• A Istanbul, l’AKP est en grande difficulté face au candidat d’opposition
    https://www.mediapart.fr/journal/international/210619/istanbul-l-akp-est-en-grande-difficulte-face-au-candidat-d-opposition

    Annulée après la victoire du candidat de l’opposition, l’élection du maire d’Istanbul se rejoue dimanche. Le leader social-démocrate Ekrem Imamoglu semble avoir creusé l’écart avec son adversaire, un ancien bras droit d’Erdogan, contraint à infléchir sa campagne. Le scrutin s’avère décisif pour l’avenir du pays.

    #MOYEN-ORIENT #Istanbul,_Recep_Tayyip_Erdogan,_Binali_Yildirim,_Ekrem_Imamoglu,_turquie

  • Ces blagues politiques qui pouvaient vous coûter la vie sous Staline - Russia Beyond FR

    https://fr.rbth.com/histoire/83065-urss-blagues-staline

    Les fantômes d’Alexandre le Grand, de Jules César et de Napoléon regardent le défilé sur la place Rouge dans les années 1940.

    « Si j’avais eu des chars soviétiques, j’aurais été invincible ! », s’exclame Alexandre.

    « Si j’avais eu des avions soviétiques, j’aurais conquis le monde entier ! », déclare César.

    « Si j’avais eu la Pravda [le principal journal soviétique], le monde n’aurait jamais entendu parler de Waterloo ! », assure Napoléon.

    #soviétisme #blagues_soviétiques #staline

    • «Cher Leonid Ilitch»: Brejnev, superstar des blagues soviétiques - Russia Beyond FR
      https://fr.rbth.com/ps/2016/12/19/cher-leonid-ilitch-brejnev-superstar-des-blagues-sovietiques_661588

      Leonid Brejnev, dirigeant de facto de l’Union soviétique pendant 18 ans, est entré dans l’histoire comme un homme politique, mais également comme le personnage central de nombreuses blagues.

    • Dans le même genre #Humour #arabe glané dans la presse, et traduit par moi
      #Entre_Les_Oreilles, le 4 septembre 2013
      https://entrelesoreilles.blogspot.com/2013/09/elo156-humour-arabe.html

      #Egypte (sous Moubarak) :

      Quand Nasser est devenu président, il voulait une vice-président plus bête que lui-même, pour éviter un challenger, il a donc choisi Sadate. Quand Sadate est devenu président, il a choisi Moubarak pour la même raison. Moubarak n’a pas de vice-président, car il n’y a pas un Egyptien plus stupide que lui.

      Quand Moubarak a consolidé sa puissance, qu’il a commencé à gagner les élections avec plus de 90 pour cent des voix, et à purger ses rivaux dans l’armée, il envoya ses conseillers politiques à Washington, pour aider à la campagne pour la réélection de Bill Clinton en 1996, après que le président américain ait déclaré admirer la popularité de Moubarak. Lorsque les résultats sont arrivés, c’est Moubarak qui était élu président des Etats-Unis.

      Dieu convoque Azrael, l’archange de la mort, et lui dit : « Il est temps d’aller chercher Hosni Moubarak. »
      "Etes-vous sûr ?" Azrael demande timidement.
      Dieu insiste : « Oui, son heure est venue ; va et apporte moi son âme. »
      Alors Azrael descend du ciel et se dirige droit vers le palais présidentiel. Une fois là, il essaie d’entrer, mais il est capturé par la Sécurité d’Etat. Ils le jettent dans une cellule, le tabassent et le torturent. Après plusieurs mois, il est finalement libéré.
      De retour au ciel, Dieu le voit tout meurtri et brisé et demande : « Qu’est-il arrivé ? »
      "La Sûreté de l’Etat m’a battu et torturé," dit Azrael à Dieu. « Ils viennent juste de me renvoyer. »
      Dieu pâlit et d’une voix effrayée dit : « Tu leur as dit que c’est moi qui t’ai envoyé ? »

      Dans une autre scène de lit de mort, Azrael revient à Moubarak et lui dit : « Vous devez dire au revoir au peuple égyptien. » Moubarak demande : « Pourquoi, où vont-ils ? »

      Moubarak, sur son lit de mort, se lamente : « Que feront les Egyptiens sans moi ? » Son conseiller tente de le réconforter : « Monsieur le Président, ne vous inquiétez pas, les Egyptiens sont un peuple résilient qui pourraient survivre en mangeant des pierres ». Moubarak fait une pause pour réfléchir et dit à son conseiller : « Accorde à mon fils Alaa le monopole pour le commerce des pierres ».

      Hosni Moubarak, Barack Obama et Vladimir Poutine, lors d’une réunion, sont ensemble quand soudain, Dieu apparaît devant eux.
      « Je suis venu pour vous dire que la fin du monde sera dans deux jours », dit Dieu. « Prévenez votre peuple. »
      Ainsi, chaque dirigeant remonte à sa capitale et prépare une allocution télévisée.
      A Washington, M. Obama dit : « Mes chers compatriotes, j’ai une bonne et une mauvaise nouvelle. La bonne nouvelle est que je peux vous confirmer que Dieu existe. La mauvaise nouvelle est qu’il m’a dit que la fin du monde était dans deux jours ».
      A Moscou, M. Poutine dit : « Gens de Russie, je regrette de devoir vous informer de deux mauvaises nouvelles. Premièrement, Dieu existe, ce qui signifie que tout ce que notre pays a cru pendant la plupart du siècle dernier était faux. Deuxièmement, le monde se termine dans deux jours ».
      Au Caire, Moubarak dit : « O Egyptiens, je viens à vous aujourd’hui avec deux bonnes nouvelles ! Tout d’abord, Dieu et moi venons de tenir un important sommet. Ensuite, il m’a dit que je serai votre président jusqu’à la fin des temps. »
      –---------------------------------------
      #Syrie (pendant la guerre civile) :

      Deux Syriens font la mendicité dans la rue Hamra, à Beyrouth. Après un moment, ils se rencontrent et comparent leurs revenus. L’un d’eux a gagné beaucoup, l’autre presque rien. L’homme qui n’a pas beaucoup gagné demande : « Qu’est-ce que tu leur dis ? Moi je dis toujours que je suis un pauvre syrien qui a dix enfants à nourrir... ». L’autre homme répond : « Moi, je leur dis que je suis un Syrien pauvre aussi, et que je n’ai pas assez d’argent pour mon voyage de retour. »

      Un Américain, un Français et un Syrien arrivent en enfer. Le diable les accueille, leur montre un téléphone et leur donne l’occasion de parler à leurs familles. Tout d’abord, l’américain parle pendant un certain temps à ses proches. Après avoir fini, le diable exige de lui mille dollars pour l’appel. L’américain se plaint - mais en vain. Il doit payer. Le Français pense être plus sage, et parle à sa famille pendant seulement une minute. Mais le diable exige de lui mille euros. Le Français est furieux - mais il doit payer. En fin de compte, c’est au tour du Syrien. Il parle pendant longtemps parce qu’il doit saluer tous les membres de sa grande famille. Après sa conversation, le diable ne lui fait payer qu’une livre syrienne. L’Américain et le Français sont scandalisés et demandent au diable : « Pourquoi ? ». Il répond : « C’était un appel local. »
      –--------------------------------------------
      #Liban (pendant l’occupation syrienne) :

      Question : Pourquoi Emile Lahoud (le président libanais 1998-2007) utilise seulement du papier hygiénique à deux épaisseurs ?
      Réponse : Parce qu’il doit envoyer une copie de chaque document à Damas.
      –---------------------------------------------
      #Moyen-Orient (en août 2013) :

      L’Iran soutient Assad. Les Etats du Golfe sont contre Assad.
      Assad est contre les Frères musulmans. Les Frères musulmans et Obama sont contre le général Sisi. Mais les pays du Golfe sont pro-Sisi ! Ce qui veut dire qu’ils sont contre les Frères musulmans.
      L’Iran est pro-Hamas. Mais le Hamas est derrière les Frères musulmans.
      Obama soutient les Frères musulmans, mais le Hamas est contre les Etats-Unis.
      Les Etats du Golfe sont pro-US. Mais la Turquie est avec les Etats du Golfe contre Assad, pourtant la Turquie est pro-Frères musulman contre le général Sisi. Et le général Sisi est soutenu par les pays du Golfe !
      Bienvenue au Moyen-Orient et passez une bonne journée.
      Mr. Al-Sabah, London EC4, UK, Financial Times...

      #blagues

    • Un médecin cubain part vivre aux États-Unis. Comme il ne peut pas exercer, il monte un business dans Manhattan et pose un écriteau à l’entrée de sa boutique :

      « Nous soignons n’importe quelle maladie pour 20$, c’est garanti. Dans le cas contraire, nous vous offrons 100 $."

      Trump, qui passe par là, lit l’écriteau et y voit une occasion facile de gagner 100$. Il entre et il dit au médecin :

      Trump : j’ai perdu le sens du goût.

      Le médecin cubain : infirmière, prenez la petite fiole dans la boîte 22 et administrez trois gouttes sur la langue de monsieur.

      Trump : Hey ! Mais c’est dégueulasse, c’est de la merde !

      Le médecin cubain : Félicitations, vous avez récupéré le goût. Vous me devez 20$.

      Trump s’en va, vexé, et revient une semaine plus tard, décidé à récupérer son argent.

      Trump : j’ai perdu la mémoire, je n’ai plus aucun souvenir.

      Le médecin cubain : infirmière, apportez-moi la petite fiole de la boîte 22.

      Trump : Hey man, come on ! C’est de la merde ça, tu me l’as déjà donnée la semaine dernière !.

      Le médecin cubain : Félicitations, vous avez récupéré la mémoire. Vous me devez 20$.

      Trump repart, humilié, et revient de nouveau une semaine plus tard, plus déterminé que jamais à récupérer son argent américain.

      Trump : Ma vue a terriblement baissé. Je vois tout flou, je ne distingue plus les détails et les lunettes ne me sont d’aucune aide.

      Le médecin cubain : Oh ! Vous m’en voyez sincèrement désolé, pour cela nous n’avons aucune médecine. Voici pour vous un billet de 100$.

      Trump : Hey ! Are you kidding me ? C’est seulement un billet de 10$. Tu as cru pouvoir me berner ?

      Le médecin cubain : Félicitations, vous avez récupéré la vue. Vous me devez 20$ !

      #Cuba #USA

  • L’entreprise française Egis accusée de corruption au Yémen
    https://www.mediapart.fr/journal/international/180619/l-entreprise-francaise-egis-accusee-de-corruption-au-yemen

    La corruption généralisée au Yémen est un des facteurs d’explication du déclenchement de la guerre qui ravage le pays. L’entreprise française est accusée du versement de commissions à des intermédiaires, selon des témoignages et des documents recueillis par Mediapart. Egis dément. La plainte déposée en France a été classée sans suite.

    #MOYEN-ORIENT #Egis,_Corruption,_Yémen,_guerre,_A_la_Une

  • A Ankara, un championnat alternatif bouscule les poncifs machistes du football turc
    https://www.mediapart.fr/journal/international/130619/ankara-un-championnat-alternatif-bouscule-les-poncifs-machistes-du-footbal

    Née de la rencontre de groupes aussi hétéroclites que contestataires sur les barricades du parc de Gezi, en juin 2013, la Ligue libre tente depuis cinq ans de faire souffler un esprit libertaire sur les terrains de football turcs et de bousculer les préjugés machistes entourant ce sport.

    #MOYEN-ORIENT #turquie,_machisme,_LGBT,_football,_parc_Gezi,_Recep_Tayyip_Erdogan

  • « Une histoire populaire de l’empire américain »

    Depuis le #génocide des #Indiens jusqu’à la #guerre en #Irak en passant par le développement d’un #capitalisme financier globalisé, les États- Unis se sont constitués au fil des siècles comme un #empire incontournable. Peu à peu, leur histoire est devenue #mythologie, mais ce livre propose le récit d’une #nation, un récit qui a réussi à changer le regard des Américains sur eux-mêmes.



    https://www.editions-delcourt.fr/serie/une-histoire-populaire-de-l-empire-americian-ned.html
    #BD #histoire #USA #Etats-Unis #histoire_populaire

    J’en parle ici aussi, à propos de la chanson #Ludlow Massacre, citée dans le livre :
    https://seenthis.net/messages/784622

  • Crise dans le #Golfe : les enjeux géostratégiques du #détroit_d’Ormuz
    https://www.france24.com/fr/20190514-crise-golfe-enjeux-geostrategiques-detroit-ormuz-iran-oman-emirat

    Le détroit d’#Ormuz, qui permet aux navires de quitter le Golfe, est un petit bras de mer large de 50 km environ, 40 km dans sa partie la plus étroite. Ses eaux étant peu profondes (pas plus de 60 m de profondeur), les navires en provenance de l’océan Indien doivent emprunter un premier chenal de navigation entre les îles omanaises de Quoin et Ras Dobbah, en face de la péninsule du Musandam, avant de s’engager dans un chenal parsemé de trois îles : la Grande Tomb, la Petite Tomb et Abou Moussa. Ces dernières sont contrôlées par l’Iran depuis 1971, et revendiquées depuis par les Émirats arabes unis.

    C’est par ces chenaux de navigation, qui mesurent près de 3 km de largeur chacun, qu’ont transité plus de 18 millions de barils de #pétrole (brut et condensat) par jour pendant le premier semestre de 2018, soit plus de 35 % du pétrole transitant par voie maritime dans le monde, selon l’Agence d’information sur l’énergie du gouvernement américain (AIE). Un chiffre auquel il faut ajouter, selon un rapport du Service de recherches du Congrès américain, 4 millions de barils de produits pétroliers par jour, et plus de 300 millions de mètres cubes de #gaz naturel liquéfié (GNL) par jour.

    En moyenne, plus d’une trentaine de pétroliers et méthaniers quittent le Golfe par le détroit chaque jour, majoritairement en direction des pays asiatiques, notamment la Chine, le Japon, l’Inde et la Corée du Sud. Les pays de l’Union européenne et les #États-Unis figurent également parmi les clients des #pétromonarchies du Golfe. Selon les experts, une fermeture du détroit équivaudrait à retirer une dizaine de millions de barils de pétrole par jour du marché international. Par ailleurs, le détroit est également une porte d’entrée commerciale vitale pour les pays de la région, très dépendants des importations, ce qui en fait un des principaux corridors du #commerce international.

    Si ses eaux sont partagées entre la République islamique d’Iran et le sultanat d’Oman, le détroit d’Ormuz est un couloir international, et en principe tous les navires, quel que soit leur pavillon, bénéficient du droit de passage en transit, conformément à la Convention des #Nations_unies sur le droit de la mer, adoptée en 1982, et au droit international coutumier de la mer. Le Golfe est l’une des régions les plus militarisées au monde, qui concentre une grande partie des importations mondiales d’armement. De leur côté, les États-Unis disposent dans la région d’une forte présence militaire, à travers plusieurs bases hautement stratégiques. Ainsi la Ve Flotte américaine est stationnée à Bahreïn, tandis que le Qatar accueille la plus grande base aérienne américaine au #Moyen-Orient. La France, quant à elle, compte une base militaire à Abu Dhabi, dans les Émirats arabes unis. Ces derniers jours, le #Pentagone a dépêché dans la région un porte-avions, un navire de #guerre, des bombardiers B-52 et une batterie de missiles Patriot, évoquant des menaces de l’Iran ou de ses alliés contre des ressortissants ou des intérêts américains au Moyen-Orient.

  • Le mouvement de boycott d’Israël échoue à perturber l’Eurovision à Tel-Aviv
    https://www.mediapart.fr/journal/international/140519/le-mouvement-de-boycott-d-israel-echoue-perturber-l-eurovision-tel-aviv

    Les appels au boycott visant le télé-crochet mondial qui se tient en Israël n’ont reçu que peu d’écho. Aucune délégation ne s’est retirée et l’inertie des autorités palestiniennes n’a pas permis d’installer de relais sur place.

    #MOYEN-ORIENT #Israël,_Palestine,_boycott,_musique,_Eurovision,_chanson,_campagne_BDS

  • Le mouvement de boycott à Israël échoue à perturber l’Eurovision à Tel-Aviv
    https://www.mediapart.fr/journal/international/140519/le-mouvement-de-boycott-israel-echoue-perturber-l-eurovision-tel-aviv

    Les appels au boycott visant le télé-crochet mondial qui se tient en Israël n’ont reçu que peu d’écho. Aucune délégation ne s’est retirée et l’inertie des autorités palestiniennes n’a pas permis d’installer de relais sur place.

    #MOYEN-ORIENT #Eurovision,_musique,_Israël,_campagne_BDS,_Palestine,_boycott,_chanson

  • L’Iran recule sur l’accord nucléaire, Trump bondit
    https://www.mediapart.fr/journal/international/090519/l-iran-recule-sur-laccord-nucleaire-trump-bondit

    En annonçant un retour en arrière (contraint) sur l’accord de Vienne, les Iraniens essaient de faire pression sur les Européens pour contrer Washington qui mise sur l’escalade des hostilités.

    #MOYEN-ORIENT #Iran,_Donald_Trump,_accord_nucléaire_iranien,_Etats-Unis,_europe,_accord_nucléaire

  • #Terrorisme, raison d’État (1/2) | ARTE
    https://www.arte.tv/fr/videos/064376-000-A/terrorisme-raison-d-etat-1-2

    Avant le 11-Septembre, quelque quatre cents personnes avaient prêté allégeance à #Al-Qaida. Seize ans plus tard, on compte des dizaines de milliers de militants djihadistes répartis sur plusieurs continents. Les attaques terroristes se sont multipliées à travers le monde, entraînant en Occident une tension des relations avec les minorités et les pays musulmans. En violant les valeurs démocratiques qu’elle prétendait défendre, la « guerre contre la terreur » lancée par l’administration Bush au lendemain du 11-Septembre a eu l’effet d’"un coup de marteau dans une fiole de mercure" : elle a fragmenté une menace autrefois circonscrite, et s’est muée en un conflit mondial et permanent, formidable terrain pour le recrutement djihadiste, mais aussi pour les groupes #xénophobes qui montent en puissance, en #Europe comme aux #États-Unis. Tel est le sombre bilan qu’établissent, face au réalisateur Ilan Ziv (#Capitalisme), des dirigeants politiques, des responsables de la sécurité et des généraux américains, britanniques, français et israéliens qui ont vécu les événements de l’intérieur et au plus haut niveau.

    Qu’ils restent fidèles à leurs actes passés, comme le #néoconservateur Richard Perle, ou qu’ils s’avouent hantés par la culpabilité, comme l’ancien bras droit de Colin Powell au secrétariat d’État, Lawrence Wilkerson, ils permettent de comprendre pourquoi cette #guerre qui a ravagé le #Moyen-Orient et causé des centaines de milliers de #morts constitue une impasse dont il est difficile de sortir. Du #mensonge délibéré qui a déclenché l’invasion de l’Irak aux « sites noirs » où les États-Unis ont pratiqué la #torture, Ilan Ziv décrypte les faits à l’aune du présent, pour montrer combien les concepts forgés par une administration pourtant discréditée restent plus que jamais agissants.

  • Commerce mondial d’armement : les États-Unis renforcent leur domination ; les flux d’armes vers le Moyen-Orient s’intensifient, selon le SIPRI
    http://obsarm.org/spip.php?article318

    (Stockholm, 11 mars 2019) - Le volume des transferts internationaux d’armes majeures en 2014-2018 est supérieur de 7,8 % à celui de 2009-2013 et de 23 % à celui de 2004-2008, selon les nouvelles données sur les transferts d’armement publiées aujourd’hui par le Stockholm International Peace Research Institute (SIPRI). En 2014-18, les cinq plus grands exportateurs sont les États-Unis, la Russie, la France, l’Allemagne et la Chine. À eux seuls, ils représentent 75 % du volume total des exportations (...)

    #Actualité_des_transferts_d'armes

    / Transferts / exportations, #Industrie_d'armement

    #Transferts_/_exportations
    http://obsarm.org/IMG/pdf/sipri_commerce_des_armes_2019.pdf

  • Que reste-t-il des Printemps arabes ?
    https://www.cetri.be/Que-reste-t-il-des-Printemps

    Interview de Jonathan Piron et Sarah Ben Néfissa par Wahoub Fayoumi sur l’état des lieux des luttes sociales au Moyen-Orient, huit ans après les révolutions des printemps arabes.

    #Le_regard_du_CETRI

    / #Le_regard_du_CETRI, #Le_Sud_en_mouvement, Moyen-Orient & Afrique du Nord, #RTBF, #Homepage_-_Actualités_à_la_une, #Audio

    #Moyen-Orient_&_Afrique_du_Nord

  • Podcast : « Moyen-Orient et Afrique du Nord, l’automne de la révolution ? »
    https://www.cetri.be/Podcast-Moyen-Orient-et-Afrique-du

    La soirée-débat du 26 février 2019 a été centrée autour du dernier numéro de la collection Alternatives sud « État des luttes : Moyen-Orient et Afrique du Nord ». Ouvrage collectif rassemblant une vingtaine d’articles écrits par des auteurs locaux, il dresse un panorama des dynamiques sociales à l’œuvre dans les différents pays d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient. Huit ans après les printemps arabes et le souffle d’espoir soulevé par ces événements : où en est-on aujourd’hui ? Face à des situations qui (...)

    #Le_regard_du_CETRI

    / #Le_regard_du_CETRI, #Le_Sud_en_mouvement, #Homepage_-_Actualités_à_la_une, Moyen-Orient & Afrique du Nord, #Audio, Printemps (...)

    #Moyen-Orient_&_Afrique_du_Nord #Printemps_arabe
    https://www.cetri.be/IMG/mp3/etat_des_luttes_26_02_2019.mp3


  • Giuliani and Netanyahu Raise the Specter of “War With Iran”
    https://theintercept.com/2019/02/13/iran-netanyahu-giuliani

    https://youtu.be/AbZAOCTxm4s

    According to the English translation of Netanyahu’s remarks in Hebrew prepared by his office, the prime minister then added: “What is important about this meeting — and it is not in secret because there are many of those — is that this is an open meeting with representatives of leading Arab countries that are sitting down together with Israel in order to advance the common interest of war with Iran.”

  • #Tortures en Arabie : nouveaux appels à une enquête indépendante | FranceSoir
    http://www.francesoir.fr/actualites-monde/tortures-en-arabie-nouveaux-appels-une-enquete-independante

    Dans un communiqué, Amnesty International, basée à Londres, a dit avoir obtenu de nouveaux rapports concernant dix militants pour les droits humains qui ont été « torturés, victimes de harcèlement sexuel et soumis à d’autres formes de maltraitance » au cours de leur détention.

    « La personne chargée d’interroger une militante lui a fait croire que des membres de sa famille étaient morts pendant un mois entier », tandis que d’autres « ont été forcés de s’embrasser devant les enquêteurs », a précisé l’organisation.

    « Nous sommes extrêmement soucieux de l’état de ces militants, arbitrairement détenus depuis environ neuf mois, simplement pour avoir défendu les droits humains », a déclaré Lynn Maalouf, directrice de recherches d’Amnesty pour le #Moyen-Orient.

    #arabie_saoudite

  • Quoi qu’il en soit, Trump ne quittera pas la Syrie et l’Afghanistan Stephen Gowans - 2 Janvier 2019 - Investigaction
    https://www.investigaction.net/fr/117672

    Il ne fait que transférer le fardeau sur les alliés et compter davantage sur les mercenaires

    Le retrait annoncé des troupes américaines de #Syrie et la diminution des troupes d’occupation en #Afghanistan ne correspondent très probablement pas à l’abandon par les #États-Unis de leurs objectifs au #Moyen-Orient, mais bien plutôt à l’adoption de nouveaux moyens pour atteindre les buts que la politique étrangère américaine vise depuis longtemps. Plutôt que de renoncer à l’objectif américain de dominer les mondes arabe et musulman par un système colonialiste et une occupation militaire directe, le président #Donald_Trump ne fait que mettre en œuvre une nouvelle politique – une politique basée sur un transfert plus important du fardeau du maintien de l’#Empire sur ses alliés et sur des soldats privés financés par les monarchies pétrolières.

    Le modus operandi de Trump en matière de relations étrangères a été constamment guidé par l’argument que les alliés des États-Unis ne parviennent pas à peser leur poids et devraient contribuer davantage à l’architecture de la sécurité américaine. Recruter des alliés arabes pour remplacer les troupes américaines en Syrie et déployer des #mercenaires (appelés par euphémisme des fournisseurs de sécurité) sont deux options que la Maison-Blanche examine activement depuis l’année dernière. De plus, il existe déjà une importante présence alliée et mercenaire en Afghanistan et le retrait prévu de 7000 soldats américains de ce pays ne réduira que marginalement l’empreinte militaire occidentale.

    Le conflit entre le secrétaire américain à la Défense #Jim_Mattis et Trump quant à leurs visions du monde est perçu à tort comme l’expression d’opinions contradictoires sur les objectifs américains plutôt que sur la manière de les atteindre. Mattis privilégie la poursuite des buts impériaux des États-Unis par la participation significative de l’armée américaine tandis que Trump favorise la pression sur les alliés pour qu’ils assument une plus grande partie du fardeau que constitue l’entretien de l’empire américain, tout en embauchant des fournisseurs de sécurité pour combler les lacunes. Le but de Trump est de réduire la ponction de l’Empire sur les finances américaines et d’assurer sa base électorale, à qui il a promis, dans le cadre de son plan « #America_First », de ramener les soldats américains au pays.

    Fait significatif, le plan de Trump est de réduire les dépenses des activités militaires américaines à l’étranger, non pas comme fin en soi mais comme moyen de libérer des revenus pour l’investissement intérieur dans les infrastructures publiques. De son point de vue, les dépenses pour la république devraient avoir la priorité sur les dépenses pour l’#Empire. « Nous avons [dépensé] 7 mille milliards de dollars au Moyen-Orient », s’est plaint le président américain auprès des membres de son administration. « Nous ne pouvons même pas réunir mille milliards de dollars pour l’infrastructure domestique. »[1] Plus tôt, à la veille de l’élection de 2016, Trump se plaignait que Washington avait « gaspillé 6 trillions de dollars en guerres au Moyen-Orient – nous aurions pu reconstruire deux fois notre pays – qui n’ont produit que plus de terrorisme, plus de mort et plus de souffrance – imaginez si cet argent avait été dépensé dans le pays. […] Nous avons dépensé 6 trillions de dollars, perdu des milliers de vies. On pourrait dire des centaines de milliers de vies, parce qu’il faut aussi regarder l’autre côté. » [2]

    En avril de cette année, Trump « a exprimé son impatience croissante face au coût et à la durée de l’effort pour stabiliser la Syrie » et a parlé de l’urgence d’accélérer le retrait des troupes américaines. [3] Les membres de son administration se sont empressés « d’élaborer une stratégie de sortie qui transférerait le fardeau américain sur des partenaires régionaux ». [4]

    La conseiller à la Sécurité nationale, #John_Bolton, « a appelé Abbas Kamel, le chef par intérim des services de renseignement égyptiens pour voir si le Caire contribuerait à cet effort ». [5] Puis l’#Arabie_ saoudite, le #Qatar et les Émirats arabes unis ont été « approchés par rapport à leur soutien financier et, plus largement, pour qu’ils contribuent ». Bolton a également demandé « aux pays arabes d’envoyer des troupes ». [6] Les satellites arabes ont été mis sous pression pour « travailler avec les combattants locaux #kurdes et arabes que les Américains soutenaient » [7] – autrement dit de prendre le relais des États-Unis.

    Peu après, #Erik_Prince, le fondateur de #Blackwater USA, l’entreprise de mercenaires, a « été contactée de manière informelle par des responsables arabes sur la perspective de construire une force en Syrie ». [8] À l’été 2017, Prince – le frère de la secrétaire américaine à l’Éducation #Betsy_De_Vos – a approché la Maison Blanche sur la possibilité de retirer les forces étasuniennes d’Afghanistan et d’envoyer des mercenaires combattre à leur place. [9] Le plan serait que les monarchies pétrolières du golfe Persique paient Prince pour déployer une force mercenaire qui prendrait la relève des troupes américaines.

    En avril, Trump a annoncé : « Nous avons demandé à nos partenaires d’assumer une plus grande responsabilité dans la sécurisation de leur région d’origine. » [10] La rédaction en chef du Wall Street Journal a applaudi cette décision. Le plan de Trump, a-t-il dit, était « la meilleure stratégie » – elle mobiliserait « les opposants régionaux de l’Iran », c’est-à-dire les potentats arabes qui gouvernent à la satisfaction de Washington en vue du projet de transformer « la Syrie en un Vietnam pour l’Ayatollah ». [11]

    En ce moment, il y a 14 000 soldats américains reconnus en Afghanistan, dont la moitié, soit 7 000, seront bientôt retirés. Mais il y a aussi environ 47 000 soldats occidentaux dans le pays, y compris des troupes de l’#OTAN et des mercenaires (14 000 soldats américains, 7 000 de l’OTAN [12] et 26 000 soldats privés [13]). Diviser la contribution étasunienne de moitié laissera encore 40 000 hommes de troupes occidentales comme force d’occupation en Afghanistan. Et la réduction des forces américaines peut être réalisée facilement en engageant 7000 remplaçants mercenaires, payés par les monarques du golfe Persique. « Le retrait », a rapporté The Wall Street Journal, « pourrait ouvrir la voie à un plus grand nombre d’entrepreneurs privés pour assumer des rôles de soutien et de formation », comme le souligne « la campagne de longue date d’Erik Prince ». Le Journal a noté que le frère de la secrétaire à l’Éducation « a mené une campagne agressive pour convaincre M. Trump de privatiser la guerre ». [14]

    La démission de Mattis a été interprétée comme une protestation contre Trump, qui « cède un territoire essentiel à la Russie et à l’Iran » [15] plutôt que comme un reproche à Trump de se reposer sur des alliés pour porter le fardeau de la poursuite des objectifs étasuniens en Syrie. La lettre de démission du secrétaire à la Défense était muette sur la décision de Trump de rapatrier les troupes américaines de Syrie et d’Afghanistan et insistait plutôt sur « les alliances et les partenariats ». Elle soulignait les préoccupations de Mattis sur le fait que le changement de direction de Trump n’accordait pas suffisamment d’attention au « maintien d’alliances solides et de signes de respect » à l’égard des alliés. Alors que cela a été interprété comme un reproche d’avoir abandonné le fer de lance américain en Syrie, les Kurdes, Mattis faisait référence aux « alliances et aux partenariats » au pluriel, ce qui indique que ses griefs vont plus loin que les relations des États-Unis avec les Kurdes. Au contraire, Mattis a exprimé des préoccupations cohérentes avec une plainte durable dans le milieu de la politique étrangère américaine selon laquelle les efforts incessants de Trump pour faire pression sur ses alliés afin qu’ils supportent davantage le coût du maintien de l’Empire aliènent les alliés des Américains et affaiblissent le « système d’alliances et de partenariats » qui le composent. [16]

    L’idée, aussi, que la démission de Mattis est un reproche à Trump pour l’abandon des Kurdes, est sans fondement. Les Kurdes ne sont pas abandonnés. Des commandos britanniques et français sont également présents dans le pays et « on s’attend à ce qu’ils restent en Syrie après le départ des troupes américaines ». [17] Mattis semble avoir été préoccupé par le fait qu’en extrayant les forces américaines de Syrie, Trump fasse peser plus lourdement le poids de la sécurisation des objectifs étasuniens sur les Britanniques et les Français, dont on ne peut guère attendre qu’ils tolèrent longtemps un arrangement où ils agissent comme force expéditionnaire pour Washington tandis que les troupes américaines restent chez elles. À un moment donné, ils se rendront compte qu’ils seraient peut-être mieux en dehors de l’alliance américaine. Pour Mattis, soucieux depuis longtemps de préserver un « système global d’alliances et de partenariats » comme moyen de « faire progresser un ordre international le plus propice à la sécurité, à la prospérité et aux valeurs [des États-Unis], le transfert du fardeau par Trump ne parvient guère à « traiter les alliés avec respect » ou à « faire preuve d’un leadership efficace », comme Mattis a écrit que Washington devrait le faire dans sa lettre de démission.

    Le président russe #Vladimir_Poutine a accueilli l’annonce de Trump avec scepticisme. « Nous ne voyons pas encore de signes du retrait des troupes américaines », a-t-il déclaré. « Depuis combien de temps les États-Unis sont-ils en Afghanistan ? Dix-sept ans ? Et presque chaque année, ils disent qu’ils retirent leurs troupes. » [18] Le #Pentagone parle déjà de déplacer les troupes américaines « vers l’#Irak voisin, où environ 5000 soldats étasuniens sont déjà déployés », et qui ‘déferleront’ en Syrie pour des raids spécifiques ». [19] Cette force pourrait aussi « retourner en Syrie pour des missions spéciales si des menaces graves surgissent » [20] ce qui pourrait inclure les tentatives de l’armée syrienne de récupérer son territoire occupé par les forces #kurdes. De plus, le Pentagone conserve la capacité de continuer de mener des « frappes aériennes et de réapprovisionner les combattants kurdes alliés avec des armes et du matériel » depuis l’Irak. [21]

    Trump n’a jamais eu l’intention d’apporter à la présidence une redéfinition radicale des objectifs de la politique étrangère américaine, mais seulement une manière différente de les atteindre, une manière qui profiterait de ses prouesses autoproclamées de négociation. Les tactiques de négociation de Trump n’impliquent rien de plus que de faire pression sur d’autres pour qu’ils paient la note, et c’est ce qu’il a fait ici. Les Français, les Britanniques et d’autres alliés des Américains remplaceront les bottes étasuniennes sur le terrain, avec des mercenaires qui seront financés par les monarchies pétrolières arabes. C’est vrai, la politique étrangère des États-Unis, instrument pour la protection et la promotion des profits américains, a toujours reposé sur quelqu’un d’autre pour payer la note, notamment les Américains ordinaires qui paient au travers de leurs impôts et, dans certains cas, par leurs vies et leurs corps en tant que soldats. En tant que salariés, ils ne tirent aucun avantage d’une politique façonnée par « des #élites_économiques et des groupes organisés représentant les intérêts des entreprises », comme les politologues Martin Gilens et Benjamin I. Page l’ont montré dans leur enquête de 2014 portant sur plus de 1700 questions politiques américaines. Les grandes entreprises, concluaient les chercheurs, « ont une influence considérable sur la politique gouvernementale, tandis que les citoyens moyens et les groupes fondés sur les intérêts des masses n’ont que peu d’influence ou pas d’influence du tout ». [22] Autrement dit, les grandes entreprises conçoivent la politique étrangère à leur avantage et en font payer le coût aux Américains ordinaires. 

    C’est ainsi que les choses devraient être, selon Mattis et d’autres membres de l’élite de la politique étrangère américaine. Le problème avec Trump, de leur point de vue, est qu’il essaie de transférer une partie du fardeau qui pèse actuellement lourdement sur les épaules des Américains ordinaires sur les épaules des gens ordinaires dans les pays qui constituent les éléments subordonnés de l’Empire américain. Et alors qu’on s’attend à ce que les alliés portent une partie du fardeau, la part accrue que Trump veut leur infliger nuit est peu favorable au maintien des alliances dont dépend l’Empire américain. 

    Notes :
    1. Bob Woodward, Fear : Trump in the White House, (Simon & Shuster, 2018) 307.

    2. Jon Schwarz, “This Thanksgiving, I’m Grateful for Donald Trump, America’s Most Honest President,” The Intercept, November 21, 2018.

    3. Michael R. Gordon, “US seeks Arab force and funding for Syria,” The Wall Street Journal, April 16, 2018.

    4. Gordon, April 16, 2018.

    5. Gordon, April 16, 2018.

    6. Gordon, April 16, 2018.

    7. Gordon, April 16, 2018.

    8. Gordon, April 16, 2018.

    9. Michael R. Gordon, Eric Schmitt and Maggie Haberman, “Trump settles on Afghan strategy expected to raise troop levels,” The New York Times, August 20, 2017.

    10. Gordon, April 16, 2018.

    11. The Editorial Board, “Trump’s next Syria challenge,” The Wall Street Journal, April 15, 2018.

    12. Julian E. Barnes, “NATO announces deployment of more troops to Afghanistan,” The Wall Street Journal, June 29, 2017.

    13. Erik Prince, “Contractors, not troops, will save Afghanistan,” The New York Times, August 30, 2017.

    14. Craig Nelson, “Trump withdrawal plan alters calculus on ground in Afghanistan,” The Wall Street Journal, December 21, 2018.

    15. Helene Cooper, “Jim Mattis, defense secretary, resigns in rebuke of Trump’s worldview,” The New York Times, December 20, 2018.

    16. “Read Jim Mattis’s letter to Trump : Full text,” The New York Times, December 20, 2018.

    17. Thomas Gibbons-Neff and Eric Schmitt, “Pentagon considers using special operations forces to continue mission in Syria,” The New York Times, December 21, 2018.

    18. Neil MacFarquhar and Andrew E. Kramer, “Putin welcomes withdrawal from Syria as ‘correct’,” The New York Times, December 20, 2018.

    19. Thomas Gibbons-Neff and Eric Schmitt, “Pentagon considers using special operations forces to continue mission in Syria,” The New York Times, December 21, 2018.

    20. Gibbons-Neff and Schmitt, December 21, 2018.

    21. Gibbons-Neff and Schmitt, December 21, 2018.

    22. Martin Gilens and Benjamin I. Page, “Testing Theories of American Politics : Elites, Interest Groups, and Average Citizens,” Perspectives on Politics, Fall 2014.
    Traduit par Diane Gilliard
    Source : https://gowans.wordpress.com/2018/12/22/no-matter-how-it-appears-trump-isnt-getting-out-of-syria-and-afgha

  • Moyen-Orient : la régionalisation des conflits
    https://www.cetri.be/Moyen-Orient-la-regionalisation-4850

    La « régionalisation » des conflits au Moyen-Orient s’est traduite par une intensification des rivalités entre l’Arabie saoudite, l’Iran et la Turquie. Si la fracture religieuse est un facteur explicatif, d’autres références – identitaires, nationalistes, etc. – sont mobilisées selon les contextes et les époques pour structurer la vie politique et tendre vers des objectifs géopolitiques.

    #Analyses

    / Moyen-Orient & Afrique du Nord, #Analyses

    #Moyen-Orient_&_Afrique_du_Nord
    https://www.cetri.be/IMG/pdf/analyse_2018_-_moyen-orient_la_regionalisation_des_conflits_-_cetri.pdf

  • Moyen-Orient : des mobilisations sociales face aux menaces environnementales ?
    https://www.cetri.be/Moyen-Orient-des-mobilisations-4840

    Face aux dégradations environnementales qui affectent les sociétés du Maghreb et du Moyen-Orient, l’attentisme des pouvoirs en place reste de mise. Pour les secteurs populaires, les impacts, déjà problématiques, entraînent précarisation, voire migrations. Si la prise de conscience est en hausse, les sociétés civiles peinent à s’organiser efficacement. Les régimes autoritaires mis en cause empêchent ou étouffent les velléités (...)

    #Analyses

    / Moyen-Orient & Afrique du Nord, #Analyses

    #Moyen-Orient_&_Afrique_du_Nord
    https://www.cetri.be/IMG/pdf/analyse_2018_-_moyen-orient_des_mobilisations_sociales_face_aux_menaces_enviro

  • Genre et transformations sociopolitiques dans le monde arabe depuis 2010
    https://www.cetri.be/Genre-et-transformations-4841

    Les réalités de genre sont étroitement liées à celles de la nation. Lors des printemps arabes, les identités sexuelles – comprises comme des normes construites – ont dès lors été l’enjeu de luttes féroces entre les tenants d’un ordre établi rétif aux changements et des collectifs de femmes refusant de se conformer aux attendus sociaux et revendiquant leurs droits. Les obstacles et les défis demeurent (...)

    #Analyses

    / #Analyses, Moyen-Orient & Afrique du Nord

    #Moyen-Orient_&_Afrique_du_Nord
    https://www.cetri.be/IMG/pdf/analyse_2018_-_genre_et_transformations_sociopolitiques_dans_le_monde_arabe_de

  • Moyen-Orient et Afrique du Nord : l’automne de la révolution ?
    https://www.cetri.be/Moyen-Orient-et-Afrique-du-Nord-l

    Le « printemps arabe » est-il définitivement enterré ? Le faible bilan, en termes de changements, tient à la nature même des mobilisations, aux obstacles qu’elles ont rencontrés et à l’instrumentalisation des États en place. Pour autant, il y a bien un avant et un après 2011, qui se donne notamment à voir dans la permanence, l’intensité et la diversité des #Luttes sociales en cours. En 2010-2011, le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord étaient secoués par des mouvements sociaux de grande ampleur. Les rues (...)

    #Alternatives_Sud_-_extraits

    / #Le_regard_du_CETRI, #Le_Sud_en_mouvement, Moyen-Orient & Afrique du Nord, Relations entre mouvements sociaux & gouvernements, Luttes, Homepage - Actualités à la (...)

    #Moyen-Orient_&_Afrique_du_Nord #Relations_entre_mouvements_sociaux_&_gouvernements #Homepage_-_Actualités_à_la_une

  • Yémen : les soldats soudanais ouvrent le feu sur les militaires émiratis PressTV - 10 Décembre 2018
    https://www.presstv.com/DetailFr/2018/12/10/582533/Ymen--Soudan-en-a-assez

    Au Yémen, les militaires soudanais ont ouvert le feu sur les soldats émiratis présents dans ce pays ont informé des activistes soudanais. Des tirs qui sont signe de la désobéissance des militaires de la coalition arabe.

    L’Arabie saoudite, n’ayant pas tenu son engagement envers Khartoum et les militaires soudanais, de nombreux Journalistes, élites, parlementaires et politiciens soudanais ont à maintes reprises réclamé le retrait des forces soudanaises de la guerre au Yémen. Un non-respect d’engagement qui a suscité la colère du peuple, mais aussi celle des militaires.

    L’agence de presse iranienne Tasnim qui cite les activistes soudanais fait part de la montée des conflits entre les officiers émiratis et les forces soudanaises déployées au Yémen. Les désaccords qui existent entre les forces émiraties et soudanaises ne se résument pas aux transgressions des ordres ; ils vont bien plus loin puisque les soldats et les militaires soudanais ont tiré sur leurs commandants émiratis et yéménites. En c’est justement pourquoi Riyad craint fortement que l’insoumission des militaires soudanais se propage chez les combattants yéménites.

    Les experts estiment que les désobéissances pourraient engendrer l’effondrement d’une coalition saoudienne déjà fragilisée notamment pour la méfiance qui règne entre les États qui en font partie.

    Le mépris des Soudanais
    D’après le quotidien Al-Soudan Al-Youm, le mépris des soldats soudanais et les cruautés à leur encontre sont à l’origine de la colère des Soudanais. Les officiers émiratis traitent les soldats soudanais avec beaucoup de mépris afin de leur faire perdre la face. Ils sont traités de traîtres qui ne se battent que pour l’argent. Ils ne doivent en aucun cas discuter les ordres. Cette façon d’agir chercher surtout à atteindre et à blesser la fierté des soldats soudanais. Des soldats dont les autorités prétendent qu’ils se battent au Yémen pour défendre les saints mausolées de ce pays. 

    Les militaires soudanais, les plus grandes victimes de la guerre au Yémen
    Le montant de leurs revenus, mais aussi les retards dans les paiements peuvent également être considérés comme source de la vague de colère chez les militaires soudanais. Parmi eux certains n’ont pas été payés depuis des mois. 

    La manière dont sont traités les soldats soudanais qui se trouvent au Yémen, a conduit ces derniers vers la colère. Las, ces derniers préfèrent désobéir que d’être humiliés de la sorte. C’est pourquoi ils demandent à être rapatriés. Une revendication qui résulte d’une colère au bord de l’explosion et qui prédit que la défaite de la coalition saoudienne au Yémen n’est plus très loin.

    #guerre #Yémen #arabie_saoudite #Soudan #mercenaires #racisme #Salombo #Moyen-Orient

  • Les #Etats-Unis ont dépensé cinq mille neuf cent (5900) milliards de dollars en #guerres depuis 2001
    https://watson.brown.edu/costsofwar/files/cow/imce/papers/2018/Crawford_Costs%20of%20War%20Estimates%20Through%20FY2019%20.pdf

    ... there is no strategy for ending the wars. The fact that the US keeps spending huge sums for wars that, at least in Afghanistan, are in a stalemate, and in Iraq and Syria, are unresolved, is a long-term budgetary problem which will affect future generations.

    Il est quand même incroyable que ce genre d’article se montre surpris par la poursuite des guerres et parle des répercussions négatives sur le commun des mortels sans aborder les énormes répercussions positives sur l’"#élite",

    #Profiteur de #guerre — Wikipédia
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Profiteur_de_guerre

    (Et on ne parle même pas des marchands d’armes)

    Les guerres du Golfe et la guerre d’Afghanistan.

    Plus récemment, des sociétés ayant contribué à l’approvisionnement des forces de la coalition dans les guerres en Irak, tels que Bechtel, KBR, Halliburton ou Blackwater, ont été accusées de tirer profit de ces conflits en « surchargeant » le prix de leurs services, voire d’en être les instigateurs occultes[13], l’accusation « du sang pour du pétrole » – thème récurrent des slogans anti-guerre – illustrant cette opinion. Steve Clemons, un membre éminent du think tank de la « New America Foundation », est allé jusqu’à accuser l’ancien directeur de la CIA, James Woolsey d’avoir à la fois profiter de la guerre et de l’avoir encouragée[14]. Le « Center for Public Integrity » a indiqué que la sénatrice américaine Dianne Feinstein et son mari, Richard Blum, ont engrangé des millions de dollars en provenance d’Irak et d’Afghanistan par le biais des contrats de son entreprise, Perini[15], Feinstein ayant voté en faveur de la résolution donnant au président George W. Bush le pouvoir d’envahir l’Irak. Le defense contractor Brent R. Wilkes, qui fait l’objet d’une inculpation, a été dépeint comme « #extatique » à l’annonce que les États-Unis allaient entrer en guerre avec l’Irak : « Lui et certains de ses cadres supérieurs étaient vraiment des #va-t-en-guerre », a déclaré un ancien employé. « Brent disant que cela créerait de nouvelles #opportunités pour l’entreprise. Il était vraiment heureux de faire des #affaires au #Moyen-Orient »[16]

  • Je regarde l’excellent « guerre de 30 ans » sur #Arte, qui met la plus grande rigueur à démontrer que dans cette horrible boucherie la religion n’était que le prétexte à une très profane lutte de pouvoir ; une #rigueur d’autant plus remarquable qu’elle est inversement proportionnelle à celle qui existe dans les reportages de cette même Arte sur les #guerres du #Moyen-Orient, qui sont expliquées essentiellement par la « haine millénaire qui existe entre chiites et sunnites ».

  • #Yémen : le gouvernement contre la poursuite d’une enquête de l’#ONU | #Moyen-Orient
    http://www.lapresse.ca/international/moyen-orient/201809/27/01-5198147-yemen-le-gouvernement-contre-la-poursuite-dune-enquete-de-lonu.p

    Ce gouvernement, reconnu par la #communauté_internationale, a souligné dans un communiqué son « rejet des outils qui lui sont imposés en violation de sa #souveraineté » dans une référence à la mission d’experts jusqu’ici mandatés par l’ONU.

    • Yemen War Investigation Is Extended by U.N. Council - The New York Times
      https://www.nytimes.com/2018/09/28/world/middleeast/un-yemen-war-saudi.html

      The 47-member Council voted 21 to 8, with 18 abstentions, in favor of a resolution supporting the experts’ work. The vote came minutes after the conclusion of days of discussions between the Saudi Arabia and its allies and a group of countries led by the Netherlands and Canada.

      [...]

      ...the panel blamed the Saudi coalition’s airstrikes, blockades and shipping restrictions for most of the war’s civilian casualties as well as the immense damage to Yemen’s critical infrastructure, which has worsened the plight of millions of civilians. The report also detailed torture, rape and sexual violence by security forces controlled by the United Arab Emirates.

      Hammering home the war’s human costs, Mark Lowcock, the United Nations emergency relief chief, speaking at the Security Council last week, described civilians reduced to eating leaves. Mr. Lowcock warned that Yemen was reaching a tipping point “beyond which it will be impossible to prevent massive loss of life as a result of widespread famine across the country.”

  • #Moyen-Orient et réserves de #pétrole : les réserves des 20 premiers pays en 2017 - Les clés du Moyen-Orient
    https://www.lesclesdumoyenorient.com/Moyen-Orient-et-reserves-de-petrole-les-reserves-des-20-premie

    % DES RÉSERVES MONDIALES PROUVEES ET ANNÉES DE RÉSERVE 2017

    2017 % des réserves mondiales années de réserve
    1 #Venezuela 17.9 Venezuela 393.6
    2 Arabie saoudite 15.7 Syrie 278.4
    3 Canada 10 Yémen 156.6
    4 Iran 9.3 Libye 153.3
    5 Irak 8.8 Canada 95.8
    6 Russie 6.3 Koweït 91.9
    7 Koweït 6 Irak 90.2
    8 Emirats arabes unis 5.8 Sud Soudan 88.3
    9 Libye 2.9 Iran 86.5
    10 Etats-Unis 2.9 Emirats arabes unis 68.1