Le jeu vidéo en journalisme et en documentaire | Choose Your Own (real) Adventure
►http://webdoclab.wordpress.com/2013/06/02/le-jeu-video-en-journalisme-et-en-documentaire
Un excellent tour d’horizon de la question !
« Si les films et les récits écrits sont très efficaces pour raconter des histoires, les jeux vidéo atteignent leur plein potentiel quand ils modélisent des comportements, quand ils décrivent des processus du monde réel par l’intermédiaire de processus informatiques. Ils s’expriment alors par leurs règles : c’est la rhétorique procédurale »
#Nouvelles_narrations #webdoc #ludoc #gamedoc #jeu_video #journalisme #jeudoc
Le Festival Millenium, un véritable tremplin pour la création
▻http://www.davduf.net/+le-festival-millenium-un-veritable-tremplin-pour+
Bruxelles sera du 31 mai au 9 juin prochain la capitale mondiale du film documentaire grâce au Festival Millenium. « Un tremplin et un lieu de rencontre international avant tout » pour Zlatina Rousseva, directrice artistique. L’occasion pour les jeunes talents de se faire (...)
Le jeu des 1000 histoires par Philippe Brault
▻http://www.davduf.net/le-jeu-des-1000-histoires-par-philippe-brault
Il a fait des bornes, shooté, filmé, douté, repris la route, redouté à sa façon « suis pas inquiet », et finalement, mon vieux complice Philippe Brault est revenu avec ça : un web doc sur la France des salons de coiffure, des toiles cirées, des regards tendres, et du radio-crochet. Ça s’appelle Le Jeu des 1000 Histoires, c’est sur le jeu du même nom (ou presque), c’est du #Upian, c’est beau, c’est Brault et ça sort (...)
#nouvelles_narrations / #Une, #Photo, (...)
Les nouvelles interfaces… d’écriture | La Feuille
▻http://lafeuille.blog.lemonde.fr/2013/05/17/les-nouvelles-interfaces-decriture
Passionnant article sur les transformations d’écriture.
Comme le remarquait Christian Fauré qui dans un billet racontait son passage au clavier tactile, le risque, bien sûr, est de devenir dépendant non plus d’un clavier, mais d’un programme et donc d’un appareil, d’une marque d’appareil (et de devenir incapable d’écrire avec d’autres types d’appareils qui n’implanteraient pas cette fonctionnalité).
« Nous avions la liberté d’être créatif, à condition d’oser et nous l’avons fait » — Tom Perlmutter, président de l’ONF
▻http://www.ledevoir.com/culture/actualites-culturelles/376922/creation-d-un-nouveau-service-de-diffusion-numerique-dedie-a-100-documenta
Face à la révolution numérique, l’industrie traditionnelle du documentaire est en retard. Les structures de réglementation, comme celles du financement, l’ont poussé dans d’autres directions et elle se retrouve depuis plusieurs années à constamment être en mode de rattrapage afin d’assimiler ce qui se passe autour d’elle. L’#ONF a certainement un rôle important à jouer dans cette équation. Depuis 2008, nous nous sommes imposés comme des innovateurs en matière de documentaires. Paradoxalement, cela est plus connu sur la scène internationale qu’ici. Nous avons une expertise reconnue et nous avons une infrastructure qui va nous permettre de mettre rapidement ce service en place. La force de l’ONF, c’est, je crois, d’avoir le privilège d’être marginal. C’est dans la marge que l’on trouve les idées de demain, que l’on a la possibilité d’expérimenter des choses. Ça donne une liberté que d’autres n’ont pas, ça permet d’aller plus loin si l’on ose le faire. Et nous, nous avons osé.
Twine: a tool for creating interactive stories
▻http://www.gimcrackd.com/etc/src
Create your own interactive stories with Twine, the same tool used to produce the stories on this Web site.
Think Visually
Twine lets you organize your story graphically with a map that you can re-arrange as you work. Links automatically appear on the map as you add them to your passages, and passages with broken links are apparent at a glance. As you write, focus on your text with a fullscreen editing mode like Dark Room. Rapidly switch between a published version of your story and the editable one as you work.
La télé est morte, vive la télé !
▻http://www.davduf.net/+la-tele-est-morte-vive-la-tele+
La télé migre sur le Net, mais les vieilles structures qui l’encadrent ne suivent pas. Le Web permet de visionner de plus en plus d’émissions, mais est-ce vraiment moins cher que de dire adieu aux câblos ? Les webséries multiplient les succès, mais peinent à trouver du financement. Alors pourquoi la (...)
BBC Don’t like how a documentary ends ? Change it
▻http://www.davduf.net/bbc-don-t-like-how-a-documentary-ends-change-it
Adventure game books - where readers could make decisions about what happened to the characters - formed a big part of childhood for many adults. Now it seems this is taking a technological leap forward. Imagine a video drama where viewers could decide what happened to the characters or a documentary that adapts its content according to the knowledge of the person watching. Documentaries that move with the viewer are being trialled across the internet. David Reid finds a way to change the (...)
À retenir : 5 règles éditoriales pour un webdoc réussi | La Netscouade
▻http://www.lanetscouade.com/article/retenir-5-regles-editoriales-pour-un-webdoc-reussi
Le webdoc, c’est un documentaire augmenté des techniques du web avec une préoccupation majeure : livrer au public une expérience de narration que la télévision classique ne permettrait pas de faire vivre ! Gamification, cohérence du récit, mise en avant des informations : comment construire un récit engageant le public tout en lui laissant le choix de sa narration ? La Netscouade vous donne cinq conseils éditoriaux.
Réaliser un webdoc, c’est affronter l’antinomie en se lançant le défi de séparer le récit de la narration. Il s’agit de réunir d’un côté, l’information brute que tout documentaire se propose de délivrer, et de l’autre, la possibilité laissée au lecteur d’organiser par lui-même sa propre réception de ces données. D’un côté, le travail de documentation doit traiter la globalité du sujet, de l’autre, est laissée à l’internaute la possibilité de vagabonder d’un détail à l’autre. D’un côté, l’objectivité des faits doit être embrassée, quand de l’autre, la subjectivité de la narration dépend des centres d’intérêts et du temps de l’utilisateur.
Le travail du documentariste prend alors une autre ampleur : au travail d’information et de restitution linéaire, s’ajoute celui de la structuration de son récit pour le rendre adaptable à la navigation souhaitée par le visiteur. Le web se met au service d’une nouvelle expérience journalistique.
Mais comment tenir cette promesse d’interactivité ? Comment délivrer un savoir brut en laissant au public la possibilité d’en organiser la narration ? Après avoir participé à la Master Class d’Alexandre Brachet d’Upian sur le webdocumentaire, et forte de ses expériences en la matière, La Netscouade vous propose d’explorer les 5 règles, côté édito, pour réussir votre webdoc.
Coller à la théorie du flow
Tout l’enjeu pour le webdoc, comme l’explique François Maurin sur The Pixel Hunt, est de faire entrer le spectateurs dans cet état de « flow » : juste le bon niveau entre la simplicité et la complexité pour que celui-ci puisse contrôler et maîtriser le contenu.Définie par le psychologue hongrois Mihaly Csikszentmihalyi, le concept du « cognitive flow » ou flux cognitif théorise l’influence de notre disposition émotionnelle par le rapport entre la difficulté d’une tâche et notre niveau de qualification. En clair : si la tâche est trop complexe ou si elle est trop simple, l’ennui gagne votre internaute. Tout l’enjeu pour le webdoc, est de faire entrer le spectateurs dans cet état de « flow » : juste le bon niveau entre la simplicité et la complexité pour que celui-ci puisse contrôler et maîtriser le contenu.
Une arborescence trop complexe du webdoc, des menus et sous-menus abyssaux ou au contraire une narration trop linéaire auront tôt fait de lasser le spectateur.
World Press Photo Multimedia - deadline pour les inscriptions : 10 janvier
▻http://www.worldpressphoto.org/2013-multimedia-contest
2013 MULTIMEDIA CONTEST
The third multimedia contest will be chaired by Keith W. Jenkins, US, supervising senior producer for multimedia at NPR.
Jenkins will be supported by an international jury of six leading professionals in the field of visual journalism and documentary storytelling. Together they will be judging the entries at the World Press Photo office in Amsterdam from 26 January until 1 February 2013..
Transmédia, émotion et poésie : l’équation non résolue par Patric Jean
▻http://patricjean.blogspot.fr/2012/08/me-voila-au-point-mort.html
Or, les expériences transmédia proposent justement l’inverse : picorer, rebondir, suivre des hyperliens, dans son salon ou dans le métro et de fil en aiguille participer, comprendre ou bien repartir vite vers autre chose. Le fameux « processus » découpe dans le temps la découverte de l’expression et ne permet pas le même empilement susceptible à la fin de provoquer l’émotion.
D’où la question : comment écrire aujourd’hui un projet transmédia comportant processus, interaction, non-linéarité et défendant un point de vue avec la possibilité de provoquer des émotions (quelles qu’elles soient) et une expression aussi personnelle et poétique que nous connaissions dans le cinéma traditionnel ?
Mind42.com
Une carte du webdocumentaire
▻http://mind42.com/pub/mindmap?mid=877f03e7-0361-450a-9f91-58a1cd731066
Webdoc : Matthieu Lietaert, ou l’art du rebond « Le blog documentaire
▻http://cinemadocumentaire.wordpress.com/2012/08/03/webdoc-matthieu-lietaert-ou-lart-du-rebond
Son livre sur le webdoc nous avait plu, avec ses interviews par Skype. Son dynamisme affiché nous intriguait : Le Blog documentaire est allé prendre quelques nouvelles de Matthieu Lietaert après la sortie en Belgique et en Autriche (mais pas encore en France) de son film The Bussels Business… Interview par ordinateurs interposés, bien entendu !
The Brussels Busines
►https://www.youtube.com/watch?v=55U-ia9wYVk
Hugues Sweeney – La production web à l’ONF #2 « Le blog documentaire
▻http://cinemadocumentaire.wordpress.com/2012/08/01/webdocumentaire-hugues-sweeney-la-production-web-a-lon
Nous ne sommes pas plus avancés au Québec qu’en France. D’après les rapports que j’entretiens avec UPIAN, France Télévisions ou Arte, on en est à peu près au même point. Nous assistons à un changement qui s’inscrit sur le long terme. Pour autant, nous ne sommes pas témoins d’une mutation fondamentale du documentaire ; c’est seulement le documentaire qui emprunte d’autres formes. Pour moi, le documentaire, ce n’est pas 24 images par seconde, mais une interprétation artistique du réel : celle-ci peut se faire avec des images et du son, de l’infographie, simplement du son… La radio est un média incroyable, invisible, qui permet à tout un chacun de construire un imaginaire très fort. La particularité du web, c’est qu’on peut construire un documentaire avec tous les médias et provoquer une interaction avec un public impliqué dans le processus. Mais le film documentaire classique de longue durée continuera d’exister.
Le seul dénominateur commun de l’interactivité, c’est que l’usager est activement impliqué dans l’expérience. Peu importe comment ou à quel niveau : ça peut juste être à partir d’un mouvement de souris [comme dans Blabla,NDLR], par la biométrie, par une création vidéo réalisée par 2.000 participants… Le degré d’interactivité ne dit pas si le projet est bon ou mauvais. On doit chercher le niveau d’interactivité pertinent pour ce qui est raconté.
Ce n’est donc pas une nécessité, même si, à l’ONF, l’usager doit faire partie de la narration. Mais à quel niveau, ça, c’est propre à chaque projet. Nous créons une palette d’interactions très large, parce que ce n’est pas parce que c’est plus complexe que c’est mieux. Il est vrai que nous concevons le web avant tout comme un mode de création et d’expériences narratives avant de le voir comme un mode de diffusion.
Storyplanet
▻http://www.storyplanet.com/index
Storyplanet is a toolbox for producing expressive interactive content without writing code. We help make content more engaging.
Write ’Choose Your Own Adventure’ Books Through This Clever HTML5 App | Co.Design : business + innovation + design
▻http://www.fastcodesign.com/1670294/write-choose-your-own-adventure-books-through-this-clever-html5-app
Now, inkle is making their internal compositional software available to the public free as an HTML5 web app called inklewriter. So, without any coding expertise at all, and without much preplanned plot, either, you can simply start typing an interactive novel.
Methods of navigation and interaction of an interactive documentary. I-Docs Modalities (II) | i-docs
▻http://i-docs.org/2012/07/12/methods-of-navigation-and-interaction-of-an-interactive-documentary-i-docs-m
After a deep analysis of a set of significant examples of interactive documentaries (we have analyzed an initial volume of between 200 and 250 examples), we have establish a division between different types of navigation and interaction. Among the types of navigation we found the Split, the Temporal, the Spatial, the Testimonial, the Branching, the Hypertext, the Preferred, the Audiovisual, the Sound and the Simulated and Immersive navigation mode. Regarding the modalities of interaction, we found Applications 2.0 Interaction and Generative Interaction.
Annexe 5 : Interview de Pauline Augrain Chargée de mission CNC
▻http://www.institut-numerique.org/annexe-5-interview-de-pauline-augrain-chargee-de-mission-cnc-501
l faut essayer de distinguer le web documentaire, qui est vraiment issu d’un travail d’auteur, de ce qu’on peut appeler le web reportage, où on est purement dans une nouvelle forme de récit journalistique, qui est aussi très intéressant. Mais, en tous cas nous, nous essayons de nous recentrer sur l’oeuvre au sens assez traditionnel du terme pour ne pas être complètement submergés de projets qui viennent de journalistes et qui ont uniquement comme sujet un traitement particulier de l’actualité et où l’on reste dans du flux.
Mais ça, c’est la culture CNC et il se trouve qu’effectivement, le web documentaire a eu un écho très important dans le monde du journalisme, et surtout du photojournalisme, car cela participe du besoin de diversification de la presse aujourd’hui
Hugues Sweeney – La production web à l’ONF #1 « Le blog documentaire
▻http://cinemadocumentaire.wordpress.com/2012/07/20/webdoc-ici-chez-soi-hugues-sweeney-la-production-web-a
En charge du studio des productions interactives à l’ONF, Hugues Sweeney (aka @hugues_sweeney) réunit la double qualité – rare – d’homme d’action (le rythme et la qualité des productions de l’ONF sont encore sans égal) et de penseur du web. Avec lui, Internet promet un bouleversement des codes, des modes de production et une approche à la fois “hippy” (selon ses termes) et très exigeante de l’utilisation des nouveaux outils.
Les productions interactives obtiennent une belle audience sur le site de l’ONF : 50 % du trafic global du site est généré par ces programmes.
Boris Razon – La production web chez France TV #3 « Le blog documentaire
▻http://cinemadocumentaire.wordpress.com/2012/07/16/boris-razon-la-production-web-chez-france-tv-3
Que faudrait-il pour faire vivre l’écosystème du webdoc actuellement ?
Je crois que nous faisons vivre un écosystème. L’enjeu pour moi est simple : on est en train de créer des programmes et des usages. A partir du moment où l’on crée des usages, on crée une rentabilité. C’est aussi simple que cela. Nous sommes encore, à France Télévisions, dans la phase de structuration de l’offre numérique. Notre rôle est celui d’être pilote, pour trouver les cadres et les paradigmes d’une expérience nouvelle de télévision. Mieux trouver son public, mieux rencontrer les usages, c’est le meilleur moyen de rencontrer la rentabilité.
Il y a aussi une possibilité pour que certaines marques s’associent au financement de manière intelligente. Nous n’allons pas vers ça à France Télévisions, mais je n’ai pas d’opposition de principe.
On ne sait jamais ce que réserve l’avenir, alors restons ouvert, hein ...
J’attends avec impatience des webdocs intelligemment financés par nos amies les marques ...
D’ailleurs, depuis quand France Télé devrait se préoccuper de rentabilité ...
Submit your interactive documentary to IDFA DocLab | IDFA DocLab
▻http://www.doclab.org/2012/submit-your-interactive-documentary-to-idfa-doclab
DFA DocLab is the official new media program of the International Documentary Film Festival Amsterdam. The program, celebrating its fifth anniversary edition in 2012, showcases interactive documentaries and other new forms of documentary multimedia art and storytelling. To get a sense of the types of projects we’re looking for, see last year’s selection of interactive projects.
NARRATION INTERACTIVE ET TRANSMÉDIA une conférence de Jérémy Pouilloux | Site des étudiants en Mastère spécialisé Interactive Digital Experiences 2012
▻http://ide-edu.net/2012/02/narration-interactive-et-transmediaune-conference-de-jeremy-pouilloux
Une histoire #transmédia est avant tout une histoire. Elle suit donc, à la base, les règles de la dramaturgie classique. À celle-ci s’adjoint une dramaturgie du jeu. L’histoire transmédia dépasse le scénario et la mission pour raconter un univers et donner l’occasion à l’utilisateur de « vivre une expérience ».
Boris Razon – La production web chez France TV #2 « Le blog documentaire
▻http://cinemadocumentaire.wordpress.com/2012/07/09/webdocumentaire-boris-razon-la-production-web-chez-fra
Quels sont vos curseurs pour évaluer l’intérêt d’un projet ?
Il y en a un certain nombre : en matière de nouvelles écritures, le curseur principal est l’expérimentation. Le projet de documentaire qui a déjà été refusé, qui a été re-packagé en webdocumentaire, sauf s’il développe une réelle pensée web entre les deux versions, ne va pas nous intéresser. Le projet doit expérimenter, sur la participation de l’audience, la navigation ou l’utilisation de différents médias. Pour les projets transmédia, le curseur, c’est la façon dont on amène l’audience à vivre une expérience de plus en plus riche. Les projets ne doivent pas tous pousser tous ces curseurs. Sur chacun des projets, on pousse un curseur différent pour multiplier les expériences. Mais il doit y avoir un lien entre le sujet et la façon de penser l’expérience utilisateur. Encore une fois, on ne développe pas une collection de webdoc avec un seul mode de narration. On le fera peut-être plus tard, mais pas aujourd’hui.
Que pensez-vous des projets nés par le crowdfunding ? Ces plateformes constituent-elles des incubateurs de projets pour vous ?
Je trouve très bien que cela existe. Et bien sûr, toute l’équipe et moi-même, nous suivons de près ce qui s’y passe et on s’y intéresse. Mais en tant qu’acteur de ce marché, j’estime que notre rôle, à France Télévisions, est de constituer une force de stimulations et de propositions. Le crowdfunding représente pour moi un marché parallèle très important, mais sur lequel nous n’intervenons pas.
Pour en finir avec le transmédia | La Fabrique du Réel
▻http://lafabriquedureel.fr/humeurs/pour-en-finir-avec-le-transmedia
Finissons-en une bonne fois avec « le » transmédia. Avec un substantif parfaitement impropre à rendre lisible pour qui que ce soit d’autre que les professionnels de la (des, plus exactement) profession(s) ce qui n’est finalement « rien d’autre » que la grammaire contemporaine du récit.