Les gesticulations diplomatiques et médiatique de Mme Cristina Kirchner, présidente de l’#Argentine, sur la « non-souveraineté » du #Royaume-Uni sur les îles #Malouines-Falkland-Malvinas sont-elles un moyen pour détourner son opinion publique de ses problèmes internes ? Problèmes que mentionnait Olivier Pironet en avril 2011 dans le @mdiplo :
Pour autant, la présidente doit faire face au mécontentement grandissant d’une frange de la population, notamment parmi les mouvements de chômeurs, très actifs en 2001. De fortes inégalités perdurent, les prix sont en hausse — dopés par l’inflation, que les estimations non officielles placent à 25 % —, et les richesses du pays restent accaparées par une poignée de multinationales, dont le pouvoir est accusé de servir les intérêts.
Mais bon, le Royaume-Uni n’a aucunement l’envi de perdre ses archipels sud-Atlantique qui pourraient receler 60 milliards de barils d’hydrocarbures et elle est prête à les défendre par les armes comme l’a rappelé David #Cameron :
Comme on lui demandait si la Grande-Bretagne se battrait, si besoin, pour conserver ces îles, il a répondu : bien sûr, nous avons d’importants moyens de défense sur place, ce qui est primordial, nous avons des chasseurs et des troupes qui stationnent dans les Malouines
Sources :
►http://www.monde-diplomatique.fr/carnet/2011-10-25-Argentine
►http://www.carto-presse.com/?p=932
►http://www.lemonde.fr/europe/article/2013/01/06/le-royaume-uni-pret-a-se-battre-pour-conserver-les-malouines_1813365_3214.ht