• Bee Wilson reviews ‘The Littlehampton Libels’ by Christopher Hilliard · London Review of Books 8 February 2018
    https://www.lrb.co.uk/v40/n03/bee-wilson/merely-a-warning-that-a-noun-is-coming

    The Littlehampton Libels by Christopher Hilliard is a short but dazzling work of #microhistory. It uses the story of some poison pen letters in a small town to illuminate wider questions of social life in #Britain between the wars, from ordinary people’s experience of the legal system to the way people washed their sheets, and is a far more exciting book than either the title or the rather dull cover would suggest. For a short period, the mystery of these letters became a national news story that generated four separate trials and, as Hilliard writes, ‘demanded more from the police and the lawyers than most murders’.

    This is a book about #morality and #class, about the uses and abuses of literacy and about the tremendous dislocations in British society after the First World War, which extended far beyond those who had suffered the direct trauma of battle. Hilliard uses these poison pen letters – written in language that was as eccentric as it was obscene – to ‘catch the accents of the past’. The Littlehampton Libels is about a battle between two women who were members of only the second generation in Britain to benefit from compulsory elementary education, women for whom the written word was a new and exhilarating weapon.

    Hilliard asks what it was like to live in a society where ‘nice’ women had to pretend that they were ignorant of all #profanity. Melissa Mohr claims in her excellent book Holy Sh*t: A Brief History of Swearing (2013) that the British started to swear more during and after the First World War, because strong language – like strong drink – is a way to alleviate despair. In 1930, John Brophy and Eric Partridge published a collection of British songs and slang from the war. They claimed that soldiers used the word ‘fucking’ so often that it was merely a warning ‘that a noun is coming’. In a normal situation, swear words are used for emphasis, but Brophy and Partridge found that obscenity was so over-used among the military in the Great War that if a soldier wanted to express emotion he wouldn’t swear. ‘Thus if a sergeant said, “Get your —ing rifles!” it was understood as a matter of routine. But if he said, “Get your rifles!” there was an immediate implication of urgency and danger.’

  • Peut-on faire confiance à l’intelligence artificielle ?
    https://lejournal.cnrs.fr/articles/peut-faire-confiance-a-lintelligence-artificielle

    Alors que nous faisons de plus en plus appel à des systèmes d’aide à la décision, s’en remettre à des machines ne nous fait-il pas perdre un peu de notre humanité ? De surcroît, les programmes ont beau disposer d’une logique « froide », ils ne sont pas exempts de préjugés. Les chercheurs planchent pour leur injecter de la « morale ».

    • #intelligence_artificielle #informatique #éthique #responsabilité #asservissement #droit #morale #assurance #véhicule_autonome #probabilités #logique_déontique

      Là est bien le danger. Pas dans les fantasmes made in Hollywood de prise de pouvoir par des machines rebelles et malveillantes. « Cela correspond à ce qu’on appelle la "singularité", cela n’a aucun fondement scientifique et ce n’est pas près d’arriver, contrairement à ce que prétendent certains cadors de l’industrie numérique et transhumanistes. Le véritable danger, c’est nous ! Lorsque, par ignorance ou par facilité, nous déléguons les décisions et notre autonomie à la machine, martèle Jean-Gabriel Ganascia. Laisser les algorithmes autonomes ultra–rapides aux commandes de la Bourse a ainsi sans doute conduit à la crise de 2008. Mais il y a une confusion à cause du terme “autonome” : au sens technique, cela ne veut pas dire qu’une machine définit ses propres objectifs. Cela veut seulement dire qu’elle peut atteindre sans intervention humaine un objectif donné, celui-ci ayant bel et bien été fixé par l’humain-programmeur. »

  • German Naivität 2 | Telepolis
    https://www.heise.de/tp/features/German-Naivitaet-2-3946672.html


    A propos d’une émission de la chaîne de télévision publique Kika sur un jeune couple germano-syrien. Le jeune homme syrien adhère aux idées islamiques orthodoxes. On ne sait pas s’il est encore nmineur ou déjà adulte. Son amie par contre n’a que 14 ans au moment de leur rencontre et se trouve confrontée aux exigences de son amant par rapport à son comportement et sa tenue vestimentaire.

    Die Integration streng gläubiger Muslime und die Selbstbestimmung
    Die Familie der Freundin ihres Sohnes könnte für sie die Eintrittskarte in unsere Gesellschaft sein. Das würde aber voraussetzen, dass sie auch in dieser Gesellschaft ankommen wollen. „Die Religion gibt dir die Regeln. Ohne die Religion hast du keine Regeln, hast du kein Leben“, sagte der junge Mann in dem Film. In unserer Gesellschaft macht aber nicht Gott die Regeln, sondern wir Menschen. Die haben nicht die Engel dem Propheten erzählt und sie sind nicht im Koran festgelegt, sondern im Grundgesetz.

    Das zu akzeptieren, ist die Grundvoraussetzung, um hier leben zu können. Wer das nicht akzeptieren will, wird hier nicht leben können. Dafür gibt es keine Integrationshilfe. Da helfen kein Sprachkurs, keine interkulturelle Begegnungsstätte, und auch keine noch so aufgeschlossene und duldsame deutsche Freundin und deren Familie.

    Da stellt sich auch die Frage, mit welchem Recht jungen Mädchen die Bürde auferlegt wird, zu leisten, was in den vergangenen 50 Jahren die jeweiligen Bundesregierungen versäumt und damit den Grundstein für das gegenwärtige Problem gelegt haben: die Integration streng gläubiger Muslime.

    Diese Aufgabe werden auch die Frauen nicht meistern, die im Zuge der Familienzusammenführung hierher kämen. Denn in den streng religiösen Milieus wirken nicht die Frauen mäßigend auf die Männer ein, sondern die Männer bestimmen, wie die Frauen zu leben haben. Aber auch afghanische, iranische, irakische, syrische, … Frauen haben ein Recht auf ein selbstbestimmtes Leben.

    #Allemagne #religion #réfugiés #morale #sexualité

  • Prostitution : « Les clients qui ont trop parlé durant ces deux jours sont les plus suspects » - Libération
    http://www.liberation.fr/france/2017/11/15/prostitution-les-clients-qui-ont-trop-parle-durant-ces-deux-jours-sont-le

    Depuis l’inscription de la pénalisation des clients dans la loi, en 2016, des départements, telle la Seine-et-Marne, ont mis en place des stages pour les contrevenants. Des cours infantilisants, entre incompréhension et apathie, qui réunissent seulement « les petites gens ».

    « Je vous dis donc adieu. L’objectif est de ne plus jamais se revoir. Jamais. » Il est 9 h 15 dans les locaux miteux de l’Association de contrôle judiciaire socio-éducatif (Acjuse) de Melun. Le procureur Lescaux est tout de sérénité, placide, bras croisés. Face à lui : treize hommes coupables. Des clients de la prostitution, pris en « flagrant délit » quelques mois plus tôt, relâchés dès la contravention payée, réunis désormais en Seine-et-Marne pour un stage obligatoire de sensibilisation à la « lutte contre les achats d’actes sexuels ». Ils sont cuisinier, chauffeur poids lourd, maçon, paysagiste, ouvrier, technicien, commercial, retraité. Agés de 35 à 68 ans. Célibataires ou mariés, pères de famille pour une majorité. Tous ont fréquenté une fois de trop la forêt de Fontainebleau.

    « Messieurs, ne prenez surtout pas cette condamnation comme une mauvaise punition, tente de rassurer Aurore Rizzon, leur encadrante de référence pour ces deux jours de stage. Nous sommes ici pour débattre, non pour vous juger. Alors qui veut bien m’expliquer la raison de sa présence aujourd’hui ? » Réponse collective : le silence. Les treize corps engourdis, rongés par la honte ou figés dans le désintérêt, ont les yeux scotchés sur le carrelage flétri. Une longue minute, puis deux. « On était au mauvais endroit au mauvais moment », ose articuler un homme assis au deuxième rang, veste de motard encore sur le dos, cheveux rasés et visage buriné. « On a fait une connerie pas tip top niveau morale », souffle un autre. « On s’est fait tout bêtement attrapés par les flics », dit un troisième. « Mais pourquoi il n’y a pas de spots de publicité télé pour nous signaler que nous sommes hors-la-loi ? On ne peut pas l’inventer », s’agace son voisin de droite, avachi sur sa chaise. Au fond de la pièce, le commissaire Todesco, cheveux blancs et regard gris, attend patiemment de pouvoir inaugurer le premier module de la journée. L’intitulé : « La prostitution en France et son cadre législatif ».

    « J’ai flippé pour de vrai »

    Depuis le 13 avril 2016 et l’adoption de la loi visant à renforcer la « lutte contre le système prostitutionnel », les rapports sexuels tarifés sont pénalisés via le client (et non plus par le biais du racolage et de la personne prostituée), passibles d’une contravention de 1 500 euros la première fois et de 3 750 euros en cas de récidive. Sur ses terres, le procureur Lescaux a convaincu ses juges d’ajouter systématiquement une « peine complémentaire » (le stage, dont le coût est compris dans l’amende) à la condamnation purement financière, pour, assure-t-il, « une prise de conscience plus efficace ». Soixante-dix clients (sur un total de 800 condamnés en France) sont passés depuis le début de l’été sur les bancs de l’Acjuse de Melun, dont les sessions mensuelles sont complètes jusqu’à mars. « En gros, on paie pour tous ceux qui ne se feront jamais gauler », se désole le plus âgé des condamnés, assis au premier rang avec un carnet de notes - toujours vierge - posé sur les genoux. « C’est donc ça, la justice ? » Pause déjeuner.

    Eric, 40 ans, a accepté de se confier autour d’un buffet chinois à volonté. Attablé devant des nems au porc, il fixe son verre derrière sa paire de lunettes légèrement usée. Il est embarrassé. Le jour où il s’est fait « choper », au mois de mai, il revenait tout juste d’un entretien d’embauche. La patrouille spéciale de Fontainebleau mise en place par le procureur Lescaux, composée de trois policiers, rôdait dans la forêt. « Bingo ! Ils m’ont pris par surprise en plein acte sexuel. Je me suis senti tout con. J’ai remis mon froc comme un con, je me suis excusé comme un con et j’ai payé ma contravention comme un con. » Depuis sa mésaventure, Eric jure qu’il réfléchit à « ses pratiques », devenues « trop symptomatiques » depuis « sa première prostituée », il y a une dizaine d’années. « Pour être honnête, c’est la rencontre avec les flics qui m’a vraiment fait cogiter. J’ai flippé pour de vrai. C’était la première fois que j’avais affaire à eux. OK, je suis timide maladif et vieux garçon célibataire. Mais est-ce une raison suffisante pour finir avec un casier judiciaire ? » Il s’enfile deux cafés. L’après-midi va être long.

    Il est 16 h 30, c’est la troisième pause clope de la journée. Lucien, 38 ans, porte un col roulé noir et un pantalon en tweed. Il fume assis sur le trottoir, épuisé. « Je veux bien être pénalisé, mais elles sont où les prostituées, elles ont été prises en charge ? Parce que moi, on m’a chopé, mais la fille, croyez-moi qu’elle est restée sur le trottoir. » Cela fait deux heures qu’il bataille avec « Monsieur Laurent », un membre de l’Amicale du nid, une association « antiprostitution d’aide aux victimes », venu à l’Acjuse avec cette unique question : « Et si on se mettait à la place des personnes en situation de prostitution, juste pour voir ? » Lucien n’y avait jamais pensé. Il s’en fout royal. « Aller voir une prostituée, c’est un acte d’achat impulsif. Tu veux juste consommer du sexe, tu ne réfléchis pas aux conséquences qu’implique ta partie de jambes en l’air. C’est comme acheter de la beuh, tu ne penses pas au système caché derrière. »

    Le reste de l’auditoire s’est prêté au jeu du représentant de l’association, en multipliant les réponses hypocrites d’élèves disciplinés. Pas Lucien : « Comment peuvent-ils savoir ce qui est le mieux pour elles ? Ils nous jugent et font les bons samaritains, mais où sont-ils quand il faut sortir les femmes de cet enfer ? s’est-il énervé, un peu plus tôt, dans la salle. Moi je veux bien être condamné, mais il faut aller jusqu’au bout de la démarche derrière. Se bouger réellement pour réinsérer les prostituées dans la société. » Monsieur Laurent a répliqué : depuis le 1er novembre, cinq « parcours de sortie » (dispositif prévu par le volet social de la loi 2016) ont été activés par décision préfectorale. Sept autres dossiers sont en attente de validation. « Ces anciens et anciennes prostituées recevront 330 euros d’aide mensuelle et une autorisation provisoire de séjour d’une durée minimale de six mois. Cela leur permettra de trouver un travail », a précisé l’intervenant. Le trentenaire jette sa clope sur le trottoir, réfléchit. « Douze femmes sauvées pour combien d’hommes condamnés ? Vivement la fin de journée. »

    « Pas tous à la même enseigne »

    Le lendemain, les treize hommes se sont installés aux mêmes places, pourtant non assignées, que la veille, les mêmes fringues au corps. Certains ont radoté les mêmes discours, les autres se sont pétrifiés dans la même aphasie. Et les intervenants se sont succédé avec la même tonalité moralisatrice. « Ce stage est une mauvaise idée. Culpabiliser les gens par rapport à leur sexualité, ça ne sert à rien, conteste Thierry Schaffauser, représentant du Syndicat du travail sexuel. Ces gens stigmatisent les travailleurs du sexe et nient leur capacité d’être des adultes consentants. En pénalisant nos clients, on nous fout encore plus dans la merde. On n’a plus un rond, donc on baise sans capote, puis on chope des maladies qu’on ne peut pas soigner. Mais en aucun cas on arrête de faire le tapin. C’est inefficace. »

    Pour Jean, le plus dérangeant dans cette nouvelle loi, c’est « l’inégalité des chances ». Ancien flic de 53 ans, il s’est fait surprendre par ses camarades « la seule et unique fois » où il s’est rendu dans les sous-bois de Fontainebleau. « On ne loge pas tous à la même enseigne. Vous pensez vraiment que la police guette les endroits luxueux fréquentés par des hommes politiques ? Les petites gens sans argent paient l’amende pendant que les plus riches font tranquillement leur affaire. » Jean enfile son blouson en cuir. Il n’a pas beaucoup de temps pour discuter. Il doit retourner à la maison avant que sa femme rentre du travail. « Elle n’est au courant de rien. La justice fait en sorte que la procédure se passe en toute discrétion. Croyez-moi, ils évitent bien des divorces. » Marié, ce père de deux enfants est persuadé qu’il ne refera « plus jamais la même erreur ». Et les autres ? Rires. « Les hommes qui ont trop parlé durant ces deux jours sont les plus suspects, croyez-moi. L’élève modèle est toujours un gros faux-cul. Je parie qu’avant la fin de la semaine, une majorité des hommes ici présents se promèneront à nouveau dans les bois. » Après deux jours de prédications, de méthodes infantilisantes et de dialogues de sourds, comment le contredire ?
    Anaïs Moran

    Quelle loi de merde, rien à dire ! Existe t-il une association plus contre-productive que Le nid ?

    #prostitution #moralisme

  • #Guerre_aux_pauvres sur Arte à 20h30
    Hier, 09/11/2017, à une heure de grande écoute, 28 minutes consacre une émission entière pour traiter les pauvres d’assistés et plaindre les riches qui sont mal aimés. Une des protagonistes jamais interrompue, affirme même que les pauvres sous conditions de ressources coutent 97 milliards d’aide social.

    (voir à 34mn)

    Luchini (FL)
    – Pas un média, pas un plateau télé ou on ne vend pas le pauvre comme un éblouissement … à part TF1 …
    – Est-ce qu’il faudrait encore plus payé pour que les gens ne soient plus pauvres ?
    Agnès Verdier-Molinié (AVM)
    – Mais c’est ça le sujet ! ce qui n’est pas dit c’est que la France est dans les pays les plus géééénéreux au moooonde
    – FL : Et ça c’est vrai ?
    – mais les plus généreuuux au mooonde.
    – FL : Et c’est vrai ou pas ?
    – AVM : Mais oui, on a ,on a (là Luchini ouvre la bouche estomaqué) plus de 97 milliards de dépenses de protection sociale, d’aide sociale, qui sont versés sur critères de reeessources.
    Elisabeth Quin, présentatrice qui intervient à peine
    – Et pourtant 9 millions de français sont sous le seuil de pauvreté
    – Arrêtons de culpabiliser les français, ça coute très cher cette protection sociale

    #pauvrophobie qu’explique Nadia sous le regard goguenard des invités qui est la seule à être outrée et se moquer du terme cancer de l’assistanat qui semble commun à ce « débat ».
    Luchini (invité spécial) est quant à lui absolument infect, mais tout à fait dans la peau de ses #acteurs_français qui squattent l’espace cinématographique/politique (maintenant que les deux ne valent plus rien) de leur morbidité et en font renoncer plus d’un·e à aller au cinéma.

    Fabrice Luchini est rejoint pour ce débat par Agnès Verdier-Molinié, économiste et directrice du think tank libéral iFRAP, Éric Heyer, économiste à l’OFCE, et l’essayiste Pascal Bruckner.

    https://www.arte.tv/fr/videos/075223-054-A/28-minutes

    #consternation #arte #lamentable #goebels #mais_pourquoi_je_tombe_que_sur_des_merdes #nombril_des_riches #morale_de_droite

    • https://data.oecd.org/fr/socialexp/depenses-sociales.htm

      Les dépenses sociales couvrent les prestations en espèces, les biens et services fournis directement et les allègements fiscaux à visées sociales. Les prestations peuvent être ciblées sur les ménages à #faibles_revenu, les #personnes_âgées, les #handicapés, les personnes #malades, les #chômeurs ou les #jeunes. Un programme social se caractérise par une redistribution des ressources entre les ménages ou une participation obligatoire. Les #prestations_sociales sont qualifiées de publiques lorsque les administrations publiques (administrations centrale et locales, administrations d’États fédérés et de sécurité sociale) contrôlent les flux financiers correspondants. Toutes les prestations sociales non fournies par les administrations publiques sont considérées comme privées. Les transferts privés entre ménages ne sont pas considérés comme sociaux et ne sont pas inclus ici. Les dépenses sociales nettes totales englobent les dépenses publiques et privées, et prennent en compte les effets de la fiscalité directe et indirecte et des allègements fiscaux à visées sociales. Cet indicateur est mesuré en pourcentage du PIB ou en Dollars US par habitant.

      2017 Dépenses sociales de la France : 11,5 milliards d’euros

    • @touti , tu leur en fait de la publicité !
      J’ai regardé une partie du machin, c’est vrai, ils sont dans la fosse, au plus bas, sans@touti , tu leur en fait de la publicité !
      J’au regardé une partie du machin, c’est vrai, ils sont dans la fosse, au plus bas, sans scepticisme.

      Des parisiens #hors_sol , qui ne peuvent faire que semblant d’être avec les moyens fournis par l’argent public, ici arte, la chaine germano francophone.

      Fabrice Luchini rappelle la collaboration d’alain finkielkraut (l’éructeur) à ce qu’il qualifie de spectacle.
      Des répugnants en marche vers l’insignifiance.

      Pour rappel, finkielkrau bave le Samedi matin sur rance culture avec l’argent des contribuables, on n’est pas obligé d’écouter non plus.

      Ce ne sont pas les seuls, je cite :
      Les capitales sont bien en rupture avec le reste de leur territoire national. Un article de Juin 2016
      « Indépendance » de Paris et Londres : réponse d’un géographe à Sadiq Khan et Anne Hidalgo
      http://www.lefigaro.fr/vox/monde/2016/06/29/31002-20160629ARTFIG00322-independance-de-paris-et-londres-reponse-d-un-geo

      Anne Hidalgo, directrice du Travail et de primes de conseillère de cabinet. 116 000 euros pour un soit disant travail à a Mairie.
      http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/2017/11/08/25001-20171108ARTFIG00117-selon-le-canard-hidalgo-a-beneficie-d-une-double-

      Attention, la #morale_de_droite c’est pour ceux qui n’ont pas de rolex.

    • @bce_106_6 tu m’accuses de leur faire de la pub alors que je dénonce ces pourritures ?
      en ce moment je lis le petit pamphlet génial de @aude_v #egologie je me moque aussi de ces ’militants’ qui ne veulent parler que des trucs cools qui ne perturbent pas le monde …
      Il faut faire honte à ces « répugnants en marche vers l’insignifiance » ! et je le fais pour les jeunes qui étaient avec moi hier et qui ne décryptaient pas de suite l’aspect dégueulasse du discours.
      Et je ne fais pas de confusion à la tous pourris, je montre clairement ceux qui profitent de leur position de dominants pour la renforcer. Ces sortes d’émission sont clairement là pour justifier la guerre sociale menée contre les pauvres, ce n’est pas un jeu, les conséquences de ces campagnes de propagande sont gravissimes.

    • Bonsoir @Touti !
      Du calme, du calme, je suis entièrement d’accord avec toi sur leur suffisance astronomique.

      Ton billet m’a fait prendre comprendre que Fabrice Lucchini était bon pour la poubelle, il est vrai que je ne suivais pas trop ce qu’il faisait.
      Il radotent comme d’habitude sur les Privilèges des prolos, afin de cacher les leurs.
      De moins en moins de gens y croient, la propagande, ça a des limites.
      En faisant mes courses, j’entends des propos dignes d’anarchistes entre clients ou caissières, dans les beaux quartiers des hauts de france.

      Ces « répugnants en marche vers l’insignifiance » , ne veulent qu’une seule chose, qu’on leur fasse de la réclame, c’est leur gagne pain à ces #baltringues.

      Une seule chose les terrifie , qu’on les montre dans leur réalité (L’inspirateur de Lucchini, chroniqueur sur rance Culture).
      https://www.youtube.com/watch?v=4lydlc16K0o

      Leur classe sociale semble avoir gagné, mais leur société est en train de s’effondrer, ça les rend obscènes, haineux, ils sont sans limites.

      Je suis souvent étonné de la violence des réactions sur seenthis, entre membres qui partagent 99 % de leurs idées.

    • Oui @touti, c’est à vomir.
      Ce petit entre soi, ultra libéral, décomplexé, la présentatrice (Elisabeth Quin) toujours aussi servile.
      Luchini pitoyable, caricature de lui même, beaucoup d’effet mais pas d’intelligence.
      Et l’autre propagandiste, Verdier Molinié, abonnée aux plateaux télé et à Radio Courtoisie, qui vient répandre son venin libéral.

      Il n’y a que Nadia Daam dans cette émission qui a tous les jours du recul et une vraie liberté de ton.

      Et encore, ça c’est sur Arte.
      Sur les autres chaines, y compris du service public, c’est pire (je pense aux émissions de Ruquier par exemple).

      #société_du_spectacle #guignols

  • Radicalisation, les « mauvais garçons » de Fabien Truong, enfin un travail de terrain, à l’inverse des islamolgues et autres "experts"
    https://www.franceculture.fr/emissions/la-grande-table-2eme-partie/radicalisation-les-mauvais-garcons-de-fabien-truong

    Fabien Truong, sociologue et professeur agrégé à l’université Paris 8, auteur de "Loyautés radicales : l’islam et les « mauvais garçons » de la nation" (La Découverte, octobre 2017)

    Il ne s’agit pas de savoir pourquoi certains basculent dans le terrorisme et d’autres non, mais comment

    Quelles trajectoires personnelles derrière le mot "radicalisation" ?

    C’est la question que l’on se pose à la lecture du travail de terrain d’un sociologue, auprès d’une jeunesse française, les gars de la banlieue, ces "mauvais" garçons" de la nation, comme il les nomme. Des gamins des cités de Grigny notamment, ville qui a vu grandir Amédy Coulibaly, l’auteur de l’attentat de l’Hyper Cacher et de la policière de Montrouge.

    Des "petits", des "grands", et un "ancien"...des jeunes hommes qui voient leurs parents "galérer", le Front National grimper, des rixes s’envenimer, des solidarités de quartiers se briser. Et pour qui "le meurtre devient un acte tangible", pour qui "tuer et mourir prématurément semblent désormais être un horizon envisageable".

    Il interroge leurs contradictions, dans leur rapport aux institutions, à la Nation, à la religion. Les loyautés concurrentes qu’ils éprouvent. Le principe de réciprocité qui ne peut fonctionner tant que la société ne considère pas tous ceux qui la compose.

    À la différence de l’enquête journalistique, l’enquêteur ethnographique revient sur les lieux d’enquête, pour trouver sa place. [...] J’ai voulu regarder la construction sociale de l’histoire de ces quartiers. Il faut prendre le temps de comprendre.

    #audio #pauvreté #isolement #délinquance #conversion #religion #moralisation #mise_en_spectacle_de_soi #valeurs #violence #reborn #djihad_français

  • Francis Wolff, Libérer les animaux ?, 2009
    Un slogan immoral et absurde

    http://sniadecki.wordpress.com/2017/10/12/wolff-animaux

    Libérer les animaux ? Qui pourrait être contre un objectif apparemment si généreux ? Qui ne s’indigne devant les conditions d’élevage, de transport et d’abattage induites par le productivisme contemporain ? Qui n’a tremblé d’émotion en voyant à la télévision les conditions de vie (si l’on peut appeler cela une vie) des porcs et des veaux ? Qui ne s’est indigné en apprenant les abandons de chiens sur les bords d’autoroute au début des vacances d’été ? Il est clair que la protection animale fait aujourd’hui partie de nos devoirs.

    Toutefois, quand on parle de libérer les animaux, on ne veut pas dire « améliorer leurs conditions de vie ». On veut dire tout autre chose : on veut dire cesser de les exploiter. On sous-entend donc que les animaux seraient asservis par l’homme. Cela implique que le processus de domestication par lequel l’homme, au moins depuis le néolithique, a appris à apprivoiser, à élever, à entretenir, à soigner, à dresser certaines espèces, à créer de nouvelles espèces, variétés, races, ne serait en fait qu’une gigantesque entreprise d’esclavage. Ainsi, de même qu’il y a 11 000 ans, l’homme a amorcé son processus de civilisation en inventant l’agriculture et l’élevage et en domestiquant plantes et animaux, il faudrait aujourd’hui qu’il s’arrache à cette « barbarie » en libérant les animaux qu’il asservit ainsi depuis plus de cent siècles !

    [...]

    Il faut d’abord se débarrasser des concepts politiques qui ne font que brouiller les pistes : libération, exploitation, droits, etc. Il faut admettre que les animaux n’ont pas de droits mais cela ne signifie pas que nous n’ayons pas de devoirs à leur égard. Il faut ensuite se garder du raisonnement qui prétend que l’homme est un animal comme les autres : ce serait accepter qu’il se conduise comme une bête ou prétendre qu’il n’a pas à normer sa conduite vis-à-vis des bêtes. Il faut au contraire affirmer qu’il y a une coupure entre l’homme et l’animal puisque l’homme est un être moral. Il faut enfin se garder de mettre tous les animaux dans le même sac. Ce pseudo-concept d’animal ne mène qu’à des impasses.

    #anti-spécisme, #libération_animale

    • On peut pas vraiment dire que je sois antispéciste, mais moi je l’ai trouvé assez indigent ce texte. Il dit « Prenons cette idée étrange au sérieux » et il passe quasiment 100% du reste à ne sortir que des dérisions et trucs grotesques, sans du tout se baser sur les arguments réels utilisés dans la littérature philosophique antispéciste (les cahiers, etc), sans aucune citation sérieuse, rien. C’est juste un article de moquerie sans aucun sérieux, du coup je vois pas trop ce que ça peut toucher à part celleux qui se moquent déjà comme lui.

    • Ben, t’as pas lu l’article en entier. L’argument principal est celui-ci :

      C’est la morale justement. L’homme n’est pas un animal comme les autres parce qu’il est le seul animal moral, au sens fort du terme, c’est-à-dire le seul à pouvoir régler ses conduites sur des normes et des valeurs, à pouvoir se plier à des devoirs, c’est-à-dire à non seulement désirer, mais à pouvoir vouloir désirer ou ne pas désirer ce qu’il désire. Il doit donc d’abord se reconnaître des devoirs vis-à-vis de tout autre homme qui comme lui peut se plier à des devoirs et accepter des règles de réciprocité ; mais il peut aussi se reconnaître des devoirs (non réciproques) vis-à-vis de certains animaux qui, eux, n’ont aucun droit par nature pas plus qu’ils n’ont de devoirs.

      Mais bon, c’est vrai que invoquer la #morale, c’est mal...

  • #Moral outrage in the #digital age | Nature Human Behaviour
    https://www.nature.com/articles/s41562-017-0213-3

    Before the #internet existed, gossip served a purpose of spreading news about who could be trusted within local social networks4. By this logic, information should be shared as a function of its ability to reinforce trust and cooperation within the community. But online platforms have profoundly changed the incentives of information sharing. Because they compete for our attention to generate advertising revenue, their algorithms promote content that is most likely to be shared, regardless of whether it benefits those who share it — or is even true.

    Research on virality shows that people are more likely to share content that elicits moral emotions such as outrage5. Because outrageous content generates more revenue through viral sharing, natural selection-like forces may favour ‘supernormal’ stimuli that trigger much stronger outrage responses than do transgressions we typically encounter in everyday life. Supporting this hypothesis, there is evidence that immoral acts encountered online incite stronger moral outrage than immoral acts encountered in person or via traditional forms of media (Fig. 2b).

    [...]

    Digital media might alter the subjective experience of outrage in several ways. By increasing the frequency and extremity of triggering stimuli, one possible long-term consequence of digital media is ‘outrage fatigue’: constant exposure to outrageous news could diminish the overall intensity of outrage experiences, or cause people to experience outrage more selectively to reduce emotional and attentional demands. On the other hand, studies have shown that venting anger begets more anger6. If digital media makes it easier to express outrage, this could intensify subsequent experiences of outrage. Future research is necessary to resolve these possibilities.

    #indignation #numérique

  • Affaire #Richard_Ferrand : l’enquête est clôturée
    https://www.mediapart.fr/journal/france/051017/affaire-richard-ferrand-lenquete-est-cloturee

    L’enquête préliminaire sur les affaires immobilières du président du groupe LREM à l’Assemblée Richard Ferrand, et de sa compagne, vient d’être clôturée. Le procureur de #Brest devrait annoncer dans les prochains jours sa décision sur l’avenir judiciaire du dossier. Richard Ferrand © Reuters

    #France #Enquête #Justice #moralisation_de_la_vie_publique #mutuelles #Probité

  • #activités_de_conseil chez les députés : une mesure clé repoussée à 2022
    https://www.mediapart.fr/journal/france/050917/activites-de-conseil-chez-les-deputes-une-mesure-cle-repoussee-2022

    Bientôt promulguées, les lois « confiance » prétendent encadrer les activités de conseil des députés. En réalité, la principale mesure affichée par le gouvernement s’appliquera en 2022 seulement. « Supercherie ! », dénonce le PS.

    #France #conflits_d'intérêts #Delphine_Batho #moralisation #Nicole_Belloubet #parlement

  • L’utile en tête
    http://www.laviedesidees.fr/L-utile-en-tete.html

    L’humanité est composée de « tribus » qui ont chacune leur conception du bien et leurs valeurs. Comment les réconcilier ? Certainement pas en cherchant une illusoire vérité #morale, d’après J. Greene, mais en s’appuyant, à l’aide des #neurosciences, sur les intuitions qui peuvent nous être communes.

    Livres & études

    / morale, #utilitarisme, neurosciences

    #Livres_&_études

  • Pourquoi mon blog ne sera jamais connu

    Réflexion personnelle sur l’existence de mon blog, à qui est-il destiné, par qui est-il lu, et à quel prix. Pourquoi mon blog ne sera jamais connu.

    https://max-koder.fr/2017/08/20/pourquoi-mon-blog-ne-sera-jamais-connu

    #penséesdulibre

    [...]

    À l’ouverture de celui-ci, j’avais l’idée utopique de réussir à vulgariser des notions que je considérais complexes, afin de les rendre accessibles à tout le monde. Suis-je sur la bonne voie ?
    Je pense en toute objectivité que les articles présents sont accessibles, car je prends le temps d’y aller tranquillement. Je relisais cet article de Cascador sur les mots justement, et je pense être à l’opposé du fameux Christophe Gallaire : Ici tout est simple, direct. Je sais que tout n’est pas parfait, qu’il peut arriver que l’on ne me comprenne pas – ça s’est vu dans les commentaires d’ailleurs – mais je fais mon possible, et surtout je ne me la pète pas (enfin pas trop ? ).
    En revanche, il faut bien avouer que le public n’est pas au rendez-vous : Si Firefox représente 14% d’utilisation sur tous les navigateurs confondus sur les 12 derniers mois en France, vous êtes plus de 60% à consulter ce blog avec. Je m’adresse à des personnes averties, qui ont du goût ?

    Vous êtes encore là ? Chapeau, il faut du courage pour lire autant.

    Des articles longs

    Vous l’aviez vu venir la transition ? Quel talent.
    Mes articles sont rares, mais longs. Oui, j’écris peu, mais j’écris beaucoup. Le nombre d’articles est franchement bas par ici, mais chaque billet est le fruit de plusieurs heures, plusieurs jours sur le clavier. Si certains se contentent de poser 5 lignes sur la dernière version de Debian, je passe rarement sous la barre des 2000 mots. Ce n’est pas un signe de qualité bien sûr, mais c’est au moins représentatif du temps que me prend chaque article.

    À cela, ajoutez les heures de recherche. Si je fais le choix d’écrire, c’est bien évidemment pour ne pas dire de conneries. J’en dis sûrement, mais je me soigne : Chaque information technique est vérifiée.
    Malheureusement, il n’est pas rare de trouver des sites qui se contredisent. Alors les recherches s’éternisent, parfois sur un détail merdique.

    [...]

    via https://diasp.eu/posts/5935469

    #blog #réflexion_sur_soi #écrire #moralisme #essai #Montaigne_d'aujourd'hui

  • Etre #athée aujourd’hui (5/5) : Aux Etats-Unis, la #religion reste un gage de #moralité - La Libre
    http://www.lalibre.be/actu/international/etre-athee-aujourd-hui-55-aux-etats-unis-la-religion-reste-un-gage-de-morali

    Devenir athée, ça ne s’est pas fait du jour au lendemain pour Bo Bennett, sociologue américain élevé dans une famille catholique peu pratiquante. « Il y a dix ans, un collègue, chrétien évangélique, m’a donné un livre. Je me suis prêté au jeu et j’y ai découvert un condensé d’absurdités. J’ai commencé à me poser des questions. J’ai passé deux ans à faire des recherches. Et puis, j’ai lu la Bible. » Se plonger dans les milliers de versets, dont certains se résument, à ses yeux, à la #violence, d’autres à des histoires recyclées de croyances antiques, a fini de le convaincre que pour lui, la religion n’avait plus aucun sens. « Les gens idolâtrent Dieu comme un être d’une parfaite moralité. Mais certains passages dérangeraient beaucoup de gens s’ils lisaient la Bible. Quant à ceux qui l’ont lue, ils répondent que Dieu avait ses raisons, sans se poser de questions. C’est comme de l’#autoritarisme », s’indigne-t-il.

    Frappé par cette révélation, Bo Bennett n’a pu s’empêcher de faire campagne pour briser ce qui était à ses yeux un condensé de mythes. « L’#absurdité de la religion était si évidente pour moi que, lorsque j’entendais des gens en parler comme si c’était des faits vérifiés, je ne pouvais pas ne rien dire. C’est comme si quelqu’un vous disait que la Terre est plate. Vous devez le contredire. Après tout, un nombre alarmant de personnes aux Etats-Unis pensent que la Terre a seulement 3 000 ans. Bref, c’était ma phase d’athée en colère », se souvient ce quadragénaire, qui prêche aujourd’hui la pensée critique, dans l’espoir que d’autres arriveront par eux-mêmes à sa conclusion.

    Bo Bennett revendique donc ouvertement son #athéisme, même si cela a failli lui coûter sa relation avec son frère pasteur. L’apostasie est souvent mal perçue ou, du moins, mal comprise dans le premier pays chrétien au monde, avec 70 % des Américains, soit plus de 240 millions de personnes, qui se réclament du christianisme. M. Bennett a l’avantage d’habiter dans le New England, l’une des régions les moins religieuses des Etats-Unis. « Dans certaines villes, ne pas croire en Dieu, c’est comme ne pas croire aux licornes. Tout le monde s’en fout. Mais dans la Bible Belt, cela peut détruire votre vie », avoue-t-il.

    #paywall

  • Réactions en « stock » dans l’affaire Pénicaud
    http://www.humanite.fr/reactions-en-stock-dans-laffaire-penicaud-639572

    Selon Christophe Castaner, Muriel Pénicaud pouvait gagner 100 ans de SMIC sur coup de Bourse au lieu de 80 perçus en 2013.

    Le pantouflage, Christophe Castaner connaît, tout comme son mentor Emmanuel Macron. Vendredi, il a, dans sa fonction de porte-parole du gouvernement, distillé quelques paroles prononcées par l’oracle pour la bonne conduite de ses troupes à l’issue de ce même conseil des ministres : « Le président nous a encouragés à réfléchir au fait que chacune de nos décisions soit dans une logique de sens. Il a insisté sur le fait que les Français nous comprennent toujours quand on les amène sur une logique de sens et non quand on prend les arbitrages ponctuels à tel ou tel moment ».

    En suggérant que Muriel Pénicaud a perdu 20% de la somme qu’elle aurait pu empocher en vendant dès 2013 un paquet d’action au lieu d’attendre 2017 pour gagner 20% de plus, il n’est pas certain que le porte-parole du gouvernement ait donné à ses propos le sens souhaité par le chef de l’Etat.

    S’agissant du sens à donner à ses propos concernant l’affaire Pénicaud, on est plutôt tenté de parodier Sully en se disant que le « pantouflage et l’auto-gavage sont les deux mamelles de la France » de Macron.

    #muriel_pénicaud #danone #loi_travail_macron #pantouflage #moralisation_de_la_vie_publique

  • A l’Assemblée, entre esquives et couacs, la #moralisation à petits pas
    https://www.mediapart.fr/journal/france/310717/lassemblee-entre-esquives-et-couacs-la-moralisation-petits-pas

    Malgré les couacs au sein de la majorité, l’Assemblée a voté samedi les lois « pour la confiance dans la vie politique ». Cinq jours de débats pour une réforme étriquée. Récit.

    #France #Assemblée_nationale #conflits_d'intérêts #Nicole_Belloubet #pantouflage #Richard_Ferrand #verrou_de_Bercy

  • #emplois_familiaux et notes de frais : l’Assemblée se range à la raison
    https://www.mediapart.fr/journal/france/280717/emplois-familiaux-et-notes-de-frais-lassemblee-se-range-la-raison

    Penelope et François Fillon au meeting de La Villette, le 29 janvier © Reuters Les députés ont voté, jeudi 27 juillet, deux mesures phares des projets de loi « #moralisation » : la fin des emplois familiaux et l’instauration de notes de frais. « Du masochisme ! », pour certains élus LR.

    #France #Assemblée_nationale #IRFM

  • #moralisation : les députés LREM s’en tiennent à la copie du gouvernement
    https://www.mediapart.fr/journal/france/230717/moralisation-les-deputes-lrem-sen-tiennent-la-copie-du-gouvernement

    Ce lundi 24 juillet, les députés entament l’examen des projets de loi « moralisation ». Les élus de la majorité ont raté en commission l’occasion d’aller au-delà du texte gouvernemental.

    #France #Assemblée_nationale #conflits_d'intérêts #IRFM #réserve_parlementaire

  • Les sénateurs acceptent de fournir des notes de frais
    https://www.mediapart.fr/journal/france/150717/les-senateurs-acceptent-de-fournir-des-notes-de-frais

    Petite révolution : les sénateurs ont voté pour que leurs dépenses soient prises en charge sur notes de frais. Ce serait la fin de l’IRFM, l’indemnité forfaitaire aujourd’hui détournée trop souvent à des fins personnelles.

    #France #HATVP #IRFM #moralisation #Nicole_Belloubet #Philippe_Bas #Sénat

  • La morale, la veste et l’oxymore, par Evelyne Pieiller
    https://blog.mondediplo.net/2017-07-10-La-morale-la-veste-et-l-oxymore #st

    Les commentateurs aiment en appeler au respect de l’autre, au respect des valeurs citoyennes, sans frémir, ils adorent moraliser : pourtant, en pleine effervescence précisément de la moralisation de la vie publique, quand des politiques changent de bord, sans état d’âme, aucune indignation, nul ne songe à rappeler une vieille vertu, l’honneur… À croire que c’est une notion aussi périmée que les téléphones en bakélite.

    http://zinc.mondediplo.net/messages/74321 via Le Monde diplomatique

  • Nouvel article du Blog : Affaires et Transparence, la Vie Publique des Hauts de France

    Des collectivités locales investies dans le développement économique et un réseau scientifique et industriel de qualité, le tout œuvrant pour l’emploi régional... C’est ce qu’aurait du être le CITC.
    Mais pourquoi dans l’agglomération lilloise les grosses histoires d’argent public finissent toujours mal ?

    La politique numérique locale subit, elle aussi, le copinage et le détournement d’argent public. Et plus nous nous intéressons au sujet plus nous découvrons avec effarement l’ampleur de l’opacité financière des politique publiques locales de l’ère Percheron/de Saintignon. Et contre toute attente, elle perdure.

    Le périple dans les contrées sauvages des baronnies politico-financières ne fait que commencer. Dans l’ombre, des rois sans couronne se gavent pendant que la conscientisation de leurs sujets avance.

    http://www.osere.eu/2017/06/15/citc/index.html

    #Anticor #moralisationdelaviepublique #universitécatholiquedelille #pierredesaintignon #percheron #lille #hautsdefrance #partisocialiste #martineaubry #Euratechnologies #CITC #hautsdefrance

  • L’administration révolutionnaire des filles de joie
    http://www.laviedesidees.fr/L-administration-revolutionnaire-des-filles-de-joie.html

    Alors qu’une légende noire présente la #Révolution_française comme un temps de débauche, le cas de la #prostitution étudié par Clyde Plumauzille montre que 1789 instaure au contraire un ordre moral et politique : femmes indignes, les prostituées sont aussi tenues pour des citoyennes de second rang.

    Livres & études

    / prostitution, Révolution française, #morale

    #Livres_&_études

  • Lois de #moralisation : des flous et des angles morts
    https://www.mediapart.fr/journal/france/150617/lois-de-moralisation-des-flous-et-des-angles-morts

    François Bayrou et Emmanuel Macron pendant la campagne présidentielle © Reuters Les deux projets de loi de moralisation de l’action publique, adoptés mercredi par le conseil des ministres, arrivent sur le bureau du Sénat. Au-delà d’avancées évidentes, Mediapart décrypte les premiers renoncements. Sur la probité des parlementaires, bien des « détails » sont laissés aux bons soins des assemblées.

    #France #conflits_d'intérêts #emplois_familiaux #francois_bayrou #IRFM #parlement #quitus_fiscal #Transparence