• Contribuez à la #consultation du collectif #LeJourdAprès


    –-> 11 thèmes à discuter

    Thème 1 - "Le plus important, c’est la #santé !" : quel #système_de_santé demain ?

    Thème 2 - Métro, boulot, robot” : quel monde du #travail voulons-nous ?

    Thème 3 - “A consommer avec modération” : vers une société de la #sobriété ?

    Thème 4 - “Des liens plutôt que des biens” : comment retisser des #solidarités ?

    Thème 5 - “Éducation et #jeunesse” : comment construire une #société_apprenante ?

    Thème 6 - “L’homme face à la machine” : peut-on humaniser le #numérique ?

    Thème 7 - “Une #démocratie plus ouverte” : comment partager le #pouvoir ?

    Thème 8 - “L’avenir de nos #territoires” : quel nouveau contrat pour les renforcer et préserver leur diversité ?

    Thème 9 - L’Europe dans le monde” : comment recréer une #solidarité_européenne et internationale ?

    Thème 10 - “Notre richesse est invisible” : comment mieux évaluer le bien-commun ?

    Thème 11 - "Le nerf de la guerre" : quel financement & quel nouveau #partage_des_richesses ?

    https://lejourdapres.parlement-ouvert.fr
    #le_monde_d'après #futur #consommation #solidarité #éducation #solidarité_internationale #bien_commun #richesse #pauvreté

    • Autour de l’éducation, voici un commentaire reçu via la mailing-list Facs et labos en lutte, le 06.04.2020 :

      Je suis allé voir sur leur site (appelé judicieusement « #le_jour_d'après » pile une semaine après la #tribune appelant à un futur écologique féministe et social et signée par 18 organisations : une bonne façon de reprendre le nom et de mettre le flou (de façon voulue ou non je ne me prononcerai pas).

      Quand on regarde les sujets cela paraît intéressant, ça couvre plusieurs choses (sans questionner l’#extractivisme, le #colonialisme par exemple non plus, dont dépend pourtant le numérique).
      Mais quand on fouille dans chaque thème, on aperçoit déjà un sacré biais sur la vision du jour d’après de ces députés :

      thème sur le soin :
      « il est aussi évident que notre système de soins a montré des limites inquiétantes [...] manque d’investissement dans la recherche (comme par exemple en #intelligence_artificielle » ? Le lien coronavirus -> médical -> recherche -> #IA est à m’expliquer... drôle de vision de la recherche en tout cas... Très #LPPR compatible...

      Thème sur l’éducation :
      « La crise nous a montré que de nouvelles façons d’apprendre sont possibles et à encourager : continuité pédagogique en ligne, mobilisation sans précédent des #EdTech, industrialisation des #Moocs et de la formation continue en ligne, cours et astuces via les #réseaux_sociaux »
      Super nouvelle pour toute la start-up éducation, une belle vision de l’#apprentissage !

      Encore plus orientant, la plateforme ne s’arrête pas à une consultation mais propose des #ateliers. Il y en a 3 pour l’instant et le moins qu’on puisse dire c’est que ça laisse songeur...
      « le jour d’après sera numérique ou ne sera pas ».
      Pour l’atelier « leçons à tirer de la crise » c’est #Laurent_Berger secrétaire général de la CFDT (pour la retraite à point ne l’oublions pas) qui est invité.
      Belle #démocratie_participative où on invite toujours les mêmes...

      à mon sens on ne peut que rester sceptique et prudent quand on sait d’où viennent les députés de la tribune (#Cédric_Villani signataire est aussi auteur d’un des rapports de la LPPR)... Est-ce l’arrivée d’un #grand_débat_bis ? Encore une fameuse/fumeuse initiative de démocratie participative complètement biaisée d’avance ?
      En tout cas au vu de l’organisation ça semble être un sacré bulldozer et ça n’est pas le plus rassurant.

    • A mettre en regard des (encore trop gentilles) propositions d’Attac :

      4 mesures d’urgence
      – L’ arrêt immédiat des activités non indispensables pour faire face à l’épidémie.
      – Les réquisitions des établissements médicaux privés et des entreprises afin de produire dans l’urgence masques, respirateurs et tout le matériel nécessaire pour sauver des vies.
      – La suspension immédiate des versements de dividendes, rachats d’actions et bonus aux PDG.
      – La décision de ne pas utiliser les 750 milliards d’euros de la BCE pour alimenter les marchés financiers mais uniquement pour financer les besoins sociaux et écologiques des populations.

      Dès maintenant et à long terme
      Il ne s’agit pas ensuite de relancer une économie profondément insoutenable écologiquement et socialement ! Nous demandons que s’engagent sans plus attendre des politiques publiques de long terme pour ne plus jamais revivre ça :
      – Un plan de développement de tous les services publics, en France et dans le monde.
      – Une fiscalité bien plus juste et redistributive, un impôt sur les grandes fortunes, une taxe sur les transactions financières renforcée et une véritable lutte contre l’évasion fiscale.
      – Un plan de réorientation et de relocalisation solidaire de l’agriculture, de l’industrie et des services, pour les rendre plus justes socialement, en mesure de satisfaire les besoins essentiels des populations et de répondre à la crise écologique.

      https://france.attac.org

    • Ce truc du parlement ouvert, c’est pas des députés qui se font un supplément d’âme ?

      Quand on regarde les sujets cela paraît intéressant, ça couvre plusieurs choses (sans questionner l’#extractivisme, le #colonialisme par exemple non plus, dont dépend pourtant le numérique).

      Niet, le jour d’après qui nous revend du partage de la connaissance et du numérique à tire-larigot !

    • Je vois, je vois ... Et sinon, pour le hashtag que j’avais initié ici même, (en l’occurence « le jour d’après ») je me sens un peu con. Une idée pour un éventuel détournement de LEUR « jour d’après » ?

      {edit] :
      * idée n°1 : « La nuit d’après » ?
      * idée n°2 : « Le Grand-Soir d’après » ?
      * idée n°3 : « the mess after » ?

    • 58 parlementaires appellent les Français à construire le monde d’après

      Des parlementaires de différentes sensibilités politiques lancent un appel invitant les Français à imaginer un « grand plan de transformation de notre société » à l’issue de la crise épidémique. Une consultation est ouverte à partir de samedi et pour une durée d’un mois, pour recueillir les propositions.

      Construire ensemble le monde de l’après-crise, c’est l’ambition de 58 parlementaires de différentes sensibilités politiques, pour la plupart députés, qui lancent un appel en ce sens aux citoyens et aux forces vives du pays (voir ci-bas). Pour écrire « notre avenir commun », ils organisent, jusqu’au dimanche 3 mai, une grande consultation ouverte à tous.

      Chacun est invité à contribuer sur la plateforme en ligne lejourdapres.parlement-ouvert.fr ou à se prononcer sur un certain nombre de propositions avancées par les signataires de cet appel. Emmenés par Matthieu Orphelin (Libertés et Territoires), Aurélien Taché (LaREM) et Paula Fortezza (ex-LaREM), ils pensent qu’"il y aura un avant et un après coronavirus" qui nécessitera bien plus qu’un « simple plan de relance ». Ils plaident pour établir collectivement un « grand plan de transformation de notre société et de notre économie » et estiment qu’il « faudra réapprendre la sobriété, la solidarité et l’innovation ». Les députés à l’origine de cette initiative sont issus de plusieurs groupes de l’Assemblée nationale (La République en Marche, Libertés et Territoires, Mouvement démocrate, Socialistes et apparentés, UDI Agir et Indépendants, non-inscrits).

      Cette crise « a violemment révélé les failles et les limites de notre modèle de développement, entretenu depuis des dizaines d’années. Elle nous rappelle le sens de l’essentiel : notre souveraineté alimentaire, notre besoin de sécurité sanitaire européenne, notre production locale pour des emplois de proximité, le besoin de relever les défis environnementaux, de réapprendre à vivre en concordance avec la nature, de réinventer le lien social et le vivre-ensemble, de développer la solidarité internationale plutôt que de favoriser le repli sur soi » écrivent les parlementaires dans leur appel.
      Des propositions tous azimuts

      Pour alimenter la réflexion sur la société de demain, des ateliers participatifs, visionnables en ligne, avec de grands témoins comme Laurence Tubiana, Laurent Berger et Cynthia Fleury, seront également organisés.

      Onze thèmes sont soumis à la discussion : la santé, le travail, les solidarités, le bien commun, le numérique, les territoires, le partage des richesses, etc. Autant de sujets sur lesquels les parlementaires avancent déjà des propositions, parfois déjà entendues lors de débats à l’Assemblée nationale. Parmi ces propositions : une revalorisation de 200 euros nets mensuels pour les aides à domicile, aides-soignantes, infirmières et autres agents hospitaliers, une TVA réduite sur les biens de consommation issus de l’économie circulaire, une relocalisation de l’activité industrielle en France et en Europe, un renforcement de 5 milliards par an des investissements des collectivités territoriales dans la transition écologique, une taxation du kérosène sur les vols intérieurs, la création d’une réserve solidaire de bénévoles associatifs, la revalorisation des salaires et des carrières des enseignants pour la rentrée de septembre 2020, la création d’un revenu universel dès l’âge de 18 ans.

      Autres propositions : une augmentation du barème des droits de succession et de mutation, une plus grande progressivité de l’impôt, une révision du barème de la flat tax, l’ajout d’impôt sur les liquidités pour compléter l’impôt sur le fortune immobilière, le fléchage du cibler le crédit impôt recherche vers les entreprises qui relocalisent, la mise en place d’un green new deal européen, d’un plan de relance par l’investissement abondé par une taxation européenne sur les transactions financières et d’une taxe carbone aux frontières de l’Europe,

      « Une synthèse de la consultation sera rendue publique avant mi-mai », indique le texte de l’appel. Avec à la clé, ambitionnent les parlementaires à l’origine de cette initiative, un plan d’action politique à décliner en mesures législatives.

      http://www.lcp.fr/actualites/58-parlementaires-appellent-les-francais-construire-le-monde-dapres

  • Université : pas de #sélection, mais des conditions d’entrée
    https://www.mediapart.fr/journal/france/301017/universite-pas-de-selection-mais-des-conditions-dentree

    Jean-Michel Blanquer, Édouard Philippe et #Frédérique_Vidal © DR Les nouvelles modalités d’accès à l’enseignement supérieur ont été dévoilées le 30 octobre. Si l’option de la sélection sèche a été écartée, chaque filière aura dorénavant ses propres critères d’admission et des « attendus » seront réclamés aux étudiants. Passage en revue des principales annonces.

    #France #APB #jean-Michel_Blanquer #licence #Université

    • La ministre promet des places supplémentaires dans les filières dites en tension au fil du quinquennat. Si les capacités d’accueil d’une filière sont épuisées, les universités pourront en dernier recours en refuser l’accès aux étudiants. Les établissements d’enseignement supérieur auront accès aux dossiers scolaires des candidats, et pourront admettre en priorité les meilleurs élèves ou ceux qui auront par exemple fait montre d’une motivation importante, décrite dans une lettre jointe au formulaire de candidature. Pour intégrer une filière de Staps, la pratique antérieure d’une activité sportive pourra être prise en compte par exemple. Et ce même si cela peut générer des inégalités entre élèves favorisés et les autres.

      Les « attendus »

      Les prérequis avaient polarisé l’attention médiatique et politique. Désormais, sous l’effet d’une rénovation sémantique, il faudra parler « d’attendus », moins connotés. En théorie, les élèves seront mieux orientés car en amont, ils auront pris connaissance du taux de réussite et d’insertion de chaque filière et de ces « attendus » pour chaque cursus. Un élève qui n’aurait pas le niveau requis devra suivre une remise à niveau obligatoire et personnalisée, selon les lacunes de l’élève au regard de ses bulletins scolaires et l’avis de ses professeurs de Terminale. Ces remises à niveau pourront durer jusqu’à un an et pourraient aussi être effectuées sous la forme de #Moocs, ces cours en ligne gratuits sanctionnés par un examen final. Ces attendus revêtiront un caractère national. Toutes les facultés de droit auront les mêmes exigences mais au niveau local, les établissements pourront édicter des spécificités liées à la formation dispensée.

      [...] Le lycée mis à contribution

      Le gouvernement entend introduire plus « d’humain » dans le processus d’orientation. Un nouveau maillon intervient. Le conseil de classe du deuxième trimestre formulera officiellement un avis sur chaque vœu d’orientation des élèves. Les enseignants sont désormais associés au processus et leur recommandation, jointe au dossier des candidats, sera prise en compte par chaque université. En revanche, il faut veiller à ce que les professeurs puissent juger dans leur globalité des capacités d’un élève et non pas uniquement sa propre matière. Sans compter qu’il s’agit d’une demande supplémentaire. Le conseil de classe du premier trimestre fera ainsi une première recommandation. Celui du deuxième trimestre donnera officiellement un avis sur ses choix d’orientation, qui sera transmis aux universités.

  • #Moocs à pas comptés
    http://www.lenouveleconomiste.fr/moocs-a-pas-comptes-29153

    Si la popularité des Moocs commence effectivement à enfler, l’équation économique est encore à plusieurs inconnues. Car si les participants doivent payer en fin de parcours pour le valider par un certificat, ils sont fort peu nombreux à parvenir à cette étape ultime, tant le taux d’évaporation est fort. Les #décrocheurs digitaux sont légion, de 5 à 10 % des inscrits en règle générale. Voilà pourquoi au vigoureux enthousiasme des débuts, dans les années 2010, a succédé une collection de stratégies plus circonspectes et timorées. Du fait de multiples expérimentations et interrogations. S’il existe plus de 300 grandes écoles et 75 universités en France, seuls 60 établissements d’enseignement supérieur français environ diffusent leur Mooc sur la plateforme FUN du ministère de l’#Enseignement supérieur et de la Recherche.

    Après la phase initiale d’engouement, “on est dans la phase de désillusion” constate en expert Matthieu Cisel, doctorant préparant une thèse sur ce sujet. Quelques pionniers ont toutefois essuyé les plâtres, tirés de riches enseignements – L’école des Mines, HEC, GEM – et séduit quelques milliers d’étudiants.

    “Les simples captations de cours sur vidéo des premiers temps font impérativement place à des “objets” numériques très élaborés”

    La première surprise vint de l’âge et du background de ces élèves. “C’est principalement le public des formations pour adultes. Avec une problématique classique : les profs de l’enseignement supérieur ne connaissent pas vraiment cette spécificité : enseigner à des adultes, et à plus forte raison à des internautes. Et du coup, il y a un espace entre les enseignants et les enseignés.” Il va falloir apprendre, la concurrence est rude.

  • When #Wall_Street and #Silicon_Valley come together – a cautionary tale
    http://www.theguardian.com/commentisfree/2014/oct/25/darker-side-pay-per-laugh-innovations-silicon-valley

    ... Having wired up the world, Silicon Valley assured us that the magic of technology would naturally pervade every corner of our lives. On this logic, to oppose technological innovation is tantamount to defaulting on the ideals of the Enlightenment: Larry Page and Mark Zuckerberg are simply the new Diderot and Voltaire – reborn as nerdy entrepreneurs.

    And then, a rather strange thing happened: somehow we have come to believe that the second kind of disruption had nothing to do with the first. Thus the rise of massive open online courses (#moocs) has been narrated without much reference to the shrinking budgets of universities: no, the mooc-mania was just the natural result of Silicon Valley’s embrace of innovation – hackers-turned-entrepreneurs have come to “disrupt” the universities the way they have disrupted music or journalism.

    • Dans ce théâtre, on paie 30 centimes par éclat de rire
      http://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/2014/10/13/01007-20141013ARTFIG00130-dans-ce-theatre-on-paie-30-centimes-par-eclat-de-

      Rira bien qui paiera le dernier. Un théâtre espagnol spécialiste des spectacles d’improvisation a mis en place un procédé original pour faire payer ses spectateurs : taxer leurs éclats de rire. Le Teatreneu, situé à Barcelone, a équipé les sièges de l’une de ses salles de tablettes qui filment les spectateurs pendant la représentation. Chacun de leurs éclats de rire est enregistré grâce à un logiciel de reconnaissance faciale. À la fin du spectacle, les personnes sont invitées à vérifier le nombre de rires décomptés, enregistrés grâce à des photos, puis à passer à la caisse. Chaque gloussement est facturé trente centimes d’euro. Dans la vidéo promotionnelle diffusée par le théâtre, les montants vont jusqu’à 24 euros, avec une moyenne de 6 euros déboursés par spectateur.

      Morozov
      http://www.theguardian.com/commentisfree/2014/oct/25/darker-side-pay-per-laugh-innovations-silicon-valley

      For Silicon Valley, this is yet another story of one technology replacing another – it’s all about disrupting cash. This explanation might satisfy – and perhaps even motivate – entrepreneurs and venture capitalists. But why should the rest of us accept this explanation at face value? How much should you love innovation – the true religion of today – not to notice that the real price of a technological breakthrough is that art, at least in the Barcelona example, has become more expensive?

  • Les #Moocs donnent des ailes aux Africains
    http://www.lemonde.fr/afrique/article/2014/05/04/les-moocs-donnent-des-ailes-aux-africains_4411192_3212.html

    Soucis de riches ! A Lubumbashi, au Congo, personne ne songe au risque de déshumaniser l’enseignement. « Les Moocs ont du succès parce que les auditoires sont bondés, mal aérés et les sièges sont cassés. » Jessé Lubingu sait de quoi il parle. Il est diplômé en dessin architectural de l’Université indépendante d’Angola et en construction industrielle de l’Ecole supérieure des ingénieurs de Lubumbashi. Il a aussi une accréditation en écologie et environnement et une maîtrise en sciences du bâtiment. « Franchement, dit-il, les universités africaines ont de la peine avec les mises à jour. Au Congo, les cours datent de l’époque des colons belges. »

    ou #flots

  • Meet Barbara Moser-Mercer, the lady who did MOOCs in a refugee camp | Reda Sadki (@reda)
    http://redasadki.me/2014/02/12/interview-with-barbara-moser-mercer-the-lady-who-did-moocs-in-a-refugee-ca

    I first heard her described as the “lady who did #MOOCs in a #refugee_camp”. It was completely ambiguous what that meant, but certainly sparked my curiosity. Barbara Moser-Mercer is a professor at the University of Geneva and a cognitive psychologist who has practiced and researched education in emergencies.

    #certification #training #enseignement #réfugiés

    • La homepage de Barbara Moser-Mercer
      http://virtualinstitute.fti.unige.ch/home/index.php?module=clip&type=user&func=display&tid=6&pid=41

      Barbara Moser-Mercer is Professor of conference interpreting in the Interpreting department at the Ecole de traduction et d’interprétation, University of Geneva. Her research focuses on cognitive and cognitive neuro-science aspects of the interpreting process and on the human performance dimension of skill development. She has co-developed the Virtualinstitute©, the first fully integrated virtual learning environment for interpreters, which she leverages in partnership with ICRC, ILO, UNHCR, UNAMA and MSF for enhancing interpreting skills of interpreters working in conflict zones; she is founder and Director of InZone. She was a member of the High Level Group on Multilingualism of EU Commissioner for Multilingualism, Leonard Orban, coordinated the European Masters in Conference Interpreting, a consortium of 11 European graduate programs in conference interpreting funded by the European Parliament and the European Commission. She is also an active conference interpreter, member of AIIC and of AIIC’s research committee.

      #camp_de_réfugiés

  • Un Mooc pour entrepreneur - Business - Les clés de demain - Le Monde.fr / IBM
    http://lesclesdedemain.lemonde.fr/business/un-mooc-pour-entrepreneur_a-56-3554.html

    Spécialisée dans le développement de cours en ligne gratuits et ouverts à tous, la start-up OpenClassrooms propose une batterie de nouveaux Moocs. Parmi eux, un cours tout particulièrement dédié aux entrepreneurs...

    http://lesclesdedemain.lemonde.fr/partners/ibm/cacheDirectory/HTMLcontributions/img/20140122104922_mooc-entrepreneur.jpeg

    Les Moocs ont le vent en poupe. Les initiatives tant privées que publiques se multiplient. La semaine dernière, la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a donné le coup d’envoi de 8 premiers Moocs propulsés sur la plateforme France Université Numérique. Aujourd’hui, c’est au tour de la plateforme OpenClassrooms d’annoncer le lancement de quatre nouveaux Moocs, ces cours en ligne gratuits et ouverts au public.
    Anciennement appelée "Le site du Zéro", la start-up OpenClassrooms a décidé de se consacrer tout particulièrement au développement de ce nouveau mode d’’enseignement en ligne. La plateforme propose ainsi quatre nouveaux modules très variés, allant des factorisations au développement d’un site web, en passant par un Mooc dédié aux entrepreneurs.

    Baptisé « Financer son entreprise », ce cours en ligne a pour objectif de présenter le processus de la levée de fonds et les relations qui s’établissent avec les business angels et capitaux risqueurs. Il sera animé par Jean-François Galloüin, directeur général du Laboratoire Paris Région Innovation et professeur à l’Ecole Centrale de Paris. Agrémenté d’exercices interactifs et de vidéos explicatives, le cours en ligne débutera le 10 février prochain pour une durée de 3 semaines.

    Pour rappel, 8 millions d’euros supplémentaires ont récemment été attribués par le gouvernement au développement des Moocs. Cette enveloppe vient compléter les 12 millions d’euros de financement déjà prévus au titre du Programme d’Investissements d’Avenir. Ce coup de pouce pourrait notamment permettre aux universités françaises de rattraper leur retard par rapport aux Etats-Unis, où plus de 500 Moocs sont déjà répertoriés.

    #Moocs
    #OpenClassrooms
    #entrepreneur

  • MOOCs - France Université Numérique
    http://www.france-universite-numerique.fr/moocs.html

    Apparus en 2008 et en plein essor, les #MOOCs (Massive Open Online Courses) sont des cours ouverts à tous et à distance.

    Liste de MOOCs en français « officiels » sur le site France Université Numérique (FUN). Donc si tu t’inscris, ça veut dire que tu vas suivre un MOOC de FUN, et ça quand même, c’est la classe.

  • 10 raisons pour lesquelles on abandonne un Mooc - OpenCulture
    http://www.openculture.com/2013/04/10_reasons_you_didnt_complete_a_mooc.html

    Ils prennent trop de temps, supposent trop de connaissance, ne sont parfois pas au niveau, sont ennuyeux, ne sont pas assez bien organisés, avec des outils trop complexes, parce que les profs ne participent pas, parce qu’ils peuvent avoir des coûts cachés... parce qu’apprendre est plus important que d’avoir une récompense finale. Tags : #MOOCs internetactu2net fing internetactu (...)

    #education

  • Le grand méchant MOOC ou la rupture en marche dans l’éducation supérieure - Le blog de Philippe Silberzahn
    http://philippesilberzahn.com/2013/04/15/grand-mechant-mooc-rupture-en-marche-dans-education-superieure

    Nous jugeons la nouvelle technologie à l’aune de l’ancienne, avec les mêmes critères, rappelle Philippe Silberzahn... et c’est ce qui se passe avec les #MOOCs. Le contact privilégié entre enseignants et étudiants tient largement du mythe, rappelle Silberzahn, d’autant que pour tout universitaire, il est plus une corvée qu’autre chose. « Et si les Moocs venaient piquer aux grandes écoles quelque chose dont, au fond, elles ne veulent plus ? » Les Moocs sont certainement beaucoup plus actifs et sociaux que (...)

    #enseignement #éducation