• La Start-up Nation insoumise, itinéraire rouge-brun d’un patron de lui même - Lignes de crêtes
    https://www.lignes-de-cretes.org/la-start-up-nation-insoumise-itineraire-rouge-brun-dun-patron-de-l

    Nous allons vous raconter une fable. Celle d’Alexis Poulin, un entrepreneur de lui-même, lobbyiste de la startup nation qui a fini par découvrir grâce à la télé insoumise, son reflet rouge-brun et par en tomber amoureux et finir tout ensemble chroniqueur sur Boulevard Voltaire et vendeur de chatbot à l’INPI.

    #alexis_poulin

    • Article signé La Veille. Et qui se cache derrière ce « Site bien pensant d’analyse et d’opinion collectif, internationaliste. » ?

      Lignes de Crêtes s’assume politiquement bienpensant, [ donc politiquement correct ] antiraciste, antifasciste, spirituel, international, féministe et résolument contre l’antisémitisme et l’islamophobie.

      Alexis Poulin sur RT, Sud radio, au moins peut s’exprimer librement et faire entendre une autre voix tellement rare aujourd’hui.
      https://www.youtube.com/watch?v=Io9Ve6Yr5_4


      Au sujet de La Veille : bonjour le#catéchisme_moralisant de la vieille #gauche_posturale_hors-sol !

    • Une interview ne veut pas dire qu’on partage toute la parole de l’interviewé.e !
      Le Monde Moderne donne aussi la parole à Anas K. jeune étudiant lyonnais qui avait tenté de mettre fin à ses jours en s’immolant par le feu.
      https://www.lemondemoderne.media/pour-changer-le-monde-il-faut-etre-vivant-et-a-plusieurs-ce-sont-l

      « Les suicides sont le dernier maillon d’une chaîne de violences que subit la jeunesse ces derniers mois. »

      #Lignes_de_Crêtes (#Antonin_Grégoire sans doute blanc comme neige « sociologue » en est le directeur de la publication ) défend une logique conspirationniste, s’est déjà attaqué à Sophia Chikirou du Média puis François Ruffin, qualifié de jaune-brun et maintenant Alexis Poulin fondateur du #Monde_Moderne et ami de Denis Robert fondateur du nouveau média alternatif indépendant Blast !

      #malveillance #France_Insoumise_bashing #ça_suffit

    • Cependant @vanderling je partage l’article de la Rotative sur les « antisystèmes », partisans du capitalisme autoritaire

      La pandémie actuelle a démultiplié l’audience de personnalités et de médias « antisystèmes », défendant la liberté contre la « dictature sanitaire ». Derrière cette rhétorique se cachent souvent des individus ou des groupes dont il est clair qu’ils ne sont pas nos amis dans la lutte pour l’émancipation. Voici quelques illustrations.

      Sud Radio : les milliardaires peuvent-ils être antisystème ?

      Sud Radio, émettant de région parisienne comme son nom ne l’indique pas, 276000 abonnés sur Youtube, publie régulièrement des entretiens filmés dont la ligne se situe généralement autour de la surenchère réactionnaire, de la négation des problèmes écologiques et de la diffusion de théories farfelues, le tout au nom de la défense du vrai peuple. Comme on pouvait l’imaginer, ils relaient aussi abondamment toutes les thèses qui défendent des points de vue alternatifs sur la pandémie, les traitements, les vaccins, les masques…

      On comprend que Sud Radio ne se réclame d’un peuple fantasmé que pour la com’ quand on voit à qui cette radio appartient. En effet, elle a été rachetée en 2013 par Fiducial, groupement d’entreprises de services aux entreprises, dirigé par Christian Latouche. Christian Latouche est un milliardaire, 58e fortune de France et proche de différentes organisations patronales ou d’extrême droite. Pas quelqu’un qui nous veut du bien à priori donc.

      France Soir : le grand patronat pro coup d’état

      France Soir fut autrefois un vrai journal. Il a aujourd’hui la particularité d’être un journal ayant licencié ses derniers journalistes. Il ne tourne aujourd’hui que grâce à des contributions bénévoles et à son propriétaire, Xavier Azalbert.

      Il ne faut pas chercher très longtemps pour découvrir que Xavier Azalbert est un homme d’affaire, dirigeant de 43 entreprises, qui a réussi à faire de France Soir une référence en matière de critique des « vérités officielles » sur le covid. Dernièrement, c’est lui qui a relayé l’appel du chanteur Francis Lalanne exhortant les plus hauts dignitaires de l’armée à renverser le gouvernement. Entendons nous bien, nous n’avons aucune sympathie pour ce gouvernement et sa gestion autoritaire de la pandémie, nous participons à des luttes sociales qui le conteste, mais la prise du pouvoir par des militaires appuyés par des grands patrons ne met pas fin à des tyrannies mais installe des régimes fascistes. Régimes fascistes qui ont toujours dans l’histoire détruit les mouvements de lutte populaires et soutenu le patronat.

      Florian Philippot : patriote ultralibéral et néo-youtubeur

      Florian Philippot, énarque déchu du FN, se refait récemment une visibilité sur le web en publiant des vidéos contre le masque, le confinement et plus généralement contre la « dictature sanitaire ». Lors d’un rassemblement contre la dictature sanitaire dont il a mis la vidéo en ligne, on assiste à l’intervention de Charles Gave, financier et entrepreneur, partisan de la limitation du rôle de l’état à ses fonctions régaliennes et président de l’institut des liberté, un think tank qui œuvre à la promotion du libre marché. Voilà de qui s’entoure celui qui était censé représenter l’aile « sociale »du FN il y a quelques années.

      Derrière les « antisystème », un projet de capitalisme autoritaire

      On pourrait multiplier les exemples des liens qu’entretiennent les entrepreneurs de la contestation des vérités officielles avec des pensées d’extrême droite et/ou des intérêts capitalistes, en incluant tous les farfelus à tendance gourou comme Silvano Trotta. Tous surfent sur un ras-le-bol bien légitime de cette situation que nous partageons.

      Jamais vous ne les entendrez défendre de meilleures conditions de travail et de protection pour tous, plus d’égalité dans l’accès au soin, la reprise en main autonome de la réduction des risques ou la réquisition des laboratoires pharmaceutiques en vue de les transformer en pôle public autogéré au service du bien commun.

      Leur ennemi flou, le système, n’est pas le capitalisme ni même le néolibéralisme. C’est un concept vide qui sert à avancer masqué. Le véritable projet ? La nation au dessus des clivages de classe et le marché libre soutenu par un état autoritaire.

      https://seenthis.net/messages/897986#message899746

    • Le rouge-brun, ou l’entretien du sophisme par association
      https://blogs.mediapart.fr/alexandre-delomenie/blog/280519/le-rouge-brun-ou-l-entretien-du-sophisme-par-association

      Comment deux formations aussi distinctes politiquement l’une de l’autre se retrouvent aujourd’hui à partager les mêmes thèmes de lutte politique ?

      Et bien tout simplement parce qu’elles ne le font pas dans le même but idéologique. L’extrême droite se pose « contre l’Europe néolibérale » parce qu’elle est nationaliste, pas parce qu’elle est contre le néolibéralisme. La gauche se pose contre l’Europe néolibérale parce qu’elle est contre le néolibéralisme, pas parce qu’elle est contre l’Europe. De la même manière, l’extrême droite se pose comme défenseur du peuple français, parce qu’elle défend les français. La gauche se pose comme défenseur du peuple français, parce qu’elle défend le peuple. Enfin, l’extrême droite s’oppose à l’oligarchie mondiale parce qu’elle est contre le mondialisme. La gauche s’oppose à l’oligarchie mondiale parce qu’elle est contre l’oligarchie.

      On voit bien que si l’on associe par défaut le néolibéralisme aux valeurs universelles pour les mettre dans un seul camp, alors l’opposition à ce camp peut être soit une opposition aux valeurs universelles (c’est le cas de l’extrême droite), soit une opposition au néolibéralisme (ce qui est le cas de la gauche). Mais cela ne sous-entend absolument pas le rapprochement idéologique des deux oppositions, qui continuent de s’opposer entre elles.

  • Edito : la #France, pays de tous les décalages…
    https://reflets.info/edito-la-france-pays-de-tous-les-decalages

    A quelques jours du premier tour de l’élection présidentielle, les espoirs, malaises, inquiétudes, interrogations, emballements, énervements sont des sentiments visiblement partagés par une majorité de futurs électeurs. Cette campagne électorale, partie à l’origine pour être […]

    #Politique #Tribunes #Banques #décalage_économique #modernité #monde_moderne #personnel_politique #politique_française #présidentielle_2017

  • Les jeunes Amérindiens de Guyane victimes d’une « épidémie de suicides »
    https://reporterre.net/Les-jeunes-Amerindiens-de-Guyane-victimes-d-une-epidemie-de-suicides

    Il faut dire que la situation est aussi dramatique qu’elle est inconnue du grand public. « C’est une situation de #génocide, on a l’impression que notre #jeunesse part en fumée. C’est pour cela qu’il faut que la #France, pays des droits de l’homme, soit responsable et se penche sur la question de la #Guyane et de l’#outre-mer en général, car ces suicides concernent tous les #peuples_autochtones, comme en #Nouvelle-Calédonie par exemple, où les gens se suicident en masse », continue le président.

    Comment expliquer cette violence que s’inflige la jeunesse des populations amérindiennes ? Si le rapport précise que les causes sont « multifactorielles », Aline Archimbaud insiste tout particulièrement sur le choc découlant de la découverte du monde dit « moderne » : « Des populations vivent dans des villages assez loin de la côte et de la ville, qui sont oubliées. Les jeunes se retrouvent déchirés entre deux identités : celle de leur famille, de leur village, où ils vivent jusqu’à 11 ans et auxquels ils sont très attachés et celle découlant de la découverte brutale du #monde_moderne, qui par certains aspects les séduit [les téléphones portables, etc.].

    Le problème, c’est que l’intégration à ce « nouveau monde » est très difficile. « Les jeunes Amérindiens ne sont pas forcément bien traités en ville, on les méprise. De plus, ils ont de grandes difficultés scolaires, car ils ne parlent pas la même langue. En définitive, ils ont beaucoup de mal à se projeter dans l’avenir », résume la sénatrice, pour qui cette crise identitaire joue énormément dans cette vague de suicides.

    Mais le rapport met aussi en avant le non-respect de droits élémentaires tels que l’accès à l’eau potable, à l’électricité. « Il y a beaucoup à faire pour améliorer l’accompagnement de ces populations, sur les plans sanitaire et scolaire notamment, insiste Aline Archimbaud. On s’est rendu compte que le suicide était le symptôme d’un mal vivre beaucoup plus général. » »

    #suicide

  • Non, les hommes n’ont pas toujours fait la guerre, par Marylène Patou-Mathis (juillet 2015)
    http://www.monde-diplomatique.fr/2015/07/PATOU_MATHIS/53204

    Sur la question de la #violence chez les humains, deux conceptions radicalement opposées s’affrontent. Le philosophe anglais du XVIIe siècle Thomas Hobbes pensait que la « guerre de tous contre tous » existait depuis l’aube des temps (Léviathan, 1651). Pour Jean-Jacques Rousseau, l’homme sauvage était sujet à peu de passions et a été entraîné dans « le plus horrible état de guerre » par la « société naissante » (Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes, 1755).

    L’image de l’homme préhistorique violent et guerrier résulte d’une construction savante élaborée par les anthropologues évolutionnistes et les préhistoriens du XIXe siècle et du début du XXe siècle. Elle a été gravée dans les esprits à la faveur du présupposé selon lequel l’humanité aurait connu une évolution progressive et unilinéaire (1). Dès la reconnaissance des hommes préhistoriques, en 1863, on a rapproché leur physique et leurs comportements de ceux des grands singes, gorilles et chimpanzés. Pour certains savants, cet « homme tertiaire » représentait le chaînon manquant entre la « race d’homme inférieur » et le singe. Puis la théorie dite « des migrations », apparue dans les années 1880, a soutenu que la succession des cultures préhistoriques résultait du remplacement de populations installées sur un territoire par d’autres ; elle a enraciné la conviction que la guerre de conquête avait toujours existé. [#st]

    #anthropologie #préhistoire

    http://zinc.mondediplo.net/messages/11398 via Le Monde diplomatique

    • Peut-être bien que oui en fait avec ce qui semble être le plus ancien champs de bataille de la #préhistoire :

      http://archeo.blog.lemonde.fr/2016/01/20/decouverte-de-la-plus-ancienne-bataille

      Face à ces corps amoncelés, difficile de ne pas penser à une scène de #guerre. Ce qui rouvre un très vieux débat chez les anthropologues. Car ces populations, comme toutes celles qui les ont précédées dans le monde au cours de la préhistoire, étaient des #nomades, qui vivaient de #cueillette et de #chasse et de #pêche. Mais la guerre existait-elle vraiment chez ces petits groupes relativement solitaires ? La présence, tout au long de la préhistoire, de signes de violence, a bien montré que le « bon sauvage » popularisé par Montaigne ou Rousseau, était un mythe. « Quand on regarde bien, explique Jean Guilaine, du #Collège_de_France, les exemples ne manquent pas. » C’est le cas pour deux anciens cimetières d’environ 9 000 ans à Schela Cladovei en Roumanie, où environ un tiers des défunts avaient été atteints par des flèches et autres projectiles. Plus près de nous, sur l’île de# Téviec dans le Morbihan, c’est un homme ou une femme vivant il y a sept mille ans, tué-e par une flèche qui lui a perforé le poumon et sectionné l’aorte, tandis qu’une pluie de coups, peut-être assénés par des bois de cerf ou quelque chose d’approchant, s’est abattue sur la tête de deux jeunes femmes inhumées côte à côte, le cou ceint d’un collier de coquillages.

      Mais certains anthropologues estiment que les blessures de tous ces squelettes viennent de petits conflits ponctuels, entre quelques individus. Et que les guerres observées chez des populations plus récentes vivant de chasse et de cueillettes, ces derniers siècles, ne seraient que le fruit de l’influence du reste du #monde_moderne, largement conquis, on le sait, à la chose guerrière. Selon ces chercheurs, la guerre ne vient vraiment qu’avec la notion de# propriété, de territoire, qu’avec le #pouvoir. Bref, il aurait fallu attendre l’avènement de l’#agriculture, et l’inévitable question, par exemple, de la propriété des stocks de grains ou des troupeaux, pour qu’apparaisse la guerre. Il était de toute façon difficile de trancher de manière absolue. Car les squelettes qui nous sont parvenus de la Préhistoire sont rares, et le plus souvent fragmentaires.

      [...]

      Or sur ces douze squelettes, dix comportent des traces de violence. Et quant aux deux restant, dont la femme enceinte, ils pourraient bien avoir eu les mains liées, d’après leur position. « Tout n’est pas à prendre au pied de la lettre et certaines des blessures repérées par l’équipe ont pu être causées par des éléments naturels [cailloux, vent, érosion, etc.], indique Bruno Boulestin, anthropologue au laboratoire Pacea à Bordeaux. Mais à part ça, c’est globalement convaincant. Rien n’indique qu’il s’agisse de sépultures. Au contraire, on dirait bien qu’on a laissé les corps sur-place. » L’hypothèse qu’il s’agisse de victimes de violence armée lui paraît donc sérieuse.

      [...]

      « C’est d’abord une belle découverte et l’intérêt essentiel est qu’il s’agit du plus ancien champ de bataille connu. » dit Jean Guilaine. Sur les causes de ce conflit, à peu près tout est envisageable. « Les motifs peuvent être matériels (annexion de territoire, vol de ressources) ou sociaux (rapts d’individus par exemple). », énumère Jean Guilaine. La présence d’armes en obsidienne, une roche rare dans la région, suggère aux archéologues de l’équipe que les assaillants venaient peut-être de loin « La présence de femmes [qui sont rarement combattantes] en aussi grand nombre que les hommes serait plutôt en faveur d’un raid d’assaillants sur une population désarmée, s’interroge Bruno Boulestin, mais en même temps, il y a assez peu d’enfants. ». De toute façon, une partie des corps est peut-être toujours sous les dunes : l’enquête ne peut pas encore déterminer ce qui s’est passé.

      #archéologie

  • Le clip de Robin Thicke est une insulte à la #condition_féminine | VICE France
    http://www.vice.com/fr/read/le-clip-de-robin-thicke-est-une-insulte-a-la-condition-feminine

    Oui, j’en suis bien consciente, je ne suis pas en train de vous faire la révélation du siècle. Oui, cette vidéo est une insulte envers les femmes, et c’est évident pour quiconque a déjà rencontré une femme, parce que le féminisme se bat pour l’égalité ; de ce point de vue, regarder des filles nues danser maladroitement autour de prédateurs masculins habillés qui chantent « fais-le comme si ça faisait mal » ne semble pas vraiment aller dans ce sens.

    • Tu fais pas la différence entre :

      -- des meufs qui montent une action où elles décident de se dénuder ;
      -- un clip avec des meufs payées pour être à poil et mettre en valeur le chanteur ;
      -- des photos de nu tout court, qui ne servent ni à militer ni de faire valoir.

      Il me semble que c’est pas bien compliqué, pourtant. Mais si « corps nu » = un-seul-message-univoque, ok, c’est compliqué à comprendre…

    • Ok, merci @baroug, je commence à comprendre. C’est plus simple quand c’est bien expliqué ;-)

      Donc, le déterminant c’est le choix libre et conscient de se dénuder, « des meufs qui montent une action où elles décident de se dénuder », là c’est du féminisme. Merde, non, c’est pas ça, les nanas du clip n’ont pas l’air d’avoir été forcées, j’ai l’impression que c’est également un choix libre et conscient que de se mettre nue, mais la c’est pas du féminisme…
      Je pensais avoir compris mais c’est pas encore ça :-(

      Bon dieu, je suis bête, tu le dis après, le déterminant c’est le fait d’être en face de « meufs payées pour être à poil et mettre en valeur l’artiste », dans ce cas c’est pas du féminisme. Donc les femen ne sont pas payées, c’est pour ça que c’est du féminisme. Je me demande comment elles font pour financer le délire parisien, la vie de tous les jours, Inna doit avoir de la famille dans la banque, c’est pas possible autrement.
      Merde, non, c’est pas ça, les photos de nues sont pas faites pour la gloire. L’ambition c’est de gagner sa vie. Les modèles féminins qui posent pour des photos ou du dessin, sont bien payés et c’est bien pour mettre en valeur l’artiste et pourtant là c’est du féminisme.

      Décidément @baroug, je suis vraiment pas malin, je pensais avoir compris mais en fait rien du tout.

      #monde_moderne_pas_pour_moi

    • Je ne dis pas que dans un cas c’est du féminisme et pas dans les autres, je dis que ce n’est pas la même chose. Se mettre nue, pour militer d’une part — qu’on soit d’accord ou non avec les idées défendues, ou leur absence — pour gagner sa vie de l’autre, ça me semble assez différent. Et dans ce dernier cas, le fait que « l’œuvre », soit foncièrement misogyne ou non me semble aussi poser une grosse différence. Après, on peut aussi se poser la question du contexte, et de plein d’autres facteurs, mais j’imagine que ça devient excessivement compliqué.

    • Alléluia !! Je me sens moins c%#. Si toi aussi tu commences à trouver que ça devient excessivement compliqué, ça me rassure de voir que je ne suis pas le seul à ne pas être très malin.

      Bien que je ne sois pas très malin, j’ai l’impression que tu viens quand même de définir le déterminant objectif dans cette affaire, à savoir la complexité .

      On aura certainement l’occasion d’en reparler

      #monde_complexe