organization:armée populaire de libération

  • Mise en garde d’un officier d’état-major chinois contre le danger croissant de #guerre
    http://www.wsws.org/fr/articles/2017/fev2017/scmo-f02.shtml

    Le site officiel de l’Armée Populaire de Libération (APL) chinoise a publié un commentaire le jour de l’investiture de Donald Trump à la présidence annonçant que le danger de guerre entre les deux puissances nucléaires s’intensifiait. L’article reflète les inquiétudes croissantes du régime chinois à propos des propos belliqueux de Trump et de ses conseillers à l’endroit de Beijing en matière de commerce et sur toute une série d’autres questions.

  • Un présentateur suspendu pour avoir insulté Mao
    http://www.lemonde.fr/m-actu/article/2015/08/14/un-presentateur-suspendu-pour-avoir-insulte-mao_4722384_4497186.html

    On ne critique pas Mao Zedong. Pour avoir enfreint cette règle d’or, l’animateur de la chaîne de divertissement du réseau national CCTV, Bi Fujian, devra payer. En avril, une vidéo le montrant commentant l’œuvre du Grand Timonier en des termes peu révérencieux entre les couplets d’un chant révolutionnaire, lors d’un dîner privé, a fait son apparition sur les réseaux sociaux, mettant un terme à sa carrière. Après chaque strophe de La Prise de la montagne du tigre par stratégie, tirée d’une œuvre promue par le parti unique au cours de la Révolution culturelle, à l’heure où toute autre forme d’art était bannie, le ­présentateur vedette chante la destruction des réactionnaires, pour ensuite ­s’interroger : « Peut-on les combattre [les dirigeants du Parti] ? Sommes-nous condamnés à perdre ? »

    Quelques mots l’inspirent particulièrement. « Le Parti communiste, le président Mao »... Bi Fujian coupe net : « Qu’on ne parle plus de ce fils de pute, il nous a infligé tellement de souffrances. » Le présentateur de « Boulevard des stars », une émission mettant en compétition des talents en chants et en arts traditionnels, a tenté dès le mois d’avril d’éteindre l’incendie, s’excusant sur son compte Weibo, le Twitter chinois. Ces remords n’ont pas pesé lourd. Si le Parti communiste chinois (PCC) a été contraint en 1978 de reconnaître des erreurs de Mao, il s’est ­surtout efforcé d’en rejeter la faute sur la Bande des Quatre – dont l’épouse du fondateur de la République populaire –, trouvant plus de positif que de négatif à son bilan.

    • La Bataille de la montagne du Tigre – Tsui Hark | KinoScript
      http://www.kinoscript.com/la-bataille-de-la-montagne-du-tigre-tsui-hark

      La Bataille de la montagne du Tigre est une œuvre étonnante par le mariage qu’opère Tsui Hark entre plusieurs éléments de l’histoire chinoise, de la mythologie, de l’histoire du cinéma chinois et de la modernité cinématographique. Pour bien saisir la richesse du matériau il nous faut revenir aux sources du film. En 1957, le romancier Qu Bo publie aux Editions Littérature du peuple : Patrouilles dans la forêt enneigée. Le roman largement autobiographique se nourrit de son expérience au sein de l’armée et narre le combat pour la pacification du nord-ouest. Il se divise en trois parties. Le héros du livre en est l’intrépide Yang Zirond. Qu Bo décrit trois batailles contre des bandits. Chaque partie se termine sur la victoire de Yang et des soldats de l’Armée Populaire de Libération. Le succès du livre est phénoménal et devient rapidement un classique de la République populaire de Chine. Au plus fort de la Révolution culturelle, en 1969, le livre de Qu Bo est l’objet d’une adaptation par l’Opéra de Pékin sous le titre de La prise de la montagne du Tigre par stratégie, il s’agit du premier « opéra-modèle » sensé éduquer les masses populaires. L’année suivante, le ministère de la culture décide d’en faire un film. C’est le cinéaste Xie Tieli qui en dirige la version cinématographique. Produite par les Studios de Pekin, cette première adaptation d’un « opéra-modèle » à l’écran est un triomphe. La prise de la montagne du Tigre par stratégie est à ce jour l’un des films les plus vus en Chine, c’est-à-dire l’une des productions à avoir eu le plus de spectateurs de l’histoire du cinéma mondiale. L’œuvre de Qu Bo a toujours fait l’objet d’une lecture et une instrumentalisation idéologique à laquelle le film de Xie Tieli n’échappe évidemment pas. 45 ans après cette première version, Tsui Hark s’attaque à une œuvre chargée d’une histoire indissociable de la Chine de la fin du XXe siècle aussi importante culturellement que politiquement. Le réalisateur et producteur Hongkongais conscients des enjeux optent pour une version à la croisée des chemins, entre tradition et modernité.

    • Et pour compléter ce voyage dans le temps, feuilletez ce recueil de cartes postales…

      http://parslow.com/TigerMountain

      The modern revolutionary Peking opera “Taking Tiger Mountain by Strategy”, carefully revised, perfected and polished to the last detail with our great leader Chairman Mao’s loving care, now glitters with surpassing splendour.

      Taking Tiger Mountain by Strategy” is one of the outstanding model theatrical works. It describes an episode in the great Chinese People’s War of Liberation, a battle in which a pursuit detachment of the Chinese People’s Liberation Army wiped out a Kuomintang die-hard gang in northeast China. The opera creates the brilliant images of Yan Tzu-jung and other proletarian heroes by the method of combining revolutionary realism with revolutionary romanticism, and eulogizes Chairman Mao’s great thought on people’s war. The successful creation of the modern revolutionary Peking opera “Taking Tiger Mountain by Strategy” is a splendid victory for Chairman Mao’s revolutionary line on literature and art.

  • Les Echos - La Chine s’approprie des territoires indiens - Archives

    http://archives.lesechos.fr/archives/cercle/2013/05/07/cercle_72061.htm

    Les tensions vives avec le Japon, le Vietnam et les Philippines autour des îles en mer de Chine du sud et de l’est n’ont pas empêché une Chine toujours plus affirmée d’ouvrir un nouveau front par une incursion militaire sur la très disputée frontière Himalayenne.

    NEW DELHI –Dans la nuit du 15 avril, un peloton de l’Armée Populaire de Libération (APL) s’est furtivement introduit aux abords de la frontière entre la Chine, l’Inde et le Pakistan, établissant un camp à 19 kilomètres à l’intérieur d’un territoire contrôlé par l’Inde, et ce faisant, menaçant potentiellement le gouvernement indien de la perte d’une position stratégique vitale sur un plateau d’altitude de quelques 750 kilomètres carrés. L’Inde stupéfaite, et déjà paralysée par une crise politique intérieure, tâtonne pour trouver une réponse efficace à l’accaparement de ses terres par la Chine – le territoire le plus important et le plus stratégique que la Chine se soit attribué depuis qu’elle a opté pour une politique plus musclée vis-à-vis de ses voisins. La Chine aurait-elle l’intention d’installer des structures permanentes pour ses troupes sur ce haut plateau glacé, ou a-t-elle l’intention de se retirer une fois qu’elle aura obtenu des concessions militaires humiliantes ? La question reste ouverte, et d’une certaine manière, discutable.

    #inde #chine #pakistan #frontières #murs

    • L’article est-il récent, car à part la date du 15 avril 2014, je ne trouve pas d’autres dates sur la page. Et il semblerait qu’il y ait aussi un peloton de 15’000 à 20’000 soldats chinois qui se sont regroupés vers la frontière russe. Ce qui est étonnant du fait que les relations entre la Russie et la Chine soient devenues bien chaleureuses depuis le cirque qu’il y a en Ukraine ?!

  • Les soldats chinois désormais trop grands pour leurs tanks - France Info
    http://www.franceinfo.fr/monde/les-soldats-chinois-desormais-trop-grands-pour-leurs-tanks-1324331-2014-0
    http://www.franceinfo.fr/sites/default/files/imagecache/462_ressource/2014/02/19/1324329/images/ressource/RTXP5C5.jpg

    Conçus il y a 30 ans, les tanks chinois ne sont plus adaptés à la morphologie de leurs équipages. La faute aux habitudes alimentaires des Chinois qui ont bien changé depuis lors. Les soldats sont trop grands et trop gros.

    L’information provient d’une étude menée depuis 2009 par le Département Général des Armements chinois, sur 20.000 soldats. Révélée par le Quotidien de l’Armée Populaire de Libération, le média des affaires militaires du Parti Communiste, l’étude montre, qu’en moyenne, les chinois mesurent deux centimètres de plus qu’il y a 20 ans et affichent un tour de taille plus large de cinq centimètres.

    Aussi, l’utilisation des appareils militaires devient de plus en plus difficile. Des tanks devenus inconfortables, mais aussi certaines armes à feu plus difficilement utilisables. Le fût de certaines de ces armes, destiné à faciliter leur prise en main, est devenu trop court pour des soldats plus grands qu’autrefois. Un problème qui altère la précision de leurs tirs.
    Un régime alimentaire plus riche qu’autrefois

    Une alimentation plus riche, notamment en viande, parallèlement au développement économique du pays a permis aux chinois de devenir plus grands, mais aussi de gagner en embonpoint. D’après le think-thank Britannique Overseas Development Institute, le taux d’obésité des chinois a presque doublé en 30 ans.

    Ding Songtao, le responsable de l’enquête, insiste sur la nécessité de penser à un renouvellement des équipements, afin que ceux-ci correspondent à la taille actuelle des soldats. Les données de cette étude sont d’ores et déjà une base pour la conception de nouvelles armes et engins.

    #Chine
    #obésité
    #soldats
    #tank