#nuit-torride

  • Riad se aleja de su aliado ; Paquistán envía 20.000 fuerzas a Catar - HispanTV, Nexo Latino
    http://www.hispantv.com/noticias/paquistan/344069/qatar-tensiones-arabia-saudita-cortar-relaciones

    suites #nuit-torride
    – certaines infos disent que le Pakistan enverrait des troupes pour soutenir le Qatar, très mauvais pour ’Arabie saoudite et sa grande coalition
    – pour Angry Arab et d’autres, l’opinion dans le Golfe ne suit pas le bourrage de crâne saoudien et exprime sa solidarité avec les Qataris (du genre hashtag « la fête de rupture du jeûne à Qatar »)
    – dans le même temps, Doha lâche un peu de lest et demande aux cadres du Hamas de se trouver un autre exil (Téhéran possible direction pour Hanniyé).

  • Edito d’Aba sur la crise dite de la #nuit-torride (qui, à mon avis, met en évidence l’amateurisme pathétique de ceux qui l’ont fomentée).

    "L’intervention de Trump, de la Turquie et de l’Iran au coeur de la crise gêne Jubayr (ministre des AE saoudien) et l’incite à parler du Qatar comme d’un "Etat frère". Le sommet proposé à Washington pourrait calmer les choses provisoirement. Les propos de Qarqash (min. des AE des Emirats) sur un changement de politique et non pas de régime peut s’entendre de plusieurs façons.
    دخول ترامب وتركيا وايران الى حلبة الازمة جعل الجبير يرتبك ويخاطب دولة قطر بـ”الشقيقة”.. قمة واشنطن المقترحة قد تنزع فتيل التوتر مؤقتا.. وحديث قرقاش عن تغيير السياسات وليس النظام حمّال أوجه | رأي اليوم
    http://www.raialyoum.com/?p=688513

    ABA rappelle que Trump est intervenu deux fois, la première pour souffler le chaud, en soutenant les Saoudémiriens, la seconde en calmant le jeu par la proposition d’un sommet faite à l’émir du Qatar. Pour ABA, Trump compte bien faire payer cher, au sens propre du terme, ses bons services.
    ABA rappelle trois développements importants : l’accord du parlement turc pour l’envoi de troupes vers une base que les Turcs possèdent à Qatar ; la visite de l’Iranien Javad Zarif à Istanbul ; les rumeurs de troupes iraniennes au Qatar sous prétexte de formation.
    Cela signifie que le Qatar ne va pas forcément s’applatir, et que la médiation koweïtienne, et omanaise désormais également, a un peu plus de chances de réussir.
    En tout cas, on passe d’une crise classique au niveau du Golfe à une crise régionale. La probabilité d’une intervention militaire saoudo-émirienne baisse un pe, comme le laisse à penser la déclaration du Jubayr déjà mentionnée.