Leur rêve se transforme en cauchemar
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Les trafiquants les recrutent via des contacts personnels. Ils leur font de fausses promesses d’éducation ou de travail en Europe. Bien que volontaires au départ, les femmes perdent rapidement leurs libertés. « On nous appelait « produits » et nous traitait comme telles », affirme Tobore. La journaliste doit poser nue devant un jury. Ce dernier considère que son corps est assez attractif pour être rangé dans la catégorie « force spéciale ». Tobore peut ainsi travailler comme escort girl pour de riches clients et éviter le trottoir, à l’inverse de femmes classées dans la « force de rue ».
La journaliste #Tobore_Ovuorie
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