• Passer le pont - Jour 22 - #BlogElul - Oser
    http://otir.net/dotclear/index.php/post/2014/09/17/Oser

    Honnêtement, je ne pense pas être particulièrement audacieuse, mais si oser prendre la parole est suffisant pour être de la partie, j’hésite rarement. A part défendre mon point de vue, mes morceaux de bravoure sont relativement restreints au domaine social. Pour le reste, non, je ne suis pas aventureuse du tout, et il y a plein de choses que je n’ose jamais, surtout parce qu’elles ne me tentent pas du tout ; et pas vraiment, parce que je n’ose pas.

    Pourtant le regard des autres peut m’impressionner. Il ne m’empêchera jamais d’oser chanter en public ou me porter volontaire pour être la porte-parole d’un groupe qui en aura besoin. Mais je n’ose généralement pas faire des dépenses, ou me lancer dans des opérations qui impliquent de se montrer à la mode. J’ai un problème avec ma garde-robe et je (...)

    #Soliloques #motivation

  • Le temps du sursaut - Jour 17 - #BlogElul - Réveiller
    http://otir.net/dotclear/index.php/post/2014/09/12/Reveiller

    Je suis du matin. Cela veut dire que j’ai une préférence pour les activités diurnes, mais aussi que j’aime plus le calme qui règne la nuit après le réveil, plutôt que la nuit avant d’aller me coucher.

    Et pourtant, avec une énergie fluctuante, il m’arrive très souvent de sentir le regain plutôt en fin de journée, quand par exemple j’ai eu des passages « en bas régime » particulièrement prononcés, et que j’ai dû me pousser au train pour accomplir le minimum. Et ce n’est pas parce que je carbure à la caféine, pour me maintenir éveillée. Je bois du café, plus pour ne pas grignoter que pour autre chose.

    A la maison, je suis la première réveillée. Mais si d’aventure, je me fais réveiller, par des bruits importuns, des chats qui se bagarrent, une alarme de la caserne de pompiers, une activité inhabituelle dans notre (...)

    #Soliloques #inspiration #motivation

  • Pavlok, le bracelet qui vous puni - Engadget
    http://alireailleurs.tumblr.com/post/91140851917

    Pavlok est un bracelet qui vous délivre un choc électrique si vous ne faites pas ce que vous aviez prévu, rapporte Engadget. Ce bracelet imaginé par un étudiant de Stanford, Maneesh Sethi (@maneesh), qui devrait être disponible à la rentrée sur une plateforme de financement participatif, a pour but de vous rendre plus responsable, explique son inventeur (qui explique pourquoi dans une courte brochure (.pdf)). Chacun pourra programmer les fonctions qu’il souhaite travailler avec le bracelet et il y aura une fonction sociale vous invitant à tenir vos défis devant les autres… Le but par exemple, vous lever quand votre réveil sonne, ne pas remettre l’exercice quotidien que vous avez planifié, ne pas ouvrir le frigo… Le problème, semble oublier l’entreprenant étudiant, c’est que le renforcement négatif (...)

    #wearable #quantified_self #motivation #bodyware

  • Lourde peine : Un trou dans le #CV. (semi-fiction) | Au Ras Du Sol
    http://rasdusol.wordpress.com/2014/06/14/lourde-peine-un-trou-dans-le-cv-semi-fiction

    Donc, pour postuler tu dois étaler ton parcours d’études, tes expériences professionnelles, tes références administratives, tes loisirs, ton compte FB, Twitter, ton orientation sexuelle, ta religion, ton engagement politique, la qualité de ton papier toilette, les points qu’il te reste sur ton permis, ton taux de Gamma Gt,… le tout accompagné d’une lettre dite de #motivation histoire de préciser que tu veux bosser pour CETTE boîte parce qu’elle est la meilleur de toute.

  • “You can not observe a developer without altering their behavior”

    http://mikehadlow.blogspot.co.uk/2014/06/heisenberg-developers.html

    He introduced us to ‘Jira’, a word that strikes fear into the soul of a developer.

    Ici le problème, à mon avis, n’est pas l’outil mais l’utilisation qui en est faite : flicage, surveillance, suivi du temps dépensé. Jira ne pose aucun problème quand il est utilisé par les développeurs, pour les développeurs : Suivi de l’état d’avancement de la correction / fonctionnalité (eg. Les projets open source)

    As one explained to me, “you take the next item off the list, do the work, check it in, and you don’t have to worry about it.”

    Finely grained management is a recipe for ‘talent evaporation’. The people who live and breathe software will leave – they usually have few problems getting jobs elsewhere. The people who don’t like to take decisions and need an excuse, will stay. You will find yourself with a compliant team that meekly carries out your instructions, doesn’t argue about the utility of features, fills in Jira correctly, meets their estimates, and produces very poor quality software.

    So how should one manage developers?

    Simple: give them autonomy. It seems like a panacea, but finely grained management is poisonous for software development. It’s far better to give high level goals and allow your developers to meet them as they see fit. Sometimes they will fail; you need to build in contingency for this. But don’t react to failure by putting in more process and control . Work on building a great team that you can trust and that can contribute to success rather than employing rooms full of passive code monkeys.

    Commencer déjà par prendre en compte l’avis des développeurs, leur retour. Généralement ça permet de corriger d’améliorer le process actuel, tout en impliquant et motivant les troupes.

    #micro_management #autonomie #développeur #Jira #estimation #motivation #productivité

  • #motivation : il est temps de repenser la productivité - 99u.com
    http://alireailleurs.tumblr.com/post/83597789800

    Les consultants Josh Levine (@akajoshlevine) et Ciana Wilson livrent pour 99u une belle tribune sur la motivation. Comment garder des employés motivés ? C’est le grand défi de l’innovation. Notre motivation vient de notre énergie, mais comment la booster autrement qu’en installant des machines à café ? Tony Schartz et son projet Energie propose une douzaine d’idée pour motiver ses employés, allant de l’élimination des choix inutiles à “trouver un but”, car c’est bien avant tout dans l’identification de ses motivations personnelles que repose l’énergie estiment les consultants. “Ce sont les idées, pas les widgets, qui animent le commerce”. La productivité des travailleurs du savoir repose sur un autre type de productivité qui suppose que l’entreprise comme chaque employé comprennent le but qu’ils poursuivent. (...)

    #management

  • #motivation du personnel : les expériences russe et française
    http://www.lecourrierderussie.com/2013/10/04/motivation-personnel-les-experiences-russe-francaise

    Le Courrier de Russie s’est penché sur les expériences de trois sociétés différentes en matière de motivation du personnel.The post Motivation du personnel : les expériences russe et française appeared first on Le Courrier de Russie.

    #Carrière

  • De même, la #théorie marxiste de l’#histoire, et toute théorie générale et simple du même type, est nécessairement amenée à postuler que les #motivations fondamentales des hommes sont et ont toujours été les mêmes dans toutes les #sociétés. Les « forces », productives ou autres, ne peuvent agir dans l’histoire qu’à travers les actions des hommes et dire que les mêmes forces jouent partout le rôle déterminant signifie qu’elles correspondent à des mobiles constants partout et toujours. Ainsi la théorie qui fait du « développement des forces productives » le moteur de l’histoire présuppose implicitement un type invariable de motivation fondamentale des hommes, en gros la motivation économique : de tout temps, les sociétés humaines auraient visé (consciemment ou inconsciemment, peu importe) d’abord et avant tout l’accroissement de leur production et de leur consommation. Mais cette idée n’est pas simplement fausse matériellement ; elle oublie que les types de motivation (et les valeurs correspondantes qui polarisent et orientent la vie des hommes) sont des créations sociales, que chaque culture institue des valeurs qui lui sont propres et dresse les #individus en fonction d’elles. Ces dressages sont pratiquement tout-puissants car il n’y a pas de « nature humaine » qui pourrait leur offrir une résistance, car, autrement dit, l’homme ne naît pas en portant en lui le #sens défini de sa vie. Le maximum de consommation, de puissance ou de sainteté ne sont pas des objectifs innés à l’enfant, c’est la culture dans laquelle il grandira qui lui apprendra qu’il en a « #besoin ». Et il est inadmissible de mêler à l’examen de l’histoire le « besoin » biologique ou l’ « #instinct » de conservation. Le « besoin » biologique ou l’ « instinct » de conservation est le présupposé abstrait et universel de toute société humaine, et de toute espèce vivante en général, et il ne peut rien dire sur aucune en particulier. Il est absurde de vouloir fonder sur la permanence d’un « instinct » de conservation, par définition partout le même, l’histoire, par définition toujours différente, comme il serait absurde de vouloir expliquer par la constance de la libido l’infinie variété de types d’organisation familiale, de névroses ou de perversions sexuelles que l’on rencontre dans les sociétés humaines. Lorsque donc une théorie postule que le développement des forces productives a été déterminant partout, elle ne veut pas dire que les hommes ont toujours eu besoin de se nourrir (auquel cas ils seraient restés des singes). Elle veut dire au contraire que les hommes sont allés toujours au-delà des « besoins » biologiques, qu’ils se sont formé des « besoins » ont été, partout et toujours et de façon prédominante, des besoins économiques. Et en cela, elle ne parle pas de l’histoire en général, elle ne parle que de l’histoire du capitalisme. Dire, en effet, que les hommes ont toujours cherché le développement le plus grand possible des forces productives, et qu’ils n’ont rencontré comme obstacle que l’état de la technique ; ou que les sociétés ont toujours été « objectivement » dominées par cette tendance, et agencées en fonction d’elle, c’est extrapoler abusivement à l’ensemble de l’histoire les motivations et les valeurs, le mouvement et l’agencement de la société actuelle – plus exactement, de la moitié capitaliste de la société actuelle. L’idée que le sens de la #vie consisterait dans l’accumulation et la conservation des richesses serait de la folie pour les Indiens Kwakiutl, qui amassent des richesses pour pourvoir les détruire, l’idée de rechercher le pouvoir et le commandement serrait de la folie pour les Indiens Zuni, chez qui, pour faire de quelqu’un un chef de la tribu, il faut le battre jusqu’à ce qu’il accepte. Des « marxistes » myopes ricanent lorsqu’on cite ces exemples qu’ils considèrent comme des curiosités ethnologiques. Mais s’il y a une curiosité ethnologique dans l’affaire, ce sont précisément ces « révolutionnaires » qui ont érigé la mentalité capitaliste en contenu éternel d’une nature humaine partout la même et qui, tout en bavardant interminablement sur la question coloniale et le problème des pays arriérés, oublient dans leurs raisonnements les deux tiers de la population du globe. Car un des obstacles majeurs qu’a rencontré et que rencontre toujours la pénétration du #capitalisme c’est l’absence des motivations économiques et de la mentalité de type capitaliste chez les peuples des pays arriérés. Le cas est classique, et toujours actuel, des Africains qui, ouvriers pour un temps, quittent le travail dès qu’ils ont réuni la somme qu’ils avaient en vue, et partent à leur village reprendre ce qui est à leurs yeux la seule vie normale. Lorsqu’il a réussi à constituer chez ces peuples une classe d’ouvriers salariés, le capitalisme n’a pas seulement dû, comme #Marx le montrait déjà, les réduire à la misère en détruisant systématiquement les bases matérielles de leur existence indépendante. Il a dû en même temps détruire impitoyablement les #valeurs et les #significations de leur culture et de leur vie – c’est-à-dire en faire effectivement cet ensemble d’un appareil digestif affamé et de muscles prêts à un travail privé de sens, qui est l’image capitaliste de l’homme.

    Cornelius Castoriadis, L’institution imaginaire de la société

  • Pathologies vertueuses des jeux vidéo | Anaïs Richardin
    http://owni.fr/2012/05/30/pathologies-vertueuses-des-jeux-video

    Pour vivre fort, il faut jouer avec sa santé. Enfin… dans une certaine mesure, car la #gamification récente de la santé permet aujourd’hui de sensibiliser de manière plus efficace les citoyens aux maladies et au respect d’une vie saine. Pas très rock’n’roll mais efficace.

    #Analyse #jeux_vidéo #badgification #jeux-vidéo #motivation #pointification #récompense #santé

  • Etant indépendant, je profite de mes horaires libres pour passer une partie de l’après midi de mercredi avec mes neveux (7 et 9 ans), notamment devant les jeux vidéo. Etant passionné de jeux vidéo depuis mon enfance, et ayant été une dizaine d’années professionnel dans ce domaine, j’essaye de leur transmettre un peu de culture dans ce domaine.

    Ainsi, sur la Wii, l’un de leurs jeux préférés est Bomberman (console virtuelle PC Engine), ou encore Metal Slug (console virtuelle Neo Geo), Super Mario (console virtuelle SNES). Sur l’ordinateur, via MAME, ils apprécient Moon Patrol (arcade), Shinobi (arcade). Out Run (arcade).

    Sur l’ordinateur ou console, je fouille du côté des jeux Indy, comme World of Goo, Crayon Physics, VVVVVV, Max and the Magic Marker. Sur mobile, j’essaye de leur montrer quelques références, tels Angry Birds, Plantes contre Zombies, mais aussi MiniSquadron ! ou Cut the Rope.

    Sur le web, plutôt que de les laisser passifs devant un portail de jeux Flash en vrac, je tente de leur faire découvrir des jeux en particulier qui présentent un intérêt spécifique, se détachant du lot d’une manière ou d’une autre. Dolphin Olympics 2 et Desktop Tower Defense font partie des classiques qu’ils réclament, mais ils ont aussi joué à des jeux plus « malins » et originaux, tels que This is The Only Level, et sa suite This is The Only Level TOO.

    Lorsqu’ils utilisent mon ordinateur (Mac), et un navigateur (Chrome), j’essaye de leur enseigner qu’il existe des alternatives. Qu’il existe aussi des ordinateurs sous Windows ou Linux. Ou que Google Chrome est un navigateur web, bref, un programme, mais qu’il en existe aussi d’autres, tel Firefox, par exemple.

    Qu’en est-il donc resté, de toutes ces tentatives d’enseignement à l’intention de gamins impatients de JOUER ?

    Eh bien... plus que ce que j’aurais imaginé, à dire vrai !

    Par exemple, ils ont eux même compris que mon dernier téléphone en date (Samsung Galaxy SII sous Android) était en réalité un ordinateur (plus de dix mille fois plus puissant que mon premier ordinateur sur lequel j’ai joué et programmé... au siècle dernier). En conséquence, ils en ont déduit que l’iPod Touch était aussi un ordinateur, bien que différent.

    Aujourd’hui, le plus jeune a passé la journée à la maison, malade. Après lecture, dessin et autres activités culturelles classiques, sa maman l’a laissé devant l’ordinateur, auquel il n’a pas le droit de toucher, d’habitude. Un ordinateur sous Windows, dont il n’a aucune habitude. Il a su l’allumer, lancer un navigateur web (autre que celui qu’il utilisait chez moi), accéder à Google (dans le but de lancer une recherche), taper la recherche qui l’intéressait et... lancer Desktop Tower Defense (dont l’orthographe, pour un gamin de 7 ans, n’est pourtant pas évidente !)

    Tonton ravi. (La maman un peu moins.)

    #famille #jeux_vidéo #internet #enfant #anecdote #motivation #apprentissage

  • Managers : le guide du bon sens (ou comment motiver ses employés sans augmenter leurs salaires)
    http://www.palsambleu.fr/managers-le-guide-du-bon-sens-ou-comment-motiver-ses-employes-sans-augmen

    Le monde de l’entreprise n’est pas réputé pour son application du bon sens. Scott Adams, créateur de Dilbert, propose un modèle de management basé sur ce fameux bon sens, pour obtenir des miracles de ses employés sans déployer des moyens extrao

    #personne:Scott_Adams #Dilbert #motivation #entreprise #management #gp:links