• Im Uber: Ex-Botschaftergattin Shawne Fielding zusammengeschlagen
    https://www.berliner-zeitung.de/panorama/im-uber-ex-botschafter-gattin-shawne-fielding-zusammengeschlagen-li


    Glamour-Paar der Berliner 2000er: Shawne Fielding und Thomas Borer, hier im Jahr 2007 beim Wiener Opernball.

    Es trifft die Reichen und Schönen nur, wenn sie unmittelbar von Armut und Ausbeutung profitiren wollen. Es gibt gute Gründe dafür, dass die Angehörigen der Oberklassen eigene Limousinen und Chauffeure haben. Jetzt wissen ein paar mehr : Mit Uber fahren ist gefährlich, weil man nie weiß, wer wirklich am Steuer sitzt.

    26.12.2023 Marcus Weingärtner - Shawne Fielding, die Ex-Frau des ehemaligen Schweizer Botschafters Thomas Borer, wurde in Dallas Opfer einer Gewalttat.

    Berlinerinnen und Berlinern ist Shawne Fielding ein Begriff: In den 2000ern brachten der Schweizer Botschafter Thomas Borer und seine Ehefrau Fielding den lang vermissten Glamour in die deutsche Hauptstadt. Sie unterhielten Berlin mit ihren Auftritten und dem einen oder anderen Skandälchen um angebliche Affären und Abnehmpülverchen.
    Opfer einer Gewalttat

    Shawne Fielding und Thomas Borer waren von 1999 bis 2014 verheiratet. Die beiden haben zwei gemeinsame Kinder. Danach war die gebürtige Texanerin sieben Jahre mit dem Eishockey-Spieler Patrick Schöpf (56) zusammen. Das Paar nahm 2018 an der Sendung „Sommerhaus der Stars“ teil. Nun wurde Fielding in ihrer Heimat Dallas/Texas Opfer einer Gewalttat, wie die Bild-Zeitung berichtete.

    Offenbar wurde Fielding während einer Uber-Fahrt in Dallas angegriffen und geschlagen, wie die Ex-Botschaftergattin in den sozialen Medien mitteilte:

    „Heiligabend mit der Unterstützung meiner Familie und meiner Freunde. Ich wurde gestern in einem Uber brutal angegriffen und für tot geglaubt zurückgelassen. Jeder Knöchel an meiner rechten Hand wurde genäht. Ich bin dankbar für das Weihnachtswunder, am Leben zu sein. Bitte sag den Leuten jeden Tag, wie sehr du sie liebst. Danke, Weihnachtsmann, was auch immer mir Kraft gab, zu kämpfen. Das geschah am helllichten Tag – ich hatte keine Einkaufstaschen, war aber alleine. #neveragain

    #USA #Texas #Dallas #Uber #Kriminalität

  • Les Cahiers de Verkhnéouralsk - Écrits de militants trotskystes soviétiques 1930-1933 (Lutte de Classe n°222 - 13 février 2022)

    Des textes émanant de trotskystes soviétiques du début des années 1930 parus aux éditions Les Bons Caractères.

    https://mensuel.lutte-ouvriere.org/2022/02/20/les-cahiers-de-verkhneouralsk-ecrits-de-militants-trotskyste

    https://www.lesbonscaracteres.com/livre/les-cahiers-de-verkhneouralsk

    C’est du fond d’une des plus sinistres prisons russes des années 1930, située au sud de l’Oural, que le hasard de travaux dans une cellule a permis de découvrir une profusion de journaux et écrits clandestins de membres de l’Opposition de gauche que Staline y avait fait enfermer.

    Nous publions huit de ces textes, la plupart traduits pour la première fois. De leurs auteurs, on ne connaissait parfois que le nom, et encore, tant la dictature stalinienne a voulu effacer jusqu’à la mémoire des militants qui restèrent fidèles aux idéaux d’Octobre 1917. Ils combattaient avec Trotsky la #dégénérescence du premier État issu d’une révolution ouvrière victorieuse. Ce que la dictature stalinienne ne pouvait tolérer. Car l’activité et l’existence même de ces milliers de #bolcheviks-léninistes représentaient une dénonciation vivante du stalinisme, de ce régime défenseur d’une #bureaucratie parasitaire qui écrasait la classe_ouvrière, qui trahissait les intérêts de la révolution socialiste #mondiale et qui donnait une image dévoyée et sanglante du communisme. Face à cette monstrueuse régression, il n’y eut alors que ces militants pour défendre les traditions de luttes et les idéaux du mouvement ouvrier. Jusqu’à ce que #Staline, qui n’avait pu en venir à bout, les fasse exécuter en masse dans ses camps en 1937.

    #stalinisme #Opposition_de_gauche #trotskisme #militants_trotskistes #révolution_russe

    • Face à ce que #Victor_Serge appela «  minuit dans le siècle  », ils tinrent bon. On voit dans leurs écrits leur lucidité quant à l’ampleur du reflux de la #révolution, et leur conviction que, quel que fût leur sort – et ils n’avaient pas d’illusions sur ce que le #stalinisme leur réservait –, il importait avant tout de préserver un héritage, de maintenir un drapeau  : ceux du #communisme_révolutionnaire et de l’#internationalisme, pour qu’ils puissent servir de guide aux générations futures de combattants de la cause ouvrière. Car même face à cette avalanche de trahisons, de défections et de défaites provoquées par le stalinisme et la #social-démocratie, ils avaient la certitude que tôt ou tard sonnerait l’heure de la «  lutte finale  ».

      Leur conviction inébranlable que la #classe_ouvrière a la capacité de transformer la société et que l’avenir appartient au #communisme, leur dévouement à la cause de la #révolution_mondiale, se lisent à chaque ligne des Cahiers. À huit décennies de distance, ce qu’ils nous lèguent là s’adresse tout particulièrement aux jeunes générations militantes, pourvu qu’elles prennent conscience que le système capitalisme, avec ses crises, ses guerres et ses horreurs, ne mérite qu’une chose  : être définitivement relégué au rayon de ce qui aura précédé l’avènement d’une humanité libérée de toute oppression et enfin digne d’elle-même.

    • Un autre livre sur Verkheouralsk :

      Verkhne-Ouralsk, l’isolateur politique 1925-1938, combats, débats et extermination d’une génération , d’AVSHALOM BELLAÏCHE

      A propos des #trotskystes de Verkhne-Ouralsk, ce papier de Jean-Jacques Marie
      https://cahiersdumouvementouvrier.org/a-propos-des-trotskystes-de-verkhne-ouralsk

      En janvier 2018 des ouvriers du bâtiment travaillant dans une vieille prison de la petite ville de #Verkhneouralsk, près de la ville de Tcheliabinsk, ont découvert sous le parquet d’une cellule des publications artisanales rédigées par des trotskystes déportés en 1929-1930. Ces déportés se désignent du nom de bolcheviks-léninistes pour souligner leur continuité avec l’héritage d’octobre 1917 dont #Lénine a été le véritable inspirateur. La #bureaucratie stalinienne ne pourra évidemment reproduire cette désignation et lui substitue le nom de « #trotskystes », qui vise à suggérer une filiation extérieure , puis étrangère à Lénine, et, au fil des années, en fait le synonyme de #menchéviks, contre-révolutionnaires, agents des services secrets divers et variés, puis fascistes et hitlériens mal déguisés. Mais le qualificatif de « trotskyste », malgré ses origines pour le moins malveillantes, est entré dans les moeurs.

      A quelques mois de distance sont parus deux ouvrages portant sur ces documents qui avaient échappé à la surveillance de la police politique de Staline, l’un écrit par Avshalom Bellaïche sous le titre Verkhne-Ouralsk l’isolateur politique 1925-1938, combats, débats et extermination d’une génération. L’autre intitulé Les cahiers de Verkhneouralsk, traduit, présenté et annoté par Pierre Laffitte, Pierre Matttei et Lena Razina, publié par Les bons caractères.

      Ce petit article porte sur le livre de Bellaïche un second sur celui des bons caractères suivra.

      #Avshalom_Bellaïche précise d’emblée que les textes dénichés par les ouvriers du bâtiment sont « des écrits politiques, des analyses théoriques et des textes polémiques »,qu’il qualifie à bon droit de « sources exceptionnelles, originales et précieuses » sur les trotskystes en URSS, sur leurs réflexions et leurs débats politiques, parfois très vifs mais qui témoignent toujours d’une indépendance de pensée remarquable au moment même où en URSS les slogans les plus primitifs et les mensonges les plus grossiers commencent à remplacer toute forme de pensée politique. Avshalom Bellaïche retrace minutieusement l’histoire de l’isolateur de #Verkhne-Ouralsk, connue jusqu’alors surtout par le récit qu’en donne dans son Au pays du mensonge déconcertant l’opposant yougoslave Anton Ciliga qui y fut déporté.

      Bellaïche souligne que son travail vise à « décrire au maximum les conditions de vie des prisonniers (…) et à montrer comment les prisonniers par leur organisation et leur cohésion politique parviennent alors que l’Union soviétique s’enfonce dans le régime totalitaire (…) à maintenir un rapport de force favorable qui leur permet de défendre leurs libertés politiques. » Il évoque à la fois leurs longues discussions et leurs actions comme la grève de la faim d’avril 1931 qui contraint la direction de l’isolateur à faire quelques concessions aux détenus consignées dans un texte que Bellaïche reproduit .

      La cohésion morale des détenus trotskystes n’empêche pas l’apparition rapide de divisions politiques, parfois vives, face à ce que l’on a appelé « le tournant à gauche » de Staline et de l’appareil du PC avec le lancement en 1929 du plan quinquennal et le déclenchement de la collectivisation agricole avec des méthodes d’une extrême brutalité, qui vont dresser contre elle une grande partie de la paysannerie soviétique, méthodes dont les militants internés n’avaient au début qu’une connaissance réduite.

      Une minorité approuve cette collectivisation, l’un de ses membres s’affirmant même partisan d’une « collectivisation à outrance », que la majorité des B-L critiquent vu l’absence de base matérielle technique et de véritable campagne politique préparatoire.

      Ce qu’on connaissait des débats vifs qui agitent la colonie des bolcheviks-léninistes, la plus importante et de loin des groupements politiques déportés à Verkhne-Ouralsk, se limitait jusqu’alors essentiellement à une correspondance avec Trotsky publiée dans le numéro 7/8 (1981) des Cahiers Leon Trotsky dont les derniers textes datent de l’automne 1930 et ce qu’en dit Ciliga dans ses souvenirs. Sur ce dernier Avshalom Bellaïche affirme : « Anton Ciliga escamote complètement l’état réel des discussions qui ont traversé les bolchevils-léninistes. » Et il ajoute, à bon droit, « Grâce à la découverte des manuscrits qui datent de 1932 nous connaissons enfin les enjeux et les débats qui ont réellement opposé les différentes tendances au sein du collectif bolchevik-léniniste ». Certes son étude minutieuse et précise des documents disponibles corrige certaines affirmations de Ciliga ou comble certains de ses silences. Mais Ciliga est partie prenante de ces débats dans lesquels il est très engagé et dont il n’est pas surprenant qu’il en donne une vision partiale et orientée, d’autant qu’à leur terme il rompra avec le bolchevisme… et – après la publication de ses souvenirs – évoluera très à droite.

      Les longues pages qu’Avshalom Bellaïche consacre aux débats internes des bolcheviks–léninistes aux divergences puis aux divisions – parfois provisoires – que ces débats font apparaitre sont sans doute les plus riches et les plus passionnantes de son travail. Elles témoignent de la volonté acharnée de ces militants isolés de réfléchir avec leur tête. Certes ils accordent une grande attention aux lettres et textes de Trotsky qu’ils peuvent recevoir – de façon très épisodique après l’automne 1930 – mais ils ne se contentent nullement de les répéter ou de les paraphraser et peuvent les critiquer. Au début ces débats portent sur l’appréciation du prétendu « tournant à gauche » que représenterait la collectivisation forcée et donc sur l’attitude à adopter à son égard. Elles se concluront par un débat sur la nature de l’URSS.

      Les résumer aboutirait à les caricaturer. Ainsi évoquer un « collectif majoritaire », qui publie son bulletin, puis un « collectif minoritaire » qui publie aussi le sien, bientôt flanqués d’une aile gauche critique qui compose son Bolchevik militant, avant l’apparition dans le collectif majoritaire d’une aile droite désignée par les initiales de ses trois représentants (MBM) en résumant en trois lignes la position de chaque courant rappellerait assez stupidement la vieille plaisanterie sur les trotskystes qui scissionnent dès qu’ils atteignent ou dépassent le nombre de trois.

      Or pour quiconque a une autre vision de l’histoire complexe de l’Union soviétique que la vision linéaire des historiens bourgeois qui dessinent une ligne droite imaginaire du prétendu coup de force( ou d’état) d’octobre 1917 au totalitarisme stalinien, les problèmes posés par la première révolution ouvrière victorieuse au sein d’une défaite de la révolution mondiale, surtout européenne, étaient d’une extrême complexité. Et les discussions et les débats qu’évoque Avshalom Bellaïche avec une grande clarté, une grande minutie et – je me répète – avec une tout aussi grande précision frappent par la volonté acharnée de comprendre qui anime leurs participants. Volonté d’autant plus étonnante que les possibilités d’agir ne peuvent que leur apparaitre lointaines. L’appareil policier du stalinisme, lui en revanche n’en est pas persuadé, les juge bien dangereux et les massacrera tous en 1937 et 1938 à Vorkouta et à Magadan . Ce massacre, raconté par plusieurs témoins qui ont survécu, conclut ou presque le récit d’Avshalom Bellaïche.

      Ces militants pensent avec leur tête. Ainsi Bellaïche signale les désaccords de certains d’entre eux avec plusieurs points du texte de Trotsky intitulé Les problèmes du développement de l’URSS (projet de plateforme de l’Opposition de gauche internationale sur la question russe paru dans le n° 20 du Bulletin de l’Opposition d’avril 1931) dans lequel il affirme : « La réalisation du plan quinquennal représente un pas en avant gigantesque en comparaison de l’héritage misérable que le prolétariat avait arraché des mains des exploiteurs » (Bulletin de l’Opposition n° 20, page 3).

      En 1932 Trotsky et les bolcheviks-léninistes de Verkhne-Ouralsk – et d’ailleurs – ont toujours la perspective de réformer le parti dirigeant et l’Internationale communiste même si les premières interrogations apparaissent ici et là. Ainsi Axel Bellaïche cite-t-il un article de décembre 1932 du Collectif majoritaire dont les auteurs affirment : « Il n’y a pas de doute qu’en comparaison avec le volume colossal des tâches à réaliser par l’Opposition léniniste ses forces sont pour le moment insignifiantes. » Avshalom Bellaïche ajoute : « Les tâches et les perspectives qu’ils [les bolcheviks-léni,nistes] donnent sont proportionnées aux nécessités de la politique générale et non à leur capacité réelle d’influencer ou de modifier cette même situation. »

      Le moment décisif dans ces discussions passionnées est celui qu’Axel Bellaïche appelle « le rubicon » c’est-à-dire le passage d’une vision du clan de Staline comme direction bureaucratique « centriste » du parti communiste à la conception d’une bureaucratie parasitaire qui doit être renversée par la mobilisation des masses, seul moyen de défendre durablement la propriété d’Etat, passage transitoire obligé vers la « propriété sociale » qui pour se réaliser, en suppose … en même temps la négation ! C’est la « révolution politique », que les détenus bolcheviks-léninistes esquissent dès décembre 1932 lorsqu’ils évoquent la grève générale et l’armement du prolétariat comme des slogans pour l’action de masse. « Certes, commente Avshalom Bellaïche, l’emploi de la violence reste conditionné, mais on est très loin du mécontentement limité au cadre soviétique de 1930. »

      Quelques mois plus tard chacun de son côté, Trotsky et les bolcheviks-léninistes de Verkhne-Ouralsk, tirent sans pouvoir se consulter, les mêmes conclusions de la politique stalinienne en Allemagne qui a ouvert la voie du pouvoir aux nazis et que Trotsky qualifie de « 4 août du #stalinisme », bref une trahison de la révolution similaire à celle de la social-démocratie en 1914. C’est le développement commun d’une analyse marxiste de fond commune. « Que ce soit à Prinkipo ou à Verkhne-Ouralsk, souligne Avshalom Bellaïche, les conclusions politiques de cette analyse sont formulées quelques mois plus tard à l’automne 1933 : le Parti communiste est mort, l’Internationale communiste est morte, la fondation d’une nouvelle Internationale révolutionnaire et la révolution politique qui renverserait le parti stalinien soviétique par l’insurrection armée des masses ouvrières sont désormais nécessaires. Sur la base de cette perspective nouvelle (…) les bolcheviks-léninistes de Verkhnéouralsk se réunifient à la veille de la seconde grève de décembre 1933 qui arrachera dans la douleur la libération de la majorité des militants révolutionnaires de l’#isolateur politique de Verkheouralsk. »

      Les détenus de Verkhne-Ouralsk ne pourront jamais lire une ligne de #la_Révolution_trahie achevée par Trosky en juin 1936. Mais si l’on juge par leurs écrits abondamment cités dans l’ouvrage d’Avshalom Bellaïche, ils en auraient sans aucun doute repris à leur compte les conclusions fondamentales.

      Avshalom Bellaïche signale aussi les positions des autres groupes d’opposants internés à Verkhne Ouralsk (les décistes – ou centralistes-démocratiques – de #Vladimir_Smirnov, eux aussi divisés entre ceux qui voient en URSS le triomphe du capitalisme dEtat et ceux qui y perçoivent la victoire politique de la petite-bourgeoisie, les miasnikoviens, les menchéviks).

      Il évoque en détail de nombreux militants bolcheviks-léninistes dont les plus importants, #Iakovine, #Solntsev, #Dilgenstedt, #Nevelson, #Boris_Eltsine et ses deux frères, #Poznansky, ancien secrétaire de Trotsky, #Guevorkian, tous liquidés plus tard, et #Starosselsky, le spécialiste de la Révolution française, mort en 1934. Ils sont tous massacrés parce que, pour Staline, si isolés soient-ils apparemment, ils ne sont pas des rêveurs utopiques mais un danger mortel .

      La preuve en est donnée par des manifestations de révolte contre la clique stalinienne collectées par le #NKVD au moment même où ces militants sont massacrés. Ainsi le fils du premier secrétaire du PC d’Ouzbeskitan Ikramov, condamné à mort lors du 3 ème procès de Moscou de mars 1938, envoyé lui à la #Loubianka, y rencontre brièvement un garçon de 14 ans interné pour avoir participé à la constitution à Oulianovsk d’un Parti panrusse contre Staline, sans aucun doute minuscule mais significatif d’un état d’esprit reflété à la veille de la manifestation du 1er mai 1938 à Moscou par des fondateurs d’un #Parti_ouvrier antifasciste qui avaient rédigé un tract antistalinien virulent qu’ils se préparaient à y distribuer, mais qui furent arrêtés la veille.[1]

      Pour interdire toute liaison entre cette protestation aux formes diffuses et les bolcheviks-léninistes, Staline a d’abord isolé ces derniers, les a calomniés, puis les a envoyés au Goulag pour les soumettre à la terreur exercée par les criminels de droit commun véritable lie sociale décomposée, image inversée de la bureaucratie parasitaire et les a finalement assassinés. On voit à quel point l’historien pro-stalinien Isaac Deutscher [2] se fourvoyait lorsque dans le troisième volume de son Trotsky il affirmait que ce dernier après son exil en 1929 aurait dû se contenter d’écrire des livres plutôt que d’animer une opposition de gauche que Deutscher traite avec mépris, et que l’ouvrage d’Avshalom Bellaïche, en lui rendant un bel hommage intelligent et argumenté, rappelle à la vie.

      Quelle conclusion ou quelle leçon peut-on tirer de la lecture du travail très riche d’Avshalom Bellaïche ? La première tentation peut être de souligner l’extraordinaire trempe morale de ces milliers d’hommes et de femmes qui se battent sans faiblir – sauf quelques inéluctables exceptions – dans des conditions où leur chances d’un quelconque succès sont microscopiques. Cette trempe morale est incontestable, mais on peut en trouver des exemples similaires chez les fanatiques religieux les plus bornés, dont ces #bolcheviks-léninistes se différencient radicalement par leur volonté farouche, amplement soulignée par Avshalom Bellaïche, d’analyser, de comprendre pour avoir éventuellement le moyen, si la possibilité – même infime – se présente, de transformer économiquement, socialement et politiquement, un monde dont le maintien en l’état est une menace pour l’humanité. A lire donc ! !

      [1] On voudra bien m’excuser (et puis tant pis si on ne m’en excuse pas !) de renvoyer à ce propos à mon livre Des gamins contre Staline où figurent nombre de données et de documents sur ces manifestations

      [2] Pro-stalinien … Deutscher, qualifié souvent d’historien trotskyste par la presse bourgeoise ? La preuve : Deutscher concluait sa biographie de Staline publiée en anglais en 1949 puis en français en 1951 par ces lignes : « Tel Cromwell il incarne la continuité de la révolution, à travers toutes ses phases et métamorphoses (…) comme Napoléon il avait construit son empire , mi-conservateur et mi-révolutionnaire et porté la révolution au-delà des frontières de son pays. La meilleure part de l’oeuvre de Staline durera certainement plus longtemps que lui (…) Afin de sauvegarder cette œuvre pour l’avenir et lui donner toute sa valeur, l’Histoire devra peut-être encore purifier et remodeler l’œuvre de Staline. » Il maintient cette conclusion dans sa nouvelle édition de 1960, quatre ans donc après le rapport de Khrouchtchev sur les « crimes de #Staline » au XX e congrès du PCUS.

      #trotskisme #trotskysme

  • La guerre des chiffres ça saoule. Au doigt mouillé il y avait, à Paris, vraiment beaucoup de monde : une partie du cortège était encore au point de départ quand l’autre arrivait au point d’arrivée, signe qu’il s’agissait d’une manif de grande ampleur. Pour mettre tout le monde d’accord il faut continuer. Grève générale !


    Brassard du jour.

  • À #Nevers, la fin d’un ancrage à gauche ?
    https://metropolitiques.eu/A-Nevers-la-fin-d-un-ancrage-a-gauche.html

    Pour comprendre les recompositions électorales à l’œuvre lors de la présidentielle de 2022, Élie Guéraut et Achille Warnant se penchent sur le cas de Nevers. La composition sociologique des quartiers, de la ville-centre jusqu’aux mondes périurbains et ruraux qui l’entourent, éclaire la géographie des votes. Cherchant un territoire où s’établir politiquement, c’est finalement vers la Nièvre que se tourne François Mitterrand à la Libération. Après un premier échec, il parvient, à partir des années 1960, à #Terrains

    / #élections, #élections_présidentielles, #villes_moyennes, #Parti_communiste, #Parti_socialiste, Nevers

    https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met_gueraut-warnant2_dossierpres22.pdf

  • Infinity Ward Lawsuit from 2020 Indicates Toxic Activision Blizzard Company Culture is the Rule, Not the Exception – Uppercut
    https://uppercutcrit.com/infinity-ward-lawsuit-from-2020-indicates-toxic-activision-blizzard-co

    Between multiple series of layoffs, the California State lawsuit, and this case, it’s becoming more and more clear that the issue of toxicity in Activision Blizzard’s company culture is one that touches everything the company does. On Wednesday, July 28[, 2021], Activision Blizzard employees are holding a walkout to protest company leadership’s response to the California State lawsuit. According to both Bloomberg and IGN, the company is offering paid time off to employees who participate.

    #jeu_vidéo #jeux_vidéo #activision_blizzard #neversoft #infinity_ward #business #emploi #culture_toxique #ressources_humaines #drh #lucy_andonian #carrière #promotion #discrimination #sexisme #justice #procès #kristina_adelmeyer #matthew_bauer

  • When Memory is Confined : Politics of Commemoration on #Avenida_26, Bogotá

    After more than five decades of conflict, the Colombian capital, Bogotá, is undergoing processes not just of regeneration, but also of commemoration. The decision to create spaces of memory along one particular road in the city, Avenida 26, has highlighted the stark differences between neighborhoods on either side of its congested lanes—and runs the risk of reinforcing existing segregation.

    Bogotá, Colombia, is a socially divided city in a post-conflict country marked by clashing spatial and cultural cleavages. Over the last 20 years, institutional investments have concentrated on the renewal of the city center in order to boost Bogotá’s image. At the same time, the end of the Colombian conflict has led to the proliferation of a politics of memory in the city. The politics of memory, driven by the pedagogical imperative of “never again” (Bilbija and Payne 2011), expose the difficult task of imagining spaces as contemplative and as sites of reconciliation through their portrayal of past events in the conflict (Jelin 2002).

    The street known as Avenida 26 (Figure 1)—at the center of my four-months-long fieldwork—is a key space for analysis of the city’s regeneration programs and politics of memory. The case of Avenida 26 demonstrates the tensions between urban development and memory-making. It reveals how institution-led production of “spaces of memory” (Huyssen 2003), as cultural spaces dedicated to commemoration and remembrance, also play a crucial role in the process of gentrification and the exclusionary dynamics in the city. Sites of national memory on Avenida 26 reflect strategic plans to build a protective barrier from urban violence and conflicts for the city’s middle class while at the same time further marginalizing low-income residents. These are the same residents who are often most directly touched by the conflict and for whom the politics of memory are officially dedicated.

    Segregated memory, between two Avenidas

    “That [a museum] is like for kids who are studying […], it’s not for everyone, for example, for me […] why should I go to a museum, what for? All these museums, what for? […] For me, my museums are my flowers,” said Catalina, a flower seller, in a half-sarcastic, half-bitter tone. [1]

    Catalina is referring to the future National Museum of Memory of Colombia, which is slated to open in 2021 as a space for reflection over the Colombian conflict. [2] The museum will be built on Avenida 26, where Catalina’s flower stand is located. As she speaks, her voice almost fades into the roar of traffic. The street is one of Bogotá’s main thoroughfares. It is nearly 14 kilometers (8.7 miles) long and as wide as a highway. It is one of the most congested streets in the city (Figure 2).

    Avenida 26 is central to Bogotá’s politics of memory. In 2012, the Center for Memory, Peace and Reconciliation, or CMPyR (Centro de Memoria, Paz y Reconciliación; Figure 3), opened next to the city’s central cemetery, where florists and candle sellers have their stands. Public art on the street [3] portrays the Colombian conflict. In 2014, the municipality renamed the section of Avenida 26 that hosts these cultural initiatives Eje de la Paz y la Memoria, or “Axis of Peace and Memory.” In 2016, a new park, Parque del Renacimiento (“Park of the Rebirth”), was opened.

    As a highly congested major thoroughfare, Avenida 26 does not correspond to conventional spaces of memory. Many institutional representatives define it as an empty space or a “blank slate.”

    “It’s like a corridor: when you cross it in some way you are inhabiting a place that is not a place where one would stop to contemplate […] that is to say it is a non-place,” a member of IDARTES (a body which promotes public art initiatives on the streets of Bogotá) said.

    The imaginary of Avenida 26 as a non-place among public officials reveals their uncomfortable awareness that Avenida 26 is an extremely segregated—and at times violent—place. The renamed section of the avenue—the “Eje de la Paz y la Memoria”—divides two very distinct neighborhoods: the middle-income neighborhood of Teusaquillo on one side, and the deprived and extremely precarious neighborhood of Santa Fe on the other. It would seem that the urban violence that characterizes the avenue would make it unsuitable for commemorative practices, yet officials have focused significant public resources in creating cultural institutions of public memory along this route.

    “The side that is in Teusaquillo is cool, I have friends working with screen printing, who have a cultural center, there is the graffiti […]. In front of the cemetery [on the Santa Fe side], it’s very ugly, people steal and at night there are many homeless people […], I really prefer not to be there,” said Santiago, a skater and graffiti artist, capturing the geographical imagination of the street as a divided space.

    In this context, the siting of the CMPyR and the future Museum of Memory, as well as ancillary museum initiatives, on Avenida 26 is not unintentional or strictly about memory. They represent selective investments on one side of the street in the middle-class neighborhood of Teusaquillo, and not on the Santa Fe side. The siting of these projects on Avenida 26 is not due to the relevance of this place for commemorative purposes, but instead acts as a revitalization strategy that encloses the more economically viable neighborhood through cultural projects as a means of shielding this neighborhood from the poverty and urban violence on the other side of Avenida 26. A member of the current CMPyR administration mentioned this selective use of the street when sharing his unease over being located to what he perceives as the “wrong” side of the street: “We work looking at that side [pointing to the Teusaquillo side], or we go to the mayor’s office, but we don’t go over there [the Santa Fe side]. […] One is always between two parallel worlds. Let’s say that, among ourselves, we know that on the other [Santa Fe] side there is the jungle.”

    In this scenario, Avenida 26 acts as a true frontier between two neighborhoods that memory professionals deem to be incompatible. Indeed, cultural actors and memory professionals seem to identify two different Avenidas: one apt to welcome initiatives and spaces of memory; the other inaccessible due to urban violence.
    Enclosed spaces, incompatible languages

    The consequences of this enclosure are detrimental to the low-income communities on the Santa Fe side of the street. Gates and security guards around the CMPyR contribute to a significant securitization of this area. Candle and flower sellers on the Santa Fe side, who work informally, face increased policing, disrupting their business and limiting their ability to develop a regular clientele.

    The marginalization and exclusion of these residents is even more evident symbolically. Interviewees on the Santa Fe side of the street are mostly uninformed of the activities of politics of memory—for example, they often confuse the CMPyR with a monument. They are also limited by a linguistic barrier. For example, memory, a common word in public art projects (Figure 4) and part of the title of the CMPyR—is an unfamiliar concept to many of these residents. The vocabulary employed by memory professionals reinforces a social and symbolic barrier among actors sharing the same space. This, in turn, contributes to the general indifference of many people in Santa Fe toward spaces of memory, and often results in explicit opposition to politics of memory on the street.

    A kiosk owner near the Parque del Renacimiento expressed her rejection of the politics of memory through her concerns about the present and her children’s future, “I’m not interested in who is buried there, why he died, why it’s called memory […] I want my children to be well, [I want to know] what time my daughter gets home, because if she is late then what happened to her? […] How can I be interested in this bullshit?”

    Avenida 26 is not a blank slate. It is a “lived space” made of uses and practices that politics of memory dismiss (Lefebvre 1974; de Certeau 1990). These regeneration plans ignore residents’ use of space and relation to memory by relying on cultural tools and a language that excludes them from participation. Avenida 26 highlights the necessity to think of spaces of memory as urban spaces whose function extends beyond their commemorative role (Till 2012). This case demonstrates how the appropriation or rejection of spaces of memory is dependent on urban dynamics—social inequalities, spatial segregation, and access to resources—influencing both the appropriation of spaces of memory and the possibility that a sense of belonging among local actors may flourish (Palermo and Ponzini 2014).

    Finally, the role played by the imperative of “never again” in gentrification and displacement is far from being an exclusively Colombian phenomenon. Across the globe, cities are increasingly taking a stance over episodes of the past at a national scale and publicly displaying it for collective engagement (as in post-apartheid Johannesburg, or in post-9/11 New York, among others). Academic and policymaking literature needs to deepen our understanding of the intricacy of these dynamics and the problematic cultural undertakings in such processes. If remembering is indeed a right as well as a duty, “walking down memory lane” should represent an exercise of citizenship and not the rationalization of social and spatial segregation.

    https://www.metropolitiques.eu/When-Memory-is-Confined-Politics-of-Commemoration-on-Avenida-26-Bogo

    #mémoire #Bogotá #Colombie #commémoration #mémoriel #divided_city #villes #géographie_urbaine #ségrégation #post-conflict #réconciliation #never_again #plus_jamais_ça #violence_urbaine #National_Museum_of_Memory_of_Colombia (CMPyR) #musée #contested_city #guerre_civile #non-lieu #Teusaquillo #Santa_Fe #violence_urbaine #art #frontières_urbaines #fractures_urbaines #gentrification #citoyenneté

    –---

    Toponymie :

    In 2014, the municipality renamed the section of Avenida 26 that hosts these cultural initiatives #Eje_de_la_Paz_y_la_Memoria, or “Axis of Peace and Memory.” In 2016, a new park, #Parque_del_Renacimiento (“Park of the Rebirth”), was opened.

    #toponymie_politique

    ping @cede @karine4

    ping @albertocampiphoto @reka

  • With Greenland’s Extreme Melting, a New Risk Grows : Ice Slabs That Worsen Runoff | InsideClimate News
    https://insideclimatenews.org/news/18092019/greenland-ice-sheet-melting-sea-level-rise-climate-change-heat-wa
    https://insideclimatenews.org/sites/default/files/styles/opengraph_large/public/article_images/greenland-melt-river-900_dave-walsh-vw-pics-universal-images-grou

    La calotte du Groenland est victime d’un inquiétant phénomène
    https://www.nationalgeographic.fr/environnement/2019/09/la-calotte-du-groenland-est-victime-dun-inquietant-phenomene

    De neige légère à plaque compacte, cette transformation de la glace amplifie le phénomène de ruissellement en provenance de l’inlandsis du #Groenland.

    [...]

    Il est facile de considérer le Groenland comme un énorme morceau de #glace solide et impénétrable. Pourtant, la réalité est tout autre, environ 80 % de la surface de l’inlandsis ressemble un peu à un granita : un tas de #neige fraîche recouverte d’une épaisse couche de neige plus ancienne, appelée #névé, lentement comprimée pour former le glacier mais qui contient encore de nombreuses poches d’air. Lorsqu’en hiver, le sommet de ce granite fond, l’eau liquide s’infiltre et descend jusqu’au névé qui l’absorbe comme une éponge épaisse d’une trentaine de mètres.

    #climat #montée_des_eaux

  • Les droits des femmes ne sont jamais acquis
    L’Allemagne a encore du mal avec l’interruption volontaire de grossesse.


    En 2017, la médecin Kristina Hänel a été condamnée pour avoir informé sur son site internet des IVG qu’elle pratiquait, ce qui a été assimilé à de la « publicité ». Un projet de loi visant l’assouplissement du paragraphe 219a du code pénal (une loi de 1933 !) qui permet cela prévoit à présent que les médecins puissent signaler leur pratique de l’IVG, mais sans donner d’informations...

    Die politischen Auseinandersetzungen um den Strafrechtsparagraphen 219 a gehen in die nächste Runde. Nachdem CDU/CSU und SPD sich in der letzten Woche auf einen Kompromiss zum sogenannten Werbeverbot für Schwangerschaftsabbrüche geeinigt hatten, wollen FDP, Linksfraktion und Bündnis 90/Die Grünen nun offenbar vor dem Bundesverfassungsgericht gegen den ergangenen Bundestagsbeschluss zur Neufassung des besagten Paragraphen klagen.

    Zwar hatte die Koalitionsmehrheit von CDU/CSU und SPD beschlossen, dass Ärztinnen und Ärzte fortan darüber informieren dürfen, wenn sie Abtreibungen vornehmen, den demokratischen Oppositionsfraktionen des Bundestages geht diese Regelung jedoch nicht weit genug. Sie fordern die komplette Streichung des Strafrechtsparagraphen, der ursprünglich auf die Nazizeit zurückgeht. So stand das sogenannte »Werben« für Schwangerschaftsabbrüche seit 1933 unter Strafe (jW berichtete).
    Obwohl auch nicht wenige Sozialdemokratinnen und Sozialdemokraten den umstrittenen Paragraphen gänzlich streichen wollten, hatten sie sich in der vergangenen Woche einmal mehr der Koalitionsdisziplin gebeugt. Dies hatte vor allem bei Linken und Grünen für scharfe Kritik gesorgt.

    Unter Federführung der Liberalen soll nun ein Gutachten erstellt werden, welches die Erfolgschancen für eine Klage auslotet, wie der stellvertretende Vorsitzende der FDP-Bundestagsfraktion, Stephan Thomae, laut Redaktionsnetzwerk Deutschland am Freitag sagte. Das Gutachten solle, Medienberichten zufolge, vom Gießener Rechtswissenschaftler Arthur Kreuzer erstellt werden.

    https://www.jungewelt.de/artikel/350148.schwangerschaftsabbruch-klage-f%C3%BCr-selbstbestimmung.html

    #IVG #droits #femmes #Allemagne

  • BREAKING: 8 young Jews have locked down to the Israeli Consulate in...
    https://diasp.eu/p/6962790

    BREAKING: 8 young Jews have locked down to the Israeli Consulate in Boston. They are protesting the killings in Gaza and Israel’s ongoing deadly Occupation. We say #Dayenu, #EnoughOccupation #NeverAgain.

    RETWEET FROM @pragmactivist

    #boston #breaking #consulate #dayenu #deadly #down #enoughoccupation #gaza #israel #israeli #jews #killings #locked #neveragain #occupation #ongoing #protesting #say #young

  • Dans la #Nièvre, des socialistes se reprennent à y croire avant leur #congrès
    https://www.mediapart.fr/journal/france/150318/dans-la-nievre-des-socialistes-se-reprennent-y-croire-avant-leur-congres

    © CG Dans cette fédération socialiste qui penche traditionnellement à la gauche du #PS, une bonne moitié des militants sont partis ces dernières années. Mais pour ceux qui restent, après la claque de 2017 et le départ des apparatchiks locaux, dont plusieurs ont rejoint LREM, le temps est (peut-être) venu d’un nouveau départ.

    #France #Nevers #parti_socialiste

  • Ces lycéens américains qui défient la NRA, le puissant lobby des armes
    http://abonnes.lemonde.fr/ameriques/article/2018/02/27/ces-lyceens-americains-qui-defient-la-nra-le-puissant-lobby-des-arme

    Des jeunes de 17 ans qui construisent un mouvement social... super !!!

    Unis, meurtris, mais bien décidés à ne pas se taire et à tenter de faire bouger les lignes sur un sujet ô combien sensible. Emma González, David Hogg, Cameron Kasky, Chris Grady, ces quatre jeunes américains, qui ont survécu à la tuerie dans le lycée Marjory Stoneman Douglas, à Parkland, en Floride, le 14 février, sont devenus, depuis quelques jours, les visages du combat contre les armes aux Etats-Unis.

    A la tête du mouvement #NeverAgain (#Plusjamaisça), ils espèrent forcer un changement de loi sur la détention des armes. Ils sont déjà parvenus à maintenir la fusillade – au cours de laquelle quatorze lycéens et trois enseignants du lycée sont morts – à la « une » des médias plus longtemps que pour les autres récents massacres aux Etats-Unis.

    #Armes #Politique_USA #Jeunesse

  • Casse moyenne

    #Villes_moyennes, classes moyennes : il est une #France que l’on ne voit pas. Des coins où l’on ne reste plus. Par manque d’horizon, parce que tout s’y délite.
    Industrie en friche, classes fermées, stores baissés : #Vierzon, #Nevers, #Roanne ont en commun d’avoir perdu plus d’un quart de leur population.
    Ceux qui restent ne sont pourtant pas résignés.
    En cette période électorale, Le Quatre Heures est allé à la rencontre de Rémy, Amanda et Sophie qui luttent, chacun à leur manière, pour ne pas être rayés de la carte.


    https://lequatreheures.com/episodes/casse-moyenne
    #villes #urban_matter

  • Investiture de Donald Trump : l’autre Amérique entre en résistance

    http://www.lemonde.fr/elections-americaines/article/2017/01/17/investiture-de-donald-trump-l-autre-amerique-entre-en-resistance_5064144_829

    Depuis l’élection du 8 novembre, les voix contestataires se multiplient dans le pays et la désobéissance civile s’organise. En particulier en Californie, qui se revendique capitale de la dissidence.

    Ne leur dites pas qu’ils ressemblent au Tea Party. Un Tea Party de gauche, bien sûr, mais même. La comparaison leur paraît de mauvais goût. « On n’est pas dans la négativité », se défend Renee ­McKenna, l’une des centaines de milliers d’anonymes qui s’apprêtent à manifester contre Donald Trump le 21 janvier. Eux se revendiquent de la « résistance ». Le terme est apparu quelques heures après l’élection de Trump. Un hashtag sur Twitter : #Resist. En même temps que #NotMyPresident. Pas mon président. Depuis que les comptes ont été finalisés et que Donald Trump a été déclaré vainqueur alors qu’il avait recueilli 2,864 millions de voix de moins qu’Hillary Clinton, la détermination a redoublé : « pas » est devenu « jamais » : #NeverMyPresident.

    FEMMES, JEUNES, ÉCOLOGISTES, SYNDICALISTES, NOIRS, LATINOS… ILS SONT DES MILLIERS À RÉCUSER PAR AVANCE LE PROGRAMME DU 45E PRÉSIDENT.

    A la veille de l’investiture, ils sont des milliers – femmes, jeunes, écologistes, syndicalistes, Noirs, Latinos – à récuser par avance le programme du 45e président. Décidés à lutter pendant les « 1 461 jours » du mandat de Trump pour « protéger les progrès » accomplis en huit ans. « Je montrerai à Trump le même respect qu’il a montré à Obama », annonce sur son fil Twitter le chanteur Ricky Davila. Pas question de « collaboration » avec « le républicanisme radical » de Trump, proclame le Resistance Party, l’un des groupes qui ont éclos au lendemain du 8 novembre.

    En 2009, dans l’autre camp, il n’avait pas fallu deux mois avant que la contestation ­anti-Obama s’empare de la rue. Le 16 février, les premières manifestations avaient commencé – à Seattle, à Nashville. La base républicaine protestait contre le plan de relance de Barack Obama, qu’elle jugeait intolérablement « socialiste ». Le nom Tea Party était apparu mi-avril, moins de 100 jours après l’investiture d’Obama. Aux élections de ­mi-mandat en 2010, le Tea Party revendiquait 100 candidats au Congrès.

    Voiles noirs et bonnets roses

    Les dirigeants des groupes de pression démocrates espèrent que l’Histoire va se répéter, à leur profit. Ils rêvent d’un « Tea Party bleu ». La gauche n’a pas le choix. A un moment où les républicains contrôlent tous les leviers du pouvoir (la Maison Blanche, les deux chambres, 33 gouvernorats et 69 des 99 assemblées locales), l’opposition devra s’exercer « dans les Etats, les tribunaux et, comme dans les années 1960, dans la rue », anticipe le journaliste du New Yorker Jelani Cobb, dans un article sur « Le retour de la désobéissance civile ».

    A la veille de l’entrée en fonctions du nouvel élu, la « résistance » se signale par des centaines d’initiatives dans tout le pays. Certains appellent à éteindre les télévisions le 20 janvier pour priver Trump de son motif d’autosatisfaction favori : l’audience. D’autres, de voiler de noir les portraits sur les réseaux sociaux, pour créer une « solidarité » entre ceux qui estiment que « la démocratie est en danger ». Des femmes du projet « Pussy Hat » tricotent des bonnets roses pour les marcheuses de la Women’s March du 21 janvier à Washington. Des écologistes prônent un « jour antidéni », contre les climatosceptiques. Les profs s’affichent avec des pancartes visant à rassurer la communauté immigrée : « Mon nom est Montserrat Garibay. Je suis éducatrice et je n’ai pas peur. Je travaille avec et pour des étudiants et des familles sans papiers »…

    Une pétition dans la Silicon Valley

    Pendant les années Obama, le Texas a été le haut lieu de l’opposition au premier président afro-américain. A partir du 20 janvier, la Californie va devenir la capitale de la « résistance » anti-Trump. Hillary Clinton y a remporté 62,3 % des suffrages, le meilleur score en quatre-vingts ans pour un candidat démocrate. Les électeurs ont très mal vécu le fait que plus de 60 millions de leurs compatriotes aient préféré un républicain aussi ­ « rétrograde ». Jusque dans la Silicon Valley : de Tim Cook (Apple) à Marc Benioff (Salesforce), les grands noms du high-tech se sont adressés à leurs employés aussitôt après l’élection pour réaffirmer les « valeurs communes ». Cela ne les a pas empêchés d’aller à la rencontre du président élu le 14 décembre, à la Trump Tower, à New York. Pragmatiques, les patrons savent qu’ils ont beaucoup à gagner des promesses de réduction de l’impôt sur les sociétés. Mais, à la base, une pétition anti-Trump a été lancée : « Nous, ingénieurs, concepteurs, commerciaux… » Quelque 2 840 signataires se proclament solidaires des musulmans américains et s’engagent à ne pas participer à « la collecte de données basée sur les croyances religieuses ».

    San Francisco en a perdu son zen. « La nuit des élections, je me suis réveillée subitement, raconte Kerri, une universitaire. Et ce qui m’est venu à l’esprit, c’est : ça y est. Je vis dans le pays de Trump. » Le lendemain, « j’avais ­besoin d’air. J’ai fait une grande marche. » depuis, Kerri est passée par toutes sortes de phases. Après « le grand choc » est venu le rejet des trumpistes. « Un truc viscéral, décrit-elle. On ne veut plus rien avoir à faire avec ces gens qui ont voté pour un mâle blanc de 70 ans, xénophobe et misogyne. » Elle est maintenant à la phase de mobilisation. Kerri a envoyé un chèque au planning familial, que Trump et les républicains du congrès ont décidé de priver de financements publics. Elle n’est pas la seule. Depuis l’élection, Planned Parenthood a enregistré un record de dons et une augmentation de 900 % des demandes de prescriptions de contraceptifs.

    Solidarité à l’égard des Latinos

    En Californie, le mouvement est parti du plus haut de l’Etat. Dès le 9 novembre, une partie des officiels sont entrés « en résistance ». Les responsables de l’Assemblée et du Sénat locaux, les démocrates Anthony Rendon et Kevin de Leon, ont publié un manifeste, en anglais et en espagnol, pour rassurer tous ceux qui, comme eux, s’étaient « réveillés avec le sentiment d’être étrangers » dans leur propre pays. « Nous nous opposerons à tout effort qui viserait à déchirer notre tissu social ou notre Constitution », ont-ils juré. L’Etat compte 2,3 millions d’immigrants sans papiers et un tiers des 744 000 « dreamers », les jeunes amenés clandestinement aux Etats-Unis par leurs parents et régularisés par décret en 2014. Ceux-là sont bouleversés. Dans toute la Californie, un grand mouvement de solidarité a commencé à l’égard des Latinos. Les villes, les universités, les Eglises se sont déclarées « sanctuaires » : elles empêcheront les reconduites à la frontière. La municipalité de Los Angeles a voté un crédit de 10 millions de dollars pour défendre les immigrants qui seront poursuivis par l’administration Trump.

    « NOUS AVONS LES SCIENTIFIQUES ! NOUS AVONS LES UNIVERSITÉS ! NOUS AVONS LES LABORATOIRES NATIONAUX ! NOUS AVONS LES JURISTES ! NOUS AVONS UNE VRAIE PUISSANCE DE FEU ! », A PRÉVENU JERRY BROWN, GOUVERNEUR DE LA CALIFORNIE.

    Le gouverneur Jerry Brown a de son côté prévenu qu’il ne ferait pas machine arrière sur l’environnement. Il venait de signer, en septembre, la loi sur les émissions la plus contraignante du pays (une réduction obligatoire de 40 % sous le niveau de 1990 d’ici à 2030). Si Donald Trump met à exécution la menace de couper les crédits pour les satellites météo de la NASA, « la Californie lancera elle-même son satellite, a-t-il tonné le 15 décembre. Nous avons les scientifiques ! Nous avons les universités ! Nous avons les laboratoires nationaux ! Nous avons les juristes ! Nous avons une vraie puissance de feu ! ».

    Le gouverneur a nommé un nouvel attorney general (procureur), ­Xavier Becerra, pour défendre les acquis californiens devant les tribunaux. Début janvier, l’Assemblée a de son côté annoncé avoir recruté Eric Holder, l’ex-ministre de la justice de Barack Obama, pour représenter les intérêts de l’Etat à Washington. La Californie « va être le centre de la dissidence et des recours en justice contre Trump », prévoit le journal Sacramento Bee. D’un procès à l’autre, l’Etat devrait réussir à bloquer les assauts éventuels de l’administration républicaine pour quelques années. Mais la tactique est coûteuse : la Californie pourrait y perdre des centaines de millions de dollars de financements fédéraux.

    Déçus par le Parti démocrate, qu’ils jugent déconnecté, les « résistants » en ont assez de donner 3 dollars ici, 5 là, comme gages de soutien à des militants professionnels qui ont perdu la Maison Blanche. « Le Tea Party a installé une majorité républicaine dans 33 Etats en six ans. Nous n’en avons que 4 », alerte le groupe Indivisible, créé par deux anciens aides législatifs, auteurs d’un « guide anti-Trump ». Pour eux, l’ennemi est l’esprit de compromis. Ils ne veulent pas concéder « un pouce » à la nouvelle majorité, comme le jure le groupe Not an Inch. Ce mouvement a lancé une pétition pour exiger des sénateurs démocrates qu’ils refusent de confirmer le juge de la Cour suprême que nommera Trump, en signe de représailles contre l’obstruction des républicains à l’égard du magistrat choisi par Barack Obama. Œil pour œil, dent pour dent, voilà les « résistants ».

  • Malgré un don de 12 millions de dollars, Hillary se dérobe et envoie Bill Clinton au roi du Maroc — RT en français
    https://francais.rt.com/international/28002-wikileaks--mohammed-vi-verse-hillary-clinton-maroc

    Alors que la campagne présidentielle américaine touche à sa fin, un nouveau scandale vient éclabousser la candidate démocrate. Selon les emails publiés par WikiLeaks, la Fondation Clinton a touché 12 millions de dollars de la part du roi du Maroc.

    La Fondation Clinton a recueilli un don de 12 millions de dollars de la part du roi du Maroc, selon une série d’e-mails diffusés le 20 octobre par le site WikiLeaks. D’après le site d’information américain The Daily Caller, Hillary Clinton s’est « arrangée pour obtenir un don de 12 millions de dollars de la part du roi du Maroc Mohammed VI » afin de financer son ONG, la Fondation Clinton. La même source affirme que la candidate démocrate a accepté d’organiser au Maroc l’édition 2015 de la Clinton Global Initiative (CGI), l’événement annuel de la fondation qui porte son nom.

    @realDonaldTrump $12 Million from Morocco ! #ClintonFoundation#PayToPlay#DrainTheSwamp#TrumpBookReports#NeverHillary ! pic.twitter.com/xPIj0PGkjK— vande_mataram (@Vande_Mataram) 21 octobre 2016
    Selon la chaîne américaine Fox News, les emails rendus publics ont été échangés entre Huma Abedin, Robby Mook et John Podesta, tous trois chargés de la campagne électorale de la candidate à la présidence américaine. Dans un email daté du 18 janvier 2015, Human Abedin écrivait à Robby Mook et John Podesta, « la condition à laquelle les Marocains ont accepté de recevoir la conférence était sa participation. Si Hillary Clinton n’en faisait pas partie, la rencontre n’allait pas avoir lieu ». Elle précise ensuite : « C’était l’idée de Hillary, notre bureau a contacté les Marocains et ils croient à 100% qu’ils font cela à sa demande. Le Roi a lui-même attribué environ 12 millions de dollars à la fois comme don et pour soutenir la rencontre. »

    En dépit de cet accord, Hillary Clinton a finalement décidé de ne pas se rendre à Marrakech. A sa place, l’ancien président Bill Clinton a ouvert la conférence au Maroc. Pourtant, selon Huma Abedin, l’absence d’Hillary Clinton allait « faire beaucoup de dégâts ».

    Ainsi, selon le quotidien marocain Telquel, parmi les donateurs ayant offert entre 500 000 et un million de dollars à l’ONG américaine figure le groupe Akwa, dirigé par le ministre de l’Agriculture Aziz Akhannouch. Des dons destinés « exclusivement aux activités de la CGI comme les adhésions, le parrainage et les frais de conférence », indique le site de la Fondation Clinton. Les antennes marocaines des banques BMCE et Crédit Agricole ont, elles aussi, contribué au financement de l’ONG avec des dons estimés entre 250 000 et 500 000 dollars. Attijariwafa Bank et la Banque centrale populaire ont, elles, donné entre 100 001 dollars et 250 000 dollars à cette même fondation.

    BOMBSHELL Report : Hillary Caught in $12 Million Quid Pro Quo With King Mohammed VI of Morocco https://t.co/KEPVblo6zI via @thepolitistick— Mike Cornwell (@mac2u) 21 octobre 2016
    Hillary Clinton sur la sellette
    Lire aussi
    Les soutiens de la Fondation Clinton auraient bénéficié des faveurs de la secrétaire d’Etat
    Suite aux révélations de WikiLeaks, Donald Trump a déclaré lors d’une intervention, « nous venons juste d’apprendre qu’Hillary Clinton a essayé de prendre 12 millions de dollars au roi du Maroc pour une apparition ». Le candidat républicain a également utilisé l’expression « more pay for play », qui désigne les situations durant lesquelles de l’argent est échangé contre des services. A plusieurs reprises, ce dernier a demandé la fermeture de la Fondation Clinton, remettant en cause les liens troubles qu’elle entretient avec certains pays « donateurs ». Selon ABC News, lorsque la candidate était secrétaire d’Etat, des sponsors de la Fondation Clinton auraient profité de sa position privilégiée. Les courriers dévoilés par WikiLeaks montrent qu’Hillary Clinton avait donné pour instruction de faire preuve d’une attention spéciale à l’égard des sponsors de la fondation ou de les aider dans l’organisation de rencontres. 

    International

  • USA :..Hillary veut dissoudre les frontières dans les 100e jours si elle est élue
    http://www.brujitafr.fr/2016/07/usa-hillary-veut-dissoudre-les-frontieres-dans-les-100e-jours-si-elle-est-

    (= vers l’Union Nord Américaine) Professional Republicans in the #NeverTrump movement continue to oppose the presumptive nominee selected by the GOP electorate and are now floating strategies to throw the election to Hillary Clinton. However, an examination...

  • Opération « Dégooglisons » à #Nevers les 24/25/26 juin

    Mi-avril, les services de la ville de Nevers, dans le cadre de leur Année du Numérique, ont pris contact avec nous pour nous proposer d’animer, avec Nevers Libre (le tout récent GULL local) un événement d’envergure autour de la thématique de la décentralisation d’internet. On y parlera donc essentiellement de la concentration des pouvoirs des #GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft), mais aussi auto-hébergement, biens communs, et bien évidemment logiciels libres !

    #framablog #framasoft #Libre #free #ateliers #barcamp #conferences #degooglisons #evenements #rezotic

    Originally posted at : http://framablog.org/2016/06/13/operation-degooglisons-a-nevers-24-25-26-juin

  • Bataille de l’air entre un village bourguignon et une multinationale (La Cité)
    http://www.wereport.fr/articles/bataille-de-lair-entre-un-village-bourguignon-et-une-multinationale-la-cite

    Un collectif de citoyens se bat depuis des mois contre #harsco Minerals France, dont l’activité industrielle dégage des #poussières chargées de métaux lourds. Grâce à une collecte de fonds sur internet, Stop #pollutions attaque en justice cette filiale d’un groupe basé en #pennsylvanie. Une class action à la française. Un sujet de Daphné Gastaldi. Photos :...

    #Articles #Economie #Société #acierie #aperam #bourgogne #laitier #loire #natura_2000 #nevers #nievre #thyroide

  • Des citoyens défient la multinationale #harsco_minerals
    http://www.wereport.fr/societe/des-citoyens-defient-la-multinationale-harsco-minerals

    Depuis 2009, la multinationale Harsco Minerals France recycle le #crassier sidérurgique de Sauvigny-les-Bois (Bourgogne), pour en extraire des métaux onéreux. Mais cette activité génère des nuages de poussières sur la commune limitrophe d’Imphy. Inquiets pour leur santé, les riverains comptent lancer une procédure, avec un ténor du barreau de Paris. Un sujet de Daphné Gastaldi...

    #Société #bourgogne #chrome #citizencase #imphy #laitier #nevers #nievre #pollution #sidérurgie

  • « Ne menacez jamais un Iranien ! » | Nucléaire iranien
    Publié le 08 juillet 2015
    http://www.lapresse.ca/international/dossiers/nucleaire-iranien/201507/08/01-4884050-ne-menacez-jamais-un-iranien.php

    (...) À une réunion plénière lundi au palais Coburg, qui abrite depuis 12 jours les négociations, la haute représentante de la diplomatie européenne Federica Mogherini laisse échapper : « Si c’est comme ça, on va tous rentrer à la maison. »

    Son homologue iranien, Mohammad Javad Zarif, un diplomate expérimenté et d’ordinaire toujours souriant, réplique : « Ne menacez jamais un Iranien ! ». Et le Russe Sergueï Lavrov d’ajouter : « Ni un Russe ! », selon le récit fait par plusieurs médias iraniens, dont l’agence officielle de presse Irna.

    L’altercation est survenue à un moment où les grandes puissances et l’Iran, qui tentent depuis plus de 20 mois de régler ce dossier qui empoisonne les relations internationales depuis une décennie, abordaient un des points sensibles de la négociation : l’embargo onusien sur les armes qui frappe l’Iran depuis 2010.

    Opposées à une levée de cet embargo, les grandes puissances ont évoqué le rôle potentiellement déstabilisateur de l’Iran au Proche et Moyen-Orient. M. Zarif, 55 ans, se serait alors mis en colère, lançant en substance à ses homologues : « Je devrais tous vous traîner devant une cour internationale pour votre soutien à Saddam Hussein », pendant le conflit irako-iranien dans les années 1980.

    L’incident n’a pas été officiellement confirmé. Mais un haut responsable occidental a reconnu « un échange de vues très animé », des termes correspondant à un coefficient élevé d’altercation sur l’échelle de Richter du langage diplomatique.
    (...)
    Une porte-parole de Mme Mogherini a d’ailleurs tweeté mercredi que les relations entre les parties réunies à Vienne étaient « fondées sur l’ouverture, la franchise et le respect mutuel ». M. Zarif a de son côté souligné le rôle « positif et constructif » de Mme Mogherini, et le « respect mutuel » qui gouvernait leur relation.

    oui mais quand même, la baronne...

  • Last minute / Les copains de Sherpa ont besoin de nos sous pour envoyer des enquêteurs faire toute la lumière sur la responsabilité (niée) d’Auchan dans l’effondrement du Rana Paza (1138 victimes) et nourrir la plainte déposée au Parquet de Lille.
    http://citizencase.org/projet/rana-plaza
    #neverforgetranaplaza
    Au passage, la nouvelle plateforme Citizencase.org pour financer les attaques juridiques de la société civile VS les multinationales dans les dommages sociaux et environnementaux.
    #multinationales

  • Municipales à #Nevers : la candidate FN, #Séverine_Amelot, le drapeau nazi et les SS
    http://lahorde.samizdat.net/2014/03/07/municipales-a-nevers-la-candidate-fn-severine-amelot-le-drapeau-na

    Municipales à Nevers : la candidate FN, le drapeau nazi et les SS Une colistière du prétendant #Front_National à la mairie de Nevers affiche photos, commentaires et messages au goût douteux sur Facebook. Mauvaise nouvelle : #Christophe_Gaillard va pourtant devoir mener campagne avec elle. Exclusif] Coup dur pour le Front national à Nevers. La liste [&hellip

    #Extrême_droite_institutionnelle #nazis #nazisme