• “Islamogauchisme” : Le piège de l’Alt-right se referme sur la Macroniehttps://politoscope.org/2021/02/le-piege-de-lalt-right-se-referme-sur-la-macronie

    Le terme « islamo-gauchisme » est donc avant tout une arme idéologique utilisée dans un discours hostile pour discréditer une communauté politique indépendamment de la réalité qu’il est supposé désigner.

    Une cartographie de l’ensemble des échanges Twitter avec identification des communautés politiques révèle d’ailleurs très bien cette organisation dichotomique des échanges autour de cette expression. La figure 2 montre deux blocs qui s’affrontent : d’un côté les communautés d’extrême-droite et LR qui utilisent ce terme de manière hostile pour dénigrer ou stigmatiser la communauté LFI, de l’autre LFI qui se défend. On remarquera par ailleurs que l’extrême droite est elle-même divisée en deux sous groupes : le RN et les courants patriotes/identitaires. Enfin, la figure 3 ci-dessous montre bien l’activité ancienne, persistante et massive de l’extrême-droite pointant l’intention de faire accepter une certaine représentation du monde par ce néologisme.

    Bien que la science ne reconnaisse pas “l’islamo-gauchisme” comme une catégorie sociale légitime, plusieurs courants d’extrême-droite en font depuis longtemps la promotion.

    Cette promotion, qui s’inscrit dans des échanges hostiles et dépourvus d’éléments programmatiques, a des objectifs bien précis :
    1) discréditer ses opposants de gauche.
    2) convaincre l’opinion publique de l’existence d’une nouvelle catégorie d’acteurs : des ennemis intérieurs alliés aux forces obscures de l’islamisme radical. Ce faisant, elle crée une atmosphère anxiogène propice à l’adhésion à ses idées.

    Si, comme nous avons pu le mesurer, cet effort soutenu n’a pas eu d’effet notable sur l’écosystème politique jusqu’à récemment, les interventions successives de trois ministres de la République ont changé la donne. La dernière intervention de Frédérique Vidal lui a fourni une exposition inespérée.

    L’existence de groupes islamo-gauchistes vient d’être défendue officiellement au plus haut niveau puisqu’il serait absurde de demander une enquête sur quelque chose à laquelle on apporte peut de crédit. Cette dénomination est donc légitimée par le gouvernement, avec en prime l’idée que de notre jeunesse serait menacée d’endoctrinement.

    La réaction épidermique du milieu universitaire à ces interventions n’a fait qu’amplifier l’exposition à cette idée, même si c’était pour la démentir, laissant présager d’un effet boomerang. Nous voyons ainsi sur le détail de l’évolution de la popularité de ce terme (Figure 4) qu’il a été propulsé au centre des discussions de l’ensemble des communautés politiques à la suite de l’intervention de la ministre et qu’il a même atteint assez profondément “la mer”.

    “La mer” est le nom que nous avons donné à ce large ensemble de comptes qui ne sont pas suffisamment politisés pour être associés à un courant politique particulier mais qui échangent néanmoins des tweets politiques. Toucher “la mer” avec leurs idées est le graal pour les communautés politiques car c’est un réservoir important de nouvelles recrues. Ainsi, “la mer”, concentrant son attention sur ce concept “d’islamo-gauchisme”, est amènée à problématiser les enjeux politiques à partir des idées de l’extrême-droite.

    D’après nos mesures, les ministres du gouvernement ont réussi à faire en quatre mois ce que l’extrême-droite a peiné à faire en plus de quatre années : depuis octobre, le nombre de tweets de “la mer” mentionnant “islamo-gauchisme” est supérieur au nombre total de mentions entre 2016 et octobre 2020. On peut parler de performance...

    • Le recours du gouvernement à la rhéthorique de “l’#islamo-gauchisme” révèle une perte inquiétante de repères. Après trois reprises par trois ministres différents et importants, la dernière étant assumée deux jours plus tard par une intervention à l’Assemblée Nationale puis une autre au JDD, une #stratégie_gouvernementale affleure qui révèle une certaine nervosité. Et si LREM n’était pas au deuxième tour de la présidentielle en 2022 ?

      Les mouvements sociaux de 2018, les gilets jaunes éborgnés, la pandémie qui n’en finit pas de finir, la crise économique sans précédent qui s’annonce, tout cela fait désordre et n’a pas permis à Emmanuel Macron de développer pleinement son programme. Il y a de quoi s’inquiéter. Comme en 2017, les partis politiques semblent se résoudre à avoir Marine Le Pen au second tour, jeu dangereux étant donné les failles de notre système de vote. Pour passer les deux tours, LREM devra donc éliminer LFI au premier tour, actuellement son opposant le plus structuré hormis le RN, puis battre le RN au deuxième tour. Accréditer l’existence d’un “islamo-gauchisme”, c’est à la fois affaiblir LFI en emboîtant le pas de l’extrême droite et montrer aux électeurs qui seraient tentés par le RN que, dans le domaine de la lutte contre l’islamisme radical, LREM peut tout à fait faire aussi bien, voire mieux, qu’une Marine Le Pen qualifiée de “molle” par Gérald Darmanin.

      Ce billard à trois bandes qui relève du “en même temps” est cependant extrêmement dangereux et a toutes les chances de devenir incontrôlable.

      Il n’y a pas de “en même temps” dans le monde manichéen de l’#alt-right qui s’attaque aux personnalités avant de s’attaquer aux idées. Une fois les représentations ad-hoc adoptées, l’électeur préférera toujours l’original à la copie et l’anti-système au système. Le vainqueur de 2022 sera celui qui arrivera à contrôler le cadre dans lequel s’effectueront les raisonnements des électeurs, et si ce cadre contient en son centre le terme “islamo-gauchisme”, il est fort à parier que Macron pourra faire ses valises. Pour ne pas perdre en terrain ennemi, la meilleure stratégie est de ne pas s’y aventurer.

      #droite_dure #extrême_droite
      #LFI #ennemi_imaginaire

    • Pour ne pas perdre en terrain ennemi, la meilleure stratégie est de ne pas s’y aventurer.

      la question qu’on peut se poser, du coup, c’est : est-ce vraiment encore le terrain ennemi ?

    • “Islamo-gauchisme” contre “#facho-centrisme”, portrait d’un pays à la dérive

      Nous vivons une déroute intellectuelle comme seuls les moments de crise de société profonde savent les produire. Hier, crise de la civilisation occidentale, aujourd’hui, faillite des démocraties libérales, le mouvement est celui d’une perte de repaires et d’une course en avant vers l’inconnu, à vitesse élevée, sans jamais prendre le temps nécessaire de la réflexion ou de la lutte contre la résistible ascension de l’échec collectif.

      Tout semble en effet s’être accéléré avec la crise sanitaire liée au covid-19. État d’urgence permanent, mesures liberticides n’ayant aucune efficacité ou presque sur le plan sanitaire et accumulation de lois scélérates de techno-surveillance ou de contrôle centralisé et censure politique en ligne de la vie démocratique.

      Ne nous trompons pas, le débat sur « l’islamo-gauchisme » n’en est pas un, c’est le déroulé programmatique du projet d’Emmanuel Macron, dont le « ni droite ni gauche » débouche sur un #extrême_centre, pivot ultime de la vie politique, obsédé par le risque populiste qui viendrait mettre à mal le narratif illusoire d’unité nationale, autour d’un parti défendant les seuls intérêts du #bloc_élitaire.
      D’unité, il n’y a pas, sauf celle, fantasmée par les marcheurs, d’un pays rassemblé derrière un chef et son parti unique.

      La mort de la démocratie libérale, donc, érigée comme modèle souhaitable de gouvernance, dans l’autoritarisme doux et éclairé d’un monarque de droit séculaire. Avec, en toile de fond, l’économie comme seul horizon de l’action politique : dérégulation et captation des profits contre le bien-être commun.

      L’idée même de réduire le débat politique à une caricature est de provoquer l’#hystérie_collective et d’empêcher le débat. Il n’est pas question de discuter du fond, des relais de l’islam politique en France, de l’influence étrangère dans le débat national, non. Il s’agit pour les porte-paroles et les éditocrates de caqueter sur un terme grossier, qui précisément empêche la réflexion et le débat et provoque la colère ou la haine. Parce que l’#islamo-gauchisme c’est avant tout le signe d’une paresse intellectuelle, de refuser de débattre du fond, de l’islam politique, de la montée des fascismes, de la destruction consciente par les gouvernements successifs des moyens de l’université et de la recherche.

      L’inventeur même du terme “islamo-gauchisme”, Pierre-André Taguieff regrette son dévoiement et explique que l’instrumentalisation politique actuelle n’a rien à voir avec le mouvement qu’il décrivait sous ce terme en 2002.

      La ministre de la Recherche, Mme Vidal, a choisi de continuer sa #vindicte contre l’entrisme supposé de cet islamo-gauchisme dans les universités en demandant une enquête au sens sociologique, scientifique du terme, pour sortir du ressenti et entrer dans les faits. Fort à parier que si cette enquête devait avoir lieu, elle finirait de discréditer la ministre. D’ailleurs chercheurs et universitaires rejettent l’idée même d’une enquête sur le fait islamo-gauchiste dans les universités.

      Alors, pour se rassurer du bien fondé de leur #dérive_fascisante, les progressistes agitent encore davantage la menace populiste d’extrême droite, continuant de se penser en barrage républicain, alors qu’ils en sont les architectes pressés. Rien ne va plus dans cette perte de pouvoir, malgré les sondages, malgré l’appel du président aux influenceurs numériques pour embrigader la jeunesse et faire valoir une image trompeuse d’un président jeune proche de leurs intérêts.

      Dans l’ère post-moderne où tout est spectacle, nous voici devenus spectateurs de notre propre déclin, incapables de sauver la démocratie libérale, emportée par un vulgaire virus et une envie de contrôle total de la caste managériale qui a remplacé les élus.
      Images après vidéos, clashs stériles après apostrophes vindicatives, tout est zémourisé à dessein, pour empêcher la réflexion, la nuance et la dénonciation des imposteurs. Il faut faire semblant de se battre et sur de faux sujets. Bref, c’est du catch, à la française, les muscles et les effets pyrotechniques en moins.

      Le réveil citoyen paraît impossible tant l’anesthésie est profonde, aidée par les chaînes d’opinions en continue, qui soufflent les sujets de discorde et jamais ne remontent aux racines de nos maux. De citoyens, il n’y a plus qu’un mot vide de sens, vous êtes dorénavant des QR-codes, ou mieux, des usagers.

      Malgré les chercheurs et le CNRS qui via leur outil « le politoscope » montre l’erreur politique de la République en Marche, le parti présidentiel s’entête dans son impasse, assurant ainsi une solide victoire aux idées extrémistes dans le débat sociétal.

      Mais, consolons-nous, tout ce cirque n’a aucun sens, si ce n’est de révéler la fébrilité d’un exécutif qui a perdu pied dans sa gestion calamiteuse de la crise du covid-19 et qui tente, le tout pour le tout, une #stratégie_trumpiste de course en avant pour 2022. Notre chance, en France, c’est sans doute que les supporters d’Emmanuel Macron ne porteront pas de peau de bison et respecteront le couvre-feu.

      Donc, pas de « Qanon made in LREM » à craindre, mais sans doute une hargne désespérée qui fera de la campagne présidentielle de 2022, une campagne pestilentielle.

      https://www.lemondemoderne.media/islamo-gauchisme

    • Et le titre : « Comment l’écolo-véganisme gangrène la cantine »

      Le débat sur les cantines est à peu près du niveau du débat sur l’islamogauchisme. De l’agitation hystérique pour éviter de parler de corruption et de faillite.
      L’obscénité du faux débat sur le repas végétarien à la cantine quand 1 Français sur 6 est passé sous le seuil de pauvreté depuis 2020.

      En parallèle, 62% des Français ne font plus confiance aux politiques.

      Rien d’étonnant. Tout est désolant !

    • « Il y a encore des journalistes dans ce pays ? Ce n’est pas 600 universitaires qui réclament la démission de Frédérique Vidal, mais actuellement 18.000 signataires ! Une telle unanimité est sans précédent dans le monde de la recherche ! »

      https://twitter.com/gunthert/status/1364266873748140036

      Au soldat du déni Frédérique Vidal, la patrie résistante
      https://blogs.mediapart.fr/chrabier/blog/230221/au-soldat-du-deni-frederique-vidal-la-patrie-resistante

      « Une diversion et un ballon d’essai » : c’est ce que j’ai répondu quand on m’a demandé mon avis sur le commentaire de Frédérique Vidal sur CNews. Mon métier d’historienne des sciences étant d’analyser des controverses, prenons le temps d’y réfléchir à l’aune des persistances dans l’attaque des libertés académiques. Le déni doit cesser, à nous de choisir si nous, service public de la République, résisterons.

  • https://www.sueddeutsche.de/meinung/frankreich-praesident-zickzack-1.5142796

    Als in den USA endlich alle Stimmen der Präsidentschaftswahl ausgezählt waren, schien es den liberalen Kommentatoren, unter anderem bei der Washington Post, langweilig zu werden. Sie schauten über den Atlantik und suchten nach einem Bösewicht, gegen den sie zu Felde ziehen könnten. Sie fanden Emmanuel Macron. Intolerant, islamophob, Nazi-Methoden - die Vorwürfe gegen Frankreichs Präsidenten verloren recht schnell Bodenhaftung. Man muss schlicht sagen: Sie bauten auf Lügen auf. Und doch ließen sie sich nicht einfach abschütteln, weil sie den Finger in eine Wunde legten.

    Wie geht ein Präsident, der als großer Liberaler angetreten ist, damit um, dass sein Land von einer dezidiert antiliberalen Terrorbewegung ins Visier genommen wurde? Frankreich ist seit 2015 in Europa das Hauptziel islamistischer Attentäter. Knapp 80 Prozent der Befragten gaben jüngst in einer Umfrage an, sie hätten das Gefühl, der Islamismus habe „der Republik den Krieg erklärt“. Die Terroristen zwingen Frankreich zu einer Identitätsdebatte, in der Macron sich zum großen Unbekannten entwickelt, weil er sich für solche Fragen nie sonderlich stark interessiert hat.
    Der Streit um ein Filmverbot bei Polizeieinsätzen endete mit einer Blamage

    Drei Jahre wartete Macron, bis er seine erste große Rede zum Islamismus hielt. Nicht, weil es nichts zu sagen gab, sondern weil er so lange nach seiner Position suchte. Am 2. Oktober dozierte er schließlich zwei Stunden lang über den „islamistischen Separatismus“, der sich „gegen die Republik“ wende. Es war eine ausgewogene Rede.

    Macrons Position umfasst dreierlei. Einerseits die Analyse, dass es in Frankreich islamistische Netzwerke gibt aus Schulen, Vereinen, Jugendklubs, radikalen Predigern, die einen Nährboden für den Terror bilden. Und dass diese Netzwerke eben andererseits dort Erfolg haben, wo ökonomische und soziale Perspektiven fehlen. Und dass es schließlich auch Teil der Terrorbekämpfung ist, den gemäßigten Islam offensiv zu einem Grundpfeiler des Landes zu erklären. An diesem Mittwoch wurde im Ministerrat nun das Gesetz vorgestellt, das zu dieser Rede gehört, das „Gesetz zur Stärkung republikanischer Prinzipien“.

    Die zwei Monate, die zwischen Rede und Gesetz vergingen, haben jedoch erneut illustriert: Zwischen den großen Worten und der politischen Umsetzung tut sich bei Macron ein breiter Graben auf. Kaum ein Politiker kann so gut wie er die Komplexität der Gegenwart skizzieren. Und kaum einer geriet in den vergangenen Wochen so sehr ins Straucheln wie er, wenn er diese Gegenwart gestalten wollte. Der Streit um ein Filmverbot bei Polizeieinsätzen endete mit einer Blamage der Macron-Partei und mit dilettantischen Winkelzügen. Für die Wähler wird das politische Chamäleon Macron dabei zunehmend schwer einzuordnen. Immer seltener gelingt die Synthese konservativer und progressiver Ideen, stattdessen vollführt der Präsident einen Rechts-links-Zickzacklauf.

    Dies gilt auch und insbesondere für Macrons Umgang mit dem Islam. Er zieht es vor, sich selten und ausgewogen zu äußern. Doch an die Spitze von Innen- und Bildungsministerium hat er jeweils zwei Männer gesetzt, die eine islamophobe Rhetorik befeuern. Das neue Gesetz zur Bekämpfung des Islamismus richtet sich eindeutig nicht gegen Muslime. Und doch nähren Mitglieder der Regierung den Generalverdacht gegen Muslime.
    Der Präsident vertraut nur mehr sich selbst - und vergrößert so das Misstrauen gegen den Staat

    Macron versucht nun, wieder Boden unter den Füßen zu gewinnen, indem er nicht länger über Islamismus und Separatismus, sondern über die Werte der Republik sprechen will. Doch die Konflikte, die in Frankreich in den vergangenen Wochen Zehntausende auf die Straße gebracht haben, werden dadurch nicht verschwinden. Beschwören Politiker in Frankreich die Republik, dann tun sie das in der Hoffnung, eine möglichst breite Allianz an Wählern hinter sich zu vereinen. Dieses Leitbild einer gerechten, solidarischen Republik soll nicht nur der kleinste gemeinsame Nenner sein, sondern ein kollektiver Traum, dem sich alle anschließen können.

    Indem sich Macron immer wieder einer klaren politischen Positionierung entzieht, könnte er in der Theorie diese über allem schwebende Idee der Republik verkörpern. Seine Leidenschaft, jedes Jubiläum der Geschichte der Republik mit Pomp zu begehen, zeigt, dass er sich genau das wünscht. Doch seine Praxis als Staatschef sieht anders aus.

    Frankreich verliert durch die Wirtschaftskrise, die Massenarbeitslosigkeit der Jugend und den Terror immer mehr die Fähigkeit, sich auf einen Gesellschaftsentwurf zu einigen, hinter dem die Mehrheit des Landes stünde. Diese Leere versucht Macron mit seiner Person auszufüllen. Wichtige Entscheidungen trifft er zunehmend allein. Das ist nicht der Geist der Republik. Das ist einfach nur sehr schlecht für die demokratischen Institutionen des Landes. Frankreichs Massenproteste wurzeln in einem tiefen Misstrauen gegen den Staat. Je mehr Macron nur sich selbst vertraut, desto größer wird der Unmut werden.

    #Macron #autocrate #monarque

  • Hommage à Homero Gómez González : une de mes dernières photos du Mexique, l’arbre aux monarques de l’aéroport de Mexico...
    https://www.flickr.com/photos/valkphotos/49478852273

    Flickr

    ValK. a posté une photo :
    Disparu le 13 janvier 2020, #Homero_Gomez, ingénieur agronome, défenseur du papillon monarque, a été retrouvé le 29 janvier, le corps tuméfié au fond d’un puits de l’Etat du Michoacan, dans l’ouest du pays. Le #Mexique compte le plus d’#homicides de #défenseurs de l’#environnement au monde...
    + lire > https://reporterre.net/Le-protecteur-des-papillons-Monarque-assassine-au-Mexique et https://www.lemonde.fr/planete/article/2020/02/01/le-mexique-sous-le-choc-apres-la-mort-suspecte-d-homero-gomez-figure-de-l-ec
    .
    Photo : ValK.
    3 juin 2015, installation artistique dans l’aéroport de #Mexico, dédiée #papillon emblématique du pays, le #Monarque. Quelques heures encore et moi aussi je m’envole de retour vers la France...
    En voir +> https://frama.link/valk
    Me soutenir +> https://liberapay.com/ValK

  • Manu M : ce monarque un tantinet méprisant
    https://reflets.info/manu-m-ce-monarque-un-tantinet-meprisant

    C’est l’Express qui vient de sortir l’info. Citons-les. C’est beau : Alors qu’il est assailli de demandes d’autographes de la part d’enfants à Clermont-Ferrand, le président demande à l’un des policiers chargés de sa surveillance s’il […]

    #Breves #macron #mépris_de_classe #monarque_républicain #Politique

  • Attention : manager un pays comme une entreprise peut nuire
    https://reflets.info/attention-manager-un-pays-comme-une-entreprise-peut-nuire

    Cela fait moins d’un mois que le plus jeune président français de tous les temps a été élu. Une fois passé l’instant clip-promotionnel de la pyramide du Louvre — basé sur une longue procession pédestre […]

    #Politique #communicants #communication #macron #management #monarque_républicain #politique_française