Can - Dizzy Dizzy (The Singles Pt. 2)
▻https://www.youtube.com/watch?v=lEnnxH1d014
Dizzy Dizzy video made by Josh Graham at Suspended In Light
▻https://suspendedinlight.com
Can - Dizzy Dizzy (The Singles Pt. 2)
▻https://www.youtube.com/watch?v=lEnnxH1d014
Dizzy Dizzy video made by Josh Graham at Suspended In Light
▻https://suspendedinlight.com
La discographie de CAN est disponible sur Bandcamp @sombre
►https://seenthis.net/messages/919121
avec un petit texte pour chaque album :
Tago Mago, the first album with Damo Suzuki on vocals, features the Can line up of Holger Czukay on bass, Michael Karoli on guitars, Jaki Liebezeit on drums and Irmin Schmidt on keyboards, and was recorded at Schloss Nörvenich in 1971, released later that year on United Artists.
Can’s influence is well known and far-reaching and the impact they made on music is felt today as keenly as ever has been. They themselves have always been impossible to classify and reflecting this, the scope of artists who in recent years have cited Can as a major influence is varied. Of all the band’s oeuvre, Tago Mago has been most often cited as an influence for a host of artists including John Lydon, Radiohead, The Fall, Ariel Pink, Fuck Buttons, Sonic Youth, Factory Floor and Queens Of The Stone Age.
En physique (CD) je n’ai que Ege Bamyasi (1972)
▻https://canofficial.bandcamp.com/track/vitamin-c
Willkommen auf der Webseite von Irmin Schmidt. Er ist nicht nur Gründer der deutschen Kult-Band Can, sondern auch Komponist von über 100 Filmmusiken, mehrerer Solo-Alben, einer Oper, eines Ballets und vielem mehr... Viel Spaß beim Umschauen.
▻https://irminschmidt.bandcamp.com
Pour les yeux et les oreilles quelques video du label #muterecords
▻https://muterecords.bandcamp.com/video
La discographie de CAN est disponible sur Bandcamp
Ouaip ! J’la connais « parker » :-)) (Je fus un fan de la première heure).
Connais-tu celui-ci ?
▻https://www.discogs.com/master/7774-The-Can-Monster-Movie
Leur premier LP (1969) où figurait Malcolm Mooney, sculpteur américain qui fit la rencontre des quatre autres lascars (Schmidt, Czukay, Karoli, Liebezeit) et devint le chanteur du groupe avant d’être remplacé par Kenji « Damo » Suzuki
Mooney retourne aux États-Unis sur le conseil de son psychologue, selon lequel la musique de Can était dangereuse pour son équilibre mental. Il est remplacé par un jeune chanteur japonais, Kenji « Damo » Suzuki, rencontré à Munich quelques mois auparavant.
(extrait de WP ...)
ah non je ne connaissais pas Malcolm Mooney, il a un site avec une dérive vers Bandcamp aussi.
►https://www.malcolmmooney.com
Et pour le fun, Can - Free concert (Sporthalle Cologne 1972)
Je les avais vus à la Bourse du travail à Lyon en 1975 et c’était un joyeux bordel aussi :-)))
▻https://www.youtube.com/watch?v=9FaydRUQ42Q&list=RD9FaydRUQ42Q&start_radio=1&rv=9FaydRUQ42Q&t=106
Le public est complice des agissements de R. Kelly | Slate.fr
▻http://www.slate.fr/story/172257/musique-r-kelly-public-complice-agressions-sexuelles-viol
Pendant les trois jours que j’ai passés à regarder Surviving R. Kelly, un documentaire en six épisodes diffusé sur la chaîne Lifetime et portant sur les décennies d’agressions sexuelles infligées par R. Kelly à des jeunes filles et femmes noires avec l’aide à la fois passive et active de larges pans de la société américaine, j’ai eu la chanson de Kelly « Ignition (Remix) » en boucle dans la tête.
Surviving R. Kelly avance de façon convaincante –prouve, même– que la société a conclu un pacte impardonnable avec Kelly, génie musical capable de masquer son comportement ouvertement diabolique pendant des dizaines d’années parce que les victimes de ses crimes étaient des filles noires.
Nous avons choisi d’ignorer ses actes, de les minimiser ou de rester délibérément dans l’ignorance afin de pouvoir continuer à profiter de sa musique. Nous avons donné la priorité à notre plaisir, à notre confort, à nos playlists aux dépens de la peine et des souffrances incommensurables, dont certaines sont encore d’actualité, de nombreuses adolescentes naïves et pleines d’espoirs. Nous avons fait un pacte avec le diable pour pas cher –laissez-nous garder cette chanson !– et avons permis que des gamines de 16 ans en payent le prix exorbitant.
Puissant effet d’accumulation
Ces filles, aujourd’hui des femmes, sont au cœur de Surviving R. Kelly, exemple extrêmement efficace de journalisme de divertissement –bien qu’il serait peut-être plus exact de le penser en termes de journalisme de divertissement activiste extrêmement efficace.
Parfaitement accablante et puissamment dérangeante, c’est aussi une série captivante, mélange légèrement nauséeux qui colle tout à fait avec la ligne de Lifetime, une chaîne dont la spécialité a longtemps été de cultiver l’angoisse, le grand frisson et les mises en garde autour des femmes en péril.
Comme à chaque fois lorsqu’il s’agit de crimes réels, la frontière est mince entre dévoiler la vérité et tomber dans le salace. Si Surviving R. Kelly la franchit de temps en temps –elle se complaît parfois dans la facilité, surtout dans les deux derniers épisodes, où elle semble vouloir créer un scoop plutôt que de l’illustrer–, elle le fait pour élaborer une thèse à charge à la fois répugnante et irréfutable contre Kelly.
Ce sont de légères variations de la même expérience, qui devient de plus en plus horrible et incontestable à mesure qu’elle est racontée.
On y voit moult longues interviews de victimes de Kelly, des « survivantes », selon la terminologie de l’émission : des femmes dont la plupart étaient mineures lorsqu’elles l’ont rencontré, qui racontent leurs expériences avec leur agresseur en n’épargnant aucun détail atroce. On voit ainsi se succéder Andrea Lee, l’ex-femme de Kelly ; Lizette Martinez, une lycéenne qu’il a rencontrée dans un centre commercial ; Lisa Van Allen, la plus jeune fille sur le plateau de tournage d’un clip ; Jerhonda Pace, qui a fait sa connaissance à 15 ans, lors de son procès pour pédopornographie.
Elles et d’autres racontent que leur idole, un homme gentil et charmant, leur a promis de les aider à faire carrière avant de se transformer en monstre. Kelly les isolait, les punissait, exigeait qu’elles demandent l’autorisation de manger et d’aller aux toilettes, leur interdisait de regarder dans les yeux ou de parler à quiconque et les battait, tout en les soumettant à des pratiques sexuelles humiliantes qu’il filmait. Les détails de chacune de leurs histoires sont épouvantables, mais l’effet d’accumulation est puissant : ce sont de légères variations de la même expérience, qui devient de plus en plus horrible et incontestable à mesure qu’elle est racontée.
Ces interviews sont ponctuées de commentaires de collègues, d’associés, de membres de la famille et du secteur de la musique, de journalistes et de spécialistes du traumatisme, qui produisent un récit collectif chronologique suivant Kelly de son enfance à aujourd’hui. Au cours de cette période, il a professionnalisé son mode opératoire, passant du repérage de jeunes filles devant son ancien lycée à des concerts où il les faisait monter sur scène avec lui, de l’échange de numéros de téléphone à l’emprisonnement de filles dans sa maison.
Plus qu’une simple rumeur
Comme tant de monstres dévoilés par #MeToo, pour R. Kelly, « tout le monde savait ». Cette affaire met en lumière à quel point l’expression est un grossier euphémisme. Dire « tout le monde savait » permet de passer très facilement sur le contenu de ce que l’on « savait » : qu’il agressait sexuellement, psychologiquement et physiquement des mineures.
Cela fait des décennies que Kelly s’en prend à des jeunes filles, et cela fait belle lurette que l’on a dépassé le stade des rumeurs discrètement chuchotées. Certains de ses méfaits ont été extrêmement publics, comme ses relations sexuelles et son mariage avec sa protégée Aaliyah, alors qu’elle n’avait que 15 ans, sans parler de la vidéo où on le voit uriner dans la bouche d’une gamine de 14 ans et qui a longtemps été banalisée culturellement et évoquée comme un objet de rigolade. Et pourtant, cela ne fait que peu de temps que tout cela s’est figé en quelque chose de plus conséquent et accablant qu’une « rumeur ».
Des dizaines de personnes l’ont aidé et soutenu, parfois sans faire exprès, parfois sciemment.
Ce que Surviving R. Kelly fait extrêmement bien –et sans agressivité–, c’est démontrer, par le biais d’une lente accumulation plutôt que par des questions piège, tous les compromis, les décisions égoïstes et l’apathie qui ont contribué à protéger R. Kelly et lui ont permis de perpétuer ses crimes.
Seules quelques personnes interviewées sont directement complices des agissements du chanteur : un assistant qui accompagnait Kelly dans les centres commerciaux pour trouver des filles, un employé de maison anonyme et le grand frère de l’artiste, qui est le seul à se demander ouvertement pourquoi le comportement de Kelly pose un problème. Mais des dizaines de personnes, sans parler des organisations et des acteurs de divers secteurs commerciaux, l’ont aidé et soutenu, parfois sans faire exprès, parfois sciemment.
Lorsque l’on regarde Surviving R. Kelly, on voit des producteurs qui savaient que Kelly faisait quelque chose de répugnant mais qui ne sont pas intervenus, et des employés qui ont fait ce qu’on leur demandait parce qu’ils étaient payés pour ça. Surtout, on voit des familles qui ont laissé leurs filles « travailler » avec R. Kelly parce qu’elles estimaient que c’était bénéfique pour leur carrière, et qui ont préféré penser –marchant ainsi dans les traces de l’industrie du disque, d’autres célébrités et même de l’Église noire et des autorités– qu’il n’était pas si méchant que ça. Ce que l’on ne voit pas, en revanche, ce sont beaucoup des célébrités qui ont récemment travaillé avec R. Kelly et qui regrettent peut-être déjà ne pas avoir participé.
Souvenirs souillés
Lorsqu’il était gênant de regarder la vérité en face et de faire ce qui est juste, les gens ont choisi de fermer les yeux et de continuer à écouter ses chansons –comme je l’ai fait moi pendant de nombreuses années.
J’imagine que continuer à écouter ses chansons va devenir difficile pour une grande partie des personnes ayant visionné Surviving R. Kelly, si ce n’était pas déjà le cas. Mais cela ne deviendra pas impossible pour autant : après la diffusion du documentaire, l’écoute des chansons de Kelly a augmenté de 16% sur Spotify.
Je me plais à imaginer que celles et ceux qui l’ont écouté essayaient de faire comme moi, lorsque je n’arrivais pas à me retirer « Ignition (Remix) » de la tête, et voulaient associer la chanson aux histoires abominables que je venais d’entendre.
Mais comme le soulignent les spécialistes apparaissant dans le documentaire, pour beaucoup, la musique de R. Kelly évoque des évènements positifs de leur propre vie –diplômes, fêtes, anniversaires. Et ces personnes n’ont sans doute aucune envie que ses actes ne viennent souiller leurs souvenirs. Pourtant, regarder Surviving R. Kelly les souillera. Il suffit de se repasser le documentaire mentalement, en boucle, jusqu’à la nausée.
Reconnu coupable de « trafic sexuel », R. Kelly voit ses ventes d’albums augmenter de 517% | Slate.fr
▻http://www.slate.fr/story/217332/r-kelly-reconnu-coupable-trafic-sexuel-ventes-dalbums-augmenter-517-pourcents
Le 27 septembre R. Kelly a été reconnu coupable de kidnapping, exploitation sexuelle d’enfants et racket. Mais cela n’a pas freiné les ventes d’albums du chanteur, bien au contraire. Une semaine après la décision de justice, la demande pour la musique de R. Kelly a augmenté de 517%, faisant grimper en flèche les revenus du rappeur. Dans le même temps, les flux audio sur les plateformes de streaming ont atteint +22%, tandis que les flux vidéo ont pris +23%.
Ce n’est pas la première fois que les revenus de R. Kelly augmentent du fait de la médiatisation des accusations de trafic sexuel dont il a été reconnu coupable. En 2019, lorsque le documentaire Surviving R.Kelly a été diffusé, les ventes de sa musique ont doublé. Des faits surprenants, alors que le documentaire présente des femmes victimes de viols et séquestrées dans la secte sexuelle tenue par le rappeur.
La même année, une interview de R. Kelly, accusé à l’époque de séquestration et d’agressions sexuelles, alimente également la demande musicale pendant plusieurs semaines. Pourtant lors de l’émission, il semble montrer la face cachée de sa personnalité : devant la journaliste Gayle King, co-animatrice de CBS This Morning, il s’emporte de manière violente, se lève de sa chaise et lance son poing en l’air.
Faire disparaître son contenu des plateformes ?
La question est posée ici ou là : les plateformes de streaming doivent-elles supprimer la musique et les vidéos de R. Kelly, qui risque une longue peine de prison ? Depuis 2017, le hashtag #MuteRKelly circule sur les réseaux sociaux, ce qui a fait réagir certains diffuseurs. Des titres célèbres comme « I believe I can fly » et « The world’s greatest » ne sont plus diffusés à la radio ni dans certaines publicités, rapporte Quartz.
Après la diffusion du documentaire Surviving R. Kelly, le label Sony a décidé de lâcher le chanteur. Les organisateurs des tournées musicales ont suivi le pas. Mais les plateformes comme Spotify et Apple Music traînent dans leurs décisions. Les contenus de R. Kelly ont été supprimés des listes de lecture, mais toute sa discographie est disponible. C’est également le cas chez Amazon. YouTube, qui a supprimé les chaînes officielles RKellyTV et RKellyVevo, ne supprimera pas ses chansons sur YouTube Music.
Comme c’est très souvent le cas dans la procédure pénale aux États-Unis, la condamnation de R. Kelly ne sera rendue officiellement que plus tard, le 4 mai 2022. Actuellement en détention provisoire, le chanteur risque la prison à vie.
Anita Lane s’enfuit d’ici jusqu’à l’éternité – Lelo Jimmy Batista.Libération
▻https://www.liberation.fr/culture/musique/anita-lane-senfuit-dici-jusqua-leternite-20210430_NR2UHZEYPNEN7P6JGJMGL5G
« C’était, de loin, la plus talentueuse et la plus intelligente d’entre nous », disait d’elle le musicien Nick Cave ce jeudi matin. La plus discrète et la plus injustement ignorée, aussi. Née à Melbourne à une date oubliée en chemin, quelque part en 1960, #Anita_Lane a d’abord été connue comme la collaboratrice et compagne du chanteur australien, qu’elle a rencontré en école d’art au milieu des années 70. Quittant l’Australie pour l’Europe où Cave s’établit début 80 avec son groupe The Birthday Party dans l’optique de conquérir un plus large public, elle signera plusieurs titres sur leurs deux albums, Prayers On Fire et Junkyard, et fera par la suite partie de la première mouture des Bad Seeds , qu’elle quittera rapidement, son histoire avec Cave prenant fin.
Elle continuera toutefois à écrire et jouer pour lui et sa bande – on lui doit quelques morceaux phares du groupe tels que Stranger Than Kindness ou From Here to Eternity, ainsi que nombreux titres et projets avec Blixa Bargeld, Kid Congo Powers, Barry Adamson et Mick Harvey . Qui, tous, lui rendront la politesse au moment où elle entamera sa malheureusement trop courte carrière solo, limitée, malgré le soutien indéfectible du label Mute, à deux albums : Dirty Pearl en 1993, version langoureuse, enfumée et ultra-sexuée des premiers Bad Seeds, et Sex O’Clock en 2001, disque plus accessible et orchestré, passé inaperçu par on ne sait quel navrant coup du sort. Après plusieurs années à naviguer entre Berlin, le Maroc et la Sicile, elle retournera définitivement s’installer en Australie en 2008, avec ses trois enfants, dans la banlieue de Melbourne. Elle est décédée mercredi, à l’âge de 61 ans.
Anita Lane runs from here to eternity
▻https://www.rollingstone.fr/anita-lane-membre-fondatrice-des-bad-seeds-est-decedee-a-61-ans
L’auteure-compositrice et interprète Anita Lane a co-écrit deux des chansons phares de Nick Cave, « From Her to Eternity » et « Stranger Than Kindness », avant de sortir ses propres enregistrements en solo
▻https://www.last.fm/fr/music/Anita+Lane/+wiki
▻https://www.youtube.com/watch?v=TylcuxIYW2Y
Bella Ciao - Anita Lane. dernière piste de son Sex O’ Clock
▻https://www.youtube.com/watch?v=xdkRgCRmS6k
Sex O’Clock, which is previously unreleased on vinyl, was planned for release before Anita lane’s untimely death earlier in 2021 as a 20th anniversary edition of the her timeless album. Initailly released in 2001, Sex O’Clock was produced by Mick Harvey, featuring co-writes with various Bad Seeds, along with unique interpretations of other songwriter’s tracks including Gil Scott-Heron’s searing ‘Home is Where the Hatred Is’.
Le rock’n’roll est mort paraît-il ?
Pas grave les sons n’ont jamais été autant disponible, j’explore les archives du label Mute indépendant depuis 1978 jusqu’à demain,
#Mute_Records apparaît à la fin de l’ère punk, quand Daniel Miller, inspiré par cette vague de son brut, bricole son premier 45 tours, sous le nom de _The Normal. Les rencontres avec Fad Gadget puis Depeche Mode feront de ce label artisanal le producteur des grands noms de la musique électronique expérimentale et de la pop synthétique._
the reissue of their highly influential and innovative debut album Y through Mute on 1 November 2019.
▻http://mute.com/mute/the-pop-group-debut-album-y-remastered-reissue-boxsets.
▻https://popgroup.bandcamp.com
▻https://popgroup.bandcamp.com/track/thief-of-fire-remastered
▻https://popgroup.bandcamp.com/track/citizen-zombie
des labels à la pelle :
▻https://independentlabelmarket.com/labels-archive
Tiens marrant : on retrouve chez Mute Chris Carter, ancien de TG que tu mentionnais hier.
Magnifique Transverse @ericw
Transverse / 2012 Chris Carter, Cosey Fanni Tutti et Nik Void
▻https://www.discogs.com/Carter-Tutti-Void-Transverse/master/423515
En 2017, un #beau_livre est sorti aux éditions Thames & Hudson Ltd, London de Terry Burrows avec Daniel Miller. (Hachette Livre pour la version française) qui retrace l’histoire du label et de sa progéniture car Mute à fait beaucoup de petits ; c’est aussi à çà qu’on reconnaît les grands labels.
▻https://thamesandhudson.com/mute-9780500519721
Daniel Miller a créé Mute Records pour sortir son premier single ("Warm Leatherette"/"T.V.O.D"), un son électronique pionnier avec une attitude de bricolage défiante. Mute s’est rapidement forgé une réputation en publiant de la musique d’avant-garde, au sommet des charts, et grâce à la musique de sa communauté d’artistes - allant de Fad Gadget, Moby, Can, Nick Cave et The Bad Seeds et Einstürzende Neubauten à Depeche Mode, Yazoo, Erasure, Laibach, Goldfrapp, Liars et Ben Frost - elle a eu un impact incalculable sur la musique populaire pendant quatre décennies.
Mute : Un document visuel est rempli d’œuvres d’art et de photographies étonnantes - pour la plupart inédites - provenant des archives de Mute et des archives personnelles de Daniel Miller, y compris des photographies et des vidéos de photographes légendaires, des œuvres d’art conceptuelles, des éphémères et des équipements rares.
Des discographies exhaustives, un arbre généalogique des artistes Mute, une introduction et un commentaire détaillés de Daniel Miller, qui a assuré la conservation du matériel pour le livre, ainsi que des contributions anecdotiques et photographiques de personnages clés de l’histoire du label, dont Moby, Alison Goldfrapp, Anton Corbijn, Bleddyn Butcher, Brian Griffin, Jon Spencer, Barry Adamson, Ivan Novak, Angus Andrew, Adrian Shaughnessy, Tom Hingston, font de ce livre la chronique définitive du label.
Mute sublabel focusing on reissues.
Sometimes credited for copyright credits as : The Grey Area of Mute Records Ltd.
▻https://www.discogs.com/label/5656-The-Grey-Area
une anecdote du livre à propos d’une pochette de disque :
▻https://www.discogs.com/fr/The-Birthday-Party-Mutiny/master/20079
The Birthday Party – Mutiny / 1983 « ça a été le premier et l’unique disque de Birthday Party produit par Mute. Il y avait une croix gammée parmi les images au dos de la pochette. ça a posé problème quand les exemplaires ont été expédiés en Allemagne, parce que là-bas, il est illégal d’afficher ce symbole ; on a dû tous les recouvrir un par un au feutre ! »
Cabaret Voltaire, “Shadow of Fear” | Bandcamp Daily
▻https://daily.bandcamp.com/album-of-the-day/cabaret-voltaire-shadow-of-fear-review
To anyone wondering why there’s a new Cabaret Voltaire album—their first in 26 years—careening across speaker cones in 2020, the answer’s right in the record title: Shadow of Fear. Kinda sounds like our collective state, doesn’t it? A bleak mindset we simply can’t shake, no matter how positive today’s news is. A shadow of fear.
▻https://cabaretvoltaire.bandcamp.com/track/whats-goin-on
Shadow of Fear is Cabaret Voltaire’s first studio album in 26 years. Richard H. Kirk is the sole remaining member; he’s released many acclaimed solo albums, having invented bleep techno via his groundbreaking work in Sweet Exorcist. Kirk has formed this new album from a series of pulverising live shows. The tone and personality of CV is ingrained in its core as it dances across techno, dub, house, 1970s Germany and general esoteric explorations coupled with mangled vocal samples.
▻https://cabaretvoltaire.bandcamp.com
▻http://mute.com/mute/new-album-shadow-of-fear-out-now
#cabaret_voltaire #mute_records
Richard H. Kirk de Cabaret Voltaire a définitivement débranché ses synthés.
▻https://gonzai.com/richard-h-kirk-de-cabaret-voltaire-a-definitivement-debranche-ses-synthes
Un an après la mort de Gabi Delgado (D.A.F.), Florian Schneider (Kraftwerk) et Genesis P-Orridge (Throbbing Gristle/Psychic TV) voici encore un grand de la musique industrielle et électronique qui nous quitte prématurément. Richard H. Kirk est mort aujourd’hui à 65 ans, mettant définitivement fin à Cabaret Voltaire dont il était le dernier représentant sur scène, et sur disque.
▻https://twitter.com/MuteUK/status/1441095020572909569
Two very touching pieces worthy of a read from David Stubbs at the Quietus & Joe Muggs for the Guardian on our dear friend Richard H Kirk.
▻https://thequietus.com/articles/30567-richard-h-kirk-obituary-cabaret-voltaire
▻https://www.theguardian.com/music/2021/sep/21/richard-h-kirk-was-prolific-hungry-angry-and-funky-to-the-end
Je n’ai jamais lu Dix petits Nègres et je vais plutôt m’intéresser aux disques de Barry Adamson et The Negro Inside Me (Mute Records, 1993)
en particulier.
▻https://www.discogs.com/Barry-Adamson-The-Negro-Inside-Me/master/52749
▻https://www.youtube.com/watch?v=-IB-NxZlIY0&feature=emb_logo
The Negro Inside Me | Barry Adamson
▻https://barryadamson.bandcamp.com/album/the-negro-inside-me
Steal Away EP | Barry Adamson
▻https://barryadamson.bandcamp.com/album/steal-away-ep
Genesis P-Orridge obituary
▻https://www.theguardian.com/music/2020/mar/15/genesis-p-orridge-obituary
“I am at war with the status quo of society and I am at war with those in control and power,” said Genesis P-Orridge in 1989. “I’m at war with hypocrisy and lies, I’m at war with the mass media.” P-Orridge, who has died of leukaemia aged 70, stuck to the task of delivering aesthetic shocks and trampling over cultural taboos with impressive dedication and across multiple disciplines.
Throbbing Gristle - Convincing People (1979)
▻https://www.youtube.com/watch?v=odZob7hBFbo
Je disais à un ami que je trouvais même surprenant qu’il ait réussi à vivre jusqu’à maintenant.
@vanderling : bon choix ! Après à la réécoute je me demande si je n’ai pas une petite préférence pour celui là :
Throbbing Gristle and Mute together again
▻http://mute.com/throbbing-gristle/throbbing-gristle-and-mute-together-again
#Mute is pleased and proud to announce the re-ignition of its worldwide partnership with Throbbing Gristle. The first stage of this partnership sees the Throbbing Gristle catalogue available on streaming services for the first time.
Over the course of the next three years, Mute will make all of the band’s classic catalogue available both physically and digitally whilst also making available long out of print and important pieces of work.
The release pattern will also see some new box sets of previous unreleased material and imagery.
Throbbing Gristle’s greatest hits
▻https://throbbinggristle.bandcamp.com/album/throbbing-gristles-greatest-hits
OTHER, LIKE ME (2020) The oral history of Coum & Throbbing Gristle.
▻https://www.coum.co.uk
Le #documentaire tant attendu sur l’histoire et la fondation de Throbbing Gristle, racontées par eux-mêmes. À travers ces témoignages inédits essentiels, Marcus Werner Hed et Dan Fox nous replongent dans une Grande-Bretagne thatchérienne, berceau de l’avant-garde nihiliste et de mouvements contre-culturels qui brisaient les tabous à grands coups de pornographie, d’automutilation, d’enchevêtrement d’images violentes et de vacarme. Avec Throbbing Gristle, groupe de musique expérimentale et bruitiste qui prolongeait vers un plus large public les performances de COUM Transmissions, Genesis P-Orridge et Cosey Fanni Tutti exploitent une esthétique du chaos au point d’avoir été taxés par un conservateur britannique de « destructeurs de la civilisation ». Quoi de plus dangereux que la culture ?
Si, vous aussi, vous cherchiez ce soir comment gérer des mutex en bash, vous trouverez votre bonheur ici :
▻http://wiki.grzegorz.wierzowiecki.pl/code:mutex-in-bash
#Google explique pourquoi il n’y aura pas de bouton “Couper le #son” dans les onglets de #chrome
▻http://www.soon7.com/developpements/google-explique-pourquoi-il-ny-aura-pas-de-bouton-mute-dans-les-onglets-de-ch
Google a rajouté dans chrome des icônes dans les onglets indiquant par exemple quel onglet produit un son (vidéo, audio, etc), ou encore lequel utilise une webcam ou diffuse de la télé. Ce qui est plutôt pratique pour trouver par exemple lequel des 15 onglets ouverts diffuse la musique que vous souhaitez arrêter, mais pour […]
#Dév_&_Code #mute #Vidéo
#Cristina-Pato + - Introdución e Muiñeiras II (Misturados) - YouTube
►http://www.youtube.com/watch?v=amDQpvEbIDs
Et en concert, sacrée Cristina Pato !
►http://www.youtube.com/watch?v=IzaBhYobroo