#neem

  • Dossier sur le #neem (margousier)
    http://btaillefer.blogspot.com/2013/03/plante-magique-n2-le-neem-margousier.html

    En Inde, le neem ou margousier (Azadirichta indica) est presque considéré comme un arbre sacré tant ses vertus sont nombreuses et son nom indien veut dire "qui guérit toutes les maladies". On l’appelle aussi « la pharmacie du village » car tout est bon en lui : feuilles, fruits, écorce, graines, tourteaux, racines

    Ne pas confondre Neem (azadirachta indica) et Melia (melia azedarach)

    + substance active : l’azadirachtine, (cf WP) actuellement interdite en UE pour l’agriculture :/

    L’#azadirachtine possède une structure moléculaire complexe. C’est un tétranortriterpénoïde hautement oxydé. Il présente une grande variété de fonctions oxygénées comme les éthers enoliques, acétals, hémiacétal et des oxiranes tétra-substitués ainsi que des esters carboxyliques. Par conséquent, aucune synthèse de cette molécule n’a été publiée durant les 22 premières années qui ont suivi sa découverte. La première synthèse totale a été achevée par Steven Ley en 20073,4. Les groupements hydroxyl secondaire et tertiaires, ainsi que les tétrahydrofuranes sont présents, et la structure moléculaire révèle 16 centres stéréogéniques, dont 7 sont tétrasubstitués. Ces caractéristiques expliquent la grande difficulté rencontrée lors de sa production par une approche synthétique.

    #plante_magique

  • FAO - Nouvelles : Nouveaux outils et formation pourraient révolutionner la gestion des #pesticides en #Afrique de l’Ouest http://www.fao.org/news/story/fr/item/214092/icode

    17 février 2014, Rome – Les champs écoles de producteurs qui forment les agriculteurs aux méthodes alternatives de lutte contre les ravageurs sont parvenues à quasiment éliminer le recours aux pesticides toxiques au sein d’une communauté de cultivateurs de coton au Mali, selon une nouvelle étude de la FAO publiée aujourd’hui par la Royal Society de Londres.

    (...)

    En réduisant l’utilisation de #produits_chimiques et en passant aux « #biopesticides » comme l’extrait de #neem, les cultivateurs du groupe de Bla ont restreint leurs coûts individuels moyens de production (voir en fin d’article l’encadré sur la lutte intégrée contre les ravageurs).

    En renonçant à appliquer plus de 47 000 litres de pesticides toxiques, les #agriculteurs ont économisé près d’un demi-million de dollars au cours de la période à l’étude.

    La formation des agriculteurs aux techniques alternatives de lutte contre les ravageurs s’est avérée trois fois plus rentable qu’acheter et utiliser des pesticides de synthèse, selon l’analyse de la FAO.