop, de folk, de guitare acoustique. J’écoute vraiment de tout mais on est quand même sur un mélange de punk et de hip-hop.
je connais pas les premiers par contre The Jam, en effet ça tombe sous le sens.
Merci @vanderling Two lone swordsmen je connaissais le nom mais sans pouvoir mettre quelque chose dessus, voilà.
Je viens de découvrir que IceT est maintenent en groupe Metal « Body Count » @vanderling
Je ne connaissais pas Death Grips @unagi je n’aime pas trop Giving Bad People (la video n’est pas terrible) la seconde me plaît mieux, mais je dois écouter plusieurs fois avant de rentrer dedans. Je note Death Grips dans ma liste de recherche à la médiathèque. Où j’ai emprunté le Bloodlust de Body Count, ah il est bien, ouais bien bien, plus accessible à mon goût (un peu bourrin quoi !) .
Oui la video est bien pourrit... Merci pour Unsane. @vanderling
Mais je me marre bien
@vanderling
Comment n’avoir pas pensé au breakcore.. That is the question.
je sais pas @unagi je viens d’épingler une chouette prestation de Black Sabbath sur Tumblr, je m’en lasserai jamais.
All girl band from Memphis who happened to be Alex Chilton’s protégés; primal, loose rock’n’roll à la Chilton/Dickinson/Tav Falco in a wild and primitive No Wave/DIY punk style … Whether you like Charlie Feathers or Kleenex, The Cramps or Lydia Lunch, you will adore the Klitz, the unadulterated sound of the Memphis underground !
▻https://www.munsterama.com/site/index.php?mode=spot&skuid=32111
du côté des filles #The_Klitz découvert par et elles sont sur Bandcamp.
▻https://theklitz.bandcamp.com/track/chameleon
Tu vas passer pour le dernier de romantiques.@vanderling
Pour Black Sabbath, j’ai une éducation à refaire, a l’époque j’accrochais pas du tout au genre et maintenant c’est un peu trop proche du rock pour moi.
▻https://www.youtube.com/watch?v=lk2-bgwA0Ro
Napalm death, je viens de les rater à Berlin... Un label japonas, tout les albums sont sous cc et téléchargeables gratuitement.
« Grindcore karaoké » ▻http://grindcorekaraoke.com
Tu pourrais aller faire un tour en indonésie et métal.Ca rigole pas.
merci @unagi je regarderai et écouterai ça de plus près + tard
vu les noms et le visuel de ton lien #grindcore_xtreme, ça promet.
▻https://nnnco.bandcamp.com/album/no-nazi-noise
Originally released as a cd-r+zine compilation. Over an hour of music with half-page sized booklet containing artists’ writings about their experiences with right-wing racism in the noise scene.
More than a dozen international artists in the genres of harsh noise, glitch, improv, digital hardcore, and more opposing bigotry, fascism, homophobia, misogyny, and prejudice in noise.
Release of the compilation was commemorated with a huge release show including almost a dozen performers as well as a week-long East Coast US tour featuring Dormant Conscience, Black Bloc, and Cincinnatus C.
Curated by NNNCoalition co-founder RJ Myato.
ça n’a plus rien à voir avec « Sleaford Mods » j’ai trouvé ce bandcamp sur je ne sais plus quel site qui mentionnait aussi celui de grindcorekaraoke.com
Edward Auer, pianiste américain, avait peuplé mes soirées dans les années 1970 avec son interprétation inouïe des préludes de Chopin. La plus belle que j’ai jamais entendue, avec très très peu de pédale, des tempi plus lents que d’habitude, et des aigus finement cristalisés, des chants qui ressortent.
J’ai retrouvé par hasard sa trace ce soir dans un concert enregistré en Corée où il interprète le 1er concerto de Chopin avec une formation de chambre (un quatuor + une basse). je n’avais jamais entendu ce concerto dans cette forme auparavant.
Et ce minimalisme fait de cette oeuvre quelque chose de très intéressant, très bien mise en valeur par Edward Auer qui n’a rien perdu de son jeu magique.
Chopin E minor Concerto Live | Allegro Maestoso | Part 1 of 2 -
Mini-Mallism — Visiting Atlantic Place Shopping Center | Eric Brightwell
▻http://ericbrightwell.com/2015/04/10/mini-mallism-visiting-atlantic-place-shopping-center
Strip malls (also called mini-malls, pod malls, power centers, retail parks, shopping centers, and shopping plazas) are symbols of suburbia that although overabundant are rarely paid much attention. I find them interesting, however, mainly because I’m amused by their often pretentious names and ornamentation which I guess is designed to elevate their meager sense of place. More importantly, they’re also often home to the best restaurants in town. However, as poorly-designed vestiges of a vanishing car-dependent era, even the best strip malls are increasingly faced with either demolition or better yet, adaptation. As the great Ted “Theodore” Logan once said, “Strange things are afoot at the Circle K.” I will investigate these strange things in the series, Mini-Mallism.
very small #shopping_centers #malls almost #ghost_town #espace_public #dfs #minimalisme
la spirale
▻http://spirale.io/129
consommez-vous beaucoup d’eau ?
Angela Morelli, ambassadrice pour la cause de l’eau, a travaillé sur une infographie concernant notre consommation d’eau.
La force de l’infographie est de faire visualiser des chiffres et des comportements et de faire prendre conscience de notre réalité.
3 496 litres d’eau par jour, c’est ce que nous consommons à titre individuel.
▻http://www.expemag.com/voyage/viewtopic.php?id=6397
Une petite idée pour les frileux (comme moi) : la Bouillotte.
J’ai fais un parcours au Pays Bas en fin d’hiver (Mars). Or, je suis un gros très gros frileux...
J’ai donc embarqué dans mes affaires une bouillotte...(si, si...j’en vois qui rigole dans le fond de la classe). Léger, ne prenant pas trop de place, c’est assez pratique.
Je la place dans le sac de couchage pendant que je mange et je suis très content de pouvoir me glisser après dans mon « lit » douillet. Attention !!!, ne pas placer la bouillotte chaude sur le tapis de sol gonflable...il ne va pas apprécier et risque de décoller la membrane interne...cela donne un tapis avec une grosse bosse, et donc c’est foutu (Vécu...si, si...là, vous pouvez rigoler... )
Enfin, comme l’eau est une ressource rare en rando...(sans compter que le poids est incompressible...l’eau lyophi n’existant pas encore...).
J’utilise l’eau contenue, le lendemain pour faire la vaisselle : la tasse et les couverts. Car les repas lyophilisés ont l’avantage énorme d’utiliser l’emballage comme « assiette ».
Autre idée...pour la toilette...Une paire de chaussettes...
Une que je mouille et que je savonne pour se laver, l’autre que je mouille pour rincer...
Le lendemain, je les rince à la 1ère fontaine venue, et les fait sécher sur les sacoches. Ainsi, elles sont prêtes de nouveau pour le soir.
L’économie d’eau est conséquente, et on peut même s’offrir le luxe de se laver à l’eau chaude...et çà c’est cool.
#mul #minimalisme #leger #lifehacks