#nos_ennemis_les_betes

  • Pourquoi voulons-nous tant voir la nature se rebeller en 2023 ?
    Peut être parce qu’on n’arrive pas à le faire nous-même...
    https://www.nationalgeographic.fr/animaux/2023/12/pourquoi-voulions-nous-tant-voir-la-nature-se-rebeller-en-2023

    Ces créatures agissent comme des animaux lambdas dont les actions contrarient les humains.
    Les pécaris, créatures du sud-ouest des États-Unis semblables à des cochons, qui ont détruit un terrain de golf à Sedona, en Arizona, l’ont fait parce qu’ils cherchaient des vers de terre.
    Il est probable que les orques du détroit de Gibraltar jouaient simplement avec des gouvernails.
    Quant à la loutre 841, la femelle adulte qui a, à plusieurs reprises, importuné des kayakistes et des surfeurs à Santa Cruz, en Californie, il se peut qu’elle ait associé les gens à la nourriture.

  • Eure : un sanglier abattu en ville, le riverain touché par un éclat de balle est mort | L’Impartial
    https://actu.fr/normandie/gaillon_27275/eure-un-sanglier-abattu-en-ville-le-riverain-touche-par-un-eclat-de-balle-est-m

    .... À l’angle de la rue Gustave-Flaubert et du boulevard de la Verte-Bonne [à Gaillon], un agent des services techniques, également chasseur, arrive à approcher la bête.

    Avec l’autorisation des gendarmes « par état de nécessité », il tire une première fois, à bout portant. Le sanglier blessé reprend la fuite. Dans ce quartier résidentiel, l’agent tire une seconde fois. L’animal est finalement neutralisé dans le parc de la Verte-Bonne.

    L’affaire aurait pu en rester là. Mais un riverain a été touché par un éclat de balle à la suite du deuxième tir. Une semaine après, l’homme, âgé de 71 ans, est décédé des suites de ses blessures jeudi 21 décembre 2023 à l’hôpital d’Évreux.

  • Au Japon, les attaques d’ours affamés se multiplient
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2023/12/04/au-japon-les-attaques-d-ours-affames-se-multiplient_6203846_3244.html

    Après un été exceptionnellement chaud et sec, les ursidés ne trouvent pas assez de glands et de faines pour se nourrir. Ces derniers mois, ils sont de plus en plus nombreux à s’aventurer dans les zones urbaines, parfois même dans la grande banlieue de Tokyo.

    Une véritable psychose des attaques d’ours se répand au Japon. Deux cent douze personnes ont été agressées entre avril et novembre dans 193 attaques des puissants mammifères. Six sont décédées, a fait savoir vendredi 1er décembre le ministère de l’environnement. Ce bilan, le plus lourd depuis l’enregistrement de ces données en 2006, est attribué aux évolutions démographiques et climatiques de l’archipel.

    [...]

    Le #Japon abrite deux espèces d’#ours. Les ours bruns vivent sur la grande île du nord, Hokkaido, et les ours noirs d’Asie sur l’île principale de Honshu et sur celle de Shikoku (Ouest). Après avoir été longtemps chassés, ces mammifères bénéficient depuis 1990 de mesures de protection. Ils commencent à hiberner en novembre ou en décembre, jusqu’en avril ou en mai. Il y aurait près de 15 000 ours dans tout le Japon, selon des données gouvernementales de 2014, les dernières disponibles. Chaque année, plusieurs milliers sont pris dans des pièges ou chassés ; 2 600 l’ont été en avril et en août. Des exercices sont régulièrement organisés pour sensibiliser à l’attitude à tenir si un ours est signalé.
    Pour hiberner, les ours doivent avoir accumulé suffisamment de gras par la consommation de glands de chêne japonais (mizunara) et de faines, le fruit du hêtre. Or, l’été a été exceptionnellement chaud et sec dans tout le Japon avec des « températures considérablement supérieures » aux normales de saison, d’après l’Agence japonaise de météorologie. La moyenne de 2023 a dépassé de 1,76 °C les normales habituelles. Jamais l’écart n’avait été si important.

    De ce fait, les mizunara et les hêtres n’ont pas donné beaucoup de fruits. Les observations des hêtres réalisées à l’automne par l’Office régional des #forêts du Tohoku (Nord-Est) sur 145 sites des départements du Nord-Est ont révélé une situation inquiétante, classée « récolte ratée » pour la première fois depuis 2019.

    Habitués à la présence humaine

    Ne trouvant pas suffisamment de nourriture, les ours descendent des montagnes à la recherche de kakis et de châtaignes dans les zones habitées. La désertification des campagnes et le vieillissement des populations font qu’ils ne sont plus chassés ou tenus à l’écart des zones habitées et sont de plus en plus nombreux à s’aventurer dans les secteurs urbains, parfois même dans la grande banlieue de Tokyo.
    Les « ours des villes », comme ils sont baptisés, se sont habitués à la présence humaine et n’hésitent plus à rentrer chez les gens pour fouiller dans leurs poubelles en quête de leur pitance. Les risques d’agressions sont dès lors plus élevés. Le 19 octobre, un de ces « ours des villes » a attaqué cinq personnes, dont des lycéens, à un arrêt de bus du centre de la municipalité de Kita-Akita (Nord-Est).
    La situation pourrait continuer de s’aggraver. Selon une étude de 2014 du ministère de l’environnement titrée « Impacts du #changement_climatique au Japon - évaluation globale et adaptation selon les derniers scénarios », la superficie des forêts de hêtres diminuera de 25 % d’ici à 2100.

    Le #réchauffement perturbe aussi le cycle d’hibernation. « Lorsque l’hiver est plus chaud, les ours peuvent éprouver des difficultés à hiberner car leur température corporelle ne baisse pas suffisamment », explique Hiromi Taguchi, spécialiste des questions environnementales à l’université d’art et de design du Tohoku. « Les ours qui n’ont pas mangé suffisamment et qui n’ont pas pu se préparer à l’hiver peuvent continuer à errer et renoncer à hiberner », ajoute Teruki Oka, directeur de l’Institut de recherche sur les forêts, de la ville de Kochi (Shikoku). Les années passées, des ours ont été aperçus en décembre et en janvier, précise le chercheur.

    #climat

  • « Ils ont heurté le safran pendant 45 minutes » : des orques attaquent et coulent un yacht en Méditerranée - lindependant.fr
    https://www.lindependant.fr/2023/11/06/ils-ont-heurte-le-safran-pendant-45-minutes-des-orques-attaquent-et-cou

    Cela fait plusieurs mois que les orques font la guerre aux bateaux dans le détroit de Gibraltar. La dernière rencontre a eu lieu mardi dernier, lorsqu’un yacht polonais nommé Grazie Mamma II a été attaqué par une meute d’orques pendant 45 minutes et a finalement coulé.

  • écoute un truc sur la sexualité des punaises de lit... zyva, elles sont carrément wokes ! C’est complètement à tort qu’on les a arbitrairement classées parmi les hétéroptères, en réalité elles sont grave libérées, les bestioles ! Sans tabous ! Hétérotes, homotes, bi, trans, queers, gender fluid, non-binaires et patin-couffin, ça y va chez les arthropodes ! En fait faut pas chercher plus loin, c’est uniquement pour ça que tou(te)s les droitistes et autres petit(e)s bourgeois(es) décadent(e)s leur déclarent subitement la guerre et en font tout un pataquès ! Ce n’est pas une question d’hygiène, mais d’idéologie ! Allez allez, fichez la paix aux insectes et ouvrez vos chakras, les capitalos, respirez, faut pas être jalouses(-oux), avec la tête que vous avez ce n’est certes pas gagné mais si vous vous décoincez du derche vous aussi vous aurez peut-être une identité de genre et une sexualité un jour !

  • Des quartiers bouclés après l’invasion d’escargots géants capables de crever les pneus de voiture
    https://www.francelive.fr/article/france-live/des-quartiers-boucles-apres-linvasion-descargots-geants-capables-de-creve
    https://api.francelive.fr/resources/Jrb9CPou0YLx68fBAvHJ0QB4Cth6L6ad7U9Ya_e5CN4qMwWbRUWnBw18vM6YqqJh8Hkds

    Ces escargots qui mesurent jusqu’à 15 cm de long peuvent manger au moins 500 types de plantes mais également les murs, les poubelles et même les panneaux de signalisation. Leur coquille remplie de calcium est dotée d’arêtes si tranchantes qu’elles peuvent faire éclater les pneus des voitures qui les écrasent.

    #it_has_begun

    • En outre, ils sont également très dangereux pour l’homme, car porteurs d’un parasite appelé « ver pulmonaire du rat », qui peut provoquer des méningites. Les symptômes sont graves puisque ce parasite entraîne un gonflement des membranes entourant le cerveau et la moelle épinière.

      En plus on peut même pas le bouffer !

    • Gefährlicher Parasit : Nimmt Rattenlungenwurm Kurs auf Europa ?
      https://www.n-tv.de/wissen/Nimmt-Rattenlungenwurm-Kurs-auf-Europa-article21320540.html


      Les escargots géants sont porteurs de ce parasite.

      D’après les médecins et biologistes il n’y a pas de danger pour les habitants d’Europe. Ailleurs les infections d’humains sont rares et la guérisson est spontanée parce que le ver parasite ne survit que quelques mois dans le corps humain. Les complications touchent surtout les personnes affaiblies par les maladies comme le SIDA. Le taux de mortalité est entre deux et trois pourcent des personnes infectées. La maladie n’est pas contagieuse.

      Bref, c’est encore un beau sujet pour donner du travail aux journalistes pendant la saison d’été.

      09.10.2019 - Der Rattenlungenwurm war einst vor allem in Asien verbreitet - er ist aber in andere Regionen vorgedrungen, unterstützt durch Globalisierung und Klimawandel. Auch auf beliebten europäischen Urlaubsinseln wurde er gefunden. Ist das ein Grund, sich nun in Europa vor dem Parasiten zu fürchten?

      Der Parasit vermehrt sich in den Lungen von Ratten, verbreitet sich über Schnecken, kann Menschen befallen und schlimmstenfalls töten. Das klingt nach Ekel-Stoff für einen Endzeitfilm. Doch den Rattenlungenwurm gibt es wirklich, er wurde erstmals 1935 bei Ratten in China beschrieben. Und kürzlich auf der bei Deutschen beliebten Urlaubsinsel Mallorca gefunden. Menschen erkranken daran aber nur unter sehr ungewöhnlichen Umständen, wie Tomas Jelinek vom Berliner Centrum für Reise- und Tropenmedizin erklärt. „Das zu kriegen, ist echt schwer.“

      Trotzdem ist der Rattenlungenwurm (Angiostrongylus cantonensis) im Gespräch, seit Mallorca betroffen ist. Auf Expansionskurs ist er tatsächlich. „Früher war das ein südostasiatisches Problem“, so Jelinek. Das hat sich geändert. Verbreitet ist der Parasit laut US-Gesundheitsbehörde CDC inzwischen in Südostasien und auf den pazifischen Inseln, zunehmend taucht er zudem in Regionen wie Afrika, der Karibik und den USA auf.
      „Globalisierung und Klimawandel zur Ausbreitung beigetragen“.

      Der Rattenlungenwurm gilt als sogenannte Emerging Disease, als sich ausbreitende Krankheit. „Globalisierung und Klimawandel dürften zur Ausbreitung beigetragen haben“, sagt Peter-Henning Clausen vom Institut für Parasitologie und Tropenveterinärmedizin der FU Berlin. Ratten reisten als blinde Passagiere zum Beispiel an Bord von Schiffen um die Welt. Und wärmere Temperaturen nützten den Parasiten, da für die Larvenentwicklung eine gewisse Temperatur nötig sei. Aber macht sie das auch zu einer Gefahr für Europäer?

      Rückblick: Was genau ist überhaupt auf Mallorca passiert? Betroffene Menschen wurden dort genauso wenig bekannt wie auf der Kanaren-Insel Teneriffa, wo der Wurm laut einer Studie von 2010 bei Ratten gefunden wurde. Dies galt als erster Fund in der EU. Auf Mallorca wurden 2018 zwei kranke Igel in einer Wildtierstation abgegeben - der Rattenlungenwurm erwies sich als Ursache. Wissenschaftler um Claudia Paredes-Esquivel von der Universität der Balearen schrieben im August in einem Fachblatt über den Fall: Es sei anzunehmen, dass der Parasit auf der Insel aktiv übertragen werde. Ratten und Schnecken, die eine Ausbreitung erleichtern könnten, seien allgegenwärtig.

      Ratten sind bevorzugte Endwirte.

      Der Parasit vermehrt sich in Ratten und anderen Nagern: „Ratten sind die bevorzugten Endwirte“, erklärt Clausen. Die Nager beherbergen den ausgewachsenen Wurm in ihren Lungen, wie schon die deutsche Bezeichnung vermuten lässt. Die Larven des Parasiten gelangen von dort über die Luftröhre in den Rachen der Ratte, werden geschluckt und mit dem Kot ausgeschieden.

      Mit dem Kot befallener Ratten können Schnecken Larven aufnehmen. Sie sind sogenannte Zwischenwirte, in denen sich die Larven weiter entwickeln, bis sie das für Menschen ansteckende Stadium erreicht haben, wie Clausen sagt. Menschen können sich infizieren, wenn sie Schnecken essen. Da diese auf Mallorca zur lokalen Küche gehören, sorgte der Wurm-Fund für Schlagzeilen. „Das Risiko einer Infektion reduziert sich allerdings drastisch durch ausreichendes Garen“, betont Clausen.
      Menschen können sich untereinander nicht anstecken

      Menschen sind für den Wurm sogenannte Fehlwirte, in denen er sich nicht weiterentwickeln kann. Die Larven überleben im Körper maximal ein paar Monate. Untereinander können sich Menschen nicht anstecken. Fehlwirten, darunter etwa auch Hunde, Vögel und Pferde, drohen jedoch ernstzunehmende gesundheitliche Folgen: Die Larven befallen Clausen zufolge bevorzugt das zentrale Nervensystem. Beim Menschen gilt der Parasit laut Studien als häufigste Ursache einer seltenen Form von Hirnhautentzündung. Von schweren Verläufen seien eher Menschen mit Abwehrschwäche betroffen, erläutert Jelinek.

      Manche Betroffene haben laut CDC gar keine oder nur milde Symptome. In den meisten Fällen werden Patienten demnach sogar ohne Behandlung wieder gesund. Weltweit sind bisher rund 2800 Erkrankungen durch den Wurm aus 30 Ländern beschrieben - „das ist eine Rarität“, betont Jelinek. Ein Schwerpunkt ist Thailand, wo Gerichte mit rohen Weichtieren auf den Tisch kommen. Bekannt sind auch extreme Einzelfälle von Wetten oder Mutproben, bei denen Menschen lebende Schnecken aßen und erkrankten. Einer Überblicksstudie zufolge kommt es in zwei bis drei Prozent der Fälle zum Tod.

      Neben Zwischen- und Fehlwirten gibt es eine weitere Wirtsform, in der der Parasit sich nur aufhalten kann: etwa Frösche und Landkrabben, die befallene Schnecken gefressen haben. Sie sind wie Schnecken relevant, weil sie mitunter auf dem Speiseplan von Menschen stehen.
      Sorgfalt in der Küche

      Auch Schleim befallener Schnecken kann Clausen zufolge infektiös sein: Dieser Weg sei aber vermutlich wegen der niedrigeren Anzahl infektiöser Larven weniger relevant. Dennoch appelliert die Behörde CDC, auch beim Waschen von Salat und Gemüse besonders gründlich zu sein.

      Sorgfalt in der Küche dürfte auch in Regionen ohne bekanntes Rattenlungenwurm-Vorkommen geboten sein: 2017 wurde in einer Studie der Fall einer Frau geschildert, die wegen des Parasiten an Hirnhautentzündung erkrankt war - obwohl sie den Raum Paris seit zwei Jahren nicht verlassen hatte. Letztlich konnte es nicht bewiesen werden, aber im Verdacht standen kontaminierte Import-Lebensmittel.
      „Weitere Ausbreitung möglich“

      Mit Blick auf Mallorca sagt Clausen, dort sei nun eine genauere Risikoabschätzung nötig, indem vor Ort mehr Daten erhoben werden. „Es sollte untersucht werden, wie häufig die Larven in Schnecken vorkommen.“

      Eine weitere Ausbreitung des Rattenlungenwurms in Zukunft hält der Wissenschaftler für möglich - angesichts des Klimawandels und vermehrten globalen Warenaustauschs. Mit einem größeren Erkrankungsrisiko für Menschen in Europa rechnet Mediziner Jelinek generell nicht. „Das wird keine Relevanz haben.“

      #maladies_tropicales #wtf

  • An exotic-looking orange bird turned out to be a seagull covered in curry (2019)
    https://edition.cnn.com/2019/07/08/uk/curry-seagull-trnd/index.html

    An exotic-looking bright orange bird was rescued by a wildlife hospital after people saw him on the side of a highway.

    It was unclear what was wrong with the feathery phoenix and animal rescuers were not sure what to expect at first.

    “This is one of the strangest casualty circumstances we have seen in a while!” declared a Facebook post from Tiggywinkles Wildlife Hospital, where the bird was taken.

    According to the hospital in Buckinghamshire, UK, the bird had somehow doused himself in curry or turmeric, which prevented him from flying properly.

    Vinny, named by veterinary workers in honor of the Vindaloo curry he was covered in, had a “pungent smell” but was otherwise healthy, the hospital said.

    All he needed was a bath.

  • DES CORBEAUX SE REBIFFENT CONTRE LA DICTATURE TECHNOLOGIQUE

    Les drones et les volatiles ne font généralement pas bon ménage. Dans le ciel, c’est une bataille qui a commencé il y a longtemps déjà. Il y a quelques jours, le Canberra Times racontait comment des corbeaux s’en sont pris à des drones de livraison opérés par Google. Les attaques répétées ont conduit Wing, le service de livraison par drone détenu par Alphabet, à suspendre ses vols au-dessus de la zone. L’opérateur a déclaré qu’elle attendrait que les chercheurs évaluent le comportement des oiseaux, avant de reprendre les livraisons à domicile.

    Google a été contraint de suspendre les vols de ses drones de livraison en Australie à cause des attaques des corbeaux ! Le service existait à Canberra depuis 2019. Mais face aux multiplications d’attaques d’oiseaux, Google a décidé d’arrêter ces livraisons par drones. Les corbeaux, qui poursuivent et attaquent régulièrement les drones en cours de livraison. Déboussolés, déséquilibrés, les engins finissent par lâcher prise et perdre leur marchandise.

    La société Wing a fait appel à plusieurs ornithologues pour tenter de résoudre le problème. Selon Neil Hermes, cité par ABC News Australia, « les corbeaux ont l’habitude de faire fuir les chiens qui s’approchent trop de leurs nids, mais l’attaque de drones est un comportement nouveau ». Ces attaques coïncideraient avec la période de nidification des oiseaux, qui agiraient de la sorte pour défendre leur territoire.

    Ce n’est pourtant pas la première fois que des oiseaux attaquent des drones en vol. La Police parisienne en a fait les frais, il y a deux ans, quand des goélands se sont attaqués aux drones des forces de l’ordre. Plusieurs drones de la préfecture de Police de Paris ont fait face à des attaques de goélands de grande envergure. Une dizaine d’incidents auraient été signalés par les services de police, gênant notamment la surveillance de manifestations sur le bitume parisien.
https://www.zdnet.fr/actualites/des-goelands-s-attaquent-aux-drones-de-la-police-parisienne-39886649.htm

    En 2017, on rapportait dans les colonnes de ZDNet que l’armée française entraînait des aigles royaux à la chasse aux drones légers sur la base 118. Pour l’exercice, les serres des rapaces étaient même équipées de gants en fibre de kevlar pour assurer une meilleure prise.
https://www.zdnet.fr/actualites/l-aigle-est-le-meilleur-ennemi-du-drone-jure-l-armee-francaise-39848890.htm

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    https://twitter.com/thedarkpixel/status/1442064787068887040
    https://www.zdnet.fr/actualites/drones-contre-corbeaux-quand-les-engins-de-google-se-font-attaquer-en-vol-3992
    https://www.sudouest.fr/redaction/insolite/video-des-drones-attaques-par-des-corbeaux-google-suspend-ses-livraisons-en
    https://www.canberratimes.com.au/story/7437616/they-think-its-terminator-angry-birds-take-down-drone-deliveries
    https://www.businessinsider.fr/us/watch-australias-google-delivery-drone-attacked-by-raven-mid-air-202
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    https://youtu.be/yqKSPkTabOw

  • Comment les cacatoès apprennent à ouvrir les poubelles
    https://www.lemonde.fr/sciences/article/2021/07/25/comment-les-cacatoes-apprennent-a-ouvrir-les-poubelles_6089501_1650684.html


    Un cacatoès à huppe jaune ouvre le couvercle d’une poubelle domestique à Sydney, en Australie, le 20 juillet 2021.
    BARBARA KLUMP / MAX PLANCK INSTITUTE OF ANIMAL BEHAVIOR

    En Australie, l’adaptation « culturelle » de ces volatiles au mode de vie urbain se manifeste par la transmission entre pairs de techniques d’ouverture des bennes à ordures, vient de montrer une équipe d’ornithologues.

    Des mouettes ou des corbeaux s’alimentant sur des décharges ou dans des sacs-poubelle éventrés, rien ne nous semble plus banal. Mais difficile de résister à ces images-là. Filmées au portable par Richard Major, du Museum d’Australie, à Sydney, elles montrent un cacatoès à huppe jaune saisissant de son bec le couvercle d’une benne à ordures, le faire remonter puis basculer, afin de dégager l’accès au possible festin. La force, mais surtout l’adresse et l’astuce du volatile y apparaissent saisissantes. « Quand je les ai vues, j’ai su qu’il fallait que nous étudions cette innovation », raconte Lucy Aplin, biologiste du comportement au laboratoire d’écologie cognitive du Max Planck Institute, à Radolfzell (Allemagne). Au terme de quatre années de recherche participative, mêlant scientifiques et amateurs, l’équipe vient d’annoncer ses résultats dans la revue Science du 23 juillet, qui se résument aisément : l’acquisition de ce comportement se fait par apprentissage social. Dit autrement, les perroquets ont procédé à une adaptation culturelle pour mieux appréhender l’environnement urbain.

  • Les orques sont de plus en plus nombreuses à venir bousculer les voiliers, les scientifiques alertent les plaisanciers
    https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/charente-maritime/la-rochelle/les-orques-sont-de-plus-en-plus-nombreuses-a-venir-bous

    Depuis 2020, 122 interactions ont été répertoriées en les orques et les bateaux, 71 depuis le début de cette année. Le phénomène interroge les chercheurs qui ont émis une hypothèse pour expliquer ce comportement étonnant des cétacés.

    « Pour l’instant on suppose qu’il s’agit d’un jeu pour les orques, il y a plusieurs groupes d’orques qui ont adopté ce comportement. Les adultes ont commencé à jouer avec les safrans, ils ont transmis cet apprentissage aux juvéniles. Comme c’est une espèce qui a des capacités cognitives très développées, ils arrivent à transmettre cette information et cet apprentissage au groupe. »

    Paula Mendez Fernandez, docteur en écologie marine à l’Observatoire Pélagis ;

  • Les maltraitances animales peuvent signaler des violences domestiques

    Des hommes violents envers leur femme et leurs enfants le sont aussi envers les animaux du foyer. Ce lien, méconnu en France, apparaît régulièrement dans les affaires traitées par la justice. Il pourrait servir au dépistage des violences domestiques et à la mise à l’abri des victimes.

    Mai 2018, à Rennes. Un homme de 27 ans, ivre, débarque chez sa compagne. Il veut voir son fils, né quelques jours plus tôt. Mais le bébé est resté à l’hôpital. Le père s’énerve, frappe la jeune femme de 19 ans à coups de pied, puis la blesse avec un couteau. Le mois suivant, l’agresseur est condamné à trois ans et demi de prison. L’enquête révèle qu’il lui arrive aussi d’être cruel avec des animaux. Un jour, en pleine scène de violence conjugale, il tord le cou du chaton de la maison et l’éventre en le jetant sur le coin de la table.

    Il n’est pas rare qu’un homme violent envers sa famille le soit aussi envers les animaux du foyer. « Les violences sur les animaux sont des marqueurs de violence sur les humains. Cela fait longtemps déjà que la littérature scientifique le montre », souligne Laurent Bègue-Shankland, professeur de psychologie sociale à Grenoble et auteur de L’Agression humaine (Dunod, 2015). Peu connu de ce côté-ci de l’Atlantique, le continuum de violences envers les animaux et envers les humains a été théorisé et largement étudié dans les pays anglo-saxons, États-Unis et Canada en tête.

    Généralement inaperçu, ce lien apparaît régulièrement dans les affaires de violence traitées par la justice. « Nous le constatons chaque année, lors des dizaines de procédures pour cruauté envers les animaux où nous nous constituons partie civile », détaille Reha Hutin, présidente de la fondation 30 millions d’amis.

    Les maltraitances animales pourraient servir au dépistage des violences domestiques. © Photo Olivier Morin/AFP Les maltraitances animales pourraient servir au dépistage des violences domestiques. © Photo Olivier Morin/AFP

    Un exemple ? Cet homme de 38 ans, habitant Landrévarzec dans le Finistère, condamné à un an de prison pour des violences sur sa compagne et sur sa fille en mars 2019, et également poursuivi pour sévices graves sur des animaux. Habitué à bousculer, à frapper sa compagne et à la menacer de mort, l’agresseur s’en était également pris à leur enfant de 14 ans. Alors qu’elle tentait de protéger sa mère, il l’avait lancée contre un meuble. Un mois plus tôt, lors d’une scène de violences conjugales, il avait tué la tortue et le poisson de la maison, et jeté le lapin, après l’avoir sorti de sa cage.

    Les violences contre les animaux s’inscrivent pleinement dans le patriarcat.

    Comment expliquer que la cruauté envers les animaux et la violence domestique soient régulièrement liées ? Ces violences relèvent en fait du même mécanisme. L’enjeu, c’est la domination des êtres vulnérables. « Il s’agit d’un être vivant qui en prend d’autres pour des objets, constate Jacques-Charles Fombonne, président de la SPA (Société protectrice des animaux). L’agresseur veut se sentir tout-puissant lors de combats dont il sait qu’il sortira vainqueur. » Le monde entier est son terrain de jeu. Il a tous les droits sur les corps des autres : celui de sa femme, de ses enfants et des animaux.

    Dorothée Dussy, anthropologue, spécialiste de l’inceste et autrice de l’ouvrage Le Berceau des dominations (Éditions La Discussion, 2013), a pris l’habitude de poser la question des maltraitances animales aux victimes avec lesquelles elle s’entretient. « Je me suis rendu compte lors d’ateliers collectifs que le thème revenait souvent, rapporte-elle. Cela n’arrive pas dans toutes les familles incestueuses, mais c’est assez courant. Ce n’est pas étonnant. L’agresseur montre qu’il peut abîmer à loisir tout ce qu’il considère comme subalterne. »

    « Les violences contre les animaux s’inscrivent pleinement dans le patriarcat, appuie Bénédicte de Villers, docteure en philosophie, autrice d’une étude fouillée sur ce sujet. Il s’agit de démontrer la supériorité de l’homme, de rappeler que c’est lui le dominant, c’est lui qui dirige. » L’association de protection des animaux One Voice relève dans une analyse à propos des liens entre cruauté envers les animaux et violences contre les personnes que « près des trois quarts des femmes victimes de violences, parmi celles ayant un animal de compagnie, déclarent que leur agresseur les a menacées de blesser ou de tuer leur animal ».
    Lire aussi

    Joseph Andras : « Me coltiner le réel, c’est la seule chose que je sache faire » Par Ellen Salvi

    La violence exercée sur les animaux domestiques est un moyen très efficace pour terroriser la famille. « Un homme violent qui maltraite aussi les animaux domestiques sous-entend plusieurs choses, décrypte une accueillante de la Maison plurielle, lieu belge d’accompagnement de femmes victimes de violences. À savoir : “Je sais ce qui est important pour toi et je le détruis” et “ce que je lui fais, je peux te le faire aussi”. Et si la femme a trois chatons, l’agresseur choisira sciemment de faire mal à son préféré. »

    Dorothée Dussy cite l’histoire d’une femme victime d’inceste dont le père éviscère le chien de la maison sur la table, au cours d’un repas familial, parce qu’il n’a pas été entendu au moment où il demandait du pain. Chacun·e intériorise alors que l’agresseur est capable de cruauté radicale. Mais aussi que personne n’intervient pour sauver la victime. « Quand le patriarche maltraite l’animal de la famille, il y a réellement un contenu pédagogique pour les témoins : ils apprennent à avoir peur et à rester passifs face à l’exercice de la violence. »

    De leur côté, les agresseurs peuvent se sentir confortés par les très rares (et très faibles) peines dont ils écopent quand ils s’en prennent à des animaux. « Si le type a un casier vierge, il a droit à une réprimande du tribunal et une simple contravention, retrace Reha Hutin. Pour condamner pour cruauté, il faut prouver l’intentionnalité de l’agresseur. Le prévenu dit simplement qu’il n’avait pas l’intention et il est tranquille. Il reçoit le message qu’il peut continuer à être violent en toute impunité. »
    Une meilleure détection des violences grâce aux animaux

    Penser le lien entre les deux types de violence, même s’il n’est pas systématique, permettrait aux services de protection animale et d’aide sociale d’articuler leurs interventions, et de « se donner une chance supplémentaire de repérer les violences intrafamiliales », pense Laurent Bègue-Shankland. Depuis 2015, de nombreux États américains ont mis en place un partage d’informations : police, services de protection des animaux, vétérinaires et services sociaux se transmettent réciproquement des notifications en cas de suspicion de maltraitance envers des animaux ou des personnes. « Il y a certainement des enjeux éthiques importants et des garanties à offrir pour que ces données personnelles sensibles soient utilisées en conformité avec le droit des personnes », ajoute Laurent Bègue-Shankland.

    Au Royaume-Uni, les services de travail social se servent aussi de cet outil. Lors des entretiens avec les familles où des violences sont suspectées, ils posent des questions telles que : « Y a-t-il des animaux dans le foyer ? Comment chaque membre du foyer traite-t-il l’animal ? Craignez-vous que quelque chose puisse arriver à cet animal ? » C’est intelligent, estime Jacques-Charles Fombonne, président de la SPA, par ailleurs ancien officier de police judiciaire, car « un enfant, qui aura énormément de mal à dénoncer les violences commises par un parent, pourra dire plus facilement que l’animal de la famille est maltraité. Pour les professionnels qui l’écoutent, ce sera un signal ».

    En France, où deux foyers sur trois possèdent un animal de compagnie, ces pratiques ne sont que balbutiantes. « Quand on récupère un animal maltraité dans une famille, la police nous accompagne systématiquement, explique Reha Hutin. Par le biais des animaux, on arrive à entrer dans des foyers auxquels les autorités n’auraient pas accès. On alerte automatiquement les services sociaux. Après, à chacun de faire son travail. » Jacques-Charles Fombonne est certain que les collaborations pourraient aller plus loin : « En France, on estime trop que ce qui se passe dans l’intimité des maisons ne regarde pas les autres, renchérit-il. Et les autorités, les services sociaux et les associations sont encore trop frileuses pour partager des informations. »

    Les animaux ne peuvent d’ailleurs pas uniquement être considérés comme des sentinelles.

    Pourtant, des interventions coordonnées et précoces, avant la judiciarisation des dossiers, auraient beaucoup de valeur, pense Bénédicte de Villers, qui constate aussi que chacun a besoin « de dépasser de solides préjugés ». Du côté des associations de protection animale, beaucoup pensent que les violences domestiques n’ont lieu que dans les milieux précaires. Et dans les services sociaux circule encore l’idée que s’intéresser aux animaux risquerait de faire oublier les femmes et les enfants. « Mais aujourd’hui, je crois que le contexte est propice, poursuit Bénédicte de Villers. De plus en plus de mouvements inclusifs rapprochent féminisme et écologie. Les humains comprennent qu’ils n’ont rien à perdre à accorder de l’attention aux animaux. Il ne s’agit pas de choisir, au contraire. »

    En Belgique, à la Maison plurielle, l’équipe interroge systématiquement les femmes à propos de leurs animaux domestiques : « Elles n’osent pas en parler, car elles ont peur qu’on les trouve ridicules. Pourtant, l’animal peut réellement les empêcher de quitter leur domicile. Elles craignent qu’il soit tué après leur départ. Cette relation est importante pour elles, elle les maintient parfois en vie. »

    En France, contrairement aux États-Unis ou au Canada, il n’existe pas de foyers d’hébergement de femmes victimes acceptant aussi leurs animaux. Il faudrait aussi que les associations protectrices d’animaux soient mobilisées dès que la mise à l’abri d’une personne est décidée, suggère Bénédicte de Villers : « Aujourd’hui, a-t-on les moyens de promettre à un enfant que s’il dénonce son père violent et quitte son foyer, son chat sera récupéré ? Non. Les animaux doivent être recueillis. Et ils ne peuvent d’ailleurs pas uniquement être considérés comme des sentinelles, encore une fois instrumentalisés selon nos besoins d’humains. »

    Porter davantage d’attention aux animaux est efficace pour mieux dépister les violences domestiques, croit sincèrement la chercheuse. Mais elle tient à recontextualiser cet outil : « À chaque féminicide, on s’aperçoit que la femme tuée avait déjà alerté, signalé, parfois porté plainte. Pourquoi ne commence-t-on pas par écouter les femmes ? »

    #masculinité #violences #virilité #violence_masculine #nos_ennemis_les_bêtes

  • En Australie, 620 personnes évacuées d’une prison à cause d’une invasion de souris
    https://www.courrierinternational.com/article/cohabitation-en-australie-620-personnes-evacuees-dune-prison-

    Depuis plusieurs mois, l’Australie mène une guerre ouverte contre les #souris. Les rongeurs viennent de remporter une bataille dans l’État de Nouvelle-Galles du Sud, raconte CNN. Dépassé par une invasion massive, le centre correctionnel de Wellington a été contraint d’évacuer au moins 420 détenus et 200 membres du personnel, ce mardi 21 juin.

    La cohabitation difficile avec le nuisible a déjà causé “des millions de dollars de dégâts aux récoltes et aux machines” dans le pays depuis août 2020, note le site d’information américain. Cette fois ce sont le câblage interne et les panneaux des faux plafonds du bâtiment qui ont été gravement endommagés, conduisant les services de la prison à transférer les détenus vers d’autres centres.

    “La santé, la sécurité et le bien-être du personnel comme des détenus sont notre priorité numéro un”, a déclaré Peter Severin, un responsable de la #prison. “Il est donc primordial d’agir maintenant pour effectuer les travaux vitaux.” Et notamment prévoir une protection renforcée contre les rongeurs.

    Entouré de cultures agricoles, le centre correctionnel de Wellington a été envahi par les souris “à la recherche de nourriture et d’abris alors que les températures baissaient à l’extérieur”, explique un membre de l’organisme gouvernemental australien pour la recherche scientifique (CSIRO).

    Si le nombre important de ces rongeurs n’est pas un phénomène nouveau en #Australie, les agriculteurs constatent que leur niveau de reproduction est “inhabituellement élevé par rapport aux années précédentes”. Une situation qui a récemment conduit les autorités à lever l’interdiction du #bromadiolone, un puissant #poison utilisé pour lutter contre cette “peste”.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Bromadiolone

    En 2011, dans le Puy-de-Dôme, des milans royaux, espèce protégée, empoisonnés à la bromadiolone ont été retrouvés morts par dizaines, malgré l’interdiction de ce produit. Un cercle vicieux est ainsi créé : plus on emploie ces produits et plus on détruit les prédateurs naturels qui contribuent à contenir l’expansion des rongeurs.

    https://www.actualites-news-environnement.com/27554-LPO-rapaces-menaces-bromadiolone.html

    22 rapaces, dont le très menacé milan royal, ont été retrouvés morts, en un mois, en Auvergne, dans des parcelles traitées à la bromadiolone.
    Il s’agit là d’une véritable hécatombe. La #LPO dénonce l’utilisation de ce poison anticoagulant aux effets, hélas bien connus, sur l’ensemble de la faune et exige une suspension immédiate des campagnes de traitements dans les zones fréquentées par ce rapace, peut on lire dans un communiqué de presse.
    Un cercle vicieux est ainsi créé : plus on emploie ces produits et plus on détruit les prédateurs naturels qui contribuent à contenir l’expansion des rongeurs.

  • Une meute de chasseurs terrorise un cerf jusque dans une gare en bloquant les trains plusieurs heures.
    https://actu.orange.fr/france/sncf-un-cerf-traque-par-des-chasseurs-bloque-la-circulation-des-trains-m

    Selon un témoin interrogé par France 3 Hauts-de-France, les chasseurs ont poursuivi le cerf « avec leurs chiens jusque dans la gare ». La même source rapporte que les forces de l’ordre ont dû intervenir pour repousser les chasseurs, et garder les curieux à distance.

    #chasseurs
    #france_de_merde
    #terreur

  • De la nature naturelle des animaux animaux | Détournement féministe
    http://www.radiorageuses.net/spip.php?article1206

    Une émission où on se pose cette question : pourquoi justifier des comportements humains par des comportements animaux ? En discutant de concepts comme la naturalisation et l’anthropomorphisme, en prenant des exemples concrets et en écoutant des extraits d’interviews qui nous ont parlé, on vous emmène dans une émission au pays des animaux utilisés ou réinventés pour porter des argumentaires souvent bien éloignés de la réalité... Et des intentions pas très claires. Durée : 1h10. Source : Radio Campus Tours via Radiorageuses

    http://radiocampustours.com/media/podcast/detournementfeministe/DetournementFeministe_20201229.mp3

  • Sur l’autoroute, une vache perturbe le trafic : la police la tue - Charente Libre.fr
    https://www.charentelibre.fr/2020/12/08/sur-l-autoroute-une-vache-perturbe-le-trafic-la-police-la-tue,3682567.

    Rendu agressif « par la panique », l’animal a été tué par un CRS en service. Le propriétaire avait donné son accord, après qu’un accident a été provoqué dans la Loire.

    Une vache qui divaguait sur l’autoroute A72, à la hauteur d’Andrézieux-Bouthéon (Loire), pendant plus d’une heure trente, a été abattue en désespoir de cause par un CRS afin de pouvoir rouvrir l’axe à la circulation, a-t-on appris auprès des pompiers et de source policière.

    #nos_ennemis_les_betes

  • Les poissons pilotes de La Colline | La Colline théâtre national
    https://www.colline.fr/spectacles/les-poissons-pilotes-de-la-colline

    Wajdi Mouawad, directeur de La Colline vous donne rendez-vous du lundi au vendredi à 11h pour un épisode sonore inédit de son journal de confinement, de sa propre expérience à ses errances poétiques : Une parole d’humain confiné à humain confiné. Une fois par jour des mots comme des fenêtres pour fendre la brutalité de cet horizon.

    • C’est beau en effet merci pour le partage @jacotte et pour le signalement @touti

      Je met des notes pour retrouvé certaines choses qui m’ont plus
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      « il n’ y a pas de felis catus policier »
      #nos_ennemis_les_bêtes (pour le fichier du 6 avril)
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      #sacrifices_humains #infanticide #chimu #dernier_sceau (pour le 3 avril)

      Pourquoi des enfants et des lamas étaient-ils sacrifiés par le peuple Chimú ?
      https://www.nationalgeographic.fr/histoire/2019/02/pourquoi-des-enfants-et-des-lamas-etaient-ils-sacrifies-par-le-pe

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      Le ciel était à boire tant il était bleu.

      (31 mars)

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      Infiniment grand & infiniment petit

      L’espace est une mémoire qui viens vers nous.

      (30 mars)
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      Accepter de ne pas être capable de faire le vide.

      exercices spirituels d’Ignace de Loyola & le dieu coronavirus (27 mars)
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      La nuit déplie nos âmes et si le jour existe c’est grâce à la nuit - la nuit serais éternelle sans la nuit

      (26mars)
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      La mutation - Les morts-vivants et l’aveuglement

      Résister au confort des situation inconfortables

      (25 mars)
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      Le son [ɲ] et la perversité de la langue française,

      Langue vicieuse, langue méchante qui ne connais rien de l’hospitalité de la langue arabe.

      (24 mars)
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      Peut être que je sature mais j’aime moins les premiers jours de son journal. Il y parle d’ailleurs beaucoup de son fils et ne mentionne qu’une fois sa fille, j’aime pas trop ca.

    • J’ai surtout été sensible au fichier du 6 avril, quand il chuchote à celle ou celui qui va mourir seul·e pour l’aider à avoir moins peur, c’est bouleversant.

      Après, oui @mad_meg on dirait que le simple fait d’avoir des couilles plonge l’être dans une insensibilité totale vis à vis des femmes, surtout en cette période de virilisme guerrier ou les femmes sont redevenues un #sujet_secondaire.

      J’en ai eu un aperçu dernièrement sur un long fil de discussion de technique web dont le sujet était « tous en débardeur ». Quand j’ai pris mon courage pour faire remarquer à l’ensemble de la liste le manque d’inclusivité du sujet du mail, personne n’a répondu, aucun retour, rien. Ça fait mal. Comme si l’exclusion n’était pas une question actuelle importante à combattre et que les mecs construisaient toujours plus de boysclub (même et surtout en affirmant leur inclusivité sur des chartes) et se suffisaient à eux-même.
      Et j’ai pensé « tu viens de te cramer », tu n’as plus de taf et tu dépends de leur bon vouloir à t’en filer, plus tu ouvres ta gueule moins ils auront l’idée de t’en refiler.

    • Au fait j’écouté « penser (l’art) dans un monde mauvais » ce matin, c’est un mec blanc qui parle mais il dit tellement de choses ou je me reconnais que je te le recommande aussi - https://www.youtube.com/watch?v=FH5liBXAMIY


      et en plus de l’intérêt de ce qu’il dit, il n’oublie pas les femmes, les personnes racisées, les classes défavorisées. Je l’ai mis par ici, sur un poste qui devrait t’interessé aussi et que je suis pas sur que tu ai vu quand je l’avais écrit
      https://seenthis.net/messages/828811
      Un truc qu’il dit qui tourne dans ma tete « je ne parle que de ce qui va mal » et dit « etre radical et non révolutionnaire » - il s’appel Geoffroy de Lagasnerie peut etre que tu es deja tombé sur lui.

    • Super @mad_meg je regrette de ne pas avoir pu profiter de ce type d’approche lorsque j’étais étudiante aux Beaux Arts à Paris. C’était l’époque des copains artistes de Lang le décadent lécheur de caméras où l’art se joignait à la niaiserie ambiante et flirtait avec la publicité en déniant toute politisation à « la culture ».

      19:33 « Il n’y a pas d’art désengagé, parce qu’à partir du moment où nous nous construisons comme artistes ou chercheurs, il y a déjà des dispositifs de la culture qui nous précède qui si nous ne les interrogeons pas nous les faisons fonctionner malgré nous. »

      Et j’en discutais avec @jacotte justement, car pour moi la simple pensée de circonscrire la culture à certains espaces et d’y coller un ministère est du même ordre que le fonctionnement d’un Ministère de la pensée Orwellien. Forme institutionnel du détournement de la connaissance et de la culture de tout un chacun·e pour en faire un objet de pouvoir et de mépris.

    • Moi aussi j’aurais bien aimé avoir ce théoricien sous la patte quant j’etais aux beaux-arts mais en même temps ca ressemble à pas mal de points de ma démarche. J’ai particulièrement aimé l’argument que l’art non engagé est un art engagé contre l’engagement . Et l’idée d’une partique cynique des institution qui est la version radicale dont il se réclame au lieu d’une démarche révolutionnaire. Aussi les tentative du parti communiste pour faire venir l’art aux ouvriers et ceux ci vexé qu’on leur mette des Picasso ou monochromes disant qu’on leur mettait du sous art alors qu’ils ont droit comme les autres à du Poussin ou du Vinci ^^

  • Coronavirus : un tigre d’un zoo de New York testé positif
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2020/04/06/coronavirus-un-tigre-d-un-zoo-de-new-york-teste-positif_6035674_3244.html


    Nadia, femelle tigre de 4 ans qui a été testée positive au coronavirus, au zoo du Bronx à New York.
    WCS / REUTERS

    Le zoo du Bronx a déclaré que des mesures préventives étaient en place pour les gardiens ainsi que pour tous les félins des zoos de la ville.

    Un tigre d’un zoo du Bronx à New York a été testé positif au coronavirus, a annoncé dimanche 5 avril l’institution, virus que le félin aurait contracté auprès d’un gardien ne présentant alors aucun symptôme.

    Ce tigre malais de quatre ans appelé Nadia, sa sœur Azul, deux tigres de l’Amour et trois lions d’Afrique souffrent tous de toux sèche, mais devraient se rétablir complètement, détaille le zoo dans un communiqué.

  • Coyotes are being seen on the empty streets of San Francisco - SFGate
    https://www.sfgate.com/living-in-sf/article/Coyotes-are-being-seen-on-the-empty-streets-15159105.php

    While anxious residents are eager to see the end of the stay-at-home order, after waiting in the wings, our wild canine friends are apparently making the most of their opportunity to claim back the city.

    • Oui et les mêmes qui autorisent les testes sauvages de Raoult refusent toujours ces testes vétérinaires
      –—

      Tests Covid-19 : les labos de santé animale réclament d’être réquisitionnés
      29 mars 2020 Par Lucie Delaporte

      Selon nos informations, les laboratoires publics de santé animales alertent depuis près de deux semaines le ministère de la santé sur leur capacité de produire en grand nombre des tests. Quatre présidents de départements sont montés au créneau.

      Le ministre de la santé l’a promis : deux millions de tests pour le Covid-19 seront livrés en avril. Cette commande est, selon Olivier Véran qui s’exprimait jeudi soir sur France 2, « un maillon essentiel de notre stratégie pour tester massivement les Français et pour rendre accessible le dépistage aux plus fragiles, dans nos Ehpad ». Dans un nouveau point presse tenu samedi, le gouvernement a expliqué que la France réaliserait d’ici fin avril 50 000 tests par jour.

      La France, confrontée depuis le début de la pandémie à une pénurie de tests Covid-19, a-t-elle tout mis en œuvre pour favoriser la production de ces tests ?

      Aujourd’hui, de nombreux biologistes s’interrogent. Et alors que l’OMS recommande depuis le début de l’épidémie de généraliser les tests, certains se demandent pourquoi un grand plan pour la production de ces tests n’est toujours pas lancé.

      L’argument du manque de réactifs pour les produire – le gouvernement assure passer commande dans le monde entier – est peut-être un peu court, alors que la France n’a pas dressé d’état des lieux précis du stock dont le pays dispose dans les différents laboratoires existants.

      Sur ce point, les acteurs publics de la santé animale s’étonnent de ne pas avoir été jusqu’ici mis à contribution. Selon nos informations, les biologistes spécialisés dans la virologie vétérinaire qui travaillent au sein des laboratoires départementaux assurent pouvoir contribuer à grande échelle et, pour certains dès aujourd’hui, à la production de tests Covid-19. Et ils en ont alerté les autorités de santé depuis une dizaine de jours.

      « Nous attendons d’être réquisitionnés », explique Sophie Létard, porte-parole du laboratoire Inovalys, un groupement d’intérêt public rassemblant quatre laboratoires départementaux en Indre-et-Loire, et particulièrement en pointe sur la virologie animale. « Nous ne souhaitons pas créer de polémique. Nous attendons l’aval des autorités », précise-t-elle.

      Depuis notamment la crise de la vache folle, la France a considérablement renforcé les moyens de la recherche publique en matière de surveillance épidémiologique en santé animale. Gérés par les départements, ces laboratoires possèdent toute l’infrastructure nécessaire pour réaliser des tests pour le coronavirus.

      Le laboratoire Inovalys pourrait, une fois le feu vert reçu, produire plus de 1 000 tests Covid-19 par jour, quand la France n’en produisait jusqu’à récemment que 5 000 par jour sur tout le territoire. Et d’autres laboratoires départementaux pourraient faire de même.

      Comment un laboratoire spécialisé dans la santé vétérinaire peut-il être utile dans le cas du Covid-19 qui touche l’homme ? Au laboratoire, un biologiste nous explique que la question de l’adaptation de ces techniques à la biologie humaine ne se pose pas pour ces tests, qui ne seraient « en réalité pas très complexes à réaliser » et surtout sans danger pour la santé. « Nous avons une grosse expérience de la PCR [la technique PCR pour « Polymerase Chain Reaction », qui permet la détection du génome d’agents infectieux, est celle utilisée dans les tests du Covid-19 – ndlr] car nous traitons de nombreuses maladies qui ne sont détectables que par cette technique », nous explique ce fonctionnaire. « L’OMS a donné les amorces et les sondes des réactifs qui assurent la sensibilité au Covid-19. Nous avons tout ce qu’il faut pour les réaliser », poursuit-il.

      L’innocuité de tels tests réalisés par des laboratoires vétérinaires ne se pose pas, selon lui. « C’est une technique par prélèvements. Ce n’est pas intrusif », précise-t-il.

      À ce stade, les freins sont règlementaires et politiques.

      Face à la diffusion exponentielle des cas de Covid-19, et voyant que les pouvoirs publics ne leur demandaient rien, les équipes de ces laboratoires départementaux se sont, de leur propre initiative, rapprochés du CHU de Tours pour leur donner, dans l’urgence des kits de prélèvements dont ils disposaient mais aussi des réactifs pour réaliser ces tests dont les hôpitaux manquent cruellement.

      Mais au-delà de ces solutions immédiates, ils s’impatientent. Selon nos informations, de nombreux échanges ont eu lieu depuis dix jours avec les autorités compétentes, notamment avec l’ARS, sans que rien ne bouge. Contactée, l’ARS Centre-Val de Loire nous a répondu que l’examen de ce dossier était « en cours ». En clair, ils attendent le feu vert du ministère.

      Dans un courrier adressé le 25 mars au ministre de la santé, que s’est procuré Mediapart(et également cité dans cet article de France Bleue), les présidents de quatre départements (Sarthe, Touraine, Anjou et Loire-Atlantique) alertent sur la situation. « Notre démarche a pour but de vous aider à développer, le plus rapidement possible, les tests Covid-19 à destination des personnels qui sont en première ligne », écrivent-ils à Olivier Véran.

      « À cet égard, à côté des tests réalisés par les CHU et les laboratoires privés, et que vous souhaitez amplifier, notre laboratoire vétérinaire et de biologie Inovalys dispose des équipes, des compétences et des matériels pour effectuer des analyses de biologie moléculaires (PCR) en grande quantité de l’ordre de 1 000 tests Covid-19 par jour », exposent-ils.

      « L’argument du cadre juridique, en cette période de “guerre” ne nous paraît pas recevable », avancent les élus en arguant qu’« à ce niveau de gravité de la pandémie, il n’est pas possible que médecine humaine et médecine vétérinaire soient si étanches alors que les organisations internationales évoquent régulièrement le concept de “One health” ».

      Pour assurer une rigueur scientifique et un cadre juridique clair à cette coopération exceptionnelle, les présidents des départements admettent qu’il convient évidemment de poser des garde-fous. Ces laboratoires vétérinaires devront être « expressément réquisitionnés par l’État » et la réalisation de ces tests devra se faire dans « une collaboration étroite avec les laboratoires de virologie des CHU », qui auront préalablement validé la méthode PCR employée.
      « Il ne nous reste que quelques jours pour optimiser nos moyens de lutte »

      « Nos équipes, en première ligne, ne comprendraient pas que tous les moyens disponibles, en particulier l’augmentation du nombre de tests, n’aient pas été mis en œuvre par l’État […] afin de préserver leur santé », tancent les présidents de ces quatre départements.

      Rappelant que leurs départements n’étaient pour l’instant pas les plus touchés, il soulignent qu’« il ne [leur] reste que quelques jours pour optimiser [leurs] moyens de lutte, en premier lieu les tests » : « C’est pourquoi […] nous en appelons à votre décision qui nous permettrait d’être rapidement opérationnel et participer activement à la lutte contre cette pandémie. »

      Au-delà de ce pan de la recherche publique en santé animale, les laboratoires vétérinaires privés affirment eux aussi pouvoir être mis à contribution. « Nous nous en rendons compte depuis le Sras, les virus animaux et humains sont très voisins. Nous connaissons très bien les coronavirus chez la volaille, les porcs », affirme par exemple Éric Sellal, à la tête du labo vétérinaire BioSellal à Lyon.

      Pour commercialiser ces tests dans le monde vétérinaire, il faut répondre à une norme Afnor. Pas la même évidemment que pour la biologie humaine. Mais lui aussi assure être dans son laboratoire à même de produire rapidement des tests Covid-19 grâce, là encore, aux données rendues publiques par l’OMS. « On a fabriqué un test chez nous en utilisant les recommandation de l’OMS. Nous avons, comme d’autres labos vétérinaires, les stocks de réactifs », explique-t-il. « Quand j’ai appris la pénurie de tests, j’ai contacté le syndicat des industries du médicament vétérinaire, mais aussi l’Anses, l’Institut Pasteur… Le problème est que tout le monde est sous l’eau. Mais c’est rageant que nous ne puissions pas aider dans la période actuelle », déplore-t-il.

      Pour Lionel Barrand, président du syndicat des jeunes biologistes médicaux, la contribution des chercheurs spécialisés en santé animale doit être fermement encadrée. « Nous sommes, nous, soumis à une norme ISO qui est très contraignante et qui est adaptée à la biologie humaine. Il faut donc s’assurer de la qualité des techniques mises en place, ce qui ne peut se faire d’un claquement de doigt. Il faudra donc sans doute attendre plusieurs mois », regrette-t-il, en expliquant que « cette question aurait été pertinente si on se l’était posée au mois de décembre. Là, c’est peut-être un peu tard ».

      Auteur d’un appel au dépistage massif (un texte cosigné avec Didier Payen, ancien chef du service d’anesthésie-réanimation de l’hôpital Lariboisière), Laurent Lagrost, directeur de recherche à l’Inserm, considère, face à l’urgence sanitaire, que les procédures habituelles en cours doivent être interrogées. Et qu’il n’est pas trop tard. « Dans le monde de l’avant-Covid, il y avait effectivement une procédure de certification qui consiste à s’assurer des bonnes pratiques », détaille-t-il.

      « Aujourd’hui, il faut faire un appel aux compétences sur le terrain en qui, je crois, il faut faire confiance. Ils sauront avec les réactifs à leur disposition trouver les astuces pour contourner les obstacles de pénurie de tel ou tel produit », affirme-t-il. « Beaucoup de laboratoires ont l’habitude de réaliser ces tests PCR, qui sont, somme toute, très classiques », ajoute-t-il. Pour lui, ce grand plan de dépistage doit mobiliser dans un schéma plus large les laboratoires de ville mais aussi les laboratoires de recherche.

      Jusque-là le ministère, qui évoque désormais la piste de tests sérologiques – actuellement en cours de fabrication –, semble hésiter dans sa stratégie.

      Contacté en début de semaine, le cabinet d’Olivier Véran nous a finalement répondu vendredi soir que « la piste évoquée est actuellement étudiée avec beaucoup d’attention. Elle nécessite cependant de revoir la certification puisque la norme ISO 17025 n’est pas celle de l’humain ». Le cabinet du ministre de la santé précise aussi que « la ligne de dépistage PCR doit être tout à fait exempte de contamination de matériel animal pour ne pas donner de résultats erronés », ce que les biologistes vétérinaires n’ignorent sans doute pas.

      Bref, au ministère de la santé, la réflexion est donc plus que jamais « en cours », alors que l’explosion des cas de Covid-19 a déjà submergé les hôpitaux français.