• Plusieurs élus sont pris dans la tourmente de l’affaire du #préfet Alain #Gardère
    https://www.mediapart.fr/journal/france/130716/plusieurs-elus-sont-pris-dans-la-tourmente-de-laffaire-du-prefet-alain-gar

    Incarcéré depuis avril, le promoteur Antonio #De_Sousa est soupçonné d’avoir corrompu le préfet Alain Gardère, mais l’enquête dévoile ses cadeaux à plusieurs maires (LR) de la région parisienne dont deux conseillers départementaux de #Seine-et-Marne. Le maire copéiste d’Ozoir-la-Ferrière aurait bénéficié d’un virement de 500 000 euros pour s’acheter une villa en Corse. Suite de notre enquête en plusieurs volets sur les affaires du préfet Gardère.

    #France #bâtiment #Buresi #Castello #Cnaps #Corruption #Des_Rosaies #Essonne #France_Pierre #GLNF #golf #hippisme #IGPN #Immobilier #Justice #Oneto #Ozoir-la-Ferrière #Police #Puteaux #Saint-Thibault-des-Vignes #trafic_d'influence #Val-de-Marne #Vouriot

  • SI UNE FORCE DÉCOUVRE SON PROPRE NOMBRE...

    Le gouvernement révèle qu’il « puise déjà dans ses réserves stratégiques ». Il croit parler carburant.

    Dans certains contextes (fin de règne, modèle dominant usagé, veille d’apocalypse), il est plus difficile que d’ordinaire d’enfermer la générosité et la détermination. On a beau les assigner à résidence, les murer dans le silence et le mensonge, ou les incarcérer tout court, rien n’y fait. Impossible de dire alors où s’arrête le rayon d’action d’un geste, pour peu qu’il soit simple et franc. À croire qu’il suffit parfois d’y aller franchement, pour faire dans l’époque une mince ouverture. Un déchirement de chemise peut trouver, bien plus tard, un prolongement inattendu. Signe discret que le présent s’est ouvert. Que nous vaut l’efficacité de cette chemise de DRH arrachée ? Si le geste trouve à se continuer, c’est peut-être qu’il arrive de très très loin, du plus profond de nous. C’est peut-être qu’il est dans le futur.

    Depuis mars, semaine après semaine, l’émeute est comme un fou rire : plus on la réprime, plus on la tient confinée, plus elle éclate et se communique. La vigueur des cortèges de jeunesse – où l’on s’en prend à la police, et accessoirement aux agences bancaires – la salubre énergie des méchants casseurs devait à la longue se révéler contaminante. Gares, ports, autoroutes, centres logistiques, raffineries, terminaux et dépôts pétroliers, centrales nucléaires : on s’avance tranquillement et sûrement vers un blocage de la France entière.

    Un virus sérieux sait muter. Ce qui est manifestation offensive à un endroit, devient blocage acharné un peu plus loin. C’est la même volonté de faire mal à l’ordre en place. Si la radicalité d’une action anticapitaliste se mesure à la longueur de l’ardoise, eh bien, les syndicalistes l’emportent haut-la-main sur les autonomes.

    Quel rapport peut s’établir entre la bonne vieille CGT et les (très courus) cortèges d’infréquentables ? A priori tout nous oppose. Or, le propre d’une lutte est justement d’avoir raison des « a priori ». Le 24 mai, à 4 heures 30 du matin, quand les forces de sécurité ont viré le blocage de Fos-sur-Mer, elles ont ramassé. Il n’y a pas dix mille façons de faire preuve de détermination. 7 blessés côté loyalistes. À l’entendre, la CGT veut avant tout éviter la bagarre, en déplaçant les barrages au gré des interventions de la police. Mais face au jusqu’au-boutisme froid de l’exécutif, à un certain moment, on doit se défendre. Fatalement. Et la meilleure défense,

    En définitive, l’écart le plus grand qu’on pourra jamais trouver dans ce mouvement ne se situe pas entre shegueys et syndiqués, charos et orgas, désœuvrés et travailleurs. Il se situe entre Martinez 1 et Martinez 2. La grande question est donc : Philippe, il s’est passé quoi ?
    ...
    « Maintenant, on a les directions syndicales avec nous ? » Rosa Luxemburg parle de ces moments où « le nombre découvre sa propre force ». Aujourd’hui, il semble qu’une force découvre, n’en finit pas de découvrir, son propre nombre.
    Quelle force ? Depuis deux mois, on grandit ensemble, en avançant. Comme on pouvait le lire sur une de ces banderoles renforcées qui, mises bout à bout, forment une sorte de journal vivant de la lutte : « Nous naissons de partout, nous sommes sans limites ». (On imagine que faire corps avec un message doit avoir en soi quelque chose de renforçant, cela doit venir blinder la bâche derrière laquelle on charge les flics. Bien sûr, chacun reste libre de ne pas y voir un rapport offensif et touchant avec la vérité.)

    Mais quelle force ? En plein cœur du mouvement, il n’y a pas l’unité, il y a les contradictions, les désaccords à leur comble. Qu’on en reste là, et c’est le malentendu qui triomphe : le service d’ordre du 17 mai en mode casques manches de pioche, lancé à l’assaut des jeunes déters, et qui s’en revient la queue entre les jambes, conspué par 5000 personnes. Mais qu’on continue à avancer, et c’est simplement [notre force] qui peu à peu se dégage, la vérité qui progresse.

    Vérité, au sens où ce ne sont pas les automatismes qui ont le dessus, mais ce qui les détraque. Au sens où nul ne se satisfait « d’être soi-même », où chacun se trouve heureusement dépassé.
    Au sens où personne, tant qu’on avance, ne peut dire ce qui réellement est en train d’avoir lieu. Où chacun sent bien que son angle d’attaque n’est qu’une pièce au service de la situation : une pièce du puzzle, qui ne prend sens qu’aux côtés des autres. Vérité, comme un puzzle dont personne ne connaît d’avance l’image complète – si ce n’est Flamby, dans ses rêves (« Les vacances, et tout cela s’évanouira, tout retournera au néant »). Vérité, au sens où on ne lâche rien, puisqu’on ne connaît qu’un mot d’ordre, qu’on garde comme un talisman : « Continuons le début ».

    Notre force ? Il n’y a d’unité que dans l’ennemi commun, et la confrontation interne : unité négative. Aussi faut-il élever la négation au rang d’art, et commencer par distinguer plusieurs manières d’être [contre]. On ne s’oppose pas à Cazeneuve comme on se tient à distance de telle pratique au sein de la lutte, ou encore comme on désapprouve un ami.

    Nous de la lutte, notre force est insaisissable, intempestive, réductible à rien de répertorié. Par conséquent, ses détracteurs doivent l’appeler violence – et l’entourer de la nuée lexicale traditionnelle : « casseurs », « en marge », « une minorité », « radicalisation », « ultras », « archaïsmes », etc. Le gouvernement en trois mots : isoler les violents. En date du 26 mai, la CGT est à son tour qualifiée d’« organisation extrémiste minoritaire ». Il est à parier que, dans deux jours sur BFM, ses militants seront décorés casseurs. À tout le moins, Gattaz donnera dans la « dictature stalinienne » et le « terrorisme ».

    Le pouvoir parle de « violence » quand il flaire l’irrécupérable. Trouble, flou, tabou universel, ce concept permet toutes les confusions propices au parti de l’ordre. Depuis le temps on connaît la musique. D’un côté, ce qui est violent et insoumis à l’ordre républicain est nécessairement disqualifié : barbarie. De l’autre, la violence dont la République fait usage est plus que légitime, si légitime qu’elle disparaît : on parlera tout au plus de « fermeté ».

    Ainsi, le monopole de la violence existe à proportion de sa disparition aux yeux de tous. Qu’il crève l’écran prouve immédiatement à l’État qu’on le lui conteste en acte, son monopole. Le théologien de la Place Beauvau doit alors monter en chaire, et s’élever contre « ceux qui théorisent une consubstantialité de la police à la violence ». Hum, complexe.

    L’ennemi s’embourbe dans l’impossibilité où il est de pouvoir assumer sa violence. À l’inverse, assumons ! Il suffit d’apporter une définition amie, hérétique. La violence, c’est « la qualité de ce qui agit avec force ». L’enjeu politique n’est pas ailleurs : telle expression violente rencontrera-t-elle son propre nombre ? Telle force découvrira-t-elle son propre monde ?
    « Le nombre » dont on parle c’est un [nombre singulier], c’est telle force, ce n’est pas le plus grand nombre. C’est ce qui, à chaque lutte, vient au devant de la scène : nous. La défaite, c’est quand nous de la lutte nous laissons à nouveau dispatchés en individus, classes, peuple. « L’individu » ? L’illusion de la liberté. « Le groupe social » ? Le nous identitaire, la communauté aliénée. « Le peuple », « le plus grand nombre » ? Alibis en béton de toute oligarchie.

    La défaite, elle vient toujours comme notre retour à l’état social. La défaite c’est nous, mais divisés en personnes, figés en groupes arrêtables, préfabriqués en classes, et fantasmés en peuple. On ne nous y reprendra plus.
    Alors, que reste-t-il ? Cette simple idée. Partir de ce qu’il y a de meilleur en nous : ces moments où nous avons su faire preuve ensemble de générosité et de détermination. Ces deux mois et demi en regorgent (#pontd’austerlitz). Partant de là, il reste à « penser, attaquer, construire. »

    Quand le contact se fait entre ces deux éléments, force & nombre, quand la magie opère, alors, rien ne nous arrête. Et l’alchimie tient en partie à cela : que l’on s’exerce, encore et encore, à faire l’impossible résumé des épisodes précédents. Previously bienveillant et partial.
    Notre force a su répondre à une intrusion de la police dans une fac (17 mars) par une manif sauvage offensive (21 mars). Elle a su répondre au tabassage d’un lycéen par des attaques de commissariats (25 mars). Comme elle a répondu plus tard à la mutilation d’un manifestant par la prise de la Maison du Peuple, en plein cœur de la zone rouge (Rennes, 1er mai). Quand le RAID a mis fin à l’occupation, notre vengeance a été belle. « Toutes nos condoléances aux familles des vitrines ». – On me souffle dans l’oreillette que la Maison du Peuple vient d’être réoccupée (27 mai) – puis évacuée de nouveau (29 mai).

    Étrangère aux canaux classiques de la représentation, notre force a su presque partout se rendre autonome dans des cortèges distincts, en prenant la tête des défilés unitaires, ou encore en chassant le SO qu’on avait tragi-comiquement lancé à ses trousses. (On peut être sûr que le 14 juin, marchant sur Matignon ou l’Élysée, chasubles rouges et coupe-vent noirs, côte à côte nous chargerons la police – #onestenfinale).

    Face aux diverses manœuvres de maintien de l’ordre, notre force a su déborder, encore et toujours. Il est vrai qu’en deux mois et demi, la tête de cortège a plus que décuplé. Elle a bouté les flics hors des trottoirs (1er mai). Les dispositifs d’encerclement « fuient » de partout : par les toits, les entrées d’immeubles, les chantiers, les commerces. Quand ils tronçonnent les manifs, les flics se retrouvent eux-mêmes pris en sandwich et tout le monde les pourrit. Quand la préfecture interdit de manifester, des milliers de personnes bravent l’interdit (Nantes, Rennes). Une solidarité impensable a vu le jour au milieu des gaz, des nasses, des charges, des interpellations, des blessures sales, des égratignures, dans la mêlée, en garde-à-vue. Des mains secourables surgissent dans les pires moments, on se souvient du parapet devant la gare de Lyon (31mars).
    Face au vide propositionnel de Nuit Debout, notre force a lancé des cortèges sauvages vers des lieux de pouvoir (9, 11, 12, 14 avril), déclenché des affrontements massifs des heures durant, République noyée sous les gaz (15 avril). Surtout, elle a construit sur la place, dans l’idée de rendre effective l’occupation promise. Un court instant, c’était la ZAD en ville. La répression a été féroce comme jamais (28 avril). Après quoi, notre force a trouvé aux Beaux-Arts un refuge temporaire et monumental (12 mai).

    Le 18 mai, quand les flics ont voulu réserver la place de la République pour gémir devant le médias, faire des selfies avec leurs amis politiques, et mater des vidéos d’émeutes sur écran géant en ayant tout loisir de faire « bouh », alors, notre force a submergé leur opération de communication lamentable. L’État a naturellement cherché à se venger de ce méchant buzz. À l’heure qu’il est, montrant les flammes virales, il essaie encore de faire croire à une sombre « tentative d’homicide sur véhicule dépositaire de l’autorité publique ».

    « J’aurais énormément de difficultés à considérer qu’il y a derrière ces hordes sauvages quelque chose qui ressemble à de l’humanité ou a fortiori à un début d’idéal » (Bernard de Beauvau, le 19 mai). Il faut s’empresser de dire, à tous ceux qui ne savent pas encore quoi penser de la violence politique : voyez, c’est atroce, c’est immonde – ou plutôt : détournez-le regard. Il y a chez notre ennemi démocrate une incapacité structurelle à envisager celui qui le combat comme un adversaire loyal.

    AOUH ! Si nous sommes des barbares, ce n’est pas au sens où ils l’entendent. Dans leur bouche, « les casseurs » incarnent une vision du combat complètement déréglée. Or, il n’y a rien de plus réglé qu’un affrontement. Chacun connaît « les règles du jeu » : tout ce qui vient délimiter, matériellement et politiquement, le champ de bataille. L’enjeu est de résister de la manière la plus tenace et maligne à un armement qui, par définition, situe l’ennemi hors de notre portée. Aussi loin qu’il peut aller, un manifestant a un million de fois moins de chances qu’un flic de tuer quelqu’un d’en face. La police joue avec nos vies à chacune de ses interventions (le 26 mai encore), la réciproque n’est pas vraie. C’est dans ce cadre-là, non dépassable jusqu’à nouvel ordre, que les manifestants peuvent s’enhardir. S’il arrive qu’ils [cherchent la limite] (dirait un éduc), c’est bien que, des limites, il y en a. Modifier ce cadre est à la portée de quelque chose comme une insurrection, sûrement pas d’un quelconque défilé, si bouillant soit-il.

    Du côté de l’État, on a beau jeu de passer artificiellement d’un répertoire à l’autre : on a plus ou moins dans l’idée de réserver au manifestant d’aujourd’hui le traitement qu’on jouirait d’infliger demain à l’insurgé. Et si, insensiblement, on faisait glisser la manifestation dans la zone « cours d’Assises » ? Cette perversion, on ne l’invente pas, elle est inscrite noir sur blanc dans l’état d’urgence. Il reste que tous ceux qui luttent ont bien conscience que porter volontairement atteinte à une vie humaine, c’est briser le mouvement de résistance pour des années, voire des décennies. Nul besoin de se lancer dans un débat moral : c’est une absurdité stratégique complète, dans le moment historique où nous sommes. Tout le monde a entendu parler du désastre des morts de la banque incendiée à Athènes.

    Et maintenant ? Face à l’impassibilité surjouée de l’exécutif, face à la [violence] avec laquelle il « comprend mais », devant la façon au fond puérile qu’il a de se cacher derrière des contingents de flics, devant le [chantage à l’Euro] qu’il brandit comme arme fatale et lapsus révélateur, maintenant, notre force a recours au blocage en série de nombreux points stratégiques. Les syndicalistes tiennent des promesses que depuis longtemps ils n’osaient même plus formuler. Une génération entière, qu’on croyait défaite, rangée de l’Histoire, retrouve goût à la grève, à la fumée noire, à l’action collective, au coup de force assumé. Un docker le dit. « En attendant, tous les matins, on peut se regarder dans le miroir ». Tous les secteurs s’y mettent, la France entière est touchée. Il s’agit d’affamer le Capital, d’assécher la Machine, strangulation des flux, on est chaud. Le poids de l’intimidation quotidienne s’abat d’un coup sur les épaules de ceux qui l’exercent. Avec tout ça, on a pris la confiance.

    Nicolas Valls doit stipuler que ce n’est pas la CGT qui gouverne. Comme les médias aiment bien avoir affaire à leurs semblables, ils s’intéressent de près aux robots qui nieront le plus longtemps qu’il est en train de se passer enfin quelque chose dans ce putain de pays ! C’est eux qu’on entend, ceux dont la force d’inertie semble si grande qu’elle leur interdit de voir plus loin que demain matin je dois aller bosser, nous emmerdent avec leurs conneries. Mais combien sont-ils encore, à réagir comme ça ? Une minorité ! « Les gens ne sont plus dupes, alors maintenant, il faut juste qu’ils éteignent leur poste de télé et qu’ils descendent dans la rue » (Martinez). Il y a deux façons d’en finir avec les mythes, avec les vieilles lunes. On peut les abandonner parmi les gravats. On peut aussi les réaliser, pour voir. Grève générale ! La France à l’arrêt !
    ...
    Notre force ? Depuis dix ans, on n’a jamais vu autant de détermination dans un mouvement, et si peu de discussions [entre nous]. Si d’aventure on commençait à se parler, si on avait un lieu, quelle accélération. Mouvement enclenché à Rennes, Rouen (Saint-Nicaise), Bordeaux (la Chaufferie), ailleurs. La capitale est à la traîne. La tête de cortège a besoin d’une maison, et elle la prendra. Mais c’est une chose qu’il faudra arracher. On l’a vu, le pouvoir gère les débordements dans la rue, mais il écrase le moindre signe de communisme.

    Pour qui gouverne, il est toujours possible, d’une manière ou d’une autre, de contrecarrer le négatif seul, isolé, coupé de son côté pile. Mais confronté à la face cachée du négatif, à [l’affirmation d’autre chose], on panique, on en oublie toute sérénité républicaine. Cet aspect du combat exige de nous une patience et une résolution infinies, à la hauteur de l’enjeu. La nervosité de l’adversaire à cet endroit indique une crainte : « Admettons qu’on leur laisse un lieu. Et si ça prenait ? Regardez la ZAD... »

    On peut dire que la tête de cortège ne cesse de grossir. On peut aussi dire que l’ancienne manière de se battre est en train de muter. Encore une fois, nul ne doit se former une image arrêtée du peloton de tête autonome, de là où il va, de qui le compose. Lycéens, étudiants, salariés, chômeurs, retraités, syndiqués, révolutionnaires, électrons libres, nous nous sommes retrouvés à [contrer ensemble une loi]. Comment avons-nous pu franchir tous les obstacles jusqu’ici ? Parce qu’une charge bien plus explosive que cette seule opposition nous en a donné la puissance. De cela, tout le monde est convaincu.

    Et à présent, c’est parce qu’on saura se donner un objectif [supérieur] qu’on pourra l’emporter. Puisant en nous, dans cette situation folle, le feu nécessaire, il est temps de formuler des exigences communes, de tracer des perspectives audacieuses. Autrement la lutte mourra comme tant d’autres sont mortes : parce qu’on s’est cru trop faible pour montrer l’horizon.

    Le gouvernement révèle qu’il « puise déjà dans ses réserves stratégiques ». Il croit parler carburant. 

    Chasubles rouges, coupe-vent noirs, on tient la ligne ! On avance ! Le 14 juin ils tombent ! On continue !

    Paris, le 29 mai 2016.
    --
    https://lundi.am/SI-UNE-FORCE-DECOUVRE-SON-PROPRE-NOMBRE

  • What exactly is ’one belt, one road’? | Chatham House

    https://www.chathamhouse.org/publication/twt/what-exactly-one-belt-one-road

    The phrase ‘one belt, one road’ has become a staple of discussions about China’s foreign policy and approach to the global economy. This is not least because the concept looks something like a signature foreign policy initiative of Chinese president Xi Jinping.

    But the challenge has been unpicking exactly what the ‘one belt, one road’ slogan means. In English the name is clunky and somewhat misleading, a literal translation from a typically concise Chinese phrase yi dai yi lu, which in turn condenses two related ideas.

    The first is the construction of a Silk Road economic belt spreading from western and inland China through Central Asia towards Europe, resonant of historical Eurasian ‘silk roads’ which reached their height during China’s Tang dynasty (618-906). Likewise, the second idea – a 21st century maritime Silk Road – is inspired by historical maritime trading routes from coastal China through the South China Sea and beyond. It will extend these routes to continents and countries where trade volumes are currently small, but growing, such as East Africa.

    #route_de_la_soie #one_belt_one_road

  • One Belt, One Road : A brilliant plan

    https://www.clsa.com/special/onebeltoneroad

    A brilliant plan One Belt, One Road

    Xi Jinping’s ambitious strategic initiative – an adaptation of the historical Silk Road – could sow the seeds for a new geopolitical era
    Head of China-HK strategy Francis Cheung and Head of China Industrial Research Alexious Lee provide an indepth analysis on what to expect in their Obor Silk Belt and Sea Road reports, available exclusively to CLSA clients.
    Thirty years of unprecedented growth

    In just 30 years, China has developed from a poor inward-looking agricultural country to a global manufacturing powerhouse. Its model of investing and producing at home and exporting to developed markets has elevated it to the world’s second-largest economy after the USA.

    Now faced with a slowing economy at home, China’s leadership is looking for new channels to sustain its appetite for growth at a time when developing neighbours are experiencing rapidly rising demand.

    #route_de_la_soie #one_belt_one_road

  • One Belt, One Road - The Economist Intelligence Unit
    http://www.eiu.com/public/topical_report.aspx?campaignid=OneBeltOneRoad

    Prospects and challenges on China’s ‘one belt, one road’: a risk assessment report

    Complete the registration form opposite to download a copy of Prospects and challenges on China’s ‘one belt, one road’: a risk assessment report

    In this report, The Economist Intelligence Unit (EIU) unpacks China’s “one belt, one road” plan and explores the risks that will face companies seeking opportunities in the OBOR territories. It has been indicated that up to 60 countries may be included in OBOR with stops across three different continents. In addition to political objectives, OBOR brings a strategic focus which encourages Chinese firms to go abroad in search of new markets or investment opportunities. Led from the highest levels of the government the OBOR push is backed by substantial financial firepower, with the government has launching a US$50bn Silk Road Fund that will directly support the OBOR mission. While the strategy promises opportunities for domestic companies, the route is unlikely to be an even one. The proposed countries range from Singapore to Syria. The companies involved could be heading into territories that may be strategically important for China’s foreign relations, but challenging to navigate.

    #route_de_la_soie #one_belt_one_road

  • Connecting the World Through “Belt & Road”CHINA US Focus | CHINA US Focus

    http://www.chinausfocus.com/foreign-policy/the-belt-road-initiative-offers-new-model-of-cooperation-in-global-gov

    OBOR has been proposed as an innovative method of cooperation in global governance in the face of a worsening economic climate and simmering geopolitical problems worldwide. This solution follows eight years of slow recovery since the financial crisis of 2008, which arguably witnessed the failure of “neo-liberalism” and its infamous economic reform recipe enacted by the “Washington Consensus.” China’s economic growth might give the world its only hope, with an annual GDP increase of 7% that contributes over 30% to global economic growth.

    The dire prospects for global development and the re-emergence of geopolitical troubles in the Middle East, Ukraine and elsewhere are pressing for elusive answers. What should we do to promote global peace and common development in the age of fast-paced globalization?
    Given the reality of the world today, what is so innovative and trailblazing about OBOR? Can it really offer a way out of the quagmire in which the world finds itself? I will try to illustrate my points as follows.

    #route_de_la_soie #one_belt_one_road

  • China’s rise as a regional and global power | Brookings Institution
    http://www.brookings.edu/research/papers/2015/07/china-regional-global-power-dollar
    http://www.brookings.edu/~/media/research/images/m/mf+mj/migrant%20worker%20and%20high%20rises/migrant%20worker%20and%20high%20rises_16x9.jpg

    CHINA has been growing extremely rapidly for a long time, but an important shift in its growth pattern occurred at the time of the global financial crisis.

    During the six years up to 2007 China’s GDP grew at an average rate of 11 percent, with investment equaling 41.5 percent of GDP. The current account surplus was rising in this period, reaching over 10 percent of GDP. In the six years since the global crisis, the external surplus has fallen sharply into the range of two to three percent of GDP, but the shortfall in demand was made up almost completely by an increase in investment, which has reached more than 50 percent of GDP in recent years.

    #route_de_la_soie #one_belt_one_road

  • Près de 2000 signatures contre un village de 200 réfugiés

    Le Conseil administratif d’Onex savait que la partie serait difficile. Après avoir annoncé en décembre son intention d’accueillir environ 200 migrants dans un village de #containers, il a présenté mardi soir une résolution visant à entériner ce projet. Dans un plaidoyer lénifiant sur les tragédies vécues par les réfugiés et la tradition suisse et genevoise de terre d’accueil, le conseiller administratif PLR François Mumenthaler n’a convaincu personne.

    Les municipaux se sont écharpés à propos de conteneurs bâtis sur deux étages. « Trop proches de l’école et de la pataugeoire ! »


    http://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise/2000-signatures-village-200-refugies/story/10867430
    #xénophobie #asile #migrations #Onex #réfugiés #Genève #Suisse #résistance #école (cette peur de la proximité aux écoles que je ne comprends pas...) #pétition #signature #logement #hébergement #racisme

    à vomir...

  • une Française sur quatre n’a pas eu d’orgasme lors de son dernier rapport sexuel (versus 6% des partenaires).
    Alors que 70% des pratiquantes atteignent facilement l’orgasme en se masturbant.
    http://sante.lefigaro.fr/actualite/2015/12/18/24414-orgasme-mauvais-score-francaises

    Les hommes toujours aussi nuls, en 2015 ils croient encore que leur pénis, qui les fait jouir, fait aussi jouir les femmes.
    Aucune éducation au plaisir des femmes n’existe dans ce pays macho, éducation nécessaire pour l’ensemble des ados.
    #sexe #femmes #clitoris #penis #OnEstQuandMemeEn2015Merdalors

  • Harcèlement sexuel : des trains de la gare du Nord aux prud’hommes - Page 1 | Mediapart
    https://www.mediapart.fr/journal/france/291115/harcelement-sexuel-des-trains-de-la-gare-du-nord-aux-prudhommes

    Dans les trains de la gare du Nord, à Paris, elles nettoient les toilettes. Pendant des mois, disent-elles, leurs #chefs_d'équipe frottaient leurs sexes contre elles, leur mettaient des mains aux fesses, les insultaient. Quand elles ont dénoncé les faits, leur direction les a à peine entendues, jamais soutenues, et même enfoncées. Une audience se tient ce lundi.

    Au cours de l’enquête, elles ont tenté d’expliquer pourquoi elles n’avaient pas parlé plus tôt. La honte. L’angoisse de devoir raconter à leur propre mari. La peur des représailles, de perdre leur #emploi, de ne plus pouvoir nourrir leur famille. Et puis, a lâché, Karima, « on ne savait même pas ce que c’était le #harcèlement_sexuel. On croyait que c’était plus grave, que c’était forcer à des relations sexuelles ». En décembre 2012, l’une d’entre elles a lâché le morceau et s’est longuement confiée à l’Association européenne contre les violences faites aux femmes (AVFT). Trois autres l’ont suivie. Lundi 30 novembre, elles feront face à leur #employeur, H Reinier, filiale de #Onet, une société de #nettoyage sous-traitante de la #SNCF. Cela se passera devant le conseil des #prud’hommes de Paris, à moins d’un kilomètre de la gare du Nord, où elles racontent avoir subi des agressions et des humiliations à répétition.

    Houria, Bahia, Samira et Mimouna sont agents d’entretien. Au sein de la société H Reinier, qui assure la propreté des trains et des quais de la gare du Nord (Eurostar, Thalys, grandes lignes…), elles assument la tâche la plus ingrate. D’autant que laver les toilettes dans les wagons impose en outre aux #travailleuses des postures délicates dues à la disposition des cuvettes et à l’exiguïté des locaux.

    #travail #femmes

  • « Il va falloir se poser des questions sur les dispositifs d’intervention multi-#attentats, constate un policier parisien. Nous avons été dépassés sur tout. »

    https://www.mediapart.fr/journal/france/191115/comment-manuel-valls-ete-exfiltre-300-metres-des-tirs

    « C’est de la communication », commente un haut responsable policier à Paris.

    http://lemonde.fr/police-justice/article/2015/11/23/dans-le-val-d-oise-recit-d-une-perquisition-musclee_4815543_1653578.html

    • Comment Manuel Valls a été exfiltré à 300 mètres des tirs (Mediapart) « Les policiers ont évacué M. #Valls cinq minutes après les tirs. » C’est le récit du patron d’un café voisin du domicile du premier ministre, et situé à trois cents mètres de l’attaque de la rue de Charonne. « On a entendu les coups de feu, explique-t-il à Mediapart, et on a pensé à un règlement de comptes. Une personne est arrivée en courant, et elle est allée vers les policiers qui se trouvaient en face. Ils se sont mis en position de tir (en joue). Très vite M. Valls est parti. » Dans un autre bar, aussi, le départ du premier ministre n’est pas passé inaperçu. « On a entendu les coups de feu d’ici, explique l’autre patron. On a vu un convoi qui emmenait Manuel Valls : il y avait cinq ou six voitures noires. »

      La présence de Valls dans le quartier est notoire. Il n’hésitait pas à prendre longuement la pose aux terrasses de certains cafés. Et à fait interdire par force #police bien de manifestations de sans papiers qui risquaient de passer sous ses fenêtres.

      #onépluchénou

      #paywall

    • #police #renseignement #services_secrets

      Un ex-directeur de la DGSE : « On a baissé la garde sur le renseignement humain » | Mediapart
      https://www.mediapart.fr/journal/france/201115/un-ex-directeur-de-la-dgse-baisse-la-garde-sur-le-renseignement-humain?ong

      Manquons-nous de renseignements en provenance de pays déstabilisés ou en guerre comme la Syrie, l’Irak, la Libye ?

      Alain Chouet : Énormément, oui. La France a rompu tous les liens de la DGSE avec les services syriens. Or les services secrets sont faits pour dîner avec le diable, sinon ils ne servent à rien. Que le pouvoir politique ait voulu rompre avec le régime syrien, c’est une décision qu’il a toute légitimité pour prendre. Mais le rôle des services spéciaux est de permettre – si besoin est – de maintenir un canal discret de communication.

      Quand, récemment, les services syriens ont tenté de rétablir un canal discret via d’anciens responsables des services français [il s’agit notamment de Bernard Squarcini, l’ancien patron de la DCRI – ndlr], il leur a été opposé un refus catégorique. Que ce soit à droite ou à gauche, il y a une méconnaissance de ce qu’est un service spécial. Notre métier est de garder le contact avec des gens infréquentables. Nous ne sommes ni des juges, ni des flics, ni des diplomates, qu’on nous laisse parler aux agents syriens ne serait pas une reconnaissance politique du régime de Bachar.

      Avec la Libye et l’Irak, on a aussi perdu quelques bons clients ces dernières années. Ce n’était pas toujours blanc de poil, mais on avait l’habitude de travailler avec eux contre la violence islamiste. On savait que sur une liste de 50 islamistes qu’ils nous envoyaient, il y avait en fait cinq opposants à leur régime. On en tenait compte. Aujourd’hui, on est aveugles, on n’a plus rien qui vienne de ces trois pays. Et dans les zones grises où il n’y a plus vraiment de pouvoir d’État, au Sahel ou ailleurs, il est difficile d’envoyer un blond aux yeux bleus se trimballer, ou de recruter des agents sur place, avec des groupes islamo-mafieux très dangereux qui tuent sans hésiter.

      (…) À la #DGSE aujourd’hui, il doit y avoir 4 500 à 5 000 personnes, dont 1 000 qui font de l’administratif. Le problème n’est pas tant les effectifs que la qualité et l’utilisation des effectifs, comme à la #DGSI. J’ajoute qu’à la #gendarmerie, il y a 80 000 personnes qui, à une époque, quadrillaient le territoire et parlaient à tout le monde. On les a reconvertis en percepteurs d’impôts et pères Fouettard sur le bord des routes, au lieu de créer un corps spécifique, une police des routes. Du coup, le maillage territorial du renseignement et la défense opérationnelle du territoire ont été affaiblis.

  • Face aux politiques d’austérité et au chômage : comment créer des millions d’emplois pour le climat

    Le chômage vient de battre un nouveau record historique. Le gouvernement salue une « amélioration de la tendance », mais rien ne semble enrayer l’accroissement du chômage. Pourtant, de nombreuses études montrent que la lutte contre les dérèglements climatiques pourrait générer de nombreux emplois. Plus de 10 000 pour le seul Pays Basque, selon une étude publiée par le collectif altermondialiste Bizi ! à la veille du 1er mai. Au Royaume-Uni, syndicats et organisations écologistes s’allient pour encourager la création d’un millions d’emplois dans les énergies renouvelables, les transports et la rénovation des bâtiments. Tour d’horizon des propositions.

    http://www.bastamag.net/Face-aux-politiques-d-austerite-et-au-chomage-comment-creer-des-millions-d

    #Climat #emplois #chômage #transition #Bizi #OneMillionClimateJobs #GreenJobs

  • Les Kouriles du Sud, terre de méditation | Russia Beyond the Headlines

    http://fr.rbth.com/tourisme/2015/04/17/les_kouriles_du_sud_terre_de_meditation_33433.html

    18 avril, 2015 Ivan Dementievski, pour RBTH
    Si vous vous rendez à Kounachir, Chikotan ou Itouroup, vous verrez que la vie y suit inflexiblement son cours. Les îles ont leurs propres normes et modes de vie : la nature vierge et sauvage, les coins inexplorés, l’océan Pacifique et la mer d’Okhotsk.

    #japon #russie #kouriles #occupation (oui, oui, les îles japonnaises des Kouriles du Sud sont occupées par la Russie depuis la fin de la seconde guerre mondiale...)

  • Salarié-es du nettoyage en grève à la BnF
    http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=7670

    Vous êtes usagers/ères, #lecteurs/trices ou agent-e-s à la BnF et vous trouvez naturel de pouvoir travailler et circuler dans un espace propre et entretenu. Mais depuis de nombreux mois, pour nous, #salarié-es en charge du #nettoyage sur le site François Mitterrand, les conditions ne sont plus réunies pour effectuer notre #travail normalement. Cela suffit, aujourd’hui nous avons décidé de cesser le travail et d’entrer en #grève pour nous faire entendre.

    Charge de travail trop lourde, le personnel en a plein le dos !

    Comme tous les 4 ans, le marché de nettoyage du site #BnF François Mitterrand a été renouvelé en 2013. Le budget attribué par la BnF à ces prestations est en baisse par rapport aux marchés précédents. C’est la conséquence de la baisse du budget global de la BnF qu’impose le ministère de la Culture dans le cadre de la politique d’#austérité. Le résultat, c’est que depuis la reprise du chantier par la société #ONET Services, 15 de nos collègues ont quitté le site, notamment suite à des incitations au départ. Les économies réalisées par la BnF et par ONET ne sont pas indolores pour les salarié-es puisqu’elles se font sur notre dos.

    Les prestations à réaliser n’ont pas changé depuis le précédent marché et pourtant aujourd’hui, en personnels de nettoyage, nous ne sommes plus que 45 contre 61 au moment de la reprise du chantier . Le secteur de travail affecté à une seule personne augmente jusqu’à l’impossible à gérer ! Chaque agent-e croule sous une charge de travail intenable, sans compter les incessants ajouts sur nos #plannings pour remplacer des collègues absents. Ces conditions provoquent fatigue nerveuse et physique, et une détérioration de notre état de #santé telle qu’elle engendre aussi des #accidents_de_travail.

    Assez de mépris !

  • Au #Tessin comme à #Onex (Genève), les communes affichent des panneaux "100% sans #frontaliers"
    (ARRGHHH)
    « Zéro frontalier », le label qui fait fureur

    Affiches du MCG à Onex (GE) ou autocollants distribués par la commune de Claro (TI) : le label anti-frontaliers est la dernière trouvaille des jusqu’au-boutistes de la #préférence_cantonale. Eric Stauffer annonce qu’il imitera l’initiative tessinoise d’ici peu et que son parti a déjà réservé tous les panneaux SGA de la commune d’Onex


    http://www.letemps.ch/Page/Uuid/21ff02d6-bc2c-11e4-b1aa-59105399a835/Z%C3%A9ro_frontalier_le_label_qui_fait_fureur
    #Suisse #Claro #zéro_frontaliers #affiches
    (et en plus, pour Onex en tout cas, il s’est avéré que ce n’était pas vrai !)


  • One Hour Photo, Mark Romanek, 2002
    Un film de psychopathe beaucoup plus intelligent que les autres. L’angoisse y est tout en douceur. Je me rappelle de Harry, un ami qui vous veut du bien et là, c’est beaucoup beaucoup mieux. Robin est merveilleux et nous on est vraiment empathiques genre il nous fait pleurer.
    Et lorsque le gore et l’infâme arrivent, c’est au goutte à goutte. Ainsi, et comme d’habitude avec les catégories, c’est salvateur.
    https://www.youtube.com/watch?v=IgFIIU6C6XI

    #critique_a_2_balles #one_hour_photo #mark_romanek #2002 #cinéma #thriller #psychopathe #robin_william

    • Il est superbe ce film. C’est le meilleur rôle de Robin William, tellement différent de ce qu’il avait l’habitude de jouer. Il semblerait qu’autour de 2002 il se soit essayé à des rôles plus sombres.
      De cette période je te conseil « World’s Greatest Dad » de Bobcat Goldthwait et « The Final Cut ».

  • OnePlus Two - les spécifications du smartphone | Monhardware.fr
    http://www.monhardware.fr/oneplus-two-les-specifications-du-smartphone

    Le OnePlus Two disposera d’un écran 5,5 pouces avec affichage 2K

    http://i1.wp.com/www.monhardware.fr/wp-content/uploads/2015/01/OnePlusTwo.jpg?resize=636%2C374

    OnePlus se prépare au lancement du successeur de son téléphone mobile OnePlus One et les spécifications présumées sont arrivées. Le OnePlus Two gardera la même taille d’écran de 5,5 pouces mais aura une résolution plus importante.

    Les Hashtag pour trouver l’information rapidement :

    #smartphone #téléphone #mobile #OnePlus #OnePlusTwo #Android

  • OnePlus Two : les spécifications complètes | Monhardware.fr
    http://www.monhardware.fr/oneplus-two-les-caracteristiques-du-smartphone

    OnePlus Two : les spécifications complètes

    La boutique en ligne GeekBuying.com a dévoilé la liste complète des caractéristiques du smartphone OnePlus Two, qui sera le successeur du OnePlus One.

    Les Hashtag pour trouver l’information rapidement :

    #OnePlusTwo #OnePlus #smartphone #téléphone #mobile