info collection #modern_slavery
Global Slavery Index
►https://www.globalslaveryindex.org
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Du commerce triangulaire à l’esclavage moderne
►https://visionscarto.net/esclavage-moderne
Large DNA Study Traces Violent History of American Slavery
►https://seenthis.net/messages/869376
Il y a plus d’esclaves aujourd’hui qu’il n’y en a eu du XVIe au XIXe siècle
▻http://speech.konbini.com/news/plus-esclaves-aujourdhui-que-du-xvie-au-xixe-siecle
D’après une étude de l’économiste spécialisé Siddharth Kara, relayée par The Guardian, il y a aujourd’hui deux fois plus d’esclaves que durant les 350 années du trafic d’esclaves, qui s’est déroulé du XVIe au XIXe siècle. Sur toute cette période, on a comptabilisé 13 millions d’esclaves ; aujourd’hui, ils sont près de 21 millions.
Pour établir les conclusions dramatiques de son livre à paraître Modern Slavery ("l’esclavage moderne"), Siddharth Kara a enquêté pendant quinze ans dans 51 pays et interviewé pas moins de 5 000 personnes victimes de l’esclavage. Selon l’économiste, le trafic d’êtres humains est devenu le troisième marché le plus juteux du marché noir, derrière la vente d’armes et le trafic de drogues. Car la vie d’un homme ou d’une femme rapporte gros à celui qui l’exploite.
Sous nos yeux
« Il s’avère que l’esclavage moderne est nettement plus rentable que je ne l’avais imaginé […]. Chaque année, on estime que ce trafic rapporte 150 milliards de dollars aux exploitants », s’alarme Siddharth Kara auprès du média britannique. « Pour chaque esclave, les profits annuels peuvent varier de quelques milliers de dollars à plusieurs centaines de milliers d’euros par an ».
C’est l’esclavagisme sexuel qui culmine au sommet de ce triste classement. Ses victimes représentent 5 % du nombre total d’esclaves, mais sont de loin celles qui génèrent le plus d’argent : en moyenne 36 000 dollars (30 500 dollars) par an et par victime. C’est peut-être le visage le plus médiatisé de l’esclavage moderne, mais d’après un rapport de l’ONU sur le trafic des êtres humains, les domaines où des millions d’hommes, femmes et enfants sont exploités sont dramatiquement nombreux : enfants soldats, mendicité ou mariage forcés, trafic d’organes, ventes d’enfants, travaux en tout genre…
« L’esclavagisme se déroule juste sous nos yeux », enfonce le média britannique, « c’est particulièrement courant dans les industries du bâtiment, de l’agriculture, de la pêche ou des travaux domestiques ». Bref, des secteurs où les contacts avec l’extérieur sont limités et où l’exploitation de l’humain par l’humain peut suivre son triste cours.
Truck-driving is a modern form of indentured slavery / Boing Boing
▻http://boingboing.net/2017/06/21/pacific-9-transportation.html
The current situation stems from a California rule that banned out-of-date, polluting diesel trucks from its ports. Trucking companies bought all-new trucks with better emissions profiles, then forced their workers to sign contracts through which they assumed all debt for this new fleet, with payments to be taken from their paychecks. The workers were made to sign on pain of immediate termination, without access to a lawyer or advisor, and many didn’t speak or read English well enough to understand the contracts.
Rigged. Forced into debt. Worked past exhaustion. Left with nothing. - USA TODAY
▻https://www.usatoday.com/pages/interactives/news/rigged-forced-into-debt-worked-past-exhaustion-left-with-nothing
https://www.gannett-cdn.com/experiments/usatoday/responsive/2017/05-truckers/assets/images/share.jpg A yearlong investigation by the USA TODAY Network found that port trucking companies in southern California have spent the past decade forcing drivers to finance their own trucks by taking on debt they could not afford. Companies then used that debt as leverage to extract forced labor and trap drivers in jobs that left them destitute.
If a driver quit, the company seized his truck and kept everything he had paid towards owning it.
If drivers missed payments, or if they got sick or became too exhausted to go on, their companies fired them and kept everything. Then they turned around and leased the trucks to someone else.
Drivers who manage to hang on to their jobs sometimes end up owing money to their employers – essentially working for free. Reporters identified seven different companies that have told their employees they owe money at week’s end.
#USA #Ausbeutung #LKW #Arbeit