• #Cryptpad —> testé, adopté !

    CryptPad provides a full-fledged office suite with all the tools necessary for productive collaboration. Applications include: Rich Text, Spreadsheets, Code/Markdown, Kanban, Slides, Whiteboard and Forms.

    https://cryptpad.fr
    #pad #gestion_de_projets #logiciel #alternative #google_drive #drive #kandan #google_sheet #excel #office_suite #crypté #open_source #logiciel_libre #collaboration #XWiki

  • #Tenzu

    Votre outil compagnon pour faire décoller vos projets numériques
    Tenzu a pour ambition d’accompagner les porteurs de projets numériques dans la définition et la diffusion de leur stratégie, afin de faciliter leurs prises de décision et celles de leur équipe.

    Tenzu vous accompagne dans toutes les phases de votre projet : de sa conception, à ses évolutions successives, jusqu’à sa fin de service. Des processus adaptés et préconfigurés vous permettent de vous lancer sans expertise en gestion de projet.

    https://tenzu.net
    #gestion_de_projet #logiciel #story_map #kanban #scrum #open_source

  • #Hamster

    Project Hamster est un outil de #gestion_du_temps #open_source. Il permet aux utilisateurs de suivre facilement leur #temps passé sur différentes #tâches et projets. Cet outil est particulièrement utile pour les professionnels et les #équipes qui cherchent à améliorer leur productivité et à mieux gérer leur temps.

    https://www.topdigitaltools.info/project-hamster
    #logiciel #gestion_de_projet #suivi

  • Alternatives #open_source : la #Commission_européenne va créer un #consortium pour les #communs_numériques

    La France et l’Allemagne sont parmi les membres fondateurs. « L’une des priorités stratégiques de l’Europe est de renforcer les alternatives ouvertes, interopérables et souveraines. »

    La Commission européenne annonce avoir adopté le 29 octobre « une décision établissant le consortium pour une #infrastructure_numérique_européenne_commune [#European_Digital_Infrastructure_Consortium ou DC-EDIC en anglais], un nouvel instrument permettant aux États membres de développer, de déployer et d’exploiter conjointement des #infrastructures_numériques transfrontières dotées d’une gouvernance et d’une personnalité juridique spécifiques ».

    Faciliter l’accès au financement

    Ce consortium aura son siège à Paris. La France, l’Allemagne, les Pays-Bas et l’Italie en sont les membres fondateurs, les autres États membres pouvant adhérer à tout moment. Le Luxembourg, la Slovénie et la Pologne y participent déjà en tant qu’observateurs. L’objectif affiché est une réduction de la #dépendance de l’Union européenne « à l’égard des infrastructures et technologies numériques importées », qui « crée des vulnérabilités pour son économie et sa démocratie. L’une des priorités stratégiques de l’Europe est donc de renforcer les alternatives ouvertes, interopérables et souveraines.

    La mission du DC-EDIC est de mettre en œuvre un projet multinational sur les biens communs numériques dans les domaines de l’infrastructure et des services de données communs européens et de l’administration publique connectée. Elle mettra en commun les ressources des États membres et assurera la coordination avec les communautés afin de développer, de maintenir et d’étendre les biens communs numériques et de faciliter leur adoption. »

    Parmi les actions annoncées, le consortium devra « faciliter l’accès au financement, notamment par l’intermédiaire d’un guichet unique physique et en ligne et d’un pôle d’expertise ».

    IA, cloud, suites collaboratives, réseaux sociaux...

    Dans son propre communiqué, la Direction interministérielle du numérique (Dinum) précise que le consortium a pour objectifs de :

    • « proposer des alternatives ouvertes dans des domaines clés comme l’#intelligence_artificielle, le #cloud, les suites collaboratives, la #cybersécurité, la #géomatique ou les réseaux sociaux ;
    • renforcer l’écosystème européen en mobilisant les communautés techniques, académiques, publiques et privées ;
    • mettre en place un mécanisme de financement durable pour soutenir la production, la maintenance et la diffusion de ces communs à l’échelle européenne ;
    • encourager leur adoption par les administrations, les entreprises et les citoyens. »

    Par défaut sous #licence_libre

    La Commission indique que « pour maximiser la réutilisation et la transparence, tout logiciel développé conjointement est par défaut publié sous licence libre et open source. Les #marchés_publics respecteront les principes de non-discrimination et la politique en matière de données imposera des pratiques conformes au #RGPD, y compris des dispositions pour enquêter sur les atteintes à la sécurité.

    Les prochaines étapes prévues comprennent le recrutement officiel du directeur et de l’équipe fondatrice, et le lancement d’un projet de soutien au DEP [le Programme Europe numérique, un fonds de l’UE créé en 2021]. D’ici à 2027, #DC-EDIC mettra en place un guichet unique et un pôle d’expertise, ainsi qu’un forum et un prix sur les communs numériques et un rapport annuel sur l’état des communs numériques. »

    Ce consortium devrait être officiellement lancé le 11 décembre 2025 à La Haye, annonce la Dinum.

    Le #Programme_Europe_numérique indique qu’il « fournit un financement stratégique pour relever ces défis [les capacités numériques et la cybersécurité de l’UE], en soutenant des projets dans des domaines de compétences clés tels que le calcul haute performance, l’intelligence artificielle, la cybersécurité, les compétences numériques avancées et en veillant à la large diffusion des technologies numériques dans l’économie et la société.

    Il accompagne l’industrie, les petites et moyennes entreprises (PME) et l’administration publique dans leur transformation numérique grâce à un réseau renforcé de #pôles_européens_d'innovation_numérique (#PEI). »

    https://www.zdnet.fr/blogs/l-esprit-libre/alternatives-open-source-la-commission-europeenne-va-creer-un-consortium-pour-
    #alternative #souveraineté #interopérabilité #souveraineté_numérique

  • International Criminal Court to ditch #Microsoft_Office for European #open_source alternative

    The court will move its internal work environment to #Open_Desk, a German-developed open source software

    The International Criminal Court (ICC) will switch its internal work environment away from Microsoft Office to Open Desk, a European open source alternative, the institution confirmed to Euractiv.

    German newspaper Handelsblatt first reported on the plans. The switch comes amid rising concerns about public bodies being reliant on US tech companies to run their services, which have stepped up sharply since the start of US President Donald Trump’s second administration.

    For the ICC, such concerns are not abstract: Trump has repeatedly lashed out at the court and slapped sanctions on its chief prosecutor, Karim Khan.

    Earlier this year, the AP also reported that Microsoft had cancelled Khan’s email account, a claim the company denies.

    “We value our relationship with the ICC as a customer and are convinced that nothing impedes our ability to continue providing services to the ICC in the future,” a Microsoft spokesperson told Euractiv.

    Open Desk is developed by the German Centre for Digital Sovereignty of the Public Administration (Zendis), a publicly owned company.

    Zendis is part of an EU-level organisation that four EU countries founded on Tuesday with the aim of building sovereign digital infrastructure.

    https://www.euractiv.com/news/international-criminal-court-to-ditch-microsoft-office-for-european-open-s

    #CPI #arrêt #abandon #Microsoft #dégafamisation #logiciels_libres #alternative

    –-

    ajouté à la métaliste les institutions et municipalités qui claquent les portes à #Microsoft :
    https://seenthis.net/messages/1143366

  • La blague de l’#open_source base de #souveraineté | Paperjam News
    https://paperjam.lu/article/la-blague-de-lopen-source-base-de-souverainete

    L’open source est un colosse aux pieds d’argile : si, à ses balbutiements, il louait la noble ambition de libérer la créativité, les #Big_Tech ont compris avec internet, puis avec le lancement de leurs propres produits, qu’elles n’avaient pas intérêt à laisser le #logiciel_libre se développer. Aujourd’hui, elles contrôlent financièrement et humainement tous les acteurs majeurs. Même l’#UE doit s’extirper du guêpier dans lequel elle s’est fourrée.

  • #NordVPN Has Open Sourced its Official Linux App GUI
    https://www.omgubuntu.co.uk/2025/10/nordvpn-linux-gui-open-sourced

    The NordVPN Linux app added a GUI earlier this year, and today the company behind the privacy tool has made that front-end #open_source. Since adding a graphical way to use and configure its private virtual network and related privacy tools on on Linux, the number of daily Linux devices using NordVPN has reportedly grown “by more than 70%”, the company says. Now, in an effort to ‘build on that momentum’, it’s decided to open-source the Linux GUI. The code is hosted on GitHub, which offers build instructions and contribution guidelines. NordVPN’s command-line interface was already open-source. “Linux is built […] You’re reading NordVPN Has Open Sourced its Official Linux App GUI, a blog post from OMG! Ubuntu. Do not reproduce elsewhere without (...)

    #News #VPN

  • Es wird eng für die freie Software
    https://www.nd-aktuell.de/artikel/1194489.freie-software-es-wird-eng-fuer-die-freie-software.html
    https://www.nd-aktuell.de/img/jpeg/2040/312222 Offizielles Maskottchen des freien Betriebssystems Linux : Tux, der Pinguin Foto : Picture Alliance/dpa-ZB/Jan Woitas

    Est-ce que la communauté #SPIP est le dernier des mohicans ? Cet article d’Anne Roth annonce la fin de l’internet solidaire et des logiciels libres, mais elle a tort. Il y a toujous des milliers de communautés du libre et il est toujours possible de commencer de nouveaux projets et montant sur les épaules des géants. Peut-être A.R. est une victime de la distortion des perspectives qui te touche quand tu vis trop longtemps la vie comfortable quoique stressante d’une assistante parlementaire de gauche.

    Elle décrite plein de phénomènes qui existetnt, mais le combat pour le libre n’est toujours pas perdu.

    5.10.2025 Anne Roth - Digitale Technologien eröffneten Möglichkeiten, eine bessere Welt zu entwickeln. Doch der kurze Sommer der digitalen Anarchie ist vorbei

    »Schau, es ist ziemlich verdammt offensichtlich, dass Freie Software und Open-Source nicht mehr die Sorte Hippie-Kram sind, für die wir sie damals hielten, als sie dir mit Computer-Zeitschriften CDs mit Linux-Distributionen gegeben haben.« Ich bin kürzlich über einen Blogpost gestolpert, der diesen harmlosen, aber doch provokanten Satz enthielt. Provokant, weil im Text der Vorschlag folgt, selbst entwickelte Software nicht mehr allen umsonst zur Verfügung zu stellen. Und das ist einer der Grundsätze freier und offener Software: Dass Software in einer Weise geschrieben und veröffentlicht wird, die es anderen ermöglicht, sie zu benutzen, zu prüfen und nach Bedarf zu verändern. Einfach so, ohne etwas kaufen zu müssen.

    Anne Roth

    Privat

    Anne Roth gehört zu den Pionierinnen linker Netzpolitik. Für »nd« schreibt sie jeden ersten Montag im Monat über digitale Grundrechte und feministische Perspektiven auf Technik.

    (Ich bitte hiermit alle um Entschuldigung, die jetzt den starken Impuls verspüren, auf die Feinheiten und Unterschiede hinzuweisen, die ich gerade übergehe. Für alle, die damit nicht vertraut sind: Vergleichbar mit einer Zusammenfassung von ›Das Kapital‹ in ein paar Sätzen.)

    Wir haben uns daran gewöhnt, dass wir manchmal für Software bezahlen müssen und manchmal nicht. In manchen Fällen gibt es die Apps umsonst und wir ›bezahlen‹ sie mit unseren Daten und der eingeblendeten Werbung, und in anderen gibt es die freie Software, die keine Daten von uns sammelt, aber dennoch nichts kostet. Dahinter steckt reiner Idealismus. Mit Software sollte eine alternative digitale Welt geschaffen werden, die niemandem gehört und deren Bestandteile von allen geteilt, genutzt und verbessert werden.

    Warum soll es diese freie Software nun nicht mehr für alle geben? Weil, so der Blogtext, die Idee der freien Software nicht mehr funktioniert. Um das zu verstehen, ein kurzer Blick zurück.
    Die Wurzeln der freien Software

    Wie kam es überhaupt dazu? Vor genau 40 Jahren, im Oktober 1985, war die ›Free Software Foundation‹ (FSF) gegründet und damit ein Grundstein für das Selbstverständnis gelegt worden, dass Software-Entwicklung besser ist, wenn sie gemeinsam, unreguliert und nicht von individuellen Profitinteressen geleitet stattfindet. Eine bessere Welt, digital.

    Wie bei allen Utopien und Bewegungen gab es in der Praxis allerlei handfeste Probleme. Etwa, dass die Open-Source-Entwickler*innen von Anfang an weit überdurchschnittlich weiß, männlich und finanziell gut aufgestellt waren – weit mehr, als es bei kommerzieller Softwareproduktion der Fall war und ist. Das spiegelt sich natürlich auch darin wider, wie Software gestaltet ist. Viele hatten und haben kein Problem damit, dass ein Frauen- und Transfeind im Vorstand der FSF sitzt.

    Ist es möglich, im falschen Leben ein besseres anzufangen? Es sieht nicht gut aus, aber es bleibt alternativlos.

    Einem weiteren Problem widmete sich der US-amerikanische Professor David Golumbia, der in seinem 2024 posthum veröffentlichten Buch »Cyberlibertarianism. The Right-Wing Politics of Digital Technology« gut begründet die These vertrat, dass diese sich als so ganz anders verstehende Netzkultur wesentliche Wurzeln im rechten Libertarismus hat. Mit ›frei‹ ist danach eher der freie Markt und die Abwesenheit von gesetzlichen Regulierungen beispielsweise zur Meinungsfreiheit gemeint. Meiner Meinung nach übersah er, klar mit Blick auf die politischen Auseinandersetzungen in den USA, dass es auch eine sehr legitime linke Kritik am Staat, seinen Gesetzen und ihrer Durchsetzung gibt. Richtig ist aber, dass die Abwesenheit von Regelungen etwa zum Schutz von Schwächeren in der Gesellschaft keine progressive Form der Freiheit ist.

    Beide Beispiele ändern nichts daran, dass es richtig war, das Netz nicht Unternehmen, Militär und Sicherheitsbehörden zur Gestaltung zu überlassen. Freie Software ist keine Nische, sondern ein wesentlicher Teil unserer digitalen Infrastruktur.

    Dazu gehört, dass das idealistische freie Netz auf der einen und das kommerzielle Netz auf der anderen Seite nicht getrennt voneinander existieren. Wo sich anfangs beide Seiten noch sehr ideologisch bekriegten, haben wir inzwischen eine Situation, in der viele Unternehmen die Vorteile der freien Software sehr zu schätzen wissen. Viele bezahlen mittlerweile ihre eigenen Entwickler*innen dafür, an Open-Source-Software mitzuarbeiten, und viele Unternehmen wie auch Behörden nutzen gern Software-Bausteine, die bereits vorhanden sind, nichts kosten und sogar von anderen kostenlos gepflegt werden. Würde das gut funktionieren und wären alle zufrieden mit der Situation, wäre das womöglich kein Problem. Tatsächlich ist es so, dass es zu vielen dieser Software-Bestandteile keine Community gibt, die sie ehrenamtlich und gemeinsam aktuell halten.
    Der verlorene Kampf um die bessere digitale Welt

    Aria Salvatrice stichelt im eingangs erwähnten Blogtext: »Open Source ist zu einer Art unbezahltem Praktikum geworden, um schlechte Apps zu machen, die unserer Welt mehr Überwachung und Werbung bringen.«

    Der Effekt: In den letzten Jahren hat es immer wieder spektakuläre IT-Sicherheits-Vorfälle gegeben, die aus Situationen entstanden sind, in denen von vielen genutzte und sicherheitsrelevante Software von einem Baustein abhing, der von einzelnen Entwickler*innen in der Freizeit in Ordnung gehalten wurde. Das IT-News-Portal »Heise online« titelte 2021 zu einem solchen Fall »Sicherheitslücke Log4Shell: Internet in Flammen«. Warum diese Arbeit nicht angemessen bezahlt wurde und wird: gute Frage. Einerseits, weil die Programmierer*innen es selbst nicht wollen und die Unabhängigkeit durchaus auch schätzen; andererseits, weil Unternehmen nichts zahlen, was sie nicht müssen, und die meisten Regierungen im neoliberalen Schwung der letzten Jahrzehnte nicht verstehen, dass stabile Infrastruktur eine staatliche Aufgabe ist.

    Vor 20 Jahren schon stellten Frank Rieger und Rop Gonggrijp beim jährlichen Congress des Chaos Computer Clubs in einem viel beachteten Talk fest: »We lost the war«, wir haben den Krieg verloren. Sie bezogen das zunächst auf die Gefahr, dass digitale Technologien schon damals immer mehr für Überwachung genutzt wurden. Es war einige Jahre nach dem 11. September 2001, der »War on Terror« tobte, und auch hierzulande wurden unter dem Deckmantel der Bekämpfung von Terrorismus viele Überwachungsgesetze eingeführt. Das eigentliche Thema des Vortrags war aber, dass der Kampf gegen die Kommerzialisierung von IT-Produktion und Internet verloren war. Mit »wir« waren erst mal die Hacker*innen, die Netz- oder IT-Community gemeint, aber mit dem Aufruf, Aktivist*innen und soziale Bewegungen mit technischen Fähigkeiten zu unterstützen, war klar, dass es um mehr ging. Auch die 2005 schon anrollende Klimakatastrophe wurde erwähnt.

    Nichtsdestotrotz gibt es bis heute die Vorstellung, dass die Welt im Netz eine ganz andere sei oder jedenfalls hätte sein können. Ein Freiraum, der von denen »in der alten Welt« nicht verstanden wurde und wird, der ihnen mangels technischen Verständnisses nicht zugänglich war und auch erst mal nicht sein sollte. Das Misstrauen war gegenseitig, denn die Nerds lebten mit dem Image der etwas seltsamen und nicht recht gesellschaftsfähigen, unsportlichen und blassen Außenseiter*innen. Das änderte sich erst mit den Enthüllungen von Edward Snowden 2013 und dem Wissen von der technischen Massenüberwachung durch die Geheimdienste. Plötzlich waren die Nerds cool, denn sie wussten, wie Kommunikation verschlüsselt werden kann und hatten Alternativen zu den kommerziellen Plattformen, die mit den Behörden kooperieren.
    Der kurze Sommer der Anarchie

    Der digitale Freiraum bot viele Möglichkeiten, das digitale Zusammenleben ganz anders und besser zu gestalten, es wurde entwickelt und experimentiert und es entstanden großartige Dinge. Leider hat sich dieses Tor zu einer besseren Welt inzwischen fast vollständig geschlossen. Der Krieg ist verloren und der Hippie-Kram ist verstaubt oder aufgekauft. Es bleiben die Abwehrkämpfe gegen die Dominanz von Big Tech und Überwachung.

    Mich erinnert das an die Freiräume der Häuserbesetzungen in Berlin nach der Wende. Die halbe Stadt (Ost) stand leer, über 100 Häuser wurden besetzt, dazu die Clubs, die Projekte und so viel mehr. Alles war möglich. Wir haben gebaut, gemalt, Wände versetzt. Wir hatten tagelang Plenum, wir haben uns die Nazis vom Hals gehalten und so viel Krach gemacht, wie wir Lust hatten. Wir haben sehr viel gelernt. Wir haben gefühlt, wie anders die Welt sein könnte. Was ist davon geblieben? Sehr wenig, denn womit wir uns nicht beschäftigt haben: mit der Welt um uns herum, und die ist nicht stehen geblieben. Irgendwann wurden die Häuser gekauft, die Clubs wegen Lärmbelästigung dicht gemacht und alle vor die Tür gesetzt. Der Kapitalismus hatte gewonnen und Berlin war wieder langweilig. Hätten wir besser die öffentlichen Wohnungsbaugesellschaften besetzen sollen? In Büros an Gesetzesvorlagen gegen Immobilienkonzerne arbeiten? Vielleicht. Das wäre von Anfang an sehr langweilig gewesen und wenn es jemand vorgeschlagen hätte, hätten vermutlich nicht sehr viele mitgemacht. (Wobei Deutsche Wohnen & Co. Enteignen ja gerade zeigt, dass Gesetzentwürfe und Glitzer sehr gut zusammenpassen – Respekt!)

    Ist es möglich, im falschen Leben ein besseres anzufangen? Es sieht nicht gut aus, aber es bleibt alternativlos.

    #FLOSS #open_source #gauche #privatisation

    • Vues les lois scélérates en cours de rédaction (Chat Control...), je me demande sérieusement comment nous pourrons publier des applications ouvertes à l’avenir sans courir des risques légaux. Si, par exemple, communiquer en SSH ou en GPG, rentre sous le coup des transcriptions dans le droit de nos pays de Chat Control, comment continuer à faire de l’informatique un petit peu intelligente ?

      C’est tellement absurde qu’on se dit que ça n’arrivera pas. Mais.

  • L’histoire du logiciel  : entre collaboration et confiscation des libertés
    https://ploum.net/lhistoire-du-logiciel-entre-collaboration-et-confiscation-des-libertes

    Le concept même de logiciel n’est pas évident. Comme le rappelait Marion Créhange, la première titulaire d’un doctorat en informatique en France, la manière d’influencer le comportement des premiers ordinateurs était de changer le branchement des câbles. Un programme était littéralement un plan de câblage qui nécessitait de s’arracher les mains sur des fils.

    Petit à petit, les premiers informaticiens ont amélioré la technologie. Ils ont créé des ordinateurs « programmables » qui pouvaient être modifiés si on leur fournissait des programmes au format binaire, généralement des trous sur des cartes en carton qui étaient insérées dans un ordre précis. Il fallait bien évidemment comprendre exactement comment fonctionnait le processeur pour programmer la machine.

  • China verstärkt KI-Offensive mit neuen Open-Source-Modellen
    https://www.telepolis.de/features/China-verstaerkt-KI-Offensive-mit-neuen-Open-Source-Modellen-10504672.html

    Les Chinois nous offrent encore des moteurs #IA #open_source. Après #Deepseek ils publient le générateur d’images animées Wan2.2 d’Alibaba et le GLM de Zhipu AI. Les créateurs indépendants profitent de l’esprit de partage traditionnel chinois.

    La notion de propriété intellectuelle et l’idée du génie individuel n’ont été introduit en Chine que dans les années 80/90 dans le contexte des quatre modernisations du pays. Avant cette époque un plagiat européen n’était en Chine qu’um hommage au créateur de l’original qui lui rendait hommage par son oeuvte aux sources anciennes.

    L’expérience d’ume société socialiste et les idées du maître Kong donnent aux Chinois des idées stratégiqies inintelligibles pour les dealmaker capitalistes occidentaux.

    30.7.2025 von Marcel Kunzmann - Alibaba und Zhipu AI veröffentlichen leistungsstarke KI-Systeme als Open Source. Beijing setzt auf Eigenständigkeit in der strategisch wichtigen Technologie.

    Alibaba und Zhipu AI veröffentlichen leistungsstarke KI-Systeme als Open Source. Beijing setzt auf Eigenständigkeit in der strategisch wichtigen Technologie.

    China intensiviert seine Bemühungen um technologische Unabhängigkeit im Bereich künstlicher Intelligenz und veröffentlicht dabei zunehmend leistungsfähige Open-Source-Modelle. So stellte das Technologieunternehmen Alibaba diese Woche sein neues Videogenerierungsmodell Wan2.2 vor, während der KI-Entwickler Zhipu AI eine überarbeitete Version seiner GLM-Serie präsentierte.

    Alibaba bezeichnete Wan2.2 am Dienstag als das „erste Open-Source-Videogenerierungsmodell der Branche, das die Mixture-of-Experts-Architektur verwendet“. Das Unternehmen veröffentlichte drei Hauptvarianten: T2V-A14B für Text-zu-Video-Generierung, I2V-A14B für Bild-zu-Video-Umsetzung und TI2V-5B für kombinierte Anwendungen.

    Effizienzsteigerung durch neue Architektur

    Die wichtigste Neuerung liegt in der sogenannten Mixture-of-Experts-Architektur (MoE), einem maschinellen Lernansatz, der KI-Modelle in separate Teilnetzwerke aufteilt. Jeder „Experte“ konzentriert sich dabei auf bestimmte Aspekte der Eingabedaten. Bei Wan2.2 arbeitet der erste Experte an den frühen Phasen des Entstörungsprozesses, während der zweite die Videodetails verfeinert.

    Die A14B-Modelle verfügen über insgesamt 27 Milliarden Parameter, nutzen aber nur 14 Milliarden aktive Parameter pro Berechnungsschritt. Dadurch können sie 5-Sekunden-Videos in 720P-Auflösung bei 16 Bildern pro Sekunde erzeugen.

    Das kompaktere TI2V-5B-Modell mit fünf Milliarden Parametern soll laut Alibaba Videos gleicher Qualität in unter neun Minuten auf einer Consumer-Grafikkarte wie der RTX 4090 generieren. Für die Entwicklung erweiterte Alibaba nach eigenen Angaben den Trainingsdatensatz erheblich. Im Vergleich zur Vorgängerversion Wan2.1 verwendete das Unternehmen 65,6 Prozent mehr Bilder und 83,2 Prozent mehr Videos.
    Zhipu AI präsentiert GLM-4.5-Serie

    Parallel dazu stellte Zhipu AI, eines der vier führenden chinesischen KI-Unternehmen, am Montag die neue Generation seiner GLM-Serie vor. Die Modelle GLM-4.5 mit 355 Milliarden Parametern und GLM-4.5-Air mit 106 Milliarden Parametern basieren laut dem Unternehmen auf einer vollständig selbst entwickelten Architektur.

    Zhipu AI bezeichnete GLM-4.5 als „Chinas fortschrittlichstes Open-Source-MoE-Modell“. Es erreichte den dritten Platz weltweit und den ersten Platz unter inländischen sowie Open-Source-Modellen basierend auf dem Durchschnittswert von zwölf repräsentativen Bewertungskriterien, wie das Unternehmen mitteilte.
    Strategische Eigenständigkeit als Staatsziel

    Diese Entwicklungen fügen sich in Chinas umfassende Strategie zur technologischen Selbstständigkeit ein. Beijing betrachtet KI als strategisch wichtig für die nationale und wirtschaftliche Sicherheit. Angesichts der US-Exportkontrollen für Technologie hat die chinesische Regierung „unabhängige und kontrollierbare“ KI zu einem Kernziel erklärt.

    Die Regierung verfolgt dabei unterschiedliche Ansätze für verschiedene Technologieebenen. Die stärkste staatliche Unterstützung erhält der kapitalintensive Halbleitersektor. Eigenständigkeitsbemühungen bei Software-Frameworks werden hauptsächlich großen Technologieunternehmen übertragen, während höhere Ebenen wie KI-Modelle und Anwendungen von einem förderlichen Umfeld profitieren, aber weniger direkte staatliche Hilfe erhalten.
    Fortschritte trotz Hardware-Herausforderungen

    Chinas Halbleiterindustrie hat eigene KI-Chips entwickelt, deren Leistung jedoch noch nicht an die des US-Halbleiterdesigners Nvidia heranreicht. Beijing hat einheimische Fähigkeiten zur obersten Priorität erklärt, insbesondere angesichts der US-Exportbeschränkungen. Der Technologiekonzern Huawei führt diese Bemühungen an und arbeitet eng mit inländischen Chipherstellern zusammen. Bei Modellen und Anwendungen holt China gegenüber den USA auf.
    Lesen Sie auch

    Das Land ist stark in globale Open-Source-Gemeinschaften eingebunden, was zusammen mit einem geschützten Heimatmarkt Entwickler großer Sprachmodelle wie DeepSeek hervorgebracht hat (Telepolis berichtete). Hardware-Herausforderungen behindern zwar noch eine breitere Einführung, aber die lokale Akzeptanz von Sprachmodellen ist hoch, und Chinas KI-Industrie schwenkt auf spezialisierte Anwendungen um.

    Das chinesische KI-Ökosystem kann kritische Komponenten inzwischen größtenteils im eigenen Land beschaffen. Das Land hat einen großen Talentpool aufgebaut, ausreichend Finanzierung bereitgestellt, eine reifende Datenumgebung gefördert und Recheninfrastruktur errichtet. Schwachstellen bleiben der begrenzte Zugang zu fortschrittlichen Chips und Chinas künftige Teilnahme an der globalen Open-Source-Gemeinschaft, die lange Zeit entscheidend für seine KI-Fortschritte war.

    #Chine #intelligence_artificielle

  • Supply-chain attacks on open source software are getting out of hand
    https://arstechnica.com/security/2025/07/open-source-repositories-are-seeing-a-rash-of-supply-chain-attacks

    #Attacks affected packages, including one with ~2.8 million weekly downloads.

    It has been a busy week for #supply-chain_attacks targeting #open_source software available in public repositories, with successful breaches of multiple developer accounts that resulted in malicious packages being pushed to unsuspecting users.

    The latest target, according to security firm Socket, is #JavaScript code available on repository #npm. A total of 10 #packages available from the npm page belonging to global talent agency Toptal contained malware and were downloaded by roughly 5,000 users before the supply-chain attack was detected. The packages have since been removed. This was the third supply-chain attack Socket has observed on npm in the past week.

  • #github Wants the #EU to Fund #open_source
    https://www.omgubuntu.co.uk/2025/07/github-eu-open-source-funding

    GitHub is urging the EU to create a €350m fund for open source maintenance. But as Big Tech profits, should taxpayers be the ones to pay the tab? You’re reading GitHub Wants the EU to Fund Open Source, a blog post from OMG! Ubuntu. Do not reproduce elsewhere without permission.

    #News #foss_fund #Microsoft

  • #Denmark’s Government is Ditching Microsoft for #open_source Software
    https://www.omgubuntu.co.uk/2025/06/denmark-government-replaces-microsoft-with-linux-libreoffice

    An arm of the Danish government is phasing out Microsoft products, including Office 365 and Windows. Up to half of employees at Denmark’s Ministry of Digital Affairs will switch to an unspecified version of #Linux in place of Windows, and replace Office 365 with open source productivity suite #LibreOffice. If the move goes well the entire ministry will switch to open source software by the autumn. Denmark’s minister of digitisation, Caroline Stage Olsen, confirmed the migration is in progress to Danish media outlet Politiken (paywalled). It is part of a new “digitalisation strategy” laid out for the next four years […] You’re reading Denmark’s Government is Ditching Microsoft for Open Source Software, a blog post from OMG! Ubuntu. Do not reproduce elsewhere without (...)

    #News

  • La Chine talonne les Américains dans la course à l’intelligence artificielle
    https://www.lemonde.fr/economie/article/2025/01/25/la-chine-talonne-les-americains-dans-la-course-a-l-intelligence-artificielle


    Lors de la conférence mondiale de l’intelligence artificielle, à Shanghaï, en Chine, le 6 juillet 2023. WANG ZHAO / AFP

    Alors que Donald Trump a annoncé 100 milliards de dollars d’investissements, les #start-up_chinoises peuvent compter sur la créativité d’ingénieurs bien formés et le soutien des autorités. Par Simon Leplâtre

    Dans la course à l’intelligence artificielle (#IA) générative, les entreprises américaines ont pris de l’avance, mais la #Chine réalise un retour remarqué : fin décembre 2024, DeepSeek, une petite start-up chinoise, a publié un modèle qui rivalise avec les meilleurs du secteur. Et pour une fraction du coût : alors que l’américain OpenAI aurait dépensé 3 milliards de dollars (2,85 milliards d’euros) pour entraîner ses différents modèles en 2024, DeepSeek affirme avoir développé le sien pour seulement 6 millions de dollars. Une prouesse en termes d’efficacité qui pose la question des limites des sanctions américaines censées empêcher les Chinois d’accéder aux puces électroniques les plus avancées pour l’IA.

    [...]

    « On sait que les modèles chinois ont été entraînés pour éviter de répondre à certaines questions, sur [le massacre de 1989 de la place] Tiananmen ou sur la répression des Ouïgours. Et dans la mesure où les gens sont amenés à utiliser de plus en plus fréquemment ces modèles, cela peut devenir une véritable opération de désinformation », met en garde Ritwik Gupta, spécialiste des questions de régulation de l’IA à l’université de Californie, à Berkeley.

    Qu’importe, pour les #informaticiens qui demandent simplement à #DeepSeek de leur écrire du #code. Aujourd’hui, le programme le plus utilisé par les développeurs dans le monde est déjà chinois, il s’appelle Qwen 2.5, création d’Alibaba. (...)

    (...) « Je pense qu’en réponse à ces sanctions [américaines], les entreprises chinoises ont été forcées d’optimiser leurs logiciels et de trouver des solutions innovantes », commente le spécialiste des politiques d’innovation chinoises Jeffrey Ding. (...)

    https://justpaste.it/fj786

    #sanctions_américaines #innovation

  • #linux_foundation & #Google Form New Group to Manage #chromium
    https://www.omgubuntu.co.uk/2025/01/supporters-of-chromium-based-browsers-linux-foundation

    Google is teaming up with the Linux Foundation, Microsoft, Meta, and Opera to form a new Supporters of Chromium-Based Browsers group. Members of the group, managed by the Linux Foundation, will work together, pool resources, talent, time, and expertise to improve, innovate, and accelerate development of the open-source Chromium codebase. Why the Linux Foundation? Google cites their “long established practices for open governance, prioritizing transparency, inclusivity, and community-driven development.” For its part, Google says it has no intention of reducing its contributions to Chromium (which made up roughly 94 percent of all commits to the codebase in 2024), but will […] You’re reading Linux Foundation & Google Form New Group to Manage Chromium, a blog post from OMG! Ubuntu. Do (...)

    #News #open_source

  • Public Domain Image Archive

    Explore our hand-picked collection of 10,046 out-of-copyright works, free for all to browse, download, and reuse. This is a living database with new images added every week.

    https://pdimagearchive.org

    #images #open_source #photographie #database #base_de_données
    en complément de #wikimedia_commons

    ping @reka

  • L’IA Open Source existe-t-elle vraiment ? – Framablog
    https://framablog.org/2024/10/31/lia-open-source-existe-t-elle-vraiment

    À l’heure où tous les mastodontes du numérique, GAFAM comme instituts de recherche comme nouveaux entrants financés par le capital risque se mettent à publier des modèles en masse (la plateforme Hugging Face a ainsi dépassé le million de modèles déposés le mois dernier), la question du caractère « open-source » de l’IA se pose de plus en plus.

    Ainsi, l’Open Source Initiative (OSI) vient de publier une première définition de l’IA Open-Source, et la Linux Foundation (dont le nom peut prêter à confusion, mais qui ne représente surtout qu’une oligarchie d’entreprises du secteur) s’interroge également sur le terme.

    Au milieu de tout cela, OpenAI devient de manière assez prévisible de moins en moins « open », et si Zuckerberg et Meta s’efforcent de jouer la carte de la transparence en devenant des hérauts de l’« IA Open-Source », c’est justement l’OSI qui leur met des bâtons dans les roues en ayant une vision différente de ce que devrait être une IA Open-Source, avec en particulier un pré-requis plus élevé sur la transparence des données d’entraînement.

    Néanmoins, la définition de l’OSI, si elle embête un peu certaines entreprises, manque selon la personne ayant écrit ce billet (dont le pseudo est « tante ») d’un élément assez essentiel, au point qu’elle se demande si « l’IA open source existe-t-elle vraiment ? ».

    Note : L’article originel a été publié avant la sortie du texte final de l’OSI, mais celui-ci n’a semble t-il pas changé entre la version RC1 et la version finale.

    #GAFAM #OSI #IA #open_source

  • L’IA #open_source existe-t-elle vraiment ?
    https://framablog.org/2024/10/31/lia-open-source-existe-t-elle-vraiment

    À l’heure où tous les mastodontes du numérique, GAFAM comme instituts de recherche comme nouveaux entrants financés par le capital risque se mettent à publier des modèles en masse (la plateforme Hugging Face a ainsi dépassé le million de modèles … Lire la suite­­

    #Enjeux_du_numérique #Intelligence_Artificielle #Framalang #Intelligence_articielle #open_source_initiative #Traduction

    • Attention cependant à la licence qui interdit les usages commerciaux libres

      Pro Sound Effects operate the commercial licensing of BBC sound effects. If you wish to use any sound effects commerically, you can click the ’Buy sound’ button in the ’Show details’ section of any listed sound effect.

  • Vesta Control Panel
    https://vestacp.com

    Vesta is an open source Hosting Control Panel that is free to use under GPLv3. It provides an easy to use control panel that allows the management of websites, DNS, mail, backups, and more

    Ce n’est pas gratuit.
    http://vestacp.com/pricing

    GPL GNU GENERAL PUBLIC LICENCE Version 3

    mais

    Commercial plugins
    SFTP CHROOT
    Restrict user so that they cannot use SSH and access only their home directory. This plugin is now FREE, activate with the following license code: FREESFTP
    FILE MANAGER
    Browse, copy, edit, view, and retrieve all of your web domain files using fully featured File Manager. This plugin is now FREE, activate with the following license code: FREEFM

    C’est orienté AWS

    Documentation
    https://vestacp.com/docs

    C’est moldave
    https://fusion.works/contacts

    Le système a les problèmes habituels des logiciels pas vraiment libres :
    https://forum.vestacp.com/viewtopic.php?t=20788

    File Manager License Key Issue

    Post by tc99 » Tue Jan 04, 2022 3:55 pm
    I tried to access VestaCP File Manager today, and it seems to have been disconnected from our server instance, however, I found the original email with our License Key so thought I’d be able to reinstall it. When I paste the License Key into the File Manager License Key (/edit/server) I get this error:

    CONFIGURING SERVER
    Error: cant’ connect to vestacp.com
    Changes have been saved.

    Although it says changes have been saved, it wipes the License Key field clear each time and this does not save.

    The License Key is supposedly a Lifetime License and still have the original Order ID/License Key to verify. I tried reaching out to info@vestacp.com/sales@vestacp.com before for the holidays for some assistance but haven’t had a reply. Can anyone help out?

    Thanks!

    Je n’ai pas trouvé d’information sur les activités de développement. Avant d’investir du temps dans un test il faudrait éclaircir ce point.

    #hébergement_web #open_source

  • RTS Des drones tueurs fonctionnent avec un logiciel d’origine suisse

    Créé entre 2008 et 2011 à l’EPF de Zurich, un logiciel de pilotage automatique équipe de nombreux drones utilisés sur le champ de bataille, de l’Ukraine à Gaza, y compris des drones kamikazes, révèle jeudi le Pôle enquête de la RTS. L’EPFZ et l’inventeur du concept, un ex-étudiant de l’école, s’estiment exonérés de toute responsabilité liée à ces développements.

    Le logiciel de pilotage automatique, appelé PX4, et sa suite Pixhawk, ont été conçus entre 2008 et 2011 à l’Ecole polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ) par une équipe d’une quinzaine d’étudiants encadrés par certains de leurs professeurs.


    Ils cherchaient le moyen de faire fonctionner un drone de façon autonome, indépendamment d’une télécommande. On le compare souvent au système d’exploitation Android pour les smartphones, tant son utilisation s’est généralisée. A des fins civiles, mais aussi militaires. Ce qui soulève un certain nombre de questions éthiques et stratégiques.

    Utilisation en Ukraine
    Le logiciel d’origine suisse est utilisé par divers belligérants dans le monde en zone de guerre. Il a été retrouvé en Ukraine, sur le champ de bataille, par des unités russes, dans au moins quatre cas identifiés par le Pôle enquête de la RTS. Dans l’une de ces situations, le logiciel dans sa version Pixhawk se trouvait à l’intérieur d’un drone ukrainien équipé d’une charge explosive.

    Les codes sources du logiciel ont été partagés sur une plateforme internet dédiée, ce qui vaut au système d’être régulièrement mis à jour par ses utilisateurs, pour la plus grande satisfaction des forces armées ukrainiennes notamment. « Le fait que des logiciels de pilotage soient disponibles en source ouverte, ça leur a certainement fait gagner des années », estime l’expert en aéronautique Xavier Tytelman jeudi dans le 19h30 de la RTS.

    Des drones autonomes à bas coûts
    L’autopilotage a révolutionné l’industrie du drone de guerre. Sur le théâtre d’opérations, où le signal GPS peut facilement être brouillé, permettre à un drone de faire aboutir sa mission quoi qu’il arrive est un enjeu majeur. « Quand ils sont en train de guider leurs drones kamikazes pour aller par exemple sur un char, même si la communication est perdue, il faut que le drone continue tout droit jusqu’à l’impact. Et ça, ce sont des modifications qu’ils ont pu réaliser et ils l’ont fait très rapidement », souligne Xavier Tytelman.

    Même si la communication est perdue, il faut que le drone continue tout droit jusqu’à l’impact
    Xavier Tytelman, expert en aéronautique

    Vendu à peine plus de 100 euros sur internet pour les modèles les moins récents, dont certains sont fabriqués en Chine, Pixhawk a favorisé l’essor d’une nouvelle économie, celle des drones de guerre autonome à bas coûts. La RTS a pu consulter un document dans lequel la coalition menée par les Etats-Unis pour vaincre le groupe Etat islamique alerte ses membres sur la volonté du groupe terroriste d’acquérir ce logiciel pour ses drones. Le groupe terroriste a déjà pu s’en procurer, a appris la RTS.

    Révolution « dangereuse »
    Fondateur de l’Organisation israélienne de défense antimissile, à qui l’on doit le fameux Dôme de fer, l’ingénieur Uzi Rubin, aujourd’hui chercheur à l’Institut d’études stratégiques de Jérusalem, estime que cette prolifération représente un danger. Il s’inquiète des développements militaires favorisés par le partage d’expérience open-source, via PX4 ou son concurrent Ardupilot. « N’importe qui avec ça peut aujourd’hui créer une arme de guerre vu que les logiciels sont accessibles librement et sans contrôle, tout comme les composants. Ces armes dangereuses prolifèrent au sein des gouvernements, mais aussi des organisations criminelles et cela favorise l’instabilité », déclare-t-il à la RTS.

    Ces armes dangereuses prolifèrent au sein des gouvernements, mais aussi des organisations criminelles et cela favorise l’instabilité
    Uzi Rubin, chercheur à l’Institut d’études stratégiques de Jérusalem

    Israël n’est pas en reste. L’été dernier, le fabricant de drones de guerre israélien Xtend a adopté le logiciel développé initialement en Suisse, dans une version miniaturisée par la société américaine ModalAI. Xtend travaille pour l’armée israélienne et déploie ses drones dans le cadre des opérations militaires actuelles dans la bande de Gaza.

    Nouvel outil d’autopilotage
    Arrivé en Suisse en 2008 à la faveur d’une bourse décrochée à l’EPFZ, l’inventeur de ces outils, Lorenz Meier, les a depuis mis aux normes de l’armée américaine. Il a créé une nouvelle société, Auterion, établie à Zurich avec un siège aux Etats-Unis. Il développe un nouvel outil d’autopilotage pour les drones militaires américains d’observation. Le code éthique de l’entreprise exclut les contributions pour les drones armés.

    Lorenz Meier a décliné la proposition d’interview formulée par la RTS et répondu par l’entremise d’une porte-parole. Cette dernière reconnaît l’utilisation du logiciel à des fins militaires, mais rappelle qu’il est développé par des milliers de personnes dans le monde, du fait de son caractère open-source. Il s’agit, selon elle, « du plus grand écosystème de développeurs au monde, exploitant des robots autonomes. Des logiciels comme PX4 et Pixhawk sont largement utilisés pour permettre le transport et la livraison civile dans le monde entier ».

    De son côté, l’EPFZ n’a pas donné suite à la demande d’interview de la RTS avec son président et s’est exprimée en des termes similaires, notamment pour ce qui concerne l’impossibilité de contrôler des développements effectués en open-source. « Chaque fabricant de drones peut utiliser le code gratuitement et le personnaliser selon ses propres besoins, tout comme les fabricants de smartphones peuvent le faire avec Android », déclare une porte-parole dans un email. Concernant l’usage à des fins militaires, l’institution dit le regretter et n’avoir aucune prise en la matière. « Malheureusement, les avancées technologiques peuvent être utilisées non seulement à des fins positives, mais aussi potentiellement dans des contextes plus problématiques. »

    Une catégorie de matériels interdits d’exportations en Russie et en Ukraine
    Interpellé par la RTS, le Secrétariat d’Etat à l’économie fait savoir que ces dispositifs de commande « peuvent être considérés à première vue comme open source et librement disponibles. Ils ne sont pas soumis à des contrôles à l’exportation ».

    Cependant, le Seco précise qu’ils entrent dans la catégorie de matériels interdits d’exportation en Russie et en Ukraine, comme stipulé dans une ordonnance adoptée par le Conseil fédéral en mars 2022, après le début de l’invasion russe.

    Dans leur grande majorité, ces outils ne sont pas fabriqués en Suisse.

    #Suisse #EPF #EPFZ #scientifiques #chercheurs #drones #open_source #logiciel_libre #opensource #libre #autopilotage #logiciels_libres #Linux #software #guerre
     
    Source : https://www.rts.ch/info/suisse/2024/article/des-drones-tueurs-fonctionnent-avec-un-logiciel-d-origine-suisse-28482795.html

    • Les Suisses, ils sont toujours là « Booh, on vend des armes à l’étranger, c’est contraire à notre législation ». Mais ils le font depuis toujours, toujours avec des parades pour passer ce filtre : vente en pièces détachées, sans les armes incluses, pour un autre usage sur le papier...
      Soit ils reprennent ça en main, soit ils s’essuient le cul avec leurs conventions. Et qu’on mette à jour la neutralité suisse en fonction de la réalité.

      Vendre des Piranha et des Pilatus, ca redevient des armes, la plupart du temps sur le terrain.