• NDDL. Ils ont dessiné et publié une carte illustrée de la Zad
    http://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/nantes-44000/nddl-ils-ont-dessine-et-publie-une-carte-illustree-de-la-zad-4026145

    Des opposants nantais au projet d’aéroport éditent une carte de la Zone à défendre, avec des dessins liés à l’histoire du lieu et aux événements de la lutte contre #NDDL.

    La #Zad inspire ! Elle était déjà protégée comme une marque à l’Inpi (Institut national de la propriété industrielle), la voilà désormais présentée sous la forme d’une carte grand format, dépliable. En version décalée tout de même. Rien à voir avec une carte géographique, technique ou routière façon IGN ou Michelin.
    Vendue 1€

    Cette « carte de la Zad » est portée par l’association nantaise « A la criée », autoproclamée « laboratoire d’invention sociale ». Les concepteurs sont des opposants assumés au transfert de l’aéroport, mais leur démarche n’est pas militante, assurent-ils, au sens où « cette carte de la Zad ne répond pas à une commande des organisations anti-aéroport, ce n’est pas un objet de soutien », expliquent bien Frédéric Barbe, Geoffroy Pithon et Quentin Faucompré.

    Le profit de la vente n’ira pas dans les caisses des collectifs d’opposants ou dans les poches des zadistes. « On la vend 1 €, à prix coûtant. »

    On y retrouve des lieux-dits officiels, des lieux rebaptisés par les occupants, des dessins des activités agricoles. Les codes des couleurs, le vert et le bleu, ne sont pas innocents. Un dégradé de verts pour les champs et les forêts, le bleu symbolisant les zones humides.

    #cartographie

  • Pour respecter les engagements pris lors de la COP21, la France doit renoncer à construire l’aéroport de Notre Dame des Landes

    Qui a déclaré : « A Paris, il y a eu bien des révolutions depuis des siècles, mais aujourd’hui c’est la plus belle et la plus pacifique des révolutions qui vient d’être accomplie : la révolution sur le changement climatique » ?

    Réponse : François Hollande, en clôture de la COP21, la conférence internationale sur le climat, le 12 décembre 2015.

    Mais comment parler d’une révolution sans les actes courageux pour la faire advenir ? L’accord de Paris, adopté à l’unanimité en décembre 2015 à l’issue de la COP21, fixe au monde l’objectif de contenir l’élévation de la température de la planète « nettement en-dessous de 2° C » et de « poursuivre l’action » pour la limiter à 1,5° C. Y parvenir réduirait sensiblement les risques liés au dérèglement climatique, qui modifierait de manière irréversible les conditions d’existence sur Terre.

    Dès aujourd’hui, les émissions excessives de gaz à effet de serre et les dérèglements qu’elles provoquent accentuent les inégalités sociales et font courir de nouveaux risques sur l’ensemble du globe. Six cent mille morts de désastres climatiques depuis 1995 ; 250 millions de réfugiés climatiques à l’horizon 2050 : derrière ces chiffres, c’est la responsabilité de notre génération qui est en jeu. Tous les chefs d’Etat et de gouvernement ont reconnu cette responsabilité dans l’accord de Paris.

    Mais pour véritablement prendre sens, cet engagement doit maintenant dépasser les simples promesses diplomatiques et être mis en œuvre concrètement. Cela passe par la réduction d’activités émettrices de gaz à effet de serre, en particulier la combustion d’énergies fossiles.

    L’engagement pris dans l’accord de Paris n’est pas compatible avec la construction d’un aéroport à Notre Dame des Landes sur près de 2000 hectares de terres agricoles et de milieux naturels (qu’habitent de nombreuses espèces protégées), qui générerait un surcroît d’émissions par l’aviation, le bétonnage d’une des plus grandes zones humides du pays, et la destruction de fermes paysannes.

    A l’inverse, préserver le bocage fertile et riche en biodiversité de Notre Dame des Landes serait le signe de la maturité d’un pays prêt à s’engager dans la voie nouvelle de la transition énergétique et écologique, dont les générations actuelles comme les générations futures ont tant besoin. Abandonner ce projet ne préserverait par ailleurs pas que l’écosystème local : renoncer à un projet émetteur de gaz à effet de serre contribue également à préserver notre avenir à tou.te.s.

    Depuis plus de 40 ans, le projet d’aéroport de Notre Dame des Landes suscite l’opposition résolue et concertée d’agricultrices et d’agriculteurs, d’associations de protection de l’environnement, d’élu.e.s, d’habitant.e.s de la région, de riverain.e.s, de syndicalistes, ainsi que de nombreuses personnes à travers la France. Sur place, les opposant.e.s au projet d’aéroport mènent des expériences riches en enseignements, dans le domaine de l’agroécologie, de la permaculture, de l’habitat léger, etc. La qualité des études qui ont conduit à l’autorisation de l’aéroport est quant à elle contestable, son utilité même est remise en cause, de même que les dépenses que sa construction implique. L’abandon de ce projet, lancé il y a cinquante ans et désormais dépassé, est la seule position cohérente et pragmatique pour l’avenir de notre climat - c’est en effet à l’aune de l’accord de Paris que doit être jugée la pertinence de ce projet.

    –----

    Premier.e.s signataires :

    Giorgio Agamben, philosophe

    Geneviève Azam, économiste, porte-parole d’Attac

    Ludivine Bantigny, historienne

    Jérôme Baschet, historien

    Philippe Bihouix, ingénieur et écrivain

    Christophe Bonneuil, historien, CNRS

    Dominique Bourg, Philosophe

    Yves Citton, professeur à l’université de Grenoble-Alpes et co-directeur de la revue Multitudes

    Florent Compain, président des Amis de la Terre

    François Cusset, historien

    Denis Couvet, écologue, professeur au Museum national d’histoire naturelle

    Amy Dahan, historienne et sociologue des sciences

    Deborah Danowski, philosophe

    Virginie Despentes, écrivaine

    Vincent Devictor, Ecologue, CNRS

    Cyril Dion, écrivain et réalisateur

    Pierre-Henri Gouyon, professeur d’écologie au Museum national d’histoire naturelle

    Émilie Hache, philosophe

    John Holloway, sociologue et philosophe

    Jean Jouzel, climatoloque, ancien vice-président du groupe scientifique du GIEC

    Naomi Klein, journaliste

    Catherine Larrère, philosophe

    Jérôme Leroy, écrivain

    Erri de Luca, écrivain

    Virginie Maris, philosophe, membre du Conseil Scientifique du Patrimoine Naturel et de la Biodiversité auprès de la Ministre de l’écologie

    Bill McKibben, co-fondateur de 350.org

    La Parisienne Libérée, chanteuse

    Pierre Perbos, président du RAC

    Karen Pinkus, professeure de littérature comparée et d’italien

    Serge Quadruppani, écrivain, traducteur

    Pierre Rabhi, paysan, écrivain et philosophe

    Marc Robert, professeur de chimie, Univversité Paris Diderot

    Marie-Monique Robin, journaliste, réalisatrice et écrivaine

    Kristin Ross, professeure de littérature comparée

    Isabelle Stengers, philosophe

    Eduardo Viveiros de Castro, anthropologue

    Patrick Viveret, philosophe

    #petition : http://act.350.org/sign/NDDL
    #NDDL

  • Pour respecter les engagements pris lors de la COP21, la France doit renoncer à construire l’aéroport de Notre Dame des Landes - 350
    http://act.350.org/sign/NDDL

    Qui a déclaré : « A Paris, il y a eu bien des révolutions depuis des siècles, mais aujourd’hui c’est la plus belle et la plus pacifique des révolutions qui vient d’être accomplie : la révolution sur le changement climatique » ?

    Réponse : François Hollande, en clôture de la COP21, la conférence internationale sur le climat, le 12 décembre 2015.

    Mais comment parler d’une révolution sans les actes courageux pour la faire advenir ? L’accord de Paris, adopté à l’unanimité en décembre 2015 à l’issue de la COP21, fixe au monde l’objectif de contenir l’élévation de la température de la planète « nettement en-dessous de 2° C » et de « poursuivre l’action » pour la limiter à 1,5° C. Y parvenir réduirait sensiblement les risques liés au dérèglement climatique, qui modifierait de manière irréversible les conditions d’existence sur Terre.

    #NDDL

  • L’art du trolling ou comment troller les trolls
    http://rue89.nouvelobs.com/2015/12/18/lart-trolling-comment-troller-les-trolls-262511

    Un hacker et troll allemand a récemment présenté à Berlin plusieurs parades contre les commentateurs malveillants, qui pourrissent les débats. Devant des journalistes très attentifs.

    Quelques rappels de base pour le troll au service du « Bien » :

    - tu as perdu si tu emploies plus de mots que ton adversaire ;
    – tu as perdu si tu dois expliquer ;
    – tu as perdu si tu dois te justifier ;
    – tu as perdu si tu t’énerves ;
    – tu as perdu si tu ne rigoles pas ;
    – tu as perdu si tu te prends au sérieux ;
    – tu as perdu si tu attribues des qualités ;
    – tu as perdu si tu menaces les autres.

    Et quelques astuces bien sales pour faire enrager les trolls, comme le « Hellbanning », bannissement invisible, ou plus sympa encore, le captcha en boucle…

    • Pas mal mais ça doit être du boulot :

      Partant du constat qu’à chaque fois que quelqu’un poste un propos polémique et souvent débile, il reçoit de nombreuses réponses qui le traitent de nazi ou d’autres noms et que le débat ne prend jamais fin, Linus Neumann a créé le « hellbanning », une technique de bannissement astucieuse qu’il explique ainsi :

      « Le rageux qui a écrit le commentaire le voit posté sur la page, mais tous les autres visiteurs ne le voient pas. Et c’est comme ça que vous enlevez aux gens ce qu’ils veulent : des réactions.

      Ils écrivent tout seuls sur leur île déserte mais n’obtiennent aucune réaction. Psychologiquement, c’est le moyen le plus efficace pour décourager quelqu’un de continuer à poster. »

      Une fois le troll repéré, il se retrouve donc en silencieux et grogne jusqu’à l’épuisement, sans que les lecteurs s’en rendent compte.

    • Bah on peut pas s’assurer qu’il ne le découvre jamais @monolecte, mais après avoir marqué son message comme appartenant à tel compte utilisateur (en lui associant un cookie en plus), on peut quand même détecter suivant deux choses : soit si cette personne est connectée on lui affiche, soit si le cookie associé correspond au visiteur on lui affiche. Et tous les autres on leur affiche pas. Après, s’il change d’ordi ET qu’il n’est pas connecté à son compte, il finira forcément par voir que ses messages ne sont jamais postés. Mais ça limite quand même vachement, je suppose.

    • Je fais remonter cet article parce que je l’ai cherché, l’autre jour, en plein scandale de la #LigueduLol en me disant qu’il y avait un article qui m’avait énormément servi pour éviter d’être débordé-e-s par les trolls (sur la page FB pour la #zad #NDDL, c’est souvent à ça que je fais référence en terme d’expérience en fait !)
      Et je me suis rendu compte que ce qui était enseigné dans cet article, et qui a d’après lui passionné les journalistes en charge des forums d’infos, n’a quasiment pas été développé ni documenté : je n’ai trouvé aucun article récent sur le sujet.

      Et là un statut de Olivier Ertzscheid m’y fait penser à nouveau, pour une autre raison : à sa demande de sources sur une "culture du #LoL, une personne lui répond avec justesse :

      Bjr, ce n’est pas du LOL dont il faudrait un spécialiste mais du #Lulz ou du #Trolling.
      https://twitter.com/NikStantz/status/1098251259042242560

      Selon moi, c’est exactement la technique du #hellbanning qui s’est ou est en train de se développer du côté de #facebook. En tout cas c’est une sensation qu’on a eut très très fort lors de l’attaque de la #zad #NDDL : que nos publications n’étaient pas censurée (l’effet #Streisand a été compris et assimilé) mais qu’on parlait dans une bulle fermée, voire emprisonnante. Et face à ce type de censure, tu ne peux rien si tu choisis de continuer à communiquer uniquement sur facebook et cie... Et si tu ne prends pas soin des autres supports qui existent, particulièrement les supports permettant l’anonymat.
      A moins d’avoir une armée de trolls à ton service, ce qui est rarissime dans le domaine des luttes faites uniquement de bénévolat.
      Mais ce qui est désormais La Base pour les gouvernants en Israël, Russie, aux States, et Mexique et en France qui n’hésitent pas à financer des fermes à clic... Et pour les sites types #E&R qui utilisent la marchandisation et la pub comme base financière.
      Bref, sauf pour les agitateurs de haine...
      La boucle est bouclée.
      Et je trouve dingue qu’il y ait si peu de textes sérieux sur tout ça, puisque selon moi ce sont les fondements de la démocratie virtuelle qui sont en train de se mettre en place, et le capitalisme a posé bien profond ses fondations. Les choix numériques actuels du gouvernement sont aveuglants de limpidité.

  • Le Monde diplomatique, février 2013 (#2013/02)
    –------- en accès libre --------
    http://www.monde-diplomatique.fr/2013/02

    #Mali, des objectifs flous ;
    dossier : le laboratoire grec ; #Grèce #crise
    pour une analyse profane des #conflits ; #religion
    contourner l’impôt sans s’exiler ; #fisc
    qui gouvernera #Internet ? #gouvernance
    L’#Inde nouvelle s’impatiente ;
    #cartographie_radicale : #aéroports, de l’espace public à l’espace privé ; #privatisation @reka
    travailleurs saisonniers, la ronde infernale ; #travail
    fièvre acheteuse des Brésiliens à Miami ; #Brésil #riches
    en #Colombie, « pas de justice, pas de paix » ;
    le « capitalisme extrême » des #Frères_musulmans ;
    #cinéma français, la question qui fâche ; #exception_culturelle
    les #armes, de Robespierre à Charlton Heston #Etats-Unis

    • Dis le @mdiplo tu voudrais pas rendre l’article « Aéroports, de l’espace public à l’espace privé » http://www.monde-diplomatique.fr/2013/02/REKACEWICZ/48733 en mode public ? J’y fais souvent référence sur l’extension des #DFS pour la lutte #NDDL et... c’est super frustrant parce que je trouve rien d’aussi bien expliqué que ce que j’y avais lu à l’époque...
      S’il te plait s’il te plait s’il te plait s’il te plait s’il te plait... !

    • @val_k laisse tomber, tu me demandes et je t’envoie tout ce que tu veux. @mdiplo a décidé de se suicider en mettant tout derrière paywall (selon la direction, tu sais tout ça c’est beaucoup de boulot, pas de raisons que ce soit gratuit, etc... des mecs qui ont tout compris à Internet et aux réseaux participatifs). Ils ont aussi paywalisé une grande partie de mes archives cartographiques y compris des travaux très anciens, ce qui est totalement obscène (une espèce de détournement de patrimoine parce qu’on avait conçu cette collection en complet open access, utilisable pour tous 24/24 et 7/7). Mais on va bientôt libérer tout ça.

      La critique n’est pas destiné, bien sur à nos amis du Diplo du bas éventuellement seenthisiens qui subissent les diktats du diplo du haut. Au diplo du bas, je vous aime (toujours) et je vous aimerai encore plus si vous libériez toutes mes cartes des archives d’ailleurs.

      tag #je_n_en_manque_pas_une

    • Ok @val_k, le revoilà en accès libre — pour le coup il ne s’agit pas de « détournement » mais simplement d’un automatisme qui repasse des articles ouverts en fermés au bout d’un moment.

      Pour ce qui est des archives cartographiques de @reka, certains travaux anciens n’étaient tout simplement pas dans la base auparavant. Quelqu’un a été embauché au Diplo pour les rentrer, et il le fait mais sans les publier en accès libre, c’est vrai. C’est peut-être quelque chose à revoir, mais pour cela il faudrait que les gens communiquent sereinement. Ca me dépasse largement.

    • Après avoir demandé les trucs trente fois poliment et gentiment depuis deux ans, et qu’on oppose mépris et arrogance (mais bon c’est les médias c’est comme ça faut s’y faire) on arrive plus trop à être serein.

      @reka en colère

    • D’ailleurs lorsque j’ai quitté le journal il était convenu que les choses restent en l’état, archives carto comme blog. Vous ne m’avez jamais demandé la permission de publier de nouvelles anciennes cartes. Vous vous croyez tout permis, et je ne suis pas d’accord d’autant plus que vous créditez les travaux comme des ânes puisque vous n’en avez aucune mémoire. Le diplo qui fait comme la presse qu’il dénonce, c’est lamentable et irrespectueux pour les auteurs et pour mon travail.

    • Vous vous croyez tout permis, et je ne suis pas d’accord d’autant plus que vous créditez les travaux comme des ânes puisque vous n’en avez aucune mémoire.

      C’est pas ce que j’appelle communiquer sereinement.

      Signé : un âne.

      PS : ma patience a des limites.

    • @booz un peu de modestie t’irait mieux au souvenir de ton exemplaire comportement en cette matière. A ta place je la ramènerai pas trop. il ne s’agit pas de lessive mais de principes : avant vous personne n’aurait publié quoique ce soit sans le demander aux auteurs et sans les impliquer. Tankxxx ou @philippe_de_jonckheere ou selçuk ou n’importe quel artiste, photographe ou illustrateur vous auraient déjà carbonisé si vous aviez publié leur trucs sans leur demander ou les informer. Tankxxx ça aurait été un scud B. et @thibnton tu parles de patience, mais au risque d’être encore un peu plus désagréable, à propos de ma patience à moi (je ne fait que vous réinformer des principes de bases de bonne conduite siur lesquels vous vous essuyez les pieds), où vous croyez vous du haut de votre chaise au Diplo et croyez vous que vous pouvez faire n’importe quoi au mépris des auteurs qui ont contribué à ce journal ? En plus en mettant en ligne des projets en dépit du bon sens et en mettant les mauvais auteurs aux mauvais endroits ? c’est n’importe quoi votre truc. ni peg, ni alice ni personne de bien élevé n’aurait publié mes trucs sans m’en parler, m’impliquer, mais ces principes de base, de respect et de politesse, visiblement, ne sont pas passés dans votre cerveau. C’est du mépris et ça n’appelle pas à la sérénité, surtout quand on vous l’a demandé souvent gentiment dans un premier temps. Mais visiblement vous n’êtes même pas capable de comprendre. Et après vous venez donner des leçons de morale et de journalisme à la terre entière. SImplement : vous faites chier.

    • Merci @Reka, merci... @mdiplo (si si, quand même, pour #NDDL, c’est vraiment important !)

      Du coup par sécurité vu les turbulences, j’ai archivé :p
      http://web.archive.org/web/20160425140627/http://www.monde-diplomatique.fr/2013/02/REKACEWICZ/48733

      en vrai je peux comprendre les histoire de travail qui mérite salaire, hein, mais, et c’est ce que je reproche à d’autres qui ont fait votre choix, y’a des fois où le ratio fric / clic devrait permettre de libérer l’info pour l’intéret commun (ce qui, pour moi, devrait être tout le temps, mais bon, hein... )

    • @Reka, merci pour tes conseils constructifs. Si tu souhaites donner plus en détail ton avis sur la manière dont le journal gère le site ou sur l’attitude que je devrais adopter, peux-être peux tu m’écrire directement.

      ++

    • @val_k de rien pour moi c’est normal, je pense aussi que tout cela devrait être accessible et désolé pour cette petite colère, je dois dire à la décharge de mes ex collègues du diplo du bas que j’ai un peu maltraité, que ce n’est pas trop eux qui décident, ils subissent plutôt les choix idiots qui viennent du haut. Mais le diplo du haut gère le bouzin selon un modèle hiérarchique et autoritaire mais totalement rétrograde, mais qui a fait ses preuves donc pourquoi changer. Et @booz aucun intérêt de t’écrire directement pour des trucs que tu ne considèreras pas du haut de ton minable peit pouvoir. Ce que je veux est simple, soit vous libérez toutes mes cartes soit vous les virez et vous n’y touchez plus jamais de votre vie. Pour vous, je suis mort. C’est compliqué à comprendre ?