#narendra_modi

  • L’Inde, pays privé de papier monnaie
    https://www.mediapart.fr/journal/international/141116/linde-pays-prive-de-papier-monnaie

    File d’attente dans une banque de Colaba, à Bombay, vendredi 11 novembre 2016 © GD En décidant de démonétiser les principaux billets de banque en circulation, le 8 novembre, le gouvernement Modi a paralysé l’économie. Il prétend faire la guerre à la #Corruption, mais la précarité des banques et certains calculs politiques pourraient aussi expliquer sa décision.

    #International #Asie #Inde #Narendra_Modi

  • Pakistan, Chine, Moyen-Orient : l’Inde opère un tournant diplomatique
    https://www.mediapart.fr/journal/international/200916/pakistan-chine-moyen-orient-l-inde-opere-un-tournant-diplomatique

    L’attaque terroriste contre une base de l’armée indienne au Cachemire, dimanche 18 septembre, pousse le premier ministre indien, #Narendra_Modi, arrivé à mi-mandat, à clarifier sa politique étrangère : resserrer les liens avec les voisins immédiats et hausser le ton à l’égard des ennemis de toujours.

    #International #Asie #diplomatie #Inde

  • Entre censure et autocensure, les artistes indiens sont à la peine
    https://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/080716/entre-censure-et-autocensure-les-artistes-indiens-sont-la-peine

    Une affiche du film « Udta Punjab », menacé de censure. © Balaji Motion Pictures La tentative de censure d’un film dénonçant le trafic de drogue au Pendjab, mi-juin, a relancé le débat sur la #Liberté_d'expression dans le sous-continent. Cinéastes, photographes, peintres… Sous la pression des fondamentalistes hindous, les artistes refrènent leur expression politique.

    #Culture-Idées #Asie #Cinéma #Inde #Narendra_Modi

  • Entre censure et auto-censure, les artistes indiens sont à la peine
    https://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/080716/entre-censure-et-auto-censure-les-artistes-indiens-sont-la-peine

    Une affiche du film « Udta Punjab », menacé de censure. © Balaji Motion Pictures La tentative de censure d’un film dénonçant le trafic de drogue au Pendjab, mi-juin, a relancé le débat sur la #Liberté_d'expression dans le sous-continent. Cinéastes, photographes, peintres… Sous la pression des fondamentalistes hindous, les artistes refrènent leur expression politique.

    #Culture-Idées #Asie #Cinéma #Inde #Narendra_Modi

  • En #Inde, les juges se sentent pousser des ailes
    https://www.mediapart.fr/journal/international/110616/en-inde-les-juges-se-sentent-pousser-des-ailes

    Du championnat de cricket au transport aérien, en passant par la téléphonie mobile et l’usage du préservatif, le pouvoir judiciaire indien intervient dans tous les domaines. Au point de mettre en colère le gouvernement Modi, qui dénonce un déni de démocratie.

    #International #Asie #Justice #Narendra_Modi

  • Le projet d’Areva de construire six réacteurs EPR en #Inde bat de l’aile
    https://www.mediapart.fr/journal/international/190516/le-projet-d-areva-de-construire-six-reacteurs-epr-en-inde-bat-de-l-aile

    En échange de son aide pour obtenir un improbable siège permanent au conseil de sécurité des Nations unies, Delhi avait promis à Nicolas Sarkozy d’acheter six réacteurs EPR pour construire, près de Bombay, la plus grande centrale nucléaire du monde. Sur place, des experts de renom demandent au premier ministre, #Narendra_Modi, d’abandonner le projet.

    #International #accord_nucléaire #Areva #Asie

  • Les Panama Papers font tanguer le premier ministre pakistanais
    https://www.mediapart.fr/journal/international/060416/les-panama-papers-font-tanguer-le-premier-ministre-pakistanais

    Trois enfants du premier ministre pakistanais #Nawaz_Sharif apparaissent dans les Panama Papers en tant que propriétaires de sociétés domiciliées aux îles Vierges britanniques. Mouillée elle aussi dans le scandale, l’opposition incarnée par la famille Bhutto appelle à sa démission.

    #International #Asie #Inde #Narendra_Modi #Pakistan

  • Qui refuse la paix entre l’Inde et le #Pakistan ?
    https://www.mediapart.fr/journal/international/180116/qui-refuse-la-paix-entre-l-inde-et-le-pakistan

    Les attaques terroristes contre une base militaire indienne proche de la frontière pakistanaise et contre un consulat indien en #Afghanistan marquent le grand retour de l’organisation islamiste armée Jaish-e-Mohammed sur la scène régionale. Au moment précis où les premiers ministres indien et pakistanais semblent enfin disposés à parler de l’avenir du Cachemire.

    #International #Asie #Inde #Narendra_Modi #Nawaz_Sharif #terrorisme

  • Ce qui attire Modi vers la Chine
    Par MK Bhadrakumar. Publié le 16 septembre 2014 dans Asia Times Online : What draws Modi to China (traduction JFG-QuestionsCritiques).
    http://blogs.mediapart.fr/blog/jean-francois-goulon/170914/ce-qui-attire-modi-vers-la-chine

    (...) Le milieu social non-élitiste de Modi, son intime familiarité avec l’horreur et l’humiliation de la pauvreté et de l’ignorance, sa connaissance intuitive du peuple indien et, par-dessus tout, son sens affûté du destin (« Dieu a choisi certaines personnes pour faire le travail difficile. Je pense que dieu m’a choisi pour accomplir ce travail ») – tout ceci entre en jeu ici, le plaçant à part par rapport à ses prédécesseurs de l’élite dirigeante indienne.

    Ce n’est absolument pas un hasard s’il a souligné la dignité humaine comme vecteur de développement dans son fameux discours du 15 août dernier à New Delhi, célébrant l’Indépendance.

    Il ne faut pas non plus oublier qu’il insiste sur le fait d’attirer autant d’investissement étranger que possible pour des projets qui peuvent créer des emplois sur une grande échelle, tandis qu’il a ignoré de façon explicite le projet WalMart en tant que projet pilote de l’Inde pour attirer les investissements étrangers.

    L’une des premières décisions de politique étrangère prises par Modi – prise, faut-il le noter, peu après son retour du sommet des BRICS, qui s’est tenu en juillet au Brésil – a été de tracer une « ligne rouge » sur la façon dont l’Inde agirait pour contenir la poussée désespérée et fracassante de l’Ouest en vue d’un nouveau régime de l’OMC.

    Jusqu’à maintenant, Modi s’est agrippé fermement à la ligne selon laquelle l’Inde ne peut participer à un régime commercial qui ne protège pas de façon appropriée la sécurité alimentaire de l’Inde. Le fait est que la vie de plusieurs centaines de millions d’Indiens est suspendue à ce fil ténu de subventions du gouvernement pour la répartition alimentaire.

    Les Américains ont été stupéfiés, car il était censé être la coqueluche des multinationales et de la grande industrie et non un dirigeant « populiste » se préoccupant des masses. Mais Modi est resté inflexible.

    La violence s’est faite jour dans les attaques virulentes depuis lors contre Modi dans les médias occidentaux. Le Financial Times a écrit le week-end dernier que la « lune de miel » entre les multinationales et Modi est terminée.

    En somme, à ce stade, Modi considère ses partenaires asiatiques comme des interlocuteurs beaucoup plus importants pour satisfaire les besoins de l’Inde. Modi pense ce qu’il a dit récemment à Tokyo, « si le 21ème siècle est un siècle asiatique, alors la future direction que prendra l’Asie façonnera l’avenir du monde »

    (...)

    A n’en pas douter, la conviction de l’Inde qu’elle a un rôle déterminant à jouer dans cette région ne fera l’objet d’aucun marchandage.

    Toutefois, le résultat est que ces modèles de politique étrangère pourraient devenir vraiment pertinents seulement si le pays parvient à se débarrasser du fléau de la pauvreté. L’influence de l’Inde dans cette région et sa réputation en tant qu’acteur mondial dépendrait en fin de compte de sa solidité nationale globale et de l’exemple qu’elle donnerait en tant que puissance émergente attachée à la paix en créant une société juste.

    Donc, à travers un couloir de temps couvrant une ou deux décennies au plus, le programme de développement devrait être d’obtenir une prééminence incontestée. C’est là où Modi à une vision à long terme dans la réorientation de la politique étrangère indienne.

    Subsiste une grande question : laissera-t-on Modi poursuivre sa feuille de route pour l’Inde ? L’histoire du monde moderne est remplie d’exemples, s’il en fallait, de capitalisme prédateur par l’interférence du monde occidental afin de contraindre les pays en développement qui montrent des signes de déviance à corriger leur cap.

    L’Inde, une fois encore, est un très gros poisson et l’on peut difficilement la laisser suivre son propre chemin.

    #chine #Etats-unis #Japon #Narendra_Modi
    #Xi_Jinping

    • Modi says sky’s the limit with Xi
      By M K Bhadrakumar – September 17, 2014

      The transcript of Modi’s media interaction shows three things. First, Modi visualizes the development of India-China relationship as far beyond a bilateral partnership. He wishes it to develop as a major factor in regional and world politics and the emerging world order, augmenting the capacity of the two Asian powers to influence the international system in a profound fashion.
      Second, Modi underscored the urgency and desirability of a border settlement as an imperative need for realizing the optimal potential of the relationship. Third, no doubt, Modi intends to provide an enabling environment in India for Chinese investments.
      Modi came tantalizingly close to expressing India’s willingness to participate in China’s Maritime Silk Road project. Notably, he kept harping on people-to-people relations. Is Home Minister Rajnath Singh listening?
      Indeed, a liberalization of the visa regime by India for Chinese citizens is overdue. Times have changed and it’s silly to look for Chinese spies under every bush.
      Ironically, the ruling party’s senior leaders keep visiting China with such abandon. The BJP-RSS leader Ram Madhav has just been to China on yet another visit. Surprisingly, the Chinese invited Madhav who has a reputation for being a trenchant critic of China and its policies and calls for eternal vigilance over China casting an evil eye at Bharat.
      Yet if the Chinese can show such self-confidence and maturity and large-heartedness, surely, the Indian security establishment too needs to grow up — and grow up fast.
      Modi spoke at length and in a personal way regarding the civilizational bonds of Buddhism. This will become important if the two countries were ever to recapture the flavor of a forgotten memory of what their relationship would have been. From the minutiae that Modi narrated, he has delved deep into the cultural history that binds India and China.
      What struck me, finally, is how little we know our prime minister himself. This was a new face of Modi altogether when he disclosed that he and the ancient Chinese traveller Zuanzang used to live in the same village in Mehsana district in western Gujarat. Did you know it? I didn’t.

  • Modi conduit l’Inde sur la Route de la Soie
    Par M. K. Bhadrakumar, rediffNEWS, le 08 août 2014 Traduction [JFG-QuestionsCritiques]
    http://questionscritiques.free.fr/edito/AsiaTimesOnline/M_K_Bhadrakumar/Inde_Modi_Route_de_la_Soie_Chine_Etats-Unis_Russie_070814.ht

    A première vue, la Chine a été jusqu’à présent réticente à l’admission de l’Inde en tant que membre à part entière de l’Organisation de la Coopération de Shanghai (OCS) [=Chine, Russie, Kazakhstan, Ouzbékistan, Kirghizistan et Tadjikistan].

    Selon les dernières informations, Pékin aurait revu sa position de fond en comble.

    Lors de la réunion des ministres des Affaires étrangères de l’OCS, jeudi dernier à Douchanbe, au Tadjikistan, il a été décidé que le groupe invitera officiellement l’Inde, le Pakistan, l’Iran et la Mongolie, en tant que membres, lors du prochain sommet de l’OCS en septembre prochain.

    On peut être sûr que la Russie s’en réjouira. Un expert à Moscou a rapidement estimé que l’admission de l’Inde dans l’OCS ouvrira la voie au groupe pour qu’il tienne bon en tant que « centre de pouvoir de la politique mondiale ».

    Ne vous y trompez pas, ces plaques tectoniques de la géopolitique d’un pan immense de la planète, s’étendant de l’Asie-Pacifique à l’Asie occidentale, se déplacent de façon spectaculaire, et ce crissement dans les steppes d’Asie Centrale se fera entendre très fort dans le lointain - jusqu’en Amérique du Nord.

    Une grande question reste en suspens : Qu’est-ce qui a poussé la Chine à revoir sa position ?

    Nous savons que lors de la rencontre d’une heure et demie entre le Premier ministre (indien) Narendra Modi et le Président chinois Xi Jinping, à Fortaleza au Brésil, en marge du récent sommet des BRICS, la question du rôle de l’Inde dans l’OCS a été abordée.

    Plusieurs raisons pourraient être attribuées à la « nouvelle réflexion » de Pékin. Avant tout, la Chine a peut-être le sentiment que sous la direction de Modi, l’Inde est prête à poursuivre une politique étrangère véritablement indépendante.

    L’idée d’une « politique étrangère indépendante » a été un cliché dans le discours indien, que les gouvernements successifs ont fait circuler de façon cavalière.

    Mais la vérité crue est que depuis que l’Inde s’est embarquée dans des réformes économiques, il y a une vingtaine d’années, le monde occidental industrialisé - les Etats-Unis en particulier - s’est arrogé la situation centrale dans le calcul indien.
    (...)

    John Kerry à gauche sur la photo, en compagnie du Premier ministre Modi et de sa ministre des Affaires Sushma Swaraj
    (...)
    L’adhésion de l’Inde à l’OCS avance à grand pas avant la toute première rencontre entre Modi et Obama [en septembre prochain]. Le point important est que l’OCS prend également une décision calculée d’inviter l’Inde à devenir membre à part entière.

    La toile de fond de cette décision de l’OCS est extrêmement pertinente. Les Etats-Unis poursuivent une double politique d’endiguement vis-à-vis de la Russie et de la Chine, les deux principaux acteurs de l’OCS. Les Etats-Unis, d’un autre côté, ont courtisé assidûment l’Inde en tant qu’alliée stratégique.

    Du point de vue des Américains, l’adhésion de l’Inde à l’OCS impactera inévitablement la trajectoire future du partenariat stratégique indo-américain, alors même que l’Inde sera indisponible comme « contrepoids » contre la Chine ou comme complice pour « isoler » la Russie.

    L’inde étant une puissance majeure en Asie, sa politique de « non-alignement » fait grincer la stratégie de rééquilibrage des Etats-Unis.

    Sur un plan plus fondamental, il faut comprendre que si l’OCS a souvent été appelée « l’Otan de l’Est », ce n’est pas sans raison - bien que ce regroupement soit loin d’être une alliance militaire au sens classique du terme.

    L’OCS a refusé le vide de sécurité apparaissant en Asie Centrale, que l’OTAN a peut-être saisi comme alibi pour y mettre les pieds. Formulé différemment, tant que l’OCS est là, l’expansion de l’OTAN vers l’Est au-delà du Caucase reste bloquée.

    En attendant, il faut aussi prendre en compte que l’OCS et l’Organisation du Traité de Sécurité Collective (OTSC) travaillent main dans la main sur la sécurité régionale.

    Ces deux organisations défient la stratégie des Etats-Unis de projeter l’Otan comme une organisation mondiale de sécurité.

    L’admission de l’Inde, du Pakistan, de l’Iran et de la Mongolie constitue un revers majeur pour les stratégies des Etats-Unis dans cette région.

    Pour une bonne raison, une OCS élargie apporte une « profondeur stratégique » à la Russie. Les sanctions des Etats-Unis et de l’Union européenne contre la Russie seront rendues encore plus impuissantes.

    L’OCS affaiblit l’emprise américaine dans les négociations sur l’Iran, alors que le régime de sanctions destiné à isoler l’Iran devient non viable.

    Elle paralyse la stratégie américaine de « pivot » en Asie et réduit la capacité des USA à dicter ses conditions à l’Afghanistan (ou au Pakistan).

    En termes stratégiques, la réalité frappante est que d’ici la fin de l’année, l’OCS comptera parmi ses membres quatre puissances nucléaires plus une « puissance au seuil du nucléaire ».

    En termes géopolitiques, l’OCS sortira d’Asie Centrale et ira tremper ses orteils dans l’Océan Indien et le Golfe Persique.(...)

    #OCS #Narendra_Modi #Inde #non-alignement #multipolarité

  • #India’s ‘Africa’ policy
    http://africasacountry.com/indias-africa-policy

    In a speech last October, #Narendra_Modi argued, “I believe a strong economy is the driver of an effective foreign policy…we have to put our own house in order so that the world is attracted to us.” The need for a robust economy is paramount for Modi’s India. The economy will drive Modi’s government in […]

    #General #OPINION #POLITICS #Africa #BJP

  • Modi’s New #India
    http://africasacountry.com/modis-new-india

    In what has been called a historic #General election, India elected Narendra Damodardas Modi of the Bharatiya Janata Party (BJP) to the highest echelons of power — the Office of the Prime Minister. Modi was elected by a nation of “aspirational Indians”. His victory is theirs. As he took oath as the country’s fifteenth Prime […]

    #Narendra_Modi