#ofce

  • Le gouvernement s’oppose aux #inégalités, mais seulement en paroles
    https://www.mediapart.fr/journal/france/150118/le-gouvernement-s-oppose-aux-inegalites-mais-seulement-en-paroles

    Alors que #Bruno_Le_Maire prétend vouloir lutter contre les inégalités et faire de cette lutte un pilier de sa politique économique, l’OFCE montre que cette politique est principalement favorable aux 2 % les plus riches de la population et aggravera les inégalités. Bruno Le Maire, ministre de l’économie et des finances. © Reuters

    #France #Economie #ofce

  • #ofce - Prévisions 2014
    http://www.ofce.sciences-po.fr/indic&prev/previsions.htm

    prévisions

    Banques centrales, le dernier rempart contre la déflation Perspectives 2014-2015 pour l’économie mondiale

    Zone euro : convalescence Perspectives 2014-2015 pour l’économie européenne

    France : ajustements graduels Perspectives 2014-2015 pour l’économie française

    Conférence de Presse du 17 avril 2014

    fiches pays

    Pétrole : une stabilité durable Céline Antonin

    États-Unis : la fin de tous les dangers ? Christine Rifflart

    Asie : spectres de 1997 et 2008 écartés Amel Falah

    Amérique latine : le rappel des fondamentaux Christine Rifflart

    Peco : le danger russe Marion Cochard

    Allemagne : à contre-courant Sabine Le Bayon

    Royaume-Uni : l’île mystérieuse Catherine Mathieu

    Italie : une lueur au bout du tunnel ? Céline Antonin

    Espagne : timide percée Danielle (...)

    #éco

  • Jean-Marie Harribey » Blog Archive » Ce n’est pas si fréquent, l’année commencerait-elle bien ?
    http://alternatives-economiques.fr/blogs/harribey/2014/01/07/ce-n%E2%80%99est-pas-si-frequent-l%E2%80%99annee-commencera

    Si l’on met de côté le « pacte de responsabilité » proposé par le président de la République aux irresponsables du Medef, dont le « responsable » Pierre Gattaz se dit « prêt à jouer le jeu » (Le Monde, 5 et 6 janvier 2014), c’est-à-dire à faire empocher par les actionnaires quelques dizaines de milliards d’euros supplémentaires, l’année des économistes commence plutôt bien.

    Plusieurs économistes renommés expriment maintenant ouvertement leur scepticisme vis-à-vis des incantations à la croissance économique pour résoudre des problèmes qui ne proviennent pas autant qu’on le dit d’un manque de celle-ci. Souvent, ils abjurent même leurs anciennes convictions, mais ne boudons pas notre plaisir.

    L’OFCE, anciennement temple de la relance keynésienne de court terme, est en train de virer de bord et peut-être de renouer avec le Keynes des Perspectives économiques pour nos petits-enfants. Xavier Timbeau, dans un article intitulé « Réduire les émissions de CO2 est un impératif mondial » (Le Monde, 7 janvier 2014), pose la question : « Comment une planète aux ressources finies peut-elle supporter une croissance sans fin ? » Et il répond : « Le développement soutenable ne peut faire l’économie de l’égalité selon le genre ou l’origine ou les fondements des inégalités de revenus. Ce n’est donc pas une histoire de dette publique, de croissance ou d’infrastructure. Ce n’est pas réductible à l’application d’un taux d’intérêt dans les analyses coût-bénéfice ou au calcul de la valeur d’un stock de capital étendu à la nature ou aux ressources naturelles. »

    Le 18 juin 2002 (il y a donc près de 12 ans), l’OFCE m’avait invité à présenter mes travaux sur la soutenabilité. Tout le staff de l’OFCE était là, Jean-Paul Fitoussi en tête, qui présidait la séance. Tous avaient ouvert des yeux ronds en m’entendant expliquer exactement ce qu’écrit aujourd’hui Xavier Timbeau. Un bon bout de chemin parcouru par les keynésiens !

    Le même jour, dans le même Monde, Daniel Cohen livre un stimulant « Affranchissons-nous de notre dépendance à la croissance ». Non pas en usant du désormais argument admis presque partout, « la croissance infinie est impossible », mais en prenant à revers l’idéologie entourant les dépenses publiques et sociales : « Le problème posé n’est pas économique au sens comptable du terme, il est politique. Une économie totalement privée de croissance, qui ne produirait plus rien du tout[1], pourrait néanmoins embaucher des médecins pour soigner des malades, à charge pour la société de s’occuper plus tard des soignants devenus à leur tour malades. La croissance – en général – n’a rien à y faire. »

    Je traduis : le travail effectué dans les services non marchands est éminemment productif. C’est justement l’un des points que j’essaie de démontrer dans La richesse, la valeur et l’inestimable. Qu’en penses-tu Denis Clerc ?....

    #pacte-de-responsabilité
    #Medef
    #Pierre-Gattaz
    #OFCE

  • Comment peut-on défendre un revenu de base ? Réponse à l’OFCE
    http://revenudebase.info/2013/12/31/note-ofce-reponse

    Selon Guillaume Allègre, s’exprimant dans la note OFCE n°39, si « le revenu de base n’est pas une idée stupide », elle est difficilement défendable en termes de justice sociale et d’efficacité. Une réduction généralisée du temps de travail serait selon lui bien plus adéquate. Réponse de Marc de Basquiat, docteur en économie et spécialiste du revenu de base, pour qui ces deux idées ne sont pas fondamentalement incompatibles.

    Les nombreux promoteurs d’un revenu de base inconditionnel, quelles que soient leurs affinités politiques ou philosophiques, ont en commun de rechercher des réponses concrètes et consistantes à des déséquilibres majeurs de notre société : réduction de la pauvreté, avenir de l’Etat-providence, réduction de l’inégalité des chances, prise en compte équitable de la composition familiale, simplification fiscale, élimination d’une complexité administrative inutile, etc.

    Il est surprenant de ne découvrir dans le texte de Guillaume Allègre, pourtant assez développé, qu’une formulation très partielle et biaisée du débat actuel sur l’idée d’un revenu de base inconditionnel.

    Dès l’introduction en effet, il fait référence à deux options :

    « une optique libérale-libertaire en remplacement des prestations et assurances sociales existantes »
    « une logique progressiste, auquel cas le revenu de base s’ajouterait à la plupart des prestations et assurances sociales existantes »....

    #économie
    #Argumentaire
    #OFCE
    #RTT
    #travail
    #revenu-de-base

  • Ils ont osé : la monnaie cosmopolitique ! - Eco(dé)mystificateur
    http://ecodemystificateur.blog.free.fr/index.php?post/Ils-ont-os%C3%A9-%3A-la-monnaie-cosmopolitique-%21

    Y-a-t-il une seule autre organisation humaine sur cette planète que l’on féliciterait parce que ses dirigeants ne font sciemment pas ce pour quoi ils ont été spécifiquement désignés ? Non, la BCE est la seule. Les conséquences logiques de cette incongruité seraient de remettre en cause fondamentalement son fonctionnement – au-delà de revoir ses missions – et donc le principe même de la monnaie unique. Mais ça, il n’en est pas question. Il faut sauver le soldat euro, quel qu’en soit le prix, mesuré aussi bien en nombre de reniements de tous les principes démocratiques qu’en millions de chômeurs, unité bien plus dramatique. Et c’est là qu’intervient l’imagination débridée et sans limites des euro-boutistes avec le concept de « monnaie cosmopolitique » – associé au principe de co-souveraineté – chaudement recommandée par l’orateur à travers un texte du sociologue Maxime Parodi.

    #Conférence
    #Europe
    #Souverainisme
    #OFCE
    #BCE

    Une #monnaie-cosmopolitique est une #monnaie-commune à plusieurs #nations et fondée explicitement sur une forme de #co-souveraineté

  • « On alimente la crise économique » - Le Nouvel Observateur
    http://tempsreel.nouvelobs.com/economie/20131205.OBS8580/on-alimente-la-crise-economique.html

    Comment relancer la croissance en zone euro ? Dans le cadre des discussions menées par les institutions européenne sur la politique économique, l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) présente vendredi 6 décembre un rapport en partenariat avec le Conseil économique du mouvement travailliste danois et l’Institut allemand de politique macroéconomique. Interview de Xavier Timbeau, directeur du département analyses et prévisions à l’OFCE.

    Quelles sont vos conclusions ?

    – Nous ne sommes pas dans une phase de reprise. La crise continue. Les problèmes n’ont pas disparu, ils se sont déplacés : on a réduit les déficits publics en créant du chômage. Ainsi on alimente la crise, en favorisant la pauvreté, et en tirant les salaires vers le bas. Cette dévaluation par les salaires, bien réelle, notamment en Espagne, va se propager vers d’autres pays comme la France. Et la compétitivité qui va avec ne durera pas. Nous allons être rattrapé par la déflation, une baisse des prix et des salaires qui va faire monter le cours de l’euro, et annuler nos gains de compétitivité. Au final, la dette publique va augmenter, et la monnaie unique sera de nouveau menacée.

    Pourtant la Banque centrale européenne ne prévoit pas de déflation…

    – Ce que nous décrivons est une longue dynamique. La déflation est un phénomène qui met toujours du temps à s’installer. Mais dont il est très difficile de sortir. La Banque centrale a baissé ses taux directeurs il y a un mois ce qui, en réduisant le coût de financement des banques, et donc des entreprises et des ménages, stimule l’économie. Mais pour empêcher que la déflation se produise, il faut des mesures fortes.

    #économie
    #crise
    #France
    #Espagne
    #Allemagne
    #Italie
    #Crise-de-la-dette
    #Banque-Centrale-Européenne
    #OFCE

  • Ce qu’il faut retenir de la sortie de crise britannique, Points de vue
    http://www.lesechos.fr/opinions/points_vue/0203152745949-ce-qu-il-faut-retenir-de-la-sortie-de-crise-britannique-63328

    Ce qu’il faut retenir de la sortie de crise britannique
    Par Hélène Rey | 29/11 | 06:00 | 3commentaires
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    Ces temps-ci, on peut souvent lire des comparaisons entre les performances de l’économie anglaise et de l’économie française. L’adoption des politiques d’austérité du gouvernement Cameron aurait conduit à une reprise vigoureuse de l’économie britannique. La réalité est un peu différente. Certes, les estimations récentes du NIESR, équivalent britannique de l’OFCE, montrent que l’économie du Royaume-Uni devrait croître de 1,4 % cette année et de 2 % en 2014 et le chômage décroître de façon graduelle pour atteindre environ 7,4 % mi-2014. Après plusieurs années de déclin et de stagnation, la croissance est donc revenue, tirée par la demande des ménages anglais. Mais le PIB britannique n’a toujours pas rattrapé son niveau de janvier 2008, le revenu national étant toujours environ 3 % plus faible qu’à son pic !
    La crise actuelle et la politique d’austérité au Royaume-Uni ont conduit à une chute du revenu national beaucoup plus persistante que pour n’importe quelle autre crise au XXe siècle, y compris la Grande Dépression des années 1930. De plus, l’augmentation prévue de la consommation des ménages en 2014 est conditionnée à la possibilité que le regain d’activité du marché immobilier ait des effets positifs sur l’activité économique. L’Etat britannique a récemment subventionné les acquisitions immobilières en donnant un garantie publique sur les emprunts ad hoc. Une telle politique a conduit à une hausse des prix (quand la demande croît et que le parc immobilier est quasi fixe, les prix ajustent à la hausse) et l’effet de richesse qui s’en est suivi a pu soutenir la consommation. Mais la qualité des prêts s’est aussi vraisemblablement détériorée, ce qui pourrait conduire à une détérioration du budget de l’Etat en cas de retournement des prix de l’immobilier. Davantage de consommation des ménages dans un contexte de stagnation des revenus réels veut dire aussi moins d’épargne ; cela peut être un problème pour une économie où la dette des ménages est déjà à 160 % de leur revenu disponible brut (contre 103 % en France). Le déficit public, quant à lui, s’élevait à 7,9 % en 2012, le gouvernement ayant relâché sa politique d’austérité. La dette anglaise et la dette française sont à peu près au même niveau (90 % et 89 % du PIB respectivement).

    #crise
    #PIB-britannique
    #OFCE
    #Royaume-Uni

  • Pourquoi les plans sociaux se multiplient maintenant
    http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20131107trib000794659/pourquoi-les-plans-sociaux-se-multiplient-maintenant.html

    Plus de 700 plans sociaux ont été notifiés depuis le début de l’année. Avec une accélération cet automne. Après cinq ans de crise les entreprises, qui avaient retardé ce moment, compriment leurs effectifs. Autre explication : le nouveau droit du licenciement économique, qui sécurise les plans sociaux, est entré en application le 1er juillet.

    N’en jetez plus ! Depuis le début de l’année, 736 plans de sauvegarde de l’emploi ont été notifiés à l’administration. Et Arnaud Montebourg, le ministre du Redressement productif, lui-même, reconnait que 15.000 emplois ont été perdus en 18 mois dans plus de 1.000 entreprises en difficulté.

    Et, dernièrement, la longue litanie des plans sociaux semble s’allonger encore : Alstom prévoit 1.300 suppressions d’emplois, principalement en Europe, sans que l’on sache vraiment encore si la France sera concernée, La Redoute devrait supprimer environ 700 emplois, le volailler Tilly-Sabco va aussi se séparer de salariés, comme Gad ou encore le fabricant d’électroménager FagorBrandt. Sans oublier auparavant PSA. Mais comment expliquer un tel mouvement alors que la croissance française connaît un frémissement (0,4% de croissance attendu au dernier trimestre, puis O,9% en 2014 et 1,2% en 2015) ?

    La réponse tient en plusieurs éléments aussi bien économiques que juridiques.

    #plans-sociaux
    #entreprises
    Observatoire français des conjonctures économiques ( #OFCE )
    Le nouveau #droit des #licenciements-économiques commence à joue

    • Le nouveau droit des licenciements économiques commence à jouer

      Un deuxième élément, moins mis en exergue, joue certainement pour expliquer cette « avalanche » de plans sociaux : les modifications intervenues dans le droit des licenciements collectifs, à la suite de l’accord national interprofessionnel du 11 janvier 2013 signé entre le patronat et une partie des syndicats.

      Cet accord a été repris par une loi sur « la sécurisation de l’emploi » du 14 juin. Et les dispositions relatives aux licenciements économiques sont applicables depuis le 1er juillet de cette année. Or, il semble évident que les DRH des grandes entreprises ayant l’intention d’annoncer un plan social ont dû conseiller à leurs direction d’attendre cette date avant de le faire. Pourquoi ? Il est indéniable que la nouvelle législation sécurise les plans sociaux et réduit considérablement les risques juridiques pesant sur la validité du PSE.

      En effet, avant le 1er juillet, des syndicats ou des salariés pouvaient attaquer une entreprise sur la réalité du motif économique ou sur l’insuffisance du contenu du plan social. Dans les faits, ces recours restent encore possibles. Mais ils sont nettement moins évidents du fait du nouveau rôle joué en amont par les Directions régionales des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi (Direccte)

      #ANI
      #degraissage
      #PS

  • Jamais le dimanche ? *
    http://www.ofce.sciences-po.fr/blog/?p=4549

    (.....)

    Il faut pourtant refroidir les illusions de ces commerçants. Ouvrir un jour de plus apporte plus d’activité uniquement si les concurrents sont fermés au même moment. Il en va pour les meubles, les livres, les CD ou les vêtements comme pour les baguettes. Si tous les magasins qui vendent des meubles ou de l’électroménager sont ouverts tous les jours de la semaine, ils vendront autant que s’ils sont ouverts 6 jours par semaine. Si un seul d’entre eux est ouvert le dimanche et ses concurrents sont fermés, alors il capte une part importante du marché. Les achats de machines à laver, téléviseurs ou meubles sont plus faciles à faire le dimanche que les jours de la semaine. Celui qui ouvre en solitaire en profite largement. Mais au bout du compte, les consommateurs achètent des chambres d’enfants en fonction du nombre de leurs enfants, de leur âge ou de la taille de leur logement. Ils n’achètent pas davantage parce qu’ils peuvent faire leurs emplettes le dimanche. Ce sera leur revenu qui aura le dernier mot.

    A la marge, il est possible que l’on vende un peu plus de livres ou de meubles, achetés impulsivement le dimanche, si les grandes surfaces spécialisées dans ces articles sont ouvertes. Mais les budgets des consommateurs n’étant pas extensibles, les dépenses faites ici seront compensées par des dépenses réduites ailleurs. Année après année, de nouveaux produits, de nouveaux motifs de dépense, de nouvelles stimulations commerciales ou de nouvelles formes de distribution émergent. Ces bouleversements ne modifient pas les contraintes ou les choix des consommateurs.

    #travail_domical
    #Allemagne
    #OFCE
    #commerce,
    #législation_du_travail
    #volontariat ( implicit )

  • Travail dominical généralisé : « Un impact négatif sur l’économie » - Le Nouvel Observateur
    http://tempsreel.nouvelobs.com/economie/20130930.OBS9062/travail-dominical-generalise-un-impact-negatif-sur-l-economie.h

    Le travail le dimanche est de nouveau sur la table, car certaines enseignes du bricolage refusent de se conformer aux interdictions judiciaires. Le gouvernement a d’ailleurs confié lundi 30 septembre une mission sur la question à Jean-Paul Bailly, l’ancien président de La Poste. Faut-il répondre aux demandes des grands magasins ? Réponse d’Eric Heyer, directeur du département Analyses et prévisions à l’Observatoire des conjonctures économiques.

     

    La généralisation du travail le dimanche serait-elle bonne pour l’économie ?

    – Non. Cela ne changerait rien d’un point de vue de la consommation. Elle n’augmenterait pas, car elle est limitée par les contraintes budgétaires des ménages. Ce n’est pas parce qu’une personne peut se rendre dans un grand magasin le dimanche qu’elle va acheter trois téléviseurs ou cinq poussettes. Le seul intérêt est d’ouvrir dans les zones touristiques.

    Pourtant de nombreuses enseignes en réclament l’autorisation...

    – Oui, elles veulent gagner des parts de marché. Mais Leroy Merlin ne veut pas une généralisation du travail le dimanche, il veut pouvoir être le seul à ouvrir. Il a intérêt à ce que Bricorama reste fermé, et à ce que les gens n’aillent pas au restaurant. Sinon il n’augmentera pas ses recettes.

    Certains consommateurs ne trouvent pas le temps de faire leurs courses la semaine. Ne sont-ils pas contraints de moins consommer quand les magasins sont fermés le week-end ?

    – Consommer plus dans le bricolage, c’est consommer moins au cinéma ou au musée. Si l’on va à Plan de campagne (l’une des plus grosses zones commerciales d’Europe, ouverte le dimanche, N.D.L.R), on va un peu moins se balader à la campagne ! Il y a des secteurs gagnants et des secteurs perdants. C’est un choix. Bien entendu, les salariés sont parfois contents de travailler le dimanche, parce qu’ils gagnent plus, et il est donc normal que la fermeture de certains magasins suscite des réticences. Mais du point de vue macro-économique, la généralisation du travail le dimanche pourrait avoir un impact négatif.

    #Economie
    #travail
    #dimanche
    #OFCE
    #travail_dominical
    #Castorama
    #Leroy_Merlin

  • Ayrault et le #TSCG : WTF ? | Yovan Menkevick
    http://reflets.info/ayrault-et-le-tscg-wtf

    Ils sont forts ces #socialistes, très forts. Leur premier ministre le formidable JMA vient de vendre le TSCG à l’assemblée nationale avec une belle conviction. C’était beau et émouvant à la fois. Mais que disaient-ils tous ces socialistes il y a moins d’un an, à propos de la règle d’or qu’ils jurent ne pas voter aujourd’hui avec le TSCG ? Remember… Ah ils en voulaient pas du TSCG, ça c’est certain. Mais parce que le TSCG d’aujourd’hui, ce n’est donc plus du tout une règle d’or, non, non, non. Il suffit de le lire pour s’en rendre compte. Petit passage savoureux : a) la situation budgétaire des administrations publiques d’une partie contractante est en équilibre ou en excédent ; b) la règle énoncée au point a) est considérée comme respectée si le solde structurel annuel des administrations publiques correspond à l’objectif à moyen terme spécifique à chaque pays, tel que défini dans le pacte de stabilité et de croissance révisé, avec une limite inférieure de déficit structurel de 0,5 % du produit intérieur brut aux prix du marché. Les parties contractantes veillent à assurer une convergence rapide vers leur objectif à moyen terme respectif. Le calendrier de cette convergence sera proposé par la Commission (...)

    #A_la_Une #Economie #Politique #Cour_de_justice_européenne #déficit_public #Dette #dettes_publiques #Europe #Henri_Sterdyniak #Jean-Marc_Ayrault #OFCE #règle_d'or