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  • @lyco
    Lyco @lyco 27/04/2025

    NASA Cancels #Columbia University Lease for Climate Science Unit | Bloomberg
    ▻https://archive.ph/CQeni

    The Goddard Institute for Space Studies is recognized as a globally important hub for climate science, maintaining one of the five independent global temperature records. The agency must move out of the building by May 31.

    #NASA leadership told #GISS staff that it will conduct its work virtually.

    Le GISS a été dirigé par James Hansen de 1981 à 2013. Ses simulations #climatiques ont été utilisées pour le rapport Charney de 1979 et tous les rapports du GIEC. Ses données globales sur la température de surface depuis la fin du 19e sont également essentielles.

    Lyco @lyco
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  • @ant1
    ant1 @ant1 CC BY-NC 11/03/2025
    10
    @colporteur
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    @marcimat
    10

    La #NASA licencie la chercheuse sur le climat #Katherine_Calvin, #scientifique en chef de l’#agence
    ▻https://www.lemonde.fr/planete/article/2025/03/11/la-nasa-licencie-sa-scientifique-en-chef-une-chercheuse-sur-le-climat_657915

    La NASA licencie la chercheuse sur le climat Katherine Calvin, scientifique en chef de l’agence

    Katherine Calvin avait été nommée à ce poste en 2022 pour conseiller la direction de la NASA sur les programmes scientifiques et les investissements liés à la science. En tout, une vingtaine de postes sont concernés dans l’agence spatiale américaine.

    Par Audrey Garric

    L’assaut contre la #science se poursuit aux Etats-Unis. La NASA, l’agence spatiale américaine, a annoncé, mardi 10 mars, qu’elle allait fermer le Bureau de sa scientifique en chef, Katherine Calvin, ainsi que le Bureau de la technologie, de la politique et de la stratégie et la branche sur les politiques de diversité, équité et inclusion au sein du Bureau de la diversité. En tout, une vingtaine de personnes sont concernées.

    Katherine Calvin, une brillante scientifique d’une quarantaine d’années, avait été nommée à son poste en 2022 par l’ancien président Joe Biden pour conseiller la direction de la NASA sur les programmes scientifiques et les investissements liés à la science. Elle a également été conseillère principale de l’agence sur le climat. Cette chercheuse spécialisée dans l’utilisation humaine des ressources mondiales (terres, eau, énergie, etc.) est également coprésidente du groupe 3 du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), consacré aux solutions de réduction des émissions de gaz à effet de serre.

    Fin février, elle s’était vue interdire par l’administration républicaine de participer à la dernière session plénière de l’institution onusienne en Chine. La NASA a aussi démantelé l’équipe technique qui l’aidait à animer le groupe 3, ce qui compromet l’élaboration du prochain rapport du GIEC sur la limitation des rejets carbonés. Katherine Calvin participe toutefois depuis lundi, en distanciel, à la première réunion des auteurs principaux d’un autre rapport spécial du GIEC qui sera consacré aux villes.
    Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Aux Etats-Unis, l’administration Trump mène un « sabotage » en règle des sciences du climat
    Directives du DOGE

    Le Bureau du scientifique en chef de la NASA existe depuis 1982, précise le New York Times. Le Bureau de la technologie, de la politique et de la stratégie a, quant à lui, été créé en 2021 afin de fournir des analyses rapides sur des sujets transversaux, comme la mise en place d’une gouvernance mondiale autour des futures activités sur la Lune.

    Ces décisions sont une application des directives du département de l’efficacité gouvernementale (DOGE) d’Elon Musk qui procède à des coupes drastiques dans les agences fédérales américaines. Ce dernier est par ailleurs impliqué dans le business aérospatial à travers sa société SpaceX. « Nous avons commencé à mettre en œuvre une réduction progressive des effectifs, indique l’administratrice Janet Petro dans un mémo aux salariés. Même si cela implique des ajustements difficiles, nous considérons que c’est l’occasion de remodeler notre personnel (…) tout en fournissant aux citoyens américains une agence efficace. »
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    Ces #licenciements interviennent alors que des rumeurs circulent autour de velléités de la Maison Blanche de réduire de moitié le budget scientifique de la NASA. Une telle baisse, qui devrait être validée au Congrès, n’entraînerait rien d’autre, selon l’ONG The Planetary Society, qu’une « extinction de la science et de l’exploration spatiales aux Etats-Unis ».
    « Chasse aux sorcières »

    « Le rôle de la NASA dans la surveillance de la Terre est primordial », prévient de son côté la paléoclimatologue Valérie Masson-Delmotte, ancienne coprésidente du groupe 1 du GIEC, qui se dit « touchée » par le « traitement humiliant et brutal » réservé aux chercheurs américains. Elle craint que la poursuite de la coopération scientifique internationale et le partage de données autour de l’atmosphère et de l’océan en soient affectés, notamment si l’agence est réorientée vers l’exploration de Mars au détriment des sciences de la Terre. La climatologue redoute également que cette « chasse aux sorcières » touche le Goddard Institute for Space Studies de la NASA, l’un des plus anciens et des plus grands laboratoires du monde en sciences du climat.
    Lire aussi la chronique | Article réservé à nos abonnés « Donald Trump et Elon Musk plongent la science américaine dans un indescriptible chaos »

    Un scientifique américain de la NASA dans le domaine de l’astrophysique vient de candidater au programme « Safe Place for Science » mis en place par Aix-Marseille Université le 6 mars pour accueillir des chercheurs empêchés de travailler aux Etats-Unis. « Il ne souhaite pas que son nom soit mentionné par peur des représailles », précise le président de l’université, Eric Berton. L’établissement, qui a déjà reçu 45 candidatures de scientifiques travaillant aux Etats-Unis, projette d’accueillir une quinzaine de chercheurs grâce à un budget de 10 à 15 millions d’euros sur trois ans.

    Audrey Garric

    ant1 @ant1 CC BY-NC
    • @ant1
      ant1 @ant1 CC BY-NC 11/03/2025

      une collègue m’en parlait à la manif de vendredi disant : « elle répond plus au mails de soutien (sur mail perso), c pas son genre, elle a peur pour elle », bah elle avait raison... merde !

      ant1 @ant1 CC BY-NC
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  • @lyco
    Lyco @lyco 26/02/2025
    1
    @ericw
    1

    NASA cuts off international climate science support
    ▻https://www.science.org/content/article/nasa-cuts-international-climate-science-support

    The world’s nations convened this week in Hangzhou, China, to plan the next major international assessment of climate science—but without the United States. Late last week, President Donald Trump’s administration denied officials permission to travel to the meeting and cut off a technical support contract for the report, the seventh assessment of the United Nations’s Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC). The decision, first reported by Axios, is the first time the administration has targeted international climate science.

    [...]

    “I’m worried there will be no U.S. presence in the full seventh assessment cycle.”

    #recherche #sciences #climat #GIEC #NASA

    Lyco @lyco
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  • @tout_va_tres
    Tout va trés bien @tout_va_tres 26/09/2024
    5
    @biggrizzly
    @marielle
    @02myseenthis01
    @metroet_
    @bce_106_6
    5

    Tracy C. Dyson de retour sur Terre : Les Russes à la rescousse des astronautes américains lemediaen442

    Quand la NASA réalise qu’elle ne peut pas se passer des Russes ! Après un long séjour dans l’espace, les astronautes américains, dont Tracy C. Dyson, sont rentrés grâce à Roscosmos. Qui aurait cru que la dépendance serait si… galactique ?

    La physicienne et astronaute américaine Tracy C. Dyson a finalement foulé le sol terrestre après une aventure épuisante dans l’espace, à bord d’un vaisseau Soyouz MS25 . Elle a été secourue, tenez-vous bien, par des cosmonautes russes de l’agence Roscosmos, Oleg Kononenko et Nikolaï Chub.
    . . . . .

    https://cdn.lemediaen442.fr/wp-content/uploads/2024/09/25111552/Roscosmos-768x432.jpg

    La suite : ▻https://lemediaen442.fr/tracy-c-dyson-de-retour-sur-terre-les-russes-a-la-rescousse-des-astrona

    #Femme #espace #nasa #space #terre #Russie #usa #astronautes #politique #en_vedette #Roscosmos #sauvetage

    Tout va trés bien @tout_va_tres
    • @tout_va_tres
      Tout va trés bien @tout_va_tres 26/09/2024

      Une bonne nouvelle complètement négligée (censurée) par les courageux journaleux et bloguers de la presse libre française

      Tout va trés bien @tout_va_tres
    • @biggrizzly
      BigGrizzly @biggrizzly CC BY-NC-SA 27/09/2024

      Une astronaute « abandonnée par la Nasa » ramenée par les Russes sur Terre ? Attention à cette rumeur
      ▻https://www.20minutes.fr/monde/4111931-20240925-astronaute-abandonnee-nasa-ramenee-russes-terre-attention

      (...)

      « Après avoir passé 184 jours dans l’espace, [Tracy] Dyson a achevé une mission de recherche de six mois à bord de la Station spatiale internationale le 23 septembre et, comme prévu, est revenue sur Terre à bord d’un Soyouz avec les cosmonautes de Roscosmos Oleg Kononenko et Nikolai Chub », confirme Josh Finch, de la direction des missions d’opérations spatiales de la Nasa, contacté par mail par 20 Minutes.

      (...)

      Il est d’ailleurs possible que la fausse information trouve sa source dans cette actualité, cette fois bien réelle : deux astronautes américains sont en ce moment bloqués dans l’ISS.

      (...)

      Disons les choses autrement :
      – Les américains qui voyagent avec les russes arrivent à bon port
      – Les américains qui voyagent entre eux, ce n’est pas toujours le cas

      BigGrizzly @biggrizzly CC BY-NC-SA
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  • @terrestres
    Terrestres @terrestres via RSS 24/05/2024
    1
    @cdb_77
    1

    Contester l’ordre et l’héritage colonial avec Manuel Quintín Lame
    ►https://www.terrestres.org/2024/05/24/contester-lordre-et-lheritage-colonial-avec-manuel-quintin-lame

    Trente ans après avoir été enterré dans la montagne colombienne, un manuscrit est exhumé et publié en 1971. C’est le testament politique et spirituel d’un acteur central des luttes autochtones d’Amérique latine, Manuel Quintín Lame, décédé quelques années plus tôt. Contre la dépossession foncière, économique et politique, une décolonisation ambitieuse reste à mener. Retour sur un livre, une philosophie et un parcours subversifs. L’article Contester l’ordre et l’héritage colonial avec Manuel Quintín Lame est apparu en premier sur Terrestres.

    #Amérique_Latine #Décolonial #Droits_des_peuples_autochtones #Forêt #Modernité #Savoirs #Stratégie

    Terrestres @terrestres via RSS
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 25/05/2024

      https://www.terrestres.org/wp-content/uploads/2024/05/Foto-Quintin-Lame-1962-4-1484x1536.jpg

      #Colombie #Manuel_Quintín_Lame #peuples_autochtones #Nasas #résistance #dépossession #décolonisation #livre

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 25/05/2024

      Les Pensées de l’Indien qui s’est éduqué dans les forêts colombiennes

      https://wildproject.org/media/pages/livres/les-pensees-de-l-indien-qui-s-est-eduque-dans-les-forets-colombiennes/48ffae7efa-1685459256/lame-1000x800.jpg

      Manuel Quintín Lame (1880–1967) a lutté sa vie entière contre l’accaparement colonial des terres. Son combat a ouvert la voie à la reconnaissance des terres autochtones dans la Constitution colombienne de 1991.
      Dans ce texte profondément « métis », qui relève tout autant de la prophétie biblique, du plaidoyer juridique, du manifeste insurgé, que du traité spirituel nasa, Quintín Lame offre une réflexion sur les conditions de possibilité de la #libération_indienne.
      Car la Conquête n’a pas pris fin avec les indépendances et l’avènement de la République : les savoirs, les institutions et les formes de vie des communautés autochtones ont continué d’être infériorisés, au nom du progrès et de la civilisation.
      Source majeure au sein du vaste mouvement décolonial latino-américain, Les Pensées ne portent pas seulement sur les conditions de vie dans une société marquée par la race ; elles ouvrent à d’autres façons de faire monde.

      Le testament politique et mystique d’un des plus importants leaders autochtones d’Amérique latine.

      ▻https://wildproject.org/livres/les-pensees-de-l-indien-qui-s-est-eduque-dans-les-forets-colombiennes

      #accaparement_des_terres

      CDB_77 @cdb_77
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  • @kassem
    Kassem @kassem CC BY-NC-SA 24/04/2024
    5
    @fitzlombard
    @olaf
    @ericw
    @monolecte
    @colporteur
    5

    Common antibiotic may be helpful in fighting respiratory viral infections | YaleNews
    ▻https://news.yale.edu/2024/04/22/common-antibiotic-may-be-helpful-fighting-respiratory-viral-infections

    https://news.yale.edu/sites/default/files/styles/opengraph_image/public/ynews-575745108.jpg?itok=HAA7vkyX

    A team led by Yale’s Akiko Iwasaki and former Yale researcher Charles Dela Cruz successfully tested the effectiveness of neomycin, a common antibiotic, to prevent or treat respiratory viral infections in animal models when given to the animals via the nose. The team then found that the same nasal approach — this time applying the over-the-counter ointment Neosporin — also triggers a swift immune response by interferon-stimulated genes (ISGs) in the noses of healthy humans.

    The findings were published in the journal Proceedings of the National Academy of Sciences.

    #néomycine #nasal #virus

    Kassem @kassem CC BY-NC-SA
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 1/01/2024
    5
    @cabou
    @sombre
    @kassem
    @olaf
    @nightingale
    5

    #NASA Climate Spiral 1880-Present

    https://pixelfed.zoo-logique.org/storage/m/_v2/578583396227231930/3b17271c9-2ea36d/nUfIvfIdEXYc/JlID9dFIzpbLUNyLafaeVtLmnPW1DvSzNDjPS4bN.jpg

    ▻https://svs.gsfc.nasa.gov/vis/a000000/a005100/a005190/GISTEMP_Spiral_English_degC_2160p60.mp4

    ▻https://svs.gsfc.nasa.gov/5190
    #spirale #climat #histoire #visualisation #graphique #chronologie #changement_climatique #timeline

    CDB_77 @cdb_77
    • @sombre
      Sombre @sombre CC BY-NC-SA 1/01/2024

      The visualization presents monthly global temperature anomalies. This visualization is updated roughly two weeks after the end of each month.

      Temperature anomalies are deviations from a long term global avergage. In this case the period 1951-1980 is used to define the baseline for the anomaly. These temperatures are based on the GISS Surface Temperature Analysis (GISTEMP v4), an estimate of global surface temperature change. The data file used to create this visualization is publically accessible here.

      The term ’climate spiral’ describes an animated radial plot of global temperatures. Climate scientist Ed Hawkins from the National Centre for Atmospheric Science, University of Reading popularized this style of visualization in 2016.

      The Goddard Institute of Space Studies (GISS) is a NASA laboratory managed by the Earth Sciences Division of the agency’s Goddard Space Flight Center in Greenbelt, Maryland. The laboratory is affiliated with Columbia University’s Earth Institute and School of Engineering and Applied Science in New York.

      Sombre @sombre CC BY-NC-SA
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  • @radio
    Radio Panik @radio via RSS 22/05/2023

    [Naar de Maan] Naar De Maan 22052023
    ▻https://www.radiopanik.org/emissions/naar-de-maan/naar-de-maan-22052023

    https://www.radiopanik.org/media/cache/01/e3/01e331ff0d9c72bd6f9bcd523d5745be.jpg

    Emission de / uitzending van 22/05/2023 w/ audio from #nasa's Gemini 10 #mission ▻https://archive.org/details/Gemini10/281711Of18.wav

    Gemini 10 was the eighth crewed Earth-orbiting spacecraft of the Gemini series, carrying astronauts John Young and Michael Collins. Its primary purpose was to conduct rendezvous and docking tests with the Agena target vehicle. The mission plan included a rendezvous with the Gemini 8 Agena target, two extravehicular activity (EVA) excursions, and the performance of 15 scientific, technological, and medical experiments. The scientific experiments were related to (1) zodiacal light, synoptic terrain, and synoptic weather photography, (2) micrometeorite collections, (3) UV astronomical camera, (4) ion wake measurements, and (5) meteoroid erosion.

    Voice (...)

    #space #kosmos #space,kosmos,mission,nasa
    ▻https://www.radiopanik.org/media/sounds/naar-de-maan/naar-de-maan-22052023_15924__1.mp3

    Radio Panik @radio via RSS
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  • @simplicissimus
    Simplicissimus @simplicissimus 2/03/2023
    4
    @vazi
    @fil
    @lyco
    @biggrizzly
    4

    NASA’s DART Data Validates Kinetic Impact as Planetary Defense Method | NASA
    ▻https://www.nasa.gov/feature/nasa-s-dart-data-validates-kinetic-impact-as-planetary-defense-method

    http://www.nasa.gov/sites/default/files/thumbnails/image/pressimage_dracowithspacecraft1_1.jpg

    This image depicts the footprint of the Double Asteroid Redirection Test (DART) spacecraft and its two long solar panels over the spot where it impacted asteroid Dimorphos. The largest boulder near the impact site is about 6.5 meters (21 feet) across. DART took the underlying image three seconds before impact.
    Credits: NASA/Johns Hopkins APL

    Since NASA’s Double Asteroid Redirection Test (DART) successfully impacted its target nearly five months ago, on Sept. 26 — altering the orbit of the asteroid moonlet Dimorphos by 33 minutes — the DART team has been hard at work analyzing the data collected from the world’s first planetary defense test mission.

    The DART mission employed an asteroid-deflection technique known as a “kinetic impactor,” which in simplest terms means smashing a thing into another thing — in this case, a spacecraft into an asteroid. From the data, the DART investigation team, led by the Johns Hopkins Applied Physics Laboratory (APL) in Laurel, Maryland, found that a kinetic impactor mission like DART can be effective in altering the trajectory of an asteroid, a big step toward the goal of preventing future asteroid strikes on Earth. These findings were published in four papers in the journal Nature.

    “I cheered when DART slammed head on into the asteroid for the world’s first planetary defense technology demonstration, and that was just the start,” said Nicola Fox, associate administrator for the Science Mission Directorate at NASA Headquarters in Washington. “These findings add to our fundamental understanding of asteroids and build a foundation for how humanity can defend Earth from a potentially hazardous asteroid by altering its course."

    The first paper reports DART’s successful demonstration of kinetic impactor technology in detail: reconstructing the impact itself, reporting the timeline leading up to impact, specifying in detail the location and nature of the impact site, and recording the size and shape of Dimorphos.

    The authors, led by Terik Daly, Carolyn Ernst, and Olivier Barnouin of APL, note DART’s successful autonomous targeting of a small asteroid, with limited prior observations, is a critical first step on the path to developing kinetic impactor technology as a viable operational capability for planetary defense.

    Their findings show intercepting an asteroid with a diameter of around half a mile, such as Dimorphos, can be achieved without an advance reconnaissance mission, though advance reconnaissance would give valuable information for planning and predicting the outcome. What is necessary is sufficient warning time — several years at a minimum, but preferably decades. “Nevertheless,” the authors state in the paper, DART’s success “builds optimism about humanity’s capacity to protect the Earth from an asteroid threat.”

    The second paper uses two independent approaches based on Earth-based lightcurve and radar observations. The investigation team, led by Cristina Thomas of Northern Arizona University, arrived at two consistent measurements of the period change from the kinetic impact: 33 minutes, plus or minus one minute. This large change indicates the recoil from material excavated from the asteroid and ejected into space by the impact (known as ejecta) contributed significant momentum change to the asteroid, beyond that of the DART spacecraft itself.

    Simplicissimus @simplicissimus
    • @vazi
      vazy @vazi CC BY 2/03/2023

      #billard_sidéral

      vazy @vazi CC BY
    • @fil
      Fil @fil 2/03/2023

      J’avais du mal à comprendre l’intérêt d’une expérience pour démontrer la loi de conservation du mouvement, mais “ejecta (...) contributed significant momentum change”, alors bon pourquoi pas. Pour la prochaine expérience essayons de voir ce que ça donnerait une bombe atomique sur l’Everest ?

      Fil @fil
    • @simplicissimus
      Simplicissimus @simplicissimus 2/03/2023

      J’imagine que l’expérience fournit aussi une estimation (ou une confirmation) du coefficient de restitution (élasticité). Il me semble que c’est un matériau relativement peu dense (2-3 g/cm-3) et à faible cohésion. À voir la trace de l’impact, c’est difficile de l’imaginer faible, de même qu’on ne perçoit pas vraiment de cratère laissé par les éjectas.

      sinon, le billard, il serait plutôt interplanétaire …

      Simplicissimus @simplicissimus
    • @fil
      Fil @fil 2/03/2023

      la photo a été prise 3s avant l’impact, il me semble

      Fil @fil
    • @simplicissimus
      Simplicissimus @simplicissimus 2/03/2023

      ah oui ! ça parait logique ; suis-je bête !

      Simplicissimus @simplicissimus
    • @02myseenthis01
      oAnth @02myseenthis01 CC BY 24/09/2024

      Pour protéger l’humanité | La #NASA va tenter de dévier la trajectoire d’un astéroïde | La Presse - 2021-11-27

      via ►https://seenthis.net/messages/938012

      –------------------------------------------

      Hera planetary defence mission : solving asteroid mysteries

      #ESA 2024-09-23

      via ►https://seenthis.net/messages/1072848

      oAnth @02myseenthis01 CC BY
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  • @colporteur
    colporteur @colporteur CC BY-NC-SA 30/12/2022

    Streik in der Stratosphäre* – ak analyse & kritik
    ▻https://www.akweb.de/ausgaben/655/streik-in-der-stratosphaere

    https://www.akweb.de/wp-content/uploads/2019/12/skylab-crew-nasa-fb-1200x630.jpg

    Ground Control to Major- chrrks. So lässt sich der 28. Dezember 1973 aus Sicht der NASA-Zentrale in Houston, Texas, vermutlich ganz gut zusammenfassen. Es war der Tag, an dem die drei Astronauten Gerry Carr, Ed Gibson and William Pogue auf der Raumstation Skylab in fast 450 Kilometern Höhe in den wilden Streik traten. »Auf der Erde würden wir niemals 84 Tage am Stück 16 Stunden am Tag arbeiten, und man sollte nicht erwarten, dass wir es hier im Weltraum tun«, erklärte ein aufgebrachter Jerry Carr, bevor er die Verbindung zur Flugleitung kappte – und die Crew sich einen Tag Auszeit gönnte.
    Die Mission stand schon vor ihrem Beginn unter keinem guten Stern. Beim Start wurde die Station beschädigt, die erste Mission ging für Reparaturen drauf. Auf der dritten und letzten Skylab-Mission, die Mitte November 1973 startete, sollten sämtliche bis dato ausgefallenen Experimente nachgeholt werden. Teilnehmer früherer Missionen hatten gewarnt, dass das Pensum nicht zu schaffen sei, zumal niemand aus der neuen Crew zuvor im All gewesen war. Tatsächlich litt William Pogue am ersten Tag im Orbit unter Übelkeit – die Astronauten einigten sich darauf, dass dies die übliche Weltraumkrankheit sei, die bald vorbei gehen würde, und entschieden, den Vorfall nicht nach Houston zu melden. Doch die Flugleitung am Boden überwachte die Kommunikation im Cockpit und bekam Wind von Pogues Krankheit – aus Sicht der Skylab-Raumfahrer der erste einer Reihe skandalöser Vorgänge.

    Da keinerlei zeitliche Puffer eingeplant waren, hinkte die Crew ihrem eng getakteten Arbeitsplan bald hoffnungslos hinterher; aus Houston kamen derweil Anweisungen im Minutentakt. Kurz nach Weihnachten meldete Carr, der Zeitplan sei nicht einzuhalten, sie bräuchten Ruhezeiten. Als Houston antwortete, die Crew solle weniger schlafen und während der Mahlzeiten weiterarbeiten, stellten Carr, Pogue und Gibson die Kommunikation mit der Erde ein und nahmen sich einfach auf eigene Faust frei.

    Erik Loomis, Professor für Arbeiterbewegungsgeschichte an der University of Rhode Island, weist in seinem Blog »Lawyers, Guns & Money« darauf hin, dass der Streik im All auch von den vielen irdischen Arbeitskämpfen zu Beginn der 1970er Jahre inspiriert war. Dass die Astronauten am Ende Pausen und einen selbstbestimmten Arbeitsrhythmus durchsetzen konnten, sei aber auch ihrer privilegierten Position zu verdanken, in der sie unersetzbar waren. Zumindest für die Zeit ihres Einsatzes, denn die NASA war nachtragend: Obwohl die drei Crewmitglieder unter den gelockerten, quasi postfordistischen Arbeitsbedingungen den Zeitrückstand aufholen und alle Experimente abschließen konnten, wurde keiner von ihnen je wieder ins All geschickt.
    Der Stimmung unter den Astronauten tat der Vorfall keinen Abbruch, im Gegenteil: »Wir kamen gut miteinander zurecht«, erinnert sich der mittlerweile verstorbene William Pogue in seinen 2011 veröffentlichten Memoiren. »Wir hatten ja einen gemeinsamen Feind, der uns zusammenschweißte: die Zentrale in Houston.«

    #1973 #grève #Nasa

    colporteur @colporteur CC BY-NC-SA
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  • @kassem
    Kassem @kassem CC BY-NC-SA 5/11/2022
    2
    @olaf
    @biggrizzly
    2

    Les « super-émetteurs » de #méthane identifiés et localisés par la #NASA
    ▻https://trustmyscience.com/super-emetteurs-methane-cartogrphies-nasa

    https://trustmyscience.com/wp-content/uploads/2022/11/super-emetteurs-methane-cartogrphier-nasa-couv.jpg

    […] la mission Earth Surface Mineral Dust Source Investigation (EMIT) de la NASA, déployée en juillet 2022 depuis la Station spatiale internationale — conçue à l’origine pour aider les scientifiques à comprendre comment la poussière affecte le climat — a identifié les émissions de ce puissant gaz à effet de serre qu’est le méthane.

    […]

    Robert Green, chercheur principal d’EMIT au JPL, conclut : « Alors qu’il continue d’étudier la planète, EMIT observera des endroits dans lesquels personne n’avait pensé à rechercher des émetteurs de gaz à effet de serre auparavant, et il trouvera des panaches auxquels personne ne s’attend ».

    Un nouvel instrument de la NASA détecte les « super-émetteurs » de méthane depuis l’espace
    ▻https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/10/27/un-nouvel-instrument-de-la-nasa-detecte-les-super-emetteurs-de-methane-depui

    https://img.lemde.fr/2022/10/25/0/343/2814/1876/1440/960/60/0/39a27a1_5557347-01-06.jpg

    Ces « super-émetteurs » sont généralement des sites liés aux secteurs des énergies fossiles, du traitement des déchets et de l’agriculture. Le méthane est responsable d’environ 30 % du réchauffement climatique.

    #climat

    Kassem @kassem CC BY-NC-SA
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  • @kassem
    Kassem @kassem CC BY-NC-SA 11/08/2022

    Home – Climate Change: Vital Signs of the Planet
    ▻https://climate.nasa.gov

    https://climate.nasa.gov/rails/active_storage/blobs/eyJfcmFpbHMiOnsibWVzc2FnZSI6IkJBaHBBOHBnQWc9PSIsImV4cCI6bnVsbCwicHVyIjoiYmxvYl9pZCJ9fQ==--2b38a008c3468e7a36dd5a7f54334ed3df219188/Screen%20Shot%202022-08-01%20at%201.21.18%20PM.png

    #climat #interactif #NASA

    Kassem @kassem CC BY-NC-SA
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  • @rastapopoulos
    RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 7/08/2022

    Gerald Joyce, La définition de la vie par la NASA, 2013 – Et vous n’avez encore rien vu…
    ▻https://sniadecki.wordpress.com/2022/08/06/joyce-vie

    La définition de la vie par la NASA et cette interview qui en retrace l’histoire sont symptomatiques de la confusion de la pensée qui se prétend scientifique sur les notions et concepts généraux qui devraient être au fondement de la réflexion sur ce que sont les êtres vivants en tant qu’objets physiques, c’est-à-dire les bases mêmes de la biologie. Nous en proposons une traduction inédite et une analyse critique.

    #vie #êtres_vivants #vivant #NASA #biologie #science #évolution

    RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
    • @hlc
      Articles repérés par Hervé Le Crosnier @hlc CC BY 8/08/2022

      Etranges réflexions de ce commentateur : il confond la définition (qui est effectivement de l’ordre de l’information) avec l’objet défini.
      Il confond également la vie collective et l’existence d’un élément minimal de représentation de la vie... donc la vie sur Terre (sa construction spécifique sur les millions d’années) et la définition d’une vie abstraite qui peut servir à définir d’autres formes de vie, ce qui était l’objectif de cette définition de Gerald Joyce et la Nasa.
      Le tout au nom d’une critique de la science... pas mal quand on confond « la carte et le territoire » :-)

      Articles repérés par Hervé Le Crosnier @hlc CC BY
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  • @yohooo
    yohooo @yohooo CC BY-ND 27/07/2022

    Pas mal, cette carte des #incendies en temps réel de la #nasa qui se révèle être un outil assez polyvalent. Elle permet de suivre :
    – L’évolution des grands incendies (comme cette nuit à #Gignac)
    – les frappes en #Ukraine.
    – Certaines activités industrielles (Comme #ArcelorMittal à #Dunkerque)

    ▻https://firms.modaps.eosdis.nasa.gov/map/#t:adv;d:2022-07-06..2022-07-26,2022-07-06;l:noaa20-viirs,

    yohooo @yohooo CC BY-ND
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  • @simplicissimus
    Simplicissimus @simplicissimus 27/11/2021

    Pour protéger l’humanité | La NASA va tenter de dévier la trajectoire d’un astéroïde | La Presse
    ▻https://www.lapresse.ca/actualites/sciences/2021-11-23/pour-proteger-l-humanite/la-nasa-va-tenter-de-devier-la-trajectoire-d-un-asteroide.php

    https://mobile-img.lpcdn.ca/v2/924x/r3996/1841ca63/1a517b74800c32e7bef636db5e5def17.jpg

    (Washington) C’est un scénario digne d’Hollywood, et pourtant bien réel. La NASA a fait décoller dans la nuit de mardi à mercredi une mission inédite : en projetant un vaisseau à 24 000 km/h contre un astéroïde, elle espère en modifier la trajectoire et ainsi aider l’humanité à se protéger d’une potentielle collision à l’avenir.
    […]
    Le vaisseau de la mission est plus petit qu’une voiture, et flanqué de deux longs panneaux solaires.

    Il doit entrer en collision l’automne prochain avec un astéroïde de la taille d’un terrain de soccer (environ 160 mètres de diamètre), qui sera alors situé à 11 millions de kilomètres de la Terre.

    L’astéroïde s’appelle Dimorphos et est en fait une lune, en orbite autour d’un astéroïde plus grand, Didymos (780 mètres de diamètre).
    Pour faire le tour du gros astéroïde, Dimorphos met 11 heures et 55 minutes. Les scientifiques s’attendent à réduire son orbite d’environ 10 minutes.

    « C’est un très petit changement, mais cela pourrait être tout ce dont nous avons besoin pour dévier un astéroïde ayant une trajectoire de collision avec la Terre, si nous avions un jour à le faire, à condition que nous découvrions cet astéroïde assez tôt », a expliqué Tom Statler.

    L’effet exact qu’aura l’impact n’est pas connu, car il dépend de la composition de l’astéroïde.

    C’est ce changement de trajectoire précis, qui sera ensuite mesuré à l’aide de télescopes depuis la Terre, que les scientifiques veulent déterminer.

    Les résultats serviront aux calculs pour aider à définir, à l’avenir, quelle masse doit être projetée contre un type d’astéroïde donné pour provoquer une déviation suffisante.

    Explosion
    Dimorphos est-il fait de roches solides ou plus poreuses ? Les scientifiques n’en savent rien, et l’astéroïde n’apparaîtra sur les images transmises par le vaisseau qu’une heure avant la collision. Sa forme, ronde ou oblongue, ne sera connue que deux minutes avant.
    Puis l’explosion, et le silence radio.

    Les images suivantes viendront d’un petit satellite conç-u par l’Agence spatiale italienne. Il sera lâché par le vaisseau principal 10 jours avant l’impact.

    Trois minutes après la collision, il survolera Dimorphos afin d’observer l’effet du choc et, avec un peu de chance, le cratère à la surface.

    L’orbite du gros astéroïde Didymos autour du Soleil pourrait elle aussi être légèrement modifiée, du fait de la relation gravitationnelle avec sa lune. Mais si peu que le changement ne pourra être mesuré. Aucun risque que l’astéroïde soit placé sur une nouvelle trajectoire dangereuse pour la planète bleue.

    Simplicissimus @simplicissimus
    • @metroet_
      métroet+ @metroet_ 28/11/2021

      Exercice militaire.
      Préparation à la guerre de l’espace

      métroet+ @metroet_
    • @02myseenthis01
      oAnth @02myseenthis01 CC BY 24/09/2024

      NASA’s DART Data Validates Kinetic Impact as Planetary Defense Method | #NASA 2023-03-02

      via ►https://seenthis.net/messages/992569

      –------------------------------------------

      Hera planetary defence mission : solving asteroid mysteries

      #ESA 2024-09-23

      via ►https://seenthis.net/messages/1072848

      oAnth @02myseenthis01 CC BY
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  • @kassem
    Kassem @kassem CC BY-NC-SA 29/07/2021

    Health Care Renewal: Money and #Aducanumab
    ▻https://hcrenewal.blogspot.com/2021/07/money-and-aducanumab.html

    Taking a high-side estimate of $110 billion/year, Nicholas Bagley and Rachel Sachs speculated in The Atlantic that Aduhelm could be the drug that breaks #Medicare, given that that cost exceeds total current Part D medication expenses of $90 billion dollars.

    Even at a much lower total, Aduhelm’s costs would still balloon Medicare costs and would exceed the total #NASA #budget of $23 billion. Regardless of the exact total, the hit to Medicare would be big.

    #dépenses #santé #états-unis

    Kassem @kassem CC BY-NC-SA
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  • @kassem
    Kassem @kassem CC BY-NC-SA 18/07/2021
    2
    @sombre
    @gblin
    2

    La #Nasa prévoit des #inondations records liées à l’oscillation de la #Lune
    ▻https://www.rtl.fr/actu/international/la-nasa-prevoit-des-inondations-records-liees-a-l-oscillation-de-la-lune-7900054

    https://images.rtl.fr/~c/2000v2000/rtl/www/1408139-la-super-lune-rose-surplombant-un-bateau-au-large-de-miami.jpg

    La Nasa s’attend à un désastre naturel pour la prochaine décennie. Dans un étude conjoint avec l’Université d’Hawaï, l’agence spatiale américaine prédit la catastrophe que pourrait causer le futur changement d’orbite de la Lune. L’étude conclut qu’une « oscillation de la Lune » provoquera des inondations records dans « les années 2030 », selon les résultats publiés dans la revue Nature.

    Cette oscillation de notre astre, mêlé au dérèglement climatique, aura un impact particulièrement important pour les villes côtières. « La combinaison de la force gravitationnelle de la Lune, de l’élévation du #niveau_de_la_mer et du changement climatique va entraîner des inondations sur les côtes du monde entier », avertit le chercheur Bill Nelson, dans un communiqué de la NASA, relayé par nos confrères de Ouest-France. « Les plaines proches du niveau de la mer sont de plus en plus menacées à cause de l’augmentation des inondations, et cela ne fera qu’empirer », poursuit-il.

    Rapid increases and extreme months in projections of United States high-tide flooding | Nature Climate Change
    ▻https://www.nature.com/articles/s41558-021-01077-8

    https://media.springernature.com/m685/springer-static/image/art%3A10.1038%2Fs41558-021-01077-8/MediaObjects/41558_2021_1077_Fig1_HTML.png

    #climat #mer #élévation_du_niveau_marin

    Kassem @kassem CC BY-NC-SA
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 18/07/2021

      elle a bon dos la Lune !

      Vanderling @vanderling
    • @sombre
      Sombre @sombre CC BY-NC-SA 19/07/2021

      ▻https://startpage.com/av/proxy-image?piurl=https%3A%2F%2Fstatic.education.francetv.fr%2Fmedia%2Fim

      Sombre @sombre CC BY-NC-SA
    • @ericw
      EricW @ericw CC BY-SA 19/07/2021

      Je n’a pas accès à l’intégralité de l’article, mais dans le résumé il n’y a pas un mot sur la lune.

      EricW @ericw CC BY-SA
    • @sombre
      Sombre @sombre CC BY-NC-SA 19/07/2021
      @ericw

      @ericw : c’est pas évident mais je crois qu’on en parle « à mot couvert » ici même :

      Here we use established SLR scenarios and flooding thresholds to demonstrate how the combined effects of SLR and nodal cycle modulations of tidal amplitude lead to acute inflections in projections of future HTF.

      Sombre @sombre CC BY-NC-SA
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  • @kassem
    Kassem @kassem CC BY-NC-SA 1/07/2021
    1
    @ericw
    1

    Selon les données de la #Nasa, la #Terre accumule une quantité de #chaleur « sans précédent »
    https://sain-et-naturel.ouest-france.fr/donnees-nasa-terre-accumule-chaleur.html

    Source :
    Satellite and Ocean Data Reveal Marked Increase in Earth’s Heating Rate https://agupubs.onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1029/2021GL093047

    #climat

    Kassem @kassem CC BY-NC-SA
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  • @martin
    Martin @martin PUBLIC DOMAIN 27/06/2021

    Operations Underway to Restore Payload Computer on NASA’s Hubble | NASA
    ▻https://www.nasa.gov/feature/goddard/2021/operations-underway-to-restore-payload-computer-on-nasas-hubble-space-telescop

    http://www.nasa.gov/sites/default/files/thumbnails/image/18-1990_s31_imax_view_of_hst_release-1.jpg

    NASA Completes Additional Tests to Diagnose Computer Problem on Hubble Space Telescope

    #nasa #états-unis #science #technologie #hubble #téléscope_hubble #panne #ordinateur #informatique #électronique #espace #hubble_space_telescope #panne #défaillance #défaut #problème #ordinateur_secondaire

    Martin @martin PUBLIC DOMAIN
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  • @tout_va_tres
    Tout va trés bien @tout_va_tres 21/06/2021

    La NASA va envoyer une sonde spatiale avec la représentation d’un homme, d’une femme et d’un individu non-binaire
    ▻http://www.scienceinfo.fr/la-nasa-va-envoyer-une-sonde-spatiale-avec-la-representation-dun-homme-d

    La NASA va envoyer dans l’espace une sonde spatiale destinée à explorer les limites de notre système solaire. Tout comme ses grandes sœurs Voyager 1 et 2, ce voyage est sans retour et cette sonde est destinée à se perdre dans l’infini cosmique de l’univers.

    http://www.scienceinfo.fr/wp-content/uploads/2021/05/Sonde_non_binaire-660x330.jpg

    Afin de transmettre un message à une éventuelle civilisation extra-terrestre, un disque en or va être apposé sur la sonde. Ce disque contiendra une multitude d’informations sur notre planète et les humains. Comme pour les sondes Pioneer et Voyager, la représentation d’un homme et d’une femme sera également gravée afin de donner une image fidèle du physique des humains de sexe mâle et femelle.

    Cependant, parce qu’ils ne se sentent ni homme, ni femme, certains individus non-binaires qui se ne reconnaissent dans aucun genre se sont sentis discriminés par cette représentation simpliste du genre humain.

    Aussi, la NASA a décidé d’ajouter la représentation d’un individu non-binaire sur le disque placé sur la sonde afin que chaque humain puisse se sentir représenté auprès de nos amis extraterrestres.

    #scienceinfo #gorafi #espace #genre #NASA

    Tout va trés bien @tout_va_tres
    • @tout_va_tres
      Tout va trés bien @tout_va_tres 21/06/2021

      et aussi : Les Parisiens émus et soulagés de retrouver le café à 8 euros en terrasse
      ▻http://www.scienceinfo.fr/les-parisiens-emus-et-soulages-de-retrouver-le-cafe-a-8-euros-en-terrass

      http://www.scienceinfo.fr/wp-content/uploads/2021/05/coffee-2589761_640-640x330.jpg

      Tout va trés bien @tout_va_tres
    • @sandburg
      Sandburg @sandburg CC BY-SA 21/06/2021

      #not_gorafi

      Sandburg @sandburg CC BY-SA
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  • @hlc
    Articles repérés par Hervé Le Crosnier @hlc CC BY 24/02/2021
    1
    @02myseenthis01
    1

    Dans le parachute du rover de la NASA sur Mars, un message caché, puis déchiffré
    ▻https://www.lemonde.fr/pixels/article/2021/02/23/des-internautes-dechiffrent-un-message-cache-dans-le-parachute-du-rover-de-l

    https://img.lemde.fr/2021/02/22/334/0/2400/1200/1440/720/60/0/2783825_5270628-01-06.jpg

    Sur une capture vidéo, on peut en effet voir que le parachute de Perseverance présente un motif particulier ressemblant à un code binaire. Sur Internet, le message n’est pas resté secret longtemps.

    Le Monde
    Publié hier à 16h39, mis à jour hier à 17h40

    Après un voyage de sept mois, le rover Perseverance, conçu par les équipes de la NASA, s’est finalement posé sur le sol de la planète Mars jeudi 18 février : un accomplissement scientifique pour l’agence spatiale américaine, qui a passionné certains internautes.

    Lundi 22 février, la NASA a publié la vidéo de l’atterrissage de l’engin sur Mars, ajoutant lors d’une conférence de presse, qu’un message secret avait été glissé dans la vidéo. Il n’a pas fallu longtemps pour que les plus investis découvrent le secret en question sur les photos et les vidéos de l’atterrissage de Perseverance sur Mars. « Est-ce que le parachute de Perseverance a une sorte de message ou code caché ? Les barres rouges semblent très spécifiques », s’est interrogé un internaute sur le très populaire forum Reddit.

    Sur une capture vidéo de la NASA, on peut en effet voir que le parachute du rover utilisé pour atterrir présente un motif particulier à base de barres rouges sur fond blanc, et que ces barres suivent un motif qui pourrait cacher un message. Et effectivement, le parachute est divisé en quatre cercles, eux-mêmes composés d’ensembles de dix barres formant un code binaire : chaque barre rouge correspond à un 1, et chaque barre blanche à un 0.

    « Dare Mighty Things »

    Très vite, certains membres du forum Reddit et des internautes sur le réseau social Twitter ont compris que cet enchaînement de 0 et de 1 correspondait à une suite de lettres, et après une analyse (et l’aide de quelques lignes de code), ils ont décodé le message caché : « Dare Mighty Things », un slogan qu’on pourrait traduire par « Voyez grand ».

    Ces mots ne sont pas choisis au hasard : « Dare Mighty Things » est un slogan utilisé par l’agence spatiale américaine, mais aussi par le centre de recherche de la NASA Jet Propulsion Laboratory (JPL), artisan du projet. D’ailleurs, les barres rouges et blanches du cercle extérieur du parachute, une fois décodées, renvoient aux coordonnées GPS du laboratoire américain en Californie.

    Il ne s’agit pas là de théories farfelues d’internautes trop passionnés, puisque plusieurs chercheurs de la NASA ayant travaillé sur Perseverance ont confirmé lundi, sur Reddit et Twitter, qu’il y avait bien un message caché sur le parachute du rover. Par la suite, un des responsables du projet, Allen Chen, a confirmé dans un tweet la lecture du code faite par les internautes.

    #Espace #Nasa #Message #Positive_attitude

    Articles repérés par Hervé Le Crosnier @hlc CC BY
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  • @hlc
    Articles repérés par Hervé Le Crosnier @hlc CC BY 18/10/2020
    @nasa

    NASA will pay for moon rocks excavated by private companies | MIT Technology Review
    ▻https://www.technologyreview.com/2020/09/10/1008310/nasa-pay-moon-rocks-lunar-samples-excavated-private-companies/?truid=a497ecb44646822921c70e7e051f7f1a

    https://wp.technologyreview.com/wp-content/uploads/2020/09/rp-resolve-2.jpg?resize=1200,600

    Any commercial mission that can prove it has collected lunar samples stands to make up to $25,000.
    by

    Neel V. Patel

    NASA announced today that it was seeking proposals from private companies interested in collecting samples from the moon and making them available for purchase by the agency.

    The news: As part of the new initiative, one or more companies will launch a mission to the moon and collect between 50 and 500 grams of lunar regolith from the surface. If they can store the sample in a proper container and send pictures and data to NASA to prove the sample has been collected and can be brought to Earth safely, NASA will pay that company between $15,000 and $25,000.

    The company would receive 10% of its payment after its bid is selected by NASA, 10% after the mission launches, and the remaining 80% upon delivering the materials to NASA. The agency has yet to determine exactly how it will retrieve the sample, but the exchange would be expected to happen “in place” on the moon itself—meaning any participating company is only obligated to figure out how to get to the moon. NASA would retain sole ownership of the material upon transfer.

    NEWS: @NASA is buying lunar soil from a commercial provider! It’s time to establish the regulatory certainty to extract and trade space resources. More: ▻https://t.co/B1F5bS6pEy pic.twitter.com/oWuGHnB8ev
    — Jim Bridenstine (@JimBridenstine) September 10, 2020

    The samples could be from anywhere on the surface of the moon, and could possess any rock, dust, or ice materials. The agency wants to complete these exchanges before 2024.

    What’s in it for NASA: There’s an extremely high demand for lunar material among scientists. Nearly all the lunar material currently in NASA’s possession was collected during the Apollo program. While the initiative itself will only bring a small amount to Earth compared with the hundreds of kilograms gathered during Apollo, this could be the first step in establishing a new pipeline for lunar samples, in which NASA buys from the private sector instead of devoting resources to building and launching missions for that purpose.

    In a blog post published today, NASA administrator Jim Bridenstine said the new initiative is part of the agency’s larger goal with the Artemis program to bolster private-sector participation in space exploration. The agency is already working with several launch providers under its Commercial Lunar Payload Services (CLPS) program to deliver nearly two dozen scientific and technological payloads to the moon in the run-up to a crewed landing by the end of 2024. The 2024 landing itself is slated to utilize hardware built by private companies, most notably the lunar lander for taking humans to the surface.
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    Yes
    No

    What’s in it for the company: $25,000 is paltry compensation for such a mission, so any companies that participate won’t be in this for money. Instead, it’s an incentive to test out new technologies, including those that could be later used to extract resources like water ice from the moon. The mission outlined in today’s announcement will only involve collecting and storing material from the surface, but that’s still something no private company has done before.

    Legal questions: Lastly, many of America’s larger lunar ambitions focus on establishing a moon mining industry and developing a marketplace that allows excavated resources to be bought and sold by different parties. Bridenstine alludes to these plans in his blog post, referencing President Trump’s April 2020 executive order that encourages the recovery and use of resources in outer space. That order was a follow-up to a law passed in 2015 outlining America’s position that US companies are allowed to own and sell resources they’ve extracted from extraterrestrial bodies. There’s still debate as to whether such policies conflict with the 1967 UN Outer Space Treaty.

    #Lune #Communs #Enclosure #Traité_espace #NASA

    Articles repérés par Hervé Le Crosnier @hlc CC BY
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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 18/09/2020
    1
    @vazi
    1

    Game changer: #NASA data tool could revolutionize Amazon fire analysis
    ▻https://news.mongabay.com/2020/09/game-changer-nasa-data-tool-could-revolutionize-amazon-fire-analysis

    https://imgs.mongabay.com/wp-content/uploads/sites/20/2020/09/14164920/BANNER-IMAGE-4-1210-768x512.jpg

    he Amazon has already seen more forest fires this year than in all of 2019, according to satellite data made available in August 2020 by a new NASA fire analysis tool.
    While there are several good fire monitoring satellite systems currently at work above the Amazon, NASA’s new automated system provides near real time monitoring which could allow firefighting teams on the ground to pinpoint fires in remote areas and to take action to put fires out before they spread.
    The new system also differentiates between fires in newly deforested areas, understory forest fires, grassland fires and those set by smallholders to annually clear fields. This differentiation allows authorities to zero in on large scale criminal arson committed by land grabbers, while also preventing the criminalization of subsistence farmers.
    New information provided by the innovative NASA monitoring tool can count fire carbon emissions and the location and size of burnt areas, all of which could further research on global climate change, mitigation, and biodiversity impacts.

    #incendie #feu_de_forêt #détection #nasa #image_satellite #Amazonie #cartographie

    odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 18/09/2020

      https://dl.dropbox.com/s/c7fc5g96zguui8l/nasa-brazil.png?dl=0

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
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  • @monolecte
    Monolecte 😷🤬 @monolecte CC BY-NC-SA 7/08/2020

    La Nasa lance un concours pour imaginer les #toilettes sur la Lune | Le HuffPost
    ▻https://www.huffingtonpost.fr/entry/la-nasa-lance-un-appel-a-idees-pour-des-toilettes-sur-la-lune_fr_5ef5

    https://img.huffingtonpost.com/asset/5ef5a778270000d500e65ca8.jpeg?ops=1200_630

    Revenons aux fondamentaux  : les #chiottes (Пожалуйста !)

    Le cahier des charges est spécifié : les toilettes devront bien sûr servir aux hommes et aux femmes, fonctionner à la fois sur la Lune (où la gravité est le sixième de la gravité terrestre) et en microgravité (dans l’espace), occuper moins de 0,12 mètre cube, et ne pas faire plus de bruit qu’une aération de salle de bain (60 décibels).

    Surtout, elles devront permettre la défécation et la miction simultanées, et pouvoir recevoir un litre d’urine et 500 grammes de matières fécales (y compris diarrhées) par événement, et 114 grammes par jour de règles. Elles devront être nettoyables en cinq minutes, et contenir les odeurs et les gouttes dans l’habitacle, forcément étroit, du véhicule.

    Les déchets devront pouvoir être stockés ou évacués à l’extérieur (pour Apollo, l’urine était rejetée dans l’espace, “où elle se gelait immédiatement dans une pluie de cristaux glacés et étincelants”, selon l’auteur Craig Nelson).

    Un autre détail pour ceux qui seraient intéressés (date limite le 17 août) : “des points bonus seront accordés aux conceptions capables de recueillir les vomissements sans obliger le membre d’équipage à mettre sa tête dans les toilettes”.

    Monolecte 😷🤬 @monolecte CC BY-NC-SA
    • @sombre
      Sombre @sombre CC BY-NC-SA 7/08/2020

      Ou comment « foutre la merde » quelque soit l’endroit où nous serions tentés de nous incruster (en 10 leçons) ...

      #NASA (naza ?) #technolâtrie #crétins_abyssaux (à l’envergure cosmique)

      Ceci dit, 35 000 $, c’est pingre pour résoudre « à bas bruit » des problèmes de tuyaux et de pompes à vide en microgravité ...

      Sombre @sombre CC BY-NC-SA
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  • @hlc
    Articles repérés par Hervé Le Crosnier @hlc CC BY 14/04/2020
    1
    @gastlag
    1

    La valse des logos à la NASA

    Deux articles sur la bataille interne à la NASA pour choisir le logo apposé sur les fusées et satellites (et le reste des activités spatiales de l’Agence). Un aller-retour stylistique intéressant.

    $79 for an Out-of-Date Book About a Modern NASA Logo - The New York Times
    ▻https://www.nytimes.com/2015/09/01/science/space/79-for-an-out-of-date-book-about-a-modern-nasa-logo.html

    https://static01.nyt.com/images/2015/09/01/science/01nasalogo_painter/01nasalogo_painter-jumbo.jpg?quality=90&auto=webp

    For $79 plus shipping, you can buy a reprint of a long-obsolete federal government publication.

    The captivating title? “National Aeronautics and Space Administration Graphics Standards Manual.”

    It may not be a page turner, but among certain design and space aficionados, it is a cherished piece of history.

    A Kickstarter campaign begun on Tuesday will produce a high-quality hardcover printing of this bureaucratic relic. In 1975, NASA adopted a new logo, a minimalist twisting of letter forms that soon gained the nickname “the worm.” The standards manual, published a year later, prescribed how the space agency should deploy the logo across its publications, signs, aircraft, vehicles and spacecraft.

    “It is a wonderful example of modernist design thinking that was prevalent in the ’70s and the ’60s,” said Hamish Smyth, a designer at the firm Pentagram. “To me as a designer, technically, it’s pretty perfect.”

    The linear treatment that would become the worm was a simplification of letter forms that embodied “the technological base of the agency and had some future orientation as well,” Mr. Blackburn said. “It was extremely simple. It was direct.”

    In the logo, the two A’s lack crossbars, suggestive of a rocket nose cone or an engine nozzle.

    When Mr. Blackburn and Mr. Danne presented it to NASA’s leaders, they made sure to show how it would look “applied to a lot of real things,” Mr. Danne said. “We knew in the presentation maybe it would be too abstract, too theoretical.”

    But James C. Fletcher, then NASA’s administrator, was skeptical about the missing crossbars. Mr. Danne recalled Dr. Fletcher saying, “I just don’t feel we are getting our money’s worth!”

    Mr. Blackburn said he had returned to the office and tried to make a more conventional A. “You kill the baby when you do that,” he said. “They ultimately caved in.”

    With the graphics standards manual, NASA began rolling out its new look.

    But even a decade and a half later, many at NASA still hated the logo — too sterile, too much Spock and not enough Captain Kirk.

    The change did not happen overnight. The worm logo remained on the space shuttles until they were refurbished beginning in 1998.

    The Hubble Space Telescope, launched in 1990, carries it still. So does the first space shuttle, the Enterprise, now on exhibit at the Intrepid Sea, Air and Space Museum in New York. The Enterprise was used for glide tests but never went into space, and never received the updated markings.

    The worm also lives on in Washington at the NASA headquarters building, which opened in 1992, the year Mr. Goldin banished the logo. But it was already prominently carved in stone on the outside.

    “I didn’t know that,” Mr. Blackburn said. “Well, hallelujah. The good guys won one.”

    –--------

    NASA’s ‘Worm’ Logo Will Return to Space - The New York Times
    ▻https://www.nytimes.com/2020/04/08/science/nasa-logo-worm-spacex.html

    https://static01.nyt.com/images/2020/04/14/science/06NASA1/06NASA1-facebookJumbo.jpg

    NASA’s ‘Worm’ Logo Will Return to Space

    The new old logo, dropped in the 1990s in favor of a more vintage brand, will adorn a SpaceX rocket that is to carry astronauts to the space station in May.

    #NASA #Logo #Design

    Articles repérés par Hervé Le Crosnier @hlc CC BY
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