organization:armée libanaise

  • Jamil Sayyed. De Taëf à nos jours, élections et prorogations
    http://magazine.com.lb/index.php/fr/component/k2/item/17313-jamil-sayyed-de-ta%C3%ABf-%C3%A0-nos-jours-%C3%A9lections-et-pror

    mprisonné pendant trois ans et demi dans le cadre de l’enquête sur l’assassinat de l’ancien Premier ministre, Rafic Hariri, il est libéré par le Tribunal spécial pour le Liban(TSL), en 2009, sans qu’aucune charge ne soit retenue contre lui, à la suite de la décision de ce tribunal que son arrestation était basée sur des « témoins » qui ont induit l’enquête en erreur. Criant au « complot » dès le début de son incarcération, Jamil Sayyed sort de prison plus combattif que jamais.
    Cela fait quarante ans que Jamil Sayyed slalome sur la frontière invisible et élastique qui sépare la chose politique du métier des armes au Liban. La politique et ses hommes, il les connaît depuis qu’il a choisi de se spécialiser dans le Renseignement, au milieu des années 70 du siècle dernier.
    La sécurité de Hraoui. Le lieutenant-colonel Jamil Sayyed dirigeait les services de renseignements de l’Armée libanaise dans la Békaa depuis 1983, lorsque le premier président de Taëf, René Moawad, est assassiné à Beyrouth, le 22 novembre 1989. « L’élimination d’un personnage clé, à un moment de l’histoire, a pour but de saboter un plan de paix en cours ou de mettre sur les rails un autre projet », explique Jamil Sayyed à Magazine. C’est pour empêcher l’exploitation de cet assassinat que le parrain syrien de Taëf, en coordination avec l’Arabie saoudite et les grandes puissances, a décidé de réagir en organisant rapidement l’élection d’un successeur ».
    Avant de jeter leur dévolu sur Elias Hraoui, les dirigeants syriens ont approché, selon l’ancien directeur de la Sûreté générale, le député (aujourd’hui décédé) Pierre Hélou et les anciens ministres Michel Eddé et Jean Obeid. Cependant, les trois candidats potentiels n’étaient pas disposés, une fois élus, à utiliser la force, en cas d’échec des démarches politiques, pour déloger le général Michel Aoun du palais de Baabda. Elias Hraoui, lui, était prêt à envisager l’option militaire pour « éliminer le phénomène Aoun », ajoute-t-il.
    Jamil Sayyed est chargé de la sécurité des députés rassemblés au Park Hotel Chtaura, le 24 novembre, pour la séance électorale. Le périmètre de l’hôtel est placé sous la protection exclusive de l’Armée libanaise. Les troupes syriennes, elles, sont déployées dans le périmètre externe.

  • Chamel Roukoz. Ses guerres et ses défis
    http://magazine.com.lb/index.php/fr/component/k2/item/17200-chamel-roukoz-ses-guerres-et-ses-d%C3%A9fis?issue_id=252

    Sept fois blessé, dix-huit fois décoré, dont deux médailles française et espagnole, Chamel Roukoz a gagné toutes les batailles livrées par l’Armée libanaise ces dix dernières années. A la tête du célèbre régiment d’élite des Commandos (Maghawir), il a combattu au Nord, au Sud et dans la Békaa, ce qui a développé, dans son esprit, un fort sentiment d’identité nationale et un attachement inébranlable à chaque pouce du territoire.
    Les souvenirs de la bataille de Abra, à l’est de Saïda, ressurgissent, ravivés par le nouveau report – au 18 octobre – du procès d’Ahmad el-Assir, qui n’a toujours pas été entendu par les juges, un an après son arrestation. « Nahr el-Bared était ma plus longue bataille ; elle a duré 100 jours, se souvient Chamel Roukoz. Mais Abra était la plus serrée. J’étais conscient que je devais la terminer très vite avant que l’on tente de me stopper ».
    Qui « on » ? Ce pronom indéfini revient souvent dans la conversation. Le général Roukoz n’est pas un polémiste ; il pense que les messages et les leçons à retenir des expériences vécues sont plus importants que les noms. Soucieux de donner aux militaires l’image de l’officier discipliné, respectueux de la chaîne de commandement, il ne confirme pas les rumeurs qui avaient circulé à l’époque de la bataille de Abra, selon lesquelles il aurait fermé son téléphone pour éviter les pressions. « Dans le fracas de la bataille, on n’entend plus rien… De toute façon, les communications téléphoniques étaient mauvaises dans la région », dit-il, sans broncher.

  • Houmat al-diyar. Association ou nouvelle milice ?
    http://magazine.com.lb/index.php/fr/liban/semaine-politique-/item/17130-houmat-al-diyar-association-ou-nouvelle-milice??issue_id=251

    l y a un an et demi, le gouvernement de Tammam Salam a octroyé une autorisation pour la création d’une association baptisée Houmat al-diyar autour de laquelle l’opinion publique libanaise est divisée.

    Il y a ceux qui appuient ce mouvement, estimant qu’il va au-delà des divisions communautaires et a pour but de soutenir l’Armée libanaise, et il y a ceux qui l’accusent d’être une nouvelle milice. Mais ce qui est clair, c’est que des voix à l’intérieur de la communauté sunnite commencent à s’élever et voient dans ce mouvement une nouvelle forme de Saraya al-moukawama (Les gardiens de la Résistance), liées au Hezbollah.
    Ce mouvement, apparu sans préavis et dont les contours et les buts ne sont pas clairs, est soudain placé sous les projecteurs et une campagne, déclenchée par le ministre de l’Intérieur et des Municipalités, Nouhad Machnouk, est menée contre lui.

  • Joumblatt vs Machnouk. Un conflit en cache d’autres
    http://magazine.com.lb/index.php/fr/en-couverture/en-couverture-?issue_id=232

    Les foudres du seigneur de Moukhtara ont fait lever plus d’un sourcil, et au-delà de ses attaques contre le ministre de l’Intérieur, il fallait chercher la véritable cible de sa colère, qui n’est autre que l’ancien ministre Wiam Wahhab. Dans la lutte qui l’avait opposé à Walid Joumblatt en 2011, Wahhab n’avait pas alors réussi à imposer son proche parent, le général Mounir Chaaban, l’officier le plus haut gradé de confession druze, à la tête de la police judiciaire comme successeur au général Salah Eid. Aujourd’hui, Wahhab serait en train de se préparer à prendre sa revanche dans la présidence de l’état-major de l’Armée libanaise, qui sera vacante au mois d’août, proclamant dans ses assises privées qu’il ne permettra plus à Walid Joumblatt de choisir et d’imposer à son gré.
    Désormais, Walid Joumblatt n’est plus le leader incontesté des druzes. Ses mauvais calculs et ses paris erronés ont contribué à affaiblir son pouvoir aussi bien au Liban qu’en Syrie. L’ancien ministre, Wiam Wahhab, profite de ses faiblesses pour avancer lentement ses pions. Sur le plan local, à part toutes les alliances tissées par Wahhab, celui-ci entretient d’excellentes relations avec le ministre de l’Intérieur Nouhad Machnouk. Leur amitié remonte à plus de vingt ans lorsqu’ils étaient encore tous les deux journalistes. Quant aux paris de Wahhab, ils se sont avérés moins aventuriers que ceux de Joumblatt : résultat, les druzes de Syrie ne suivent plus le seigneur de Moukhtara dont l’influence est devenue presque inexistante auprès d’eux.

  • Joumblatt en Arabie. L’heure du changement n’a pas encore sonné
    http://magazine.com.lb/index.php/fr/liban/semaine-politique-/item/13627-joumblatt-en-arabie-l%E2%80%99heure-du-changement-n%E2%80%99a-pas

    ertaines parties mettent en garde contre de graves attentats que les groupes terroristes dans le jurd du Qalamoun ouest comptent mener contre l’Armée libanaise. Quelque 1 000 combattants du Front al-Nosra, de Daech et de la Brigade de l’islam se sont réconciliés et ont récemment unifié leurs rangs. Ils pourraient avoir recours à des kamikazes venus de Raqqa pour lancer leur agression.

  • Selon le Akhbar (et le Dyiar hier), l’armée libanaise est en train de négocier la liste de ses besoins dans le cadre du « don » de matériel français financé par l’Arabie séoudite. Mais les Français refuseraient de fournir certains matériels lourds :
    http://www.al-akhbar.com/node/201157

    لكن على ما يبدو، فان المفاوضات بين الجانب اللبناني والفرنسي، تسير ببطء شديد، وهناك معلومات تتحدث عن ان الفرنسيين لا يريدون تقديم انواع محددة من لائحة احتياجات الجيش، وفي بعض الاحيان يريدون تأجيل تسليمها الى اعوام لاحقة، حتى انهم يريدون احيانا تقديم ما هو مستعمل. مع العلم ان رئيس اركان الجيش الفرنسي الاميرال ادورا غيو، كان في السعودية اثناء لقاء قهوجي مع المسؤولين السعوديين، وابدى استعداده لتلبية مطالب الجيش اللبناني.

    هذا الامر لا يزال موضع نقاش مطول بين الجانبين اللبناني والفرنسي، فالجيش اللبناني متشدد في الحصول على ما يريده، وخصوصا ان الجانب السعودي، اي الممول للائحة الاحتياجات، وافق عليها. والفرنسيون حتى الان يتريثون في اعطاء اجوبة واضحة. الا ان قيادة الجيش لن تقبل على ما يبدو الا توفير افضل ما يحتاج إليه الجيش، ولا تريد التفريط بالهبة السعودية هباء.

    Résumé dans le Mediarama du jour :
    http://mediaramalb.files.wordpress.com/2014/02/mediarama-526.pdf

    L’Armée libanaise souhaite obtenir rapidement de la France les armes, les véhicules et le matériel dont elle a besoin, dans le cadre du don saoudien de 3 milliards de dollars, tout comme elle souhaite renforcer, sans plus tarder, ses services de renseignement face à la vague d’attentats terroristes qui déferle sur le pays.

    Mais il semblerait que les négociations entre le Liban et la France n’avancent que très lentement. Selon certaines informations, les Français ne souhaiteraient pas fournir au Liban certains types d’armes et d’équipements figurant sur la liste des besoins de l’armée. Dans certains cas, ils voudraient en retarder la livraison de plusieurs années, ou encore puiser dans leurs stocks usagés. Pourtant, le chef d’état-major des armées françaises, l’amiral Edouard Guillaud, se trouvait en Arabie saoudite pendant les entretiens entre le général Jean Kahwagi et les responsables saoudiens, et s’est montré disposé à satisfaire les demandes de l’Armée libanaise.

    L’Armée libanaise sait ce qu’elle veut et ne compte pas y renoncer, d’autant que sa liste de besoins a été avalisée par les bailleurs de fonds saoudiens. Mais les Français n’ont toujours pas donné de réponses claires...

  • Le silence et la trahison qui valaient 3 milliards de dollars
    http://www.brujitafr.fr/article-le-silence-et-la-trahison-qui-valaient-3-milliards-de-dollars-1220

    Mais pourquoi donc l’Arabie saoudite a t-elle décidé d’équiper l’Armée libanaise de 3 milliards d’armement français, alors que durant les dernières semaines ses relais au Liban ne cessaient de dénoncer le slogan « Peuple-Armée-Résistance » et de mettre en cause la collusion entre militaires et Hezbollah ? Et si cette soudaine générosité était le prix du silence libanais, celui de l’oubli des centaines de victimes du terrorisme saoudien au pays du Cèdre, et de la trahison française de ses engagements au Proche-Orient ? La visite de François Hollande —accompagné de 30 patrons de grandes entreprises— en Arabie saoudite, les 29 et 30 décembre 2013, devait porter principalement sur des questions économiques et sur l’avenir de la Syrie et du Liban. (...)

  • Mediarama 12/0/2013 | mediarama
    http://mediaramalb.wordpress.com/2013/12/02/mediarama-1202013

    Dans Mediarama ce lundi : Déchainement de violence inouïe à Tripoli. Les civils et l’Armée libanaise sous le feu des miliciens.

    Al Joumhouria : L’offensive de la Ghouta de Damas décidée après une visite de Bandar Ben Sultan à Paris.

    Al Akhbar : Le Qatar expulse 30 Libanais et 5 Syriens.

    Yehiot Aharonot : Shimon Peres prend la parole devant 29 hauts responsables arabes réunis à Abou Dhabi.

    AFP : Les diplomates européens reprennent le chemin de Damas.

    The Financial Times : Hassan Rohani exclut à « 100% » le démantèlement du programme nucléaire iranien.

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    Yediot Aharonot (Quotidien israélien)

    Le président israélien Shimon Peres s’est exprimé via vidéoconférence devant 29 ministres des Affaires étrangères et hauts dignitaires des pays du Golfe lors d’une conférence organisée à Abou Dabi sur la sécurité et le terrorisme. Cette apparition jugée historique et tenue secrète a été révélée lundi, deux semaines après l’évènement.

    Shimon Peres, installé dans sa résidence de Jérusalem, a été interviewé en direct par Terje Roed Larsen, l’expert de l’Onu pour le Moyen-Orient, lors d’une conférence sur la sécurité en présence de nombreux dirigeants et spécialistes musulmans et arabes, originaires des pays du Golfe. Les paroles du leader israélien étaient retransmises par vidéoconférence.

    Le président israélien a été invité à s’exprimer par le gouvernement des Emirats. Martin Indyk, ambassadeur américain en charge des négociations israélo-palestiniennes, et Larsen auraient arrangé l’entretien selon les conditions des Emirats qui souhaitent que les médias soient tenus à l’écart. Au coeur du débat, le nucléaire iranien qui représente une menace pour Israël ainsi que pour les Etats du Golfe.

    « Les deux parties étaient très enthousiastes », selon un responsable israélien qui a requis l’anonymat. Tout le monde a compris qu’il s’agissait d’un évènement
    historique : le président de l’Etat juif assis dans son bureau à Jérusalem et des gens assis dans le Golfe persique parlant de sécurité et de lutte contre le terrorisme ». Les participants à la conférence auraient attentivement écouté Shimon Peres et personne n’aurait quitté la salle. Les paroles du président israélien auraient même été applaudies par les officiels présents.

    Aucun média n’avait relaté l’évènement jusqu’à lundi à l’exception du chroniqueur Thomas Friedman pour le New-York Times qui en avait brièvement fait état le 19 novembre.

  • Hezbollah à Qousseir, les yeux des militaires français braqués sur la bataille.
    http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?eid=114839&cid=18&fromval=1&frid=18&seccatid=37&s1=1

    (...) L’ancien colonel de l’armée française Alain Corvez indique dans une interview avec le site Manar que Qousseir acquiert une grande importance en raison de son emplacement stratégique, lequel contrôle toutes les routes menant à la côte syrienne et à Damas. Elle constitue d’après lui le nœud de communication stratégique entre Tripoli, Homs et la Békaa libanaise d’un côté, et Tripoli et la capitale syrienne Damas de l’autre.

    Celui qui contrôle cette ville remporte la bataille du centre de la Syrie, et assure la protection de son dos dans la bataille de Damas et toutes les batailles du nord de la Syrie.

    De plus, confie Corvez, cette bataille permettra une étude approfondie pour mieux comprendre les tactiques du Hezbollah pour faire face à la guérilla, surtout concernant les tunnels qu’il a été le premier à inventer dans la guerre moderne. Ce qui constitue tout le contraire de la guerre de juillet 2006, menée par le Hezbollah et suivie attentivement par l’Occident, à travers un grand nombre de moyens.

    Des dirigeants de l’armée française ont déclaré lors d’une réunion avec un groupe de journalistes français que le Hezbollah a dépêché de petits nombres de ses troupes d’élites à la bataille de Qousseir. Ces éléments sont chargés de la gestion de la bataille et des opérations d’intrusion. Ils sont soutenus par environ trois mille combattants bien entraînés. Mais ces derniers ne font pas partie de la force militaire de frappe qui est restée dans le sud du Liban et à Beyrouth.

    Toujours selon ces commandants français, les militants de l’opposition syrienne engagés dans la bataille ont commis d’importantes erreurs stratégiques et meurtrières, tandis que le Hezbollah a réussi à les vaincre psychologiquement parlant, en les forçant à quitter une colline stratégique dans la province de Qousseir, et qu’ils n’auraient pas dû abandonner si facilement.

    Les chefs militaires français ont énuméré les erreurs des miliciens dans la bataille de Qousseir : (...)

    • Syrie. Les enjeux stratégiques de la bataille d’Al Qousair
      Alain Corvez / lundi 3 juin 2013
      http://www.comite-valmy.org/spip.php?article3556

      (...) La complexité de « l’Orient compliqué », doit amener les décideurs occidentaux à avoir « des idées simples » mais pas simplistes.
      L’alliance Iran-Iraq-Syrie-Hezbollah est une alliance forte car elle repose sur des intérêts communs que soutiennent en outre la Russie et la Chine. A l’approche d’une réunion de paix initiée par la Russie et l’Amérique, mais souhaitée par de nombreux autres pays dont la Chine, il ne faut pas prendre de positions volontairement vindicatives contre tel ou tel acteur de la crise, ni faire de déclarations intempestives qui nuiront ensuite au progrès des négociations.

      Envisager, sous l’instigation forte des Britanniques, de mettre la partie militaire du Hezbollah sur la liste des organisations terroristes serait une grave et dangereuse erreur qui, en outre, ne rapporterait rien à La France. Le Hezbollah est un parti politique qui a des députés et des ministres du gouvernement libanais et une telle décision nuirait à nos relations équilibrées avec le Liban ; la majorité de la population chiite se sentirait offensée mais aussi les chrétiens du CPL du général Aoun qui sont leurs alliés et sans doute majoritaires au Liban, ainsi que les sunnites qui partagent leurs objectifs.

      Prendre cette décision en raison de l’intervention en Syrie des troupes du Hezbollah rappellerait que de nombreux pays soutiennent les rebelles directement et que la morale du droit international n’est peut-être pas la même pour tous. La définition du terrorisme, comme disait de Gaulle, dépend du point de vue où l’on se place. (1)

      Le Hezbollah s’est engagé dans les combats de Qousair pour défendre son allié syrien mais surtout pour défendre le Liban contre les djihadistes que l’Armée libanaise ne serait pas en mesure d’arrêter. Se mettre mal avec le Hezbollah serait aussi mettre la position de nos 900 soldats membres de la FINUL en danger, ce qui ne dérangerait pas les Britanniques qui ne sont pas présents au Liban militairement. Actuellement les liaisons entre les chefs français de la FINUL et le Hezbollah par l’intermédiaire de l’Armée libanaise permettent d’éviter bien des difficultés et de résoudre les heurts quand ils se produisent dans tout le Sud-Liban. Nous n’aurions donc rien à gagner en prenant une telle décision, au contraire. Comme à Fontenoy en 1745, laissons donc les Anglais tirer les premiers, ce qui donna la victoire au Maréchal de Saxe et à Louis XV.

      Alain Corvez 3 juin 2013.

      1.) Lors de sa conférence de presse à l’Elysée du 27 novembre 1967, tirant les conséquences de la récente guerre des six jours, le général disait : « Maintenant il organise, sur les territoires qu’il a pris, l’occupation qui ne peut aller sans oppression, répression, expulsions, et il s’y manifeste contre lui une résistance, qu’à son tour, il qualifie de terrorisme. »