Ban muslims ! Ban men !
#préjugés #islamophobie #statistiques #probabilité #islam #terrorisme #caricature #dessin_de_presse
Ban muslims ! Ban men !
#préjugés #islamophobie #statistiques #probabilité #islam #terrorisme #caricature #dessin_de_presse
Et ça me rappelle cette autre déconstruction des statistiques de la #criminalité proposée par #André_Kuhn pour @vivre :
Mesurez-vous plus de 1m75 ?
Si vous mesurez plus de 1m75, vous faites partie de la catégorie de la population la plus représentée dans les statistiques de la #criminalité : 85% des condamnations pénales sont prononcées contre des hommes, et la majorité des personnes mesurant plus de 175 cm sont des hommes. Évidemment, le facteur explicatif de la criminalité n’est pas la taille ! Les principales variables influençant le taux de criminalité sont, dans l’ordre : le #sexe, l’#âge, le #niveau_socio-économique et la #formation. La #nationalité n’est pas en soi significative.
L’article en pdf :
▻https://asile.ch/wp/wp-content/uploads/2012/11/Kuhn2_f.pdf
C’est bientôt la rentrée ! Faut-il définitivement renoncer à comprendre comment les #élèves apprennent des #connaissances générales à l’#école, tandis que celle-ci a manifestement échoué à les enseigner ? Peut-être pas, selon André Tricot...
►http://sms.hypotheses.org/2858
#école, #enseignement, #enseigner, #connaissance, #élève, #échec, #réussite, #former, #formation, #aveuglement, #connaissance, #compétence, #résultat, #apprentissage, #raison, #raisonnement, #niveau, #cadre, #savoir
Ambiente19.06.2018
2050: centinaia di città a rischio per il climate change
Un nuovo rapporto prevede i danni provocati dal climate change entro il 2050 nelle grandi città. 1,6 miliardi di persone potrebbero subire ondate di calore siccità, allagamenti, ...
Di Elisabetta Tramonto
1789_Future_We_Don’t_Want_Report_1.4_hi-res_120618.original.pdf
▻https://c40-production-images.s3.amazonaws.com/other_uploads/images/1789_Future_We_Don't_Want_Report_1.4_hi-res_1206
Budget 2018 : pas d’#austérité mais des #inégalités (Pierre Madec, Mathieu Plane et Raul Sampognaro, OFCE Sciences Po Paris)
▻https://www.ofce.sciences-po.fr/pdf/pbrief/2018/Pbrief30.pdf
Dans une étude du 15 janvier 2018, les chercheurs de l’Observatoire français des conjonctures économiques se sont intéressés au #budget2018 :
en analysant le détail des mesures votées, leur montée en charge et leur impact macroéconomique sur la croissance et le #pouvoir_d'achat des ménages en 2018 et 2019 qu’en évaluant leurs #effets_redistributifs selon le #niveau_de_vie des ménages
Ils observent notamment que :
Les mesures nouvelles pour les ménages seraient en 2018 largement au bénéfice des 2 % de ménages du haut de la distribution des revenus, détenant l’essentiel du #capital mobilier. Pour les ménages du bas de la distribution, les revalorisations en fin d’année des #minima_sociaux ne compensent pas les hausses de la fiscalité indirecte pour les ménages qui les subissent.
Pour les « classes moyennes », ces mesures devraient avoir un impact net nul. Enfin, les ménages situés au-dessus des « classes moyennes » mais en-dessous des 2 % les plus aisés verraient eux leur niveau de vie se réduire sous l’effet des mesures nouvelles.
Et plus précisément que :
Les mesures socio-fiscales du budget 2018 devrait accroître de 1,6 % le niveau des ménages appartenant au 5 % les plus aisés (dernier vingtile).
L’étude note dans ces chiffres un effet du décalage de mise en œuvre dans les mesures annoncées et prévoit lorsque celles seront toutes effectives un rééquilibrage en faveur des classes moyennes, même si ces mesures restent davantage favorables aux plus riches puisqu’“à l’horizon fin 2018” :
Les mesures étudiées devraient accroître en moyenne de 1,9% le niveau de vie des ménages appartenant au 5% les plus riches.
et qu’“à l’horizon fin 2019”
Les mesures étudiées devraient accroître en moyenne de 3,1% le niveau de vie des ménages appartenant au 5% les plus riches.
À noter que les graphiques pourtant assez éclairants sont réalisés sur des pourcentages et qu’ils passent sous silence les masses financières en jeu. En effet, 2,2% d’élévation du niveau de vie du dernier vingtile est nettement plus considérable en euros qu’une augmentation de 0,2% du premier vingtile. L’utilisation des pourcentages ne permet pas de considérer les écarts en terme de flux dans cette redistribution inégalitaire des 8 milliards d’euros concernés.
Enfin, comme mentionné par les auteurs, cette étude ne tient pas compte des conséquences de la réduction de la dépense publique qui impactera principalement les classes moyennes et populaire :
Le coût budgétaire estimé de la mise en place des mesures étudiées est de plus de 8 milliards d’euros pour la période 2018-2019. De fait, la volonté de réduction du déficit affiché par le gouvernement va conduire à financer ces mesures fiscales et budgétaires par une réduction structurelle de la dépense publique, comme cela est décrit dans la première partie de cette étude, et qui est en apparence indolore puisqu’elle ne pèserait ni sur les entreprises ni sur les ménages. Toutefois, cela ne reflète pas la réalité car une part significative de la dépense publique bénéficie directement aux ménages puisque 81 % des dépenses des administrations publiques sont constituées de prestations et autres
transferts (58 %) et de la rémunération des salariés issus de la sphère publique (23 %). Le revenu disponible brut des ménages (RDB) est également complété par 344 milliards d’euros en transferts en nature des administrations, notamment dans la santé, le logement et l’éducation, transferts extrêmement redistributifs. Une baisse de
ces derniers aurait pour conséquence directe de creuser le déficit de #redistribution mis en lumière.
TdG | Des universités se mobilisent pour intégrer les réfugiés
▻https://asile.ch/2018/02/24/tdg-universites-se-mobilisent-integrer-refugies
Les migrants universitaires ont du mal à valoriser leurs compétences. Des projets sont mis en place pour les aider. Témoignages à Genève.
Des étudiants suisses pour l’accès des réfugiés à l’université
Le manque d’informations et d’argent empêche les réfugiés qualifiés de poursuivre des #études_universitaires et d’entamer une carrière. C’est ce qu’affirme l’Union des étudiants de Suisse, qui a créé un nouveau portail d’information pour les étudiants réfugiés.
Lien vers la motion déposée par Rosmarie #Quadranti :
Réfugiés et bénéficiaires d’une admission provisoire. Tirer d’emblée parti de leur potentiel professionnel
Le Conseil fédéral est chargé de prendre les dispositions nécessaires pour qu’on examine, dès la décision d’asile connue, le potentiel professionnel dont disposent les réfugiés et les personnes admises à titre provisoire. L’objectif de cet examen du potentiel est de dégager des perspectives professionnelles et de fixer des mesures de qualification et de formation adaptées à chaque personne. La contribution destinée aux cantons sera allouée dans le cadre du message du domaine « Formation, recherche et innovation » pour la période 2017 à 2020, et des crédits de la Confédération affectés à la promotion de l’intégration.
▻https://www.parlament.ch/fr/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=20173189
Les réfugiés peuvent faire reconnaître leur niveau d’études via un programme du Conseil de l’Europe
Imaginez que vous devez fuir votre pays et que vous ne pouvez pas emporter avec vous les #diplômes qui attestent de votre #niveau_d’études. Le Conseil de l’Europe a trouvé une solution.
De nombreux réfugiés et demandeurs d’asile qui arrivent en Europe se retrouvent face à des montagnes de formalités administratives pour pouvoir s’établir dans un pays d’accueil. Un parcours d’intégration rendu encore plus difficile si la personne n’ a pas de documents prouvant ses qualifications, comme des certificats scolaires. Ces documents ont pu être oubliés quand les personnes ont quitté leur pays dans la précipitation pour échapper à la violence ou aux persécutions. Ils ont également pu être perdus pendant le voyage.
En 2017, le Conseil de l’Europe a lancé un projet inédit : les réfugiés qui ont terminé leurs études secondaires ou qui sont allés à l’université dans leur pays d’origine peuvent désormais demander à ce que leur niveau de scolarité soit évalué.
S’ils sont en mesure de démontrer un certain niveau de connaissances ou d’éducation, ils peuvent se voir délivrer un #Passeport_Européen_de_Qualifications. Ce document fournit également des renseignements sur l’expérience professionnelle et la maîtrise de la langue d’une personne.
▻http://www.infomigrants.net/fr/post/7554/les-refugies-peuvent-faire-reconnaitre-leur-niveau-d-etudes-via-un-pro
Plus d’informations sur le Passeport Européen de Qualifications :
▻https://rm.coe.int/168070016d
Permettre aux réfugiés d’étudier
Bilan du programme Horizon académique après ses trois ans d’existence.
Après trois années d’existence, le programme Horizon académique a-t-il fait ses preuves ? En partenariat avec le Bureau de l’intégration des étrangers (BIE) du Canton de Genève ainsi qu’avec le soutien de fondations privées, Mathieu Crettenand, délégué à l’intégration à l’Université de Genève, a mis ce projet en place en 2016. Son objectif : donner la possibilité à toute personne issue de l’asile de suivre des études à l’Université. Grâce à ce programme, aujourd’hui, quatre élèves ont terminé leur master et ont trouvé un emploi.
S’intégrer à l’Université
Avant d’entreprendre des études, un bon niveau de français est demandé aux candidats. Une année de passerelle a été mise en place, afin d’améliorer leurs connaissances linguistiques. Durant l’été qui suit leur inscription ainsi que lors de la première année scolaire, des cours de français leur sont dispensés. L’objectif est d’atteindre le niveau B2 afin de poursuivre leur cursus.
Parallèlement, durant deux semestres, les élèves intègrent l’Université en tant qu’auditeurs. « Le but de ce programme est avant tout de permettre aux migrants de se reconstruire un réseau professionnel tout en reprenant une formation », explique Mathieu Crettenand, responsable du programme. Avant de commencer leur deuxième année d’études en tant qu’universitaire officiellement inscrit, un test est demandé, afin d’évaluer les compétences linguistiques. « Par la suite, certains veulent intégrer l’Université et d’autres vont opter pour les programmes des HES », ajoute-t-il.
Près de 200 inscrits
Ainsi, depuis l’ouverture de ce projet, 199 personnes se sont inscrites. Lors de l’année académique commencée en 2016, 33 d’entre elles ont entrepris cette aventure, alors qu’en 2017, 38 nouveaux étudiants ont tenté l’expérience. Si en 2018, plus de 63 migrants se sont inscrits, lors de cette nouvelle rentrée scolaire, 65 candidats ont entamé leur formation à travers Horizon académique. Si la plupart ont commencé un bachelor, quelques-uns se sont lancés dans un master. « Certains ont déjà obtenu une licence dans leur pays d’origine ; si cette dernière est reconnue en Suisse, ces élèves peuvent très bien enchaîner avec une maîtrise », ajoute Mathieu Crettenand.
Parmi eux, une dizaine d’étudiants sont actuellement en stage. Quatre autres ont récemment obtenu leur master et trouvé un emploi. « L’un d’entre eux était ingénieur lorsqu’il est arrivé en Suisse. Son diplôme n’était pas reconnu. Il a entrepris des études au sein du programme. Au cours de son année transitoire, il a réussi à trouver un emploi en tant qu’ingénieur. Deux autres travaillent actuellement dans la finance. Un est rentré chez lui, en Colombie. Il est devenu maire d’un village », détaille-t-il.
Dès aujourd’hui, Horizon académique va progressivement faire partie de l’« #Agenda_intégration », un programme issu de la nouvelle politique fédérale en matière d’intégration, qui est entré en vigueur en mai 2019. « Ce projet consiste à octroyer davantage de moyens pour l’intégration des personnes issues de l’asile. Ainsi, nous espérons qu’Horizon académique sera complètement financé par des fonds publics dès 2022 », conclut-il.
Rapporto annuale sull’economia dell’immigrazione
▻http://www.fondazioneleonemoressa.org/newsite/wp-content/uploads/2017/11/Atti-del-convegno-FLM-2017.pdf
#statistiques #chiffres #Italie #migrations #économie #réfugiés #asile #rapport
–-
ajouté à la métaliste sur le lien entre #économie (et surtout l’#Etat_providence) et la #migration... des arguments pour détruire l’#idée_reçue : « Les migrants profitent (voire : viennent POUR profiter) du système social des pays européens »...
►https://seenthis.net/messages/971875
The Twenty-third Italian Report on Migrations 2017
Per la sicurezza conviene garantire un lavoro ai migranti
La politica del governo sugli immigrati sembra orientata a colpire i bersagli deboli. Ma al di là degli slogan, un rapporto positivo tra immigrazione e sicurezza si costruisce solo promuovendo il lavoro dei migranti nell’economia legale del nostro paese.
Così si colpiscono i più deboli
In queste settimane la questione dell’immigrazione continua ad avere un ruolo di primo piano. Appena prima della vicenda della nave Aquarius, c’era stata quella della tragica morte di Sacko Soumali, il giovane maliano sindacalista dei braccianti di San Calogero. Le due questioni sono legate fra loro.
La controversia sull’Aquarius è molto più che un braccio di ferro sull’onere dell’accoglienza. Rifiutando l’approdo della nave, polemizzando con Malta e poi con la Francia e la Spagna, rilanciando l’allarme sugli sbarchi, il nostro governo ripropone un’impostazione delle relazioni internazionali che guarda al passato. È l’immagine di un mondo di confini di stato almeno apparentemente blindati, di interessi nazionali contrapposti, di bandiere da issare e difendere. Un mondo in cui non c’è posto per i diritti umani universali, ma solo per quelli filtrati dalla sovranità nazionale o dai suoi simulacri.
Subito dopo aver respinto l’Aquarius, condannando a giorni di navigazione in mare agitato persone già provate da molte vicissitudini, tra cui donne incinte e minori, il governo italiano ha accolto oltre 900 richiedenti asilo salvati dalla marina militare e dalla guardia costiera italiana e altri 40 tratti a bordo dalla marina statunitense. I naufraghi salvati dai militari che innalzano la nostra bandiera sono tollerati e così pure quelli imbarcati dal potente alleato. Il nemico, come nell’Ungheria di Viktor Orban e nella Russia di Vladimir Putin, sono le organizzazioni non governative con base all’estero: i difensori dei diritti umani universali che non arretrano di fronte ai confini nazionali.
La linea governativa sembra tracciata. Mentre sarà difficile attuare le impegnative promesse elettorali di carattere sociale (reddito di garanzia, sviluppo del Mezzogiorno e controriforma pensionistica), la coalizione a trazione leghista investe su bersagli deboli, e quindi facili da colpire: gli attori umanitari, gli operatori dell’accoglienza e naturalmente i richiedenti asilo, oggetto di un linguaggio ingiusto e irriguardoso.
Matteo Salvini ha parlato di gente in crociera nel Mediterraneo, malgrado i morti in mare dei recenti naufragi. A quanto risulta dai sondaggi, raccoglie consenso, come in genere avviene a chi eccita sentimenti nazionalisti, ma dà eco ai sentimenti peggiori della pancia del nostro paese e li fomenta. Che i numeri siano drasticamente calati dopo gli accordi con la Libia di Marco Minniti è irrilevante: 15.568 persone sbarcate nel 2018 fino al 15 giugno, contro 65.498 nel 2017 e 55.596 nel 2016 alla stessa data. Gli sbarchi stanno invece crescendo verso Grecia e Spagna, ma anche questo non conta. La retorica della chiusura nazionalista ha bisogno di qualche centinaio di malcapitati a cui chiudere la porta in faccia, additandoli come profittatori e criminalizzando le Ong che li hanno tratti in salvo.
La tragedia di Sacko Soumali, invece, ha riportato alla ribalta una questione annosa e sempre rimossa, dopo le fiammate di attenzione dovute a qualche drammatico evento: lo sfruttamento degli immigrati nelle campagne meridionali, e non solo. Non necessariamente clandestini, né sbarcati negli ultimi anni, e neppure africani. La periodica ricostruzione delle vergognose baraccopoli mostra un volto inquietante di una componente dell’agricoltura italiana: per reggere sul mercato, ha bisogno di ricorrere al lavoro sottopagato degli immigrati e di farli vivere in condizioni inaccettabili.
Il lavoro degli immigrati, per fortuna, è anche altro: 2,4 milioni di occupati regolari, tra cui 570 mila titolari di attività economiche. Un gettito fiscale e contributivo che supera ampiamente i costi dell’accoglienza dei rifugiati e dei servizi richiesti dalle famiglie arrivate dall’estero. Ma rimane in gran parte lavoro povero, subalterno. Il lavoro delle “cinque p”: precario, pesante, pericoloso, poco pagato, penalizzato socialmente.
Tre proposte
Di tutto questo nel contratto di governo non c’è traccia, come abbiamo già rilevato su lavoce.info. L’immigrazione è declinata soltanto come peso e minaccia per il nostro paese.
Volendo credere che il confronto con la realtà possa avere la meglio sugli slogan propagandistici, vorrei avanzare tre modeste proposte in tema di immigrazione e lavoro, che investono anche la questione dei rifugiati e richiedenti asilo, pur ricordando che si tratta attualmente di 174 mila persone in accoglienza su 5,5 milioni di immigrati residenti in Italia. Una piccola minoranza, sistematicamente scambiata con l’immigrazione in generale. Senza dimenticare che circa il 40 per cento dei richiedenti riceve una forma di protezione internazionale da parte delle commissioni governative, mentre altri (non si sa quanti, ma si stima circa la metà dei ricorrenti) ottengono ragione in tribunale. Non è vero, quindi, che si tratti per la maggior parte di falsi rifugiati.
La prima proposta deriva dai fatti di San Calogero: mandare un folto gruppo di ispettori del lavoro, scortati dalle forze dell’ordine, a identificare e denunciare i datori di lavori che sfruttano i braccianti immigrati. Non dovrebbe essere difficile: basta seguire le campagne di raccolta dei prodotti agricoli, vedere dove sorgono le baraccopoli, seguire i pullmini che li portano al lavoro. Eventualmente con i droni. Un governo che promette il carcere agli evasori fiscali dovrebbe dispiegare una severità ancora maggiore con chi calpesta la dignità dei lavoratori.
La seconda proposta riguarda la riduzione del carico dei richiedenti asilo per le casse dello stato: come in Germania e in Svezia, chi trova un lavoro dovrebbe ricevere un permesso di soggiorno, inizialmente di un anno, ponendo fine alle controversie sulla fondatezza della domanda di asilo. Potrebbe così cominciare una vita autonoma, uscendo dal sistema dell’accoglienza. Non ha senso, come invece avviene oggi, buttare per strada un richiedente asilo che ha trovato lavoro, ma poi si vede negata la domanda di protezione internazionale.
Infine, per decongestionare il canale dell’asilo e istituire un’alternativa ai rischiosi viaggi attraverso la Libia e poi per mare, oltre a corridoi umanitari più ampi degli attuali, si dovrebbero allargare le possibilità di immigrazione per lavoro stagionale, già previste dalle nostre leggi e dai decreti flussi annuali. Gli Stati Uniti hanno ridotto l’immigrazione non autorizzata dal Messico proprio riaprendo un canale d’immigrazione legale, stagionale, per l’agricoltura. Se le persone potranno entrare, lavorare e tornare al loro paese per ripresentarsi l’anno successivo, saranno meno disposte a rischiare la vita nei viaggi della speranza.
Al di là degli slogan propagandistici, un rapporto positivo tra immigrazione e sicurezza verrà costruito solo promuovendo il lavoro degli immigrati nell’ambito dell’economia legale del nostro paese.
▻http://www.lavoce.info/archives/53685/sicurezza-e-anche-garantire-un-lavoro-legale-ai-migranti
Ci rubano il lavoro ? Ecco il rapporto tra immigrazione e occupazione
La fotografia della situazione in Italia e in Europa nel secondo rapporto annuale dell’Osservatorio sulle migrazioni. I paesi con una forza lavoro più qualificata attraggono anche immigrati con maggiore istruzione. Italia maglia nera. A parità di occupazione il divario salariale è persistente negli anni.
I paesi con una forza lavoro più qualificata attraggono anche immigrati con maggiore istruzione. Al contrario, paesi come l’Italia, che hanno una forza lavoro autoctona con il tasso di istruzione universitaria tra i più bassi in Europa (19 per cento nel nostro paese), hanno anche il più basso tasso di istruzione universitaria tra gli immigrati fra tutti paesi Ue (14 per cento). A sottolinearlo è il secondo rapporto annuale dell’Osservatorio sulle migrazioni “L’integrazione degli immigrati in Italia e in Europa”, promosso dal centro studi Luca d’Agliano e dal collegio Carlo Alberto. Secondo il report l’Italia oggi non è un Eldorado per chi si muove per motivi di lavoro, e in particolare per chi spera in un’occupazione qualificata.
Nello specifico, lo studio sottolinea come in Ue l’immigrazione oggi sia ancora un fenomeno fortemente intraeuropeo. Nonostante l’attenzione mediatica, specialmente nel nostro paese, sia focalizzata sugli arrivi via mare, gli immigrati residenti in Europa sono in maggioranza di origine europea. Su 51 milioni totali (il 10 per cento di tutta la popolazione): il 38 per cento è originario di un paese dell’Unione e il 17 per cento di un paese europeo fuori dall’Ue. Mentre il 23 per cento dei migranti è nato in Africa o Medio Oriente, il 12 per cento in Asia e l’11 per cento in America o Oceania.
l’Italia si contraddistingue anche per altre peculiarità. Innanzitutto il livello di istruzione degli immigrati è il più basso tra quelli riscontrati nei paesi europei, un dato che riflette anche quello dei nativi.
il divario nel tasso di occupazione tra immigrati e nativi è superiore a 40 punti percentuali per gli immigrati appena arrivati in Italia, ma si azzera entro il sesto anno di residenza. L’assimilazione occupazionale è, dunque, abbastanza rapida. Nonostante questo, però, in media nel 2017, i redditi netti mensili degli immigrati sono inferiori del 26 per cento rispetto a quelli degli italiani, il divario salariale persiste anche a parità di occupazione.
▻http://www.redattoresociale.it/Notiziario/Articolo/568293/Ci-rubano-il-lavoro-Ecco-il-rapporto-tra-immigrazione-e-occupazione
Lien vers le rapport :
►http://dagliano.unimi.it/wp-content/uploads/2018/02/OssMg_2_Report.pdf
Le rapport contient notamment ces graphiques :
Le rapport contient aussi une carte sur la présence de #femmes migrantes en Italie (plus nombreuses que les hommes) :
Senza migranti l’Italia sarebbe un Paese più povero e anziano, spiega Bankitalia
Se si azzerassero i flussi migratori futuri e la componente di popolazione straniera già residente in Italia al 2016 assumesse parametri demografici identici a quelli dei nativi italiani il risultato sarebbe devastante. Una ricerca
▻https://www.agi.it/economia/bankitalia_migranti_pil_calo_demografico-3725908/news/2018-04-03
Integrare i rifugiati: è più complesso (e costoso) rispetto agli altri migranti?
La più recente EU Labour Force Survey (EU LFS), pubblicata nel 2014, mostra che per molti anni dal loro primo ingresso in Europa il tasso di occupazione dei migranti giunti nei paesi europei per motivi umanitari resta molto basso: nei primi cinque anni dall’arrivo quest’ultimo raggiunge appena il 26%. Come è lecito attendersi, invece, i migranti non comunitari giunti in Europa per motivi di lavoro (e che dunque in larga maggioranza hanno già un’offerta di lavoro al loro arrivo) hanno un tasso di occupazione medio del 79% nei primi cinque anni dall’ingresso.
Con il passare del tempo il tasso di occupazione dei rifugiati tende ad aumentare, convergendo verso quello dei migranti “economici”, ma ci vogliono comunque circa 15 anni prima che superi il 60%. Queste differenze non dipendono solo dalle diverse capacità, qualifiche e predisposizioni dei migranti, ma anche dalle politiche pubbliche dei paesi di arrivo (che spesso pongono limiti legali alla possibilità dei richiedenti asilo di cercare lavoro) e dalla propensione dei datori di lavoro nazionali a utilizzare i richiedenti asilo come manodopera.
D’altra parte, un migrante umanitario ha diritto a un’accoglienza e a un’assistenza dignitosa, che allo Stato italiano costa circa 11.000 euro l’anno; un costo che prosegue per tutto il periodo di permanenza all’interno del sistema di accoglienza. Anche per questo motivo risulta importante investire in integrazione: diversi studi confermano che il tempo durante il quale un migrante umanitario resta un costo netto per le finanze statali si allunga o si accorcia in funzione della capacità del sistema-paese di integrare gli stranieri legalmente residenti.
Macroeconomic evidence suggests that asylum seekers are not a “burden” for Western European countries
This paper aims to evaluate the economic and fiscal effects of inflows of asylum seekers into Western Europe from 1985 to 2015. It relies on an empirical methodology that is widely used to estimate the macroeconomic effects of structural shocks and policies. It shows that inflows of asylum seekers do not deteriorate host countries’ economic performance or fiscal balance because the increase in public spending induced by asylum seekers is more than compensated for by an increase in tax revenues net of transfers. As asylum seekers become permanent residents, their macroeconomic impacts become positive.
►http://advances.sciencemag.org/content/4/6/eaaq0883.full
#Europe
De l’effet bénéfique des migrations sur l’économie
Une nouvelle étude macroéconomique révèle que les flux migratoires ont eu un effet positif sur l’économie au cours des trente dernières années en Europe. Plus encore, les demandeurs d’asile ne pèseraient pas sur les finances publiques des pays qui les accueillent. Explications avec l’économiste Hippolyte d’Albis, l’un des auteurs de cette étude.
►https://lejournal.cnrs.fr/articles/de-leffet-benefique-des-migrations-sur-leconomie
#Europe
MIGRANTI : LA SFIDA DELL’INTEGRAZIONE
Rapporto Immigrazione 2017-2018: straniera l’8,5% della popolazione residente
Ci troviamo di fronte ad una “emergenza culturale” che richiede un intervento strutturato e di lungo periodo. È necessario mettere in campo tutte le risorse educative capaci di stimolare, da un lato, il necessario approfondimento rispetto a temi che sono ormai cruciali, e dall’altro lato di accompagnare le nostre comunità verso l’acquisizione di una nuova “grammatica della comunicazione” che sia innanzitutto aderente ai fatti e rispettosa delle persone. Papa Francesco non ha mancato di sottolineare che «la prevenzione e l’identificazione dei meccanismi della disinformazione richiedono anche un profondo e attento discernimento». In tale contesto “emergenziale” i due organismi della CEI, Caritas Italiana e Fondazione Migrantes, hanno voluto confermare il loro impegno anche attraverso la pubblicazione dell’annuale Rapporto Immigrazione che da oltre 25 anni analizza il fenomeno migratorio nelle sue molteplici dimensioni. L’edizione 2017-2018 presenta molte novità, a partire da una nuova veste grafica che vuole essere più aderente al mutato contesto culturale, in conseguenza del quale la narrazione del fenomeno migratorio è cambiata nello stile e nella forma.
Italia
L’Italia, con 5.144.440 immigrati regolarmente residenti sul proprio territorio (8,5% della popolazione totale residente in Italia) si colloca al 5° posto in Europa e all’11° nel mondo. Secondo l’UNHCR tra il 1° gennaio e il 31 agosto 2018 è sbarcato in Italia l’80% di migranti in meno rispetto allo stesso periodo del 2017. Le comunità straniere più consistenti sono quella romena (1.190.091 persone, pari al 23,1% degli immigrati totali), quella albanese (440.465, 8,6% del totale) e quella marocchina (416.531, 8,1%). I cittadini stranieri risultano risiedere soprattutto nel Nord-Ovest della Penisola (33,6%) e a diminuire nel Centro (25,7%), nel Nord-Est (23,8%), nel Sud (12,1%) e nelle Isole (4,8%). Le regioni nelle quali risiede il maggior numero di cittadini stranieri sono la Lombardia (1.153.835 cittadini stranieri residenti, pari all’11,5% della popolazione totale residente), il Lazio (679.474, 11,5%), l’Emilia-Romagna (535.974, 12%), il Veneto (487.893, 10%) e il Piemonte (423.506, 9,7%). Le province nelle quali risiede il maggior numero di cittadini stranieri sono Roma (556.794, 12,8%), Milano (459.109, 14,2%), Torino (220.403, 9,7%), Brescia (156.068, 12,4%) e Napoli (131.757, 4,3%).
Il lavoro
Dai microdati Rcfl-ISTAT al primo semestre 2017 la popolazione immigrata in età da lavoro è di 4.100.826 persone con 15 anni di età ed oltre, delle quali il 59,3% sono occupate e il 30,6% inattive. In particolare, gli occupati stranieri risultano 2.430.409, aumentati rispetto al primo semestre 2016 del +0,9%. Di questi, 1.635.300 sono di nazionalità non-UE (67,3% degli occupati stranieri) e 795.100 lavoratori comunitari (32,7% degli occupati stranieri). Gli stranieri in cerca di occupazione sono 415.229 (10,1% del totale degli stranieri), di cui 283.837 di nazionalità non-UE (67,3% del totale degli stranieri in cerca di occupazione) e 131.392 di nazionalità UE (33,1%). Gli inattivi stranieri sono 1.255.187 (30,6% degli occupati stranieri), di cui 897.411 non-UE (71,5% degli inattivi stranieri) e 333.093 UE (28,5%). Se si considera il periodo che va dal primo semestre 2016 al primo semestre 2017, si osserva un aumento dell’occupazione sia tra gli stranieri (+0,9%) sia tra gli italiani (+0,6%). La quota del lavoro non qualificato negli immigrati è del 35,4%, contro l’8,2% negli occupati italiani. Secondo i dati UnionCamere, le imprese di cittadini nati in un Paese extra-UE al 31 dicembre 2016 sono 366.426, in aumento rispetto al 2015 (+3,5%). La regione con il maggior numero di queste imprese è la Lombardia (69.625, 19,0% del totale nazionale), seguita da Lazio (41.849, 11,4%), Toscana (35.891, 9,8%), Campania (32.931, 9,0%) ed Emilia Romagna (32.418, 8,8%). La Campania è la regione nella quale si registra l’aumento più cospicuo (+11,1%).
La scuola
Nell’anno scolastico 2016-2017 gli alunni stranieri nelle scuole italiane sono 826.091 (di cui 502.963 nati in Italia, pari al 60,9%), in aumento rispetto all’anno scolastico 2015-2016 di 11.240 unità (+1,4%). Nell’anno scolastico 2016-2017, la scuola primaria accoglie la maggiore quota di alunni stranieri: 302.122, il 36,6% del totale. L’incidenza degli alunni stranieri sul totale della popolazione scolastica varia in modo significativo in ragione del fatto che alcune regioni e province hanno una spiccata capacità attrattiva nei confronti di immigrati che vogliono insediarsi stabilmente con la propria famiglia. Le maggiori incidenze si riscontrano nelle regioni del Nord, con il valore massimo in Emilia Romagna (15,8%), significativamente maggiore del valore nazionale (9,4%), seguita da Lombardia (14,7%) e Umbria (13,8%). Nelle regioni del Centro-Nord il valore non scende al di sotto del 10%, con la sola eccezione del Lazio (9,5%). Decisamente inferiori i dati relativi alle regioni del Sud.
Famiglia e cittadinanza
Nel corso del 2016 sono stati celebrati 25.611 matrimoni con almeno uno dei coniugi straniero (12,6% del totale dei matrimoni), in leggero aumento rispetto al 2015 (+0,2%). Nel 56,4% dei casi si tratta dell’unione fra uno sposo italiano e una sposa straniera. A fine 2017 i bambini nati da genitori entrambi stranieri risultano 67.933 (14,8% del totale delle nascite). Diminuisce il numero medio di figli delle cittadine straniere, pur mantenendosi su livelli decisamente più elevati di quelli delle cittadine italiane (1,95 rispetto a 1,27 secondo le stime nel 2017). I dati ISTAT relativi al bilancio demografico nazionale confermano l’aumento dei nuovi cittadini italiani già rilevato negli anni precedenti e che ha condotto l’Italia nel 2015 e nel 2016 ad essere al primo posto tra i Paesi UE per numero di acquisizioni di cittadinanza. Al 31 dicembre 2017, su un totale di 146.605 acquisizioni di cittadinanza di stranieri residenti, il 50,9% riguarda donne. Tali acquisizioni, rispetto alla stessa data del 2016, sono diminuite (-27,3%). Nelle regioni del Nord Italia si registrano tassi di acquisizione di cittadinanza ben al di sopra della media nazionale. Si notino, in particolare, i casi della Valle d’Aosta, del Trentino Alto Adige e del Veneto, ma risulta interessante segnalare tassi di acquisizione superiori alla media nazionale anche in regioni del Centro (Marche) e del Sud (Abruzzo). Riferendosi sempre al 2016, le modalità di accesso alla cittadinanza restano differenti tra uomini e donne. Per gli uomini la modalità più frequente è la residenza (56% dei casi nel 2015), mentre il matrimonio è una modalità residuale (meno del 3%). Nel 2016, diversamente da quanto avveniva in passato, anche per le donne le acquisizioni di cittadinanza per residenza sono state le più numerose (43,9%), superando, seppur di poco, le acquisizioni per trasmissione/elezione (39,3%). Si riduce ulteriormente, anche per le donne, la quota di procedimenti avviati a seguito del matrimonio: nel 2016 questi risultano il 16,8% del totale, mentre nel 2014 risultavano il 25%.
La religione
Secondo le più recenti stime della Fondazione ISMU, su un totale di 5.144.440 stranieri residenti in Italia al 1° gennaio 2018, i musulmani sono poco meno di 1 milione e mezzo, pari al 28,2% del totale degli stranieri. I cristiani complessivamente sono il doppio, quasi 3 milioni, in aumento di circa 50 mila unità negli ultimi due anni. Ne consegue che, nel complesso, il 57,7% dei cittadini stranieri residente in Italia è cristiano. Si tratta in maggioranza di ortodossi (1,6 milioni, dei quali quasi 1 milione romeni) e 1,1 milioni di cattolici (tra coloro che migrano dall’Est Europa soprattutto albanesi, una minoranza di romeni e polacchi, filippini tra coloro che migrano dall’Asia, ecuadoriani e peruviani fra i latinoamericani). Fra le nazionalità delle principali comunità religiose locali, il gruppo marocchino è il principale di religione musulmana nelle tre regioni con più cittadini stranieri con tale appartenenza religiosa – Lombardia, Emilia Romagna e Veneto. Per quanto riguarda la nazionalità dei cattolici stranieri, con riferimento alle sole due regioni con oltre 100 mila stranieri residenti con tale appartenenza religiosa – Lombardia e Lazio – al primo posto si collocano i filippini, sia in Lombardia sia nel Lazio, seguiti dai latinoamericani di Perù ed Ecuador in Lombardia e dagli europei comunitari di Romania e Polonia nel Lazio.
Synthèse du #rapport:
▻http://www.caritasitaliana.it/caritasitaliana/allegati/7824/Sintesi%20per%20giornalisti.pdf
▻http://www.caritasitaliana.it/pls/caritasitaliana/V3_S2EW_CONSULTAZIONE.mostra_pagina?id_pagina=7824&rifi=guest&rifp=g
En 2017, la Suisse a affrété 64 vols spéciaux pour les renvois forcés
En 2017, la Confédération a mené 64 vols spéciaux pour exécuter les renvois forcés de 287 étrangers ou demandeurs d’asile sans autorisation de séjour, a indiqué la NZZ am Sonntag.
▻https://www.rts.ch/info/suisse/9225869-en-2017-la-suisse-a-affrete-64-vols-speciaux-pour-les-renvois-forces.htm
#vol_spécial #renvois_forcés #mesures_de_contrainte #asile #migrations #réfugiés #vols_spéciaux #statistiques #Suisse #chiffres #2017
Renvois forcés | Passagers, votre responsabilité est engagée
Répondant à une interpellation de la Conseillère nationale Lisa Mazzone qui demandait pourquoi la Commission nationale de prévention de la torture (CNPT) n’était pas en charge de l’#observation des renvois de #niveau_3, sur lesquels des personnes peuvent faire l’objet de #mesures_de_contrainte au même titre que sur des vols de #niveau_4, le Conseil fédéral a rendu une réponse surprenante :
« Lors des rapatriements effectués sur des vols de ligne, d’autres passagers, susceptibles d’assister aux éventuels incidents liés à ces opérations, se trouvent à bord. Dans ces circonstances, il est généralement superflu d’organiser un #suivi sur ces vols. »
En d’autres termes, si vous êtes sur un vol de ligne et que vous vous rendez compte qu’un renvoi forcé est en cours, sachez que le Conseil fédéral compte sur vous pour agir comme observateur et pour dénoncer tout dérapage auquel vous auriez assisté. Pas sûr qu’après vous ne soyez pas accusé de délit de solidarité…
▻https://asile.ch/2018/06/29/renvois-forces-passagers-votre-responsabilite-est-engagee
Waning plantain yields in rural Cameroon hurt college attendance
▻https://news.mongabay.com/2017/12/waning-plantain-yields-in-rural-cameroon-hurt-college-attendance
en voilà une #étude_récente intéressante
From 1991 to 2011, as the region has grown drier and hotter, plantain yields in Cameroon have dropped by 43 percent — this despite a more than threefold increase in the area dedicated to growing the crop, researchers found. During the same period, the average duration of post-secondary school attendance decreased by six months — a decline the researchers said was “tightly linked” to the falling plantain yields.
The lost earnings from selling fewer crops accounted for this trend, the researchers reported recently in the journal Science of the Total Environment. The scientists examined detailed records of crop production, climate patterns and social and educational demographics across Cameroon to reach this conclusion.
...
Coffee, cacao and bananas are key exports. But according to the scientists, farmers in Cameroon would prefer not to grow cacao or coffee. These crops are heavily regulated by the government-run Cameroon Development Cooperation, which dictates the prices of crops sold to the U.S. and Europe.
“They don’t even eat chocolate, so they don’t want to grow cacao,” Njabo said. “You see why [they want to grow] plantain, bush mango and safou. Farmers like to produce crops they have a say on, Njabo says, and what their families can use and consume.
Researchers are working to identify plantain varieties that are resilient to climate change. New cultivars bred from tissue culture will create rural centers with “mother plantations” for villagers to collect offshoots to plant in their fields.
▻https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28830045
#climat #agriculture #agriculture_vivrière #éducation #niveau_de_vie #plantation #Cameroun
Climat : « La priorité est de réduire le train de vie des plus riches, pas la natalité des plus pauvres »
▻http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/11/24/climat-la-priorite-est-de-reduire-le-train-de-vie-des-plus-riches-pas-la-nat
la moitié des émissions de gaz à effet de serre liées à l’activité humaine n’est le fait que de 10 % de la population mondiale, les plus fortunés – en majorité situés au Nord, mais pas uniquement. Parmi ceux-ci, le centile le plus riche de la planète émet en moyenne 71 tonnes de CO2 et bénéficie d’un revenu annuel moyen de 135 000 dollars (en parité de pouvoir d’achat 2014). En revanche, les 50 % des humains les plus pauvres du globe n’émettent qu’un dixième des gaz responsables du réchauffement d’origine anthropique. Ceux-ci vivent tous avec un revenu annuel moyen inférieur à 8 000 dollars, pour des émissions inférieures à 6,5 tonnes de CO2 per capita.
Où se situe la priorité ? Dans la réforme des habitudes de consommation des plus privilégiés d’entre nous, notamment des 70 millions les plus fortunés, ou dans le contrôle des naissances de 3,5 milliards de personnes qui continuent de vivre avec un revenu voisin du RSA (revenu de solidarité active) français ?
tout fait vrai, par ailleurs par un économiste très sérieux !
oui, il est très original et ses observations ne semblent incontournables. Cela dit, comme il l’avouait dans une conférence à laquelle j’ai assisté récemment, à mon d’une « conversion spirituelle » à une démarche de sobriété, et de l’appropriation d’un récit collectif autour de ces enjeux, on voit mal comment on éviterait la catastrophe. Je suis sorti en me disant mince pour mes enfants, et en espérant qu’ils ne feront pas d’enfants eux-mêmes. Il faut croire pour avoir de l’espoir ici.
CARTE. Quel est le niveau de vie près de votre station de de RER ?
►http://www.francetvinfo.fr/choix/carte-quel-est-le-niveau-de-vie-de-votre-voisin-de-rer_2460056.html
Pas archi facile à lire mais intéressant. Il faudrait reprendre le fichier et essayer d’autres trucs.
▻https://www.insee.fr/fr/statistiques/3126432#consulter
Quel est le niveau de vie près de votre station de de RER ?
Sur l’ensemble des communes d’Ile-de-France traversées par le RER et le Transilien, Grigny, dans l’Essonne, est celle dont le niveau de vie médian des ménages est le plus bas. Le 7e arrondissement de Paris abrite les stations les plus riches.
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Nicolas Enault
France Télévisions
publié le 15/11/2017 | 07:01
A Saint-Nom-la-Bretèche, le niveau de vie est trois fois supérieur à celui de La Courneuve. Comme chaque année, l’Insee publie son « Fichier localisé social et fiscal » (FiLoSoFi) qui mesure le niveau de vie médian des ménages dans chaque commune. La dernière édition en date repose sur les données recensées en 2014. Pour mieux observer la répartition des différents niveaux de vie dans la région parisienne, nous avons reproduit le plan des lignes de RER et du Transilien et nous y nous avons distingué les quelque 500 gares en fonction des données de l’Insee.
Sur l’ensemble des villes analysées, celle où le niveau de vie est le plus haut (41 501,3 euros) est le septième arrondissement de Paris, qui abrite les stations de RER du Musée d’Orsay, du Pont de l’Alma et des Invalides. A l’inverse, la commune où le niveau de vie est le plus faible est Grigny dans l’Essonne, avec 13 095 euros. Ce niveau de vie correspond aux revenus annuels disponibles dans un ménage divisé par le nombre de membres de la famille du ménage. Quant à la médiane, elle est déterminée de façon à ce que la moitié de la population se trouve en dessous et l’autre moitié au-dessus.
le fichier source de l’INSEE reprend toutes les communes de France et contient plus de détails, il y a de la matière à faire mieux que cette carte
►https://www.insee.fr/fr/statistiques/3126432
Liste des variables
Code géographique ;
Libellé géographique ;
Nombre de ménages fiscaux ;
Nombre de personnes dans les ménages fiscaux ;
Médiane du niveau de vie (€) ;
Part des ménages fiscaux imposés (%) ;
Taux de pauvreté-Ensemble (%) ;
Taux de pauvreté des ménages dont le référent fiscal a moins de 30 ans (%) ;
Taux de pauvreté des ménages dont le référent fiscal a de 30 à 39 ans (%) ;
Taux de pauvreté des ménages dont le référent fiscal a de 40 à 49 ans (%) ;
Taux de pauvreté des ménages dont le référent fiscal a de 50 à 59 ans (%) ;
Taux de pauvreté des ménages dont le référent fiscal a de 60 à 74 ans (%) ;
Taux de pauvreté des ménages dont le référent fiscal a 75 ans ou plus (%) ;
Taux de pauvreté des ménages propriétaires de leur logement (%) ;
Taux de pauvreté des ménages locataires de leur logement (%) ;
Part des revenus d’activité (%) ;
dont part des salaires, traitements ou chômage (%) ;
dont part des revenus d’activités non salariées (%) ;
Part des pensions, retraites et rentes (%) ;
Part des revenus du patrimoine et des autres revenus (%) ;
Part de l’ensemble des prestations sociales (%) ;
dont part des prestations familiales (%) ;
dont part des minima sociaux (%) ;
dont part des prestations logement (%) ;
Part des impôts (%) ;
Rapport interdécile 9e décile/1er decile ;
1er décile du niveau de vie (€) ;
9e décile du niveau de vie (€).
les inégalités de revenus
La France se caractérise par un niveau de richesse plutôt élevé et les écarts de revenus entre les plus riches et les plus pauvres y sont plutôt contenus au regard de nombreux autres pays, de l’UE ou de l’OCDE. Ce constat général à l’échelle du pays est à nuancer selon les espaces. Alors que certaines régions de France métropolitaine* se distinguent par des niveaux de revenus globalement élevés (Ile-de-France), d’autres sont confrontés à la présence d’une pauvreté diffuse (Hauts-de-France, Occitanie). Par ailleurs, ces différences régionales se combinent à des différences très prononcées entre espaces urbains denses, couronnes périurbaines et territoires ruraux.
Dans les principaux pôles urbains du pays, le niveau de #richesse global des populations cache en réalité de très forts écarts. Les très riches y côtoient les très pauvres. Le #niveau_de_pauvreté (1er décile) dans ces grands centres urbains est bien plus prononcé que celui observé dans les couronnes périurbaines et peut s’apparenter à celui observé dans les territoires ruraux.
Parmi ces territoires situés en dehors des zones de fortes densités, certains sont cependant marqués par des spécificités locales (espaces frontaliers, régions de vignobles, lieux de villégiature prisés) qui concourent à en faire des territoires « atypiques » où les niveaux de richesse sont très élevés.
▻http://www.observatoire-des-territoires.gouv.fr/observatoire-des-territoires/fr/fiche-danalyse-2-les-galit-s-de-revenus
#pauvreté #urban_matter #villes #campagne #périphérie #centre #périurbain #statistiques #chiffres
#inégalités #revenu #Europe
Pour consulter la fiche :
Ouaouh, très intéressant ! Notamment, sur les disparités inter- et intra- régionales
Je pense que ça peut très facilement se superposer avec des cartes d’accès aux services publics et celle des déserts médicaux.
Ne jamais oublier que la pauvreté est multifactorielle et d’intensités variables. Être pauvre dans une zone urbaine avec accès aux transports en commun, aux équipements sportifs et culturels n’a pas la même intensité qu’être pauvre dans un endroit où il n’y a plus rien.
Les niveaux de vie en 2015
En 2015, en France, le #niveau_de_vie médian de la population s’élève à 20 300 euros annuels, soit un montant légèrement plus élevé que celui de 2014 en euros constants. Dans le haut de la distribution, les niveaux de vie repartent à la hausse après plusieurs années de baisse, l’augmentation étant particulièrement marquée pour les plus aisés. Dans le bas de la distribution, les niveaux de vie stagnent à l’exception du premier décile dont l’augmentation compense le léger repli de l’année précédente. En 2015, les 10 % de personnes les plus modestes ont un niveau de vie inférieur à 10 860 euros. Les 10 % les plus aisées ont un niveau de vie au moins 3,5 fois supérieur, au-delà de 37 510 euros.
Après une forte baisse en 2013, les #inégalités globales, mesurées par l’indice de Gini, restent stables depuis 2014.
Le #seuil_de_pauvreté monétaire, qui correspond à 60 % du niveau de vie médian de la population, s’établit à 1 015 euros mensuels. La pauvreté ainsi définie touche 14,2 % de la population, proportion stable par rapport à 2014 ; cependant, l’intensité de la pauvreté diminue.
La situation vis-à-vis de la pauvreté est très liée au statut d’activité. En 2015, 37,6 % des chômeurs vivent au-dessous du seuil de pauvreté contre 6,5 % des salariés. Pour les actifs, occupés ou au #chômage, le #taux_de_pauvreté varie fortement selon la catégorie socioprofessionnelle : 15,3 % des #ouvriers sont pauvres selon l’approche monétaire contre 3,1 % des cadres et professions intellectuelles supérieures.
▻https://www.insee.fr/fr/statistiques/3055008#titre-bloc-16
#pauvreté #France #statistiques #chiffres
Le taux de pauvreté en France est désormais supérieur à celui des Etats Unis...
Chose étonnante, l’INSEE affirme dans cette note que « l’écart entre les chiffres [de 2014 et 2015] n’étant pas significatif d’un point de vue statistique, on ne peut néanmoins pas conclure à une hausse du taux de pauvreté en 2015 », formule passablement alambiquée. Dans le chapô de cette note (qui est souvent la seule chose que les média lisent), l’INSEE croit pouvoir écrire sans aucun scrupule : « Le seuil de pauvreté monétaire, qui correspond à 60 % du niveau de vie médian de la population, s’établit à 1 015 euros mensuels. La pauvreté ainsi définie touche 14,2 % de la population, proportion stable par rapport à 2014 ». Une chose est de dire qu’une hausse n’est pas statistiquement significative, une autre d’affirmer qu’un taux est stable alors qu’il ne l’est pas. L’INSEE a donc adopté une formulation mensongère, bel exploit pour un organisme de statistiques publiques, indépendant en matière statistique . L’intention est surtout de mettre l’accent sur la bonne nouvelle comme le montre la deuxième partie de la phrase : « cependant, l’intensité de la pauvreté diminue ». Visiblement l’INSEE a préféré écrire cela dans son chapô plutôt que de dire que le nombre de personnes pauvres était passé de 8.732 millions à 8.875 millions, soit plus de 140 000 pauvres de plus en un an, augmentation qui est d’ailleurs peut être la raison pour laquelle l’intensité de la pauvreté a diminué...
Toujours est-il qu’en 2015, la pauvreté touchait donc 14.2% de la population tandis que la part des pauvres aux Etats Unis représentait alors 13.5% de la population, avant de connaitre une baisse significative en 2016. Alors que jusqu’en 2014, le taux de pauvreté aux Etats Unis était supérieur à celui prévalant en France, c’est désormais l’inverse...
▻https://blogs.mediapart.fr/edition/2016-us-electionsand-beyond/article/140917/le-taux-de-pauvrete-en-france-est-desormais-superieur-celui-des-etat
C’est pourtant clair !
Dans le haut de la distribution, les niveaux de vie repartent à la hausse après plusieurs années de baisse, l’augmentation étant particulièrement marquée pour les plus aisés.
Chipoter sur le taux de pauvreté — il monte, il stagne, c’est significatif, ou pas, plus intense (!?) ou pas ? — permet de ne pas commenter le fait marquant : la part prélevée par les plus riches augmente ; et ce d’autant plus vite qu’on est plus riche. Après, comment ça se répartit dans le bas de la distribution et, donc comment évoluent les différents indicateurs de « pauvreté » (dont je rappelle que c’est une pauvreté relative, donc en réalité quelque chose fortement lié à la dispersion des revenus/niveaux de vie), n’a que peu d’importance.
La #convergence européenne des minima salariaux est en marche
▻http://fr.myeurop.info/2017/02/15/la-convergence-europ-enne-des-minima-salariaux-est-en-marche-15043
Daniel Vigneron
Selon les dernières données publiées par Eurostat, les niveaux de #smic en Europe restent disparates. Mais depuis neuf ans, on constate que les salaires minimaux pratiqués en Europe de l’Est, encore faibles, rattrapent rapidement ceux qui sont alloués en Europe occidentale.
Les candidats à l’élection présidentielle situés à la gauche de l’échiquier politique préconisent tous une hausse substantielle du salai lire la (...)
#EUROFOCUS #niveau_de_vie #parité_de_pouvoir_d'achat #RFI #salaire_minimum #travailleurs_détachés
#Brexit #education_gap #statistiques #éducation #niveau_d'éducation #UK #Angleterre
vu sur twitter le 09.12.2016
Ils se garderont bien de faire le même graphique avec les revenus... qui sont clairement corrélés au niveau d’éducation et du coup au vote oui ou non .
Toujours dans cette tendance que les gens votent mal parce qu’ils sont stupides ou par manque de pédagogie, le même argument pour la mise en place de la démocratie représentative élitiste dès le début.
Tiens qu’ils fassent un graphique du vote selon l’évolution du revenu sur les dernières décennies ..
@nicolasm : je ne sais pas... c’est une slide d’une présentation tirée de twitter, peut-être que le slide suivant était le lien que tu évoques.... je ne ferai pas là un procès d’intention !
;-)
Seas aren’t just rising, scientists say — it’s worse than that. They’re speeding up.
On a warming Earth, seas inevitably rise, as ice on land melts and makes its way to the ocean. And not only that — the ocean itself swells, because warm water expands. We already know this is happening — according to NASA, seas are currently rising at a rate of 3.5 millimeters per year, which converts to about 1.4 inches per decade.
▻https://www.washingtonpost.com/news/energy-environment/wp/2016/08/10/seas-arent-just-rising-scientists-say-theyre-speeding-up
#climat #changement_climatique #mer #niveau_des_mers
Aggravation « inédite » de la pauvreté en #France
▻https://www.mediapart.fr/journal/france/280616/aggravation-inedite-de-la-pauvrete-en-france
Dans sa dernière étude sur « Les #Revenus et le #patrimoine des ménages », l’Insee relève que le #niveau_de_vie médian des Français a baissé de 1,1 % de 2008 à 2013, ce qui est sans précédent connu. Le recul a même été de 3,5 % pour les 10 % des ménages les plus modestes. L’Institut évoque aussi une « aggravation de la pauvreté inédite en France ».
Notre réussite scolaire dépendrait de variations génétiques (HuffingtonPost)
▻http://www.huffingtonpost.fr/2016/05/12/milliers-variations-genetiques-reussite-scolaire-influence_n_9923418.
La réponse est non :
L’influence de ces 74 variations génétiques prises ensemble (dont les 3 précédemment identifiées par les mêmes chercheurs) est « très petite ». Elle explique seulement 0,43% des différences de niveau d’études entre les individus, relèvent les chercheurs.
Car :
En effet, de nombreuses études, en France et dans le monde ont démontré l’impact très important de l’environnement social, économique ou encore géographique sur le niveau d’éducation.
« Il y a tellement de causes connues et importantes qui expliquent pourquoi des personnes n’atteignent pas un haut niveau d’étude que s’intéresser à des causes génétiques inconnues et ayant un minuscule effet semble inutile », affirme carrément Aravinda Chakravarti, un généticien de l’université Johns Hopkins à The Verge.
Le site cite également Arthur Caplan, bioéthicien à l’université de New York, qui s’il n’est pas aussi vindicatif, évoque également « le danger de ce genre de rapports qui peuvent détourner d’énormes facteurs » entraînant des différences de niveau d’éducation, « comme la sécurité des écoles, le nombre de professeurs, la taille des classes, l’alimentation ».
#éducation #niveau_scolaire #génétique #déterminisme_génétique
Sea Level
Sea level rise is caused primarily by two factors related to global warming: the added water from melting land ice and the expansion of sea water as it warms. The first chart tracks the change in sea level since 1993 as observed by satellites.
▻http://climate.nasa.gov/vital-signs/sea-level
#climat #niveau_de_mer #changement_climatique #mer #statistiques #chiffres
cc @reka
Des bras mais aussi des têtes
Alors que l’Autriche veut plafonner le nombre de demandeurs d’asile, une étude démontre qu’ils ont des #compétences_professionnelles de très bon niveau.
Et voici quelques graphiques extraits de l’étude autrichienne :
▻http://www.trend.at/wirtschaft/ams-kompetenzchecks-fluechtlinge-6184499
#travail #chômage #marché_du_travail #Autriche
De la physicalité du partage culturel familial - New York Times
▻http://alireailleurs.tumblr.com/post/134845328900
L’écrivain Teddy Wayne, qui tient une chronique mensuelle sur l’anxiété culturelle que génère l’évolution technologique dans le New York Times (baptisée
Future Tense), évoquait dernièrement les conséquences de la disparition des supports des produits culturels. Les vinyles, les CD, les DVD, la presse et les livres apportaient une existence de proximité dans le contexte familial. Ils agissaient comme un socle culturel de fonds, accessibles à chacun des membres de la famille. Certes, ces artefacts étaient peu utilisés par les plus jeunes, mais ils étaient un moyen de connecter les éléments partagés de la #culture familiale. Dans notre manière d’avoir des conversations sur les médias, la disparition des objets physique a-t-elle un coût ?, interroge Teddy Wayne. Une étude publiée dans la revue Social Forces a (...)
Question importante en effet : comment le déplacement vers le virtuel, et la diminution des partages physiques, va se traduire sue la question de la "convivialité"
(du latin convivialis ,« relatif au repas pris en commun »)...
J’étais déjà flippé quand je voyais des maisons avec une télé dans chaque pièce, mais là, avec les tablettes..
Revealed: how Indigenous Australian storytelling accurately records sea level rises 7,000 years ago
Distinctive ‘cross-checking’ tradition helps explain extraordinary accuracy in 21 stories about dramatic sea level rises between 7,000 and 18,000 years ago
NASA Science Zeros in on Ocean Rise : How Much ? How Soon ? | NASA
▻http://www.nasa.gov/press-release/nasa-science-zeros-in-on-ocean-rise-how-much-how-soon
NASA Science Zeros in on Ocean Rise: How Much? How Soon?
►https://www.youtube.com/watch?v=GTBWjDUkTzI
Seas around the world have risen an average of nearly 3 inches since 1992, with some locations rising more than 9 inches due to natural variation, according to the latest satellite measurements from NASA and its partners. An intensive research effort now underway, aided by NASA observations and analysis, points to an unavoidable rise of several feet in the future.
Members of NASA’s new interdisciplinary Sea Level Change Team will discuss recent findings and new agency research efforts during a media teleconference today at 12:30 p.m. EDT. NASA will stream the teleconference live online.
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►https://www.youtube.com/watch?v=GTBWjDUkTzI
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Depeche - Une montée des océans d’au moins un mètre est inévitable, selon la Nasa - France 24
▻http://www.france24.com/fr/20150826-une-montee-oceans-dau-moins-metre-est-inevitable-selon-nasa
MIAMI (AFP) -
Une montée des océans d’au moins un mètre due au réchauffement climatique est inévitable dans les 100 à 200 ans qui viennent, selon les dernières prévisions dévoilées par la Nasa mercredi.
Une certaine incertitude demeure cependant sur le calendrier exact de cette montée des eaux, car les scientifiques ignorent pour l’instant à quelle vitesse vont fondre les principales calottes glacières des régions polaires.
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Nasa : – Florida, Tokyo og Singapore kan forsvinne - NRK Verden - Utenriksnyheter og -dokumentarer
▻http://www.nrk.no/verden/nasa_-_-florida_-tokyo-og-singapore-kan-forsvinne-1.12520241
▻http://gfx.nrk.no/6P6oDFDuloKfLBAv2KU_3A8I-wPKOP8PcwqJY_ib8dUA
Havnivåene har i snitt steget nesten 8 cm siden 1992 på grunn av issmelting og oppvarming, ifølge et panel med forskere fra den amerikanske romfartsorganisasjonen Nasa.
▻http://www.francetvinfo.fr/economie/transports/trains-intercites-les-reactions-se-multiplient_922439.html
J’adore l’UMP... Taire le fait que depuis 40 ans on a construit des autoroute flambants neuves le long de voies ferrées aujourd’hui désuètes, et pointer du doigt de devinez-qui ?
Cibler les fraudes
Valérie Pécresse, la députée UMP des Yvelines préconise de son côté une meilleure surveillance des fraudes. « Ma priorité, c’est d’abord d’augmenter les recettes de la SNCF. Si certaines lignes sont déficitaires, c’est peut-être parce que la SNCF n’a pas les moyens d’aller lutter efficacement contre la fraude qui aujourd’hui prospère de manière incroyable et qui est de moins en moins supporté par les Français », commente Valérie Pécresse avant d’ajouter « quand il y a trop de fraudes, ce sont les contribuables et les voyageurs qui payent à la place des fraudeurs ».
Rising Sea Levels Are Already Making Miami’s Floods Worse
You don’t have to look 85 years into the future to see what a sinking world looks like—you only need to look as far as #Miami.
An Analysis of Lightroom #JPEG Export Quality Settings
▻http://regex.info/blog/lightroom-goodies/jpeg-quality
“First of all, you can’t directly compare Lightroom’s JPEG quality settings with any other application. The settings may well map directly to Photoshop’s save-as-JPEG 0〜12 scale, and they may well partially map to Photoshop’s “Save for the Web” settings, but all bets are off when it comes to the JPEG quality setting on non-Adobe applications. They’re just totally unrelated to how Adobe does it.” Tags: JPEG qualité #niveau