• Covid-19 en France : plusieurs cas du variant britannique détectés dans le Maine-et-Loire
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/01/12/covid-19-en-france-plusieurs-cas-du-variant-britannique-detectes-dans-la-reg

    Des cas du variant britannique dans le Maine-et-Loire. Plusieurs cas du variant britannique ont été repérés dans la région de Cholet (Maine-et-Loire), a annoncé lundi soir l’agence régionale de santé (ARS) des Pays de la Loire.« Une famille résidant en Angleterre est venue passer des vacances en famille pour les fêtes de Noël dans la région de Cholet. Plusieurs membres de la famille ont été testés positifs au Covid-19 », a précisé l’ARS dans un communiqué de presse. Des analyses complémentaires ont été envoyées au Centre national de référence, dont les résultats confirment, « pour trois membres de la famille, la présence du nouveau variant anglais », selon la même source.« La famille, compte tenu des symptômes précoces, s’est isolée à domicile et n’a participé à aucun rassemblement », mais, malgré ces précautions, « les grands-parents, chez qui la famille a été hébergée, ont été contaminés », explique l’ARS. L’un des grands-parents a même « dû être hospitalisé au centre hospitalier de Cholet, dans une chambre seule au sein d’une unité spécialement dédiée à l’accueil des patients atteints ou suspects du Covid-19 », ajoute l’Agence

    #Covid-19#migrant#migration#sante#france#grandebretagne#mutationvirus#test#frontiere#contamination

  • Japan trying to isolate, analyze new virus variant - Asia Times
    https://asiatimes.com/2021/01/japan-trying-to-isolate-analyze-new-virus-variant

    Japan is working to isolate and analyze a new variant of the coronavirus detected in four people who arrived from Brazil, a health ministry official said Tuesday.Japan announced the detection of the new variant on Sunday, but officials have been at pains to emphasize there is no evidence yet that it is any more transmissible or dangerous than others.“In order to further analyze the variant, we need to isolate it first,” a health ministry official said.
    “It’s hard to say right now when we can release the details,” he said, adding the process could take weeks or months.The variant was found in two adults and two children who arrived in Japan on January 2 from Brazil.
    The health ministry said one of the four, a man in his forties, has been hospitalized with breathing difficulties, while a woman and male child developed mild symptoms and a female child was asymptomatic.
    The World Health Organisation said Monday it has been notified by Japan about the new variant, warning “the more the virus spreads, the higher the chance of new changes to the virus.”Experts note that viruses mutate regularly, and not all mutations make the disease easier to catch or more serious.But the discovery of a variant in the UK that is significantly more transmissible, and a second strain in South Africa, has raised concerns about whether a vaccine-resistant version could eventually develop.
    Japan’s National Institute of Infectious Diseases has said there are some similarities between the newly detected strain and the ones found in the UK and South Africa.

    #Covid-19#migrant#migration#japon#bresil#sante#mutationvirus##transmission#frontiere#circulation

  • Coronavirus : à Marseille, les autorités sanitaires font la traque au variant anglais
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/01/12/coronavirus-a-marseille-les-autorites-sanitaires-font-la-traque-au-variant-a

    Polémique sur l’efficacité des contrôles sanitaires à l’arrivée de l’aéroport de Marseille, questions sur le délai pris pour donner l’alerte, divergence publique de vues entre le maire Benoît Payan et sa première adjointe Michèle Rubirola sur l’intérêt d’un confinement général de la ville… La découverte d’un « cluster familial élargi » provoqué par le variant anglais du coronavirus a déclenché, depuis vendredi 8 janvier, une montée de tension et un tourbillon médiatique dans la deuxième ville de France. Lundi 11 janvier, trois jours après sa découverte, le bilan officiel de ce foyer infectieux n’a pourtant pas augmenté. Selon les autorités sanitaires, six personnes, dont le patient zéro qui a ramené le virus du Royaume-Uni, sont reconnues, pour l’instant, comme ayant été contaminées par la souche britannique, jusqu’alors inédite à Marseille.Deux autres cas devraient rejoindre ce total. Identifiés la veille comme positifs au variant anglais, ils nécessitent, selon l’IHU Méditerranée-Infection chargé du séquençage des prélèvements, des analyses supplémentaires. Mais pour l’Agence régionale de santé (ARS) Provence-Alpes-Côte d’Azur, « il ne fait pas de doute » que l’origine du virus sera confirmée.Toutes ces personnes contaminées font partie de la même famille, dont certains membres, résidant en Angleterre, sont venus passer les fêtes de fin d’année dans leur ville. Sept autres personnes, issues de ce même cercle familial, ont été testées positives, mais, selon l’IHU, leur charge virale n’était pas suffisante pour permettre de les rattacher avec certitude à la souche britannique. Si l’ARS a inclus quarante-cinq personnes dans ses investigations sur la base des déclarations des personnes contaminées, seules vingt-trois, sans compter le patient zéro, se sont révélées jusqu’alors positives. Des cas qui n’ont, pour l’instant, entraîné aucune hospitalisation.
    Le processus d’importation à Marseille de la souche britannique du Covid-19, donnée pour être plus contagieuse, est désormais clairement connu. « Une famille de cinq personnes, deux parents et trois enfants, résidant à Londres, arrivée le 19 décembre 2020. Des gens très sérieux, qui avaient été testés avant leur départ et se sont autoconfinés à leur arrivée », détaille Sébastien Debeaumont, directeur adjoint de l’ARS. Un premier test PCR effectué le 21 décembre s’étant révélé négatif, la famille a passé les fêtes de Noël sans craindre de contaminer ses proches. Et ce n’est que le 28 décembre qu’un des parents a ressenti les premiers symptômes, avant d’être testé positif le 31, à l’IHU.
    Huit jours se sont alors écoulés entre le test positif et l’alerte lancée aux autorités sanitaires sur la présence à Marseille du variant anglais. A l’IHU, on explique ce délai par le ralentissement d’activité dû au Nouvel An et par le fait que le laboratoire, n’ayant pas encore eu affaire à ce variant, ne possédait pas « d’amorce ARN » permettant de le séquencer.Si la famille à l’origine de la contamination est repartie au Royaume-Uni et que l’ARS estime avoir « sérié le foyer au plus près », Marseille reste à l’affût de tout signe d’expansion de son « cluster anglais ». Le couvre-feu a été ramené depuis dimanche à 18 heures et la préfecture des Bouches-du-Rhône justifie cette mesure décriée par une partie des élus locaux par la présence du virus britannique sur le territoire.

    #Covid-19#migrant#migration#france#marseille#sante#cluster#mutationvirus#casimporte#test#circulation#frontiere

    • En effet, hier soir, au journal, les gros titres, « course contre la montre ». On se demande qui court après qui, et pour quoi ? Ils font des tests. Il semble que la lutte contre le nouveau variant, c’est de faire des tests. Mais concrètement, comment on lutte ensuite ? Pas vraiment de détails sur la mise à l’isolement... et sur la vérification de son respect. Lutter contre le virus, à la télé, c’est de manipuler des éprouvettes. Enfin... C’est de montrer des laborantins manipulant des éprouvettes, sans possibilité de savoir s’il s’agit d’images d’archives ou de vrais laborantins marseillais traquant le variant dans la journée d’hier.

    • Quand on t’annonce triomphalement qu’on met en place un outil pour se mettre en arrêt maladie sans journée de carence, au bout d’un an de pandémie, tu te demandes comment on ose encore parler de « course contre la montre ».

  • Covid-19 : à Bagneux, vaste opération de dépistage en milieu scolaire après une contamination au variant anglais
    https://www.lemonde.fr/societe/article/2021/01/09/a-bagneux-vaste-operation-de-depistage-en-milieu-scolaire-apres-une-contamin

    Une personne travaillant comme animateur d’école maternelle a contracté le variant anglais, sans que l’on puisse établir de lien avec un voyage outre-Manche. Un dépistage est organisé jusqu’à mardi pour tenter de comprendre d’où vient ce premier cas « autochtone ».Que se passe-t-il à Bagneux (Hauts-de-Seine), où deux écoles et un collège sont invités à participer à un testing massif depuis le vendredi 8 janvier ? Une personne travaillant comme animateur d’école maternelle « exerçant dans deux établissements de la ville », selon le rectorat de Versailles, a été testé positif au Covid-19 avant les vacances de Noël – et s’est ensuite révélé porteur du variant anglais du virus. Les enseignants et agents territoriaux des écoles Henri-Barbusse et Maurice-Thorez, ainsi que ceux du collège Henri-Barbusse, étaient invités à réaliser un test PCR, vendredi. La communauté scolaire a « joué le jeu », puisque « 200 personnes se sont présentées », selon l’entourage de la maire de la commune, Marie-Hélène Amiable (PC). A partir de samedi et jusqu’au mardi 12 janvier, tous les habitants de Bagneux qui le souhaitent – dont les élèves des établissements concernés et leurs parents – sont invités à venir se faire tester dans une salle polyvalente du quartier. Samedi à midi, au moins 236 personnes avaient été testées.
    A première vue, la méthode a de quoi interroger : pourquoi tester massivement adultes et écoliers si le malade a contracté le Covid avant les congés et a respecté les règles de quarantaine ? « La chaîne de contamination a été cassée, puisque cette personne s’est confinée et que le traçage des cas contacts a été réalisé », précise au Monde l’agence régionale de santé (ARS) d’Ile-de-France. Mais la détection du variant anglais a ensuite décidé cette dernière à organiser ce dépistage. Tous les tests réalisés dans ce cadre seront analysés pour tenter d’y retrouver le variant. « Nous avons également demandé à tous les laboratoires de la commune de retester les PCR positives », ajoute l’ARS. Jusqu’ici, les cas du variant anglais repérés en France étaient tous liés à des voyages outre-Manche. La personne employée par la ville de Bagneux représente le premier cas « autochtone ». « Elle ne s’est pas rendue au Royaume-Uni, insiste-t-on à l’ARS. Ce qui signifie que le virus circule à Bagneux. Pour la première fois, on cherche donc à comprendre qui a contaminé la personne malade, et non pas qui elle a contaminé. » Une « photographie » de la présence du virus dans la ville pourra ainsi être dressée, espèrent les autorités de santé. Dans les rangs des enseignants, la situation interroge pourtant : dans ce cas précis, un nombre important de tests PCR ont pu être déployés pour mener une opération massive de dépistage. Mais ailleurs, la politique de test promise par l’éducation nationale peine à se mettre en place. 10 000 tests antigéniques avaient été réalisés avant les congés de Noël, en particulier au lycée, et l’institution affirme qu’un million d’entre eux sont « prêts » à être déployés dans les établissements sur le mois de janvier. L’affaire devient d’autant plus pressante que les variants anglais et sud-africain, tous deux présents sur le territoire hexagonal, circuleraient plus parmi les jeunes.

    #Covid-19#migrant#migration#france#bagneux#sante#depistage#casautochtone#mutationvirus#grandebretagne

  • Variante du coronavirus en Afrique du Sud : quels sont les risques ? - BBC News Afrique
    https://www.bbc.com/afrique/region-55544553

    Il s’agit déjà de la variante dominante du virus dans les provinces du Cap-Oriental et du Cap-Occidental en Afrique du Sud. D’autres pays, dont l’Autriche, la Norvège et le Japon, ont également trouvé des cas. Le Royaume-Uni a détecté deux personnes présentant la variante sud-africaine, l’une à Londres et l’autre dans le nord-ouest de l’Angleterre. Toutes deux étaient des contacts de personnes ayant voyagé en Afrique du Sud. Le Royaume-Uni a imposé une interdiction des vols directs en provenance d’Afrique du Sud et des restrictions sur les vols vers ce pays. Toute personne qui s’y est rendue récemment, et toute personne avec laquelle elle a été en contact, est immédiatement mise en quarantaine.
    Les autorités de santé publique et les scientifiques étudient la variante et feront bientôt part de leurs conclusions. Le Dr Susan Hopkins, conseiller médical en chef sur le Covid-19 auprès de la santé publique anglaise, déclare : « nous sommes très heureux de pouvoir vous aider. Nous menons en priorité des travaux pour comprendre le risque potentiel que cette variante peut entraîner ». « Il est important de dire qu’il n’y a actuellement aucune preuve que cette variante provoque une maladie plus grave, ou que le vaccin réglementé ne protégerait pas contre elle, » précise-t-elle.

    #Covid-19#migrant#migration#afriquedusud#grandebretagne#sante#mutationvirus#restrictionsanitaire#santepublique#quarantaine