• Guerre en Ukraine. Le volontaire français tué sur le front était originaire du Calvados [et membre d’un groupe néo-nazi…]
    https://www.ouest-france.fr/monde/guerre-en-ukraine/guerre-en-ukraine-le-volontaire-francais-tue-sur-le-front-etait-origina


    Wilfried Blériot, en treillis français mais avec des écussons ukrainiens.
    ARMÉE UKRAINIENNE

    Originaire de Bayeux (Calvados), son nom figure dans la liste officielle diffusée par les autorités ukrainiennes, ce samedi 4 juin 2022, avec ceux de trois autres volontaires étrangers tués au combat.

    Les forces armées ukrainiennes ont diffusé, samedi 4 juin, les noms de quatre volontaires étrangers tués au combat cette semaine dans l’est du pays.

    Selon la Légion internationale de défense de l’Ukraine, les volontaires tués sont néerlandais, australien, allemand et français. Il s’agit de Ronald Vogelaar, Michael O’Neill, Björn Benjamin Clavis, et du Français Wilfried Blériot.

    Ce dernier, qui avait rejoint la Légion internationale de défense ukrainienne, aurait été tué le vendredi 2 juin dans la région de Kharkiv, selon des déclarations de sa mère à Europe 1. Il est originaire de Bayeux (Calvados), où il est né en décembre 1989.
    Aider les gens

    Après le lycée, Wilfried Blériot, avait enchaîné plusieurs petits boulots dans le bâtiment, l’industrie et l’ostréiculture. En 2013, après un parcours un peu mouvementé, il avait signé un emploi d’avenir à Bayeux Intercom, poste qu’il a tenu pendant une petite période, confiait un élu ce samedi 4 juin au soir.

    Âgé de 32 ans, papa d’une petite fille, il ne trouvait pas sa place en France, a confié à Europe 1 sa maman, qui a tenu un commerce de brocante dans le Bessin.

    Il voulait aider les gens​, ce qui l’aurait motivé à rejoindre l’Ukraine quand il a eu l’énorme choc ​de l’invasion russe en Ukraine.« D’abord, il a pris le bus à Paris pour se rendre en Pologne. Il est arrivé dans une mission humanitaire pour aider les Ukrainiens qui fuyaient le pays. »​Mère et fils seraient restés en contact brièvement par le biais de messageries cryptées ensuite.

    Peu d’expérience militaire
    Dans une vidéo sur le site Reddit, postée début mars, Wilfried Blériot détaillait en anglais son engagement, précisant qu’il n’avait qu’une expérience militaire d’une année​. Cette vidéo, où il montre sa carte d’identité française, a été filmée à la frontière polonaise avant son passage en Ukraine. Il y a rejoint l’unité internationale créée par les forces ukrainiennes pour les renforcer dans leur lutte contre les Russes.

    Le Français, victime d’un tir d’artillerie russe, aurait succombé à ses blessures dans un secteur non spécifié du front de l’est. Sa mère attend aujourd’hui que son corps soit rapatrié en Normandie, où elle réside.

    • Offensive russe : ce que l’on sait sur le profil du combattant français mort en Ukraine - Le Parisien
      https://www.leparisien.fr/international/notre-frere-darmes-est-mort-lextreme-droite-rend-hommage-au-combattant-fr

      Le jeune homme avait rejoint la légion internationale de défense ukrainienne et est décédé au combat dans la région de Kharkiv.

      Qui était-il ? Trois jours après le décès au combat de ce Français mort en Ukraine, le profil de ce jeune commence à se dessiner. Entre hommage appuyé de groupes proche de l’extrême droite et un « attachement » au peuple ukrainien, selon ses proches, éléments de réponse sur ce légionnaire âgé de 32 ans mort ce vendredi.

      « Notre frère d’armes est mort »
      « Notre frère d’armes est mort le 1er juin en défendant l’Europe et l’Ukraine des hordes asiatiques. Il est mort en homme avec un AK dans les mains lors d’un bombardement russe dans la région de Kharkiv » Ce sont les postés dans la nuit de vendredi à samedi sur le compte Telegram de la « #Misanthropic_division », un groupe fondé par d’anciens combattants du Donbass, rapporte Libération.

      Ces mots font référence à un certain Wilfrier B., normand, « fier membre de la WSMDivision, légionnaire français, homme qui a combattu contre le bolchevisme et les antifascistes toute sa vie ». Le jeune homme serait décédé alors qu’il combattait dans la région de Kharkiv.

      Il a « vécu comme un vrai homme, il s’est battu comme un guerrier et est mort comme un héros. Souvenir éternel. Gloire aux héros », ajoute le groupe dans un autre message. Le Quai d’Orsay ne confirme cependant pas l’identité du jeune homme. Une cagnotte a par ailleurs été mise en place et a déjà récolté une poignée d’euros, rapporte encore Libération.

      « Il s’est énormément attaché à ce peuple »
      Interrogée par Europe 1 samedi, la mère du jeune homme, expliquait être « très fière de lui », expliquant qu’ « il avait trouvé sa place là-bas », en Ukraine. Selon elle, son fils est décédé mercredi : « Le dernier message de mon fils date du 1er à juin à 6h56. Je lui ai répondu et lui non », détaille-t-elle.

      Concernant ses motivations, elle met en avant l’envie que son fils avait d’aider les Ukrainiens : « D’abord, il a pris le bus à Paris pour se rendre en Pologne. Il est arrivé dans une mission humanitaire pour aider les Ukrainiens qui fuyaient le pays. Il s’est énormément attaché à ce peuple ».

      Selon la mère du légionnaire, ce dernier « ne trouvait pas sa place en France », et c’est ce qui l’a motivé à rejoindre le front ukrainien. « Il voulait aider les gens », explique-t-elle encore. Le jeune homme était par ailleurs père d’une petite fille de huit ans. « Il nous aimait mais il avait décidé de faire cela. Il voulait faire cela. Quand on aime son enfant, on respecte ses choix »,

      Discrétion du Quai d’Orsay
      Vendredi, le ministère des Affaires étrangères a annoncé la mort d’un ressortissant français. Le jeune homme avait rejoint la Légion internationale de défense ukrainienne et participait aux combats contre l’armée russe, d’après Europe 1. Le combattant français a été tué « ces derniers jours » dans la région de Kharkiv, « mortellement blessé par des tirs d’artillerie ».

      « Nous avons appris la triste nouvelle qu’un Français avait été mortellement blessé dans des combats en Ukraine », a fait savoir le Quai d’Orsay, ajoutant présenter ses « condoléances à sa famille. » Près de 150 Français participeraient aux combats aux côtés des Ukrainiens.

    • Ah la joie de déverser pour plus de 40 milliards de dollars d’armes lourdes sur des troupes formées de la fine fleur de l’extrême-droite européenne…

      À ma connaissance, contrairement aux Rojava, et malgré les innombrables articles expliquant qu’il fallait que les gauches occidentales soient « aux côtés » des Ukrainiens, je n’ai pas eu connaissance du moindre mouvement de mobilisation armé d’extrême-gauche dans ce coin. Quand nos médias émus nous ont annoncé la mort du « premier français » sur le front, est-ce que tout le monde n’a pas immédiatement suspecté que le profil politique du gars serait hum hum… ?

  • Ils participent à la terreur depuis la #Suisse
    Les #néonazis ukrainiens sont soutenus par des Suisses.

    Des Suisses soutiennent des groupes néonazis face aux prorusses dans le conflit ukrainien. C’est ce que révélait hier la SonntagsZeitung. Ces personnes – qui vivent pour certaines dans les cantons de Genève, de Vaud, du Valais ou à Saint-Gall – se sont regroupées sous la curieuse appellation #Misanthropic_Division_Schweiz (Division misanthropique Suisse), mouvement fondé en automne dernier selon le journal.


    http://www.lematin.ch/suisse/participent-terreur-suisse/story/23264650
    #Ukraine #extrême_droite