organization:assemblée générale

  • Une expérience de militantisme à l’université.

    Cet article a été écrit en 2007 suite au mouvement étudiant contre la LRU (Loi de Réforme des Universités) aussi appelé Loi Pécresse.

    #militantisme #handicap #mouvement_étudiant #Bordeaux #2007 #LRU #compensation #fac

    Deuxième partie :

    Etudiant depuis sept ans, j’ai connu deux universités différentes de Bordeaux et ce parcours m’a donné l’occasion de rencontrer pas mal d’étudiants concernés par l’accueil lamentable des administrations et des relais handicap. La stratégie adoptée par les universités face à un étudiant qui revendique de meilleures conditions d’études, qui se plaint trop souvent de devoir faire le tour d’un bâtiment pour accéder à un amphi ou qui refuse de demander à un collègue de lui photocopier ses cours est toujours la même. « C’est un râleur, il n’est jamais content alors que tout le monde est tellement gentil avec lui. D’ailleurs, la preuve, les autres étudiants ne se sont jamais plaints ».
    Ce qui est faux : certains se plaignent, mais de manière individuelle et encore faut t-il savoir écouter. A de rares occasions nous avons tout de même pu nous regrouper, à trois ou quatre, sur des problématiques précises suffisamment visibles pour la télé. En mai 2005 nous avons ainsi pu alerter France 3 et avoir droit à trois minutes du flash local. Au prix d’images ridicules où trois handicapés franchissaient vaillamment les portes de l’Université un temps plein fut libéré trois mois plus tard par l’administration.
    Mais cette expérience reste unique. Les contraintes organisationnelles empêchent, pour une part, les étudiants concernés de se réunir, d’échanger leurs expériences et de revendiquer ensemble. Mais la raison la plus importante est le manque de conscience des étudiants de leur propre condition d’oppression.
    En octobre 2007 commence le mouvement étudiant contre la loi LRU. Le blocage de l’université Bordeaux 3 est voté en Assemblée Générale. Je souhaite alors prendre part au maximum au mouvement dans cette université ainsi réinvestie. Le rythme imposé aux militants est largement insoutenable pour moi, on s’absente quelques heures, on loupe une réunion et on ne comprend plus rien. C’est pourquoi je décide de m’investir sur les problématiques que je maîtrise à savoir celles du handicap. J’inscris bien sûr ma démarche dans celle, plus globale, d’opposition à une loi qui remet en cause le service public. Il y a tout à faire, profitons-en.

    Suite à la seconde assemblée générale, les étudiants handicapés ont le plaisir de recevoir un mail du relais handicap les informant que le blocage est maintenu. L’expéditrice du mail (E.) déplore ainsi cette « mauvaise nouvelle » et nous demande de :

    « ne pas perdre de temps, ces journées sans cours ne sont pas des vacances, continuez si vous le pouvez à travailler chez vous ou en petits groupes. »

    Très en colère je réponds donc ceci :

    « E. ,
    merci beaucoup de relayer des infos liées au blocage. Je te demande cela dit de te contenter de mails strictement informatifs. Même handicapé, notre esprit critique est suffisamment aiguisé, je crois, pour nous laisser seuls juges de la portée d’un événement. 

    Je n’en profiterais pas pour faire état des conséquences que peut avoir la LRU sur les conditions d’accueils des étudiants handicapés (ni sur ton propre poste).

    Les étudiants de Bordeaux III sont tous tenus d’avoir obtenu un bac (ou équivalent), cela est largement suffisant pour décider nous même de nos activités durant le blocage.

    Cordialement,

    R. »

    Le mail de E. préjuge ainsi de la situation de victime des personnes handicapées.Ils seraient d’abord passifs devant ce mouvement social et surtout évidemment hostiles.
    Par un excès d’enthousiasme je commets l’erreur d’envoyer ma réponse à l’ensemble des étudiants handicapés. Je reçois dans les jours suivants plusieurs messages de reproches plus ou moins violents concernant la réponse faite à E. .
    Beaucoup de messages témoignent d’abord de la mauvaise compréhension de mes reproches faits au Relais handicap. Ainsi je n’apprécie pas l’aide apportée au quotidien par E. et V., mon mail était agressif (« rabaisser un professionnel du handicap est inacceptable. »). Mes critiques faites sur les stéréotypes systématiquement renvoyés aux étudiants passent complètement à la trappe :

    « Ca ne se fait pas…car elle a écrit ce message dans de bonnes intentions »

    C’est en fait bien plus qui m’est reproché. En évoquant les difficultés rencontrées à l’université, en refusant d’être absolument remerciant des services apportés par le Relais handicap et en me permettant de faire des reproches à son personnel j’ai remis en cause une autorité intouchable. La fonction professionnelle donne ainsi une légitimité que je ne dois pas remettre en cause : « laisse les gens compétents faire leur travail ». Une étudiante prie même E. de m’excuser en lui expliquant que tout le monde ne pense pas comme moi.
    C’est enfin le principe même de revendication qui est contesté :

    « on n’a pas le droit de profiter de notre situation d’handicapé pour tout le temps se plaindre »

    Une étudiante me dit même que contrairement à moi elle ne « porte pas son handicap en bannière » et me conseille : « occupe toi de ton handicap tu as l’air de mal le vivre ».
    Ces phrases ne témoignent pas seulement d’une méconnaissance de la notion de droit à compensation et d’un contresens fait sur la notion d’autonomie qui reviennent au final à un déni manifeste de la situation de handicap, elles sont le témoin criant d’une situation de grande oppression sociale. D’après mon propre vécu il me semble que, pour beaucoup d’étudiants concernés, l’accès à l’université représente une victoire exceptionnelle (on ne s’en étonne pas si on regarde la proportion d’étudiants chez les personnes handicapées, 0,24 % en 2005), une extraction de la condition de personne handicapée. Il paraît donc inconcevable de revendiquer sur des questions spécifiques liées au handicap et encore plus inconcevable de s’organiser à plusieurs. D’autre part, pour beaucoup cette « ascension sociale » est accompagnée d’injonctions de l’environnement (familial et professionnel) à « ne pas se plaindre ». « On te permet d’être étudiant, d’être parmi les autres, c’est exceptionnel, regarde comme tu as de la chance, et en plus tout le monde est tellement bon avec toi alors qu’ils n’y sont pas obligés ». On retrouve le statut exceptionnel de la personne handicapée tout juste tolérée. Invoquer les théories concernant la culpabilité renvoyée, explicitement ou insidieusement, aux personnes handicapées demanderait un développement beaucoup plus long. Pour résumer, si je proteste et que je n’ai pas de raisons de me plaindre c’est bien que je suis aigri et très malheureux de mal vivre mon handicap.
    Toujours est-il que cette anecdote témoigne de la grande misère sociale et politique des étudiants handicapés dont beaucoup ont intégré les représentations de leur propre oppression. Ils en sont donc moteurs. Alors que le rôle du Relais handicap serait non seulement de travailler à l’amélioration des conditions d’accueil mais aussi de faire prendre conscience aux intéressés de leurs droits d’étudiants, celui-ci entretient en fait une infantilisation qui passe notamment par un tutoiement systématique.
    Dans l’une des réponses des étudiants à mon mail une phrase retient mon attention : « Soyez conscients que pour certains le blocage représente un vrai cauchemar. »

    To be continued …

  • AG ONU : Lutte contre la glorification du nazisme. BRICS POUR, USA Canada Ukraine CONTRE, UE s’abstient
    http://www.brujitafr.fr/2014/11/ag-onu-lutte-contre-la-glorification-du-nazisme-brics-pour-usa-canada-ukra

    Dois-je vraiment employer encore le mot “énorme” ?…

    Les masques tombent…

    La 3e Commission de l’Assemblée Générale des Nations Unies a adopté une intéressante résolution le 21/11/2014 (l’AG elle-même n’a pas encore voté, on en est encore au travail préparatoire, mais il ne manque qu’une vingtaine de petits pays…).

    Présentée entre autre par le Brésil et la Russie, elle est ici :

    Résolution L56 publié par les-crises

    Il prévoit entre autres :

    Lutte contre la glorification du nazisme et d’autres pratiques qui contribuent à alimenter les formes contemporaines de racisme, de discrimination raciale, de xénophobie et de l’intolérance qui y est associée

    4. Se déclare profondément préoccupée par la glorification du mouvement nazi, du néonazisme et des anciens membres de la Waffen -SS, sous quelque forme que ce soit, (...)

  • 40 ONG demandent la révision du rapport de l’#UNSCEAR sur #Fukushima - Fukushima 福島第一
    http://www.fukushima-blog.com/2014/11/40-ong-demandent-la-revision-du-rapport-de-l-unscear-sur-fukushima.h

    Les groupes de la société civile demandent la révision du récent rapport de l’UNSCEAR (Comité scientifique de l’ONU sur les conséquences des émissions radioactives *) intitulé : “Le niveau et les effets de l’exposition à des émissions radioactives due à l’accident nucléaire suite au Grand Tremblement de Terre à l’Est du Japon et au tsunami.“

    L’organisation “Human Rights Now”, accompagnée de 40 organisations de la société civile issues du Japon, des USA, de Tunisie, d’Azerbaïdjan, des Pays-Bas, d’Allemagne, de France et d’Irlande ont publié une déclaration demandant que l’UNSCEAR et la Quatrième Commission de l’Assemblée Générale révisent le rapport et ses conclusions du point de vue de la perspective des droits de l’homme. Veuillez trouver la déclaration complète ci-dessous.

    Nous apprécions les efforts significatifs produits par les membres du comité de l’UNSCEAR pour évaluer les données vastes et complexes concernant la catastrophe nucléaire de Fukushima. Cependant, leur conclusion comme quoi il n’y a « pas d’effet discernable », maintenant ou dans le futur, est un défi au sens commun et sape la crédibilité de l’UNSCEAR. La « Critique » fait remarquer que sur base du rapport de l’UNSCEAR lui-même, nous pouvons nous attendre à l’apparition, au Japon, d’à peu près 1000 cas de cancer de la thyroïde supplémentaires, et aussi de 4300 à 16800 autres cas de cancer supplémentaires, à cause des retombées radioactives de Fukushima. Nous croyons qu’il s’agit là d’effets très discernables pour les individus, les familles et les communautés affectées par ces cancers, ainsi que pour tous ces individus qui vont être affectés par les autres formes de maladies induites par la radioactivité.

    En outre, la conclusion de l’UNSCEAR, affirmant qu’il n’y a “aucun effet discernable” est en train d’induire en erreur le gouvernement Japonais, en le poussant à ne pas mettre en œuvre les contremesures permettant d’éviter la surexposition des individus, et à ne pas lancer une surveillance complète des effets sur la santé. De ce fait, cette conclusion cause de sérieuses violations des droits humains.

    #nucléaire #déni #ONU

  • Assemblée générale : Israël, « une Puissance occupante élue à la vice-présidence d’une Commission chargée des droits du peuple palestinien et des territoires occupés »
    http://www.un.org/News/fr-press/docs/2014/AG11525.doc.htm

    ASSEMBLÉE GÉNÉRALE : ISRAËL, « UNE PUISSANCE OCCUPANTE ÉLUE À LA VICE-PRÉSIDENCE D’UNE COMMISSION CHARGÉE

    DES DROITS DU PEUPLE PALESTINIEN ET DES TERRITOIRES OCCUPÉS »

    Malgré la forte opposition du Groupe des États arabes, M. Mordehai Amohai, d’Israël, a été élu aujourd’hui Vice-Président de la Quatrième Commission de l’Assemblée générale chargée des questions politiques spéciales et de la décolonisation. Les cinq autres « grandes Commissions » ont aussi complété leur bureau pour la soixante-neuvième session de l’Assemblée qui s’ouvrira le 16 septembre prochain.

    « Une Puissance occupante élue à la vice-présidence d’une Commission chargée de la décolonisation, des droits du peuple palestinien et des territoires occupés », a commenté le représentant du Qatar, Président du Groupe des États arabes dont plusieurs membres ont pris la parole. Le représentant qatari a rappelé les deux lettres qu’il a adressées, il y a quelques jours, au Président de la Quatrième Commission, l’informant que son Groupe rejetait la candidature d’Israël et qu’il demandait un vote à bulletin secret.

    « Contester une candidature soutenue par un groupe régional est contraire aux normes et aux pratiques établies à l’ONU et crée un précédent dangereux » a rétorqué le représentant du Royaume-Uni, au nom du Groupe des États d’Europe occidentale et autres États. Rien n’y a fait : le vote a eu lieu et M. Mordehai Amohai, d’Israël, a été élu par 74 voix et 68 abstentions ; M. Guy Rayee, de la Belgique ; et Mme Iseliu Hebbert Larsen de la Norvège ayant obtenu chacun une voix.

    « C’est vraiment une après-midi incroyable », a réagi le Représentant permanent d’Israël, en ajoutant « aujourd’hui vous avez préservé les valeurs de cette Organisation ». M. Amohai rejoint un bureau composé de M. Durga Prasad Bhattarai du Népal, Président ; Mme Inese Friemane-Deksne, de la Lettonie, Vice-Présidente ; et M. Gabriel Orellana, du Guatemala, Rapporteur. Le dernier siège de vice-président, qui revient au Groupe des États d’Afrique, n’a pas encore été pourvu.

    via @alaingresh

    Fourth Committee Elects Israel Vice-Chair as General Assembly’s Main Bodies
    Choose Bureaux for Sixty-Ninth Session
    http://www.un.org/News/Press/docs//2014/ga11525.doc.htm

    Nominee Exceeds Majority of Votes Required after Arab Group Requests Secret Ballot

    The General Assembly’s six Main Committees elected their Bureaux for the sixty-ninth session today, with the Fourth Committee (Special Political and Decolonization) holding a secret ballot requested by the Group of Arab States over Israel’s nomination as Vice-Chair.

    Mordehai Amihai (Israel), nominated by the Group of Western European and Other States, was elected Vice-Chair with 74 votes, exceeding the required majority of 39. Guy Rayée (Belgium) and Iselin Hebbert Larsen (Norway) each received one vote.

    Speaking before the action, Israel’s representative called the vote an assault on the rules and norms of the United Nations, asking delegates whether it served the General Assembly’s interests or the “hate-filled politics of a small group of nations”. The Arab Group had presented “fictitious and unfounded” claims, questioning Israel’s eligibility to serve as Vice-Chair and standing against the 28 Western European and Other States. The vote had set a dangerous precedent, allowing the Organization to be degraded and discredited, he said.

    Qatar’s representative, speaking on behalf of the Arab Group, cited two letters sent to the Committee Chair, on 11 and 17 June, and outlining its rejection of Israel’s candidacy. The Group had requested an election by secret ballot, in line with article 103 of the Assembly’s Rules of Procedure.

    #ONU #farce

    • Israël désigné à la tête d’une commission de l’ONU sur la « décolonisation »
      Vendredi, 20 Juin 2014 07:37 Ali Abunimah
      Publié sur The Electronic Intifadah le 19 juin 2014. Traduction : JM Flémal.
      http://www.pourlapalestine.be/index.php?option=com_content&view=article&id=1787:israel-designe-a-l

      Au moment précis où il est apparu que les Nations unies ne pouvaient se montrer plus incapables de protéger les droits palestiniens et de demander des comptes à Israël à propos des violations de ces mêmes droits, tombe la nouvelle de ce qu’Israël a été désigné à la vice-présidence de la Commission spéciale de l’ONU sur la décolonisation – qui, entre autres choses, traite de questions relatives aux réfugiés palestiniens.

      Selon les procès verbaux de l’ONU, le représentant d’Israël, la dernière nation au monde à implanter des colonies, a reçu 74 voix en faveur de sa désignation au poste, malgré une véhémente opposition de la part du Groupe arabe des États membres de l’ONU.

      Le Qatar, prenant la parole au nom des États arabes, a qualifié Israël d’« État qui a violé la Charte des Nations unies ainsi que les lois internationales. Du fait que son palmarès était entaché de sang et que son occupation dure depuis plus de 66 ans, Israël n’était pas qualifié pour présider à des questions concernant les réfugiés palestiniens, le maintien de la paix et les enquêtes sur ses propres pratiques illégales ».

      Les États arabes ont réclamé un vote nominatif, une démarche inhabituelle, ce qui a provoqué des objections de la part de l’ambassadeur du Royaume-Uni, qui est membre du Groupe des États d’Europe occidentale et autres qui avait nominé Israël.

      Le Canada a profité de l’occasion pour exprimer son « soutien indéfectible à Israël » et les États-Unis ont dit qu’ils « soutenaient sans équivoque la désignation d’Israël ».

      L’Arabie saoudite – dont la propre participation au Conseil des droits de l’homme de l’ONU a soulevé bien des critiques – a déclaré que l’élection d’Israël « équivalait moralement à confier au régime d’apartheid de l’Afrique du Sud la charge d’une commission censée mettre un terme au racisme ».

      Le théâtre de l’absurde

  • CIP-IDF > Lundi 2 juin, Journée d’#actions coordonnées
    http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=7054

    Paris
    11h rdv à République, devant la Bourse du travail, 3 rue du château d’eau. Il s’agit d’une action nationale « communication et bleu de travail ». Ils veulent agréer la convention #Unedic, il faut que nous soyons nombreux, n’hésitez pas à faire circuler.

    18h : rassemblement devant le Théâtre des Folies Bergère - 32 Rue Richer, Paris 9e, M° Cadet - avant le début de l’enregistrement de la cérémonie des « Molière », diffusé en différé dans la soirée sur France 2.

    Avignon
    rdv à 10h30 devant le cinéma Utopia, Manutention.
    Dans la foulée, rendez vous au « Hauts Plateaux » à 19h30, 4 rue des escaliers St Anne, pour une Assemblée Générale à l’appel de la Coordination #Intermittents et #Précaires d’Avignon. Faisons de ce lundi 2 juin une sacrée Belle Journée !! Soyons nombreux

    Besançon rdv action à 15h Kiosque Granvelle

    Montpellier
    12h Assemblée Générale extraordinaire déterminante au Domaine D’o, Espace Micocouliers avec les équipes techniques et artistiques du Printemps des Comédiens.
    17 h Baillargues, allons accueillir avec des salades (pourries) Stéphane Le Foll Porte-parole du #Gouvernement et Ministre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt.

    Lyon 18h réunion inter-commissions hebdomadaire ouverte à tous au CEDRATS, 27 montée Saint-Sébastien.

    Divers rdv du jour ne nous ont pas encore parvenus ou ne sont pas publics, pour en savoir plus, contacter les collectifs et coordinations locaux.

  • Brest en marche contre l’injustice sociale : Mobilisations contre l’agrément de la convention #UNEDIC
    http://marchedeschomeurs-brest.blogspot.fr/2014/05/mobilisations-contre-lagrement-de-la.html

    LUNDI 12 MAI ASSEMBLÉE GÉNÉRALE 18 H AU VAUBAN
    Nous vous informerons des actions diverses des CiP en France.
    Nous vous proposons de venir avec votre #salaire brut et votre nombre d’heures travaillées, afin de
    calculer ensemble vos nombre de jours de différé qui vous attendent à partir du 1 ER JUILLET 2014.
    Nous discuterons du calendrier des actions nationales, sans trop de détails, mais il faut QU’ON VOUS INFORME
    Nous nous organiserons pour des #actions qui devront avoir lieu dans les différentes structures accueillant du public entre le 13 et le 17 mai, brestoises et finistériennes (?)
    si du monde il y a ,
    pour se FAIRE ENTENDRE dans TOUT LE FINISTÈRE !
    Nous vous présenterons un collectif, « Collectif brestois en marche contre l’injustice sociale » qui se joint à nous, alors que depuis février 2014, ils cherchaient à entrer en contact avec des intermittents !
    http://marchedeschomeurs-brest.blogspot.fr

    Ils seront présents à l’AG MAIS AUSSI :
    LE 14 MAI ACTION NATIONALE 18H30 PLACE DE LA LIBERTE
    VIENS AVEC DE QUOI PARTAGER ET MANGER !
    « AUBERGE ESPAGNOLE »
    AVEC TA PANCARTE AUTOUR DU COU*,
    EN FAMILLE,
    ENTRE AMIS,
    AVEC TES COLLEGUES
    PROMIS, ON NE RESTERA PAS SOUS LA PLUIE !
    ON T’EXPLIQUERA SUR PLACE

  • 9 ans d’EHLG : « L’agriculture paysanne, naturellement, un choix d’avenir ! » | Enbata
    http://www.enbata.info/articles/9-ans-dehlg-lagriculture-paysanne-naturellement-un-choix-davenir

    Pour la 9è année consécutive, l’Assemblée Générale d’Euskal Herriko Laborantza Ganbara a été une occasion de comprendre le rôle utile et indispensable joué par EHLG au #Pays_Basque Nord en faveur d’une #agriculture_paysanne, respectueuse de l’humain et de l’#environnement. Toute la matinée, de nombreux témoignages ont permis de comprendre comment Laborantza Ganbara met en avant le savoir concernant l’agriculture paysanne via des formations et expérimentations menées avec les paysans sur le terrain. L’agriculture paysanne est apparue, comme l’a souligné le Président d’EHLG, Michel Berhocoirigoin, comme un choix naturel et d’avenir.
    [...]

    Des exemples concrets d’aides apportées par Laborantza Ganbara dans les démarches collectives (Xapata, l’association des producteurs de cerises d’Itxasu, a ainsi, grâce à l’aide d’un technicien d’EHLG, pu structurer sa démarche, et, avoir accès à une aide financière) et de nouveaux chantiers démarrés (étude concernant la place et les perspective de l’#agriculture_urbaine dans l’Agglomération Côte Basque Adour, nouvelle convention avec Hazi (l’organisme en charge du développement du milieu rural pour le Gouvernement Autonome Basque), partenariat avec Udalbiltza sur le projet de développement local des Pyrénées Basques) seront appuyés par une nouvelle organisation d’Euskal Herriko Laborantza Ganbara (présentée dans le document ci-dessus).

    Enfin, Christine Bessonart, maire de Saint-Pée-sur-Nivelle, a souligné l’importance que représente le fait que l’aide financière apportée par sa commune à EHLG pour l’année 2012 n’ait pas été contestée par les services de l’Etat. Un précédent, et une façon de monter les dossiers, qui devra faire école auprès de toutes les communes du Pays Basque qui souhaitent aider l’agriculture paysanne avec EHLG.

    #paysannerie

  • La rédaction de “Causette” se désolidarise du dossier sur la #prostitution
    http://www.telerama.fr/medias/la-redaction-de-causette-se-desolidarise-du-dossier-sur-la-prostitution,104

    Si la direction du #magazine concède avoir « opté pour une méthode peu délicate », elle assume totalement l’article incriminé. « En choisissant ces “55 raisons”, nous l’avons voulue grinçante, choquante parfois, violente toujours. À l’image de la réalité de ces esclaves du sexe », écrit-elle.

    De son côté, « la majorité de la rédaction de Causette tient à exprimer publiquement son désaccord avec cet article. Sa forme plus que maladroite contrevient à l’éthique et aux valeurs de Causette en stigmatisant les prostitué(e)s plus qu’en les défendant. » En totale opposition avec la rédactrice en chef et le directeur de la publication qui concluent ainsi : « pour notre part, nous assumons nos écrits et ne les regrettons en rien. »

    #média

    • Et hop, dans l’élan :
      Les salariés du magazine “Causette” se mettent en #grève
      http://www.telerama.fr/medias/les-salaries-du-magazine-causette-se-mettent-en-greve,104771.php

      Aujourd’hui, vendredi 8 novembre, les salarié(e)s de Causette, réunis en Assemblée Générale, ont voté à l’unanimité la grève à partir de 14h30. En effet, la configuration actuelle de l’équipe (affectée par plusieurs arrêts maladie), les conditions de travail délétères autant que la faiblesse des propositions d’organisation, ne permettent pas de réaliser le prochain numéro du magazine (...) L’équipe de Causette estime avoir atteint un point de non-retour. Le dialogue social, malgré tous les efforts entrepris, est à ce jour totalement rompu (...) L’équipe de Causette se déclare donc en grève et continue de réclamer les conditions de personnel et d’organisation qui lui permettrait de boucler ce numéro.

  • Nouvelles de l’université : AG contre le projet de loi Fioraso.

    Semaines du 18 et du 25 Février - Sauvons l’Université !
    http://www.sauvonsluniversite.com/spip.php?article5951

    Semaines du 18 et du 25 Février

    mercredi 20 février 2013

    APPEL A TENIR DES A.G. PERSONNELS / ETUDIANTS DANS TOUTES LES UNIVERSITES

    Nous rappelons le calendrier de la MOTION UNIQUE votée à l’Assemblée Générale des étudiants et des personnels de l’ESR le 18 février 2013 :

    L’AG réunie le lundi 18 février à l’université Denis Diderot Paris VII appelle
    – à un rassemblement unitaire demain 19 février devant le MESR rue Descartes (Paris, 5e ar.) à 14h dans le cadre de la tenue du CNESER
    – à des AG de mobilisation étudiants/membres du personnel
    – à une semaine de manifestations et mobilisation dans les facs et les labos du 25 février au 2 mars (avec notamment la participation à la manifestation sur l’école le 28 février)
    – à l’organisation d’une prochaine AG nationale le samedi 2 mars.

    Pour alerter et mobiliser,

    Les Assemblées Générales ouvertes à tous les étudiants et à tous les personnels de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche

    C’EST MAINTENANT !

    • Et un texte-invitation d’un collègue :

      De l’Impossible à Notre Monde

      On ne connaît de la réalité que ce qu’on s’en donne à connaître. Bien sûr, c’est toujours infiniment peu comparé à ce qu’il y aurait à comprendre, et même fondamentalement partial,
      car rien jamais n’a établi que les présupposés de nos
      constructions de pensée, jusqu’aux axiomes de la science, coïncident d’aucune manière avec des principes donnés a priori dans la nature. Ce n’est pourtant pas une raison pour se
      contenter du brouet public qu’on nous sert sans cesse à la louche comme succédané du vrai ou de l’inévitable. C’est même précisément l’inverse. L’orchestration permanente des
      manipulations dominantes nous est un devoir de contreconnaissance, au moins par respect de nous-mêmes.

      Victor Malo Selva, Le paradis des dinosaures

      Chères et chers amies,
      chères et chers habitantes de ce pays et des autres,
      chères et chers collègues – puisque par notre commune présence en ce monde nous sommes de
      quelque façon relié-e-s,
      si vous pensez que ceux qui font métier de faire de la politique, de nous représenter, de gouverner et
      de décider tant de choses essentielles pour le présent et l’avenir, pour nous, pour les générations
      futures et en notre nom ;
      si vous pensez que ces politiciens de profession ne répondent que très imparfaitement à ce qu’on
      pourrait et devrait espérer – y compris simplement parce qu’on les aurait crus, serait-ce juste un
      peu, quand ils cherchaient à électoralement nous séduire – et qu’ils sont à l’inverse toujours plus
      décevants que le plus négligent des plombiers (qu’on obligerait par la loi à respecter ses
      engagements et à refaire l’installation qu’il a bâclée et qui abîme le plafond du voisin du dessous),
      que le plus piètre des boulangers (dont on cesserait simplement d’acheter le pain préférant les
      biscottes même quand il est le seul ouvert de tout le quartier) ou que le plus incompétent des
      électriciens (dont au pire l’assurance nous dédommagerait des dégâts d’incendie que le tableau de fusibles défectueux qu’il a posé a provoqués dans notre salon) ;
      si vous ne pouvez tout à fait écarter l’idée que – sans nier que certaines et certains soient
      humainement animées de bonne volonté mais dans un cadre qui politiquement les bride presque en
      leur entier tant il est immensément plus fort qu’eux – ceux qui font profession de la politique sont de
      l’espèce des mauvais professionnels, tous secteurs confondus, et ceci même en les considérant du
      point de vue du monde marchand qu’ils servent pour le reste avec zèle, tant ils ratent leurs
      obligations de résultat, échouent à atteindre leurs objectifs et leurs targets, déçoivent les termes du
      contrat de confiance, méprisent les droits du service après-vente, méconnaissent la règle du satisfait ou remboursé, violentent le droit de retrait du client sous sept jours ouvrés, ne remboursent pas la différence si on trouve moins cher ailleurs, s’assoient sur l’évidence empirico-médiatique du vu à la télé, et même, et pire, et surtout : bafouent l’engagement de fournir le produit correspondant au
      descriptif préalable dudit, – et que ce faisant, toute blague à part, il demeure qu’ils ne cessent de perpétrer un crime véritable contre la notion même de confiance, ne cessent de proclamer et démontrer en leurs actes que les promesses et serments n’engagent en rien ceux qui les font, ne cessent
      d’alimenter nos raisons de douter les uns des autres et de nous-mêmes, ne cessent donc de
      saper un fondement essentiel de la vie ensemble, dont le présupposé minimal est que, sauf
      exception, l’autre est un être capable comme moi-même de bonne foi et que sa parole envers
      moi l’engage et que s’il ne fait pas ce qu’il a promis il aura du moins tout mis en oeuvre pour essayer et mettra tout en oeuvre pour s’en expliquer ; en somme ne cessent d’incarner et réitérer – au plus haut niveau, dans la plus grande visibilité publique, dans une pédagogie puissante du mal fait et du méfait à vaste échelle – une injure et une agression permanentes contre les principes qui les ont portés où ils sont et dont ils sont garants et gardiens, tout cela depuis les lieux mêmes de leur investissement officiel de défenseurs et gérants de la société ;
      – et que ce faisant, toute indignation morale mise à part, il demeure qu’ils ne cessent d’inciter
      massivement par cette trahison récurrente à ne plus croire en aucun engagement, à cultiver
      le cynisme et l’opportunisme comme vertus souveraines, et à laisser le monde dévaler vers
      ses gouffres, où gisent les monstres que l’on sait – les mêmes sans doute aujourd’hui qu’hier,
      mais aujourd’hui armés jusqu’aux dents et jusqu’aux orteils, armés d’armes toujours plus
      destructrices, planétaires et définitives ; et armés de médias toujours plus tentaculaires pour nous le faire oublier, nous faire croire autre chose ou nous détourner d’y songer ; et armés de la complicité contrainte de toutes celles et ceux que leur précarité (savamment programmée
      ou insavamment combattue par ces mêmes hérauts et porte-parole dévoyés ou bâillonnés) écrase ; et armés de l’interdiction d’antenne des paroles qui diraient un peu tout cela, hormis en quelques plages d’élection qui les rendent si rares que, lorsqu’elle se font un peu entendre, elles en paraissent, à nos oreilles tétanisées de bruits rassurants ou d’inquiétudes sur commande, effrayantes de radicalité – quand leur fréquentation posée, débattue, réfléchie et régulière les feraient voir pour ce qu’elles sont : les fruits d’une sagesse vraie et désintéressée, le contraire très exact de ce « bon sens » qui nous gouverne et dont on nous
      gouverne ;
      et si vous pensez, ou sentez, ou pressentez, ou supposez, ou présupposez, ou croyez, ou savez – à la folie, passionnément, beaucoup, un peu – que la résignation à cet état de fait, le « rien de nouveau
      sous le soleil », le « réalisme politique » (qui ne définit jamais la réalité dont il parle sinon par des
      tautologies éhontées et biaisées), le ponce-pilatesque lavage de mains sont, en vérité, non des
      attitudes neutres face à ces choses mais un encouragement tacite ou paresseux ou cynique ou
      intellectuellement-très-chic à les laisser durer ; non des positions d’observation sans incidence mais
      des consentements par défaut, par absence de mots publics qui diraient le contraire ;
      et si vous pensez, ou sentez, ou pressentez, ou supposez, ou présupposez, ou croyez, ou savez – à la folie, passionnément, beaucoup, un peu – que se taire ou ne pas écouter, ne pas en parler et ne pas
      vouloir en entendre parler, quand il est évident que tant d’endroits sont les foyers déjà en feu des
      incendies futurs du pays et de la planète, c’est laisser que d’autres continuent de mettre, par leur
      négligence ou leur malignité, de l’huile sur ces brasiers et s’en remettre aux explosions à venir pour
      d’hypothétiques nettoyages par le vide ;
      et si vous pensez, ou sentez, ou pressentez, ou supposez, ou présupposez, ou croyez, ou savez – à la folie, passionnément, beaucoup, un peu – que notre action dans le monde, action personnelle et
      collective, même minime, n’est pas entièrement sans effet sur le monde, ou si vous l’espérez
      seulement – et surtout si vous l’espérez ;
      et si vous pensez toujours, ou souvent, ou parfois, ou rarement, ou juste quelques instants par an, ne
      fût-ce qu’une partie de ne serait-ce qu’une seule de ces choses ;
      alors, dans l’immédiat et sans exclure tant d’autres choses possibles, il y a deux actes qui s’offrent à
      vous, actes utiles et qui donnent de surcroît du plaisir, deux petits et grands objets à soigner et à
      accompagner, petits parce qu’à notre portée immédiate et à moindres frais, grands par leur force et leur visée :
      • Lire et faire lire chaque mois le journal L’Impossible, fondé voici un an par Michel Butel
      (L’autre journal, c’était lui), en vente dans les kiosques et les (vraies) librairies. Il en est au
      numéro 10. C’est le genre de journal qu’il faut promouvoir pour qu’un jour, entre autres et
      peut-être, les professionnels de la politique cessent d’être des usurpateurs de leurs propres
      promesses et donc de nos mandats et de nos volontés.
      • Voir et faire voir le film Notre Monde, de Thomas Lacoste (Universités, le Grand soir, c’était
      lui), sortie en salle le 13 mars. Il en est à son 6e long métrage, et celui-ci a été produit
      notamment par Agat (Robert Guédiguian et associés). C’est le genre de film qu’il faut
      promouvoir pour qu’un jour, entre autres et peut-être, les professionnels de la politique
      cessent d’être des usurpateurs de leurs propres promesses et donc de nos mandats et de nos
      volontés.
      Deux objets de pensée, deux objets où des pensées prennent formes, deux formes – en mouvement –
      qui donnent à penser.
      Deux mallettes contenant des outils et de quoi fabriquer des outils, de ceux dont nous avons besoin, comme citoyens et collectifs de citoyens.
      Deux objets inscrits dans la durée ; deux lieux où des humains se relient dans un travail en chemin,
      deux lieux où chacune et chacun peut s’associer – ne serait-ce même que par son observation
      méditative et silencieuse – à une aventure collective de recherche et de construction d’une
      « commune pensée », et qui nous donnent, sinon l’assurance, l’espoir que « les mauvais jours
      finiront » ; et deux actes qui contribueront à nous offrir en bonus, le moment venu, quand nous
      quitterons un jour la vie, un tout dernier surcroît de satisfaction d’avoir bien fait notre métier de
      vivre, et le sentiment d’avoir de notre mieux essayé ce qui nous était possible pour, sinon empêcher,
      du moins ne pas précipiter nous aussi, par paresse, par lassitude ou incurie, l’effondrement d’un
      nombre grandissant de vies présentes et futures vers davantage encore d’effroi et de misères.
      Christophe Mileschi

  • Kilkis, Grèce Septentrionale : lettre d’un membre de l’Assemblée Générale des Travailleurs, depuis l’hôpital civil occupé de Kilkis « Contra Info
    http://fr.contrainfo.espiv.net/2012/03/08/kilkis-grece-septentrionale-lettre-dun-membre-de-lassemblee-gen

    Les travailleurs de l’Hôpital de Kilkis et de la plupart des centres de santé grecs ne sont plus payés à temps et certains d’entre eux voient leurs salaires réduits à une peau de chagrin. Un de mes collègues, travailleur et camarade, a été transféré dans notre clinique cardiologique en état de choc, après s’être aperçu avoir reçu au lieu de sa paye mensuelle de 800 euros (oui, son salaire mensuel habituel), une note précisant non seulement qu’il ne percevrait aucun salaire ce mois-ci, mais qu’il serait astreint à un remboursement de 170 euros. D’autres travailleurs on été payés seulement 9€ (neuf euros) ce dernier mois. Ceux d’entre nous qui continuent à recevoir un revenu quelconque seront suspendus d’une façon ou d’une autre.

  • Déclaration universelle des droits de l’homme

    Préambule
    Considérant que la reconnaissance de la #dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits égaux et inaliénables constitue le fondement de la #liberté, de la #justice et de la paix dans le monde.

    Considérant que la méconnaissance et le mépris des droits de l’homme ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la conscience de l’#humanité et que l’avènement d’un monde où les êtres humains seront libres de parler et de croire, libérés de la terreur et de la misère, a été proclamé comme la plus haute aspiration de l’homme.

    Considérant qu’il est essentiel que les droits de l’homme soient protégés par un régime de droit pour que l’homme ne soit pas contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l’oppression.

    Considérant qu’il est essentiel d’encourager le développement de relations amicales entre nations.

    Considérant que dans la Charte les #peuples des Nations Unies ont proclamé à nouveau leur foi dans les droits fondamentaux de l’homme, dans la dignité et la valeur de la personne humaine, dans l’égalité des droits des hommes et des femmes, et qu’ils se sont déclarés résolus à favoriser le #progrès social et à instaurer de meilleures conditions de vie dans une liberté plus grande.

    Considérant que les Etats Membres se sont engagés à assurer, en coopération avec l’Organisation des Nations Unies, le respect universel et effectif des droits de l’homme et des libertés fondamentales.

    Considérant qu’une conception commune de ces droits et libertés est de la plus haute importance pour remplir pleinement cet engagement.

    L’Assemblée Générale proclame la présente Déclaration universelle des #droits de l’homme comme l’idéal commun à atteindre par tous les peuples et toutes les nations afin que tous les individus et tous les organes de la société, ayant cette Déclaration constamment à l’esprit, s’efforcent, par l’enseignement et l’éducation, de développer le respect de ces droits et libertés et d’en assurer, par des mesures progressives d’ordre national et international, la reconnaissance et l’application universelles et effectives, tant parmi les populations des Etats Membres eux-mêmes que parmi celles des territoires placés sous leur juridiction.

    http://www.un.org/fr/documents/udhr

  • http://maisondelagreve.boum.org/nous-soutenir/article/appel-a-des-promesses-de-dons-pour

    « Si la Maison de la Grève a été ouverte ça a été, bien sûr, pour donner un lieu à l’AGI (Assemblée Générale Interprofessionnelle) qui lors du mouvement contre la réforme des retraites était le point d’où s’organisait une grande partie des blocages. L’AGI a permis à des salariés de différents secteurs, des étudiants et lycéens, des chômeurs, des syndicalistes, de se réunir autour d’une même volonté de construire à la base le rapport de force. Il s’agissait alors d’encourager la reconduction des grèves et la détermination des grévistes à paralyser l’économie. »

    (...)

    « L’offensive policière qui a frappé la Maison de la Grève visait à détruire l’expérience de lutte qui se construit à Rennes et à trancher les liens qui se nouent avant qu’ils ne deviennent indéfectibles. Même si l’opération, menée par la Mairie, a réussi à expulser la Maison de la Grève des anciens bâtiments de la CFDT, elle n’a pas eu tout à fait l’effet escompté. La Maison de la Grève ne se réduisait pas à un lieu et non seulement la solidarité qui s’est exprimée suite à l’expulsion était au-delà de tout espoir, mais nombre de ses activités se redéploient : redistribution et repas tous les vendredis, ateliers informatique, présence à la fac, discussions collectives, processus de création de nouvelles sections syndicales de lutte, auto-défense des chômeurs, des précaires face aux institutions chargées de les contrôler...

    Aujourd’hui, la location d’un lieu pour une future Maison de la Grève s’est imposée à la plupart de ceux qui tiennent à prolonger cette expérience comme une nécessité. Un tel lieu permettrait d’expérimenter et d’éprouver dans la durée tout ce qui se faisait à la Maison de la Grève, et plus. C’est un des paradoxes de l’époque qu’il faille de l’argent pour se doter de moyens de s’affranchir de l’argent. Ce qui est imaginé, pour le moment, c’est que le financement de cette location se fasse par une multiplicité de dons mensuels pouvant aller de très petites sommes (inférieures à 10 euros), à des sommes plus importantes en fonction des envies et des possibilités de chacun. »

    (...)

    Pour faire une promesse de don : http://maisondelagreve.boum.org/nous-soutenir/article/faire-une-promesse-de-dons-etape-1

    #RENNES #GRÈVE #SPIP