naturalfeature:mont blanc

  • Roman mining activities polluted European #air more heavily than previously thought
    https://phys.org/news/2019-05-roman-polluted-european-air-heavily.html

    Roman-era mining activities increased atmospheric lead concentrations by at least a factor of 10, polluting air over #Europe more heavily and for longer than previously thought, according to a new analysis of ice cores taken from glaciers on France’s Mont Blanc.

    Les glaces du #Mont-Blanc ont gardé les traces de la #pollution de l’époque Romaine | CNRS
    http://www.cnrs.fr/fr/les-glaces-du-mont-blanc-ont-garde-les-traces-de-la-pollution-de-lepoque-romain

    Cette toute première étude de la pollution durant l’#Antiquité à partir de glace alpine permet de mieux évaluer l’impact de ces émissions anciennes sur notre environnement européen et de le comparer notamment à celui de la pollution plus récente liée à l’utilisation de l’essence au #plomb dans les années 1950-1985.

    #Rome #mines

  • Comment ?
    le blog de corinne morel darleux - mercredi 26 septembre 2018
    http://www.lespetitspoissontrouges.org/index.php?post/2018/09/26/Comment

    Je ne sais plus comment il faut le dire, ce qu’il faut faire pour alerter. Une nouvelle vire vient de céder dans le massif du Mont Blanc.

    Les montagnes s’écroulent, le lac d’Annecy se vide de manière alarmante, le Pic du Midi n’a pas gelé depuis 100 jours. C’est du jamais vu. Et ça se passe ici, en ce moment.

    Le réchauffement climatique n’est pas pour 2050 ni même 2020. C’est maintenant.

    Faut-il le mettre en majuscules ? Le hurler ?

    C’EST MAINTENANT !

    En deux ans j’ai utilisé tous les moyens dont je disposais, donné je ne sais combien de conférences publiques, enregistré deux chroniques chez Là-bas si j’y suis sur le sujet, écrit sur Reporterre encore et encore, et dans l’Intérêt Général, je suis allée au Congrès des élus de montagne avec le sénateur Guillaume Gontard, monté des tribunes collectives, je suis intervenue en commission Montagne et en session plénière à la Région un nombre incalculable de fois, j’ai déposé des amendements avec mon groupe RCES, recensé les écroulements, raconté ma rencontre avec un moineau punk et essayé de faire rêver, j’ai rencontré des gardiens de refuge, des secouristes et des guides de montagne inquiets, participé à un colloque avec des représentants de l’IRSTEA et de Météo France à l’université de Grenoble, travaillé avec l’élu à la montagne de la ville Pierre Mériaux, échangé avec Fredi Meignan et soutenu Mountain Wilderness, dénoncé le lobby du ski, j’ai été interviewée par Montagnes Mag et le Dauphiné Libéré, j’en ai parlé sur France 3 et j’ai même saisi le procureur de la République pour soupçon de prise illégale d’intérêts. (...)


    Nouvel éboulement dans le massif : la Vire du Trident s’est effondrée
    https://www.ledauphine.com/haute-savoie/2018/09/26/mont-blanc-nouvel-eboulement-dans-le-massif-la-vire-du-trident-s-est-eff
    #effondrement #collapsologie #catastrophe #fin_du_monde #it_has_begun #anthropocène #capitalocène

  • Le 30 février, Olivier Marchon, Sciences humaines - Seuil | Editions Seuil
    http://www.seuil.com/ouvrage/le-30-fevrier-olivier-marchon/9782021308693

    Le 30 février Et autres curiosités de la mesure du temps

    Saviez-vous qu’il a existé un 30 février 1712 en Suède ? Qu’à l’inverse, aux îles Samoa, le 30 décembre 2011 a été supprimé ? Qu’aux îles Diomède, dans le Pacifique, on peut « voir » demain et « regarder » hier ? Que la France s’est mise à l’heure allemande en 1940, pour ne plus en changer ? Que Thérèse d’Ávila est morte dans la nuit du 4 au 15 octobre 1582 ?

    Car le temps est comme l’air qu’on respire : invisible et impalpable. Et si sa mesure obéit aujourd’hui à des règles rigoureuses qui nous semblent évidentes, elles sont loin d’être parfaites, universelles ou immuables… Dans ce recueil d’histoires courtes riches en anecdotes, Olivier Marchon nous guide dans l’histoire de la mesure du temps et de ses bizarreries, à travers une multitude de calendriers et de mesures horaires exotiques, fruits d’une science exacte au contact d’un monde qui ne l’est pas.

    Olivier Marchon est réalisateur indépendant. Il est notamment l’auteur de Le mont Blanc n’est pas en France ! Et autres bizarreries géographiques (2013) et d’un Atlas de la France incroyable (2014).

    Avant-propos et premier chapitre consultable en ligne.

    • Emprunté en bibliothèque. Lecture très facile où l’on apprend plein de choses. Des détails, certes, mais passionnants sur les différentes conventions de mesure du temps d’hier …
      • pb du millésime (choix de la date de changement d’année), un choix très courant : le 25 mars (style dit de l’Annonciation)
      • le bazar de l’heure d’été (entre autres) aux É.-U. dans les années 1960
      • Cervantès et Shakespeare sont morts à la même date, mais pas le même jour… Date retenue pour la Journée internationale du Livre de l’Unesco (c’est d’ailleurs lundi prochain, 23 avril)

      … et d’aujourd’hui
      • un seul pays n’a pas adopté le Temps Universel Coordonné (UTC) comme heure légale. Devinez lequel ? (indice : c’est là que se situe la localité éponyme du standard précédent, le GMT …)
      • la ligne de changement de date se promène régulièrement, la dernière fois c’était fin 2011.

      Etc.

  • « Blanchité » et « races sociales » : un festival de contradictions et de contorsions théoriques

    http://mondialisme.org/spip.php?article2670

    Ce texte part d’une constatation simple : la race (sans guillemets) a le vent en poupe, à gauche, à l’extrême gauche et même chez certains anarchistes ou « antifascistes radicaux ». La race n’avait jamais vraiment disparu du paysage politique, puisque la droite, l’extrême droite et bien sûr la Nouvelle Droite continuaient à utiliser ce concept biologique et anthropologique en le dissimulant sous des considérations « culturelles » ou « civilisationnelles », mais désormais les forces réactionnaires peuvent compter sur la collaboration d’intellectuels et de militants de gauche et d’extrême gauche, mais aussi libertaires, pour réhabiliter une catégorie de pensée inepte et néfaste. Cela nous attriste un petit peu mais ne nous étonne absolument pas, puisque les courants dits « anticapitalistes » réhabilitent aussi des concepts comme la nation (au nom de l’anti-impérialisme) et des phénomènes obscurantistes comme les religions chrétienne et musulmane (au nom de leur prétendu potentiel libérateur ) quand ils ne glosent pas sur les aspects « progressifs » de l’antisémitisme des Afro-Américains . Dans la période historique actuelle, la régression politique n’a ni limites ni frontières,. Elle se poursuivra tant que la classe ouvrière ne tapera pas du poing sur la table pour faire taire tous ces charlatans.
    Cet article tente de démonter quelques absurdités en vogue à gauche, à l’extrême gauche et chez les libertaires... mais cet inventaire est évidemment incomplet ! Espérons que ce travail sera continué et enrichi par d’autres camarades ou compagnons...

    http://mondialisme.org/IMG/pdf/blanchiteI_et_race_sociale.pdf

    • bel exemple de #susceptibilité_blanche et #fragilité_blanche

      8. Lutter contre le racisme suppose un changement personnel (intérieur) facilité par la participation à des groupes de paroles « non mixtes », donc racialement (ou, en langage politiquement correct, ethniquement) homogènes. Cette psychologisation du racisme est étroitement liée aux « politiques identitaires » : d’un côté, quand on est « Blanc », il faut se confesser de ses travers racistes, découvrir les méfaits provoqués par son « innocence blanche39 » et admettre publiquement ses « privilèges blancs » ; de l’autre, quand on est discriminé, on est censé
      chercher prioritairement l’empathie des membres de sa communauté d’origine... ou d’adoption.

      #non_mixité #racisme #whitesplanning

    • @mad_meg Je ne comprends pas (c’est sans doute à cause de mon taux de mélanine.)
      Pourquoi partir sur le blanc sensible ?

      1) Très ambiguë cliché de banlieue du blanc fragile à dépouiller. (cf. la chanson de Vald en fait le tour : https://genius.com/Vald-blanc-lyrics )

      2) Alors que l’argument est somme toute rationnel, il n’y aurait pas de réciprocité ni de solidarité possible. La base d’une société égalitaire. Et vous, vous partez dans le pathos, socio de comptoir. Votre réflexion est du même niveau que « c’est bien une parole de nana ça ».

    • Par rapport à la fragilité blanche l’expression est expliqué ici : https://seenthis.net/messages/382852

      Je trouve que ce texte est focalisé sur l’ego blanc. La partie dont j’ai pris l’extrait me semble représentative. Les personnes qui veulent se réunir en non-mixité ne demandent pas à rester à jamais en autarcie dans des groupes non-mixtes. Dans la militance c’est un moment pour y réfléchir à certaines choses sans avoir à prendre du temps pour ne pas vexer les susceptibles blanc·hes/masculines/hétéro/cis...
      La demande de non mixité n’est pas une psycholosiation comme c’est dit dans le texte par exemple.
      Sinon le reste c’est refus de travail mémoriel et de voire le particularité des discriminations fondées sur les stéréotypes raciaux et de vouloir absorber les mouvements antiracistes, décoloniaux avec le truc de la #priorité_des_luttes habituel.

    • J’avais pas vu la chanson de Vlad posté par @aktivulo1 . C’est effectivement très représentatif de la sucéptibilité blanche. On dirait du Oï. Elle montre un refu de prendre au sérieux les problématiques des rappeureuses noir·es. Une posture qui consiste à se croire capable d’expliquer aux rappeureuses noir·es ce qu’illes doivent pensé et ressentir du racisme qu’illes vivent. La chanson conteste le racisme vécu et exprimé par les rappeureuses noir·es.

      Une rime tel que « blanc comme le Mont blanc » est ridicule. Du même niveau que les misogynes qui s’amusent à féminiser n’importe comment la langue en croyant être spirituel·les. Le final de la chanson c’est toujours ce refu de toute réflexion sur le racisme. « Tu gaspilles ta vie à vouloir réparer les erreurs de Papy » - Vlad préfère ne pas se posé de question et faire comme Papy lui à montré. Et puis cette concurence entre les luttes ; au lieu de lutter pour dénoncer le racisme, Vlad explique aux rappeureuses noir·es qu’illes feraient mieux de lutter pour le remplissage des fond blancs des poches de Vlad.

      Vlad explique même en détail ses intentions hostiles face au discours des musicien·nes noir·es :

      Vald explique la création de ce morceau par son écoute au rap français, et le sujet récurrent de la couleur noire dans l’Hexagone, mais du point de vue d’hommes blancs avec Suik’on Blaze AD.

      Il s’agit d’une longue énumération de comparaisons avec “blanc comme…”, en énonçant quelques clichés et idées préconçues, tels que les premiers mots du refrain. Il souhaite ainsi aborder le sujet du communautarisme , et parler de cette couleur de peau qui n’est au final que peu approchée.

      Vlad trouve qu’on parle trop du racisme contre les noir·es et pas assez du racisme contre les blanc·hes.
      Vlad voudrait parler de communautarisme, histoire de mélanger tout pour faire une infâme bouillasse que seul les fachos sont capable d’avaler.

      Pour Vlad et sa chanson j’ajoute #negrophobie et #paternalisme
      Enfin grâce à cette rime « Blanc comme fragile, blanc comme salope » je peu ajouter #sexisme et #masculinisme
      D’ailleur on pourrait la faire en mode masculiniste cette pauvre chanson, elle l’est deja aussi.

      Vald explique la création de ce morceau par son écoute au rap féministe français, et le sujet récurrent de la souffrance des femmes dans l’Hexagone, mais du point de vue d’hommes blancs avec Suik’on Blaze AD.

      Il s’agit d’une longue énumération de comparaisons avec “mâle comme…”, en énonçant quelques clichés et idées préconçues, tels que les premiers mots du refrain. Il souhaite ainsi aborder le sujet du sexisme, et parler de cette souffrance des hommes qui n’est au final que peu approchée.

      Mâle comme tueur en série
      Mâle comme pédophile, macho, mal
      Comme linge dans ton pif, mâle comme beigne
      Depuis tantôt mal comme ton fantôme
      Mâle comme Macho
      Mâle comme Macho
      Mâle comme Macho
      Mâle comme Macho

      [Couplet 1 : Vald]
      Mâle de soupçon comme un crime inavoué
      Je suis mâle comme celui qui tient l’fouet
      Soupçon de mâle pour ne pas qu’on s’effraie
      Mâle comme « Mal des yeux » remplis de sang
      Frère, dans l’Sopalin
      J’ai dû laisser cent litres blancs
      Tranquillement, tu brandis le Mâle drapeau
      Devant arme blanche papillonnante
      (Couic, couic) Blanc comme perte
      Mâle comme Verbe
      Mâle comme l’os qui voit l’air
      Mâle comme toutes les lumières ensembles
      Mâle comme le Mont, Mâle comme le bon
      Mâle comme le fond de tes poches
      Je suis mâle comme la blanche de Blankok, ça fait macho, macho
      Je suis mâle comme le phoque, fuck tous les mâle qui s’efforcent
      À sucer des bites devant les autres souffrances
      France de Machos, Gaulois, BravePatriotes, SOSPapa,
      Nique ta madre
      Si, ton seul combat, c’est ton sexe
      (Pute) Mâle comme para
      Mâle comme pas un mot
      Mâle comme malade, Mâle comme à la morgue
      Mâle, c’est mal, l’Histoire est accablante, Mâle (mal)
      Mâle comme le vrai méchant, Mâle comme le père du Sheitan
      Mâle, Mâle, Mâle, Mâle, Mâle, Mâle, Mâle comme Dieu

      [Refrain] (x2)
      Mâle comme tueur en série
      Mâle comme pédophile, macho, mâle
      Comme Nunge’ dans ton pif, mâle comme beigne
      Depuis tantôt mâle comme fantôme
      Mâle comme Macho
      Mâle comme Macho
      Mâle comme Macho
      Mâle comme Macho

      [Couplet 2 : Vald & Suik’On Blaze AD]
      Mâle comme gentil, Mâle comme petit
      Mâle comme garçon, Mâle comme gentil petit garçon
      Mâle comme sournois
      Mâle comme fragile, Mal comme salope
      Mâle comme animal, Mal comme Anita
      Mâle comme Hannibal, Mal comme Anne Hidalgo
      Hey, j’roule au kérosène
      Putain, quelle aubaine, j’ai l’axe à la Rivaldo
      Je suis Mâle comme un Mikado
      Côté bre-hom, touts les genres ont mis la dose
      Bordel sur la toile ; Internet, c’est Picasso
      J’me torche le cul avec Vogue et Mad’m Figaro
      Tu gaspilles ta vie à vouloir réparer les erreurs de Papy
      Et Mamy, la terreur arrive, et ta salive t’servira à crier :
      « Putain, qu’est-ce qu’on est Mâle
      Okay, okay, okay...
      Putain, qu’est-ce qu’on est Mâle
      Okay, okay, maman, maman, maman, okay...
      Putain, qu’est-ce qu’on est Mâle
      Okay, okay, maman, maman, maman, okay...
      Putain, qu’est-ce qu’on est Mâle
      Putain, qu’est-ce qu’on est Mâle
      Putain, qu’est-ce qu’on est Mâle
      Oui, putain, qu’est-ce qu’on est Mâle »

    • @mad_meg

      Faut écrire un peu moins vite.
      – On dit VaLD

      Vlad trouve qu’on parle trop du racisme contre les noir·es et pas assez du racisme contre les blanc·hes.

      – Dans un interview pour Booska-P dit que le racisme anti-blanc n’existe pas et parle de pb de classe.

      « Tu gaspilles ta vie à vouloir réparer les erreurs de Papy » - Vlad préfère ne pas se posé de question et faire comme Papy lui à montré.

      – Outre que ce n’est pas Vald qui rappe, je ne comprends pas comment de cette phrase tu peut avoir cette interprétation.
      J’interprète ça comme ça :
      – Tu te sens coupable de chose que tu n’as pas fait
      – Tu es autocentré sur ta culpabilité de blanc

    • Tu veut dire que VaLD se met dans la peau d’un raciste dans sa chanson ? Le commentaire de la chanson fournis par VaLD ne dit pas ceci.

      Par rapport aux actes de Papy, les millitant·es contre le racisme et la décolonisation demandent à ce qu’il y ai une prise en compte d’un point de vue différent sur l’histoire telle qu’elle est raconté jusqu’à aujourd’hui. Par exemple enlever les statues et rues à la mémoire de Colbert, ce n’est pas de l’autoflagellation coupable, c’est la reconnaissance du fait que la participation active à la traite négrière ne peut pas être traité comme anecdotique.
      La mémoire, la recherche de l’histoire vu par les peuples réduits à l’esclavage et la colonisation c’est pas de l’auto-centrage de culpabilité de blanc. Étudier la colonisation, son influence actuel sur les faits de société actuels c’est pas de l’auto-centrage...

    • @mad_meg

      Tu veut dire que Vald se met dans la peau d’un raciste dans sa chanson ? Le commentaire de la chanson fournis par Vald ne dit pas ceci.

      Non, mais je veux dire que son discours ne va pas dans la direction du racisme anti-blanc, Rap Puchline lui pose directement une explication sur :

      Je suis blanc comme le phoque, fuck tous les Blancs qui s’efforcent
      À sucer des bites devant les autres souffrances
      France de Blancos, Bikows, Blackos, Niakwés
      Nique ta madre
      Si, ton seul combat, c’est ta couleur de peau

      https://youtu.be/ykwWZ7AZD5s?t=1m9s

      Sont explication est + ou - :
      – Tu te sens coupable de chose que tu n’as pas fait
      – Passons à autre chose (c’est ambigüe)

    • Cet extrait ajoute surtout l’homophobe et la misogyne au racisme. Tu dit que Vlad ne se place pas dans la posture du blanc qui se victimise mais pourtant les extraits que tu fournis sont typique de cette position (cad ; se dit atteint dans sa virilité, se sent mise en cause personnellement, demande à ce qu’on parle de ce qu’il décide).

  • Dans les #Alpes, la vallée de l’Arve en pic de #pollution durable (Libération)
    https://www.wereport.fr/politique-2/dans-les-alpes-la-vallee-de-larve-en-pic-de-pollution-durable-liberation

    Depuis le 30 novembre, les 155 000 habitants de cette vallée au pied du mont Blanc vivent avec un nuage de pollution au dessus de leur tête. Une réalité que refusent d’admettre certains politiques. Le travelling en noir et blanc fait défiler une centaine d’enfants figés, masques médicaux sur le visage. Au fond, on aperçoit...

    #Environnement #Politique #air #alerte #vallée_de_l'Arve

  • Dans les #Alpes, la vallée de l’Arve en pic de #pollution durable (Libération)
    http://www.wereport.fr/politique-2/dans-les-alpes-la-vallee-de-larve-en-pic-de-pollution-durable-liberation

    Depuis le 30 novembre, les 155 000 habitants de cette vallée au pied du mont Blanc vivent avec un nuage de pollution au dessus de leur tête. Une réalité que refusent d’admettre certains politiques. Le travelling en noir et blanc fait défiler une centaine d’enfants figés, masques médicaux sur le visage. Au fond, on aperçoit...

    #Environnement #Politique #air #alerte #vallée_de_l'Arve

  • Nantes, le 13 janvier 2016, audience d’expulsions de Notre-Dame-des-Landes - YouTube
    https://www.youtube.com/watch?v=iSihqOW1fMc

    Cette vidéo traite de Nantes, le 13 janvier 2016, audience d’expulsions de Notre-Dame-des-Landes

    Audience d’expulsions : la décision sera rendue le 25 janvier
    http://www.presseocean.fr/actualite/nantes-audience-dexpulsions-la-decision-sera-rendue-le-25-janvier-13-01-
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    Notre-Dame-des-Landes : fin du procès, décision au 25 janvier
    13 janvier 2016
    http://www.reporterre.net/Notre-Dame-des-Landes-fin-du-proces-decision-au-25-janvier


    #NDDL

    • Tribune libre Notre-Dame-des-Landes : « Bon sens et raison garder »
      http://www.presseocean.fr/actualite/notre-dame-des-landes-jean-varlet-geographe-bon-sens-et-raison-garder-12

      Jean Varlet, géographe d’origine angevine et professeur à l’Université Savoie Mont Blanc, nous a adressé cette « tribune libre ». Nous avons décidé de la publier en intégralité en tant que contribution au débat sur le projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes. Il va de soi que ce point de vue n’engage en aucune manière la rédaction du journal « Presse Océan », qui veille à permettre à l’ensemble des points de vue de s’exprimer, dans le respect de ses principes éditoriaux.

      (...)

      Le projet fera-t-il effectivement de Notre-Dame-des-Landes l’aéroport du Grand Ouest ?

      En tant que plus grande agglomération de l’Ouest, sans être toutefois le pôle animateur de tout cet ensemble, Nantes qui est déjà le plus grand aéroport de l’Ouest pourrait raisonnablement prétendre devenir l’aéroport du Grand Ouest. Mais sa position quelque peu excentrée et la configuration des réseaux ferroviaires et de leurs fonctionnements dans cet Ouest français (un éventail de radiales parisiennes) ne plaident pas en sa faveur, à moins de l’envisager exclusivement par route.

      En effet, la desserte ferroviaire en direction de Nantes, notamment depuis l’Ouest breton, est déficiente : les liaisons étant peu fréquentes, lentes, voire compliquées, l’accès direct à Paris et à Roissy restera sans concurrence et préféré depuis la Bretagne, le Maine, le sud de la Normandie, le Poitou ou les Charentes. Faire venir à Nantes suppose une très nette amélioration des dessertes ferroviaires en rapidité, cadencement, confort et en intermodalité commode à l’aérogare ; est-ce réellement prévu ? à quels coûts et par qui ?

      Plus important, le projet Notre-Dame-des-Landes adopte-t-il ce qui est presque devenu la norme en Europe, à savoir une desserte ferroviaire directe à l’aérogare avec le réseau régional et national, grande vitesse comprise, au moins cadencée depuis/vers les diverses régions proches et vers Paris ? La réponse est négative et ne donne donc pas à Nantes les moyens d’une ambition d’aéroport du Grand Ouest.

      Le budget affiché de 561 M€ est strictement limité à la construction de l’aéroport (446 M€), de la tour de contrôle (34 M€) et à la desserte routière (81 M€), vastes parkings inclus. Où est la desserte ferroviaire interrégionale ? Tout au plus annonce-t-on une desserte en tram-train, simple navette urbaine entre Nantes et son aéroport, obligeant tout client extérieur à un passage obligé en gare de Nantes, à une rupture de charge et à un temps d’acheminement bien long. Où se trouve un véritable report modal pour toutes les clientèles ? Qui finance ce tram-train et pour quel montant dans ce qui se trouve hors budget annoncé ?

      En matière de commodités de déplacement et de « développement durable » sur le plan des accès, rien ne peut donc valablement être affiché, et la modernité européenne est de facto éliminée, comme ailleurs en France dans ce domaine précis. L’aéroport Notre-Dame-des-Landes ne sera que l’aéroport de Nantes et de sa région proche. À Nantes-Atlantique, un prolongement du tramway jusqu’à l’aéroport, actuellement peu éloigné, et l’accès de trains, voire de TGV, grâce à une voie ferrée existante qui le longe auraient-ils un coût aussi élevé ?

      Où réside alors le « côté indispensable » du projet Notre-Dame-des-Landes ?

      S’agit-il de créer de l’emploi ? Les prévisions font état d’une création de 600 emplois aéroportuaires par million de voyageurs supplémentaires. Cette norme européenne actuelle, contre un millier il y a un quart de siècle, concerne tout aéroport. Il n’est nullement question de lieu ou de différenciation spatiale et cette croissance concerne aussi bien Nantes-Atlantique que Notre-Dame-des-Landes. Quant à la création d’emplois induits aux abords du futur aéroport, comptabilise-t-elle les coûts économiques, énergétiques et environnementaux des flux domicile-travail ainsi engendrés depuis Nantes (17 km) ou d’autres agglomérations, et qui seront principalement routiers ?

      S’agit-il de désigner l’aéroport de Nantes comme l’un des éléments d’un éventuel troisième aéroport parisien, polynucléaire et intermodal par TGV interposé ? Après tant de destins aéroportuaires potentiels avortés à Nantes, lui aussi ne semble plus d’actualité malgré sa pertinence. Aéroports De Paris n’est guère favorable à cette idée car son territoire n’inclue pas l’aéroport de Nantes ; et l’intermodalité nécessaire n’y est pas envisagée. En l’absence d’une conception globale d’un système aéroportuaire français qui pourrait octroyer des fonctions parisiennes à Nantes, entre autres aéroports, quel potentiel accorder à Nantes, d’autant que la réforme aéroportuaire de 2005 débouche plus sur une compétition entre métropoles ou aéroports que sur leur complémentarité ?

      S’agit-il des nuisances sonores engendrées par le survol d’une partie de l’agglomération nantaise ? Concernant les décollages à Nantes-Atlantique, les pilotes indiquent la possibilité d’effectuer leurs virages un peu plus tôt et ainsi moins la survoler. À Notre-Dame-des-Landes, a-t-on pris en compte les mêmes nuisances pour une partie des 20 000 riverains et pour les populations permanente et touristique de St-Nazaire et de la Côte d’Amour ?

      S’agit-il d’une volonté de pouvoir valoriser, enfin, une opportunité foncière (Zone d’Aménagement Différé) créée par une remarquable anticipation en matière d’aménagement, celle des collectivités territoriales d’avoir réservé dès 1967 une emprise dans la perspective d’un futur aéroport ? La réponse logique aurait été positive dix ou vingt ans plus tard, mais un demi-siècle plus tard, les contextes ayant tellement changé, cette réponse a-t-elle encore toute sa pertinence ? Ne s’agit-il pas d’un projet du passé et d’un projet dépassé ?.. même si l’on peut valablement s’interroger sur le devenir à long terme de cette emprise foncière collective en plein espace rural,

      S’agit-il de libérer coûte que coûte l’emprise foncière de Nantes Atlantique pour permettre enfin l’extension de l’agglomération nantaise vers le sud, trop hypertrophiée au nord de la Loire ? L’une des vraies raisons, la plus importante, semble être là, et on la comprend bien ; mais elle élude à la fois la question d’Airbus Industrie et la possibilité d’une extension du site actuel vers le sud avec, au besoin, la création d’une deuxième piste orientée Ouest-Est.

      (...)

  • SITOM des Vallées du Mont Blanc - Compostage collectif
    http://www.sitomvalleesmontblanc.fr/Compostage-collectif

    Sur la base du volontariat des habitants intéressés, chaque utilisateur est équipé d’un bio-seau permettant de faire le lien entre la cuisine et le composteur mis à disposition.

    On peut critiquer la disparition des bennes collectives, mais comme il n’y a pas souvent d’initiative de #compostage_collectif mise en place par les institutions, en france en tout cas, j’ai trouvé celle-ci sur le site du #sitom (Syndicat Intercommunal de Traitement des Ordures Ménagères) des vallées du #mont_blanc.

  • Superbe interview de Gaston Rébuffat de 1956, vers 43’, nichée dans un Concordance des temps sur le Mont Blanc, décroissant avant l’heure, panthéiste montagnard :

    « Il y a le fait de se sentir parent avec la montagne, avec la neige, avec le vent d’Ouest qui est le mauvais vent, avec le vent du Nord qui est le bon vent, avec les nuages, avec un tas de choses...C’est un plaisir cosmique et sidéral... On participe à ce grand voyage de la Terre autour du Soleil. A l’heure actuelle, plus rien n’existe, le froid n’existe plus, on a le chauffage central, la lumière et les étoiles ça n’existe plus, on a l’électricité, il y a tellement de choses dont on se prive », etc. (vers 43’)

    http://www.franceculture.fr/emission-concordance-des-temps-le-mont-blanc-desire-et-fragile-2014-06

    #montagne #alpinisme #technique