#nicaragua

  • Amérique centrale : la crise de trop
    https://www.cetri.be/Amerique-centrale-la-crise-de-trop

    Les nouvelles de l’Amérique centrale sont mauvaises. Tandis que deux énièmes ouragans dévastateurs, boostés par le réchauffement des océans, viennent de frapper l’isthme coup sur coup, la pandémie de coronavirus exacerbe, c’est peu dire, les profondes crises qui le déchirent. Crises économique, politique, sociale, environnementale… et, par voie de conséquence, crise migratoire : nombreux sont les Centro-Américain.es qui rêvent en effet d’échapper à leur condition, caractérisée par des niveaux de précarité (...) #Le_regard_du_CETRI

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    #Homepage_-_Actualités_à_la_une

  • HCR - Les difficultés se multiplient pour les réfugiés les plus âgés dans le contexte de la pandémie de Covid-19
    https://www.unhcr.org/fr/news/stories/2020/10/5f75cbe1a/difficultes-multiplient-refugies-ages-contexte-pandemie-covid-19.html

    Les difficultés se multiplient pour les réfugiés les plus âgés dans le contexte de la pandémie de Covid-19. Le déclin physique, l’aggravation des difficultés économiques et l’isolement rendent la vie plus difficile pour les personnes âgées, qui représentent quatre pour cent de la population déracinée dans le monde.
    SAN JOSE, Costa Rica - Malgré ses problèmes de genoux et son hypertension, Esperanza*, une Nicaraguayenne de 69 ans, demandeuse d’asile, se levait tous les jours à l’aube pour aller récolter le café afin de subvenir aux besoins de sa famille au Costa Rica. « Notre âge nous empêche de faire ce que nous devrions faire pour subvenir à nos besoins alimentaires », explique cette grand-mère, qui a dix petits-enfants et qui avait fui le Nicaragua en 2018, après une répression gouvernementale contre les manifestations de rue dans ce pays.« Récolter du café est très exigeant physiquement, et à notre âge, il est très difficile d’être dehors toute la journée, parfois dans le froid et tremblant sous la pluie battante. Si nous étions plus jeunes, ce serait plus facile », explique-t-elle.
    Pour Esperanza et son mari, qui a également fui au Costa Rica, la vie était déjà « une lutte quotidienne » dans ce pays étranger où ils étaient venus en quête de sécurité. Et maintenant, avec la pandémie de Covid-19, cette situation ne fait que s’aggraver.Le travail d’Esperanza s’est fait plus rare et elle et son mari ont pris du retard dans le paiement de leur logement, et ont été menacés d’expulsion. « Notre âge nous empêche de faire ce que nous devrions faire pour subvenir à nos besoins alimentaires. »
    Le HCR, l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés, leur a fourni une assistance qui leur a permis de payer le loyer qu’ils devaient et d’ainsi garder leur logement. Les demandeurs d’asile âgés, comme Esperanza, représentent environ quatre pour cent de la population relevant de la compétence du HCR dans le monde. Des Amériques, à l’Afrique et à l’Asie, beaucoup rapportent que leur vie déjà difficile devient encore plus difficile à mesure que la pandémie se propage. Depuis qu’il a fui les violences au Cameroun en février de l’année dernière, James Orock, un réfugié de 68 ans installé dans le sud du Nigéria, recevait une assistance financière de son fils, qui se trouve en Chine. Mais comme l’entreprise de son fils a souffert de la pandémie, il ne reçoit plus les sommes sur lesquelles il comptait.

    #Covid-19#migrant#migration#nicaragua#costarica#afrique#asie#amerique#sante#refugie#vieilliesse#pauvrete#vulnerabilite#transfert

  • #Nicaragua : un « culte du secret » du gouvernement Ortega face au danger du coronavirus ?
    https://www.cetri.be/Nicaragua-un-culte-du-secret-du

    Les réponses de Bernard Duterme, directeur du CETRI, aux questions de Myriam Baele, journaliste #RTBF, dans cet article RTBF Info du 8 juin. C’est une lettre ouverte qui a fait beaucoup de bruit ces derniers jours. Elle porte 32 logos : les signatures de 32 associations de médecins du Nicaragua, depuis l’association des pédiatres à celle des chirurgiens, en passant pas les urologues ou les psychiatres. Ces médecins y dénoncent un « culte du secret » de la part du gouvernement Ortega face à l’épidémie (...) #Le_regard_du_CETRI

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  • Comunidades rurales y su desafío de pensar contra el COVID-19
    https://www.cetri.be/Comunidades-rurales-y-su-desafio

    La salud es lo primero - ¿Cómo estás, pipita ? - Enjaranada, sin frijol, con canas y… - Si de salud estás bien, el resto son babosadas - Ahh ! ¡Si, eso mismo ! Pero me da miedo el #Coronavirus… - ¿Quién no tiene miedo ? El miedo es el peor enemigo de la razón. Piensa, pipita, tu amor por los demás es más fuerte que cualquier cosa... Además, ¡ya viene la lluvia ! El mundo entero vive días difíciles. Se siente miedo, impotencia, ganas de llorar. Lo único cierto es lo incierto. Cada quien quisiera apoyarse en (...) #El_Sur_en_movimiento

    / #Le_Sud_en_mouvement, #Nicaragua, Coronavirus, #COVID_19

  • Health : Stranded abroad. Nicaraguans who do not have permission to return to their country
    #Covid-19#migrant#migration#Nicaragua#bloqué

    https://www.explica.co/stranded-abroad-nicaraguans-who-do-not-have-permission-to-return-to-their-co

    The young woman from León had given up the attempt to enter Nicaragua several times, especially due to the recurring warnings she received from a friend of her family who works in the General Directorate of Migration and Aliens.

  • Nicaraguan migration and COVID-19, explained – The Tico Times | Costa Rica News | Travel | Real Estate
    #Covid-19#migrant#migration#costarica#nicaragua#sanspapier

    https://ticotimes.net/2020/06/12/nicaraguan-migration-and-covid-19-explained

    The second pandemic wave in Costa Rica has struck the Northern Zone, where vulnerable populations have become the country’s new coronavirus epicenter.

  • Plus de trois mille Nicaraguayens n’ont pas pu entrer au Costa Rica, depuis la fermeture de ses frontières par Covid-19
    #Covid-19#migrant#migration#Nicaragua#frontiere#CostaRica#coince

    https://www.breakingnews.fr/sante/plus-de-trois-mille-nicaraguayens-nont-pas-pu-entrer-au-costa-rica-depu

    Avec la fermeture des frontières par le Costa Rica, le 18 mars, pour éviter de nouvelles infections à Covid-19, l’entrée de 3 454 Nicaraguayens aux postes frontières de Peñas Blancas et Las Tablillas a été rejetée, la Direction générale de la Migration et immigration (DGME).

  • #Nicaragua and Western Progressive Opinion | Opinion | teleSUR English
    https://www.telesurenglish.net/opinion/Nicaragua-and-Western-Progressive-Opinion-20190813-0012.html

    There has always been significant neocolonial left-wing opinion in North America and Europe, willingly misled by supposedly liberal or progressive news media.

    Progressives in Europe and North America attacking Nicaragua’s Sandinista government consistently exclude from their version of events in 2018 the extreme, sadistic violence and economic hardship imposed on Nicaragua’s people by the country’s U.S.-supported political opposition. The demonstrable facts of the failed attempt to overthrow President Ortega stubbornly contradict the outright lies and misrepresentations promoted by the Nicaraguan opposition’s foreign supporters.

    Consequently, Western progressives opposed to President Ortega’s government face various intractable dilemmas as they try in vain to distance themselves from the country’s U.S.-owned right-wing political opposition, suppressing the fact that the center-right MRS party, whose propaganda they promote, lobbied for support from extreme right-wing U.S. Congress members Marco Rubio and Ileana Ros Lehtinen. In Ireland, the latest ploy by progressives to cover up their association with Nicaragua’s right-wing has been to revive the long moribund Irish Nicaragua Solidarity Group.

    In this context, the solidarity tag invokes the phony, US-driven, anti-monster hyperbole familiar from NATO government and media propaganda against, among others, Syria and Venezuela, rather than anti-imperialist support for governments and peoples resisting the U.S. and allied country sanctions and threats of intervention. This political alignment immediately compounds the initial dilemma facing Western supporters of the Nicaraguan opposition. Their recycling of falsehoods and misrepresentations promoted by Nicaragua’s right-wing opposition is further exposed by the lack of anyone to show solidarity within Nicaragua untainted by their association with that same US-owned right wing. Essentially, their dilemma derives from class loyalties leading them naturally to support their class counterparts in Nicaragua: unrepresentative NGO managers, marginal phony revolutionaries, minority social democrat politicians and their associated media.

    In Nicaragua, there is no credible left-wing opposition to President Ortega’s Sandinista government outside the Sandinista Front for National Liberation (FSLN). The authoritative M&R opinion polling consultants’ survey of May this year showed that the main opposition political parties, all of whom are right-wing, together have the same level of national support they had consistently between 2011 and 2018, namely under 10%. No political left-wing with significant support exists. Implicitly recognizing this, North American and European progressives tend to argue that, absent any representative left-wing political party, they support purportedly progressive social movements opposed to the government. But a look at the role of those social movements’ in last year’s failed coup attempt reveals that they have zero claims to a progressive program with majority support.

    The main participants in the failed coup attempt were: the US government supported the Sandinista Renewal Movement, along with ex-Sandinista allies like Monica Baltodano and her circle; the most reactionary Catholic Church bishops; the main private employers organization COSEP; US and EU country-funded NGOs; the foreign-funded Anti Canal Movement and the extreme right-wing Ciudadanos por la Libertad political party as well as individual local politicians, mayors for example, from the other right-wing political parties. The coup attempt was stridently supported by U.S. government-funded media oligarch Carlos Fernando Chamorro and other sympathetic right-wing media.

    Given the unprecedented psychological warfare assault, a large number of Nicaraguan students understandably initially supported the coup. But the great majority of public university students realized within a couple of weeks that the coup attempt was in fact a class war against them and their families. That was made very clear when Nicaragua’s wealthiest business leader Piero Coen, on Saturday, April 21, 2018, publicly declared his support, urging demonstrators to continue their violent protests.

    The class attack on low-income students and their families intensified with the violent, criminal occupation of the UNAN and UPOLI, universities serving students from low-income families while private universities were left untouched, and by the opposition’s attempted murder of student leader Leonel Morales because he opposed the coup attempt. Most private university students supported the opposition violence at arms’ length, so long as they were not directly affected. Likewise, opposition feminist NGO leaders, with practically no social base, openly worked in alliance with the most reactionary anti-abortion Catholic bishops, with the wealthy private business leaders of COSEP as well as with well-known right-wing politicians.

    On the other hand, women opposing the coup attempt included the huge mass membership of women in the country’s labor unions, cooperative movement and popular economy organizations. Women now comprise around 45% of all cooperative members (112,000 out of 253,000 in 2014), compared to just 26% in 2006. This and similar facts, like Nicaragua’s leading global example in women’s political representation or the halving of maternal mortality since 2006, attest to the unprecedented advances of women in Nicaragua since 2006, a process led by the FSLN, guided in particular by Vice President Rosario Murillo. Those advances contradict attacks on the government by unrepresentative feminist NGO leaders, including beneficiaries of US government funding like Sofia Montenegro and Violeta Granera, and other marginal figures, like Sandra Ramos or Azahalea Solis.

    After the violent events of April 18th-April 23rd, involving well organized, extremely violent armed opposition attacks in at least ten important towns and cities, including Managua, Masaya, Leon, Granada, Jinotepe, Diriamba, Estelí and Bluefields, resistance to the attempted overthrow of the government quickly consolidated.

    It included all the main labor unions; all the main cooperative organizations; all the main organizations representing small and medium-sized businesses; the nationwide Association of Rural Workers which is a member of Via Campesina; the main students’ union and, too, the Senior Citizens Union. On the Caribbean Coast, most indigenous and afrodescendant organizations supported the government. That reality further compounds the dilemma facing foreign progressives opposed to Nicaragua’s Sandinista government, because it renders absolutely clear the class war embodied in the failed coup attempt of 2018.

    Ex-Sandinistas like Henry Ruiz and Monica Baltodano openly allied with the private big business owners of COSEP, with the most reactionary Catholic bishops, with US-funded proxies like Felix Maradiaga, Juan Sebastian Chamorro and Sofia Montenegro, among a host of other foreign government-funded figures, including CENIDH’s Vilma Nuñez. Monica Baltodano herself was a deputy for the center-right Sandinista Renewal Movement from 2007 to 2011 and consistently voted with Nicaragua’s right-wing political parties in the National Assembly.

    More recently, she and her daughter Monica López have championed the Anti-Canal Movement, which has a limited rural base in Nicaragua’s central southern farming region and is most associated with Francisca Ramirez, a landowner and businesswoman from Nueva Guinea who poses misleadingly as a simple Campesina. They have worked closely with Nicaragua’s right-wing for years, for example with the right-wing media owner and former presidential candidate Fabio Gadea.

    Not one of these so-called civil society leaders condemned the violence perpetrated by their militant supporters and paid delinquents at the numerous barricades and roadblocks set up in part to try and paralyze the country’s economic life and in part to terrorize people at grassroots.

    To the contrary, they encouraged it and suppressed the truth of incidents such as the massacre of four police officers and a school teacher in El Morrito on July 12, 2018 carried out by Anti Canal Movement militants operating roadblocks under the leadership of Medardo Mairena. Vilma Nuñez’s CENIDH activists violently invaded the UNAN campus and persistently broadcast systematic lies accusing the police and security forces of extremely serious crimes now proven categorically to have been committed by the opposition, for example, the family notoriously burned to death in Managua’s Carlos Marx district on June 16, 2018.

    All of this means that people in Ireland or anywhere else in North America and Europe expressing solidarity with the political opposition to President Daniel Ortega are supporting organizations and individuals allied with extreme right-wing politicians, with corporate capitalist business leaders, with local US-funded NGO mercenaries and with the most reactionary representatives of the Catholic Church hierarchy.

    No other political opposition exists, either among Nicaragua’s social movements or its political organizations. The M&R May 2019 poll results categorically confirm the lack of public support for Nicaragua’s opposition. Even back in September 2018, only 28% of people in Nicaragua wanted to continue protests via barricades and roadblocks. By May 2019 that figure had dropped to 10%, with 32% of people in Nicaragua opposing President Ortega and 59% supporting him and his government.

    The dilemmas facing Western opponents of President Ortega’s Sandinista government have led them into completely demented cognitive dissonance. Progressive foreign opponents of President Ortega simultaneously say they oppose US intervention while supporting a Nicaraguan opposition calling precisely for….U.S. intervention and sanctions. They claim to be anti-imperialist while contradicting explicit support for Nicaragua’s FSLN government from the most important anti-imperialist mass political front in Latin America and the Caribbean, the Foro Sao Paulo. They claim to be democratic while deliberately omitting and suppressing abundant information available within Nicaragua that would allow the general public in North America and Europe a true and fair view explaining President Ortega’s majority support.

    These attitudes and behavior are nothing new. There has always been significant neocolonial left-wing opinion in North America and Europe, willingly misled by supposedly liberal or progressive news media and disingenuous NGOs like Amnesty International. But for the last thirty years, the same lies and psy-warfare motifs have been constantly repeated to the point where there is no excuse to fall for them yet again. As in the case of Venezuela, Syria or Iran, most Western progressives readily attack majority world governments and movements legitimately defending their national sovereignty. Nicaragua is another example of this kind of neocolonial injustice promoted by Western progressives colluding with the self-same imperialist policies they falsely claim to oppose.

    Stephen Sefton, Tortilla con Sal, August 12th 2018

  • #Nicaragua : libération des leaders de la contestation
    https://www.cetri.be/Nicaragua-liberation-des-leaders

    Interview (JP de 18h, 11 juin) de Bernard Duterme, directeur du CETRI, sur la libération des opposants au Nicaragua. Ce lundi déjà, le gouvernement nicaraguayen annonçait la libération de 50 prisonniers politiques, en vertu d’une loi d’amnistie décriée par l’opposition, qui y voit une manière de couvrir les exactions commises contre les manifestants par la police et les paramilitaires. La loi prévoit par ailleurs que les prisonniers politiques libérés doivent « s’abstenir » de participer à de futures (...)

    #Le_regard_du_CETRI

    / #Le_Sud_en_mouvement, #Le_regard_du_CETRI, Nicaragua, #Audio, #Radio_Vatican

    https://www.cetri.be/IMG/mp3/rg_francese_3_110619.mp3

  • #Nicaragua : Amaya est libre
    https://www.cetri.be/Nicaragua-Amaya-est-libre

    Etudiante belgo-nicaraguayenne, Amaya Coppens était emprisonnée depuis le 10 septembre 2018 pour avoir manifesté contre les politiques du gouvernement du Nicaragua. Amaya Coppens Zamora est libre ! Un soulagement énorme pour ses proches. Étudiante belgo-nicaraguayenne emprisonnée depuis le 10 septembre 2018 pour avoir manifesté contre les politiques du gouvernement du Nicaragua, elle a enfin été libérée par un régime aux abois ce 11 juin, elle et plusieurs dizaines de prisonniers politiques. Étudiants, (...)

    #Le_regard_du_CETRI

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    #Le_Sud_en_mouvement

  • #Nicaragua : grève nationale de 24 heures contre le président Daniel Ortega.

    Nicaragua amaneció en paro nacional en protesta contra Ortega
    http://www.el-nacional.com/noticias/latinoamerica/nicaragua-amanecio-paro-nacional-protesta-contra-ortega_283216


    Foto: AFP

    Nicaragua amaneció este jueves en paro nacional, en protesta contra el presidente Daniel Ortega, a quien la oposición le exige que libere a los presos políticos y respete los derechos humanos.

    A pesar de que el gobierno amenazó con tomar medidas contra los negocios que se sumaran al paro nacional de actividades, el cierre de establecimientos fue notorio, aunque no total, en las primeras horas del día.

    El paro nacional fue evidente en ciudades como Camoapa, Chichigalpa, Chinandega, Ciudad Sandino, El Viejo, Granada, Jinotepe, León, Nueva Guinea, Managua, Matagalpa y Tipitapa.

    La mayoría de negocios cerrados en la mañana eran las grandes y medianas empresas; por el contrario, la mayor parte de los comercios que abrieron sus puertas fueron los pequeños comerciantes.

  • #Nicaragua : douze années de lutte sans relâche
    https://www.cetri.be/Nicaragua-douze-annees-de-lutte

    Sur #La_Première RTBF (JP 18h), interview par Wahoub Fayoumi de Maria Teresa Blandón, féministe nicaraguayenne qui a participé au mouvement de libération nationale aux cotés de Daniel Ortega dans les années 1970, mais qui s’est distanciée du parti au pouvoir en raison des dérives du régime. Elle était l’invitée du CETRI en Belgique ces derniers jours.

    #Le_Sud_en_mouvement

    / #Le_Sud_en_mouvement, #Audio, La Première, Nicaragua, #Répression, #Mouvement_de_femmes, #Genre, #Droits_de_l'homme, #Néolibéralisme, #Le_regard_du_CETRI

  • #Nicaragua : deux années de lutte sans relâche
    https://www.cetri.be/Nicaragua-deux-annees-de-lutte

    Sur #La_Première RTBF (18h10-18h15), interview par Wahoub Fayoumi de Maria Teresa Blandon, féministe nicaraguayenne qui a participé au mouvement de libération nationale aux cotés de Daniel Ortega dans les années 1970, mais qui s’est distanciée du parti au pouvoir en raison des dérives du régime.

    #Le_Sud_en_mouvement

    / #Le_Sud_en_mouvement, #Audio, La Première, Nicaragua, #Répression, #Mouvement_de_femmes, #Genre, #Droits_de_l'homme, #Néolibéralisme, #Le_regard_du_CETRI

  • #Nicaragua : « Ce n’est pas admissible que Daniel Ortega reste »
    https://www.cetri.be/Nicaragua-Ce-n-est-pas-admissible

    Toujours pas de libération pour les prisonniers politiques au Nicaragua... Les discussions ouvertes dans le cadre du dialogue entre le gouvernement du président Daniel Ortega et l’opposition de la société civile unie (dans la coalition d’opposition Unidad Nacional Azul y Blanco, UNAB) piétine. En cause, essentiellement la revendication non satisfaite de l’opposition de libérer tous les prisonniers politiques. Parmi eux se trouve la Belgo-Nicaraguayenne Amaya Coppens. La jeune étudiante en (...)

    #Le_regard_du_CETRI

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    #Néolibéralisme

  • #Nicaragua : ce lundi 1er avril à Bruxelles
    https://www.cetri.be/Nicaragua-ce-lundi-1er-avril-a

    Lundi 1er avril à 19h30 à Bruxelles, conférence-débat avec Francisca Ramírez, Mónica López, María Teresa Blandón, importante délégation féminine nicaraguayenne de la « Articulación de Movimientos Sociales - AMS » en lutte contre le régime Ortega-Murillo. Avec également Diego Coppens, le frère d’Amaya, leader étudiante belgo-nicaraguayenne emprisonnée au Nicaragua depuis le 10 septembre dernier. Présentation des intervenantes et informations pratiques : https://www.cetri.be/La-crise-politique-au-Nicaragua-au (...)

    #Le_regard_du_CETRI

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  • #Nicaragua : une nouvelle promesse de libération ?
    https://www.cetri.be/Nicaragua-une-nouvelle-promesse-de

    Le grand patronat du Nicaragua nous annonce donc ce matin (21 mars) qu’il accepte de reprendre les négociations dès demain avec le régime Ortega-Murillo, son allié de 2007 à 2018 ; que celui-ci promet de libérer dans les trois mois à venir (90 jours...) tous les prisonniers politiques (composés à environ 70% de sandinistes, selon Mónica Baltodano) ; et que la communauté internationale est dès lors invitée à suspendre ses (menaces de) sanctions, pour relancer l’économie nicaraguayenne. Bonne nouvelle en (...)

    #Le_regard_du_CETRI

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  • Pendant ce temps-là, au #Nicaragua, Daniel Ortega joue l’esquive et cherche à gagner du temps…

    Ortega se escabulle
    http://www.el-nacional.com/noticias/columnista/ortega-escabulle_271792

    Todo el mundo esta tenso. Todos pendientes de Venezuela. Maduro no tiene perdón y él lo sabe y de ahí su conducta, propia de rata acorralada.

    Y mientras tanto, Daniel Ortega se escabulle, pero sin dejar de seguir las instrucciones del viejo Fidel: no dejar ni ceder el poder por ninguna razón.

    Las noticias desde Nicaragua muestran que la situación si no es peor que la de Venezuela, va camino a ello.

    No está claro cuántos son los muertos, si 325 o 561 y los detenidos entre 340 o 767. El gobierno Ortega-Murillo, admite 199 muertos y 340. Qué bueno.

    A ello se suman cientos de exiliados y de desaparecidos, más la represión permanente y hasta golpizas en las cárceles.

    Todo espantoso. Un juez de nombre Edgard Altamirano, condenó a 216 años de cárcel a Medardo Mairena, líder campesino que participó en el Diálogo Nacional como parte de la Alianza Cívica por la Justicia y la Democracia. Lo acusan de ser el responsable intelectual de la muerte de 5 policías y de 11 secuestros y algunos delitos más, según el magistrado. Este mismo señor Edgard Altamirano por el mismo caso condenó a los dirigentes campesinos Pedro Mena y Orlando Icabalzata a 210 y 159 años de prisión. El señor Altamirano no tiene freno: la fiscal había pedido 73 años para Mairena y 63 y 59 respectivamente para los otros dos dirigentes.

    Altamirano será el juez que juzgará el próximo 18 de marzo a los periodistas Miguel Mora y Lucía Pineda Ubau, presos desde diciembre pasado acusados de terrorismo. Ortega y Murillo los acusan de hacer terrorismo; el delito que cometieron fue informar. Altamirano será el encargado de decidir.

    Miguel Mora es el director y propietario del canal de televisión 100% Noticias, y Lucía Pineda es su jefe de prensa. A fines del año pasado el canal fue allanado por fuerzas policiales y aquellos fueron detenidos y hay otros tres periodistas requeridos ya en el exilio. Los cargos: "fomentar e incitar al odio y la violencia" y «provocación, proposición y conspiración para cometer actos terroristas».

    Como toda dictadura que se precie, la de Ortega-Murillo ha terminado con la libertad de prensa. No quieren que se sepa lo que hacen.

    Y hay noticias que pueden ser peores. Parece que el gobierno nicaraguense ha aceptado discutir con la Secretaría General de la OEA reformas a su sistema electoral, descartando de entrada un adelanto de las elecciones previstas para noviembre de 2021, que es lo que la oposición, la Iglesia, los estudiantes y todo el mundo reclama. Casi 2 años –33 meses– es mucho tiempo: ¿cuántos serán los muertos y los presos y los desaparecidos? ¿Hasta qué límites llegará la represión?

    ¿Y todo ese tiempo sin libertad de prensa, de asociación y de reunión como hasta ahora?

    Ortega-Murillo siguen los pasos de Maduro: ganar tiempo. El venezolano con distintas ayudas en cada momento –Rodríguez Zapatero, el papa Francisco, dos o tres presidentes vecinos, el gobierno uruguayo del izquierdista Frente Amplio y algunos europeos en los que nunca hay que confiar mucho– ha conseguido continuar en Miraflores.

    Aparentemente los de Nicaragua quieren involucrar al secretario general de la OEA con este intento de ganar tiempo . Se supone que no tendrán mucha suerte; el secretario de la OEA ha solicitado para el régimen nicaraguense –acusado ya de delitos de lesa humanidad– la aplicación de la Carta Democrática Interamericana. Y Ortega y Murillo no pasan esa prueba: bastan para desnudarlos los informes de la propia Comisión de Derechos Humanos y del Relator para la Libertad de Expresión, de la OEA.

    Con lo que se vive hoy en Nicaragua, con ese estado de situación, hablar de reformar y reforzar el sistema electoral parece una broma, un chiste de muy mal gusto.

  • La crise nicaraguayenne : ressorts et perspectives
    https://www.cetri.be/La-crise-nicaraguayenne-ressorts

    Le 1er octobre dernier, face à l’Assemblée générale des Nations unies, le discours du ministre des Affaires étrangères du #Nicaragua n’a pas surpris. Mon pays « a résisté aux tentatives de coup d’État » à l’œuvre depuis le mois d’avril, expliqua-t-il, dénonçant dans le même mouvement « les menaces et l’ingérence des États-Unis », « l’interventionnisme », « le terrorisme déguisé en manifestations pacifiques », « les assassinats atroces, les tortures inhumaines, les destructions… », ainsi que « le capitalisme sauvage » (...)

    #Le_regard_du_CETRI

    / #Le_regard_du_CETRI, #Le_Sud_en_mouvement, #Analyses, Nicaragua, La Revue (...)

    #La_Revue_nouvelle

  • #Nicaragua : chronique d’une crise annoncée
    https://www.cetri.be/Nicaragua-chronique-d-une-crise

    Le 1er octobre dernier, face à l’Assemblée générale des Nations unies, le discours du ministre des Affaires étrangères du Nicaragua n’a pas surpris. Mon pays « a résisté aux tentatives de coup d’État » à l’œuvre depuis le mois d’avril, expliqua-t-il, dénonçant dans le même mouvement « les menaces et l’ingérence des États-Unis », « l’interventionnisme », « le terrorisme déguisé en manifestations pacifiques », « les assassinats atroces, les tortures inhumaines, les destructions… », ainsi que « le capitalisme sauvage » (...)

    #Le_regard_du_CETRI

    / #Le_regard_du_CETRI, #Le_Sud_en_mouvement, #Analyses, Nicaragua, La Revue (...)

    #La_Revue_nouvelle

  • Imparable éxodo forzado de nicaragüenses hacia Costa Rica

    Aunque del total de solicitudes de refugio que hasta noviembre pasado había recibido el Gobierno de Costa Rica un 82 por ciento correspondía a nicaragüenses que recurrieron al exilio forzado, ninguno de ellos aparecía en el listado de los beneficiarios ya aprobados hasta esa fecha.

    En términos absolutos, hasta finales de noviembre del 2018, Migración y Extranjería costarricense registraba un total de 24,938 solicitudes de refugio, de las cuales 20,385 fueron hechas por nicaragüenses.


    https://www.laprensa.com.ni/2019/01/02/nacionales/2509625-imparable-exodo-forzado-de-nicaraguenses-hacia-costa-rica

    #réfugiés_nicaraguayens #Nicaragua #réfugiés #asile #migrations #Costa_Rica

  • Ante la crisis de #Venezuela la izquierda carece de crítica
    https://www.cetri.be/Ante-la-crisis-de-Venezuela-la

    Nicaragua y Venezuela aparecen cada vez más enlazadas en análisis y declaraciones. Tanto la aguda crisis humanitaria del proceso bolivariano como la deriva represiva del proceso orteguista plantean preguntas importantes a la izquierda internacional que no se resuelven con una solidaridad incondicional y acrítica. Edgardo Lander no es sólo un académico, profesor titular de la Universidad Central de Venezuela e investigador asociado del Transnational Institute. Es una persona vinculada desde hace (...)

    #El_Sur_en_movimiento

    / #Le_Sud_en_mouvement, Venezuela, #Nicaragua, #Nueva_Sociedad

  • #Nicaragua : fin de régime ?
    https://www.cetri.be/Nicaragua-fin-de-regime-4793

    Depuis avril 2018, le Nicaragua traverse une profonde crise de régime. Fortement contesté, le couple régnant – le président Daniel Ortega et la vice-présidente Rosario Murillo, épouse du premier – s’accroche au pouvoir.

    #Le_regard_du_CETRI

    / #Le_regard_du_CETRI, #Le_Sud_en_mouvement, #Analyses, #Cause_commune, Nicaragua

    https://www.cetri.be/IMG/pdf/causecom-nica.pdf

  • Les #violences_de_genre à l’épreuve du droit

    ❝Quand la critique féministe renouvelle le droit. Présentation du dossier
    Marta Roca i Escoda, Pauline Delage et Natacha Chetcuti-Osorovitz

    Légiférer sur les « violences de genre » tout en préservant l’ordre patriarcal. L’exemple du #Nicaragua (1990-2017)
    Delphine Lacombe

    Les violences au sein du couple au prisme de la #justice_familiale.
    Invention et mise en œuvre de l’ordonnance de protection
    Solenne Jouanneau, Anna Matteoli

    Les politiques de lutte contre les violences de genre en #Belgique et les #femmes_migrantes : entre volonté de #protection et #contrôle_migratoire
    Isabelle Carles

    Déqualifier les #viols : une enquête sur les mains courantes de la #police_judiciaire
    Océane Pérona

    Sous condition « d’émancipation active » : le droit d’asile des prostituées nigérianes victimes de #traite des êtres humains
    Prune de Montvalon
    #traite_d'êtres_humains #prostitution #Nigeria #migrations

    https://ds.hypotheses.org/3483
    #genre #violence #droit #revue

  • Bishops bloodied, churches besieged in #Nicaragua crackdown - The Washington Post
    https://www.washingtonpost.com/world/the_americas/bishops-bloodied-churches-besieged-in-nicaragua-crackdown/2018/07/27/3f4a0440-9152-11e8-ae59-01880eac5f1d_story.html

    A pro-government mob shoved, punched and scratched at Cardinal Leopoldo Brenes and other Catholic leaders as they tried to enter the Basilica San Sebastian. “Murderers!” people shouted. An auxiliary bishop was slashed on the arm with some sort of sharp object.

    The ugly scene in the normally sleepy town of Diriamba, an hour’s drive south of Nicaragua’s capital, was a dramatic example of how rapidly a wave of unrest has soured relations between the Roman Catholic Church and beleaguered President Daniel Ortega.

    The church has tried to play a mediating role between Ortega’s Sandinista government and protesters who have increasingly demanded his ouster amid demonstrations and clashes in which about 450 people — most of them protesters — have been slain.

    Instead it finds itself increasingly targeted by Ortega and his backers, reviving a hostility between the Sandinista base and the church establishment that burned hot during the 1980s but seemed to have been overcome in recent years, when the former guerrilla commander had formed a sort of alliance with once-critical bishops.
    […]
    Through his verbal attacks, Ortega is “telling his followers, especially the (pro-government gangs), ‘You can go ahead and beat up priests and bishops and vandalize church buildings without any punishment,’” Gooren said.

  • #Nicaragua, De Vivirás Monimbó, 1982 à Adelante Monimbó, 22/06/2018 du même Carlos Mejía Godoy, accompagné des mêmes Los de Palacagüina, de Camilo Ortega, petit frère de Daniel à … Daniel Ortega, le «  tyran  »

    Vivirás Monimbó
    https://www.youtube.com/watch?v=E_ndsQYCJ2c

    Monimbó, el bastión histórico del FSLN, se rebela ante el orteguismo
    https://www.laprensa.com.ni/2018/04/20/politica/2406908-la-valiente-historia-de-monimbo
    (article du 20/04/2018)

    Vivirás Monimbó,
    Llama pura del pueblo
    Oigo tu corazón,
    Atabal guerrillero
    Donde el indio cayó
    Floreció el granadillo
    Para hacer las marimbas
    Que toquen los sones de liberación

    La canción de Carlos Mejía Godoy evoca la gesta de 1978 del barrio índigena Monimbó, en Masaya, durante la insurrección popular en contra de la dictadura somocista. Desde este jueves, la proeza ha sido revivida en ese barrio por las barricadas que han levantado y los enfrentamientos que han tenido los pobladores con los antimotines luego que acogieran la marcha de jubilados en contra de la reformas al Seguro Social, firmadas por el presidente designado Daniel Ortega. El enfrentamiento duró más de 10 horas y este viernes continúa.

    La valentía de Monimbó está enraizada en la memoria histórica de Nicaragua, ya que el 26 de febrero de 1978, en la plaza Pedro Joaquín Chamorro, Mártir de las Libertades Públicas, fue donde se dio el primer levantamiento popular de Masaya en contra de la dictadura somocista.

    Monimbó así cultivó fama de aguerrido. Los indígenas fueron los protagonistas en el levantamiento de barricadas y fogatas para impedir la entrada de la Guardia Somocista. En represalia, el régimen los bombardeó sin piedad y buscó casa a casa a los combatientes y en la refriega cayeron al menos 50 monimboseños, de acuerdo a los testimonios de los participantes, porque nunca se pudo lograr recuento oficial de víctimas.

    Sin embargo, el simbolismo del levantamiento del barrio indígena toca de manera particular al presidente designado Daniel Ortega, ya que en esta lucha fue abatido su hermano menor, Camilo Ortega Saavedra. También se recuerda al indígena Asunción Armegol Ortiz, a quien se le atribuyen la invención de las famosas bombas de contacto, que fueron utilizadas por los guerrilleros en sus combates en contra de la Guardia Nacional.

    Carlos Mejía Godoy, combattant sandiniste de la première heure et un temps député après la chute de Somoza, diffuse hier une chanson à la gloire de Monimbó, à la pointe des manifestations contre la réforme des retraites appliquée à la demande du FMI.

    Adelante Monimbó - Carlos Mejía & Los de Palacagüina - YouTube
    https://www.youtube.com/watch?v=VUk__d5Iwoc

    Carlos Mejía Godoy escribió un tema en honor a Masaya y Monimbó, en el contexto de la crisis en NicaraguaCarlos Mejía Godoy, cantautor de Nicaragua, ha presentado una nueva canción en honor a Masaya, en especial al pueblo indígena de Monimbó, que justo hoy sufre un ataque combinado de policías y civiles armados, que ha dejado al menos a tres personas muertas y decenas de heridos.

    Mejía Godoy, quien también es autor de la tradicional canción “Vivirás Monimbó”, usada durante la insurrección popular en contra de la dictadura de Anastasio Somoza de Debayle, en 1979, dio a conocer esta mañana a través de Radio Corporación de su nueva canción.

    _Han pasado cuarenta años
    De aquellos días de gloria
    Y se repite la historia
    La masacre de la juventud
    Han pasado cuarenta años
    No aprendimos la leccion
    El pueblo no se olvida
    De tanta perfidia
    De tanta traición

    Adelante Monimbó
    Nadie detendrá jamás
    Esa fuerza incontenible
    De valor y dignidad
    Adelante Monimbó
    Estare siempre con vos
    Si yo me encuentro a tu lado
    Estoy arrobado con tu bendición
    Si yo me encuentro a tu lado
    Me siento brindado con tu corazón

    Monimbó, quartier de Masaya
    Masaya - Wikipedia, la enciclopedia libre
    https://es.wikipedia.org/wiki/Masaya

    El 18 de junio de 2018, ante la situación de plena ingobernanza y caos que empezó a atravesar la ciudad en el contexto del conflicto nacional contra Daniel Ortega, fue declarada «zona de autogobierno autónomo» por un grupo de protestatntes encabezados por el insurgente Christian Fajardo. Al día siguiente, grupos armados del gobierno central de Nicaragua invadieron la ciudad. El proclamado autogobierno duró veintidós horas.

    version très (très…) raccourcie, dans WP[fr]
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Masaya

    Carlos Mejía Godoy WP[fr]
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Carlos_Mej%C3%ADa_Godoy