#ohlala

  • On a lu le dernier livre de Marlène Schiappa et il nous a mis bien mal à l’aise
    https://www.nouvelobs.com/politique/20180526.OBS7248/on-a-lu-le-dernier-livre-de-marlene-schiappa-et-il-nous-a-mis-bien-mal-a-

    Dans son nouvel ouvrage, la secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes partage les lettres qu’elle a écrites à ses filles lors de ses déplacements professionnels depuis le début de la grande aventure Macron. Des lettres qui ne semblent pas réellement rédigées à l’intention de petites filles de 11 et 6 ans, car bien trop politiques. Mais admettons.
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    Entre un shampouinage et une course à la boulangerie, l’auteure évoque son admiration pour Emmanuel Macron, qualifiant son élection d’"enjeu national. Historique". De la prise de pouvoir du président, elle écrit : ""Comme si pendant des années, des apothicaires avaient tenté de guérir un pays malade en préconisant des saignées et que, enfin, un véritable médecin arrivait avec une poche de sang* à transfuser." "

    Les courbettes s’enchaînent tout au long du livre. La plus maladroite est celle adressée à Brigitte Macron : la « bienveillance, la gentillesse, l’engagement et la classe naturelle, ses allusions artistiques, son humour ravageur et son sourire irrésistible de ’l’éternel féminin’ ».

    « Eternel féminin » ? Une expression éculée qui définit la femme uniquement à travers le désir qu’elle suscite chez l’homme. Pas de quoi se féliciter d’avoir lu Simone de Beauvoir quelques paragraphes plus tard.

    Pour l’éducation féministe et « non genrée » de ses filles, on repassera aussi.
    ""Moi, j’ai pris la forme de manucure de ma tante Martine [...], le parfum de ma grand-mère Andrée, les gestes tendres de mon arrière-grand-mère Mina [...], la brosse pour se laver le visage de ma première belle-mère, la façon de ma mère de préparer le dîner [...], et sans doute beaucoup trop de choses de mon père pour une femme." "

    #ohlala Je sais pas combien de #facepalm il me faut pour illustré mon sentiment face à cette découverte !!! Un #shivaFacePalm au moins !
    #féminisme_jusqu'au_bout_des_ongles VS #manucure_de_tante_martine

    *contaminé

  • Ohlala, le « Uber du sexe » débarque en Allemagne : un modèle applicable en France ?
    http://www.20minutes.fr/societe/1672287-20150825-ohlala-uber-sexe-debarque-allemagne-modele-applicable-fra

    Le site ressemble à s’y méprendre à celui de la plus célèbre application de rencontres, Tinder. Pourtant sur Ohlala, un rendez-vous même expéditif, peut coûter une somme rondelette. Cette start-up, créée par Pia Poppenreiter, autrichienne diplômée d’un master en économie, propose aux Berlinois de les mettre en relation avec des femmes pour « partager un dîner, s’infiltrer dans une soirée ou sauter directement au lit », détaille le site, moyennant un tarif fixé au préalable entre les deux personnes consentantes.

    #Allemagne #Numérique #Ohlala #Prostitution #Proxénétisme #Sexe #Économie_collaborative

  • Voila voila qu’ça recommence....

    via @libertesinternet

    http://www.legalis.net/spip.php?page=breves-article&id_article=3665

    La création d’un lien hypertexte permettant d’accéder directement à un article plus ancien, que la création d’un tel lien doit être analysée comme une nouvelle mise en ligne du texte auquel ce lien hypertexte renvoie », affirme un jugement du 18 mars 2013 du TGI de Paris, dans une affaire de diffamation.

    Dès lors, l’assignation délivrée le 5 décembre 2011, se rapportant à un lien publié le 8 septembre et renvoyant à un article considéré comme diffamatoire mis en ligne le 14 juillet, a valablement interrompu le délai de prescription de trois mois. Le caractère diffamatoire des affirmations contenues dans cet article a donc pu être examiné, contrairement à un autre article en cause mis en ligne le 28 juillet, le délai de trois mois ayant expiré le 29 octobre 2011.

    Il s’agissait de la publication d’articles sur le site africaintelligence.fr relatifs à la mort d’un homme présenté comme commissaire de police et ancien garde du corps du roi marocain Mohammed VI. Les textes faisaient état d’un assassinat dans les locaux d’une société d’informatique, dirigée par un soi-disant ancien des services des renseignements extérieurs du royaume. Le tribunal a examiné les faits évoqués et a considéré qu’ils ne pouvaient être considérés comme portant atteinte à l’honneur ou à la considération de la société ou de son dirigeant.

    #censure #diffamation #délit_de_lien_hypertexte #délai-de-publication-par-voie-électronique #ça_craint !